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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 12/11/2013 dans toutes les zones

  1. <franchement non content de fermer ce sujet, j'hésite à coller les points qui vont avec.....ne serait ce que pour punir la bêtise complète d'avoir osé commettre cette immondice ....>
    2 points
  2. Concernant la vitesse max des avions, on a toujours tendance à penser qu'un avion fin avec un gros réacteur atteindra automatiquement des vitesses importantes. C'est une erreur dans la compréhension du fonctionnement d'un réacteur, bien perpétuée par les discours parlant de poussée max sans en préciser les conditions! Pour faire un petit retour en arrière, les chasseurs de la précédente génération (F14, F15, M2000, Mig29, Su27...) avaient développer des entrées d'air à géométrie variable. Cela était pénalisant en terme de coût, de complexité, de poids! Du reste, sur certains, celles-ci ont été enlevées, comme sur le mirage 2000D. Alors pourquoi cette géométrie variable? La réponse tient dans le fonctionnement d'un turbo-réacteur qui a un rendement optimal pour une vitesse de l'air entrant de l'ordre de Mach 0,5. Sur un avion subsonique, c'est très simple à réaliser : La mécanique des fluides subsonique est facilement compréhensible, à savoir qu'une augmentation de section permet une réduction de vitesse et une augmentation de pression pour un débit constant. Le principe inverse d'un venturi en fait... En régime supersonique, les choses s'inversent, et la diminution de vitesse est obtenue par une diminution de section absorbant l'onde de choc du retour à vitesse subsonique. Une fois l'écoulement redevenu subsonique, un divergent permet ensuite de poursuivre le ralentissement de l'air et l'augmentation de la pression. Toute cette théorie (simplifiée), permet de comprendre tout l'intérêt de la géométrie variable sur des réacteurs cherchant un bon rendement d'une vitesse bassement subsonique jusqu'à une vitesse hautement supersonique! La géométrie variable pouvant devenir très complexe sur des appareils conçus pour voler durablement à vitesse supersonique (Cf. Concorde, SR71). C'est du reste le fonctionnement des entrées d'air qui procurent plus de 60% de la poussée de ces réacteurs aux vitesses élevées! Sur un avion militaire, où la vitesse de pointe sera exceptionnellement utilisée, le rendement en haut supersonique est moins optimisé, permettant une variation de géométrie simplifiée. On sait pourquoi la géométrie variable a été quasi-abandonnée sur les avions de dernières génération (hormis le Typhoon...) : La doctrine de la vitesse des avions précédents a été sacrifiée au profit de la discrétion face aux ondes EM. En effet, en plus des inconvénients précédemment cités, l'inconvénient principal aujourd'hui de ces éléments mobiles est qu'ils présentent une forte "réflectivité" radar. De plus, les entrées d'air actuelles sont "chicanées" pour éviter que les aubes des compresseurs puissent être directement visibles de face, car elles sont totalement anti-discrétion! Combiner ces entrées d'air complexes avec une géométrie variable est encore plus compliqué! D'où l'abandon de celles-ci, avec pour conséquence immédiate une baisse de la vitesse maximale des appareils, tous autant qu'ils sont! F22 compris, même si certains fantasment sur des vitesses de Mach 2,5 ou plus... Cela est dû au fait que les entrées résultent maintenant de compromis, et qu'elles ne sont pas optimisées pour le haut supersonique. Ce serait sacrifier le fonctionnement du moteur à tous les régimes couramment utilisés, au profit de la seule vitesse max... Cela veut aussi dire que les rendements moteurs chutent complètement dès qu'il ne devient plus possible d'obtenir une vitesse subsonique en entrée de compresseur, avec en plus une forte probabilité de dégradation du compresseur qui va encaisser l'onde de choc de retour à vitesse subsonique. La poussée réelle du réacteur va totalement s'effondrer et la vitesse max ne va pas augmenter. C'est pour cela que les gros réacteurs du F22 permettent de fortes accélérations et de tenir une vitesse de croisière élevée dans l'absolue, mais que la vitesse max ne pourra guère être plus élevée