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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 24/01/2017 dans toutes les zones

  1. Ca m'a fait penser a cela :
    3 points
  2. Les legendres ont la vie dure Des études récentes montrent que de toute façon la Wermacht ne pouvait monter en puissance suffisante que à l'été 41. Rappel, entre la fin de la campagne de Grèce et Barbarossa, il y'a 3 semaines, largement le temps de réorganiser les unités précédemment engagée. De plus avec l'action en Grèce, l'Allemagne se facilite un passage pour former le front sud et une coordination avec la Bulgarie et la Roumanie. Enfin ce n'est pas l'hiver qui ralentie les forces allemandes : il y'a juste un petit truc en Russie (surtout avec peu d'infrastructures routières) qui s'appelle la Rasputitsa : la boue de l'automne et du printemps (à la fonte des neiges). L'hiver malgré la légende (partiellement vraie mais pas complétement) des tourelles de chars/mécanismes d'armes/carburant ou vetements gelants sur pied a été relativement favorable à un certain nombre d'offensives mécanisées (pour les 2 camps) Et oui on avance plus vite et mieux en char ou VTT ou camion sur un sol gelé que dans 40 cm de boue collante.
    3 points
  3. Vrai. Cependant l'information de cette Annexe B sur le degré de dépendance de la dissuasion britannique est prise aux meilleures sources. On peut en trouver une version plus détaillée ici (PDF) issue d'une citerne à pensées britannique le Foreign Policy Centre. Voir le tableau pages 16-17 notamment. Page 18 du rapport, dans la section Firing Trident discutant si la Grande-Bretagne pourrait tirer un missile Trident si les Etats-Unis le refusaient, cette anecdote savoureuse - du moins si l'on est Français, pas du point de vue des Britanniques
    3 points
  4. L'US Army dissout ses dernières compagnies LRS (Long Range Surveillance) d'active : http://www.stripes.com/news/army-quietly-deactivates-its-small-team-reconnaissance-units-1.450392 Les unités LRS sont des unités de reconnaissance en profondeur organiques aux divisions ou corps d'armées. Comme les unités Force Recon des Marines, elles sont souvent sabrées lors des restrictions budgétaires par une armée qui compte se reposer sur d'autres moyens de reconnaissance, pour être recrées lorsque l'usage fait ressentir leur besoin...
    3 points
  5. Très intéressante vidéo sur le fusil Berthier ,très instructif sur les capacités en terme de chargement , il y a même un système d'éjection du clip en cas de pb ! Sur celle-ci , on a une explication avec un dessin animé qui permet de voir de l'intérieur le concept de chargement ! Une vidéo vintage !
    3 points
  6. Bonjour j'ouvre ce file , car depuis un petit moment je m'intéresse aux armes de la première Guerre Mondiale . En fait , j'étais resté sur l'idée que l'arme de l'armée française était uniquement le Lebel pour l'infanterie et les carabines/mousquetons Berthier pour les cavaliers ,sapeurs et artilleurs . Je pensais que le Lebel avait eu quelques modification mais que le concept de chargement était toujours le tube dans le fut de l'arme . Sauf que je découvre que le Berthier remplaça le Lebel de manière importante , en apportant le concept de clips à 3 cartouches ,puis de 5 cartouches ,en sachant qu'on pouvait déjà avoir une cartouche en chambre . Certes le Lebel avait une plus grosse contenance en cartouches , mais le re complètement était long . Le Lebel fut le fusil qui innova une nouvelle ère ,et cela nul ne peut le remettre en cause , portée de tir importante ,poudre sans fumée , capacité d'avoir plusieurs cartouches dans l'arme , un super fusil pour l'époque . http://www.lesfrancaisaverdun-1916.fr/uniforme-armes.htm http://armesfrancaises.free.fr/FR Mle 1916.html https://horizon14-18.eu/fusilsberthier.html Enfin voilà , j'ai toujours eu un faible pour le Lee Enfield britannique , mais je m'aperçois qu'avec le Berthier , on était loin d'être dans les choux avec le concept de lames chargeurs . Le Lee Enfield s'était une contenance importante de munition ,mais avec un système de clip , permettant d'enfiler les cartouches dans l'arme ,donc une manip ou l'on pousse les cartouches, alors que le Berthier était une lame chargeur , donc l'un dans l'autre ( moins de cartouches pour le Berthier ) sa ce tenait . Donc nous n'étions pas dans les choux et ces armes étaient de qualité . Je pense que l'infanterie française était bien équipée au niveau armement . Certes notre FM chauchat n'était pas aussi top que la Lewis ou le BAR ( qui arrivera tardivement à la fin de la guerre ) mais bon ,dans ce contexte d'une armée de taille importante , on a fait au mieux dans un contexte de guerre , quand on observe la chose , on a fini par adopter après guerre avec le FM 24/29 ( superbe FM ) . On reste toujours dans l'idée qu'on était pas au top question matos et armement en comparaison d'autre pays , mais la France a su faire évoluer et adapter pas mal de choses et n'avait donc rien à envier aux équipements ,tenues ,casques ( on est les premiers à équiper nos soldats avec le casque Adrian bien avant tout le monde ) et l'armement . Je pense que le côté "désuet" est du au fait que le Lebel et des uniformes ,certains équipement peu évolué ( sauf pour nos unités ayant combattu à Narvik , s'était le best question matos ,équipement et armement ) était encore en place lorsque la 2°Guerre Mondiale éclata , alors qu'on avait commençait ( mais trop tardivement ) à équipé en MAS 36 notre armée ( superbe fusil !) . Enfin voilà , les anglais avaient le Lee Enfield , les US le Springfield modèle 1917 , les allemands le Kar 98 ,des armes très populaire mais notre Lebel et le fusil Berthier ( et ces modèles qui avaient évolué ) était loin d'être de mauvaise armes . Une vidéo très intéressante sur l'évolution du Berthier : Très intéressante vidéo sur le chauchat , avec des explications très honnête , la mauvaise réputation de l'arme n'est pas toujours justifié comme cela est expliqué , bien évidemment il n'est pas le meilleur FM , sa s'était une réalité mais bon , vous verrez s'est très instructif !
