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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 04/08/2019 dans Messages

  1. Tu nous régurgite directement (et sans aucun lien, source ou raisonnement) le blabla israélo-trumpien. Comme une odeur de rot. Switch & bait classique.
    6 points
  2. Les Russes ne font pas la guerre d'une manière très différente des Américains et des Occidentaux en général : http://www.independent.co.uk/voices/iraq-syria-aleppo-mosul-patrick-cockburn-propaganda-we-consume-a7373951.html (21 octobre 2016) La destruction d'Alep par les Russes est comparée à la destruction de Grozny en Tchétchénie il y a seize ans mais curieusement aucune analogie n'est faite avec Ramadi, une ville de 350.000 habitants sur l'Euphrate en Irak, qui a été détruite à 80% par les frappes aériennes sous conduite américaine en 2015.
    4 points
  3. si vous avez 2 heures a perdre ...
    4 points
  4. « Enfin, l’innovation permanente, pour indispensable qu’elle soit pour faire face à la concurrence, doit s’accompagner sans cesse d’une vérification par l’expérience, ce que les marins désignent par l’expression« testé à la mer » (Sea proven). On ne saurait oublier non plus qu’il y a un temps pour tout et qu’il ne sert à rien d’avoir raison trop tôt, comme le disait élégamment notre grand ancien Dupuy de Lôme : «Quand on a en tête des innovations aussi considérables, il faut attendre l'occasion favorable de les faire réussir ; autrement on se brise, sans profit pour personne, contre l'étonnement des gens que rien n'a préparés à vous entendre». » http://associationbretonne.bzh/wp-content/uploads/2018/05/13-Yann-Gateclou-Marest-Frégates.pdf Merci à Yann pour ce topissime historique !!!
    3 points
  5. Évolution de la construction navale de bâtiments de surface jusqu’à nos jours Perspectives pour le navire du futur http://associationbretonne.bzh/wp-content/uploads/2018/05/13-Yann-Gateclou-Marest-Frégates.pdf
    3 points
  6. Est-ce vraiment seulement le "roi" qui est feignant en France? Croyez moi que si on devrait faire en France ce que les allemands ont fait, les revendications des gilets jaunes et autres seraient du pipi de chat à côté. Alors c'est bien beau de voir leurs chiffres de ceci ou cela, qu'on se dit qu'ils ont le plein emploi (pour une population déclinante il est facile d'avoir un taux de chômage bas, même en détruisant des emplois), mais on ne peut pas tout transposer à nous, l'Allemagne a dût avaler la réunification, ce qui a permis d'avoir une main d'oeuvre pas cher pour l'industrie (50% de son PIB dépend des exportations) en plus des étrangers qui viennent de partout. Mais la réalité c'est que cette allemande qui a fait les bons choix, ben elle est vite perturbée dès lors que ça ne peut plus vendre aux autres. On parle aujourd'hui d'une vague de rupture de contrats d'intérim, de chômage partiel, de plans de "redressement" etc alors que techniquement il n'y a pas vraiment de crise globale, juste une conjoncture défavorable à l'exportation. Le succès allemand c'est presque uniquement cela, de l'export et encore de l'export. On parle aujourd'hui d'une Allemagne qui risque d'entrer en récession en automne alors que viendra le BREXIT, que la Chine c'est plus trop ça, que Trump créer un protectionnisme qui a un effet mondial (dont la Chine en premier lieu). Le modèle allemand a ses limites, on a tant voulu avoir ses chiffres (enfin juste ceux qu'on enviaient comme l'excédent commercial, la croissance, le chômage, les autres on n'en parlait pas) qu'aujourd'hui on se frotte un peu les yeux. Aujourd'hui l'Allemagne se porte plus mal que la France, pourtant l'image de l'Allemagne qui réussit, qui est un exemple, semble encore hanter les esprits.
