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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 13/07/2015 dans toutes les zones

  1. Je tenais à vous remercier pour la qualité de vos échanges ... Fusilier, Chronos, Alexis, Boule, Debonneguerre and co ... continuez !
    6 points
  2. Ce n'est pas tant ce mythe national purement grec qu'il a été répandu par des générations de classes de greco-latines. C'est assez prégnant quand je regarde autour de moi. Parce que bon qu'est-ce que des gens comme Solon, Thémistocle ou Nikias penseraient d'une Grèce moderne ne disposant même pas d'un Code de procédure civile sérieux, d'un cadastre, d'une administration véritable (quand on voit la peine qu'Athènes eut pour développer ses mines du Laurion). J'ai l'impression qu'il y aurait distribution de coups de pieds au derche.
    6 points
  3. Évidemment qu'elle n'est plus tout à fait souveraine. En se portant candidate à l'Union (on ne dit pas non à Platon, parait-il, ou comment attribuer les mérites d'une civilisation athénienne à un État grec 2500 après les faits*) et à l'Euro, la Grèce a intégré deux systèmes normatifs. Par définition un système normatif impose des... normes à ceux qui y adhèrent (et qui furent volontaires pour le faire) tout simplement. On y est (et on s'y soumet) ou on y est pas, et dans ce cas on en assume les conséquences (qui sont pour partie les mêmes si le fonctionnement est purement intergouvernemental). Ces normes peuvent évoluer et sont, dans le cas de la zone Euro, soumises à une gestion intergouvernementale. Le principe de souveraineté s'applique donc. La Grèce s'est donc prise l'effet conjugué de normes auxquelles elle a librement adhéré et le principe de souveraineté : les États membres de l'Eurozone ont la main sur les finances et il n'existe pas de mécanisme pouvant être déclenché par une autorité supérieure selon des considérations économiques ou stratégiques qu'elle détermine. Par conséquent le principe de souveraineté s'applique. Celui de la Grèce, lui donnant toute latitude pour se révolter sans avoir les sous pour le faire. Et celui des autres États membres tout à fait souverains eux aussi et libres de déclarer qu'ils ne financeront plus un tonneau des danaïdes. Les métaphores sur le fascisme, Mussolini et Xerxès ont ceci d'interpellantes qu'elles obèrent un élément fondamental : les États bailleurs de fonds sont aussi des démocraties, et principalement des démocraties parlementaires aux règles de fonctionnement quasiment irréprochables et où le débat parlementaire n'est pas moins vif qu'en Grèce sinon davantage et peut-être moins vérolé par le clientélisme ou la féodalité. Des démocraties ne donnant aucun blanc seing à leurs gouvernements en limitant leur action diplomatique par mandats, empêchant ceux-ci de leur faire des enfants dans le dos (ou du moins autant que faire se peut). Et ces États ont démocratiquement déclaré qu'ils ne financeraient plus sans conditions. La Grèce est donc victime du paradoxe typique de la thèse souverainiste et en a vécu la logique d'une façon très crue (et ça aurait pu l'être davantage si nous avions été en d'autres temps et d'autres lieux) : l'Union ne doit pas porter atteinte à la souveraineté locale et les États doivent négocier librement. Sauf que l'absence de cadre normatif, européen ou non, rend tout le monde souverain et laisse place au jeux de puissances traditionnels, aux rapports de force typiques d'une négociation internationale. Il n'y a plus de règles organisant l'exercice du rapport de force traditionnel et donc les plus puissants ne sont plus limités par des règles juridiques s'imposant à eux également et sous le contrôle, si besoin est, d'une Cour de Justice indépendante. Ils sont donc susceptibles de tirer toutes leurs munitions, de monter tous les coups tordus et d'écraser les plus faibles. L'Eurogroupe est un collège intergouvernemental, il n'y a aucune Commission pour servir de garde fou et protéger les plus petits États (rôle traditionnel en perdition partielle à Bruxelles). La souveraineté, pour reprendre une réponse entendue de Nicolas Dupont-Aignan lors de l'une de ses nombreuses interviews, n'empêche nullement les rapports de force. Et la Grèce vient de le vivre, tout simplement. C'est à ce moment que la souveraineté tant invoquée devient brutalement asphyxiante pour certains car pour paraphraser quelqu'un quand le type de 120 kilos parle, celui de 60 écoute, surtout qu'il a toujours été (ou du moins depuis 1821) sous la perfusion financière (et militaire) de ses bailleurs de fonds européens. Je doute franchement d'une autre issue dans le cas d'une Grèce située hors zone Euro ou même hors UE. *Cette vision des choses perdurant encore. Apparemment le fait que la démocratie soit apparue sur l'actuel territoire grec et le fait que la population locale s'exprime encore en une langue extrêmement proche de celle d'alors justifierait toutes les incuries actuelles et le fait qu'il nous revienne de les financer sans contrepartie, avis, opinion ou commentaire
    5 points
  4. Ça fait un bout de temps que ça me trotte dans la tête et à force de lire des arguments souverainistes/nationalistes j'ai fini par formuler la chose. Une fois la souveraineté recouvrée rien n'empêche les gros d'imposer leurs conditions aux faibles. Un contre exemple est probablement le New Deal (Obamacare aurait aussi pu en être un) : Les investissements consentis par une autorité faitière dans le cadre de ce plan ont pu entraîner un redressement économique du vieux Sud à un point suffisant pour compenser tant la crise que l'enfermement agraire qui avait été le sien depuis l'indépendance. Mais l'exemple est d'une portée limitée car nous sommes là dans le cadre d'un Etat souverain mais imposant une autorité fédérale à des Etats fédérés subordonnés. L'Europe souffre surtout d'une absence de politique générale et d'un gouvernement véritable.
    4 points
  5. Bah on est sur des effets de manche, pas étonnant que les anglais déversent leur bile sur tout ce qui est "institution européenne". Et si ils peuvent réchauffer un peu plus la discorde entre européens du cru ce n'est que meilleur.