    2 points
  7. Quelle surprise ! Ils auraient du prendre des sea typhoon.
    2 points
  8. Allez, avant de replonger dans le "gloom and doom" de ce pouvoir ploutocratique néo-féodal si emblématique de ce que le futur semble amener, une petite note d'espoir sous l'angle de vue des geeks de SF, nombreux sur ce forum (et beaucoup sont encore dans le placard: allez, n'ayez pas honte).... Trump n'a pas été assassiné avant ou pendant son inauguration, ce qui n'a logiquement que 3 conclusions possibles: - sa présidence ne sera pas si catastrophique et dévastatrice que cela - le voyage dans le temps ne sera jamais inventé (NNNNNOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNN!) - le futur nous a envoyé une vraie équipe de bras cassés qui a complètement foiré son coup.... A tel point qu'il a été décidé de ne pas envoyer d'équipe B "Nous ne voyons pas d'autre explication"
    2 points
  9. Donc un pays vaincu dont la moitié du territoire est occupé par une puissance étrangère, mais qui pour autant n'envoie pas le moindre soldats combattre aux côté de ladite puissance, c'est une alliance, car il y a eu entrevue et promesses vagues entre les chefs d'états. Vous êtes sûrs que c'est cela la définition du mot "alliance"?
    2 points
  10. http://french.peopledaily.com.cn/n3/2017/0118/c31357-9168373.html (17 janvier 2017) Echec du lancement par le Japon d'une des plus petites fusées orbitales du monde (fusée SS-520-4, d'une longueur de 9,5 mètres). http://ryukyushimpo.jp/news/entry-430989.html (21 janvier 2017) Un hélicoptère d'attaque américain AH1Z a fait un atterrissage d'urgence sur un chemin rural à Okinawa. https://www.lorientlejour.com/article/1031095/le-japon-lance-son-premier-satellite-de-communication-militaire.html (24 janvier 2017) La fusée japonaise H2-A a placé mardi dans l'espace un premier satellite de télécommunication pour le compte du ministère de la Défense
    2 points
  11. Une précision sur la communication. Le parlement britannique n’était pas au courant. On pourrait dire que tous les députés n’avaient pas tous forcément l’accréditation secret-défense. Ni qu’ils n’avaient pas tous des responsabilités qui impliquaient qu’ils avaient besoin de l’apprendre. Mais les députés de l’équivalent local de notre commission de défense ont confirmé qu’ils n’étaient pas plus au courant. Eux aussi avaient eu des informations comme quoi cet essai avait été une brillante réussite. Même ceux qui avaient une l’accréditation secret-défense et une responsabilité qui normalement fait qu’ils ont accés n’ont pas eu d’information vrai.
    2 points
  12. Les casques bleus chinois au Mali se dotent d'un système anti-roquettes Read more : http://www.eastpendulum.com/les-casques-bleus-chinois-au-mali-se-dotent-dun-systeme-anti-roquettes Henri K.
    2 points
  13. Je suis de ton avis, no problemo. J’avance que « La disponibilité technique opérationnelle attendu ne serait pas le point fort de l'Oplot... » sans n’avoir à disposition aucun chiffre et juste un article de source ouverte (qui plus est de Sputnik). Vraisemblablement les qq décennies passées sur de la maintenance mobilité terrestre m’amènent à utiliser assez légèrement cet acronyme en lieu et place de « problèmes techniques », toujours selon Sputnik. Je confesse. Poursuivons-donc ce petit bout de chemin teinté de sémantique sur la MCO Gauloise jusqu’à son terme. Pour l’EMA la disponibilité d’un parc « roulant » se traduit, ou plutôt se subdivise, en deux entités ; La DTI (disponibilité technique immédiate) et la DTO (disponibilité opérationnelle). Toutes deux sont illustrées par un pourcentage. La DTI procède de la métropole (OPINT inclus) et prend en compte tout aspect technique impactant de fait ou à venir l’immobilisation du véhicule et/ou de son cœur de métier (AGC, APC, manutention levage, système d’arme...). Ainsi cette liaison propre à la DTI entre le « c’est en panne » et le « ça peut ou ça va tomber en panne » est capitale, elle la différencie de la DTO. Par exemple pour la DTI, une courroie de transmission usée, un cardan bruyant ou la capacité d’un frein de parc sont pris en compte et impliquant une immobilisation. Cet immo’ rentre dans le calcul DTI de l’unité, puis du régiment, ou tout simplement d’un parc. Les critères de la DTI sont significativement axés sur les aspects techniques, d’ailleurs essentiellement selon les préconisations constructeur, avec une marge de sécurité surdimensionnée. Ainsi la moindre ampoule de phare HS ou la simple pression de gonflage d’un pneumatique compte. Pour la petite histoire, la DTI est la bête noire des CDC et des CDU d’une formation doté car réellement prise en compte comme critère pour la notation de leur temps de commandement. La maintenance n’est pas porteuse ! (ceci expliquant cela). La DTO n’a pas de frontière (métropole, OPINT, OPEX) et prend en compte uniquement les aspects d’immobilisation du véhicule (panne, casse d’utilisation ou dommages de guerre) et de son cœur de métier. A titre info, hors ambulances et engins du génie, elle est de 72% en national et 90% en OPEX sur 2010. Ici l’ampoule ou la courroie de transmission ne sont pas pris en compte pour le calcul. A Barkhane on se fout de l’état du balai d’essuie-glace conducteur. En revanche ce qui immobilise compte. Ce qui roule, tire ou tracte est opérationnel .Une DTO supérieur à 80% est qualifiée « d’immédiate » et de « bonne ». C’est le véritable indicateur pour l’EMA d’un parc roulant, autorisant ainsi telle ou telle projection. Connaitre la valeur réelle d’une DTO procède de données opérationnelles et à ce titre sont classifiés. Certes qq chiffres sont politiquement communiqués à la presse ou par la SIMMT ou le SMITer lors des appels d’offres ou à consultation, et encore... Une session à titre onéreux d’un matériel de la mobilité terrestre à l’international se négocie sur une base d’une DTI. Mais ici je parle de données nationales. Quant à connaitre celles de la Thaïlande... PS : EMA Etat-major des Armées MCO maintien en condition opérationnel CDC chef de corps CDU commandant d’unité SMITer Service de maintenance industrielle SIMMT structure intégré du MCO des matériels terrestres
    2 points
  14. Sur ce coup là Tancrède a totalement raison. Les arguments des pro-foule nombreuse sont basiquement grotesques. Y a t il du monde? oui. Mais bien bien moins que pour les précédents. Avec un échec total de la communication. En gros ça on s'en fout. Le mensonge du press secretary est tellement absurde, grotesque et pathétique qu'il vient de détruire 50 ans de crédibilité... Le message est bien "on dira de la merde et on s'en fout de la vérité". Cela postule que celui qui regarde et écoute est un larbin ou un abruti complet (chose fort possible au demeurant). En gros ils parient que la base des abrutis suivra et gobera tout et n'importe quoi.
