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  1. Dernière heure
  2. ^^ Si c'est cette camo au final...hâte de voir les 1ers Indonesiens
  3. @loki C'est un C-130 Hercules sur la base de Nevatim selon les articles mis en ligne depuis 3 jours. Version non précisé. https://aviation-safety.net/wikibase/386629 Elle abrite les F-35 et les 707 : https://en.wikipedia.org/wiki/Nevatim_Airbase
  4. Ce sont peut-être les mêmes, un avion cargo ( tanker ? ) a été atteint sur l'une des bases visées.
  5. Autre prétendant ? Italien élégant, forcément ! WF-X Waterfall : Et si le successeur des Canadair était italien… https://www.aerobuzz.fr/industrie/wf-x-waterfall-et-si-le-successeur-des-canadair-etait-italien/ "En cours de développement depuis plus d’une décennie, le projet de bombardier d'eau amphibie WF-X Waterfall, portée par une holding italienne baptisée 19-01, s’est surtout distingué par une discrétion médiatique trompeuse. Finalement, des projets de concurrents au DHC-515, il est peut-être le plus proche de voir le jour tout en cherchant à être plus innovant et plus performant."
  6. dans l'hypothèse d'échanges de coups entre les deux pays, l'Iran pourrait avoir intérêt à cibler les bases aériennes abritant les avions ravitailleurs et non celle abritant les F35
  7. @gustave Vous avez des liens sur des articles concernant le retrait russe ?
  8. Aujourd’hui
  9. Ces appareils ont néanmoins permis aux F-15 de frapper le siège de l'OLP à Tunis ...
  10. Ce que les industriels français ne font pas en revanche - c’est une sorte de ligne officielle non écrite - c’est de mettre des backdoors logicielles permettant au cas par cas d’empêcher un système, un aéronef, un navire , etc. d’effectuer sa mission. Si il n’y a aucun doute que sur les matériels vendus aux US nous ne mettons aucune « porte dérobée » , je ne suis pas convaincu que ce soit le cas avec tous les pays et tous les marchés en fonction des matériels vendus.
  11. Il peut monter une association avec le patriarche de Moscou ou un Imam pour ensemble prêcher la bonne parole mais à force de répéter à l'envie les mêmes choses en se ne les appliquant pas à soit même on fini un jour sur le bûcher ou la tête tranchée si leurs soutiens touts autant dépravés tombent, en Afrique c'est assez courant.
  12. « Nous sommes le fonds de commerce des politiciens » Haroun, le banquier, se fait désormais « discret » et masque sa pratique religieuse. Au restaurant, avec ses collègues, pendant le ramadan, il commande une entrée et fait mine de la manger. « Nous sommes devenus des musulmans avant tout, dit-il. J’ai grandi arabe, aujourd’hui je suis arabo-musulman, nous sommes tous devenus responsables de la violence de quelques-uns. » Il songe à émigrer dans un pays anglo-saxon. Pour imaginer quitter la France, il a fallu huit années « de petites et grandes agressions envers la communauté musulmane », juge-t-il. Entre 2015 et 2023, les « coups » portés « ne se comptent plus », tempête-t-il. « Le malaise et l’inquiétude ne cessent de croître au gré des discours et des débats politico-médiatiques qui cherchent constamment à construire un problème musulman », résume Hanan Ben Rhouma. Qu’ils soient en accord ou non avec certaines décisions institutionnelles, ils soulignent un effet d’accumulation qui nourrit leur malaise. Dans le désordre, ils listent : la percée du vocabulaire d’extrême droite dans le débat public – « grand remplacement », « séparatisme », « zones de non-France » –, l’omniprésence des discours antimusulmans dans certains médias, principalement les chaînes d’information en continu ; en 2021, la loi « séparatisme » ; la même année, la « chasse » aux « islamo-gauchistes » dans les universités ; la dissolution, en 2020, du Collectif contre l’islamophobie en France ; les polémiques à répétition sur le port du voile ou le burkini ; à la rentrée 2023, l’interdiction de l’abaya et du qamis dans les établissements scolaires ; les fermetures de mosquées ; la disparition, à leurs yeux, de la lutte contre les discriminations des « radars des politiques » ; l’interdiction par la Fédération française de football des pauses lors des matchs pour rompre le jeûne pendant le ramadan ; les attaques, en décembre 2023, contre l’établissement scolaire Averroès, le seul établissement privé musulman sous contrat de France… « Ça ne s’arrête jamais, nous sommes devenus le fonds de commerce des politiciens et des médias, observe Haroun, par ailleurs professeur