    3 points
  6. A partir du moment où la Grèce demande des prêts à l'extérieur, elle perd sa souveraineté, avec où sans l'euro, c'est aussi simple que cela. Le cas de l'Islande n'est en rien comparable avec le cas grec. C'est un crise uniquement bancaire là où la Grèce connait un crise de dette souveraine. Ensuite la majorité des détenteurs de comptes de ses banques étaient étranger, elle n'a donc pas hésité à ne pas les garantir et bloquer leurs comptes, ce qui a provoqué une très forte tension avec le Royaume Unis et d'autres pays européennes d'où venaient la plus part des comptes et qui l'ont qualifié d'état voyou et qui ne sont probablement pas prêt à y remettre de si tôt les pieds. De plus la crise n'a pas été sans douleur, la couronne perdant beaucoup de sa valeur, provoquant une forte augmentation des prix. Autre point l’Islande est quand même assez riche, avec une industrie de la pèche solide et surtout une indépendance énergétique, ce qui a beaucoup aidé pour se redresser. Enfin le contrôle des capitaux est toujours actif, et beaucoup craignent une crise des changes avec son arrêt. https://fr.wikipedia.org/wiki/Crise_financi%C3%A8re_de_2008_en_Islande Bref il faut arrêter de prendre des comparaisons qui n'en sont pas. D'ailleurs pour les souverainistes adepte de la restructuration unilatérale de la dette sans accord des ses créancier, il faut voir le résultat de l'argentine qui peine encore aujourd'hui à trouver des gens prêt à la financer: https://fr.wikipedia.org/wiki/Crise_%C3%A9conomique_argentine Bref la souveraineté ça se décrète pas, ça se construit et ça s'assume.
    3 points
  7. Et oui le mythe national. Extrêmement présent au sein de la population grecque et qui a aveuglé les décisionnaires politiques de la CEE. Comme si on pouvait comparer l'ancienne ère de population hellène et la nation grecque actuelle. C'en est ridicule mais ne le dites pas à un grec, il va encore partir pour 3/4 d'heures d'envolée sur l'invention de la philosophie, démocratie, mathématiques, les Thermopyles, Alexandre le Grand, Spartaaaa etc * Tout ca pour l'ancienne province Ottomane de Grèce quand même
    3 points
  8. On le saura dans quelques années seulement. Pour l'instant ils ont peut être l'impression de gagner, ce qui est très différent, très différent notamment de ce que disent les chiffres de PIB comparés de la zone Euro face à ses rivales. Tout ça est facialement exact mais on peut presque tout voir différemment : - la Grèce doit poursuivre (ou véritablement débuter en fait) son apprentissage d'une gestion rigoureuse des deniers publics. - elle préserve son accès aux fonds structurels sous réserve de cesser de les dilapider - elle a obtenu que soit acquis la perspective d'une nouvelle restructuration de la dette - le chantage "la démocratie contre les créanciers" a échoué : la dette grecque n'était pas si grande, finalement, ni le moyen de pression si formidable. - la croissance va repartir en Grèce car les grecs qui ont tout fait pour sortir leurs fonds vont les rapatrier pour aider au redémarrage du pays (mais non c'est pas du foutage de gueule...)
    3 points
  9. Le peu que j'ai compris de ce psychodrame des dernières 48 heures c'est qu'en fait au-delà du débat technique, personne ne fait vraiment confiance aux grecs pour parvenir ne serait-ce qu'à mettre en place les mesures qu'on exige d'eux et à s'y tenir ... Vous me direz nous devrions peut-être balayer devant notre porte aussi.
    3 points
  10. Entre ça et le grand-père qui planquait un Panther et un PAK 88 dans son jardin, mon cœur balance.
    2 points
  11. L'exemple argentin est une démonstration concrète que ce n'est pas le contraire du tout. Le Zimbabwe également qui a littéralement fini par perdre sa monnaie et passer au dollar américain (voilà qui devrait ravir Y. Varoufakis). Le Vénézuéla est un bel exemple en cours. Hors UE et zone euro la Grèce se serait retrouvée seule face au FMI, aux éventuels fonds vautours, aux banques internationales qui auraient vu leurs éventuelles filiales spoliées (la Grèce souveraine implique-t-elle qu'elle ne soit pas partie à la CEDH ? 1P1 empêche de spolier outremesure). À mon avis le sort de la Grèce aurait été pire encore car contrairement à la dynamique européenne lui donnant une tribune pour faire pleurer sur son sort, elle aurait été traitée aussi froidement que n'importe quel pays africain et n'auraient pas bénéficié des largesses européennes de ces dernières années. NDA est amusant parfois. C'est justement l'Europe qu'il défend qui vient d'exercer sa logique sous ses yeux. Cette situation a simplement démontré que promettre la lune lors d'une campagne électorale et soumettre des référendum à propos de documents caduques n'empêche pas réalité de rattraper le conte. S'agit-il d'un déni de réalité démocratique ? Le peuple grec peut voter dans le sens qu'il veut la dette reste, comme le rappelait très justement Pascal quelques jours plus tôt, et revenir à la drachme ne changera rien à cela, ni ne changera les problèmes profonds du pays qui ne sont pas l'Euro mais le fonctionnement de l'Etat grec de 1821 à aujourd'hui, qui n'a pas attendu l'Europe et l'Euro pour faire faillite à répétition et dépendre de ses bailleurs de fonds à l'époque plus tolérants pour raisons militaires. La démocratie grecque a simplement rencontré d'autres démocraties, dont les votes sont tout aussi valables : les démocraties du Nord de l'Europe qui ont voté tout aussi souverainement quoi qu'avec moins de fanfare que le peuple grec d'où clash de plusieurs souverainetés et jeu de puissance traditionnel. À ce jeu là c'est pas un petit pays de 10 millions d'habitants, corrompu et sans ressources qui va gagner. Manifestement Chine et Russie n'ont pas fourni de gages d'intervention suffisamment crédible vu comment Tsipras s'est incliné. Ou alors était-il trop important et encore plus révélateur des logiques souveraines et purement politiques typiques du jeu international traditionnel. Il est piquant de constater qu'à côté Espagne et Portugal se redressent lentement mais relativement sûrement (la Grèce est un danger pour ces pays justement). Des mouvements radicaux ont pu apparaître partout dans les Etats mal gérés de l'Union mais aucun n'a vu une croissance aussi hystérique des extrêmes. Il y a une différence entre amender et annuler. Le texte anglais ne fait référence à aucune annulation. C'est aussi un rappel que l'accord conclu entre la Grèce et ses autres partenaires souverains prime sur le droit interne grec. C'est cohérent en ce que l'Etat grec est responsable de ce qu'il signe à l'international et s'engage vis-à-vis de ses partenaires internationaux. Ce qui est intéressant est que le peuple grec tout en disant "non" à tout entend rester dans l'Euro et dans l'Union. Comme quoi ils savent inconsciemment ce qu'il arriverait en cas de sortie...
