Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

Classement

Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 27/03/2017 dans Messages

  1. Et fin, cette fois avec des F-35 avec uniquement des emports internes pour une furtivité maximale. J'ai pris un F-35 avec 2 JSM, deux avec 8 SDB et un avec 4 Meteor (pour avoir plus de missiles AA). Pas de GBU de 1000kg parce que ce sont uniquement des emports externes, donc pas de frappes sur le pont. Essai 4: F-35 avec emports internes uniquement 07:58 le SA-17 sont passés discrètement, les F-35 sont à haute altitude sans rien émettre et ne sont pas détectés l'AWACS est acquis à l'IRST, le F-35 chargé de Meteor met le cap dessus 08:00 tir de meteor sur l'AWACS le tir est détecté, tout le monde s'allume chez l'ennemi les radars de CAP1 sont détectés par les F-35 08:02 l'AWACS est abattu les Su allument leur radar et se dirigent vers le départ de coup 08:12 les flanker détectent un F-35 à l'IRST 08:14 échange de R-27 IR et de Meteor. les 2 Su de CAP1 sont détruits, l'ennemi perd le contact des F-35 les F-35 esquivent les R-27 CAP2 met le cap sur les F-35 vu qu'ils ont franchi la ligne de montagnes la défense AA s'allume complètement vu qu'iln'y a plus d'AWACS et que les F-35 se rapprochent dangereusement 08:17 CAP2 récupère les F-35 grace à son IRST 08:18 tir de R-27 IR 08:20 le F-35 portant les JSM est abattu un Su est abattu l'autre esquive 3 AMRAAM et 1 Meteor. Les F-35 n'ont plus de missiles et ont 2 mig et un Su-30 sur le dos, il vont y passer comme à l'essai précédent, fin de la mission Conclusion: Le faible emport air-air des F-35, et son manque de furtivité en IR le mettent à son désavantage dans ce scénario ou l'ennemi l'attend avec des IRST dans une zone relativement petite. Il n'a pas l'air de s'en sortir mieux que le Rafale, qui lui est capable d'assurer correctement son autodéfense grâce à un emport de 6 missiles AA en plus des munitions air-sol. A noter quand dans tous les essais, les avions attaquant auraient probablement largué leurs charges air-sol lorsqu'ils esquivent les missiles ennemis, et donc n'auraient pas pu accomplir leur mission. Edit: Et voilà le scénario avec les Rafale pour ceux que ça tenterait: https://www.dropbox.com/s/9doavl6by9wfryy/Belgium RFP Scenario 2 Air Interdiction.scen?dl=0
    4 points
  2. C'est pas tellement l'argument lui-même (qui est stupide, on sera tous d'accord), mais la réalité qu'il sous-tend, ou plutôt même l'incertitude qu'il laisse supposer: ce que Donald Trump fait par ses "bévues" et soubresauts, c'est rendre la garantie américaine incertaine. Quelle que soit sa façon de le dire ou de le laisser supposer (notamment par ses critiques incessantes de l'OTAN, de son fonctionnement.... Sans verbalement remettre le principe en question), il rend la situation actuelle plus conditionnelle, la réalité confortante sur laquelle les Européens basent leur sécurité et leur façon de penser leur fonctionnement (sans même y penser maintenant tant c'est "l'ordre naturel") sans garantie automatique. Bref, au-delà des aléas des tweets, sorties et pets de cerveaux en tous genres suivis ou non d'une correction (parce que sa marque de fabrique est de dire tout et son contraire, essentiellement dans le registre du n'importe quoi), il enlève l'essentiel de ce qui fait l'OTAN: le sentiment de permanence et les certitudes et calculs qui vont avec. Il y a certainement une part d'intention, que lui s'en rende compte ou le comprenne, ou pas, avancée par la faction Banon, et il y a une part de bévues, sans doute augmentée par son sentiment d'être un super-négociateur même si en réalité il ne comprend que le court terme et l'ultra court terme, et n'appréhende pas la réalité des Etats. Mais dans les faits, c'est déjà en train d'impacter la façon de penser des Européens, même les plus atlantistes et contents du statu quo, par la vertu d'une piqûre de rappel injectant l'inquiétude dans le système: "si les USA peuvent devenir si instables, si un tel con et ses acolytes font partie du paysage politique pour longtemps, si la direction politique américaine peut être soumise à de tels aléas.... Que reste t-il?", est le genre de questions qui se multiplient actuellement dans les chancelleries et gouvernements du vieux continent, Allemagne en tête. Si les budgets militaires augmentent, ce ne sera pas pour répondre à l'exigence américaine: c'est en raison de la situation régionale tendue (Méditerranée et/ou Russie), des manques constatés, et maintenant de la fin de cette garantie qu'on pensait acquise pour longtemps. Que Mattis fasse la tournée des popotes partout pour nettoyer le caca de son boss, et que le reste de l'establishment politique américaine rassure dans tous les sens en disant que "ça ne durera pas, c'est juste Trump", ne change rien à ce qui a été brisé. Même si -ce qui est probable- la garantie américaine essaiera de se réimposer aussi rapidement que possible si et quand Trump se bananera (premier choc la semaine dernière, d'autres sont attendus, ensuite c'est 2018 et 2020), le précédent a été établi, et pour réparer ces quelques semaines de déconne, il faudrait des décennies d'effort pour retrouver ce qui avait été considéré comme acquis, à savoir ce niveau de confort essentiellement inconscient. L'industrie militaire européenne peut commencer à relever la tête, au moins un peu. Maintenant on peut opposer un autre point de vue sur les conséquences de la conduite de Trump en matière de politique étrangère, que j'ai lu ici et là: sa posture erratique (pensée ou non) serait de nature à produire de l'incertitude sur ce qu'on peut attendre des USA (jusque là, on rejoint ce que j'ai dit), ce qui implique aussi que les provocations à leur encontre peuvent devenir plus massivement des paris risqués, vu le niveau de brouillard accru qu'un tel comportement et un tel personnage (surtout aussi amateur, égotiste, émotionnel et pas nécessairement intelligent) impliquent. D'aucuns avanceraient que ce brouillard plus dense a constitué la première incitation, par exemple, à l'augmentation des budgets militaires européens (ce que je contesterais, parce qu'elle prédate Trump). Ceux qui avancent cet angle de vue sont persuadés que fondamentalement, Trump ne changera pas la posture américaine de "onshore balancing" (par opposition au "offshore balancing" de l'empire britannique dans sa posture quand au continent européen, dont on peut arguer qu'il s'agissait d'une mauvaise stratégie de long terme), parce qu'elle rapporte trop aux USA: s'ils devaient se retirer, leurs entreprises auraient beaucoup plus de mal à faire du business, les marchés ne leurs seraient pas autant ouverts, ils perdraient toute aptitude à réellement influer décisivement sur les politiques des pays concernés (et, en Europe, du "multiplicateur" que sont les diverses structures multinationales), ils perdraient leurs auxilliaires militaires (toujours un contingent prêt pour aller faire n'importe quoi n'importe où, et apporter une caution pour l'aventurisme militaire US), et leur secteur industriel militaire prendrait un coup massif, potentiellement mortel ou handicapant pour nombre de ses composantes. Le tout réduirait les USA à une puissance régionale: la plus grande, mais régionale quand même. Dès lors qu'on pense que ces risques sont trop grands pour être pris, et que Trump a une conduite erratique, à dessein ou non, cet angle de vue implique que la posture du président est un outil de négociation (s'il en est conscient, s'il sait l'utiliser, et s'il le peut -ce que l'état et la composition de son staff, ainsi que l'état de l'exécutif tel qu'il le traite, ne suggèrent pas), ou fonctionnera comme tel: apparaître fou ou imprévisible, voire dangereux (au sens de "taré") peut permettre d'obtenir de plus grandes concessions, parce que précisément il crée l'incertitude mentionnée plus haut, même s'il y aura un prix à payer dans le changement de calcul des Européens (et sans doute aussi des puissances asiatiques/d'Océanie alliées aux USA). De l'autre côté, cette incertitude peut aussi avoir des avantages par l'impact qu'elle a sur les calculs d'acteurs tentés d'agir contre les USA, de les provoquer.... On ne sait pas comment peut réagir un tel énergumène dont par ailleurs rien ne suggère qu'il soit compétent, ou même rationnel. Evidemment, cette perspective que je trouve émise ici et là, au milieu d'un torrent d'anti-trumpisme ou de pessimisme sur sa présidence (aussi justifiés qu'injustifiés selon les cas, le média, l'analyste, ou le sujet), n'est qu'une vision parmi d'autres, et elle a de fortes limites: c'est pas tout de parvenir à créer de l'incertitude et de passer pour un fou potentiel..... Faut aussi pouvoir en payer le prix, et plus encore être assez compétent pour en tirer parti et extraire plus de concessions des alliés et adversaires ainsi.
