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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 17/01/2020 dans toutes les zones

  1. Et si le 4 ème serait l'Indonésie ! https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/et-si-l-indonesie-s-offrait-des-rafale-et-des-sous-marins-scorpene-837339.html C'est Cabirol qui lâche l'info !
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  2. Arrête on a fait vachement d'effort sur ce forum... Pour preuve, ça fait combien de pages sur ce sujet qu'on a pas parlé de Rafale dans un topic qui ne lui ai pas dédié (et sur lequel on en parle moins qu'ailleurs...) ? RAFALE ! Pfiou ! ça va mieux... Je vais aller me prendre une petite camomille.
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  3. Tssss médisant va! 1) Après avoir dépensé pour agrandir le sous marin pour corriger le soucis de surpoids 2) puis dépensé pour agrandir les infrastructures trop petite suite aux correctifs du problème 1) Ils commencent à voir le bout du tunnel : https://www.meretmarine.com/fr/content/navantia-ferme-la-coque-du-premier-s-80 mais bon j'espère qu'ils vont nous faire encore rire.... Croisons les doigts !
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  4. J 'ai peut etre une idée sur le port de Toulon sur le cargo CMN de fin d'année sur le chargement pour l'ocean indien il y avait des Crotales NG de l'armée de l'air qui ont embarqué je croyais que s'était pour notre base au EAU. Mais aller savoir si ils ne sont pas passé en arabie saoudite
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  5. http://www.opex360.com/2020/01/16/m-macron-revele-que-des-militaires-francais-contribuent-a-la-reassurance-de-larabie-saoudite-via-la-tf-jaguar/
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  6. Tiens c'est bizarre, pourquoi pensent-ils que la Russie ferait mieux que la France ? Étrange. De là à penser que la propagande anti-française est exploitée opportunistiquement et renforcée par la Russie... Mais peut-être que ça leur ferait du bien, en effet, si c'était le Russie qui venait aider Bamako a rétablir son contrôle, avec les méthodes russes éprouvées en Syrie.
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  7. Angela Merkel warns EU: ‘Brexit is a wake-up call’ Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Angela Merkel met en garde l'UE : " Le Brexit est un signal d'alarme ". C'est une journée d'hiver sinistre à Berlin, et le climat politique est à la hauteur du temps. Partout où Angela Merkel regarde, il y a des nuages d'orage, car les valeurs qu'elle a défendues tout au long de sa carrière sont attaquées de manière soutenue. Au début d'une nouvelle décennie, la première femme d'État européenne semble soudain se trouver du mauvais côté de l'histoire. Bientôt, le Royaume-Uni quittera l'UE. Un président américain instable snobe ses alliés et fait cavalier seul au Moyen-Orient. Vladimir Poutine modifie la constitution russe et s'immisce en Libye et en Afrique subsaharienne. Les tensions commerciales se poursuivent, menaçant les frontières ouvertes et les chaînes de valeur mondialisées qui sont les pierres angulaires de la prospérité de l'Allemagne. Mme Merkel, une ancienne physicienne réputée pour son imperturbabilité et sa rationalité, est une politicienne programmée pour le compromis. Mais aujourd'hui, elle est confrontée à un monde sans compromis où les principes libéraux ont été mis de côté par la loi de la jungle. Sa solution est de doubler l'Europe, l'ancre de l'Allemagne. "Je vois l'Union européenne comme notre assurance vie", dit-elle. "L'Allemagne est bien trop petite pour exercer une influence géopolitique à elle seule, et c'est pourquoi nous devons utiliser tous les avantages du marché unique." S'exprimant dans la petite salle du Cabinet de la Chancellerie, une imposante salle aux panneaux de bois qui donne sur le parc du Tiergarten de Berlin, Mme Merkel ne semble pas être sous pression. Elle est calme, bien qu'un peu méfiante, pesant chaque mot et ne montrant que rarement de l'émotion. Mais le message qu'elle transmet dans une rare interview est néanmoins urgent. Au crépuscule de sa carrière - son quatrième et dernier mandat se termine en 2021 - Mme Merkel est déterminée à préserver et à défendre le multilatéralisme, un concept qui, à l'époque de Trump, Brexit et d'une Russie renaissante, n'a jamais semblé aussi combattu. C'est la " ferme conviction " qui la guide : la recherche des " meilleures situations gagnant-gagnant ". ... lorsque des partenariats bénéfiques pour les deux parties sont mis en pratique dans le monde entier". Elle admet que cette idée est "de plus en plus sous pression". Le système d'institutions supranationales comme l'UE et les Nations unies a été, selon elle, "essentiellement une leçon tirée de