car au-delà le fonctionnement des réacteurs s’effondre comme sur n'importe quel avion dépourvu de géométrie variable. Une nouvelle fois, un mirage 2000C est capable de Mach 2,2, tandis qu'un 2000D est limité à 1,6. Pourtant l'avion est le même, le réacteur également... Il ne s'agit donc pas d'une histoire d'aéro ou de poussée pour expliquer cette réduction. Donc la vitesse max du Rafale à Mach 1.8 est totalement logique pour moi, ce qui reste déjà élevé sans ces entrées variable. La limite plus classique étant plutôt de l'ordre de mach 1,6, comme sur le F35 ou le Mirage 2000D... De même, que le Typhoon soit capable de plus et soit plus efficaces en haut supersonique est la logique même... Elle résulte une nouvelle fois de ces entrées d'air variable, bien plus que de sa puissance plus élevée dans l'absolue! Un Rafale avec des M88 9t ne serait probablement pas plus rapide que l'actuel si les entrées d'air restent optimisées comme aujourd'hui.
    2 points
  3. ben moi je pense qu'on ne doit pas faire de différence entre volontaire et conscrit . durant la 1°guerre mondiale il n'y a pas eu que des conscrits (même si ils ont représenté la masse ) ,mais aussi des engagés servant comme soldat de métier avant la guerre et des engagés qui ont juste signé pour la durée de la guerre . et tout se monde s'est retrouvé réuni avec les conscrits pour allé faire la guerre en 14/18 ... idem pour la ww2 . faudrait mettre à part donc les engagés de l'époque à part car ils avaient signé (soit avant ) ou pour la durée de la guerre ... peu importe les motifs des guerres ,si à l'époque (en 1914 ) il aurait juste fallu avoir besoin des quelques unités composé de pro ,on aurait pas fait la mobilisation générale ,mais le contexte était pas celui-là face à l'Allemagne . perso ,du moment que les noms de tout soldat tombé pour la France (et peu importe l'époque et statut du soldat tué engagé ou appelé ) soit marqué sur le monument au mort de sa commune s'est déjà le principale . qu'on donne un nom de rue d'un soldat tué ,s'est bien se genre d'initiative . donc pour se monument en + j'ai pas d'avis mais par contre je ne suis pas d'accord quand tu fais un distinguo qui part dans le sens ou il n'y avait pas de volontaire en 14/18 (se qui est faux ) car tu pars du principe qu'il n'y avait que des conscrits . http://www.ville-pontoise.fr/content/1914-1918-carnet-route-maurice-merdrignac http://fr.wikipedia.org/wiki/Croix_du_combattant_volontaire_1914-1918 http://franckdeleyrollgenea.free.fr/cariboost2/cariboost_files/l_e2_80_99engagement_20volontaire_201.pdf http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/qui-cherche-quoi/engagement-volontaire-sujet_4496_1.htm petit rappel les anciennes unités d'infanterie et d'Artillerie coloniale était composé d'engagé ,prévu pour servir outre-mer et leur caserne en métropole servait de dépôt et de régiment de conscrits .les engagés ont était aussi engagé dans les combats avec leur camarades conscrits . http://fr.wikipedia.org/wiki/Troupes_coloniales et puis notre dernier poilu ,il s'était engagé dans la Légion étrangère au début de la guerre de 14 ... http://fr.wikipedia.org/wiki/Lazare_Ponticelli enfin voilà ,faire du distingo de catégorie (engagé et conscrit ) ne change rien car tout le monde meurt pour son pays au final ,aujourd'hui comme hier donc peu importe le statut ... et oui ,des volontaires il y en avait durant la grande guerre ... certes pour certains s'engagé s'était parce qu'il pouvaient choisir l'Arme qu'il voulait (et donc évité l'infanterie ou sa tombé sévère ) mais se ne fut pas forcément le cas de tout le monde . et puis tout ses jeunes pas majeur qui se sont engagé en trichant sur leur âge ,par patriotisme ,le côté aventureux (en être et participer à la grande aventure même si après se fut la "déception" ) et naïveté peut-être (faut se remettre dans le contexte aussi pour parler de naïveté) mais ils avaient était élevé avec l'esprit de revanche de 1870 . le conscrit aussi avait était élevé dans l'esprit de revanche ,et sans s'engagé ils savaient qu'ils étaient prêt au cas ou . donc faire un distingo entre le passé et maintenant je ne suis pas d'accord . peu importe le statut ,on meurt pour son pays .