    2 points
  15. Il y a bien eu des rapprochements surtout durant le mandat de Louis Barthou en tant que ministre des affaires étrangères, dans l'armée aussi certains auraient préféré une alliance de revers avec l'URSS, même si les français globalement avaient une assez mauvaise une image de l'armée rouge. Pour cela je conseille la lecture du livre de Georges Vidal, "Une alliance improbable". Des commentaire sur ce livre ici : http://communismeetconflits.over-blog.com/2016/05/l-armee-francaise-face-a-l-urss.html http://guerres-et-conflits.over-blog.com/2016/01/mysterieuse-armee-rouge.html
    2 points
  16. Il a été le premier char britannique équipé pour faire le thé : https://warisboring.com/the-british-perfected-the-art-of-brewing-tea-inside-an-armored-vehicle-1cc012f3ee54#.fu1fvoua4
    2 points
  17. C'est ce genre de choses qui ont été pensées en 1938 lors des accords de Munich. Je trouve excellente la réaction de W. CHURCHILL : "ils avaient le choix entre le déshonneur et la guerre. Ils auront les deux !". Et on a eu les deux. Surtout nous les français. Ce type de leçon ne s'oublie pas. Si on "lâche" les pays baltes, on se perd sois même. L'ours russe a besoin de réguliers petits coups de laisse histoire qu'il ne s'imagine pas qu'il peut tout faire. On a déjà abdiqué sur l'Ukraine. J'espère et je souhaite qu'on en reste là sur les renoncements à nos frontières. Encore un HS, mais fort intéressant.
    2 points
  18. Tu viens de résumer la vie d'un forum
    2 points
  19. Mais on le sait ce qui a cloché : Ce qui a cloché, c’est pour commencer la communication du MoD britannique qui annonce un « succès » du test en jouant sur les mots puisque ce qui a été un succès c’est la démonstration de la capacité du sous-marin modernisé et de son nouvel équipage à faire sortir le missile de son tube, et rien de plus… Avec de tels critères de réussite, le tir de M51 par LeVigilant le 05 mai 2013 fut aussi un bien beau succès. Et de même, les russes sont plutôt bons avec leurs Bulava, qui ont la plupart du temps au moins pu décoller lors de leurs essais (et qu’ils ne soient jamais arrivés est un point qu’il faut être bien mesquin ou viceralement anti-russe pour avoir le culot d’en parler…). La deuxième chose qui a cloché, c’est un premier ministre qui a menti à son parlement et un MoD qui ment dans ses communiqués au public. Ça c’est bon pour la confiance, quand demain il faudra parler de Libye ou de l‘Irak... Au fait, le Trident II D5, c’est bien un produit exceptionnel signé Lockheed-Martin, isn’t it ? Comme le futur avion exceptionnel-de-la-mort-qui-tue de la RAF, le tant attendu, tant espéré, tant promis, j’ai nommé le F-35… Eh bien, cela promet !
    2 points
  20. Quand c’est raté… C’est bon quand même ! On apprend aujourd’hui, soit huit mois plus tard, que le test de qualification d’un lancement d’un Trident II D5 par le HMS Vengeance en juin 2016 fut un échec. Le HMS Vengeance est sorti en décembre 2015 d’un chantier de modernisation-refonte de quatre années ( !...) et pour un cout de 350 millions de livres. Lors d’un tir test en juin 2016 effectué au large de la Floride, le missile Trident s’est semble-t-il dirigé vers les USA au lieu de la zone cible située à l’opposé au large de l’Afrique… Interrogé par l’opposition de sa Gracieuse Majesté, le gouvernement de la dite Gracieuse Majesté, qui en juin 2016 avait annoncé le succès de l’essai, reste sur ses positions et confirme le succès même s’il reconnait - maintenant - que le missile n’est pas allé là ou on l’avait dirigé… […the Ministry of Defence did not deny that the missile had veered off course but described the test as a success]. https://www.theguardian.com/uk-news/2017/jan/22/ltrident-malfunction-cover-up-claims-labour-urges-investigations http://www.bbc.com/news/uk-38708823 Moi, tout ça ne me dit rien de bon. Imaginez que Poutine attaque la Grande-Bretagne : il sait maintenant qu’il peut faire d’une-pierre-deux-coups et parvenir à dévaster l’Europe au passage avec une salve de missiles Trident britanniques finement ajustés vers Moscou et qui finiront sur Naples, Stockholm ou Limoges…
    2 points
  21. 2 points
  22. Non je ne m'étonne plus de rien depuis longtemps en ce qui les concerne , mais s'est la seule chose qui m'est passé par l'esprit en pensant à cela .
    1 point
  23. C'est pas la mission d'Avril 2014, ça ? http://www.defense.gouv.fr/air/actus-air/l-ile-de-la-reunion-accueille-pour-la-premiere-fois-le-rafale Le retour avait été chaotique, d'ailleurs.