    3 points
  3. Un doc sur le Rafale https://vicatronic.fr/img/cms/Le Rafale.pdf
    3 points
  4. @Divos : dis : et si tu cessais de troller avec des vidéos débiles ? Dès les premières 45 secondes, le guignol assimile "individu connu des services de police" avec "individu dont la police sait qu'il va commettre un attentat", ce qui est juste faux : "connu des services de police" ça signifie qu'il a déjà été arrêté, condamné, bref, qu'il a un dossier. Et donc s'il fallait éjecter (ou passer par les armes) tous ceux qui sont "connus des services de police", ça se compterait en centaines de milliers ou en millions en France. J'imagine que la suite est du même tonneau.
    3 points
  5. On ne choisit pas qui est au contact c'est l'ennemi qui choisit pour nous. En revanche le groupe appui (à condition que ces armes soient faciles à mettre en œuvre) s'en sortira mieux, du fait de la puissance de feu. Le pb du groupe appui c'est le poids et l'emport de munitions et l'utilisation des armes à portée "utile" qui le fait forcément manœuvrer différemment des autres. Pour moi la solution c'est la modularité, des groupes égaux avec des équipes appui et voltige. Le CDS choisit son articulation selon la mission, groupes mixtes, groupes appui et voltige.
    2 points
  6. Je dirais que ça dépend de : - La TBO. Les moteurs à pistons étaient déjà plus sobres que les 1er turboréacteurs simple flux, et font même toujours mieux que les productions contemporaines ; mais les moteurs qui équipaient massivement les flottes civiles de l'époque comme les Wright Cyclone et Bristol Hercule, ou des trucs qui n'ont jamais volé comme le Napier Nomad avaient beau êtres très performants, tenaient de la véritable horlogerie de précision, et de ce fait, constituaient un cauchemar à entretenir. - Que le temps de vol de la plupart des missions soient suffisamment long pour que les économies de carburant puissent justifier le surpoids du V8 par rapport à la turbine aéronautique. Cette dernière a aussi supplanté le piston grâce à sa puissance massique supérieur. Et en aéronautique, le poids c'est l'ennemi. Sur ces deux points, s'ils font aussi bien que ce qui existe ce serait formidable, mais ça me semble douteux . D'un autre coté, je trouve le projet techniquement intéressant sur pleins d'aspects : Je soupçonne que si ça ne débouche pas pour les hélicoptères, un certain nombre d’innovations et améliorations profiterons à d'autres domaines. à voir donc ce qu'il en sortira. Pour ma part, ma raison n'y crois pas trop, mais affectivement j’aime beaucoup ce programme.
    2 points
  7. Si on suit ton raisonnement, nous n'avons pas le choix non plus : C'est Rafale partout, le reste à la poubelle. Et des Rafale full option, tant qu'à faire... Il ne te reste plus qu'à apprendre le pragmatisme et à mettre les priorités au bon endroit pour être en adéquation avec la vraie vie.
    2 points
  8. La bonne raison, c'est que les allemands, les britanniques et les italiens n'ont rien d'autre. Nous on envoie, comme eux, du matériel et du personnel adapté à la mission particulière de police du ciel. C'étaient des F1 CR en 2013. C'étaient aussi des Rafale en 2014, en complément, sur la base de Malbork en Pologne. Tu t'es fait une opinion sur la base d'informations partielles et mal interprétées, le tout orienté par un raisonnement de consommateur pour qui le dernier truc en vogue justifie de jeter tout le reste aux orties. Mauvaise pioche.
    2 points
  9. Apparemment, il a eu une période de déprime suite au shooting: la paire d'attributs de la mannequin semble lui avoir manqué, pôv'tit bonhomme. Ceci dit, les arguments juridiques brandis de part et d'autre semblent surréalistes; honnêtement hallucinant ce qui est avancé, là. D'autant plus qu'ils ont l'air d'y croire puisqu'il n'y a pas d'argent demandé dans l'affaire. Quand à l'argument selon lequel un raton-laveur ne peut se défendre.... S'ils avaient essayé de le mettre en pétard, ils auraient compris à quel point ces petits machins peuvent être dangereux. Alors qu'ils peuvent être si mignons.... ... Et utiles en environnement urbain
    2 points
  10. Essai 2: avec la position des SAM connue 07:30 Un rafale chargé d'AASM part en pointe un peu en avant des autres, cap sur le SA-17 central .Tout les Rafale partent vers l'Est en TBA et silence émissions 07:50 le rafale de pointe passe en poussée sèche max 07:53 le rafale de pointe rentre dans les 200 miles de la position estimée de l'AWACS, allume son radar, et est détecté par l'AWACS à cause de ses émissions. C'était bien la peine de finasser. 07:54 le rafale de pointe passe en post-combustion, remonte en altitude, rentre dans l'enveloppe de tir du SA-17 central le SA-17 rentre à portée d'AASM (qui est un peu optimiste dans le jeu, c'est la même en moyenne et haute altitude), 2 AASM sont tirées (1 par radar de controle de tir du site AA) le tireur fait demi-tour pour sortir de la zone menacée par le SA-17 toute la ligne de défense AA avancée s'allume 07:55 la CAP1 de Su-30 (la patrouille de 2 Sukhoi à l'Ouest des montagnes, il y en a une autre appelée CAP2 à l'Est, et 2 Mig-29 sont aussi en alerte à 5 minutes sur le tarmac près des objectifs 3 et 4, c'est donné par le pdf) met le cap sur les rafale le rafale de pointe a rejoint le reste du groupe, qui est aussi repassé en haute altitude 07:57 le SA-17 tire sur les AASM les 2 AASM sont détruites. Zut. 2 autres AASM envoyés vu que les rafale sont en train de franchir le SA-17 central en passant à ras de l'enveloppe de tir du SA-17 Nord, et sont à portée de tir AASM 07:58 le SA-17 tire sur les rafale, qui font une évasive en rentrant dans l'enveloppe du SA-17 Nord les missiles n'ont pas assez d'énergie pour les rattraper les rafale détectent les Su-30 de CAP1 08:00 le SA-17 central intercepte les AASM à nouveau l'AWACS A-50 Mainstay est détecté au radar par les Rafale 08:02 les rafale ont franchi l'enveloppe du SA-17, rentrent à portée de Meteor des Su-30, 2 sont envoyés sur le Su-30 de tête, puis cap au Nord-Est pour garder de la distance Un Su-30 tire ses missiles R-27 (IR & semi-actifs) sur les rafale 03:03 les Su-30 détectent les Meteor qui leur arrivent dessus les meteor ratent parce que j'ai connement rompu le contact radar et ils n'ont pas eu de mise à jour de la position de la cible les R-27 ratent parce qu'il ont dégradé trop d'énergie (Ils n'ont pas de ramjet donc en limite de portée ils ont beaucoup moins de