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  1. Dernière heure
  2. Autre et vaste sujet... Le discours pro europe du PR n'empêcherait pas un peu moins de naïveté à domicile, on est bien d'accord là-dessus.
  3. Je dirais qu'il s'agit d'un genre de sabord de décharge pour l'évacuation de l'eau emprisonnée soum en surface .. On est hors coque épaisse , ici le pont est constitué de plaques de coque fine fixées sur des attentes ad hoc
  4. Je pensais à des décisions concrètes déjà pour la France. On a perdu trop de temps à faire confiance aux autres et à scier notre branche. Aujourd'hui, on a encore eu droit à de l'incantatoire mâtiné de grands principes. C'est trop peu.
  5. Les mesures à prendre, elle sont discutées entre pays membres au sein du conseil européenne. Là, c'était un discours de politique générale, donnant l'orientation et les priorités de la France. On ne peut pas vouloir en même temps espérer jouer le jeu de l'UE, influencer ses décisions, vouloir que nos partenaires nous respectent, et dicter nos termes dans la plus pure tradition jacobine... En Allemagne, et dans tous les pays fédéralistes de l'UE (soit la grande majorité), les bonnes mesures concrètes à prendre sont d'abord celles qui font consensus. Pas celles que le Président d'un conseil ou que le chancelier d'une fédération a décrété dans un discours. Lors de Sorbonne 1, le PR avait déjà évoqué souveraineté et mutualisation partielle des budgets européens. Certes il a fallu une crise comme le covid, mais on a fini par lever 800 milliards d'euros de dette en commun. Ca ne s'était pas exactement passé ainsi lors des précédentes crises.
  6. Désolé mais je n'ai rien entendu de concret dans ce discours. Sur les mesures à prendre, je veux dire. Et puis... qu'est-ce qui a changé depuis 2017 au-delà de quelques postures ? Pas grand chose.
  7. Le PR a prononcé aujourd'hui un discours "Sorbonne 2" sur l'Europe, 7 ans après le premier discours de la Sorbonne, qui déjà à l'époque, avant le covid et la guerre, appelait l'Europe à se saisir des enjeux de souveraineté (entre autres). Celui prononcé aujourd'hui fut en quelque sorte une confirmation de son premier discours, en plus sombre. Les illusions lui semblent (enfin) tombées, et il y a des raisons à la fois pour s'en réjouir et s'en inquiéter. https://www.lemonde.fr/politique/live/2024/04/25/en-direct-discours-d-emmanuel-macron-sur-l-europe-suivez-l-allocution-du-chef-de-l-etat-a-la-sorbonne-a-un-mois-et-demi-des-elections-europeennes_6229789_823448.html Je le soulignais ici début avril, Il y a eu comme une confirmation une fois de plus que la nature a horreur du vide. Face à l'abysse que représente le retrait Américain des affaires sécuritaires Européennes pour beaucoup de nos partenaires, le PR confirme la place à prendre pour les institutions européennes: « La sixième avancée, c’est que nous avons commencé à repenser notre géographie dans les limites de notre voisinage, a dit M. Macron. L’Europe se pense désormais comme un ensemble cohérent après l’agression russe en affirmant que l’Ukraine et la Moldavie font partie de notre famille européenne et ont vocation à rejoindre l’Union le moment venu, comme les Balkans occidentaux. » Mais aussi un avertissement sérieux et inédit, en lien avec la guerre en cours, de la part de celui qui aura le plus défendu la place de l'UE sur la scène politique française. La volonté de s'opposer à la Russie n'est pas qu'une question de moyens militaires, c'est avant tout une question de volonté politique et il en va de la survie de l'Union Européenne: « Les crises que nous avons vécues, nous y avons réagi vite, de manière unie, ce qui nous permet aujourd’hui de nous tenir ensemble et d’être là. Pour autant, est-ce suffisant ? », a demandé M. Macron. « Nous devons être lucides sur le fait que notre Europe aujourd’hui est mortelle. Elle peut mourir et cela dépend uniquement de nos choix. Mais ces choix sont à faire maintenant. C’est aujourd’hui que se joue la question de la paix et de la guerre sur notre continent et de notre capacité à assurer notre sécurité ou pas », a encore affirmé le chef de l’Etat. [...] C’est une « attaque contre les démocraties libérales, contre nos valeurs, je le dis dans ce lieu de savoir, ce qui est le substrat même de la civilisation européenne. Une certaine relation avec la liberté, la justice, le savoir, se joue maintenant ». J'ai beaucoup critiqué le PR, ses déclarations et ses positions, durant ces deux premières années de conflit. Ca m'a valu beaucoup d'accusations de paranoïa, de russophobie ou simplement de misérabilisme. Le Président ce matin: « Nous sommes à un moment bascule », a poursuivi Emmanuel Macron, avant d’avancer un premier constat : « D’abord, nous ne sommes pas armés face au risque qui est le nôtre, malgré tout ce que nous avons fait. » « Nous avons engagé un réveil, estime le président français. La France elle-même a doublé son budget de défense. (…) Mais, à l’échelle du continent, ce réveil est encore lent, trop faible face au réarmement généralisé du monde. » Emmanuel Macron a ensuite affirmé qu’il y avait désormais, aux portes de l’Europe, « des puissances désinhibées, régionales, qui sont en train de montrer aussi leurs capacités. La Russie et l’Iran, pour n’en citer que deux. » « L’Europe est dans une situation d’encerclement, poussée par nombre de ces puissances à ses frontières et parfois en son sein », met en garde le président français. « Il nous faut, en quelque sorte, sortir d’une forme d’état de minorité stratégique. Le principal danger pour la sécurité européenne est évidemment aujourd’hui la guerre en Ukraine » Bon c'est un peu hors sujet ici, mais comme il y a quelques grands inquisiteurs de ce que font les Américains d'une manière générale, l'attention spéciale du PR à leur sujet (et qu'on ne boude pas): Evoquant les tensions entre Washington et Pékin, M. Macron a estimé que « les Etats-Unis d’Amérique [avaient] deux priorités : les Etats-Unis d’Amérique d’abord, et c’est légitime, et la question chinoise. La question européenne n’est pas une priorité géopolitique [...] les autres ne vont pas au même rythme et nous voulons un commerce qui nous profite », a-t-il dit, face à la concurrence de la Chine ou des Etats-Unis. A leur sujet, il a ajouté : « Les deux premières puissances internationales ont décidé de ne plus respecter les règles du commerce. Je le dis dans des termes très simples, mais c’est ça la réalité. » Et le spécial Allemagne, pour se rappeler au bon souvenir du Wandel Durch Handel et accélérer le Zeitwende
  8. Aujourd’hui
  9. Boris Pistorius fait une remarque intéressante, mais je m'étonne d'une chose L'Allemagne, qui disposait de 11 systèmes Patriot, en a déjà donné 2 et a décidé d'en donner un troisième à l'Ukraine. Elle s'étonne de ce que d'autres pays ne fassent pas un effort comparable, surtout les pays loin de l'Ukraine qui ne sont pas directement menacés. Et les noms de l'Espagne et de la Grèce sont cités, chacun d'entre eux possédant plusieurs systèmes Patriot Il existe cependant un pays qui disposait de 60 (soixante) systèmes Patriot, et qui en a donné un à l'Ukraine. Ce pays est loin de l'Ukraine, il est même à 8 000 km environ. On pourrait imaginer que le ministre de la défense allemand cite aussi ce pays, qui certainement pourrait encore donner d'autres systèmes Patriot avec des inconvénients négligeables pour lui ... Alors pourquoi Boris Pistorius ne parle t il pas des Etats-Unis ?
  10. Je ne voulais absolument pas vous manquer de respect très cher, en sous-entendant que l'inertiel pouvait sauver la mise de votre Signal tout puissant d'un brouillage maléfique.
  11. C'est quoi ce filet d'eau d'eau horizontal qu'on voit dans la vidéo ?
  12. Il y a les travaux produits par le gouvernement US qui sont automatiquement dans le domaine public, et généralement assez faciles à trouver. Je dois bien avouer que c'est une des raisons qui font que j'en lis pas mal. Il y a aussi des bibliothèques qui ont un système de prêt de livres numériques.
  13. Salverius