    2 points
  12. Hors FMI, à combien la dette grecque vis à vis du Royaume-Unis se monte-t-elle ? Comment ? Rien ? Mais voilà à qui la Grèce devrait pouvoir emprunter, une bonne nation sans casserole historique avec la Grèce, généreuse, compréhensive... la Grande Bretagne ! Et exemplaire du point de vue de ses finances publiques avec ça ! Alexis (Tsipras, n'est-ce pas) : direction Londres.
    2 points
  13. Ce que l'on ne dit jamais sur l'Islande c'est qu'il y a eu un vrais exode des jeunes... Le non remboursement de leur dettes et autres obligations les a vraiment impacté économiquement, mais comme ils ne sont de 300 000 ça ce vois moins. L'Argentine est un bon exemple pour démontrer que ce n'est pas la souveraineté en temps que telle qui te rend prospère...
    2 points
  14. Malgré tout ce qu'on a pu dire le sherman est un bon char .......... tant qu'il reste dans sa doctrine d'application. Je m'explique : facile et rapide à produire, entretien simple, robuste mécaniquement et surtout initialement pas du tout dédié au combat char contre char (dans la doctrine US ce devaient etre les M10 et M36 qui devaient s'occuper des chars adverses) C'est certain qu'avec son blindage fin, son 75 court il ne faisait pas le poids face à du Panther ou du Tiger. C'est cependant un vehicule versatile qui a servi de base pour pas mal d'autres engins et qui tenait la route face au parc majeur allemand (PzIV) Une chose "amusante" deux versions, une essence (prenant feu facilement) puis une diesel Et une diminution des pertes par incendie catastrophique une fois que les équipages ont arrété de mettre les reserves d'obus en tourelle (y compris avec sécurisation dans une caisse humide en plancher de coque)
    2 points
  15. L'Allemagne gagne sur tous les fronts. (Deutschland siegt an alle Fronten) Si on résume le résultat de la séquence février - juillet 2015 du point de vue grec : - La Grèce doit continuer la stratégie faillie appelée "austérité" c'est-à-dire dévaluation interne et libéralisation - Elle n'a pas obtenu en échange aucun programme d'investissement significatif - les "35 milliards" sont des fonds structurels et mesures déjà prévues - Elle n'a pas obtenu en échange aucun engagement que ce soit ni en faveur d'une décote ni même en faveur d'une simple restructuration de la dette - Le vote de son peuple a été annulé - La stratégie d'austérité a été encore durcie, permettant de "punir" la Grèce pour son "mauvais" vote Bref, la Grèce est totalement vaincue, l'échec de la tentative de changer la stratégie imposée à la Grèce est total. (sauf si la petite musique du premier ministre grec doit être prise au premier degré "Les mesure prévues sont celles votées au parlement grec. Elles renforcent la récession mais j'espère que les 35 milliards d'euros de mesures et la restructuration de la dette permettront aux marchés et aux investisseurs de comprendre que le Grexit appartient au passé (et qu'elles) attireront les investissements nécessaires pour compenser la récession". Ce dont je doute, sachant que l'Allemagne était debout sur les freins en ce qui concerne la restructuration. Attendons de voir l'accord complet pour en être sûr, mais je pense que la Grèce a du se contenter d'une vague promesse pour l'avenir, comme en 2012) Du point de vue allemand maintenant : - L'Allemagne a évité de faire le moindre geste envers la Grèce, même si une décote aurait coûté à Berlin incomparablement moins que l'abandon par la Grèce de sa créance sur l'Allemagne en 1990, sans parler des autres créances abandonnées par les autres pays européens au moment de la réunification allemande et pour aider le pays à tourner définitivement la page - La démonstration a été faite qu'aucun pays ne peut changer la stratégie imposée au niveau européen sous influence directrice allemande. Notamment, l'assentiment français à cet état de fait a été confirmé - Notamment, les instruments de pression économique ont démontré leur puissance, BCE en premier lieu, et leur contrôle permet aux Institutions européennes de forcer l'accord de tout gouvernement de l'eurozone. Comme l'a dit François Hollande ce matin "Si l'accord n'avait pas été clair, la BCE n'aurait pas pu continuer son activité de liquidité". L'Espagne, le Portugal peuvent trembler. L'Italie elle-même... (et quant à la France ?) - La voie de la contestation de la stratégie européenne par le biais de la gauche "radicale" et européenne a été barrée. Définitivement ? Le résultat de Podemos en Espagne à fin d'année en donnera une indication. Mais il pourrait être difficile à Pablo Iglesias d'expliquer comment exactement il ferait pour parvenir à un autre résultat que Syriza, c'est-à-dire somme toute une situation encore empirée pour le pays Naturellement, il y a des raisons de douter que cette résolution de la crise grecque fasse autre chose que repousser le problème, ou que la victoire allemande soit durable. Les difficultés économiques de la Grèce ne vont bien sûr pas s'améliorer - elles empireront au contraire, la même stratégie étant poursuivie voire intensifiée. Il y a donc fort à parier que la Grèce reviendra sur le devant de l'actualité, lorsque son endettement par rapport au PIB aura encore augmenté rendant nécessaire une nouvelle "aide". Surtout, barrer la voie à un changement ou même un assouplissement d'une stratégie faillie, et le faire par les moyens qui ont été utilisés, c'est effectivement repousser un type de contestataire, ceux qui sont européistes, mais c'est aussi - je vais céder à la mode et m'auto-citer :) - "faire le marchepied à ceux des contestataires qui ne le sont pas" Cet échec de Syriza est très grave du point de vue politique pour Podemos en Espagne ou le Front de Gauche en France. Mais pour l'autre branche des contestataires... Même Alexis Tsipras, se raccrochant aux branches et essayant de prétendre que le résultat de l'épreuve de force est différent de ce qu'il est, n'a pas été jusqu'à cacher que la Grèce n'est plus souveraine : "Nous continuerons à lutter afin de pouvoir renouer avec la croissance et regagner notre souveraineté perdue"
    2 points
  16. ahah, pile avant l'ouverture du CAC40...ouf hein les traders commençaient à devenir nerveux et les taux français étaient pressentis à la hausse. C'était quand même épique, après le fuck du référendum, la clé de bras qui a suivi, Tsipras au sol qui capitule dans la douleur. Tout ce beau petit monde va pouvoir partir en vacances soulagé, mais je crois qu'on devrait réentendre parler de la Grèce avant la fin de l'année.