    1 point
  24. Macron et Fillon vont à Berlin : http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2017/01/10/emmanuel-macron-a-berlin-pour-se-donner-une-stature-europeenne_5060405_4854003.html (10 janvier 2017) Fischer et Cohn-Bendit saluent avec enthousiasme le discours pro-européen de Macron à l'université Humboldt. Dans une tribune publiée dans Le Monde le 2 janvier, M. Macron avait préparé le terrain, tressant des lauriers à Angela Merkel et aux Allemands s’agissant de leur politique d’accueil des réfugiés http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2017/01/24/a-berlin-francois-fillon-se-demarque-de-emmanuel-macron_5068106_4854003.html (24 janvier 2017) D’un côté, François Fillon a clairement affiché sa volonté de coopération très étroite entre nos deux pays, notamment sur la zone euro et en matière de politique de défense ; de l’autre, il n’a pas hésité à marquer ses différences. » Première divergence : la politique migratoire. « La France ne peut pas accepter plus de réfugiés », a expliqué M. Fillon. Un point de vue qui diffère, certes, de celui de la chancelière, mais qui rejoint celui d’une partie de la droite conservatrice allemande, et notamment de la CSU bavaroise. Seconde divergence : la relation à la Russie. Lundi, M. Fillon a ainsi déploré le « manque de discernement de l’Europe et des Etats-Unis » à l’égard de la Russie et plaidé pour une levée des sanctions. https://www.welt.de/politik/ausland/article161442406/Warum-Merkel-fuer-Frankreichs-Konservative-zu-links-ist.html (23 janvier 2017) Le journaliste se prend les pieds dans le tapis en disant que Fillon a prôné le "non" dans le "référendum de Maastricht en 2005" ! À part cela - mais aussi peut-être en partie à cause de cette erreur - il identifie le fait que Merkel est "trop à gauche" pour les "conservateurs français" et que Macron est "significativement plus proche" de la chancelière. Lié au fait que sa femme est British, Fillon s'intéresserait plus à l'Angleterre qu'à l'Allemagne. Dans une interview au Monde et à la Frankfurter Allgemeine, il a dit que la relation franco-allemande est "fondamentale" face aux superpuissances russe, américaine et chinoise, mais qu'elle est actuellement "vide et faible". Merkel est un peu déboussolée, croyant durant l'été qu'elle aurait affaire à Juppé. Aujourd'hui en Allemagne, on est très prudent sur les chances de Fillon de gagner. On a noté qu'il avait chuté de plusieurs points dans les sondages après la primaire.
    1 point
  25. Franchement la formulation est au moins malheureuse pour ne pas dire totalement aberrante. Tu sais parfaitement qu'il n'y a eu aucune alliance de la France avec Hitler en 1940 - contrairement à celle de l'Union soviétique avec lui en 1939, débouchant sur un défilé de victoire commun à Brest-Litovsk afin de célébrer le glorieux succès remporté sur la Pologne. La France a été pratiquement seule en 1940 à faire la guerre à Hitler, et elle a échoué. Voilà ce qui s'est passé, et non une prétendue "alliance". Quand je dis "pratiquement" seule, je n'oublie pas le petit corps expéditionnaire britannique, ni les forces belges et néerlandaises. Simplement la réalité est que les forces françaises étaient très majoritaires sur le Front ouest, la Grande-Bretagne notamment choisissant de n'intervenir qu'à la marge sur le continent - le souvenir des pertes de 1914-1918 les effrayait eux aussi - tandis que la Belgique et les Pays-Bas ont été rapidement prises de court, à cause essentiellement de la proximité géographique de l'agresseur qui lui permettait de gagner à la première offensive, et en dépit de la contre-offensive française initialement couronnée de succès en Belgique, dirigée par le général Priou, première bataille de chars de l'Histoire, remportée par la France - à la différence hélas de la suite. Vrai, la politique d'aucun des futurs adversaires du Reich n'est défendable dans les années 1930, ce qui inclut d'ailleurs les Etats-Unis et même la Pologne profitant des accords de Munich pour récupérer un petit territoire tchécoslovaque ainsi que la Belgique refusant l'alliance française. Il y a tout de même une différence avec Staline, qui s'est allié en fait si pas en droit avec Hitler et a mené des conquêtes communes avec lui. Si la France avait conquis le Bénélux avec l'Allemagne en 1939, avec défilé commun à Maastricht des forces franco-allemandes et fraternisation et félicitations réciproques pour la glorieuse victoire, le gouvernement français serait aussi critiquable que Staline. Oui, il y a d'ailleurs un paradoxe absolu à ce que beaucoup de Russes considèrent aujourd'hui qu'une bonne partie de la gloire d'avoir vaincu le Troisième Reich revient à Staline. La réalité est qu'il était une véritable catastrophe stratégique qui a grandement affaibli l'Union soviétique avant et pendant la guerre. Sans lui, le coût de la victoire aurait été un peu moins écrasant pour les Russes et les autres peuples soviétiques. En même temps, il faut tenir compte justement d'une part du fait que le camp "républicain" n'était pas constitué d'anges de lumière, pour dire le moins. D'autre part du fait que Franco, qui était d'ailleurs un dictateur nationaliste mais pas un fasciste, a su faire prévaloir les intérêts de son pays après la guerre civile, d'abord et avant tout en refusant l'usage du territoire espagnol au Reich - ce qui lui aurait permis de "fermer" la Méditerranée, avec des conséquences en chaîne potentiellement désastreuses pour la suite de la guerre. Hitler pouvait bien s'étrangler devant l' "ingratitude" de Franco, ça n'y a rien changé. Voir leur entrevue à Hendaye en 1940. En somme, Franco contrairement à Mussolini avait une colonne vertébrale - je préfère ce décalque de l'expression anglaise à notre expression à nous qui est tout de même misogyne. Pendant que Benito passait de "Il faut vraiment être c.. comme un Allemand pour être antisémite" au début des années 1930 à l'alliance avec Hitler en 1938, Francisco se méfiait fondamentalement d'Adolf et surtout osait laisser l'Espagne hors de la guerre malgré les pressions allemandes - n'envoyant qu'une division Azul sur le front de l'Est, et surtout refusant l'accès de son territoire. Discussion intéressante... dites les gens, et si on continuait dans la bonne partie du forum ?