    3 points
  7. C'est ça, donc pour 2023 l'US Army aura une nouvelle munition, un nouveau fusil d'assaut et une nouvelle mitrailleuse légère, bien sûr ... Je crois que la DEA devrait perquisitionner le Pentagone parce que visiblement, ils ont de la blanche de toute haute qualité là .... Clairon
    2 points
  8. La dépêche AFP du jour sur le sujet : « Derrière la crise du MAX, un régulateur laxiste et un climat délétère chez Boeing » « (...) Les essais menés par le constructeur avaient pourtant révélé un problème similaire, provoqué par le système anti-décrochage MCAS, qui pouvait faire piquer du nez l'avion, de manière répétée, même dans des conditions normales. Cette découverte, racontent à l'AFP sous le couvert de l'anonymat deux anciens ingénieurs ayant travaillé sur le programme vedette de Boeing, était la preuve que le MCAS changeait notablement le comportement du MAX en vol. Il nécessitait par conséquent un examen minutieux du régulateur, une formation adéquate des pilotes et devait être inclus dans le manuel de vol, auquel les pilotes se réfèrent pour se sortir d'une situation difficile ou inhabituelle. Mais il n'en a rien été. Jusqu'à l'accident de Lion Air en octobre, le MCAS ne figurait pas nommément dans la documentation des pilotes. Boeing a décrit le MCAS comme un système ne pouvant s'activer que dans des conditions anormales dans les premiers documents transmis à l'autorité américaine de l'aviation civile (FAA) en vue de la certification de l'appareil. Plus tard Boeing a amendé les critères mais continué à minorer l'importance du logiciel jusqu'au moment de l'homologation, indique la compagnie Southwest, plus grosse cliente du MAX avec 34 exemplaires. La FAA --présente lors de l'incident en vol d'essai, selon une source gouvernementale-- a homologué le MAX sans l'avoir inspecté indépendamment et sans tester le MCAS. Grâce à une procédure baptisée ODA adoptée en 2005 sous la pression du lobby aéronautique, sur fond de dérégulation et de baisse du budget de l'agence, Boeing choisissait les ingénieurs devant inspecter ses avions, la FAA apposait son sceau. (...) La FAA et Boeing défendent la procédure d'homologation du MAX, chacun répétant qu'elle s'est faite dans les règles. "La certification du programme 737 MAX a impliqué 110.000 heures de travail de la part du personnel de la FAA, y compris effectuer ou soutenir 297 essais en vol", a répondu à l'AFP un porte-parole. (...) Le développement du MAX à compter de 2011 s'est fait dans un contexte difficile. (...) A ceci s'ajoutait un climat social délétère, marqué par une grève inédite de 58 jours des machinistes en 2008. "Le message était clair: il fallait maîtriser les coûts", raconte un des deux ingénieurs à l'AFP, décrivant une culture interne marquée par l'obsession du cours en Bourse, qui va finir par creuser le fossé entre ingénieurs et direction. "Tout était fait pour arrêter de relayer les éventuels problèmes à la hiérarchie", dit le second ingénieur. "Communiquer de mauvaises nouvelles était généralement vu comme mauvais pour ta carrière", renchérit Richard Aboulafia. Pour ce spécialiste de Boeing depuis plus de 30 ans, le PDG d'alors, Jim McNerney "n'avait qu'une priorité: les actionnaires", explique t-il à l'AFP. Sous sa férule, de 2005 à 2015, l'action Boeing est passée de 64,68 dollars à 138,72 dollars. Boeing a reversé 78 milliards de dollars à ses actionnaires lors des 15 dernières années, contre 11 milliards d'euros pour Airbus, a calculé Bank of America Merrill Lynch. "Nous n'avons pris aucun raccourci ni sorti le MAX avant qu’il ne soit prêt. La sécurité est toujours la priorité numéro un", répond Boeing. L'avionneur affirme également ne pas privilégier les actionnaires par rapport à ses produits ou ses employés. Au contraire, affirme Arthur Wheaton, enseignant à l'université Cornell à New York et spécialiste des relations de travail dans l'aéronautique. "La culture de Boeing n'est pas de valoriser ses employés mais d'essayer de donner davantage de pouvoir, d'autorité et d'autonomie à ses dirigeants pour que le travail soit fait au meilleur coût", fustige-t-il. Depuis l'éclatement de la crise, des petits changements se dessinent. Boeing s'est excusé, même si ce fut 25 jours après l'accident d'Ethiopian. "Je ne me souviens pas avoir entendu Boeing s'excuser pour un accident impliquant un de ses avions. Ils ont toujours blâmé les pilotes", note Scott Hamilton, expert chez Leeham. Jim Hall, l'ancien chef du bureau américain enquête accident (NTSB), se souvient aussi de la réticence du groupe à admettre un quelconque défaut de conception lors d'accidents de 737 aux Etats-Unis en 1991 et en 1994. "Nous reconnaissons que nous n'avons pas toujours communiqué au mieux avec les pilotes, les régulateurs et les clients. Nous allons nous améliorer", promet Boeing. Côté FAA on promet d'intégrer "tous les changements qui amélioreraient nos activités de certification". http://va.newsrepublic.net/s/prMvTU Comme qui dirait : « What could possibly go wrong ? »
    2 points
  9. Après, les trolls US: "THE F-35 IS INVINCIBLE!" Les trolls russes: "THE Su-57 WILL DOMINATE EVERYTHING!" Les trolls chinois: "THE J-20 WILL DESTROY AMERICA!" Les trolls anglais: "THE EUROFIGHTER IS SUPERIOR!" ...Voici les trolls français: "LE RAFALE A 12H D'AUTONOMIE SUR PLEIN INTERNE!"
