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  1. Dernière heure
  2. Les promotions d officiers sont publiés au journal officiel. L'anonymat c'est pour les sous officiers ou les hommes de rang. En principe dans les reportages ils parlent du caporal Quentin du sergent Maxime à la Légion c'est le Major Gérald qui fait souvent la com etc.. Dans les interviews officielle les officiers passent sur les médias avec leur vrai noms . Sauf pour les FS qui utilisent un pseudo.
  3. Rien que le nombre on change d'échelle non? Quelques dizaines de Scalp contre des centaines d'ATACMS. Et puis intuitivement je dirais le vecteur. Je suppose qu'il y a plus d'Himars/M270 à disposition sur le terrain que d'avions ukrainien vu ce qu'il doit rester de leur aviation et qu'ils seront donc plus simple à mettre en oeuvre. Par contre je ne sais pas du tout si l'un est plus capable que l'autre d"échapper aux défense AA.
  4. Facilité de mise en œuvre : les plates-formes au sol sont plus nombreuses et plus simples à mettre en œuvre que les Su-24M. Quand une fenêtre de tir est détectée, ça permet de massifier la salve beaucoup plus que s'il fallait la traiter au SCALP. Enfin, est-ce-que la trajectoire balistique permet de réduire le risque du interception par rapport au profil de croisière du scalp ? C'est une question ouverte.
  5. Moi la question que j'ai c'est qu'apportent les ATACMS longue portée par rapport aux SCALP/Storm-shadows : - du nombre ? ça je veux bien le croire !! - une meilleure portée ? à priori non - des sous-munition à longue portée ? pour certaines variantes d'ATACMS seulement - Obi-Wan Kenobi ? (bien roulé en boule à l'intérieur)
  6. Aujourd’hui
  7. FATac

    Airbus A350

    Au niveau du choix de loi, moyenne ou somme algébrique des inputs, tout peut se discuter. Il faut juste envisager les conséquences des choix. Si les inputs vont dans le même sens : La moyenne revient à tempérer l'action du pilote le plus excessif, et à exagérer l'action du pilote le plus modéré La somme algébrique revient à sur-sensibiliser les commandes, chacun obtenant plus que ce qu'il supposait solliciter Si les inputs vont dans des sens opposés (et qu'il n'y a pas de pondération en gain dès l'input) : Moyenne et somme algébrique reviennent au même pour des valeurs égales au signe près : ça s'annule Mais s'il y a différence entre les valeurs absolue des consignes, c'est la plus forte qui s'exprime de manière résiduelle, de manière plus marquée (doublée ?) dans le cas de la somme que dans celui de la moyenne (qui est n'est qu'une somme pondérée par le nombre d'inputs). Pour autant, ça reste une consigne résiduelle - en ce sens qu'une action modérée de l'un sera franchement dépassée par l'action marquée de l'autre. Le premier cas est favorisé par le design Boeing avec les manches conjugés (et donc une perception haptique, par chaque pilote, de l'action de l'autre) : il faut passer une "barrière" (un effort plus que significatif) pour quitter le mode conjugué. Les consignes vont, naturellement, plus ou moins dans le même sens en permanence. Le second cas (consignes en opposition) peut plus facilement se produire chez Airbus, mais je pense que c'est dans ce but qu'a été mis en place le bouton de prise de priorité, afin d'effacer l'opposition par une prise de responsabilité franche (i.e. "je prends les commandes - ce qui arrivera maintenant dépend de moi"). Au doigt mouillé, j'aurai tendance à dire que la conception Boeing favorise un travail en équipe où tout le monde aurait la même perception de ce qui se passe et travaille en concertation, sans désaccord. J'appellerai ça le "pilotage consensuel". A contrario, la conception Airbus favorise un travail individuel où celui qui a la meilleure vue de la situation prend le lead, soit de manière absolue, soit par une action complémentaire à celle de son équipier. Tant qu'on se parle et qu'on s'informe mutuellement, ça va, mais si l'un des pilotes est déjà dans le gaz pour comprendre la situation, et qu'il ne sait pas ou ne comprend pas ce que fait l'autre, ça provoque des réactions à la "l'avion a fait n'importe quoi" (même si cette sentence a été attribuée à un B777)... Ca me paraît davantage relever d'un "pilotage de crise" - pas tout le temps, seulement quand la situation se dégrade. C'est, du moins, ce que j'en perçois depuis mon canapé.
  8. capmat