    1 point
  26. une video sur la bataille de Deir-El-Zour prise du cote EI, on voit bien la difficulté de mener une offensive en terrain désertique sous le feu de l'artillerie et des raids aériens,les pertes doivent être tres élévés. on a aussi pas mal de tirs de snipers, j'avais remarqué dnas une autre vidéo loyaliste pas mal de combattants avec des fusils de précision (surement la garde républicaine) . PS : la vidéo est prise d'un compte loyaliste, il y'a surtout des images de blessés, rien de gore
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  27. Toujours le Sinaï ... Égypte : cinq soldats tués dans le Sinaï http://www.jeuneafrique.com/396364/politique/egypte-cinq-soldats-tues-sinai/
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  28. Ce que les journalistes politiques américains, surtout ceux de Washington, ne veulent pas se résoudre à comprendre, est que le mot d'ordre qu'ils devraient adopter pour retrouver de l'audience, de l'influence, de la crédibilité (ou en tout cas tenter de le faire) est très simple, et pourtant, semble t-il extrêmement difficile pour leur mode de pensée: Arriveront-ils à s'y résoudre? Le veulent-ils vraiment, au fond?
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  29. Puisqu'on en est là... Je sais pas si quelqu'un s'en souvient mais certains avaient jugé approprié d'attaquer Trump sur la taille de ses mains/doigts et il l'avait assez mal pris... John Oliver en avait parlé dans sa première séquence sur l'actuel POTUS1 ( https://www.youtube.com/watch?v=DnpO_RTSNmQ ) et avait dit quelque chose qui finalement s'applique aussi très bien à la situation actuelle... (Voir à partir de 6:00 jusqu'à 6:30 et plus spécifiquement entre 6:20 et 6:30). Sinon, Tancrède, tu mentionnais le fait que la nouvelle administration refuserait d'évoquer des faits, empêchant donc de fait toute possibilité de réel débat, mais ce n'est pas vraiment une surprise compte tenu de la campagne qu'il a mené. Qui se souvient du "Says Who?" de Michael Cohen sur CNN?2 Ou de Newt Gingrich parlant du taux de criminalité à la RNC (toujours sur CNN)?3 Alors certes, on pourrait dire que ces deux là ne sont pas dans le cabinet de Trump ou que maintenant la campagne est finie, il vont changer leur façon de communiquer mais cette campagne, qui dure depuis mars 2015 soit plus ou moins un an et demi, a été simplement basé sur ces "faits alternatifs" et ils sont probablement tellement dedans qu'il ne peuvent pas vraiment changer d'un coup (si ils peuvent changer tout court) leur façon de communiquer... La partie qui m'inquiète le plus, c'est les informations que tout gouvernement ou agence gouvernementale se doit de fournir (chômage, PIB, pouvoir d'achat, dette publique, etc.). Comment est-ce qu'il va réagir quand on lui demande ce qu'il compte faire par rapport à une croissance (qui est pourtant Great Again™) qui ralentit? Ou ce qu'il compte faire pour contrer cette augmentation du taux de chômage dans tel État? Autrement dit, comment va t'il faire quand il sera obligé de travailler avec des faits qu'il n'a pas créé ou déformé? Quand il devra défendre son bilan dans 3 ans et demi? Est-ce qu'il va simplement admettre les faits et les résultats de ses politiques ou les refusera t'il? Pire, est-ce qu'il n'essaiera pas d'empêcher leur diffusion si ces chiffres ne renvoient pas l'image d'une Amérique Great Again™? Ça peut paraître très alarmiste mais je ne pense pas qu'on puisse s'attendre à grand chose venant de la salle de presse de la Maison Blanche pour ces 4 prochaines années... En tout cas, qui que soit le nominé Démocrate en 2020, je lui souhaite bien du courage... 1 C'est toujours aussi douloureux de l'appeler comme ça 2https://www.youtube.com/watch?v=m-Z9lTUu3e8 3https://www.youtube.com/watch?v=zNdkrtfZP8I (voir à 6:13)
    1 point
  30. Considéré comme l'Universal Tank résultant de la fusion de deux doctrines d'emploi ; celle de chars dit Cruisers et ceux d'Infantry. Pour une fois que les britanniques sortaient un char pas trop mal conçu.
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  31. Sans répondre à la question, deux points d'attention pour éclairer le choix : 1. Un tube, ça traverse la coque épaisse et c'est une faiblesse structurelle. Moins on en a, meilleure est la tenue mécanique de l'ensemble sans avoir besoin de rajouter des renforts dans tous les coins. Le tout, c'est d'en avoir suffisamment, tout en en ayant le moins possible ... 2. Pour un SSN, donc un monstre de discrétion, qui frappe depuis l'ombre et retourne s'y tapir aussitôt, quelle est la probabilité réelle de pouvoir tirer ses 6 armes sans risquer une dangereuse contre-frappe ? J'admet que le cas des missiles de croisière peut militer pour une augmentation. Pour les torpilles, je ne suis pas certain que la doctrine de saturation (j'en tire 4 ou 6, toutes en même temps, et il y en aura bien une qui touchera) soit toujours d'actualité. Un tir de 2, peut être 3 torpilles et il faut impérativement changer de position. Autant garder 1 ou 2 tubes armés pour une réaction immédiate, le temps de réapprovisionner les autres pendant la manoeuvre, mais pas la peine de faire une grosse salve, non plus. Malgré ses 6 tubes, le HMS Conqueror n'a tiré que 3 torpilles sur le Belgrano. Et ce nombre élevé s'explique par le fait qu'elles n'étaient pas guidées (Mk. 21 Mk. VIII), donc seules 2 ont fait but.