vitesse qu'un Meteor, et donc sont esquivables plus facilement) 08:05 nouvel échange longue portée de Meteor et R-27, cette fois en gardant le Su-30 dans le coin du cone radar de l'AESA (dans Command le RBE2-AESA a environ140° d'ouverture, c'est super pratique. En comparaison les Su ont des ouverture de 30° et donc n'y verraient pas grand chose sans AWACS. Ca va être important pour la suite) les meteor arrivent en phase terminale et les manœuvres évasives des Su-30 leur font rompre le guidage semi-actif des R-27. Ca laisse au rafale le temps de souffler et de se repositionner 08:06 les 2 sont Su-30 abattus par les Meteor le A-50 se barre plein Est à vitesse maximum, un rafale part à sa poursuite (les autres vont aussi plein Est mais sans pousser trop fort pour économiser du carburant) 08:12 la CAP2, composée de 2 autres Su-30 est détectée 08:15 les rafale franchissent la ligne de montagne au centre de la carte 08:16 un meteor est tiré sur l'AWACS, avec beaucoup de marge niveau portée, pour être sur de toucher (il ne reste plus beaucoup de meteor). le tireur rejoint ses petits camarades en prévision de l'engagement de la CAP2 08:17 l'AWACS est abattu les SA-10 autour des cibles s'allument les 2 Scalp-EG sont tirés vers le bunker 08:20 le dernier meteor est tiré sur un Su. Le tireur fait demi-tour pour rejoindre ses petits camarades restés en retrait qui assurent la couverture radar en restant hors de portée des R-27 CAP2 tire des R-27 en retour 08:21 les Su commencent de manœuvres évasives, ce qui leur fait perdre le contact radar, mais comment ils ont tirés des R-27 infrarouge les missiles continuent quand même les R-27 n'arrivent pas à rattraper leur cible qui fuyait et finissent au sol le 1er Su est détruit par le dernier Meteor disponible. Les Mig-29 décollent et mettent le cap sur les rafale 08:22 Le Su restant tire des R-27 à longue portée les rafale se séparent en deux groupes (Nord et Sud) pour le prendre en tenaille et s'approcher plus (il n'y a plus que des Mica sous les ailes, et ils ont une portée plus faible que le R-27, donc il va falloir la jouer fine) la séparation en 2 groupes permet d'avoir une piste précise juste avec Spectra vu que le Su a son radar allumé, et du coup on peut désigner le Su aux Mica même en s'enfuyant dans le direction opposée (dans Command les LAM ne sont pas directionelles) 08:23 les premiers R-27 n'arrivent pas à rattraper le groupe Nord, qui du coup remet le cap en direction du Su le Su rentre en évasive et les R-27 tirés vers le groupe Sud perdent le verrouillage semi-actif et s'autodétruisent 08:25 le dernier Su se prend un Mica (le dernier sur 3 tirés) tout les rafale remettent le cap plein Est vers les cibles 08:26 les Mig-29 qui viennent de décoller en alerte sont détectés par les rafale 08:33 les mig arrivent à portée de R-27 du groupe Nord, qui fait demi tour le groupe Sud essaie de se rapprocher par le Sud (les Mig n'ont pas détecté le groupe Sud, et les radar des SA-10 non plus) tentative de prendre les Mig en tenaille 08:34 le groupe sud engage, avec uniquement des mica IR pour rester discrets les Mig voient le départ de tir et du coup détectent le groupe sud. Pas de bol. Par contre ils partent en évasive et perdent le contact radar. Le groupe Nord en profite pour se rapprocher 1 Mig est abattu. L'autre engage le groupe Sud. Le groupe Nord l'engage et il part en évasive bataille au couteau avec le dernier Mig, qui même à 4 contre 1 défend chèrement sa peau 08:38 Au bout d'une demi-douzaine de Mica, le dernier Mig est abattu. Ouf. Le ciel est dégagé, il reste le SA-20 qui peut poser problème Le vol reprend vers l'Est 08:40 Les 2 scalp font mouche, la cible est détruite (juste endommagée dans Command parce que j'ai mis un bunker très durci) 08:47 Les rafale armés d'AASM (8 missiles restants) mettent le cap sur la base aérienne, celui de GBU-24 sur le pont à travers les SA-10, le rafale restant n'a plus rien sous ses ailes et reste en haute altitude pour assurer la situation tactique. Les autres plongent Les SA-10 engagent L'approche des objectifs: 2 Rafale contournent par le Nord, un va essayer de passer au milieu en TBA. Les lance-missiles avec marqué "10" à coté c'est des sites de SA-10. Au nord les bâtiments c'est la base aérienne avec les objectifs 3 et 4. Le pont est le bâtiment isolé au milieu des 4 groupes de SA-10 08:51 Passer à travers les SA-10 ça va pas être possible même en TBA, il arrivent à engager le rafale en TBA, du coup 2 AASM sont tirées pars un des rafale au Nord vers le site qui gène le plus Le tireur s'est trop rapproché et est abattu par un SA-10, et on perd du coup 4 AASM sur les 6 restantes. Ca s'annonce mal, il n'y a plus assez d'AASM pour tous les objectifs, on va se concentrer sur les AWACS au sol. Du coup on laisse tomber aussi pour le pont, c'est pas la priorité dans la liste des objectifs 08:53 Le SA-20 voit un rafale à portée et s'allume 08:59 le dernier rafale en approche de l'aérodrome tire ses 2 AASM sur les A-50 au sol. il est engagé par un SA-10 et le SA-20. Il retourne en TBA et les missiles perdent leur verrouillage Le dernier rafale tire ses AASM sur l'aérodrome et se taille avant de se prendre un SA-10 09:01 Une des AASM est interceptée par un SA-10 mais l'autre passe. 2 A-50 sont détruits. Suite et fin les 3 avions restants retournent vers l'Ouest. un rafale se crashe par manque de carburant, les 2 autres esquivent quelques missiles de SA-17 sur le chemin du retour mais parviennent à passer
    2 points
  11. On est prêts à lancer les opérations, top départ! Essai 1: chronologie des événements 07:42 Les rafale commencent à L'ouest, en TBA et sans émettre au radar OPFOR n'émet rien sauf l'AWACS 08:00 l'AWACS détecte les rafale la position estimée de l'AWACS est à 200 nautiques, donc les rafale savent qu'ils vont entrer dans son horizon radar. Du coup ils allument leur radar pour voir ce qu'il se passe 08:02 Le rafale sont aperçus par un SA-15 08:05 Les rafale passent pile au-dessus d'un SA-17 (dont la position était inconnue), pas de chance. Le Sa-17 tire et les abat tous. Bilan: échec complet, ne passez pas par la case départ, ne touchez pas 20 000 francs. A la relecture du scénario, ils ont l'air de dire que la position de la plupart des SAM est connue par les Belges, donc je vais relancer une partie avec cette info du côté Belge, ça permettra de passer entre les sites AA et ça devrait se passer mieux (c'est pas difficile).