    Ukraine : Armée de l'air

    C'est l'effet guerre électronique avec brouillage des signaux GPS
  9. capmat

    Eurofighter

    Ce n'est pas les milliards qui leur manque, c'est une stratégie sourcée sur leur situation géographique.
  10. FATac

    Alenia Aermacchi M-346 Master

    Ah, mais ça c'est le problème de l'équipementier ! Pas celui de l'avionneur... --->[]
  11. Oui je vous rejoint. Mais il faut penser aussi au difficulté d'acheminement des ukrainiens. Leur infras sont tapées tous les jours en particuliers la production électriques. Ca doit sévèrement réduire les capacités de ravitaillement des véhicules qui ravitaillent le front. Pour faire fonctionner les pompes il faut de l'électricité. De même que toutes les usines de fabrication d'armement dépendent de ces infra électriques. Bref taper à 300 km de profondeur réduira le rapport de force mais très à la marge. Je pense que le mieux est de cibler les capacité de brouillage lourd des russes.
  12. Je rejoins G4lly, ces armes sont très intéressantes mais ne changeront pas grand chose au sol, pour enrayer les progressions tactiques des russes. C'est plus vers l'artillerie, l'équipement de génie (mines mines mines), les drones et le blindage d'infanterie (APC/IFV) qu'il faut regarder. Sans compter la disponibilité des hommes et leur formation. Indirectement, en supprimant des actifs stratégiques, les ATACMS longue portée permettent de réduire les options des russes (pas d'hélicoptère, pas de DSA de théâtre avant 300km, dépôts d'armes et munitions à reculer, centre de commandement supprimés etc...). A terme, ça se traduit par une attrition au sol plus forte car tu dois amener ton infanterie depuis l'arrière vers le front, dans une progression qui se fera de plus en plus à découvert par la pertes de tes infrastructures critiques. Mais dans l'immédiat, ça ne résoudra pas la percée en cours à l'ouest d'Avdiivka.
  13. mudrets