    1 point
  32. 1 point
  33. En haut à droite de chaque message, il y a une petite icône (trois petits cercles reliés ensembles) "partager ce message". En cliquant dessus, on récupère un lien que l'on peut copier-coller dans un autre topic. ;) De rien ! :)
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  34. Mon point de vue sur la situation : Contexte des dernières années D'une manière générale et depuis une décennie au bas mot, la France ne défie jamais aucun de ses deux partenaires Berlin ni Washington sur un sujet qui tient à cœur à ce partenaire. Parler de suivisme canin serait la plupart du temps une exagération, des nuances existent dans la position française, mais lorsqu'un sujet est vraiment important pour Allemagne ou pour Etats-Unis, chacun peut compter sur le soutien et l'approbation de Paris, au prix éventuellement de devoir écouter poliment une "nuance" au préalable, voire en tenir compte dans une certaine mesure (parfois), mais enfin pour l'essentiel de manière indolore voire invisible pour la capitale concernée : à condition de conserver les formes extérieures de la politesse, Paris suit et c'est tout. Les relations sont hiérarchiques, même si bien sûr ce n'est pas officialisé. Cette règle s'est clairement vérifiée en ce qui concerne la gestion de la crise de la dette européenne, la France arrivant toutefois à peser dans le sens d'empêcher l'expulsion brutale d'un pays comme la Grèce, plus encore pour la politique budgétaire définie en commun mais essentiellement à Berlin ou encore pour la politique commerciale par exemple la négociation du TAFTA. Elle s'est vérifiée aussi à l'OTAN, dans la politique vis-à-vis du Moyen-Orient ou en ce qui concerne la Russie, le partenaire étant alors plus souvent Washington que Berlin. En bref, dans les faits et sans se prononcer sur la question "aurait-il été ou non possible de faire autrement", la France est objectivement dans une situation de dépendance vis-à-vis de ces deux partenaires étrangers, pour des domaines très larges, d'ailleurs davantage qu'autrefois, et incluant notamment : politique budgétaire et monétaire, politique économique, politique commerciale, diplomatie vis-à-vis de l'Est et du Sud-Est de l'Europe. Il ne serait pas raisonnable de forcer le trait en prétendant que cette dépendance s'étend à tous domaines ce qui est évidemment faux, ou en prétendant que Paris a pratiquement zéro liberté dans ces domaines, il reste de toute façon une certaine liberté d'application dans les détails. Il ne serait pas raisonnable non plus de nier la dépendance et la situation hiérarchique défavorable dans laquelle se trouve la France pour définir sa politique dans ces domaines, ni le fait que cette dépendance est de plus en plus pesante, et semble avoir un impact croissant sur la politique française, n'étant par exemple pas sans rapport avec le renforcement ces dernières années d'options politiques fortement contestataires autour notamment de Marine Le Pen et de Jean-Luc Mélenchon. La marge de liberté française Sur les sujets vraiment importants soit pour l'Allemagne, soit pour les Etats-Unis, la liberté pratique de la France dans les dernières années était donc fort réduite... sauf lorsque un sujet était à la fois important pour chacun des deux partenaires et que ceux-ci n'étaient pas d'accord. Pour schématiser en caricaturant à peine : quand on a deux maîtres, on est plus libre que quand on en a un seul, surtout quand ils ne sont pas d'accord entre eux. Cela s'est vu par exemple au moment de la crise provoquée par le refus initial du gouvernement Tsipras d'obéir plus longtemps aux injonctions de Bruxelles, fortement appuyée par Berlin, l'Allemagne se souciant avant tout de l'obéissance d'Athènes ainsi que du maintien ne varietur des décisions de la superstructure européenne afin d'éviter un possible précédent de révolte couronnée de succès, tandis que Washington par son influence notamment sur le FMI se souciait avant tout de parer le risque d'une sortie d'Athènes de l'UE voire d'une prise de distance avec l'OTAN. La France a eu à cette occasion une véritable liberté de choix, voire peut-être une position de pivot. François Hollande a choisi de l'exercer en appuyant Berlin et en assurant la soumission d'Athènes, obtenant en échange l'abandon de toute discussion sur une sortie forcée de la Grèce de la zone euro, à laquelle Wolfgang Schaüble n'aurait pas nécessairement été opposé... Bien sûr, ces situations d'opposition entre Berlin et Washington sur un sujet d'importance pour les deux a été plutôt l'exception jusqu'ici. L'avenir d'une marge de liberté - une opportunité française ? L'élection de Trump à la Maison Blanche a déjà eu trois effets positifs pour la France : - le traité TAFTA dont les impacts potentiels étaient très menaçants ne peut plus avancer, voire est d'ores et déjà condamné - le risque d'affrontement armé Etats-Unis contre Russie en Syrie, dans lequel la France aurait pu être entraînée, est écarté - démonstration a été faite aux partenaires européens de la France qu'une dépendance militaire exagérée envers les Etats-Unis peut s'avérer inconfortable Mais sa principale conséquence pour Paris, c'est que Berlin et Washington risquent d'être beaucoup moins proches à l'avenir, pour ne pas dire que sur bien des sujets ils s'opposeront frontalement. Ce qui est précisément la situation qui donne à la France la plus grande marge de manœuvre ! Paris pourrait se retrouver de plus en plus souvent au minimum plus libre de ses choix, ni Berlin ni Washington n'étant en mesure d'imposer le suivisme à Paris sur un sujet où ils ne sont pas d'abord d'accord entre eux, au mieux même dans une situation de pivot sur tel ou tel sujet. Pour mémoire, cet intéressant article du Spiegel (version anglaise) Donald Trump et le nouvel ordre du monde, qui rapporte que "l'équipe de Merkel s'est convaincue que les conflits avec la nouvelle administration américaine se concentreront principalement sur deux domaines : le commerce extérieur et les relations avec la Russie".
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  35. Pas que les civils: http://www.45enord.ca/2017/01/alerte-mondiale-sikorsky-cyclone-ch-148-cloues-sol/
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  36. Il ne s'est jamais trompé ? Ça mérite d'aller faire un tour sur indian défense ça... Il faut laisser la rumeur pour ce qu'elle est, une rumeur. Et ne pas donner plus d'importance à une rumeur tout simplement parce que la source de la rumeur est a priori sérieuse, mais qui n'est pas un fait. (mais dont le sport personnel est de lancer des prévisions relativement bien construites mais faites avec le doigt mouillé)
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  37. 509 pages sur l'inde résumé en un message. Pas mal
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  38. Les audition OPECST sont particulierement intéressante, exemple : ou la disparition du travail intellectuel ... peut etre avant le travail "physique".