    2 points
  12. Bon alors je m'y suis collé. J'ai pris le scénario 2: Air interdiction (page 187 et suivantes). En gros faut pénétrer une défense antiaérienne faite de SAM, SU-30, Mig-29 et AWACS, et ensuite détruire des objectifs fixes. Ca s'annonce tendu. Avant toute chose un résumé de la description du scénario trouvée dans le pdf: (les 15,17,10 et 20 sur la carte c'est les positions des site de SA-15,SA-17,SA-10 et SA-20) Dans Command ça donne ça: La vue coté OPFOR: J'ai essayé de trouver un coin qui ressemble à la carte du pdf, et j'ai trouvé un massif montagneux qui a la même tête en Roumanie, donc ce sera le terrain de jeu. En plus L'OPFOR (les ennemis) est équipé de matériel Russe donc on est dans le thème "La Russie envahit ses voisins", très populaire en ce moment. Coté Belge, on a droit à 4 avions, j'ai pris 4 Rafale B F3R. Au niveau des armes, j'ai pris: - 1 Rafale avec 2 Scalp-EG, 2 Mica EM, 2 Mica IR et 2 Meteor pour détruire le bunker (cible #1 dans la liste au dessus). La munition a l'air adapté (y'a un plan du bunker dans le pdf), et ça m'évite de m'approcher trop près - 1 Rafale avec 2 GBU-24 (https://en.wikipedia.org/wiki/GBU-24_Paveway_III), 2 Mica IR, 2 Em, 2 Meteor. Il visera le pont (objectif #2), le scénario exige 1 arme de 1000kg par pile de pont, et c'est la seule munition qui correspond pour le Rafale. - 2 Rafale avec 6 AASM laser, 2Mica EM, 2 IR et 2 Meteor chacun. Il viseront les hangars pour avions (obectif #3) et les AWACS sur le tarmac (objectif #4) Du coup au départ côté Belge la situation donne ça:
    2 points
  13. Et comment tu le mets ton if ?????? Tu ne parles pas de virus ou de hacking mais d'un sabotage des équipes de développement qui laisserait volontairement des back-door dans leur code. De plus, avec des tests sérieux couvrant les exigences et justifiant le code mort (qui est souvent interdit), une back-door doit normalement être découverte car elle ne fait pas parti des spécifications.
    1 point
  14. C'est pas un pod pour canon de 30mm mais un pod FN pour mitrailleuse .50, des HMP400 LCC à première vue.
    1 point
  15. Les HM Mk3i a bord du Mistral ont été navalises en 2015 (rotor repliable etc), donc à priori ils devraient être compatibles au JP5. 3.2t de carburant a bord, donc 13-13.5t avec les pleins et sans pax.
    1 point
  16. oui , les installations carburéacteur aéro du bord doivent pouvoir faire de la distribution ( le plein) , de la reprise ( vider les soutes de l'hélico) et du brassage dans les soutes du bord et du rincage de manche aussi le TR0 a un point éclair < à 60 ° et donc incompatible avec un stockage safety bord
    1 point
  17. Oui mais la vraie question reste. Est-ce qu'au moins il sait correctement jouer?
    1 point
  18. C'est le d'Entrecasteaux aujourd'hui désarmé et utilisé en brise lames en rade de Lorient , son nom a été repris par un B2M admis au service actif ; "rien ne se perd, ..........., tout se transforme" http://www.netmarine.net/g/bat/entrecas/
    1 point
  19. D’où l’intérêt de XP : très stable. Peut être le meilleur des windows... juste après VISTA
    1 point
  20. Perso, l'expérience que j'ai eu avec XP PRO SP2 et SP3, c'est que c'était ce qu'il pouvait y avoir de plus stable chez microsoft, à condition de bien choisir le matériel pour avoir des pilotes qui n'étaient pas programmés avec les pieds sur un coin de table, et de limiter le logiciel installé au strict minimum nécessaire. Le système en lui même était rock-stable. Ce sont les outils tiers qui introduisaient d'autant plus d'instabilité qu'ils avaient un accès important au coeur du système. Vista, lui, n'avait aucune stabilité intrinsèque. Sept, en revanche, commence a être véritablement stable avec son premier SP et depuis, ça roule (pas testé Seven, pas eu envie de me mettre à l'anglais sur mon bureau d'ordinateur). Huit est un très bon produit à partir de 8.1 Dix, c'est le dernier Windows ... et pour le moment, il ne m'a pas convaincu. Mais comme les prochaines versions s'appelleront toujours 10, peut être qu'un jour l'une d'entre elle sera convaincante. Tout ça pour dire que cela ne me choque pas plus que ça de faire tourner des systèmes isolés, maitrisés, sous une version de Windows bien contrôlée, telle que XP ou 7. Si les fantaisies introduites par les moutures suivantes sont superflues, à quoi bon prendre le risque d'introduire des éléments sur lesquels on n'a pas une maîtrise réelle ? Si l'OS est masqué par un shell qui ne présente que le synoptique du système controlé, que l'automate de celui-ci a bien été modélisé avec tous ses états et qu'on aura pas une branche incontrôlée, si le système se mesure lui-même et redémarre en cas d'incohérence, etc. ... si les développeurs ont bien fait leur boulot, y compris sur les aspects sécurité interne, alors il n'y a pas de raison de rejeter un OS qui remplit la mission.
    1 point
  21. je pense que c'est un mélange des 3 avec un petit plus pour empêcher le ripage latéral en cas de fort roulis
    1 point
  22. Avant de tout jeter de l' OTAN, il faudrait peut-être considérer que cette organisation peut évoluer, et que l'on peut, en France, influencer cette évolution ...Même si cela fait longtemps qu'on attend, je sais, je sais ... Voyez "La Grande interview" de Air & Cosmos papier du 24/03/2017, sur 5 pages: général Denis MERCIER, Commandant suprême Alliés Transformation de l'Otan ... + intro: http://www.air-cosmos.com/interview-exclusive-du-general-denis-mercier-92283 On y voit que cet ancien ( pas si ancien ) Chef d' EMAA ( 2012 à 2015 ), qui explique son rôle, équivalent n°1 de l'OTAN ( pour les opérations de demain ) à côté du responsable des opérations d'aujourd'hui ( autre n°1 ) Il y a du souffle et de l'ambition
    1 point
  23. Ça y ressemble. Mais n'oublie pas que ce fusil est toujours utilisé de nos jour (par le MVD Russe par exemple) et que de nombreux Américains pensent que le M1911 est le meilleur pistolet jamais créé. Alors si un M1911 n'est pas considéré comme obsolète, pourquoi est-ce que qu'une SKS le serait?
    1 point
  24. L'ambition affiché du Général Gomart est séduisante ; circuit court entre l'expression du besoin et les éléments de solutions apportés. Les apôtres du marketing vont devoir muter...
    1 point
  25. Effectivement, et interrompues dans tout le pays pendant 15j l’été... De plus en plus de gens installent des chauffe-eaux chez eux néanmoins. Medvedev est le valet de Poutine et reste aux ordres (lorsqu'il a tente de prendre des initiatives il a rapidement été recadre), les oligarques ont un espace d'evolution contraint par le pouvoir (et lorsqu'ils en sortent ils ont de problemes de sante) et la mafia de meme (en plus d’être un instrument utile). je ne vois pas bien les 4 pouvoirs separes, puisqu'ils sont ou dependent de la meme main. C'est bien mal comprendre Poutine de croire qu'il ne controle pas tout.