dans une école de commerce. Je viens d’un milieu populaire de banlieue, je suis un transfuge de classe, j’ai toujours été opposé aux discours victimaires de mes copains d’enfance, convaincu que la République pouvait tout nous offrir à condition de le vouloir, mais aujourd’hui, je souscris à 100 % à leur discours. » L’adolescent qui s’entraînait à dire le mot « absolument » devant son miroir parce qu’il trouvait que ça faisait « chic et sophistiqué » ne décolère pas et encourage ses étudiants à quitter la France pour avoir « la vie et carrière qu’ils méritent ». « Il y a toujours une barrière, mais elle est invisible » A l’image de Mina, Toulousaine de 32 ans, qui craint que la pratique de sa religion ne lui nuise. La jeune femme, titulaire d’un master en informatique décisionnelle, porte le voile. Elle s’est vu refuser tant de postes, notamment dans la sphère commerciale, et donc au contact des clients, qu’elle s’est reconvertie : aujourd’hui, elle donne des cours particuliers de mathématiques. « Je me protège de beaucoup de choses dorénavant et notamment des chaînes d’information en continu que je ne regarde plus, dit-elle. Et je ne cherche plus dans la filière commerciale, même si personne n’a jamais été frontalement insultant, je sais très bien pourquoi je n’ai pas trouvé d’emploi dans ce secteur. » Ahmed en est lui aussi convaincu. A 52 ans, ce cadre dans l’hôtellerie de luxe de la capitale est amer. Cela fait des années qu’il observe les stagiaires qu’il a formés monter en grade et lui, stagner. « Il y a toujours une barrière, mais elle est invisible, jamais personne ne me dit que c’est parce que je suis musulman et que je fais la prière », dit-il. « Plus personne ne nous traite de “sale Arabe” comme dans les années 1970 ou 1980, abonde Youssef, personne ne nous traite de “sale musulman” non plus, ni ne nous agresse, les mécanismes à l’œuvre sont bien plus insidieux. » Même si les actes antimusulmans restent présents. « Ce week-end, les mosquées de Valenciennes et de Fresnes-sur-Escaut [Nord] ont fait l’objet de dégradations. Une mosquée des Vosges a aussi été prise pour cible. Je condamne fermement ces actes inacceptables contre nos compatriotes musulmans », déclarait le 30 mars sur X le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, alors qu’une enquête pour « provocation à la haine raciale » était ouverte après la découverte d’une tête de sanglier près d’une mosquée de Contrexéville (Vosges). Le service statistique de Beauvau ne communique aucun détail sur le nombre des faits enregistrés. « Tout ça relève d’une ambiance vraiment crade », commente Youssef, le fonctionnaire du Nord. « Le politologue Gilles Kepel parle de djihadisme d’atmosphère et ils sont nombreux à l’écouter, nous, nous parlons d’islamophobie d’atmosphère mais personne ne veut nous entendre », souffle-t-il. Mais seuls ceux qui ont les moyens peuvent aujourd’hui prendre la décision de partir, dit-il. Un choix qui le désespère : « La France est en train de perdre beaucoup de talents qu’elle a formés. »
  13. https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/04/18/francais-de-confession-musulmane-la-tentation-du-depart_6228469_3224.html Français de confession musulmane, la tentation du départ Ces citoyens français « bien installés » sont banquier, fonctionnaire, professeur… Ils racontent leur malaise face à la défiance qu’ils pensent susciter, encore plus depuis le 7 octobre 2023, jour de l’attaque du Hamas en Israël. Et dénoncent une « atmosphère suffocante », une « assignation » ou encore un « immense gâchis ». Ils ne se connaissent pas, ne se sont jamais croisés. Les mots sont pourtant les mêmes, les sentiments partagés, le désarroi, l’impuissance, l’amertume, la colère, la tristesse. Qu’ils aient 30 ans ou 70 ans. Banquier d’affaires, agent des services publics, ingénieur, professeur ou artiste, ce sont des citoyens français « bien installés », comme ils disent. De confession musulmane et d’origine arabe aussi. « Et ça, en France, c’est la double peine, d’autant plus depuis le 7 octobre 2023 [date de l’attaque du Hamas en Israël] », lance Ismail, 59 ans, peintre parisien. Tous les prénoms ont été modifiés, aucun des témoins n’a accepté de parler à visage découvert. Trop d’ennuis potentiels à la clé, craignent-ils. S’ils ont la conviction que les pouvoirs publics, de nombreux médias et une partie de l’opinion se raidissent chaque année davantage à leur égard, l’attaque terroriste du