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  39. T'es pote avec le premier ministre Canadien ? L'acquisition de PC21 par la France (et un apaisement sur le plan politique par rapport à l'ère Sarkozy) "ouvre" un peu plus la possibilité d'une vente à la Suisse.
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  40. Le projet fou d'un milliardaire russe pour explorer Alpha du Centaure http://www.lefigaro.fr/sciences/2017/01/20/01008-20170120ARTFIG00170-le-projet-fou-d-un-milliardaire-russe-pour-explorer-alpha-du-centaure.php#xtor=AL-201
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  41. Pour une horloge à rubidium, j'ai dans ma bibliothèque un document chinois datant de 2005 qui explique quelques pannes possibles, en faisant une table d'analyse FMEA. http://journal.nudt.edu.cn/publish_article/2005/2/200502022.pdf En gros, sans entrer dans les détails, les causes possibles sont - cassure de bobine ou des "verres" tension électrique insuffisante dégradation des composants ou obsolescence panne des "ampoules" fuite de rubidium taux sous vide insuffisant panne mécanique pollution des surfaces transparentes puissance de réchauffement insuffisante panne électronique ...etc Parmi les 10 sous-systèmes analysés, 6 ont de probabilité "très basse" d'arriver, 4 "extrêmement basse". Parmi les 6 en question, on a la "lampe à rubidium", l'ampoule de filtre, l'ampoule d’absorption, la cavité micro-onde, le contrôle thermique et la protection électromagnétique. Il existe un autre document similaire sur l'horloge à hydrogène, il faut juste que je mets la main dessus... Henri K.
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  42. Ces 25% ont obérés les résultats économiques de ces firmes, donc minimisés les rentrés d'IS de l'état, donc in fine l'état à pris a sa charge une part (1/3) de ces 25%. Penses tu que la France soit demain en situation de mettre 12 ou 15 milliards sur la table (moi je pense que ca serait plus, car "génération" après "génération" les couts de développement augmentent), alors qu'un malheureux 2° porte avions à 3 milliards n'a pu être financé ? Je le regrette, mais je le crains. Je pense que ce programme fera école dans toute l'Europe sur ce qu'il convient de ne plus faire. Une voie a suivre ne serait elle pas celle d'Arianespace, qui pour Ariane6 semble avoir fortement simplifié l'organisation industrielle et la logique de maitrise d'œuvre? Tant que chaque pays fera son VBCI, sa frégate AA ..... on n'y arrivera pas. ramené par pays (donc total à diviser par 4), c'est plus du tout aussi sexy. Et l'avenir appartient au Rafale, j'en suis convaincu.
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  43. Salutations et bonne lecture ici :)
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  44. Bonjour Bienvenue sur le forum Bonne chance pour vos projets. Au plaisir de vous lire Janmary
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  45. Pour l'instant il n'a pas de base organisée: aucune structure de parti, aucune forme de regroupement, pas d'infrastructure au sol.... Toutes ces choses qui sont nécessaires dans la durée pour garder ensemble un grand nombre de gens, et plus encore, pour y puiser des militants qui joueront un rôle actif d'encadrement et d'action. Banon va essayer de le faire, mais c'est pas un homme de terrain, et il a pour l'instant fort à faire à devoir batailler le GOP au jeu des nominations.... Qu'il est en train de perdre allègrement. Ensuite, faut pas délirer sur l'électorat purement trumpiste: 62 millions de gens ont voté Trump, ce qui représente 46% des votants, et 27% de l'électorat. Une bonne partie de ces gens le détestent et ont voté pour ce qu'ils voyaient comme "le moindre mal" (ou plus probablement voté contre HRC) dans une année de candidats imblairables, et une autre partie très significative a voté pour lui parce qu'il était le candidat républicain et pour aucune autre raison. On estime qu'au mieux, autour de la moitié de ses électeurs ont vraiment voté pour lui, qui se subdivisent ensuite fifty-fifty (à la louche) entre les vrais fanas trumpistes de tous degrés, et les "trumpistes d'opportunité" qui ont voté pour la disruption/grenade sur Washington/majeur brandi vers l'élite.... Soit un électorat qui peut se retourner très vite s'il déçoit en ce sens (ce qu'il est déjà en train de faire). Donc même en étant généreux, la "base" de Trump, c'est très nettement moins d'un quart des gens qui ont voté pour lui, soit moins de 15 millions de gens. C'est à partir de ce nombre là qu'il va falloir voir s'il peut se bâtir une vraie power base, dont l'effectif sera nécessairement très inférieur (règle absolue du marketing: la proportion clients réguliers vs clients occasionnels, et le coût de la fidélisation), et qui aura tendance à s'éroder avec le temps passé au pouvoir: baisse de l'intérêt hors période d'élection présidentielle, baisse des moyens consacrés à atteindre l'électorat, tensions extrêmes qui ne peuvent être maintenues longtemps, et surtout, usure du pouvoir et des déceptions qu'il amène (un phénomène dont le rythme dépendra en partie de l'actualité, en partie de la présidence elle-même), création du duo oubli/nostalgie par rapport à "l'avant" (le temps diminue les griefs, les nouveaux griefs prennent la place des anciens, les visages du pouvoir en place deviennent les nouveaux coupables, et les catastrophes que risque de créer le Donald, de même que le risque d'une présidence ultra-médiatique/polémique, pourront fatiguer/dégoûter, et créer plus de réactions extrêmes). Trump ne s'est pas créé d'assise chez les indépendants ou les "Bernie or Bust" (tous le détestent: il se trouve qu'ils ont plus détesté HRC ou, surtout, qu'ils se sont démobilisés face au choix), ni dans la majorité de l'électorat républicain: les "revenus médians blancs" (pour ce qu'il en reste; à moins d'être généreux sur la définition de "revenus médians", c'est quelque chose qui baisse) sont toujours partagés et n'ont pas marqué un comportement électorat différent des autres élections, la seule surprise pour certains observateurs ayant été qu'ils ont moins été dégoûtés par Trump que prévu (mais ils l'ont