    1 point
  26. Il est bien gentil l'Abou Djaffar, mais son texte est quand même plus que contestable. Comparer la répression d'un mouvement de subversion et d'assassinat certes cruel mais marginalisé et techniquement peu doué... avec une guerre mondiale contre la deuxième puissance industrielle et première puissance scientifique mondiale suivant comme un seul homme un chef charismatique mégalomane dont la doctrine se résumait à une adoration du Moloch ! Heureusement que le ridicule ne tue plus Oui. L'auteur le démontre bien. Ah bon. Donc les djihadistes sont sur le recul en Irak comme en Syrie, la version E.I. est en train de perdre Mossoul, la version Al Qaeda a perdu Alep... mais "ils sont en train de gagner" ? Eh bien je leur souhaite de continuer à gagner de la sorte, parce qu'ainsi ils finiront par perdre tous les territoires actuellement sous leur coupe en Syrie comme en Irak Donc leur objectif est d' "isoler les communautés les unes des autres" en France et en Europe ? Ah ils cachent bien leur jeu les bougres, quand leurs proclamations publiques visent la création et l'expansion d'un Etat sunnite salafiste sur toutes les terres traditionnellement musulmanes, quand leur principal effort militaire et de loin porte sur cet objectif, quand la quasi totalité de leurs "soldats" sont amenés en Syrie et en Irak ou dans un autre territoire sous leur coupe pour contribuer à cet effort. Alors qu'en fait, c'est "isoler les communautés les unes des autres" en Europe qu'ils veulent ! Heureusement qu'Abou Djaffar est là pour nous éclairer, moi je m'y serais laissé tromper ... L'auteur a parfaitement raison. Regardez toutes les milices qui se saoulent le soir avant d'aller faire une descente dans tel quartier pour "casser" du musulman à la batte de base-ball. Est-ce que ça n'arrive pas tous les jours ? Vous voyez bien que la France démocratique, laïque et éduquée ne sera bientôt plus qu'un souvenir. Je me demande si l'auteur a entendu parler du concept psychologique de "projection". Lequel consiste à attribuer à autrui des sentiments que soi-même on éprouve mais qu'on ne souhaite pas (s') avouer... Ce n'est pas parce que l'auteur a le trouillomètre à zéro que c'est le cas de tout le monde. Edit : Je retire la phrase plus bas, qui à la relire était plus un mouvement d'énervement qu'une analyse et où je dépassais le raisonnable. Je la laisse parce que je ne souhaite pas cacher une erreur, mais je ne la soutiens plus.
    1 point
  27. De ce que je sais, le peu qui a filtré, c'est que : Le RDY déchire encore sa race face au RBE2 PESA : en AA, il voit mieux, plus loin, avec des modes d'identification spécifiques (NCTR) et une capacité de poursuite plus que suffisante pour le nombre de missiles qu'emporte le -5F. Les pilotes de -5F sont totalement spécialisés AA et disposent d'une compétence dans le domaine qui est largement reconnue, notamment parce qu'ils n'ont pas à polluer leurs schémas d'engagement avec des préoccupations de muds. La montée en compétence des équipes Rafale dans le domaine pur AA se fait (se fera ?) sur la base d'anciens cochers de -5F qui vont adapter la doctrine à cet appareil. Il reste néanmoins une ombre de crainte de perte de spécialisation avec le caractère polyvalent attendu des pilotes de Rafale. Les performances dynamiques du -5F sont largement à la mesure de celles du Rafale, notamment pour les évolutions nécessaires pour un combat BVR. Le Rafale peut reprendre l'avantage, de près, là où les atouts du -5F sont nivelés.
    1 point
  28. C'est pas ça que signifie le open carry? Quelle différence entre l'avoir dans ta main et sur ton dos? Ou avoir un pistolet à la ceinture? Approximativement 10 sec avec un peu d'entraînement. Et pourtant on peut voir des gens se balader comme ça en permanence. Alors certes, le fait qu'ils l'aient en main est un peu plus menaçant mais en pratique ça ne fait pas grande différence.
    1 point
  29. Je ne sais pas. Tiens, il y en a un qui suit... Mais la Belgique veut une configuration en tous points identique à celle du pays vendeur et la phase de préparation des propositions s'arrête à la mi septembre.
    1 point
  30. Je repensais à un truc : on aura une annonce d'achat de HMDs pour l'AdlA au plus tard c'est été, c'est obligatoire...
    1 point
  31. C'est tout aussi simple de dire qu'un député pourri à fuit son pays au moment de la levée de son immunité et qu'ayant continué ses magouilles il a fini par tomber sur un os et se faire tuer. Kiev est un pouvoir encore plus corrompues que Moscou (suffit de voir les vidéos ou une loi est proposé dix fois de suite à l'assemblé (en 10 minutes) parce que à chaque fois elle n'est pas voté, le respect du député y force l'admiration). Concernant ta vision de la Russie de vlady, encore une fois je suis moyennement d'accord avec toi. On dirait un vision de l'URSS appliqué à la Russie actuel, sans aucune mise à jour. La Russie est un pays extrêmement corrompu par la mafia et les oligarques. Elle est dirigé par le duo Poutine/Medvedev. Poutine à la présidence, Medvedev au gouvernement. Medvedev dirige aussi le principale partie du pays (Russie Unie), partie dont Poutine ne fait pas partie (Poutine à dirigé ce partie pendant la transition, sans en faire partie). Ce duo s'oppose de plus en plus souvent, par exemple quand Poutine a désiré faire passer un loi interdisant aux fonctionnaire de travailler dans le privée, ceci afin de limiter la corruption, Medvedev s'y est opposé et comme c'est lui le chef du gouvernement, ben y'a pas eut de loi. Si bien que finalement on a 4 pouvoir en Russie : Poutine, Medvedev, les oligarques, la mafia, mais dès qu'il y a un mort, c'est forcement Poutine et les services secret, comme si tout se petit monde n'était qu'une seul et même entité. Ce que je ne croit pas, la simplification fait souvent passer à coté de la réalité. Sur ce Poutine est un nationaliste dur, optant souvent pour la force (cf le Tchétchénie), prêt à s'associer à des salauds (Kadyrov) pour atteindre ses objectifs (dans le cas de Kadyrov, préservé l'intégralité de ce qu'il restait du territoire russe). Poutine n'est pas l'ange décrit pas ses thuriféraire, loin de la, mais il n'est pas non plus le diable nazi décrit par la presse occidentale. (imho) Sur ce un autre article du monde diplo http://www.monde-diplomatique.fr/2014/06/GENTE/50501 : La Russie expliquée par son chauffage. L'article date un peu (2014) mais il montre bien le bordel de la Russie actuel, et la difficulté que de réformer tout cela.
    1 point
  32. Les banques européennes et les paradis fiscaux, un quart de leurs bénéfices transféré là-bas, le triplé gagnant : Hong-Kong, Irlande et Luxembourg. Et cela concerne tout les établissements bancaires : http://www.assurbanque20.fr/36258-2/ 1000 milliards d'euros de fraude par an pour l'UE, dont 100 milliards concernant les multinationales. De quoi combler un sacré trou dans les déficits des États... Soupir
    1 point
  33. Difficile à savoir au final: ça fait un bon moment qu'il présente le sujet otanien sous cet angle, ayant décrit cette "ardoise" que devraient les pays européens aux USA, comme s'il y avait un compte courant qu'ils refusaient d'approvisionner depuis des années. Il évoque la chose ainsi depuis qu'il a commencé à parler de l'OTAN dans sa campagne électorale. En venir à une version écrite de l'ardoise ne serait pas un grand stretch, même si la foutre effectivement sous le nez de Merkel, en personne, ça serait maousse, un mélange de couilles, de sans-gêne, d'insulte et de connerie.... Bref, ça étonnerait assez peu du personnage. Surtout qu'au final, une fois le choc passé, et si les Youesses trumpiens gardent ce genre de discours même juste en arrière-plan, ça peut simplement être utilisé comme de la tactique de négo, aussi débile et potentiellement dommageable que soit cette "position initiale". Si la posture du nouveau président est de jouer les tarés ignares ruant dans les brancards, laissant planer l'inquiétude et ne devenant jamais réellement fiable, après tout, c'est une position. Je doute juste que ce soit très productif pour les USA.