    2 points
  10. C'est un tournage de film, on voit même les cameramen...
    2 points
  11. Non. C'est Trump qui a commencé en déchirant un traité que - on pourra dire ce qu'on voudra - les Iraniens respectaient à la lettre, jusqu'à preuve du contraire. Maintenant que ça commence à sentir la merde, faudrait veiller à chercher les responsables là où ils sont...
    2 points
  12. Les révolutions énergétiques sont encore au-delà de l'horizon Lorsque les 4 milliards d'habitants les plus pauvres de la planète augmenteront leur consommation d'énergie pour atteindre seulement 15 % du niveau par habitant des économies développées, la consommation mondiale d'énergie augmentera de l'équivalent de la valeur totale de la demande des États-Unis[92] Face à de telles projections, il est proposé que les gouvernements restreignent la demande, voire interdisent certains comportements consommateurs d'énergie. Un article universitaire proposait que " la vente de versions gourmandes en énergie d'un appareil ou d'une application pourrait être interdite sur le marché, et les limitations pourraient devenir progressivement plus strictes d'année en année, pour stimuler les gammes de produits économes en énergie "[93] D'autres ont proposé de " réduire la dépendance énergétique " en réduisant la taille des infrastructures ou en exigeant le recours au transport collectif ou au co-voiturage[94]. Le problème ici n'est pas seulement que, inévitablement, les plus pauvres voudront - et pourront - vivre davantage comme les plus riches, mais que les nouvelles inventions créent continuellement de nouvelles demandes d'énergie. L'invention de l'avion signifie que chaque milliard de dollars en nouveaux avions à réaction produit génère quelque 5 milliards de dollars en carburant d'aviation consommé pendant deux décennies pour les faire fonctionner. De même, chaque milliard de dollars de centres de données construits consommera 7 milliards de dollars d'électricité au cours de la même période[95] Le monde achète les deux au rythme d'environ 100 milliards par an[96]. La marche inexorable du progrès technologique pour les objets qui utilisent de l'énergie crée l'idée séduisante que quelque chose de radicalement nouveau est aussi inévitable dans les moyens de produire de l'énergie. Mais parfois, l'ancienne technologie ou la technologie établie est la solution optimale et presque à l'abri des changements. Nous utilisons encore la pierre, la brique et le béton, qui datent tous de l'Antiquité. Nous le faisons parce qu'ils sont optimaux, pas "vieux". Tout comme la roue, les conduites d'eau, les fils électriques... la liste est longue. Les hydrocarbures sont, jusqu'à présent, le meilleur moyen de satisfaire la plupart des besoins et désirs de la société. Il y a plus d'une décennie, Google a concentré ses talents d'ingénieur sur un projet appelé "RE<C", visant à développer des énergies renouvelables moins chères que le charbon. Après l'annulation du projet en 2014, les ingénieurs principaux de Google ont écrit : " Les améliorations progressives aux technologies [de l’énergie] existantes ne suffisent pas ; il nous faut quelque chose de vraiment révolutionnaire.... Nous n'avons pas les réponses "[97] Ces ingénieurs ont redécouvert les types de physique et les réalités d'échelle mis en évidence dans ce document. Une révolution dans le domaine de l’énergie ne viendra que des sciences fondamentales. Ou, comme l'a dit Bill Gates, le défi appelle des " miracles " scientifiques[98] qui émergeront de la recherche fondamentale et non des subventions pour les technologies d'hier. L'Internet n'est pas né en subventionnant le téléphone commuté, ni le transistor en subventionnant les tubes à vide, ni l'automobile en subventionnant les chemins de fer. Cependant, 95 % des dépenses de R-D du secteur privé et la majorité de la R-D du gouvernement sont consacrées au " développement " et non à la recherche fondamentale[99] Si les décideurs veulent une révolution dans le domaine de l’énergie, la mesure la plus importante consisterait à recentrer radicalement et à élargir le soutien à la recherche scientifique fondamentale. Les hydrocarbures - pétrole, gaz naturel et charbon - sont la principale ressource énergétique mondiale aujourd'hui et continueront de l'être dans un avenir prévisible. Les éoliennes, les panneaux solaires et les batteries, quant à eux, constituent une petite source d'énergie, et la physique exige qu'ils le demeurent. En attendant, il n'y a tout simplement aucune possibilité que le monde subisse - ou puisse subir - une transition à court terme vers une " nouvelle économie énergétique ". notes https://media4.manhattan-institute.org/sites/default/files/R-0319-MM.pdf#page=20
    2 points
  13. Bizarre , bizarre, le volume n'est que de 700 metres cubes, pratiquement rien (par rapport aux volumes transportes par un pétrolier standard). Un caboteur contrebandier ?