    2 points
  17. Avec le C160, il y a soit trois équipages (coût, logistique à mettre en place notamment sur leur prépositionnement), soit un équipage qui termine son vol dans des conditions de sécurité et d'hygiène relativement précaire, soit un équipage et plein de temps d'arrêt pour son repos. dans les trois cas, je trouve que l' A400 M est plus que justifié pour le remplacer. De plus, je suppose que s'il y a escale, on en profite aussi pour regarder la mécanique du C160, car le vol long n'est pas forcément prévu pour être aussi long sur cet appareil... Et enfin, pourquoi dépenser la fortune pour faire voler une flotte vieillissante et usée, alors qu'avec des A400M, l'heure de vol sera beaucoup mons cher et qu'acheter des avions européens est bon pour la croissance et l'emploi ?
    2 points
  18. Je n'aime pas l'Europe telle qu'elle a était conçus (j'avais une vision différente de ce que devrait-être l'Europe ) mais les grecs ont aussi merdé . Donc au final est-ce que l'Europe actuelle est si capable par rapport à ce qu'elle semble faire croire alors que personne ne crois plus en cette Europe ? La Grèce doit avoir des gens courageux mais le système était aussi pourrie en haut de l'état que vers le bas ... Donc la seule chose qu'à mis en évidence l'affaire grecque s'est au final que l'Europe n'a pas prise le chemin d'un agrandissement structuré et étalé dans le temps ( les USA ont mit combien de temps en comparaison ? largement + que l'Union européenne ) ... Donc que certains avaient intérêts à le faire vite ... Cette affaire ébranle le système en mettant en doute la solidité de ces fondations qui semble au final branlante ... Un peu comme la tour ou l'on rajoute à chaque fois un étage pour brillé au plus loin ... Sauf que la structure de base a jamais était conçue pour une telle charge et de quoi éclairé une lumière dans la durée ... Une tour de Babel ... Est-ce qu'au final l'Europe est-elle faîte pour être unie ? Franchement j'en ais pas l'impression ni le sentiment ... On est plus dans l'optique politique ou économique , idéologique mais dans celle que l'on a toujours voulu refoulé afin de s'éviter les démons de cette vieille Europe qui s'était déchirée par le passé ,sauf que les à priori "us et coutume" mentalité sont encore plus mise en évidence . On fonctionne en bloc mais pas en mode Europe unie ...De facto cela ne peu que mettre en avant les sentiments des uns et des autres de manière plus brutale . Les pays du sud ont merdé par manque de "discipline" et les pays au nord joué pour leur pomme puisque si l'on prend l'Allemagne elle a misé sur les pays de l'Est arrivé tardivement .Donc que les pays du sud juste un tremplin pour des intérêts propre en attendant l'expansion vers l'Est ... La France devenant la zone franche entre ces deux mondes ... Enfin voilà on est mal barré et j'ai l'impression que le coup de la Grèce commence à foutre les boules à l'Union européenne qui semble coincé entre une Grèce qui ne remboursera jamais et sera un poids pour l'Europe ,ou la peur que la Grèce quitte l'Union mettant à mal l'idée d'une Union européenne forte et unie ... On est dans la merde jusqu'au bout ... Et pour longtemps ... Les allemands ont connu une crise mais tout simplement parce qu'ils étaient au carrefour de leur vision du futur ,entre le retour de l'Allemagne de l'Est et l'expansion vers l'Est . Enfin je fais peut-être de l'analyse de comptoir mais bon ... vu d'en bas sa ressemble à cela alors excusez moi d'avance pour mon manque de vision plus large sur le sujet =) .
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  19. Tu te trompes je crois, malgré les faits d'annonces et les postures médiatiques, ce n'est pas l'Allemagne la plus dure ce soir, ce sont bien des "petits" pays européens au PIB bien plus modeste ... Finlande, Autriche etc ... Après demander des garanties sur un nouveau prêt suite au passif tant politique qu'économique, voir de la "gestuelle" douteuse de ces derniers mois du gouvernement, est-tant déraisonnable ? C'est de l'argent ou plutôt de la dette de tes enfants que l'on parle ... Et de l'avenir de tout un continent et d'une union qui ne s'est pas faite en un jour, même s'il y a prendre et à laisser ... Le résultat global à ce jour est positif. Essayons de faire que ce soit encore mieux demain, et pour cela soyons raisonnables et responsables pour les générations à venir derrière nous ... Des fois être réaliste c'est aussi de regarder la vraie situation en face, avec courage et abnégation ...