    1 point
  34. Désolé, mais cela ne change rien à l'affaire... eux n'avaient peut-être pas le choix, nous si... et à l'arrivée, le fait est qu'ils envoient depuis près de 10 ans des appareils d'une génération plus récente. Et tu ne devrais pas prendre les "raisonnements de consommateur" à la légère. Nous parlons de symboles politiques, pas d'efficacité réelle. Parce que voilà ce qu'ils pensent les "consommateurs": http://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/pologne-militaires-francais-ont-mal-a-regarder-vers-l-est-104522 Alors après, tu as le droit de te moquer de l'opinion des baltes et des polonais, c'est un autre débat, mais quand on envoie des 2000-5 plutôt que des Rafale, non, le symbole n'est pas le même. Et d'ailleurs, quand cela chauffait un peu trop avec les russes, nous avons envoyé en Pologne... 4 Rafale.
    1 point
  35. Soldat syrien de la Tiger Force, prénommé Omar. Il rentre dans son village a l'est d’Alep qu'il vient de libérer, avec ses camarades, de Daech. Pour ceux qui pensent que les sunnites sont anti Assad, ils se trompent complètement.
    1 point
  36. 7 ans pour un dixième du prix, c'est pas l'arnaque du siècle...
    1 point
  37. Sauf qu'à la différence d'un éventuel dérivé d'XIV ou vehra, le Dream Chaser est presque prêt. Ce serait chouette que l'Europe puisse enfin lancer des astronautes - presque - par ses propres moyens, mais la question que je me pose est de savoir est-ce que la chandelle vaut le surcoût pour faire de l'A6 un lanceur man rated ? Dans un environnement devenu beaucoup plus compétitif que par le passé, j'ai tendance à penser que non.
    1 point
  38. Triste anniversaire : Yémen, deux ans après : la guerre oubliée Le Yémen est plus instable que jamais. Ce 26 mars marque le triste anniversaire des deux ans de l’escalade du conflit dans le pays. https://www.franceinter.fr/monde/yemen-deux-ans-apres-la-guerre-oubliee Deux ans de guerre au Yémen, la coupable indifférence de la France https://www.franceinter.fr/emissions/comme-un-bruit-qui-court/comme-un-bruit-qui-court-25-mars-2017
    1 point
  39. Un "petit" fait amusant que je viens d'apprendre via un ragoteur du Quai d'Orsay (une connaissance indirecte), qui devrait tempérer toutes les projections que nous faisons ici sur la Russie, ses intentions, mais surtout ses capacités, y compris dans le domaine de la "guerre hybride" dont l'application russe semble faire l'objet de tous les fantasmes (admiratifs ou craintifs) depuis la Crimée, et chaque fois qu'on parle des pays baltes. Je ne sais pas si cela a été évoqué ici, et si c'est le cas, je vais donc servir du réchauffé et ce que je trouve être une petite perle aux implications fondamentales tombera aussi férocement à plat qu'un projet de loi de finance Ryan-Trump. L'offensive sur Marioupol en septembre 2014 n'a pas d'explication réellement satisfaisante en termes militaires, étant donné que les forces ukrainiennes sur place n'ont pas réellement gagné d'avantage, et étaient plutôt en mauvaise position, dans une ville alors pas franchement pro-ukraine, et certainement pas anti-russe. Pourquoi l'offensive a t-elle été enrayée? Au même moment en Russie, l'intégralité des systèmes de paiement Visa et Mastercard sont "tombés en panne" pendant quelques heures, un avertissement venu d'outre-atlantique qui a rappelé à Moscou un fait assez simple qui constitue sans doute l'une des meilleures armes américaines contre les ambitions poutiniennes (et la garantie qu'on ne verra jamais de photos de Donald Trump en train de mater des putes russes pisser sur un lit, ou sur lui, ou sur les deux): la Russie n'a pas de système de paiement national, contrairement à la plupart des pays développés, et ne semble pas avoir les moyens techniques, et surtout les moyens et/ou la volonté d'investir pour en bâtir un. Elle est à cet égard intégralement dépendante de l'occident, même si c'est une arme plutôt massive, donc un truc que l'occident ne peut employer légèrement: de facto, fermer cet interrupteur (ça veut dire Visa, Mastercard et consorts, mais aussi Paypal....), c'est trucider l'économie russe, provoquer des "bank runs" massifs, réduire la capacité de transaction aux seuls virements bancaires et retraits de cash en agences. La Chine s'est récemment prémunie contre un tel danger en bâtissant son propre système national: on sait que l'accès aux systèmes de paiement internationaux passe par SWIFT, dont "l'interrupteur" est en Europe, mais pour lequel le "doigt" agissant est américain. Quoiqu'il arrive, se fâcher de façon radicale avec le propriétaire du doigt est potentiellement catastrophique pour une économie (tant qu'il n'existe pas de système alternatif), mais une économie peut continuer à fonctionner au niveau national (tant bien que mal selon le degré d'internationalisation) via son propre système de paiement. Quelle n'a pas été ma surprise d'apprendre que la Russie n'a pas ce genre d'infrastructure pourtant essentielle. Le copain me décrivant ce ragot (qui apparemment fait beaucoup marrer chez les diplomates) disait que c'était comme l'autoroute Moscou-St Petersbourg (M11): on en parle pendant très longtemps, on lancera sans doute le projet éventuellement, et ça attendra des lustres avant que quelque chose de concret soit réalisé. Mais bref, l'idée générale est que la Russie est de fait le couteau sous la gorge dans ce domaine. Pas étonnant, de ce fait, qu'elle ait cherché à développer une "arme" offensive pour pouvoir regarder les USA un peu plus les yeux dans les yeux, en l'occurrence une capacité de guerre cybernétique/politique/médiatique/informationnelle (rappelons la déclaration du "cyber chef" de Vlady pendant les primaires républicaines, annonçant que les USA allaient très bientôt voir ce que la Russie pouvait leur faire) qui, potentiellement couplée à cet ensemble maîtrisé de modes d'action qu'on qualifie de "guerre hybride" (FS et action militaire déguisée, rens, action diplomatique, capacités plus traditionnelles de propagande/agit prop/déstabilisation), donne de la marge de manoeuvre à Moscou, ou en tout cas une force de frappe d'un nouveau genre, avec les élections américaines (et les bancs d'essai divers menés de longue date en Asie centrale et ailleurs) comme "proof of concept". Compensation par l'agressivité.
    1 point
  40. Le 13 mai 1940, il a pu prononcer un autre élément de discours qui en disait finalement pas mal sur les armes qu'ils restaient aux démocraties face aux pouvoirs totalitaires : exposer la réalité des choses et les efforts à consentir sans rien cacher au peuple. En matière de résilience, il semblerait que l'on ait oublié quelques leçons.