Hamas en Israël marque, à leurs yeux, un nouveau tournant dans la défiance qu’ils pensent susciter. Tous dénoncent des discours politico-médiatiques « insupportables » envers les musulmans, une atmosphère « irrespirable, suffocante », un « acharnement des pouvoirs publics » à leur égard. Ils parlent d’un « immense gâchis », évoquent un « déchirement » vis-à-vis d’un pays, le leur, la France, qui leur a « tant donné », qui les a « formés », pour finalement en faire « des citoyens à part », se désolent-ils, « des boucs émissaires sans cesse montrés du doigt », qui se heurtent, professionnellement, à un plafond de verre. « Quoi qu’on fasse, quels que soient les efforts fournis, quelles que soient nos compétences, nous sommes assignés à nos origines et à notre identité confessionnelle et empêchés dans nos carrières », souffle Haroun, 52 ans, banquier d’affaires bordelais, diplômé d’une prestigieuse école de commerce, qui estime ne pas avoir eu la carrière qu’il aurait dû avoir. « Les départs se comptent par milliers » Certains ont la voix qui flanche lorsqu’ils confient leur attachement à une « République qu’[ils] aiment mais qui ne [les] aime pas », est aujourd’hui persuadé Youssef, 62 ans, fonctionnaire d’Etat et militant associatif, résident à Maubeuge (Nord). « Nos parents nous avaient dit que nous n’étions pas dans notre pays, que nous n’étions que des invités, mais nous n’avons pas voulu les croire. Or, aujourd’hui, force est d’admettre que nous ne sommes pas légitimes en France », poursuit-il. Au point de songer à émigrer. « Il ne s’agit pas forcément de s’exiler dans un pays musulman, mais de choisir de vivre dans un pays où ils auront les mêmes opportunités que n’importe quel autre citoyen à compétences égales », observe Hanan Ben Rhouma, rédactrice en chef de Saphirnews, un site d’actualités sur le fait musulman. « Il y a toujours eu des départs pour faire sa hijra – retour en terre d’islam – mais ce n’est pas à cela que l’on assiste : aujourd’hui, il s’agit d’une émigration silencieuse de cadres moyens et supérieurs musulmans, qui, confrontés aux discriminations, à la présomption de culpabilité permanente et au plafond de verre, décident, dans la douleur, de quitter la France », décrit Abdelghani Benali, imam de la mosquée de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) et enseignant-chercheur à l’université Sorbonne-Nouvelle. Maroc, Emirats, Etats-Unis, Canada, Royaume-Uni… Chacun d’eux compte, parmi son entourage, des amis ou des membres de leur famille qui ont déjà franchi le pas. Comme le racontent dans leur ouvrage La France, tu l’aimes mais tu la quittes. Enquête sur la diaspora française musulmane (Seuil, 320 pages, 23 euros), à paraître le 26 avril, Olivier Esteves, professeur des universités en civilisation des pays anglophones (université de Lille), Alice Picard, docteure en science politique, spécialiste de la gouvernance de l’islam (laboratoire Arènes), et Julien Talpin, chargé de recherche en science politique au CNRS (Centre d’études et de recherches administratives, politiques et sociales, université de Lille). « Il est très difficile de quantifier l’ampleur du phénomène, mais il est certain que depuis quelques années, les départs se comptent par milliers, peut-être même en dizaines de milliers », relate ce dernier, dont l’enquête sociologique s’appuie sur un échantillon quantitatif de plus de 1 000 personnes et 140 entretiens approfondis, dont 50 % de bac + 5 au moins. Tous ont quitté la France. « Quoi que je fasse, je ne suis qu’un Arabe et un musulman » Ismail et Haroun hésitent encore. Tout comme Samir : « Ma femme est médecin, elle est prête à partir, quatre de ses copines, généralistes et dermatologues, sont parties, elles ne sont pourtant pas voilées et ne parlent pas arabe pour certaines, elles sont au Maroc. Mais pour y faire quoi ? C’est le pays de nos parents, pas le nôtre, pas le mien, chez moi c’est la France. » Samir a 39 ans, un master de sociologie en poche et quinze années de bons et loyaux services dans la fonction publique territoriale, dans le Nord. « J’y croyais à la réussite républicaine, martèle-t-il. J’avais tort, quoi que je fasse, ça n’est jamais assez. Mon nom est sorti dans la presse dans une affaire absurde de soupçons d’“entrisme communautaire” : quand on vit dans les banlieues, les gens pensent qu’on ne fait que foutre le bordel, et quand on en sort, on est suspecté de vouloir “infiltrer” la République. » Samir en est