    Alenia Aermacchi M-346 Master

    Et bien parce que jusque dans les années 70 l'aéronavale a rencontré de très nombreux problèmes sur la fiabilité des équipements électroniques. Notamment le support de l'alarme radar du IVP qui ne cessait de casser à chaque appontage. Au départ, les tubes de la VHF sautaient à chaque appontage et parfois au catapultage, jusqu'à ce que l'on coince ces tubes avec un système de maintien spécifique au TRAP-30 marine etc etc
  14. Le 25 avril 2024 , la frégate grecque « HYDRA », assurant la protection d'un navire marchand dans le Golfe d'Aden, a engagé 2 drones représentant une menace imminente pour la liberté de navigation. Le 1er drone a été abattu, tandis que le 2e a changé de cap. L'action a été efficace pour éviter tout dommage aux marins et à la marine marchande.
  15. C'est fait l'aide américaine de 62 milliard a passé toutes les signatures.
  16. bonjour deux articles dans la presse de Mayotte, sur le Net, aujourd'hui : Cavani ou le chaos indescriptible HÉBERGEMENT : PLUS DE 1500 MIGRANTS AFRICAINS RECENSÉS À CAVANI ET CE N’EST PAS FINI, LA SITUATION DEVIENT CRITIQUE La préfecture de Mayotte a ouvert un bureau de recensement à Cavani pour compter les migrants africains dormant dans la rue dans le but de proposer des hébergements. En une journée, plus de 1500 migrants ont été recensés, révélant l'ampleur du problème. La situation, déjà critique, souligne la porosité dramatique des frontières de l'île. La préfecture de Mayotte a décidé de prendre le taureau par les cornes et de s'atteler à résoudre le problème des migrants africains dormant dans la rue à Cavani. Hier matin, un bureau de recensement a été ouvert pour compter les migrants dormant à même le bitume. Aussitôt, des bagarres ont éclaté entre les migrants qui se voyaient prioritaires dans la file. La légitimité de certains était également remise en cause par les autres, la situation conflictuelle était telle que l’intervention de la Police nationale a été nécessaire. À la fin de la journée, plus de 1500 migrants avaient été recensés, alors qu'une source proche du dossier affirmait qu'ils étaient entre 500 et 600. Forcément, des migrants ne dormant pas à Cavani sont venus essayer de bénéficier de l'opportunité d'obtenir un logement. Or, Safina Soula, du collectif "Les Forces Vives de Mayotte", a expliqué qu'il n'y avait pas d'hébergements disponibles à Mayotte, et que la solidarité nationale devait être mise en œuvre pour permettre à ces migrants de quitter l'île. Selon elle, un certain nombre de migrants dans le groupe auraient un dossier complet de demande d'asile. Selon une source proche du dossier, un ancien immeuble de bureau du conseil départemental pourrait être affecté à l’hébergement de certains migrants avec tous les problèmes occasionnés par un immeuble de bureaux abandonné car plus aux normes par ailleurs, transformé en en immeuble de logements précaires… La révélation de ces chiffres est assez terrifiante, car les autorités, de manière informelle, parlent de 5 000 à 6 000 migrants africains présents sur le département. Combien sont-ils en réalité ? Car ceux qui ont été recensés hier ne représentent pas tous ceux présents dans la file d'attente, qui, selon les témoignages, était interminable. Cette situation révèle une autre réalité de l’immigration : la porosité dramatique des frontières. Qui est réellement présent à Mayotte aujourd'hui ? Nul ne peut dire. Combien sont les migrants arrivés de manière illégale sur le département ? Nul ne peut dire. La seule réalité partagée, c'est que le problème est bien réel et que la situation est hors de contrôle. A une semaine du début de l’opération Mayotte Place Nette, une question se pose l’opération a-t-elle été correctement calibrée ? Anne-Constance Onghéna La pêche illégale dans le viseur des autorités ÉCONOMIE INFORMELLE : PLUSIEURS SECTEURS ÉCONOMIQUES DE MAYOTTE PEINENT À RÉGULER LES OPÉRATEURS QUI ÉVOLUENT EN DEHORS DES RÈGLES En ce début de semaine, les services de l’État et la Police nationale ont mené une opération de lutte contre l’économie informelle. Cette action visait à protéger le consommateur et l’économie locale, mais soulève aussi la question de l’emploi de travailleurs illégaux à Mayotte qui ne bénéficient d’aucune couverture sociale. L’opération Mayotte place nette ne fait pas que détruire des cases en tôle, elle met également l’accent sur l’économie illégale. En ce début de semaine, les services de l’État et de la Police Nationale de Mayotte ont mené une opération de contrôle des barques et des pêcheurs au port de M’tsapéré. Le résultat est sans appel. Plus d’une tonne de poissons illégaux et impropres à la consommation a été saisie, ainsi que six barques illégales, et cinq étrangers en situation irrégulière ont par la même occasion été interpellés. « Sur la totalité des glacières contrôlées, il n’y en a aucune qui respecte les normes », soulignent les Affaires maritimes. Au port de M’tsapéré, les ventes n’étaient pas déclarées, aucun numéro ne figurait sur les glacières, qui d’ailleurs n’étaient même pas réfrigérées, laissant les mouches s’accumuler sur les poissons, et il n’y avait aucun prix indiqué. Bien évidemment, les poissons saisis vont être détruits. Cette opération vise à protéger le consommateur, mais également les pêcheurs professionnels qui souffrent d’une concurrence illégale. Ceux qui respectent la réglementation et paient leurs cotisations permettent de développer l’économie locale et la filière de la pêche. Cette activité informelle impacte fortement l’économie et le développement de la pêche mahoraise. Au-delà de cette filière, de nombreux secteurs à Mayotte sont touchés par le travail illégal et dissimulé. Dans le BTP, de nombreuses personnes en situation irrégulière sont employées sur les chantiers. Les conséquences sont désastreuses. En cas d'accident du travail, la victime n'a aucune couverture sociale puisque l’employeur ne peut rien déclarer, du fait du cadre illégal. Pour rappel, durant la crise du Covid et lorsque le confinement a été mis en place, beaucoup de clandestins se sont retrouvés sans revenus, sans droits et dans une grande précarité, confrontés à la faim faute de pouvoir travailler et gagner de l’argent. Le travail illégal et dissimulé est néfaste pour le développement économique de Mayotte et laisse les travailleurs illégaux dans des conditions de grande précarité. Les entreprises légales font face à une concurrence déloyale parfois insoutenable. Anthony Maltret
  17. Tant mieux pour eux mais comme l'argent là bas à une fâcheuse tendance à s'évaporer, gare si jamais les avances ou dettes ne sont pas honorées, l'ardoise ne sera plus effacée et la confiscation de rigueur, on verra alors s'ils crient au loup !
  18. Opération Aspides : la frégate Hydra abat un drone dans le golfe d'Aden Jeudi 25 avril 2024, dans la matinée, la frégate grecque HYDRA dans le cadre de l'opération EUNAVFOR ASPIDES, assurant la protection d'un navire marchand dans le golfe d'Aden, a tiré au canon sur deux véhicules aériens sans pilote (UAV), conformément aux règles de l'art en vigueur. Engagement dont l'un a été abattu et l'autre repoussé. La frégate continue sa mission normalement...
  19. Ronfly