    2 points
  4. C'est un article du Figaro censé être payant mais je vous le fait partager quand même :P Jordanie :comment la CIA livre des armes aux rebelles syriens Georges Malbrunot a enquêté pour Le Figaro sur la fourniture par les occidentaux et certains pays arabes d’armes aux groupes armés en Syrie. Dans le plus grand secret, des convois de véhicules pénètrent la nuit en Syrie, à partir du désert de l’Est jordanien. Avec l’aide de Bédouins, les Land Cruiser des rebelles font route vers la banlieue de Damas, où la remise des armes est filmée. On l’appelle la zone des trois frontières. Une portion de désert aux confins de la Jordanie, de la Syrie et de l’Irak où les démarcations se perdent dans les sables. De tout temps, les contrebandiers en ont fait leur royaume. Depuis bientôt un an, c’est par là que la CIA et son partenaire jordanien du GID supervisent les convois d’armes livrées clandestinement aux rebelles syriens pour les aider à affronter l’armée de Bachar el-Assad. « Nos huit voitures partent à la tombée de la nuit de Roueished, au sud de la frontière jordanienne, décrit Anwar, un cadre de l’Armée syrienne libre (ASL), alliée des Occidentaux contre Damas. Les deux premiers Land Cruiser sont occupés par des agents de la CIA. Derrière, roulent nos cinq autres véhicules, bourrés d’armes. Une huitième voiture ferme le convoi avec à bord une équipe mixte CIA-GID. » Après trois kilomètres en territoire syrien, espions américains et jordaniens rebroussent chemin, laissant Anwar et le reste de l’équipée remonter vers la Ghouta et le Rif (la grande banlieue) de Damas. Deux cent quarante kilomètres d’un dangereux périple nocturne d’une dizaine d’heures sur la « route des Bédouins », censée leur épargner les barrages de l’armée régulière. Tous les trente kilomètres, un point de contrôle de l’ASL a été placé auprès de Bédouins que la CIA a formés au maniement des GPS en Jordanie. « Leurs fils travaillent avec la rébellion », sourit Anwar. 320 tonnes d’armes convoyées par Anwar entre février et août Grâce au système de communication sécurisé que les Occidentaux leur ont fourni, les insurgés restent en permanence en contact avec les grandes oreilles américaines. « Parfois, ajoute Anwar, la CIA envoie même des drones de surveillance qui pénètrent jusqu’à 150 km en territoire syrien pour nous alerter contre des pièges que l’armée de Bachar aurait pu nous tendre. » Chaque semaine, à raison de plusieurs convois, quinze tonnes d’armes ont ainsi rejoint les320 tonnes d’armes convoyées en Syrie entre février et août dépôts de l’ASL dans les banlieues de Damas. D’autres cargaisons partent vers Deraa au sud-ouest de la Syrie, toujours à partir de la zone des trois frontières. L’arsenal comprend des kalachnikovs, des lance-roquettes, des fusils d’assaut, mais aussi de l’antiaérien et de l’antichar. « On a même eu des missiles israéliens Law, affirme Anwar, mais des anciens de la première génération. » Soit quelque 320 tonnes convoyées par Anwar entre février et août. Depuis, le flux des armes s’est ralenti. Financées par l’Arabie saoudite, les armes ont été achetées sur les marchés noirs d’Ukraine et de Bulgarie, avant d’être acheminées dans des C-17 saoudiens jusqu’à de discrets aéroports militaires au sud de la Jordanie. Elles sont ensuite transportées jusqu’à la base d’Azraq au nord, près de la Syrie. « Au passage, l’armée jordanienne en prélève un peu », avertit un militaire occidental. Dans