été: cet électorat a été moins gagné par Trump que par Romney en 2012), et ont suivi la discipline de parti. Mais dans l'ensemble, ils ne sont pas des fans: faut pas s'y tromper, cette catégorie (et les hommes plus que les femmes) reste l'électorat "suburban conservative" qui penche naturellement vers la branche Ryan du GOP. Donc beaucoup moins de solidité pour Trump que ce que tu évoques, et encore, il doit déjà créer la power base dont il a besoin, parce que pour l'instant même ses fans n'en sont pas une: il faut regrouper, inscrire, organiser et garder engagés ce qu'on peut, ce qui est un travail long, cher et difficile (et il y a un premier impérarif dans deux ans), qui doit en plus être arrosé régulièrement par des politiques qui tiennent au moins quelques-unes des fantasmagoriques promesses faites en campagne. Et évidemment, comme tu l'indiques, après tout ça, il reste un énorme caveat: "s'il ne fait pas de conneries"..... Vaste programme pour ce président. De fait, Trump n'a pas pour l'instant de vrai capital politique: il a pas beaucoup de jeu, en somme, par rapport au reste du GOP qui tient l'essentiel des cartes pour jouer la partie. La présence de Priebus comme Chief of Staff le souligne, mais surtout, la guerre désormais presque ouverte entre lui et Banon le confirme, avec la composition du cabinet pour résultat. Et l'ensemble des conflits d'intérêts qui existeront à la première seconde après son inauguration constitue peut-être le plus grand atout de Paul Ryan pour contrôler plus ou moins totalement le Donald: il pourra décider d'ignorer les énormités de cette situation pendant 2, 4, 6 ou 8 ans, ou bien lancer direct une commission d'enquête qui n'aura aucun mal à établir les fautes et délits en cours (sans compter les abus et délits potentiellement commis activement une fois à la présidence) de par le simple fait que Trump et sa famille ne se sont pas séparés de leur patrimoine tel qu'il est et fonctionne actuellement. Et de là, l'impeachment et une démission forcée ne sont pas loin.... Avec Mike Pence, le rêve humide des ultra-conservateurs (fiscaux, économiques et sociétaux) pour prendre la relève: pas vraiment une situation lose-lose pour Paul Ryan qui est, rappelons-le, l'homme le plus puissant des USA pour tout ce qui concerne la politique intérieure (le président n'est PAS le personnage le plus puissant de la scène politique américaine: il n'est que le n°2, derrière le Speaker). Alors tant que le Donald filera doux, j'imagine que Ryan et consorts le laisseront se donner des airs de matamore et de big boss qui sait tout et fait tout (tant qu'à faire, c'est mieux pour eux: ça le rendra responsable des conneries); mais à moins qu'il n'arrive à se constituer une vraie power base, et qu'ensuite il arrive à commencer à en faire quelque chose, notamment se créer une faction de représentants et sénateurs (sans parler d'élus locaux) autant par ralliement de déjà élus que par promotion de candidats trumpistes en 2018 (et qui devront gagner des sièges), il restera essentiellement une marionnette avec une grande gueule et le décorum, pour les décisions qui comptent. Et ça, ce sont des activités qu'il ne connaît pas et auxquelles l'establishment républicain est plus que rompu, pour lesquelles ils disposent de tous les moyens et relations. Parce qu'au Cabinet (pour l'instant le principal révélateur des rapports de force entre Trump et Ryan), il ne faut pas s'arrêter aux têtes d'affiches: il faut aussi regarder les seconds et troisième rôles, les dircabs, les directeurs d'agences, les "vice-" ceci, les "deputy-" celà, les "assistant-"machin.... Dans une aussi vaste organisation, ce sont des rôles de premier plan, et dans une organisation aussi complexe, ce sont même ceux qui comptent le plus, parce qu'ils connaissent le jeu et ses joueurs, qu'ils connaissent la mécanique et ses dynamiques, et ne sont pas remplaçables par des "outsiders". Et de ce côté, l'establishment du GOP place encore plus ses pions qu'au cabinet lui-même, peut-être d'abord et avant tout parce que Trump n'a pas le portefeuille de connaissances (et de connaissances loyales) pour staffer ces postes, ni le savoir et le savoir-faire pour savoir les staffer et savoir quoi en faire (savoir comme un gouvernement et un pays fonctionnent, c'est pas un truc qui s'improvise ou s'apprend rapidement).
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  46. Les Gripen peuvent aujourd hui se poser sans arrondi à la manière d'un avion sur un porte avion.Ils beneficient d'un traitement anticorrosion style marine. Mais pour catapulter il faut supporter l'accélération longitudinale ce qui necessite le recalcul de la structure et des modifications nombreuses de pieces.Plus le poids du train avant. En decollant avec tremplin, le Gripen n'est guère motorisé.Il faudrait un reacteur à 9T/10 genre EJ200.mais il aurait vraiment une charge reduite. Configuration AA ou 2 bombes de 250 kg par exemple. Mais les modifications necessaires seraient tres reduites. Je crois plus à l'EJ200 ou au rafale en cas de refus du F35.
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  47. Tres bien Seb24, je n'ais pas le droit de repondre à ceux qui me pose une question. Par contre je dois accepter sans réagir les commentaires Ad Nominem de Fouineur . Belle conception de la liberté d'expression! :D Nombre de personnes dévient d'un sujet ici pour reprendrele fil après mais pour moi c'est interdit.Je gène? :D Il me semble etre bien plus correct que la plupart des gens ici: jamais de critique personnelle de ma part.
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  48. Blocks 52 ;) (je ne doute pas que ce soit une faute de frappe ;) , pardon, c'est juste pour encore flinguer une mouche) Sinon, les F/A-18 ne sont certes pas des avions de la dernière génération pour les maneuvres en dogfight, mais leur avionique est tout de même très perfectionnée (radar APG-73 pouvant faire du multicible avec AMRAAM), la supériorité des Gripens en BVR reste vraiment impressionnante. :) Est-ce que les F-16 norvégiens sont déjà équipés d'un datalink? Je ne saurais pas trop dire.
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