désormais convaincu : son avenir en France est « fichu ». « J’ai tellement travaillé pour arriver là où je suis, mais quoi que je fasse, je ne suis qu’un Arabe et un musulman, se désespère-t-il. Depuis le 7 octobre [2023], je ne parle plus. On me soupçonne de tellement de choses déjà, je ne veux pas que l’on rajoute “antisémite” à la liste. Tout ça procède d’un climat de merde ! » Dans le récit de ces citoyens français de confession musulmane, il y a un point de bascule – les attentats de Charlie Hebdo, de l’Hyper Cacher et du Bataclan de 2015 – et un paroxysme – le 7 octobre 2023. Même s’ils évoquent des précédents de natures très différentes, ici ou ailleurs. Les attentats du World Trade Center, à New York, le 11 septembre 2001, qui ont « changé le regard des Occidentaux sur les musulmans », analyse Youssef. De ce côté-ci de l’Atlantique, la loi sur l’interdiction du port de signes religieux ostensibles dans les écoles publiques, en 2004, et les attentats de Toulouse et Montauban perpétrés par Mohammed Merah, en 2012, qui « ont contribué à dégrader notre image », analyse Ismail, qui se sent « abandonné » par la France. A leurs yeux, 2015 marque le début de la suspicion permanente « de la part des pouvoirs publics, au travail, dans certains cercles amicaux », décrit Ismail ; des injonctions à « s’exprimer contre, être contre », raconte Hanan Ben Rhouma, de Saphirnews ; « condamner dans la seconde haut et fort les attentats, les messages de haine sur les réseaux, le voile, l’Iran, le Hamas ou que sais-je encore », énumère Haroun, le banquier de Bordeaux ; et des justifications incessantes. Samir n’en revient pas : « J’ai été contraint de montrer à des gens des photos de ma femme en maillot de bain à la plage et de ma fille en train de faire de la gymnastique pour prouver que je n’étais pas un intégriste. Vous n’imaginez pas ce que c’est humiliant. » « Il y a une accélération des départs depuis 2015 avec une montée du sentiment de stigmatisation post-attentats, confirme le sociologue Julien Talpin. De nombreuses personnes avec qui nous avons échangé, plus de 70 %, évoquent des expériences de discriminations directes mais beaucoup parlent d’une atmosphère, d’une ambiance dégradée qui fait peser sur eux une pression permanente qui les pousse à faire attention à tout ce qu’ils font, ce qu’ils disent… »
  14. https://www.irozhlas.cz/zpravy-svet/na-ceskou-iniciativu-chybi-penize-zni-z-estonska-cast-dodavek-muze-byt-na-fronte_2403301601_kth Fin Mars, ça été signalé, mais en effet un partie des munitions devrait arrivé courant Juin. A voir pour le reste. https://www.irozhlas.cz/zpravy-domov/munice-pro-ukrajinu-za-15-miliardy-dolaru-nesmysl-vyjde-na-dvojnasobek-rika_2404161344_pj
  15. Wallaby, je te lis et apprécie pas mal de tes posts qui ratissent larges ! Néanmoins, après une attaque en règle de son voisin qui vaut déclaration de guerre malgré le nom donné avec les dégâts humains et matériels des deux cotés rapportés tous les jours depuis 2022! Cette volonté d’expansion est proclamée par VP et sa clique, répétée assez régulièrement et il y a encore des gens pour transposer ce qui s'est passé à une époque vers l'actuelle pour justifier je ne sais quoi avec une certitude qui interpelle. J'adore le passage ; "Les Soviétiques tentaient de maintenir un régime "amical" (avec un dirigeant local différent) face à l’insurrection croissante des moudjahidines". Alors si c'était aussi "amical" pourquoi cette insurrection de la part d'une partie de la population ? Comparer le conflit très court (5 jours) de la Géorgie et sa situation actuelle avec l'Ukraine, fallait oser ! Si une bonne âme pouvait nous donner ce qu'en pensent les Géorgiens depuis. La seule similitude c'est le soutien Russe aux séparatistes d’Ossétie du Sud avant et après la déclaration d'indépendance de la Géorgie devenu une habitude. Les troupes russe sont d'ailleurs toujours présentent dans les régions indépendantes qui ne s'en portent pas mieux pour autant. https://fr.euronews.com/2018/08/08/le-conflit-georgie-russie-dix-ans-apres-retour-sur-une-guerre-oubliee Les dirigeants Russe refusent toutes émancipations en direction de l'Occident de peur de voir leur fédération voler en éclat à terme et maintiennent un statu quo par la corruption et la contrainte qui ne durera pas vitae æternam. Le parallèle avec les "adhésions OTAN" c'est juste la protection attendue de ces pays pour se mettre définitivement à l'abri des velléités Russe.