les banlieues de Damas acquises à la rébellion, Anwar et ses hommes les distribuent ensuite à plusieurs bataillons non islamistes de l’ASL, sans oublier de filmer le stockage des pièces et d’envoyer la vidéo - via une communication sécurisée - à la salle des opérations d’Amman, où se réunissent leurs parrains occidentaux et arabes. Ces derniers exigent en effet d’avoir la preuve que les armes sont bien arrivées et aux bons destinataires. Une quinzaine de cellules d’opérations Autour de Damas, l’ASL dispose d’une quinzaine de cellules d’opérations. Chacune d’elles est reliée à la salle des opérations d’Amman, où est décidée en amont la répartition des armes aux rebelles. Une seconde war room est installée en Turquie pour le nord de la Syrie. Au préalable, les cellules d’opérations envoient leurs besoins à Amman. « Parfois, certaines armes sont livrées en fonction d’une opération planifiée à l’avance avec les Occidentaux », souligne le cadre de l’ASL. L’operation room d’Amman est commandée par le prince saoudien Salman Bin Sultan, frère de Bandar, le chef des services de renseignements du royaume, ou en son absence par un Américain. S’y retrouvent, aux côtés de Jordaniens, un représentant des pays donateurs : Grande-Bretagne, France, Italie, Qatar, Émirats arabes unis, Turquie et un envoyé de Saad Hariri, le dirigeant libanais sunnite, proche de l’Arabie saoudite. « Les réunions pouvaient durer sept à huit heures, se rappelle Anwar. Et se poursuivre jusque tard dans la nuit à l’hôtel Four Seasons de la capitale. » Au cours des six premiers mois de l’année, 600 tonnes d’armes seraient parvenues aux opposants d’Assad à partir de la Jordanie. « Ces armes nous ont permis d’avancer, assure Anwar. On était confiant : le régime allait tomber. En avril, on avait même prévu de lancer la bataille de Damas. » Quelques semaines auparavant, après une visite en Jordanie, Barack Obama signa, non sans avoir longtemps hésité, un programme clandestin de la CIA pour armer les rebelles. « Les Américains ont été en effet très impliqués », se félicite Anwar, qui a lui-même bénéficié d’une instruction livrée par la CIA quelque part en Jordanie. « Ils le sont toujours, dit-il, mais avec la perspective d’une solution politique avec la conférence de Genève, les passages d’armes depuis septembre se font hélas plus rares. » Damas a menacé de représailles la Jordanie Jordaniens et Américains veulent croire à un règlement politique d’un conflit qui a déjà coûté la vie à plus de 120.000 Syriens. Depuis leur base arrière d’Amman, de nombreux rebelles sont déçus. Le royaume hachémite garde encore beaucoup d’armes qui leur sont destinées, de l’antichar notamment. « Si les Jordaniens nous les fournissaient, on pourrait faire tomber le régime en 60 jours, jure Amer, un autre cadre de l’ASL, replié à Amman. Mais le veulent-ils vraiment ? » Ce jeune originaire de Deraa ignore probablement que l’armée d’Assad a réussi à intercepter au moins un convoi d’armes. Damas a réagi en menaçant de représailles la Jordanie, qui depuis restreint les passages clandestins. « On a l’impression que la révolution a servi de prétexte aux régimes arabes pour dire à leur peuple : regardez si vous vous agitez, il vous arrivera la même chose qu’en Syrie, l’instabilité et le chaos ! », déplore Amer. Aux craintes jordaniennes s’ajoutent les contre-mesures du régime syrien qui a fermé 17 routes d’approvisionnement en armes jusqu’à la