    2 points
  14. VIVA ZAPATA Il vient de vaincre la manche.... superbe!!!
    2 points
  15. Explication simple : a) économies avec passage à trois bâtiments : 2 BPC 1 LPD b) politique de relance sous Sarkozy : que faire avec ces millions? c) RSA de la Jeanne : comment la remplacer? Eureka ! Contrat opérationnel (amphibie) à 2 BPC. 3 -2 =1, suffit de transformer ce reste en BPC et déguiser la mission Jeanne en groupe amphibie Et voila
    2 points
  16. Aucun sens de la communauté ces tigresses, si c'est vrai... Les ravages du féminisme!!!! Et après les écolos blâmeront quand même tout le monde sauf leur camp. They're turning the tigers woke!
    2 points
  17. La Grèce a en 2018, 2019 un excédent primaire de 4,3 % du PIB (excédent budgétaire avant service de la dette) ce qui est plutôt pas mal, puisque ça lui permet d'avoir un solde de financement positif. Par comparaison, la Belgique a un solde financement négatif de 0,7 %. Dit autrement, aujourd'hui, la Belgique doit emprunter pour vivre. Et oui.... (même si c'est loin d'être le plus mauvais élève) Par ailleurs, les Etats européens, dont la France, doivent de l'argent à l'Etat grec. En effet, lors des grands prêts de sauvetage, les Etats s'étaient engagés à ne pas tirer des bénéfices sur les prêts qu'ils concèdent à l'Etat grec. J'explique, les Etats prêteurs empruntent à un tx mettons de 1 % et prêtent à la Grèce mettons à 2 %; Le solde entre la charge de la dette due et ce que je récupère de mon prêt, s’appelle un bénéfice; bénéfice qui devrait être restitué...
    2 points
  18. J’en suis quand même à me dire que tout ce qui peut faire chier les US est plutôt pas mal
    1 point
  19. L'enjeu pour les Etats-Unis n'est certes pas négligeable, mais je ne dirais tout de même pas qu'il est central. Après tout, les montants perçus seraient faibles de toute façon. Je soupçonne une autre motivation en plus de l'intérêt direct à faire annuler cet impôt. Il pourrait s'agir aussi d'un exemple et d'un levier pour mettre au pas les Britanniques dès avant l'ouverture des négociations. Les habituer à accepter toute demande de la partie américaine, présentée comme une condition sine qua non, leur faire prendre conscience de la faiblesse de leur position pour qu'ils acceptent que leur rôle dans la négociation est de dire Amen aux desiderata de Washington et de se contenter en échange de simples miettes. Bien sûr sans jamais le reconnaître ouvertement, mais sans non plus le contester vraiment sérieusement par des actes. Bref, poser dès maintenant sur une "bonne base" le cadre des futures négociations, et cultiver chez leur partenaire l'esprit de soumission. Savoir si c'est un bon calcul, c'est une autre question. Une réaction d'orgueil britannique est pensable.
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  20. Bon, j'avais pris mes distances avec la "discussion", tellement elle relève d'avis subjectifs... Par contre je reviens corriger, car autant je peux laisser courir des avis de tout à chacun, autant je ne peux laisser des arguments faux servir à ceux-ci. - Le COMALAT n'a pas dit que le H160M ne pourrait pas faire ce que fait la GZL. Il a dit que les modes d'emploi du H160M ne seraient pas ceux de la GZL. Est-ce parce que le H160M répond mal au besoin, ou parce que la GZL n'est plus adaptée ? ... Et que le H160M va permettre de faire évoluer les modes d'action ? Perso, et j'ai déjà pu exprimer ce point de vue, je penche pour la 2nde option. Et, spoil : c'est aussi un avis de gars de l'ALAT avec qui j'ai eu l'occasion d'échanger. - Puma Air remplacés par H160M !? Mettez-vous à la page. Ca doit bien faire 1 an que le Ministère des Armées n'associe plus les Puma au HIL. Par ailleurs, l'AdA doit, "à terme", récupérer les Caracal Terre. Au passage, Think Globally, Act Locally : Vous ne pouvez pas en 2 messages dire : - Les parcs sont sous-dimensionnés - Il faut des machines dédiées - Et admettre le manque d'argent C'est incohérent. Comme pour bien des choses, il faut certes se donner les moyens de ses ambitions, mais aussi avoir les ambitions de ses moyens. Pour imager : Je ne sais pas si vous êtes propriétaire de votre logement. Si c'est le cas, compte-tenu de vos ressources, vous pouviez disposer d'une certaine enveloppe et, compte-tenu de celle-ci, faire des compromis entre ce que vous auriez voulu, ce qui étaient des pré-requis et ce que vous avez finalement acquis.