  16. Au sujet de l'attaque en Crimée. Toujours pas de BDA précis, mais quelques infos potentielles sur le mode opératoire. C'est un article du Kyiv Post mais leur propagande est vraiment mauvaise : quand ils citent des russes ils le disent, quand ils citent des ukrainiens ils le disent, et quand ils ne savent pas ils le disent. Tout se perd... https://www.kyivpost.com/analysis/31255 ANALYSIS: Ukrainian Long-Range Missile Strike Hammers Russian Airfield in Crimea, Maybe ATACMS Russia milbloggers said that US-made ATACMS missiles were used in a damaging attack against Dzhankoi airfield. Kyiv Post research confirmed ballistic missiles of some kind struck the base. As many as six massive explosions hit the Russian Dzhankoi military airfield in occupied Crimea during the early hours of Wednesday morning, with secondary blasts lighting up the horizon and local social media reporting a damaging long-range Ukrainian missile strike. The weight of reports and information pointed to a successful strike by at least a half-dozen Ukrainian ballistic missiles starting at about 3:30 a.m. Kyiv time. Hours later Russian milbloggers claimed that US-made ATACMS missiles had been used in the attacks. [...] The independent Russian news agency Astra reported Ukrainian ballistic missiles targeted military equipment, pilots, bombers and attack helicopters. A probable hit or hits to a munitions depot set off fires with secondary explosions still in progress five hours after the attack, the report said. The Russian analytical group Rybar Force, an information source banned in Ukraine, said that “around 12 ATACMS operational-tactical missiles” probably launched from Ukraine’s Kherson region were used in a two phase strike. An initial wave of seven missiles armed with cluster munitions struck the airfield with the objective of destroying aircraft and causing casualties, and a second wave of five missiles armed with high explosive warheads followed up to target fuel reserves and ammunition storage, an April 17 analysis published by the group said. [...] Some Russian milbloggers alleged US Air Force reconnaissance aircraft were in the air space near Dzhankoi at the time of the attack, assisting Ukraine's strike planners. According to the open-source air traffic tracker FlightRadar24, at around the same time of the Wednesday morning strikes, about 03:40 Kyiv time/00:40 UTC, a US Air Force Global Hawk reconnaissance drone was in the air above the Black Sea, some 360 km south of the airfield. [...] Missile launchers, radars and support vehicles from an S-400 air defense system – Russia’s most powerful air space protection weapon billed in the past by the Kremlin as able to shoot down ballistic missiles – were deployed around the Dzhankoi base in March.
  17. Pour ceux qui en ont eu le courage et ont suivi l'interminable feuilleton à la House of Cards sur le projet de loi portant aide à l'Ukraine au Congrès US, Mike Johnson fut l'artisan principal du blocage de l'initiative. Dans un nouveau revirement de situation, il soutien désormais l'adoption d'une proposition assez ambitieuse et le voilà maintenant en train de donner des leçons de morale politique sur l'importance d'agir. "We can't play politics with this" Vous me la recopierez 100 fois. Biden fait savoir que la mise en oeuvre sera rapide si le projet est adopté par le parlement.