banlieue de Damas. Tout en déployant des unités, l’armée régulière a également creusé un remblai le long de certaines portions de la frontière jordanienne. « Elle cible vraiment les convois d’armes, que ce soit au sud mais aussi près de la Turquie et même au Liban », reconnaît l’expert militaire occidental. Beaucoup de ces armes ont également été revendues, y compris par certains leaders de l’ASL. Elles ont été parfois dérobées par les groupes djihadistes, qui kidnappent des cadres de l’ASL dans certains villages où transitent les convois, avant d’exiger en échange de leur libération des munitions venues de Jordanie. Et puis, il y a l’action de certains chefs de bataillons qui profitent de leurs relations privilégiées avec des pays du Golfe pour récupérer en solo plusieurs dizaines de tonnes d’armes, qui finiront aux mains des radicaux islamistes. « Et après la chute du régime, ils les retourneront contre nous », se plaint Anwar, le modéré. « Les Occidentaux sont hypocrites » « Les Jordaniens et les Américains ne contrôlent pas tout ce qui passe à la frontière », avertit le militaire occidental. « Quand les avions saoudiens se posent en Jordanie, la CIA est présente d’une manière ou d’une autre, ajoute-t-il. Mais ce qui fait tiquer certains pays comme la France et la Jordanie en ce moment, c’est qu’en bout de chaîne ces armes ne vont pas là où elles devraient aller. » Les militaires du royaume ne cessent de le répéter : « Si le régime syrien tombe, raconte un de leurs interlocuteurs, les 700 salafistes jordaniens qui sont là-bas vont rappliquer ! Donc surtout ne les armez pas, nous disent-ils. Hélas, concède cette source, plusieurs pays du Golfe jouent leur propre carte. » Écœuré par les pertes, Anwar est allé voir ses amis de la CIA pour leur dire qu’ils devaient être plus vigilants. « On a de nouveaux gars, ils sont différents, ne t’en fais pas, ça va s’arranger ! », lui ont-ils promis. Sans le convaincre : « Les Américains prétendent ne pas vouloir traiter avec les islamistes, mais sur le terrain, c’est autre chose. » Que faire ? « On est tributaire de ces pays qui ouvrent et ferment le robinet à leur guise », avoue Anwar, qui peste contre leurs promesses non tenues. « Un jour, des Français nous ont demandé ce dont on avait besoin ? » se rappelle le chef rebelle qui a répondu : des missiles Milan et des téléphones Immersat. « Hélas, on n’a rien reçu. Et après nous avoir proposé de former 120 officiers, les Français se sont rétractés. » « Les Occidentaux sont hypocrites, renchérit Amer, l’autre cadre de la rébellion. Ils manipulent leur opinion publique en disant qu’ils ne nous donnent pas d’armes et, en même temps, ils se fichent de nous en en livrant qu’au compte-gouttes. Mais une chose est sûre : le peuple ne reculera jamais, il se battra jusqu’à la chute de Bachar. » http://www.lefigaro.fr/mon-figaro/2013/10/28/10001-20131028ARTFIG00515-jordanie-comment-la-cia-livre-des-armes-aux-rebelles-syriens.php Et bah, tout ce bordel rien que pour les livraisons venant de Jordanie, j'aimerais pas savoir comme c'est vers le Liban, irak ou Turquie (surtout depuis que les kurdes commencent à faire de leurs sienne dans le nord). La livraison intercepté par le régime doit certainement être celle-ci pour ceux que ça intéresse (a 47s): http://www.youtube.com/watch?v=E1afGS9C1C4&start=47 Tout les "petit" conteneur vert sont des roquettes OSA 79, on peut pas dire que la livraison était ridicule...