    Eurofighter

    Il est prévu déjà pas mal de chose dans leurs 100 Mds... - 20 Mds pour la marine (K130, F126, U212CD, ...) - 17 Mds pour les terriens (Leopard 2A7+, remplacement Fush/Marder/...) - 40 Mds pour la Lutwaffe/aérien (F35A, CH47, H145, Arrow3, Skyshield, P8A, ...) -20 Mds pour le commandement et controle avec DBLO projet Digitalization of Land-Based Operations et TAWAN réseau tactique étendu et satellites Ca commence à faire.
  20. Le 24 avril à 11 h 51 (heure de Sanaa), un navire de la coalition (le quel ?) a lancé avec succès un missile balistique anti-navire (ASBM) lancé depuis les zones contrôlées par les terroristes Houthis soutenus par l'Iran au Yémen, au-dessus du golfe d'Aden. L'ASBM visait probablement le MV Yorktown, un navire battant pavillon américain, détenu et exploité avec 18 membres d'équipage américains et quatre grecs. Aucun blessé ni dommage n'a été signalé par les navires américains, de la coalition ou commerciaux. Par ailleurs, entre 12 h 07 et 13 h 26, le Commandement central américain (USCENTCOM) a engagé et détruit avec succès quatre véhicules aériens sans pilote (UAV) aéroportés au-dessus des zones contrôlées par les Houthis au Yémen. Il a été déterminé que les ASBM et les drones représentaient une menace imminente pour les navires américains, de la coalition et marchands dans la région. Ces mesures sont prises pour protéger la liberté de navigation et rendre les eaux internationales plus sûres et plus sécurisées pour les navires américains, de la coalition et marchands.
  21. MiG-23 et MiG-29 ici. Pas de nouvelles acquisitions en vue pour l'instant. Lejour où ça arrivera, ça sera la fête chez les comptes OSINT.
  22. Je ne crois pas à l'équipage à 4 pour des raisons de poids et de protection. Je ne vois pas ce qui justifie celà. Un canon 30x113, ce n'est pas une révolution, c'est simplement de l'armement téléopéré tel qu'il en existe déjà, mais d'un plus gros calibre. Ça ne présente pas de difficulté particulière. Au contraire, avec l'IA, avec une intégration native de certains systèmes, on va dans une certaine mesure pouvoir limiter la charge de travail de l'équipage. Aujourd'hui rien qu'avoir SICS dans le char, c'est "une charge mentale" énorme en moins pour le chef de char pour le suivi de la topo et de la Sitac. Bref je trouve la balance bénéfices/contrainte en complète defaveur du 4e homme. Alors on va parler du drone etc, mais là aussi il faut résister à la tentation de faire du char un fourre tout. La mise en oeuvre du drone ou de capteurs spécifiques typiquement c'est le rôle du véhicule d'accompagnement type VBL, petit et furtif. Surtout à l'ère du combat collaboratif. Où alors on peut imaginer un drone filaire comme extension du VCH. Mais le char ne doit pas être contraint par le drone. Néanmoins, je pense qu'il ne faut pas non plus tomber dans l'excès inverse à vouloir trop spécialiser les véhicules et surtout avoir des véhicules qui ne peuvent pas remplir leur mission seuls. Comme l'a souligné @Asgard, le milieu terrestre n'est pas un milieu liquide, c'est un milieu strié, à frictions. Je ne crois pas du tout au système de système dans le sens où on decouple la commande de l'effecteur. En tout cas, pas pour remplir le rôle de la cavalerie blindée, qui est un rôle de réaction, d'initiative, de saisie d'opportunité, d'agressivité et de choc, ou justement les pions doivent tous avoir une grande autonomie. C'est trop de contraintes. Maintenant je pense en effet, au vu des menaces et de ce qu'on demande à un char aujourd'hui, que le MBT pourrait être remplacé par deux véhicules, un char canon et un char canon automatique/missile. Un chassis unique et deux tourelles, une de 140 et une de 40CTA par exemple. On aurait un peloton à 2 chars 140, 2 chars 40 et 4 VBL par exemple. Mais chaque véhicule est habité et peut fonctionner de manière isolée. Mais là où on ajoute de la spécialisation, on perd en flexibilité. C'est plus facile de commander un grand nombre de pions de peu de type plutôt qu'un petit nombre de pions de pleins de types. Bref c'est un équilibre à trouver qui ne date pas d'aujourd'hui. Le problème de la tourelle inhabitée c'est la perception de l'extérieur par l'équipage. Déjà que dans un char on a l'impression d'être dans un sous marin, c'est