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  20. Hors Sujet Le site = http://www.uk-us.fr/bob.htm Les Systèmes de navigation de la RAF = (ci-dessous mais modifié avec des additifs) http://www.uk-us.fr/radionavigation.htm Les systèmes de radio-navigation de la RAF. Le texte qui suit est extrait de l’Histoire générale illustrée de la seconde guerre mondiale. Paris : Aristide Quillet, 1948, vol 2, p. 342-344. L’intérêt de l’exposé réside avant tout dans le fait qu’il a été rédigé dans les deux années qui ont suivi l’offensive de bombardement stratégique. Les bombardements aériens massifs, tels qu’ils ont été pratiqués par les alliés à partir de la fin de 1942, n’ont été possibles que grâce aux progrès de la radio-navigation. Il est en effet relativement facile de former rapidement des pilotes, mais la formation de navigateurs, capables de conduire de nuit un avion sur son objectif avec les procédés classiques de navigation à l’estime, est bien plus longue. La méthode de navigation à l’estime, basée sur la connaissance de la vitesse relative de l’avion par rapport à l’air et de la vitesse du vent, n’admet d’ailleurs qu’une précision très restreinte. Un bon navigateur pouvait s’estimer satisfait lorsqu’il amenait son avion à un ou deux kilomètres de son objectif. Si cet objectif était de dimensions restreintes (gare, usine, etc.) il devait se guider ensuite par des bombes éclairantes. Au début de la guerre, les bombardements étaient effectués par des formations serrées possédant un ou deux bons navigateurs, mais si la chasse ennemie intervenait, dissociant la formation, il y avait bien des chances pour qu’aucun avion n’atteigne son objectif. La radiogoniométrie La radiogoniométrie, pratiquée depuis fort longtemps, permet bien de « faire le point » de temps en temps, mais elle ne donne pas de précision supérieure. La radiogoniométrie est basée sur les propriétés des récepteurs à cadre tournant. Si on remplace l’antenne d’un récepteur radioélectrique par un cadre, c’est à dire plusieurs boucles de fil toutes dans un même plan, la réception est optima lorsque le cadre est perpendiculaire à la direction de l’émetteur, et presque nulle lorsque cette direction est située dans le plan du cadre. La précision de la direction ainsi obtenue est très variable suivant la qualité de la réception, la force de l’émetteur, les dimensions du cadre etc., mais ne dépasse jamais 1 à 2 degrés. On peut procéder de deux façons : en employant un émetteur sur l’avion en plusieurs (2 au moins) récepteurs munis de cadres tournants au sol ou plusieurs émetteurs au sol et un récepteur à cadre sur l’avion. Le premier procédé permet une plus grande précision, on peut en effet utiliser au sol des cadres de grandes dimensions maniés avec précision dans de bonnes conditions - mais il est indiscret et demande des liaisons compliquées. En effet, l’avion doit émettre assez fréquemment, ce qui permet aux radiogoniomètres ennemis de le repérer - d’autre part, les stations d’écoute parfois situées à des centaines de kilomètres l’une de l’autre doivent, par une simple liaison téléphonique, rester constamment en contact, s’assurer qu’elles écoutent le même avion au même moment. Les résultats des mesures sont communiqués à l’un des postes qui trace sur une carte les lignes reliant les différents postes à l’avion. En général, s’il y a plus de 2 lignes (en général on en trace 3), elles ne passent pas toutes par le même point et forment un petit polygone à l’intérieur duquel se trouve la position exacte de l’avion. Cette position est ensuite communiquée à l’avion - autre source d’indiscrétion et de retard. Si le récepteur à cadre est sur l’avion, le navigateur écoute successivement 2 postes émetteurs puissants de position parfaitement connue et mesure leur direction par rapport au nord, donnée par le compas du bord. On ne peut disposer que d’un petit cadre et on risque d’avoir une erreur sur la position du nord - ce qui limite la précision. Le radar : OBOE L’utilisation du radar, et des ondes courtes, qui peuvent donner des faisceaux d’ondes aussi nettement délimités que les faisceaux de lumière, émis par un projecteur ont permis aux Anglo-Saxons de diriger dès 1942 leurs avions presque automatiquement au-dessus de leur but, avec une précision de l’ordre de 200 à 300 m, bien supérieure à tout ce que l’on savait réaliser jusque là. Grâce à cela, ils purent faire des bombardements à la chaîne, les avions se suivant un à un. Le premier système utilisé a été désigné par le nom de camouflage OBOE. Il consiste à faire suivre à l’avion une route ayant la forme exacte d’un cercle passant par le point à bombarder, et à l’avertir par un faisceau dirigé au moment où il passe sur son objectif. L’équipement comprend au sol une « station chat » au centre du cercle suivi par l’avion et une « station souris » - aucun appareil spécial sur l’avion - le récepteur de bord suffit. La station chat comprend un radar qui suit l’avion, mesure à chaque instant sa distance, et veille à ce que l’avion reste à une distance constante de la station, c’est à dire sur le cercle dont la station est le centre, et qui passe par l’objectif. Si l’avion s’écarte de ce cercle en s’éloignant ou en se rapprochant de la station chat, un émetteur auxiliaire émet un signal - des points espacés par exemple si l’avion se rapproche, des traits si l’avion s’éloigne. Si l’avion est sur le cercle, l’émetteur émet une onde continue. Le pilote peut recevoir directement ces signaux, il sait ainsi directement sans calcul ni délais s’il est sur la bonne route, s’il doit appuyer sur la droite ou sur la gauche. La station « souris » envoie un faisceau dirigé dans la direction de l’objectif à battre et émet un signal lorsque l’avion doit larguer ses bombes. En réalité, il y a deux signaux, l’un prévenant l’avion d’avoir à se préparer, l’autre donnant l’ordre de larguer - souvent, on employait pour la station souris un deuxième radar qui suivait l’avion et lui donnait les ordres. Ce système donna de bons résultats dans ses débuts : les radars employés fonctionnant avec des ondes assez longues (plusieurs mètres) permettaient des portées de 3 à 400 Km. Mail il peut être brouillé facilement. Il suffit que l’ennemi trouve la longueur d’onde sur laquelle sont émis d’une façon continue les signaux d’orientation et qu’il les couvre par une émission plus forte - ce qui est facile puisque les avions sont au-dessus de son territoire. L’image en pdf SHORAN Le système « Shoran » (Short range navigation) élimine cet inconvénient. Dans ce système, c’est l’avion qui possède un petit émetteur à impulsions et la partie récepteur d’un radar. A terre, on trouve deux stations A et B munies de « répondeurs, ce sont des émetteurs récepteurs accordés sur l’émission de l’avion et renvoyant immédiatement un signal identique. Voici comment fonctionne ce système : l’émetteur de l’avion envoie un signal très bref, de l’ordre de quelques millionièmes de seconde) ce signal est capté par les deux répondeurs et renvoyé à l’avion. Sur l’oscilloscope du récepteur radar, deux « dents » indiquent le temps que le signal a mis pour aller de l’avion à chacun des répondeurs et pour revenir à l’avion. L’avion manœuvre pour rester à une distance constante et convenablement choisie d’une des stations pour décrire