    1 point
  21. Non, non. C'est : "THE EUROFIGHTER IS SECOND BEST!"
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  22. <Mode mauvais esprit ON> Ils devraient demander de l’aide à Microsoft : ils y gagneraient le solitaire et Minecraft, ainsi que l’appli Xbox game et l’aide de Cortana. Je suis sûr qu’en mission, ça leur serait utile. Genre : « Hey Cortana, comment on refroidit la soute ? », ou bien « Hey Cortana, est-ce que je peux recréer ma brique volante dans Minecraft ? », voire même « Hey Cortana, dessine-moi des soldats américains et des rebelles : en « CAS », je suis trop loin pour les voir et faire une quelconque différence. » Bref, que des trucs indispensables, y compris lors des longues attentes avant que le F-35 soit remis en état de vol... <Mode mauvais esprit OFF... très temporairement »
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  23. si je devais noter et répondre a toutes les conneries qu'il dit , y en a pour 4 heures de débriefing . en plus le pauvre monsieur , il faut vraiment qu'il prenne des cours d'ident...
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  24. Tu as raison on peut discuter ad vitam …… je pourrais même me lancer dans un comparatif point par point de toutes lignes de spec BPC et Foudre et faire un comptage « EUROVISION » totalement HS
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  25. Thales décroche un contrat pour équiper la Finlande de simulateur de tanks. http://forcesoperations.com/des-simulateurs-thales-pour-les-tankistes-finlandais/
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  26. Belles images [vidéo] de Bodø durant l'ACE en mai dernier ... https://www.lepoint.fr/video/embarquez-en-rafale-et-en-mirage-pres-de-l-arctique-03-08-2019-2328153_738.php
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  27. 18 janvier 2016. Le cycle du méthane.
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  28. Oui tout à fait, cette stratégie de la capture de zone désertée est typiquement ce qui a donné les "victoires" à Damas. C'est très certainement une stratégie russe, qui ne voit le conflit syrien que sur un aspect de victoires militaires et qui se contrefout du peuple et des migrants (surtout qu'en plus ça fout le bordel en Europe, ça favorise le nationalisme facteur d'affaiblissement du bloc occidental). Pour les russes, peu importe que la Syrie perde la moitié de ses habitants, ce qui compte c'est qu'Assad contrôle l'autre moitié. On a alors vu depuis le début de l'intervention russe, la même stratégie de siège, de bombardements plus ou moins intensifs (selon les moyens à disposition), de migrations subites ou négociées, ensuite l'armée syrienne entre presque sans combattre (sauf quelques irréductibles) et se féliciter non pas d'avoir libéré une population prisonnière de terroristes mais d'avoir juste pris le contrôle d'une zone, une ruine sans âmes qu'on aimerait bien voir les médias d'état ou russe filmer ce que cette libération à amener, leurs absences et leurs silences ne sont pas un hasard, ils ne vont quand même pas montrer qu'après leur passage ils n'apportent...rien et que leurs seuls projets c'est d'exproprier les anciens proprio pour tout raser pour que ces "opposants" ne reviennent plus. Là récemment, les turcs veulent à nouveau créer une zone "tampon" avec la Syrie. Un prétexte pour entrer chez les kurdes, mais aussi dans la région d'Idleb, un passe droit pour Damas et Moscou d'intervenir du moment qu'ils respectent cette zone. Les turcs semblent ne pas pouvoir/vouloir prendre sérieusement sous son aile (de manière pacifique et négociée) les rebelles armés (HTS) contrôlant cette région, ils se retrouvent donc à empêcher via ses postes de contrôles (rappelons qu'il y a un an, je crois, c'est la Turquie qui a fait reculer une offensive qui était imminente) aux "frontières" de la province une attaque pour le profit d'un groupe rebelle qui ne lui est pas fidèle ou allié. Ils se regardent de travers, le HTS ne veut pas se soumettre aux turcs comme d'autres groupes l'ont fait au Nord d'Alep, Ankara pourrait aussi jouer du bluff pour que ça cède ou alors ils se sont résignés à ce que Damas et Moscou l'affaiblisse (et profite en même temps de reprendre du terrain) pour qu'ensuite devant le flux très certain de réfugiés et de drames, les turcs viennent jouer les faiseurs de paix en s'imposant face à HTS et en acquérant des alliés locaux capables de tenir la zone. Autre élément à prendre en compte, c'est que les iraniens ne sont plus aussi présents et actifs en Syrie qu'avant. Les russes veulent limiter leur rôle pour se préserver d'actions émanant d'Israël (voir des USA) et d'un possible emballement régional qui dépasserait le simple "traitement" de rebelles anti-Assad. Moscou cherche à dégager les acteurs extérieurs du pays, que ce soit Israël, la Turquie, les USA, l'Iran, les russes veulent être seul et ils craignent par dessus tout, une situation d'un conflit et de tensions permanentes qui remettraient en question leur "victoire" (à savoir la préservation du régime d'Assad) sur la durée.
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  29. Moi je serais tenté de dire que ce sont des des écran EM ... a priori pour protéger des intercepteur de radar/radio des interférence produite par le brodel en dessous.