    1 point
  5. Pour des calibres comme le 155mm, il n'y a jamais eu de douille. La charge propulsive était en sacs et placée à la main. Le chargement automatique de l'AUF1 a imposé de conditionner la charge en sorte de boîte de conserves en carton. La résidu de la combustion est infime. Ces solutions sont employées dans toutes les douilles combustibles pour char.
    1 point
  6. Superbes photos : http://candrsenal.com/pov-gallery/
    1 point
  7. Storm, il va falloir arrêter de vouloir massacrer l'intégralité de la population humaine. 2eme sujet de la journée à volonté purement génocidaire, la prochaine fois c'est bannissement sans espoir de retour.
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  8. Je n'hésite pas, cela fera 20 points.
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  9. Le concept de peuple est bien abstrait. Avec le tiers-état, on pouvait encore estimer que celui-ci était une figure représentant le peuple. Et pourtant, il existait déjà de très belles divergences au sein du tiers-état. Mais au moins, il existait un intérêt commun, même si non unanime, à lutter contre la caste aristocratique. Avec les classes de travailleurs, on parvenait encore à estimer ce que pouvait être le peuple, même si l'acception était déjà fort réductrice. Mais, aujourd'hui, je me demande bien qui va pouvoir se revendiquer comme représentant ou institution représentative du peuple. Les bonnets rouges bretons sont un agglomérat de personnalités pensant tout et son contraire. Avec cela, peut-être est-il possible de faire une révolte, mais je me demande bien qui suivra les meneurs, qui pourraient alors se dégager, dans un projet de coup d'état. Quelle proportion de manifestants serait prête à suivre les plus excités, alors qu'ils ne se sont pas réunis sur un programme nouveau ou sur un changement radical de société, mais sur une contestation bigarrée ? A la limite, il est plus facile d'imaginer une tentative d'attentat contre le Président. Mais l'idée qu'il y ait une prise de pouvoir derrière me semble illusoire. Une révolte n'a généralement pas pour but la destitution du pouvoir en place. La révolution, si. Et pourtant, nous nous endettons encore. Et ce n'est pas les quelques centaines de millions octroyés aux pays étrangers qui sont l'origine réelle du problème. En toute conscience, notre génération commet un vol au détriment des générations futures. Nous vivons au-dessus de nos moyens. Mais les Français ne veulent pas l'entendre. Facile de taper sur les hommes et femmes politiques, qui ont néanmoins leurs responsabilités. Mais ce n'est pas pour autant que nous, citoyens, devons nous dégager de toutes responsabilités. Quand les privilèges étaient entre les mains d'une caste essentiellement aristocratique et représentant 5 % de la population, il était encore assez simple de les abolir en s'engageant dans une révolution. Quand ils sont distribués sur l'ensemble de la population et que chacun cherche à protéger les siens, c'est plus difficile. Les forces européennes... mouarf... Puis Monaco et l'Andorre comme têtes de pont... Bon, il fallait bien trouver une excuse pour annexer Monaco et Andorre, hein ! On devrait peut-être envahir préventivement le Benelux, l'Allemagne, la Suisse, l'Italie et l'Espagne pour éviter d'autres têtes de pont ! Et si on a des bons bateaux, on pourra peut-être tenter l'invasion préventive de la Grande Bretagne ! Ben oui, elle a bien servi de base nécessaire à un débarquement sur la Normandie ! Evitons que cela ne se reproduise ! Ainsi qu'expliqué par Pascal, j'ai comme l'impression que tu te fourvoies sur le "nous sommes les 99 %" : le "nous" n'existe que de manière symbolique. Il suffit de lire ce forum et la diversité des opinions pour s'en rendre compte. Exemple : Sarkozy a été à une certaine période de son mandat hautement impopulaire. Hollande est actuellement hautement impopulaire. Mais quel autre candidat à la présidentielle, ou même autre citoyen, réunirait dans la situation actuelle assez de crédit auprès de la population ? Avant l'élection de Hollande, nombre d'hommes et d'analystes politiques estimaient qu'une défaite aux Présidentielle de 2012 ne serait peut-être pas si néfaste que cela à long terme, étant donnée les difficultés que celui-ci rencontrerait. J'ai comme l'impression que celui ou celle qui suivra à la présidence aura une situation tout aussi complexe, pour ne pas dire davantage. Quand bien même celui-là ou celle-là serait sélectionné parmi les 99 % et non parmi les 1 %...