un cercle passant par l’objectif. Le pilote connaît en outre la distance de l’objectif à la seconde station et voit littéralement l’approche de l’objectif et le moment où il le survole. L’émetteur peut se contenter d’une puissance relativement faible, car le signal est relayé par le répondeur. Le signal est discret, car l’avion ne l’utilise que de temps en temps pendant de courtes secondes. Mais on ne peut utiliser sur l’avion que des émetteurs à ondes courtes, ce qui limite la portée à 150-200 Km. L’image en pdf L’avion émet de temps en temps avec son radar (non directif) une interrogation L, c’est à dire une série d’impulsions. L est reçu par les récepteurs R et R’ et provoque l’émission des réponses r1 et r’1. Le temps qui s’écoule entre l’émission d’une impulsion et la réception des réponses sur l’avion est enregistré au radar de l’avion et donne les distances avion-R et avion R’. L’avion manœuvre pour se placer d’abord sur le cercle C1 ayant R pour centre et la distance R-O pour rayon. Il voit sur son radar la distance O-R augmenter et il largue ses bombes lorsque cette distance est égale à la distance R’-O c’est à dire lorsqu’il coupe le cercle CR. LORAN ou GEE Pour le bombardement des objectifs lointains, un 3e système a été mis au point : le système Gee (Britannique à moyenne portée pour l'Europe) et LORAN (Long Range Navigation, système Américain à grande portée utilisé pour l’Atlantique et le Pacifique, puis en Europe). Ce système élimine l’émetteur à bord - malgré tout sujet à indiscrétion - . Il n’y a plus qu’un récepteur analogue à la partie réception d’un radar. Au sol, il faut au moins 3 stations reliées qui émettent simultanément le même signal (ou ce qui revient au même, le même signal avec un décalage exactement connu). On emploie une station pilote A reliée par fils à deux stations asservies B et C. A envoie à intervalles réguliers des impulsions brèves dans toutes les directions par radio et les mêmes impulsions par fil à B et C. B et C reçoivent ces impulsions et les envoient à leur tour dans l’espace. L’avion reçoit les signaux émis par A, B et C avec le récepteur genre radar. Sur son oscilloscope, il voit trois crans permettant de mesurer exactement le temps qui s’est écoulé entre l’arrivée des signaux émis par A et ceux émis par B ou C. Ce temps correspond à la différence de durée de transmission du signal primitif émis par A suivant les différents trajets (signal émis directement par radio par A, signal passant par AB, émis par B ; signal transmis par AC et émis par C). Puisque la vitesse des ondes électromagnétiques est exactement connue et que la distance des points A,B,C est fixe, on peut en déduire la différence des distances de l’avion à chacun de ces trois points. On sait ainsi que la différence des distances avion-point A et avion-point B a une valeur déterminée. Géométriquement, ceci revient à dire que l’avion se trouve sur une certaine hyperbole de foyers A et B. De même, la différence des distances avion-point A et avion-point C situe l’avion sur une deuxième hyperbole. L’intersection de ces deux hyperboles donne exactement la position de l’avion avec une très bonne précision. L’oscilloscope est directement gradué en différences de distances ou en chiffres repère, et on possède des cartes sur les quelles sont tracées des hyperboles ayant les stations d’émission pour foyers. Ces hyperboles portent des numéros correspondant à ceux de l’oscilloscope, et la lecture de la position de l’avion se fait comme une simple lecture de coordonnées géographiques - les cercles figurant les longitudes et les latitudes étant remplacées par des hyperboles. Ce système permet une grande portée. L’image en pdf L’impulsion émise par la station-pilote E1 est reçue par l’avion par 3 voies différentes. 1° directement. 2° par E2. 3° par E3. Elle donne 3 réceptions distinctes sur l’oscillographe du récepteur radar. La différence des temps de parcours permet de situer l’avion sur deux hyperboles différentes dont les foyers respectifs sont E1 et E2 d’une part, E1 et E3 d’autre part Le brouillage des radars ennemis : les Alliés déversaient des milliers de bandes de papier recouvertes d’aluminium, les « Windows », qui créaient un nuage réfléchissant, destiné à brouiller les radars de l’ennemi. On voit ici deux « Windows », de deux tailles différentes (à peu près 15 et 25 cm) Cliché Daniel Rose Le navigateur DECCA (Système de navigation hyperbolique utilisé à la fin de la WW2 et largement après pour le militaire et commercial. https://fr.wikipedia.org/wiki/DECCA_%28navigation%29 FIN DU HORS SUJET
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  21. Dans mon cas, tu peux surtout dire merci à War Thunder : Ground Forces d'avoir introduit les blindés américains, sinon je n'aurais jamais eu un regain d'intérêt pour les chars américains de cette période là.
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  22. Effectivement ,j'avais zappé qu'il y avait les 90 mm des wolverines et les Pershing . Quand je parlais de filer des canons brits au US ce n'était pas dans le sens ou les brits auraient du fournir mais qu'ils fournissent les plans afin que les les US les fabrique eux-même . Quel plaisir de voir des maîtres dans le domaine de connaissance des blindés =) .
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  23. @ Serge C'est vrai que cette solution parait tellement évidente qu'on y pense pas forcément ... Même si à part pour conserver les mêmes munitions (ce qui est déjà pas mal en soit), je ne vois pas trop l'intérêt . @ Sovngard Intéressant comme document, c'est à ce moment que je regrette de ne pas avoir pris russe en LV2 =) PS je remarque au passage que malgré un chargement automatique, il y a toujours quatre hommes d'équipages. Une voie à suivre pour le Léopard 3 (ou Léoclerc je ne sais plus comment on l'appelle maintenant) ?
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  24. Pour être dans le HS, beau gâchis, Bull était très bien placé dans beaucoup de domaines....., dire que le premier micro ordinateur était français mais le reste n'a pas suivi.
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  25. Ben c'est le Royaume-Uni qui a financé l'indépendance grecque après tout. Ainsi que sa recapitalisation (avec l'aide de la France) lorsqu'elle s'est prise des taules successives face à la Turquie et tout au long du XIXième siècle et même après.
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  26. @ Extramusica Il à un petit air d'AMX 13 :D. Il à servi de base pour le développer? Ce sont en effet les mêmes bureaux d'études. Il est ressemblant effectivement à l'AMX 13 qui lui est antérieur quand à sa conception. L'AMX-13 est un char léger Français produit à 7 700 exemplaires (dont 3 400 exportés dans 35 pays) entre 1953 et 1985. Son châssis a servi de base à de nombreux engins blindés allant du transport de troupes (AMX-13 VCI) au lance-missiles anti-chars, en passant par la pièce d'artillerie équipée d'un canon de 105 ou 155 mm. (Wikipédia) Quand aux Sherman, il est resté très longtemps en unités de combats, tant dans l'armée Française que dans l'Armée Israélienne pour ne citer que ces deux armées. Durant la guerre du Sinaï en 1956, de nombreuses unités Israélienne en avaient encore en dotation avec les Centurion-Mammouth Britannique.