    1 point
  41. J'ai toujours des frissons quand j'entends ce discours de Churchill du 4 juin 1940 :
    1 point
  42. Très, très raté pour l'instant, et c'est un plantage majeur deux deux premiers personnages de l'Etat américain, le Président et le Speaker de la chambre des représentants. L'édito de David Brooks, un conservateur pourtant, dans le New York Times en date d'hier, donne une idée de la curée médiatique qui va suivre :
    1 point
  43. Plus d'affaires peuvent être débusquées et au moins commencer à être traitées, sans qu'il y ait intervention "extérieure" en amont de tout début de procédure. Et ça fait aussi plus de gens qui peuvent regarder (de leur propre initiative) là où "on" ne veut pas que des yeux indélicats regardent. Mais ce n'est pas la panacée non plus: c'est UNE arme parmis d'autres qu'une justice fonctionnelle devrait avoir: il n'y a pas de "balle d'argent" unique dans ce domaine, comme dans tous les autres. C'est cependant une arme forte, surtout s'il y a ASSEZ de juges d'instructions, et qu'ils ont du budget (ce qui commence à manquer en France). Sinon, j'essaie de ne pas discuter du crêpage de chignon majeur en ce moment à Washington, qui, dans les 2 derniers jours, a éclipsé l'explosion des multiples scandales impliquant Trump et ses proches et ex-proches dans leurs liens réels et supposés avec la Russie.... L'AHCA, la proposition de remplacement de "Obamacare". Pas la peine de trop se pencher sur la chose en ce moment: c'est une bataille politique qui semble depuis une semaine perdue d'avance, et dont tout le monde essaie de se distancier, Trump en tête, pour ne pas être éclaboussé quand ça retombera, tant l'impopularité de ce projet de loi n'a fait que monter depuis les premières évocation du vote, dont la première partie consiste à démonter Obamacare. Des protestations massives ont lieu dans tout le pays depuis plus d'un mois sur le sujet, les permanences des élus étant littéralement assiégées, leur boîtes mails, messageries et comptes sur médias sociaux bouchés et leurs standards téléphoniques saturés: il n'y a pas une seule circonscription aux USA, même dans les zones les plus conservatrices, où le nombre de protestataires contre cette loi soit inférieur à ceux qui viennent soutenir les élus voulant passer la nouvelle.... Et pas par une petite marge. Depuis cette semaine, le ballet politique autour du vote qui devait et doit encore avoir lieu est assez pathétique, et les médias ne parlent de rien d'autre depuis deux jours, et je pense qu'il vaut mieux éviter de s'enterrer là-dedans: c'est du bruit à l'état brut, un moment où tout et son contraire va arriver et être dit, et où la réalité change d'heure en heure. Cependant, une analyse concrète par le Center on Budget and Policy Priorities, un think tank modéré politiquement (non partisan, même si un peu plus progressiste que conservateur) dont les chiffres sont rarement contestés: en moyenne, par tête de pipe et par année, l'AHCA va augmenter le prix des cotisations de 2400$ et les coûts non remboursés d'environs 1200$, soit 3600$ de dépenses supplémentaires par individu la première année (et il y a des chances que la hausse annuelle des prix reprenne son rythme pré-Obamacare). Par tranche de revenus, le changement sera encore plus marqué en ce qui concerne les rabais fiscaux, selon l'Urban Institute's Health Policy Center et le Urban-Brooking's Tax Policy Center: en-dessous de 50 000$ de revenus par an (estimé comme le revenu médian par foyer -pas par individu- aux USA), il n'y a que des perdants, et au-dessus, il y a de petits gains, sauf pour ceux gagnant plus de 200 000$ par an, qui gagneront entre 5 et 6000$ dans l'affaire (une paille pour eux, mais c'est l'intention qui compte). Pour ceux gagnant moins de 20 000$ par an, la perte sèche sera entre 10 et 15% de leurs revenus, ce qui en pratique veut dire qu'ils ne pourront s'offrir d'assurance, même une mauvaise, et que, par ailleurs, le tronçonnage de Medicare/Medicaid empêchera toute autre solution. Pour ceux gagnant entre 20 et 30 000$ par an (essentiellement en-dessous du seuil de pauvreté, et vraiment très nombreux), ce ne sera pas beaucoup mieux et; dans la plupart des cas (quasiment pour tous ceux en zone urbaine), mènera à une situation similaire. Vu le prix des assurances aux USA, un tel changement impacter aussi lourdement, selon diverses modalités, ceux des 2 tranches supérieures (entre 30 et 40 0000$, entre 40 et 50 000$/an), qui forment numériquement l'essentiel des individus aujourd'hui considérés comme étant la "classe moyenne" (et ne vivent pas bien), seront aussi lourdement impactés. Et ceux que ce plan frappe le plus lourdement ont tendance à être plus souvent des électeurs Trump que des électeurs Clinton: cette dernière l'a emporté chez les plus modestes, mais ceux-ci ont plus accès à Medicare/Medicaid.
    1 point
  44. Pour les danois , l'intérêt de ce 8x8 est de pouvoir le déplacer et le cacher aisément. Si on observe le tube du canon du 8x8 des danois en position de route ,du point de vue hauteur la bouche à feu et au niveau de la cabine, donc pas de contrainte dans la limitation de hauteur , donc qui peu facilement ce cacher dans des tunnels limité en hauteur . Le poids et les roues permettent de aisément déployer les CAESAR 8x8 sur tout le territoire danois , car ne l'oublions pas la géographie du Danemark est plate , composé aussi de nombreuses îles qui sont relié par des ponts. Question dissimulation, le CAESAR 8x8 une fois le tube en position de route peut aisément ce fondre dans un bois sous filet de camouflage , sans que le tube reste dans une position plus élevée en position de route , donc ne donnant pas un aspect non naturel même avec un filet de camouflage , même un automoteur type M109 ( les danois possèdent ce modèle ) est trop haut pour le camouflé correctement , même avec un filet de camouflage , que ce soit dans un bois ou dans un tunnel . En fait le CAESAR 8x8 vu sa hauteur faible peut resté dans zone sombre qu'offre les arbres à une certaine hauteur . Le CAESAR 8x8 peut être aussi plus aisément transporté sur les ferry civil de petite taille . je pense que dans l'optique défensive du Danemark, le CAESAR 8x8 offre la possibilité de déployer partout au Danemark l'artillerie danoise , sans aucune contrainte au niveau routiers et les ponts ( poids ) , tunnels limités en hauteur ( tout en offrant un abri ) , pouvant-être camouflé en sous-bois ( avec ou sans filet de camouflage ). N'oublions pas que les danois ont d'abord comme priorité des besoins pouvant contrer une menace type blindé/mécanisé , une aviation et une capacité renseignements via satellites , donc les moyens russe qui reste un adversaire potentiel. Le Danemark à toujours participé à des missions internationale, que ce soit sous mandat ONU ou OTAN . De facto il fallait des moyens adaptés à la projection , et qui au final permettait au Danemark de pouvoir aussi les employés pour la défense territoriale . Au départ on aurait put pensé que ces moyens ne pourraient être adapté pour du haute intensité en mode défensif sur le territoire national , mais on s'est aperçu qu'au final ces moyens permettaient une plus grande capacité de déplacement sur tout le territoire danois , donc une meilleure capacité que ne pouvait l'offrir les véhicules issu de la guerre froide sur chenille ( M109 , M113 , etc ...) . Oui avec le piranha III il y a déjà eu un premier pas sur la roue , et au final les M113 vont être remplacé par du piranha type V . Au niveau artillerie on aura aussi de la roue avec le CAESAR 8x8 , ainsi que avec le mortier de 120 Soltam K6 , qui il me semble est transporté en caisse sur Piranha. Au niveau chenilles on a juste gardé la capacité lourde du léopard (moins lourd qu'un automoteur de 155 chenillé ) et du CV9035DK , donc une capacité blindée/mécanisée qui peut aisément être déployée sur tout le territoire danois sans trop de pb question poids , et du point de vue hauteur on peut utiliser quasiment tout les tunnels. Pour de la projection, on constate que la capacité est adaptée avec la gamme de véhicules blindés est en train de mettre en place , et que du point de départ vu artillerie le mortier de 120 mm est une capacité légère mais aussi efficace que du 155 mm ,la France l'ayant toujours compris