  18. Pareil mais en fin de compte ce prof avait été responsable d'un nombre de rétractation d'article assez important... Avec une grosse suspicion de fraude... Ceci dit ce n'est pas toujours simple de mettre en défaut une méthodo sans un solide background
  19. Justement, c'est dans le schéma actuel qu'il y a plus de risques car on envoie de l'argent à l'état Ukrainien, sur présentation de justificatifs. En quoi c'eut été un problème de faire payer directement les fournisseurs par l'état FR, pour le compte de l'Ukraine ? Ca permet de limiter au maximum les frottements administratifs et de les circonscrire aux entités (Etat Fr et fournisseurs Fr) expérimentées en la matière. Et rien n'empêche l'état d'avoir un droit de regard a priori (encore mieux que a posteriori) sur les demandes Ukr. Bref, c'est juste que je trouve cette historie symbolique de notre déconnexion par rapport à l'urgence du sujet. Et ça doit être un problème quand même car c'est poliment rapporté par Olena Khomenko, députée membre de la commission défense de la Rada, dans le cadre d'une audition de notre commission défense à l'AS.
  20. Pour une production X donnée par un fournisseur Y, je ne comprends pas très bien pourquoi et comment un acheteur Ukrainien en direct (par la suite remboursé) se ferait livrer plus vite que l'acheteur Etat français, qui fera de toute façon livrer directement en Ukraine.
  21. Peut-être pour imposer à l'Ukraine un circuit de commande non-contestable, avec un verrou unique, à savoir le paiement ? Qui sait si, à un moment ou à un autre, l'anarchie de temps de guerre n'a pas conduit à l'énoncé de "commandes" (dons) pas sérieusement validées. Pour le dire autrement : on se méfie peut-être de risques de détournements des dons. ---- C'est bien la preuve que le "pour moi" ne permet pas toujours une perception correcte des situations. Il faut revenir aux faits : l'OTAN n'est pas en guerre : l'Ukraine n'en a jamais fait partie, Zelensky a même publiquement proposé qu'elle renonce à candidater, Si l'OTAN était en guerre, la Russie n'aurait certainement pas la supériorité aérienne dont elle jouit actuellement, les navires russes ne navigueraient pas librement en Adriatique ou en Méditerranée, il y aurait des troupes de l'OTAN au sol en Ukraine, et pas seulement quelques matériels. La Turquie n'applique pas les sanctions occidentales L'état de guerre ou la mobilisation n'est déclaré dans aucun pays de l'OTAN. L'OTAN n'est pas en guerre. L'expansion russe s'est matérialisée dès 2014, mais débute bien avant avec des tentatives de main-mise sur l'Ukraine entière par la corruption politique. L'inscription dans la constitution ukrainienne de la volonté de rejoindre l'OTAN est postérieure à l'annexion de la Crimée et d'une partie du Dombass : 2019. C'est une conséquence, non une cause. Ni le discours officiel russe ni Poutine lui-même ne justifient le conflit par "l'expansion de l'OTAN" ou par des arguments militaires : la (dé)raison invoquée abondamment avec force détails est simplement la négation de l'idée d'Ukraine indépendante de la Russie. Comme pour la Biélorussie, l'argument majeur est que l'Ukraine n'est qu'une province russe, que ses habitants doivent être russes, sauf peut-être dans sa portion la plus occidentale où ils pourraient bien être polonais. Le discours officiel russe est une négation radicale du droit des ukrainiens à disposer d'eux-même, le but de guerre officiel russe est l'expansion territoriale de la Russie au nom de l'idéologie pan-russe.
  22. Non. Elle aura la version que la DGA accepte de lui vendre. La DGA via les CIEEMG (licences d’exportation) décide de ce que les industriels ont droit de vendre ou pas et à qui. Pour ma part je vends les systèmes de mon entreprise de la BITD dans certaines zones géographiques. En fonction des pays et des utilisateurs finaux, la DGA ne me laissera pas vendre un système avec toutes ses capacités, voir notifiera un gros NO GO. Dans le même temps je pourrais avoir le droit de vendre nos produits avec leurs performances maximales au voisin du pays où je suis limité car proche allié de la France.
  23. Peut-être ne peuvent-ils s'offrir que des F3R ?
  24. bonjour a tous Une frappe serait prévue apres la pâque juive soit le 30 de ce mois
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