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  27. the Canadian Forces required strategic sealift capacity for operations in the 21st century.[4] The Minister of National Defence at that time, David Pratt, was directly involved in several major procurement projects totaling $7.0 billion including the Joint Support Ship Project and what became the Amphibious Assault Ship Project, declaring that in the next decade the Canadian Forces must expect to engage in the sort of operations it has experienced over the past decade the Royal Canadian Navy had shown "strong interest" in purchasing two Mistral class amphibious assault ships from France.[6][7] A Mistral class ship can carry a significantly large military force with equipment and vehicles in "fighting order", enabling the Canadian Forces to face armed opposition ashore. As conceived, the Amphibious Assault Ship Project envisioned a ship that could carry personnel and equipment that could rapidly disembark in waves using landing craftand/or helicopters such as the CH-47 Chinook. The ship would be able to disembark personnel and equipment, and support to them in the face of armed opposition. The warship could also be used in support of humanitarian operations since it would have a large hospital on board designed for treating combat casualties. The ship will be able to carry a battalion-size able to conduct noncombatant evacuation operation around the world. As with any amphibious assault ship, a possible Canadian amphibious assault ship would be expected to carry a number of transport helicopters as well as aircraft for possible offensive and defensive roles. The staff of the Canadian Forces had requested that the ship be capable of carrying a minimum of six attack helicopters along with seventeen medium helicopters or 12 heavy-lift helicopters.[7] In 2003, the former Major General Lewis MacKenzie declared that Canada must consider buying the aircraft carrier-capable version of the F-35 Lightning II[9]
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  28. Le Raid cherche vraiment à s'équiper en fusils semi-automatiques et à pompe très ramassés et compacts depuis pas mal d'années. Pendant Merah on les avait déjà vus avec des Saiga 12. Le fait qu'ils acceptent le KSG est un très bon coup de comm' pour Kel Tec. Jusqu'à présent seules de rares unités (notamment des gardiens de prison) aux US avaient acheté l'arme, malgré des démonstrations tendant à prouver sa fiabilité et sa résistance. Les utilisateurs civils ayant essuyé les plâtres au début de la carrière commerciale du fusil lui avaient fait une assez mauvaise réputation à vrai dire, les produits Kel Tec, généralement très innovants, étant réputés fragiles du fait de leur construction faisant massivement appel aux polymères et de leur assemblage utilisant des vis. Dans les faits, leurs produits les plus réussis comptent parmi les plus fiables tout en restant très abordables. Voir la carabine SU16 en 223 par exemple.
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  29. Tu voulais dire "derrière" je suppute ... Ah oui ... C'est donc pour çà qu'il ne faut jamais tourner le dos à un grec ... Que ce soit Solon donc, Thémistocle ou ton Nikias, ou d'autres encore plus actuels ? Arf, oui ... Navré ... Un peu lourd ! M'enfin, un peu de bagatelle dans ce monde de grecs, ce ne peut faire de mal ... ;) :P
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  30. Il y en a qui portent bien leur pseudo.
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  31. http://www.lowyinterpreter.org/post/2015/07/13/Rebranding-Jihad-(part-2)-Another-Islamist-group-goes-mainstream.aspx (13 juillet 2015) L'auteur signale un « article de propagande » paru récemment dans le Washington Post, au service d'une politique de changement d'image marketing ("rebranding") d'Ahrar al-Sham, devenant miraculeusement "modéré" sur la seule base de la non-allégeance à Al-Qaïda ou EI. Cela pourrait préluder un soutien américain à ce groupe, notamment par le biais des programmes d'entrainement de "rebelles modérés". Rappel :
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  32. Que cette image est vilaine. Je me souviens de mes années étudiantes où l'on m'apprenait que la base dans une négociation est la position des sièges : face à face, c'est jouer inconsciemment sur l'opposition, toi contre moi. Vous me direz que cette position est plus pratique parfois. Certes, mais dans cette image il y a tellement de l'Europe vs la Grèce...
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  33. A mon avis les différents spot d'envol doit pouvoir supporter la masse du V22. Mais ce n'est pas sur qu'ils puissent supporter un appontage de V22 (donc avec une vitesse verticale de plusieurs m/s) Le point lourd doit être prévu pour supporter un appontage d'une charge lourde ce qui est bien plus contraignant que juste le stockage d'une charge lourde.
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  34. Un entretien avec Emmanuel Todd - « On assiste à la 3e autodestruction de l’Europe sous direction allemande » Comme souvent avec Todd, une expression vive et imagée, contestable dans le degré et les détails. Mais des fulgurances, et une mise en perspective bienvenue avec le point de vue du démographe et de l'anthropologue.
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  35. Un documentaire sur le M4 Sherman . J'ai toujours eu un faible pour le M4 malgré ces défauts ,blindage léger et tendance à prendre rapidement feu . Le documentaire explique bien l'intérêt de ce blindé dans un contexte de guerre ou s'est celui qui fabrique le plus et cela le plus rapidement qui prenait l'avantage . Par contre on relate dans ce documentaire la destruction du Tigre de Michael Wittmann ,et l'on présente celle-ci en parlant d'un blindé firefly brits ,alors qu'on aurait parlé aussi d'une destruction par un avion ,et une autre par des blindés canadiens . https://fr.wikipedia.org/wiki/Michael_Wittmann En fait le M4 par rapport à sa conception de départ a vraiment joué son rôle d'appui pour l'infanterie dans la guerre du Pacifique avec les Marines . Je lui ai toujours trouvé une gueule attirante .
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  36. Tu te déguises comme ça http://cdn.newadnetwork.com/sites/prod/files/uploads/sandrinev/touriste.jpg 100% de chance de succès grâce à cette tenue...
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  37. Et par sarcasme, puisque cette histoire n'aurait rien d'économique, je propose que la Grèce se modernise.