    1 point
  10. La politique c'est comme un Iceberg ,ce que on voit ne représente qu'une infime partie de se qui se passe en "sous marin" ,et encore le cœur de l'iceberg personne ne le voit et surtout ne l'imagine ,quoi qu'il en soit coup d'état ou pas ,droite ou gauche ,etc en haut de la "pyramide"(attention je voit déjà venir certain ,quand je parle de pyramide je parle d'un schémas d'organisation hiérarchique pas de je sait pas quoi...)il y a toujours les même...
    1 point
  11. Dans l'artillerie 155mm les munitions sont en deux grosse partie. D'un coté on a le projectile, l'obus avec son explosif dedans et sa fusée qui le fera eclaté soit a l'impact soit apres un temps donnée. D'un autre coté on a la charge propulsive, de la poudre qu'on introduit dans le canon apres le projectile lui meme. On charge donc le canon en deux temps, d'abord le porjectile qu'on pousse au fond de la chambre, puis on introduit derriere la charge propulsive celle qui explose dans le canon et qui pousse l'obus dehors. Cette charge propulsive peut prendre plusieurs forme et plusieurs puissance. Pour moduler la distance a laquelle on veut tiré et la forme de la trajectoire on joue sur la position du canon, mais aussi sur la quantité de charge propulsive qui fait varier la vitesse initiale de l'obus. Sur les obus 155 - mais c'est a peut pres pareil sur les mortier etc. - on désigne les charge par le numero de charge ca va de 1 a 6 ou 8 selon la pression admissible par le canon et l'obus. Pour tirer le plus lentement on introduit donc un paquet de poudre, ca donne charge 1, si on veut que ca parte plus vite on met deux paquet, ca donne charge 2, etc. Pour les AUF1 c'est paquet de poudre son d'abord glissé dans un "tube" qui sert de douille, c'est se tube préchargé en poudre qui est introduit dans l'automate de chargement. Si on veut modifier la quantité de "charges" de poudre dans l'étui il faut le faire a la main avant l'automatisme du tir. En général les étui sont plein, et on enleve le nombre de paquet de charge en trop avant de tirer selon la mission de tir programmé. Les paquet de poudre en trop il me semble quelle finisse stocké dans le plancher de l'AUF1, je ne suis pas sur quelle puisse resservir plus tard, sauf peut etre en étant reconditionné. La mise a feu enflamme les charge propulsive et brule l'étui, le canon est donc vide apres le tir - pas de douille a retirer, plus rapide a rechargé - Pour le Caesar c'est un autre systeme. Le principe de nombre de charge et le meme, mais elle on une autre forme. Pas d'étui ici, les charge on la forme du tube il suffit de les empilé et de les glissé dans le tube en un seule lot, on appelle ca charge modulaire. Il n'y a que deux type de charge, et elle sont réutilisables dans le sens ou meme si elle sont livré par lot de 6 charges on peut en utiliser seulement 3 puis 2, puis 1 et pas 3 et les 3 autre a la poubelles. Les deux type de charges servent au puissance faible ou forte. Pour les puissance 1 et 2 on utilise le modele de charge vive, pour les autres puissance on empile des charges lente a la place. Les chargeur moderne utilise le systeme de charge modulaire, il peuvent alors selectionner le nombre de charge modulaire nécessaire au moment du tir, le réunir dans un lot, et le glisser dans le canon, on est pas obligé de préchargé des douilles a la main avant de les donnée au chargeur auto, il gère la puissance propulsive seul au coup par coup.
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