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  30. Bon, ... Les USA sont une puissance économique grâce au militaire ... C'est là qu'on voit qu'on est sur un site militaire. Pourquoi la Russie n'est pas une puissance économique alors ? La course à l'armement a ruiné l'URSS, pas enrichi. Pourquoi la Chine est devenue une puissance économique avec peu de militaire ? Le dollar est ce qu'il est car les USA étaient de très loin la première puissance économique (puissance économique, mais aussi industrielle, qui a permit l'armement massif pour WW2, faut pas inverser cause et conséquence). D'ailleurs jusqu'à peu on disait des USA qu'ils étaient une hyperpuissance (tant ils dominaient les autres superpuissance). L'Iran envahit ? Si l'Iran ne fait pas de grosses conneries (et dans cette liste de grosses conneries il n'y a pas le développement d'arme nucléaire), l'Iran ne sera pas envahit. Ce n'est pas parce que les USA ont plein de matos militaires au top et plein de soldats (plus ou moins) prêts à mourir pour la patrie pour le faire (envahir l'Iran), qu'ils peuvent le faire politiquement (et ça l'Iran le sait très bien). Trump, à l'instar d'Obama, a été élu en promettant ne pas faire de guerre. Même des frappes aériennes posent problèmes. La meilleure arme actuellement contre l'Iran : le dollar.
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  31. La numérisation ne va pas Uberiser le secteur de l'énergie Les outils numériques améliorent déjà et peuvent encore améliorer l’efficience dans des pans entiers de l'économie, et il est raisonnable de s'attendre à ce que les logiciels apportent encore des améliorations significatives à la fois dans l'efficacité des éoliennes, du solaire et des batteries et dans l'efficacité de la manière dont ces machines sont intégrées aux infrastructures. La logique numérique a amélioré, par exemple, le contrôle et donc l'efficacité énergétique des moteurs à combustion, et il en va de même pour les éoliennes. De même, le logiciel que symbolise Uber a montré que l'optimisation de l'efficacité de moyens de transport coûteux permet de réduire les coûts. Uberiser toutes sortes d'immobilisations est inévitable. Uberiser le réseau électrique sans hydrocarbures est une toute autre affaire. La demande de pointe, problème que les logiciels ne peuvent pas résoudre Dans le monde de l'énergie, l'un des problèmes les plus épineux est l'adéquation optimale entre l'offre et la demande d'électricité (figure 6). Ici, les données montrent que les gens et la société en général aiment les services consommateurs d'électricité ce qui génère un écart croissant entre les pointes et les creux de la demande. Pour équilibrer un tel réseau sans utiliser d’hydrocarbures il faudra augmenter l’utilisation des batteries afin de répondre à ces pics. Tout cela est pertinent pour encourager les VE. Pour ce qui est de la gestion de la nature cyclique de la demande, le transfert de la consommation de carburant des transports vers le réseau rendra la gestion des pointes beaucoup plus difficile. Les gens ont tendance à recharger au moment opportun ; c'est facile à faire avec du pétrole, étant donné sa facilité d'entreposage. Le ravitaillement en VE exacerbera la nature déjà cyclique de la demande sur le réseau. Pour remédier à ce problème, on peut proposer d'encourager, voire d'exiger, le ravitaillement en VE en dehors des heures de pointe[85]. Mais on peut s’interroger aussi sur la popularité ou même la tolérance envers cette pratique. Bien que les kilowattheures et les voitures - objectifs clés des prescriptions de la nouvelle économie des énergies - ne représentent que 60 % de l'économie dans ce secteur, la demande mondiale dans les deux cas n'est pas saturée depuis des siècles. Les adeptes de l'écologie font des déclarations extravagantes sur l'effet des options de type Uber et des voitures autonomes. Cependant, les données montrent que les gains d'efficacité économique découlant de l'Uberisation ont jusqu'à présent augmenté l'utilisation des voitures et la congestion urbaine de pointe[86]. De même, de nombreux analystes voient maintenant les véhicules autonomes amplifier, et non atténuer, cet effet[87]. C'est parce que les gens, et donc les marchés, sont axés sur l'efficacité économique et non sur l'efficacité énergétique. La première peut être associée à une consommation réduite d'énergie, mais elle est aussi, et le plus souvent, associée à une demande accrue d’énergie. Une voiture consomme plus d'énergie par kilomètre qu'un cheval, mais elle offre d'énormes gains en efficacité économique. De même, les ordinateurs consomment beaucoup plus d'énergie que les crayons et le papier. L'uberisation améliore l'efficacité énergétique, mais augmente la demande. Toute conversion d'énergie dans notre univers est peu efficace par nature : conversion du thermique en cinétique, de l’énergie des glucides en énergie musculaire, des photons en électrons, des électrons en données, etc. Toutes ces conversions impliquent un certain coût