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  38. Je ne suis pas d'accord avec Hornet et d'autres qui accablent Daoud d'attaques (trop faciles à mon sens) d'anti-algérianité. Le passage que tu cites sur les bars aux volets fermés est très juste. C'est exactement ça. On lui reproche peut être d'être trop juste et d'affranchir les étrangers sur certaines réalités que les algériens se refusent entre eux à admettre. Et puis voilà, il joue trop bien son rôle d'intellectuel critique et ratisse large, personne n'échappe à son regard et sa plume acérée. Mais au final à l'entendre, personne ne trouve grace à ses yeux, il a l'air de vouloir transformer son pays en paradis pour bobos intellos, ce qui n'est pas près d'arriver. Cela doit être cela qui en hérisse beaucoup, plus le fait qu'il trouve une forme de reconnaissance en France, bien connue pour sa promptitude à critiquer l'Algérie. Lire Daoud ne donne qu'une vision désabusée d'intellectuel type "Saint Germain des Près". Il faudrait compiler le travail de documentaristes, chercheurs, comiques youtube, chanteurs de rai ou de variétés locales, etc pour se faire une idée de la complexité de la société algérienne. Tu rigoles, prends n'importe quel sujet de teneur politique. Gauche contre droite, communisme vs nazisme, les noirs en Amérique, va sur youtube et t'auras un déluge de commentaires putrides d'agressivité adolescente la plus débile qui soit. Si tu te fies aux commentaires yahoo ou figaro.fr tu as l'impression que la France vote FN à 80%. Utilises ton cerveau 2 secondes. Tu as sur ce forum des kabyles et des berbères qui te disent que la réalité est autrement plus complexe, ce que tu racontes pue l'orientalisme d'amateur.
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  39. Les freins de bouche réduisent en général 30 à 40% de la force de recul. Elle a des airs de T21 cette tourelle.
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  40. Réfléchir avant d'agir ! Un exemple à suivre... Les méfaits des UV
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  41. A Sarajevo il y a des hauts bâtiments aussi :lol:
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  42. Le système de d'amortisseur/frein, il me semble qu'il a une course plus longue de manière a dilluer dans le temps la contrainte et donc de la lisser, évitant les pic d'effort. au dela il y le débattement vertical. Je ne ais pas quel est le maxi exactement mais a le canon peu tirer a +30° peut etre meme un peu au dela, lui permettant d'envoyer des obus a 12 kilometre. C'est utile pour l'appuie feu NLOS notament. Soit avec des obus "dumb", soit avec des munition intelligente, planante, drone kamikaze etc. Je ne sais pas quel est la fleche sur un tir a hausse maxi mais ca doit donner pas mal d'énergie a la munition intelligente pour quelle est une altitude suffisant pour observer d'en haut, planer choisir des cible et au besoin piquer dessus pour les détruire. Avec les canon de char classique qui tir rasant c'est compliqué d'envoyer un drone en altitude, il faut utiliser l'aérodynamique du drone pour faire une grosse ressource etc. pas optimal du tout. En gros cette tourelle est tres polyvalente - elle tire de l'APFSDS classique avec un chouilla moins d'énergie que le Leclerc ... mais ca doit etre suffisant pour faire gros gros bobo au char d'en face. Donc fonction tank destroyer - elle permet de faire de l'appui direct y compris contre des cible en hauteur, c'est toujours utile dans des zone vallonée, en ville etc. - elle permet de faire de l'appui indirect "NLOS" mais si c'est pas un Caesar ca dépanne bien de pouvoir tirer a 30° ... au pire le client doit pouvoir demander un peu plus de débattement si ca lui semble indispensable. 12km c'est loin d'etre ridicule. De plus souvent la fleche des trajectoire des munition d'artillerie est limité par les conflit avec les aéronef, donc il n'est pas forcément possible de tirer lobbé, ou beaucoup plus loin que 20km même avec les Caesar. - elle permet d'envoyer en "orbite" des munition planante. Munition sont intéressante non seulement par le fonction drone kamikaze, mais aussi pour leur extension de portée. On imagine quelles pourrait aller très au delà de 12km de l'obus standard, si elle plane, et/ou s'il y a un petit moteur de croisière/attaque. Planter ce genre de tourelle allégée au maxi sur une châssis très mobile stratégiquement ça permettrait de parer a toutes les mauvaises rencontre, l'engin étant potentiellement capable de tout traitement de manière "satisfaisante". - Des munition flèche moderne dans le canon 120 contre les char moderne - Des obus explo, pour l'appui direct et indirecte standard - Du drone kamikaze pour la reconnaissance attaque NLOS intelligente. Ça peut aussi servir a attaque du blindé ou du bunker par le dessus/derrière etc. si t'ajoute un balon/aeronef captif avec des senseurs - sonore, optique, IR - qui vont bien tu peux même faire un système de guet d'assez longue portée. On pourrait même envisager une fonction anti hélicoptere/"avion lent" de dépannage, avec le mat plus les obus guidé.
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  43. A propos de ce post : Est-ce ainsi que la 12,7 du Leclerc est montée ?
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  45. Sinon, on les garde comme compensation de l'emprunt Russe... les vieilles dettes sont a la mode :D :D :D
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  46. Après leur intégration à l'Ecole des Fusiliers, les élèves issus de l'Ecole des Mousses ont participé à un WE d'intégration au Cours QMF. https://www.facebook.com/fuscomarineofficiel/posts/1162651167084710
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  47. Nouveaux commandants dans les unités de Fusiliers. CiFusil Sainte Assise Compagnie Île Longue Toulon L'Amiral fait reconnaître le nouveau Commandant. GFM Toulon avec le Drapeau du 1er Fusiliers Drapeau de la Demi Brigade à la garde de la CieFusil Cherbourg Cherbourg
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  48. Bonjour a tous , je me suis lancé dans la conversion de mes anciennes VHS avant qu'elles ne deviennent définitivement inexploitables ... voici donc des vidéos , reportages , pour certains que vous n'avez peut être jamais vus !! bon visionnage ! il y aura des mises a jours fréquentes au fur et a mesure de la mise a disposition des vidéos ;) ----------------------------------- 1999 , Suivez le Capitaine Alain Personnat dans son apprentissage du Solo Display sur Mirage 2000 . CAP10, Patrouille de France , Bourget , tout y passe . + Des images rares du Rafale C01 avec Denis Garnier aux commandes . ... ------------------------------ Echange FR/US Un Pilote Français sur T45 Goshawk , un pilote US sur Super Etendard .. Porte avions Foch juste avant son retrait du service actif Vs porte avions G.Washington Différence de moyens et de culture ... ------------------------------------ Reportage sur les pilotes et le Porte avions Foch - 1999 ------------------------------------ différents reportages diffusés avant le défilé du 14 Juillet 2003 ( Permanence opérationnelle , ALAT , CPA ) ------------------------------------ Planète Science , sur le Mirage 2000 ------------------------------------ Kosovo 1999 - Les Français dans la guerre Mirage 2000C/D , Foch ----------------------------------
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