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  1. Pour moi le CAESAR n'est pas une "superbe" machine. Certes c'est un bon résultat en cela qu'il représente une convergence entre un projet industriel cour et un besoin opérationnel d'une pièce de 155mm facilement transportable , le tout dans un contexte budgétaire au raz des pâquerettes, mais pas plus. Il a d'ailleurs l'heur de cristalliser l'expression d'un besoin et sa satisfaction sur du cour terme, sur une prospective limité dans le temps de ce que l'on a besoin dans ce domaine au détriment d'une vision et d'un besoin plus complexe. Faire le constat que c'est du tout bon sur toute la ligne à part l'absence de blindage ne s'applique que pour ce qu'il est; un simple automoteur à roue de 155mm. Nous sommes particulièrement chanceux d'avoir pu vivre sur les acquis technologiques de L'AUF1 pendant plus de trente ans. Son concept novateur pour l'époque n'a été égalé par Youri, Hans et quelques autres que depuis peu. D'ailleurs son tarif élitiste déjà lors de sa dotation initiale a impliqué d'en commander très vite un autre modèle Low coast pour permettre ainsi de terminer les dotations des formations en 155mm; le TRF1.
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  2. La déclaration d'Abbas a été monté en neige pour atténuer l'annonce de nouvelles constructions. Il affirme simplement le rejet d'une solution à minima, une paix économique avec l'Israël qui continuera à exercer la mission de police, circulant en Palestine comme bon il leur semble. C'est incompatible avec les attributs d'un état Souverain. Quant aux mères et femmes de martyr félicités, c'est pas nouveau. Les palestiniens les considèrent comme des héros tout comme certains israéliens louent l'héroïsme des juif sous le mandat britannique qui versaient occasionnellement dans le terrorisme.
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  3. Pour mémoire l’AUF1 a été conçu et réalisé autour de quatre spécifications fondamentales pour l’époque.(elles ont été émises par l’EMAT au début des années 70 et le premier prototype achevé en 1973) ; une mobilité quasi égale à celle d’un MBT possibilité de traiter très vite des objectifs différends sur 360° d’azimut (à toutes les portées) haute cadence de tir avec une munition à performance suffisante protection TOTALE de l’équipage dans un milieu NRBC et devant un feu d’armes portatives Avant tout aspects techniques, je crois que la question est d’abord de se demander si aujourd’hui le successeur à l’AUF1 doit faire l’objet des mêmes spécifications, et plus généralement si nous avons besoin d’une artillerie d’assaut (étant entendu que l’artillerie d’assaut est au contact). A ce titre, et même dans la bande qui s’étend jusqu’à vingt kilomètres au-delà des premiers contacts, bien des objectifs familiers aux artilleurs subsistent (notions traditionnelles de destruction, neutralisation et interdiction). Mais ces valeurs impliquent dès lors l’impératif de barèmes de consommation, de volumes en « jour de feu », bref d’approvisionnement en unité de feu. De mémoire l’unité de feu peu allé jusque 45 tonnes (en fait entre 25 et 45 selon le matériel). Pour moi ici commence une première notion d’asservissement et de volume sur le successeur de l’AUF1. L’image du tir de contre batterie avec ses 8 coups/minutes est une fixette qui ne doit pas faire oublier que la densité des feux dans la durée est d’abord une des qualités premières recherché pour l’appui d’artillerie. La densité inclue donc le volume de feu et la durée la notion de temps. Pour se faire, le projet du successeur devra donc être totalement asservi automatiquement, j’inclus dans cet asservissement le réapprovisionnement en munitions. Actuellement il se fait à la main par les servants de l’AUF1 (pour info, regarnir les râteliers c’est une trentaine de minutes à rythme très soutenu pour trois hommes). Au passage et à ce stade, réduire sensiblement la pénibilité des servants doit être une quête de tous les instants. Quand je vois une mise en batterie flash sur CAESAR (changement de position, séquence de tir et réapprovisionnement), je reste très réservé sur justement les acquis dans ce domaine.
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  4. Qu'Israël se concentre sur la défense de ses intérêt est plutôt normal (même si, pour se faire, il use de cynisme et de violence). Mais je ne suis pas sûr que ce soit bien sont intérêt d'apparaître aussi clairement comme le responsable principal de l'absence de paix. Ce pays doit (en grande partie) sa naissance et sa reconnaissance à la communauté internationale. S'assoir sur les résolutions de celle-ci est un signe d'ingratitude. D'autant plus que ce même pays n'hésite pas à faire valoir les résolutions internationales lorsqu'il s'agit de contrer l'ascension de son véritable contre-poid dans la région, à savoir l'Iran.
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  5. @pascal donc les rafales M sont compris ds les 215? On aurait donc que 215 avions au total, et non 215 + rafale M?
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  6. Fort possible... je me souviens que les premiers rapports parlait d'une possession de la bombe dès 2009... Ceci dit, je pense que l'Iran envisage, effectivement, l'acquisition de cette arme (et je pense que c'est son droit et son intérêt).
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  7. Avoir deux modèles augmente tous les coûts car il faut développer deux tourelles, former deux types d'équipages, de mécanos, deux lots de pièces détachés. Déjà, l'EMAT veut les même pneumatiques entre l'EBRC et le VBMR alors imaginons deux tourelles différentes...
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