et qui a vu l'USMC adopté du 120 mm français . Les danois peuvent donc projeter une petite force qui a les moyens d'être autonome et légère grâce au 120 mm au niveau appui. Les canons de 105 perdant de l'attrait même si il pouvait tirer plus loin , sa puissance n'était pas si top que sa . Si au niveau tir direct ( à l'instar du 105 de nos AMX 10 RCR ) . Donc voilà les danois sont logique dans leur choix en équipements. Édit : me revoilà ! Pour les CAESAR dans nos Brigade blindé , je pense qu'on ne doit pas penser en terme de " brigade blindée = artillerie auto-moteur sous blindage " . On doit aussi prendre en compte les conditions d'emploi d'une BB dans un contexte haute intensité, en sachant qu'une BB pourrait aussi agir en moyen-intensité . Que le contexte expéditionnaire impose un soutien plus simplifié en ayant une flotte de véhicules réduite en terme de diversité. Que du point de vue emploi et projection, il y a une capacité au niveau d'une division de renforcer la BB par une BLB , ou voir des éléments de cette BLB détaché auprès de la BB , de type VBCI et CAESAR , voire Jaguar pour un rôle de cavalerie légère classique , n'oublions pas que le Jaguar au niveau BLB devient une forme de plate-forme d'appui pour l'infanterie ,et que le VBL tient le rôle de cavalerie légère à l'instar du Jaguar avec le Leclerc . Alors on pourrait juger que le CAESAR n'est pas adapté à du haute intensité , mais soyons observateur sur le contexte d'emplois face à quel type d'adversaires nous devrions faire face , et si nous serions seul ? Quel sont nos "potentiels adversaires " ? Russes ? Chinois ? Iran ? USA ? Des pays européens ? La GB ? Le Brésil ? Des pays d'Amérique latine ? Des pays asiatiques ? Des pays du golfe ? L'Afrique du nord ? Le continent africain ? Le Pacifique ? Pas évident de trancher . Alors on pourrait imaginer des blocs plus ou moins homogène. Mais est-ce que s'est aussi tranché ? De toute façon la France seule pourrait gérer quelques pays en mode 1 contre 1 , mais pour d'autre ... Non ... Donc une crise mondiale qui verrait la France s'allier ( pas en mode suiveur et comme simple auxiliaire ) à une coalition. On sait qu'un conflit d'importante avec des "gros" qui eux aussi aurait une coalition verraient un affrontements qui finirait en statu quo, sans vainqueurs donc sans vaincus , et beaucoup à perdre pour les deux adversaires, l'arme nucléaire n'étant même pas envisagée . Mais est-ce que la France voudrait y participer ? Et si elle y participe pourquoi le CAESAR ne pourrait pas avoir sa place ? Je pense qu'on a une vision erronée de l'artillerie du 21ème siècle en lui collant l'image d'une artillerie passé . Oui actuellement on observe l'artillerie sur les camps de manoeuvre , 4 pièces alignées et qui tirent , ou comme celle sur des conflits type Afghanistan depuis une FOB ou en Irak ou l'on est dans la même configuration. Bien évidement durant la guerre dans le golfe en 1991 , lors de l'offensive ou une batterie restée de manière classique sur une position en délivrant des feux pendant qu'une autre batterie ce déplacée. Quand n'est-il aujourd'hui ? On observe que le CAESAR est un concentré de technologie , qui le rend autonome. On a protégé sa cabine . Par le passé, les pièces étaient lié par radio , puis par radio et système Atila . Mais celles-ci restaient liées à l'entité batterie . Le CAESAR avec ATLAS devient autonome. Ce qui veut dire que l'on peut éclater le dispositif de la section de tir sur le terrain , et donc ne plus avoir la section de tir groupée sur une seul position de tir . Donc qu'est ce qui compte au final ? Que les obus des 4 pièces arrivent bien sûr la cible et cela au même moment. De facto le CAESAR offre cette possibilité, en divisant la section de tir en 2 éléments voir 4 éléments et en éclatent le dispositif, on peut faire tirer 6 coups minute et décrocher. De facto on complique la donne à l'adversaire puisque l'on ne lui offre plus la capacité de faire une contre-batterie efficace puisqu'il n'y aura pas un groupement de pièce sur la même position de batterie . Donc voilà l'intérêt du CAESAR, un canon autonome. De facto on peu frapper de plusieurs points différent , en faisant arrivé les coups au même moment et décrocher. Donc le CAESAR pour moi a sa place dans une BB .
    1 point
  45. c'est là qu'un bon CRAB serait utile avec un CRAB TT... du 100% pur CRAB
    1 point
  46. Vers le premier bataillon opérationnel de HQ-19 ou de S-400 ? Read more : http://www.eastpendulum.com/un-nouveau-bataillon-chinois-de-hq-19-ou-de-s-400 Henri K.
    1 point
  47. https://www.theguardian.com/global-development/2017/mar/16/yemen-conflict-7-million-close-to-famine Dans la plus grande indifférence.... 17 millions de personnes en très grande "insécurité alimentaire" passeront très bientôt le "seuil de famine" qui, comme tous les indicateurs de ce type, est fixé très bas, ce qui fait que "l'insécurité alimentaire" est déjà de fait une famine pour une grande partie de ces gens. Pour référence, l'échelle en question, ou IPC (Acute Food Insecurity Phase Descriptions): http://www.fews.net/IPC 6,8 millions seraient en "phase 4", 10,2 en "phase 3", une augmentation générale de 21% depuis l'an dernier. Le "point de non retour" évoqué renvoie au fait que, sur l'échelle précitée, les stades auxquels se trouvent les 17 millions concernés impliquent des stratégies d'alimentation non seulement insuffisantes et insoutenables dans un temps relativement court, mais que cette échéance avant la famine complète est désormais très proche (parce que ça fait un bail que ces "stratégies" sont utilisées). Sur les 11 autres millions de yéménites, une bonne partie se situe aussi sur cette échelle de mesure, au stade 2. Le principal responsable serait la coalition menée par les Saoudiens, qui implémente l'essentiel du blocus sur les produits de première nécessité (dramatique dans un pays dépendant à 90% des importations, dont 80% passaient par un seul port), ce qui souligne aussi la responsabilité des puissances soutenant la coalition. Va t-on voir un Biafra à plus grande échelle?
    1 point
  48. La Lafayette au passage du Canal de Corinthe (si ma mémoire est bonne c'est coté Mer Égée) début mars
    1 point
  49. Quand j'ai commencé a lire le cahier des charges sur les performances de l'A400M, j'ai été très étonné de voir l'exigence d'une vitesse de croisière de Mach 0,72 avec des hélices et une capacité pour le même avion de ravitailler en vol des hélicoptères. Mon étonnement était d'autant plus grand que le constructeur de l'avion était le même qui construisait les hélicoptères. A l'évidence, les ingénieurs de l'avion ne se sont pas parlé avec ceux des hélicoptères. Avec cet exemple, nous avons rassemblé dans le même sujet ce que je viens d'exposer sur les hélices et les rotors. Revenons au rotor : le fait que les pales soient libres en battement aboutit a ce que l'hélicoptère amortisse les effet de turbulence par des rotations alternées autour de son axe de lacet. L'hélicoptère se dandine plutôt que de sursauter comme les avions dans les passages en masse d'air turbulente. Lors d'un ravitaillement en vol entre un A400M et un hélicoptère, l'A400M est dans la tranche basse de sa plage de vitesse, l'hélicoptère est dans la tranche haute de sa plage de vitesse. Pour l'A400M la tranche basse de vitesse impose un braquage de volets ( en position intermédiaire ) avec un soufflage suffisant de la tranche d'aile sustenté. Ce braquage de volet additionné du soufflage nécessaire ( par les hélices ) génère un écoulement turbulent en arrière de l'aile. Il y a encore bien d'autres phénomènes qui compliquent les choses, notamment que la zone turbulente n'est pas de la même intensité d'un côté de l'hélicoptère par rapport à l'autre côté. Quoi qu'il en soit, l'hélicoptère amortit ces turbulences pas des rotations autour de son axe de lacet ce qui déclenche un mouvement d'éventail à l'extrémité de la perche de ravitaillement. Ce mouvement d'éventail est d'autant plus rapide que l'hélicoptère est dans la partie haute de sa plage de vitesse. Et comme le "panier" de ravitaillement est aussi en zone turbulente... la perche est dans le zig quand le panier est dans le zag. C'est donc encore plus difficile que le jeux de bilboquet.
    1 point
×
×
  • Créer...