    Alenia Aermacchi M-346 Master

    La taille d'un F-5 Freedom Fighter en Delta, avec une motorisation 10% plus puissante, capable d'apponter... Mach 1,6 au moins en configuration supériorité aérienne. Au moins 3 tonnes d'emport. J'aimerais y croire, mais c'est trop beau.
  14. L'AASM doit pouvoir utiliser le signal PRS de Galileo (si on l'autorise) qui est conçu pour résister au brouillage et à l'intrusion et comme c'est moi qui a dirigé le développement de ce signal chez Astrium Allemagne maître d'œuvre des satellites prototypes, ça ne peut que marcher.
  15. Oui mais tous sont ils décamétriques sur INS seul?
  16. clem200

    Alenia Aermacchi M-346 Master

    Autant faire du simu
  17. Ca peut....quand l'heure de la sortie est venue. Mais tu soulignes que c'est un vote stupide. Mais je propose un autre vote aux parlementaire: Pour ou contre une diminution de 50% de leur traitement. Suspens ! Ou pas..........
  18. le parlement UE vote aussi pour la légitimité des élections aux US ?
  19. Tous les armemenst guidés du genre dispose d'un guidage INS sauf de très très vieux Paveway...
  20. En précisant que rien est fixé pour les SMR Nuward, le PDG parle ici de 2,3 voire 4 par an pour générer l'effet de série. Vers 50 min
  21. HK

    Alenia Aermacchi M-346 Master

    L’apprentissage du pilotage est fait sur Pilatus. La on parle de la formation tactique, ou il faut justement retrouver des sensations similaires à un chasseur (vitesse/acceleration/facteur de charge etc)…
  22. A 493 voix pour sur 720 sièges, le parlement Européen a refusé de reconnaître la légitimité de l'élection de Poutine. https://www.europarl.europa.eu/news/fr/press-room/20240419IPR20543/meps-condemn-russian-election-as-farcical-performance
  23. Pas sûr que l'armée de l'air cherche un avion à aile delta. C'est assez particulier en terme de pilotage, peut être trop différent de ce qu'on attend des pilotes à ce niveau.
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