énergétique, ou gaspillage, qui peut être réduit mais jamais éliminé. Mais, ce qui est ironique, c'est que l'histoire montre - comme les économistes l'ont souvent fait remarquer - que l'amélioration de l'efficacité énergétique entraîne une augmentation, et non une diminution, de la consommation d'énergie. Si, à l'aube de l'ère moderne, les machines à vapeur abordables étaient restées aussi inefficaces que les premières qui ont été inventées, elles n'auraient jamais proliféré, pas plus que les gains économiques engendrés et la demande croissante en charbon qui en a découlé. Nous voyons la même chose avec les moteurs à combustion modernes. Les avions d'aujourd'hui, par exemple, sont trois fois plus économe en énergie que les premiers avions commerciaux de transport de passagers dans les années 1950[88], ce qui n'a pas réduit la consommation de carburant, mais a stimulé la circulation aérienne et, avec elle , a multiplié par quatre la consommation de carburéacteur[89]. De même, ce sont les gains étonnants de l'efficacité énergétique de l'informatique qui ont entraîné l'augmentation fulgurante du trafic de données sur Internet, ce qui s'est traduit par une consommation d'énergie beaucoup plus importante pour l'informatique. L'informatique et les communications mondiales, tout compte fait, consomment maintenant l'équivalent de 3 milliards de barils de pétrole par an, soit plus d'énergie que l'aviation mondiale[90]. Le but de l'amélioration de l'efficacité dans le monde réel, par opposition au monde politique, est de réduire le coût pour profiter des avantages d'un moteur ou d'une machine qui consomme beaucoup d'énergie. Tant que les gens et les entreprises veulent davantage de bienfaits, la baisse des coûts entraîne une augmentation de la demande qui, en moyenne, dépasse toutes les "économies" réalisées grâce aux gains d'efficacité. La figure 7 montre comment cet effet d'efficacité s'est manifesté pour l'informatique et le transport aérien [91]. Bien sûr, la croissance de la demande d'un produit ou d'un service spécifique peut s'atténuer dans une société (riche) lorsque les limites sont atteintes : la quantité de nourriture qu'une personne peut manger, les kilomètres par jour qu'elle est prête à conduire, le nombre de réfrigérateurs ou d'ampoules par ménage, etc. Mais un monde de 8 milliards d'habitants est loin d'atteindre de telles limites. Le tableau macroéconomique de la relation entre l'efficacité énergétique et la demande mondiale d'énergie est clair (figure 8). La technologie n'a cessé d'améliorer l'efficacité énergétique de la société. Mais loin de mettre fin à la croissance énergétique mondiale, l'efficacité énergétique l'a rendue possible. L'amélioration des coûts et de l'efficacité apportée par les technologies numériques accélérera cette tendance, au lieu de l'inverser.
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  32. Je ne pense pas être spécialement populaire, et je t'avoue que je m'en bat l'oeil, j'essaie juste de donner mon point de vu. Oui le dollar est une arme puissante, et on se demande bien d'ailleurs comment les USA en sont arrivé a posséder la monnaie de référence, qui leur permet d'exercer ce pouvoir absolument sans aucun lien avec le militaire ... Ah tiens, ils ont pu imposer le dollar parce qu'ils avaient le pouvoir militaire, et ils peuvent maintenir cet état de fait en grande partie pour la même raison. Il ne s'agit pas de dire que la puissance militaire est la seule raison, mais c'est un élément capital. Tu parles de Kim...tu apportes la de l'eau a mon moulin, il est tranquille depuis qu'il a accès a l'arme nucléaire...l'Iran est actuellement en danger d'être envahi, la Corée du Nord, non. Je passe sur l'importance du complexe militaro-industriel aux usa,responsable en grande partie de l'avance américaine dans de nombreux domaines et donc en partie de leur puissance économique. Enfin tu dis que la Chine va devenir la puissance dominante, c'est sûrement vrai, sur le plan économique c'est presque déjà le cas, et militairement ils sont déjà assez fort pour ne rien risquer des usa sur leur sol...(hors nucléaire qui serai suicidaire pour les us et retourne d'une autre logique) Aujourd'hui, tu noteras que les chinois construisent des capacités de projection de force (porte avions) ce n'est pas pour rien, mais bien parce que c'est un des principaux moyens d'influence aujourd'hui. Pouvoir aider, ou menacer, c'est avoir des monnaies d'échange et des leviers supplémentaires, comme les usa l'ont démontré depuis la seconde guerre mondiale, avec les européens, le moyen orient, la Russie etc...
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  33. En même temps, en l'absence quasi complète de menace air-air ou sol-air, même un B-17 pourrait le faire.
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  34. http://www.air-defense.net/forum/topic/18204-boeing/?do=findComment&comment=1229263 75 + 42= 117 , à ce niveau là pas de problèmes par contre si on passe de 42 à 0 , ça commence à être plus dur.