encore pire lorsqu'on pas de vue directe sur l'extérieur. C'est aussi la facilité pour embarquer débarquer. Pouvoir combattre tête dehors (de plus en plus dangereux certes). Alors peut être qu'avec les nouvelles technologies de reconnaissance, les IA, les caméras proximales et tout on va pouvoir compenser cette perte de repères, mais après on fait comment lorsque les caméras sont recouvertes de boue etc. Il faudrait tester tout ça de manière concrète. Un proto habité vs inhabité. Autant je pense que pour l'infanterie Méca, l'inhabité est plus intéressant, autant je pense que pour la cavalerie blindée l'habité est plus intéressant. Et puis au final un T90M est plus compact qu'un Armata. Mon avis n'est pas complètement tranché là dessus. Ensuite par rapport à ce que je décrivais, oui je parlais bien d'une solution industrielle réalisable à court terme et domestiquement qui apporterait tout de même une avancée. Le MGCS est peut être bcp plus ambitieux mais à quelle échéance ? Et pour quel résultat. Parfois 1 tiens vaut mieux que 2 tu l'auras.
  23. Hier
  24. Je ne sais pas. Je serais tenter de dire qu'en ce qui concerne les Airbus à CDVE (manches non conjugués/synchronisés) il n'y a pas de solutions parfaites. Les procédures font que les pilotes ne sont pas censés piloter en même temps, qu'il existe sur chaque stick un bouton de prise de priorité qui désactive momentanément l'autre stick. Enfin, on peut penser que si un pilote PM (PM = non en fonction) agit - souvent par reflexe - c'est bien pour ajouter/déduire une action à ce que fait l'autre... Sur les Boeing à CDVE, le système fait la moyenne des ordres. Mais les manches étant conjugués/synchronisés, il faut qu'il y ai désynchronisations des manches pour que cette éventualité se produise réellement... et pour désynchroniser les manches, il faut que les pilotes agissent sur les commandes dans des sens opposés en appliquant des forces conséquentes. C'est arrivé à un 777 d'Air France il y a deux ans en finale sur Paris CDG (voir le rapport ci-dessous) https://bea.aero/fileadmin/user_upload/F-GSQJ.pdf
  25. https://theconversation.com/we-may-survive-the-anthropocene-but-need-to-avoid-a-radioactive-plutocene-84763 (27 septembre 2017) Andrew Glikson : J'ai inventé le terme Plutocène pour décrire une période postérieure à l'Anthropocène marquée par une couche sédimentaire riche en plutonium dans les océans. La durée future du plutocène dépendrait de deux facteurs : la demi-vie du plutonium-239 radioactif, qui est de 24 100 ans, et la durée pendant laquelle notre CO₂ restera dans l'atmosphère - potentiellement jusqu'à 20 000 ans. Si le réchauffement de la planète devait atteindre 4°C, comme le suggère Hans Joachim Schellnhuber, conseiller principal du gouvernement allemand en matière de climat, les effets d'amplification qui en résulteraient sur le climat constitueraient une menace existentielle à la fois pour la nature et pour la civilisation humaine. Une analogie étroite peut être établie entre les événements à venir et le maximum thermique de l'Éocène-Paléocène, il y a environ 55 millions d'années, lorsque la libération de méthane par la croûte terrestre a entraîné une hausse extrême de la température. Mais comme le montre le schéma ci-dessous, le rythme actuel de l'augmentation de la température est beaucoup plus rapide et s'apparente davantage aux effets de réchauffement de la planète provoqués par la collision d'un astéroïde. Pour nous défendre contre le réchauffement climatique et les catastrophes nucléaires, nous devons faire deux choses : cesser de mener des guerres destructrices et commencer à nous battre pour sauver notre planète. Il existe toute une série de tactiques que nous pouvons utiliser pour atteindre le deuxième objectif, notamment la culture à grande échelle d'herbiers marins, le développement à grande échelle du biochar et la restauration de vastes étendues de forêts dans le monde. L'exploration spatiale est merveilleuse, mais nous ne connaissons encore qu'une seule planète qui abrite la vie (à l'exception peut-être des bactéries). C'est notre maison, et il y a actuellement peu de chances de réaliser les visions de science-fiction d'une fuite d'une Terre brûlée vers un autre monde.
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