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  35. Les écolos n'ont pas d'idéologie en propre. Ils picorent, beuglent quand il faut faire le buzz, et restent étrangement silencieux quand leurs décisions provoquent des catastrophes... Franchement c'est quoi le fond de commerce des victoires électorales des écolos? - "il faut faire quelque chose pour la planète!" ...On s'en serait pas doutés franchement! Ah sinon tout récemment le maire écolo du 2ième arrondissement de Paris a raconté qu'on pouvait soigner le choléra avec de l'homéopathie. https://www.francetvinfo.fr/sante/soigner/non-lhomeopathie-nest-pas-efficace-contre-le-cholera_3560489.html On reconnaît l'arbre à ses fruits! Elle est un produit marketting politique créé de toute pièces par ses parents écolos. Une égérie construite sur-mesure pour faire pleurer dans les chaumières. Au service de qui? Qui veulent vendre quoi?
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  36. La vidéo ... Va falloir que Franky Zapata réussisse dimanche ... Pas se faire coiffer sur le poteau ! Çà a l'air d'être bien fonctionnel aussi son truc ... Voir l'autonomie, aussi. Celui-ci se dirige avec les bras, contrairement à l'autre avec les pieds. Plus simple pour décoller et atterrir (apponter) mais certainement plus compliqué pour déposer rapidement la "jet suit". Et les deux bras monopolisés pour le pilotage. A savoir la meilleure approche ... ?
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  37. The German Navy today announced that the NH90 NATO Frigate Helicopter (NFH) has been selected as the successor to the German Navy’s Sea Lynx Mk 88A onboard helicopter. In total 31 helicopters were ordered. https://euro-sd.com/2019/07/news/14224/german-navy-selects-nh90-nato-frigate-helicopter-to-replace-sea-lynx-fleet/
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  39. C'est de la comm' en mode Volkswagen/Dieselgate, un distracteur . Encore une fois, la certification n'est pas un examen qu'on doit passer pour ensuite être peinard. C'est en quelque sorte un label de qualité, qui fixe un seuil et non un plafond à atteindre. Il s'agit de respecter à la fois l'esprit et la lettre, et pas seulement la lettre.
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  40. Ca veut dire que le Mexique alimente le fonds du Pentagone, maintenant ??? Mexico will pay for it !
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  41. Je ne sais pas si vous connaissez Fighter Pilot Podcat sur youtube, je n'ai pas trouve de mention sur ce site. En tous cas je trouve que c'est une emission interessante avec des interviews de pilotes. La personne qui fait les interviews est un ancien pilote F18 qui a fait TOPGUN et apres devenu un instructeur chez TOPGUN Voici une interview avec Lt. Pierre "Ate" Chuet de la Marine a propos du Rafale. Desole c'est en anglais.
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  42. Parce que s'il n'avait pas fait ça alors je ne l'aurai pas vue. En tout cas cette explication me convient
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  43. Il est chiadé le dôme radar égyptien
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  44. ANDAMAN SEA (June 7, 2019) The amphibious assault ship USS Boxer (LHD 4) transits with French aircraft carrier FS Charles de Gaulle (R 91) while conducting drills together. The Boxer Amphibious Ready Group (ARG) and 11th Marine Expeditionary Unit (MEU) are deployed to the U.S. 7th Fleet area of operations to support regional stability, reassure partners and allies, and respond to any crisis ranging from humanitarian assistance to contingency operations. (U.S. Navy photo by Mass Communication Specialist 3rd Class Alexander C. Kubitza)
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  45. C'est peut être pas le meilleur mais c'est le notre ! On le défendra à tous prix !
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  46. Le Petit Théâtre des Opérations - Leclerc, Koufra et le bluff
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  47. Tiens une vidéo qui est toujours impressionnante de chez nous (en France)
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  48. C'est de l'incinération de produit radioactif ... on a un spécialiste sur le forum. En gros on force la mutation de produit radioactif a longue demi vie ... pour les transformer rapidement en produit a courte demi vie. On se retrouve donc avec des déchets gérable a des temps industriellement compatible - la dizaine d'année -, et on évite d'enfouissement douteux de machin bombardant pendant mille an.
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  49. Totalement intentionnel. Quand on parcourt le site, dans le cadre des accords passés entre les éditeurs et le site, on tombe là-dessus entre autres : De fait, chaque éditeur sélectionne un ou plusieurs articles qui apparaitront en clair. En plus de cette possibilité d’abonnement en ligne, les éditeurs reçoivent en retour le profil détaillé des lecteurs, notamment les abonnements croisés et autres informations enregistrées par le site. Bref, de l’échange de bon procédé entre eux.
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  50. A mettre en relation avec ce nouvel article de techno-science : https://www.techno-science.net/forum/viewtopic.php?t=43926 Ce matériaux est pour moi la clé pour créer des canon lasers utilisables bien loin des pompes à fric dont on nous parle actuellement.
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