la seconde guerre mondiale et des décennies précédentes". Maintenant, avec si peu de témoins de la guerre encore en vie, l'importance de cette leçon s'estompe. Bien sûr, le président Donald Trump a raison de dire que des organismes comme l'Organisation mondiale du commerce et l'ONU doivent être réformés. "Il n'y a aucun doute à ce sujet", dit-elle. "Mais je ne remets pas en cause la structure multilatérale du monde." L'Allemagne a été le grand bénéficiaire de l'OTAN, de l'élargissement de l'UE et de la mondialisation. Le libre-échange a ouvert de vastes nouveaux marchés pour ses voitures, ses machines et ses produits chimiques de classe mondiale. Abritée sous le parapluie nucléaire américain, l'Allemagne a à peine épargné une pensée pour sa propre sécurité. Mais la montée du nationalisme "Moi d'abord" menace de la laisser économiquement et politiquement sans ancrage. En ce sens, l'Europe est existentielle pour les intérêts allemands, ainsi que pour son identité. C'est pourquoi Mme Merkel veut renforcer l'UE - une institution qu'elle personnifie, peut-être plus que tout autre politicien vivant. Elle a guidé l'Europe à travers la crise de la dette de la zone euro, bien que tardivement : elle a maintenu l'unité de l'Europe en imposant des sanctions à la Russie pour l'annexion de la Crimée ; elle a maintenu l'unité en réponse au traumatisme de Brexit. Le départ du Royaume-Uni continuera de peser sur Bruxelles et Berlin - le compte à rebours pour un accord commercial coïncidera avec la présidence allemande de l'UE au second semestre de cette année. Berlin s'inquiète qu'un Royaume-Uni de l'après-Brexit qui se réserve le droit de s'écarter des règles de l'UE sur les biens, les droits des travailleurs, les taxes et les normes environnementales puisse créer un concurrent économique sérieux à sa porte. Mais Mme Merkel reste une optimiste prudente. Brexit est un "réveil" pour l'UE. L'Europe doit, selon elle, réagir en améliorant ses performances, en devenant "attrayante, innovante, créative, un bon endroit pour la recherche et l'éducation... La concurrence peut alors être très productive". C'est pourquoi l'UE doit continuer à se réformer, en achevant le marché unique numérique, en progressant dans l'union bancaire - un plan visant à centraliser la surveillance et la gestion des crises des banques européennes - et en faisant progresser l'union des marchés des capitaux pour intégrer les marchés fragmentés des actions et de la dette en Europe. Dans ce qui semble être une nouvelle politique industrielle européenne, Mme Merkel déclare également que l'UE devrait identifier les capacités technologiques qui lui manquent et agir rapidement pour combler les lacunes. " Je pense que les puces devraient être fabriquées dans l'Union européenne, que l'Europe devrait avoir ses propres hyperscalaires et qu'il devrait être possible de produire des cellules de batterie ", dit-elle. Elle doit également avoir la confiance nécessaire pour établir les nouvelles normes numériques mondiales. Elle cite l'exemple du règlement général sur la protection des données, que les partisans considèrent comme une référence en matière de protection de la vie privée et la preuve que l'UE peut devenir un législateur, plutôt qu'un preneur de règles, en matière d'économie numérique. L'Europe peut offrir une alternative à l'approche américaine et chinoise en matière de données. " Je crois fermement que les données personnelles n'appartiennent ni à l'Etat ni aux entreprises ", dit-elle. " Il faut s'assurer que l'individu a la souveraineté sur ses propres données et peut décider avec qui et dans quel but il les partage ". L'échelle et la diversité du continent rendent également difficile l'obtention d'un consensus sur la réforme. L'Europe est profondément divisée : la crise migratoire de 2015 a ouvert un gouffre entre l'Occident libéral et des pays comme la Hongrie de Viktor Orban qui n'a pas guéri. Même des alliés proches comme l'Allemagne et la France se sont parfois enfermés : La réponse froide de Berlin aux initiatives de réforme d'Emmanuel Macron en 2017 a déclenché la colère à Paris, tandis que l'ouverture unilatérale du président français à M. Poutine l'année dernière a provoqué l'irritation à Berlin. Et lorsqu'il s'agit de la réforme de la zone euro, des divisions subsistent entre les Européens du Sud, fiscalement contestés, et la nouvelle Ligue hanséatique, fiscalement orthodoxe, des pays du Nord. Mme Merkel reste, dans une certaine mesure, l'otage de l'opinion publique allemande. L'Allemagne, admet-elle, est encore "légèrement hésitante" sur l'union bancaire, "car notre principe est que chacun doit d'abord réduire les risques dans son propre pays aujourd'hui avant que nous puissions mutualiser les risques". Et l'union des marchés de capitaux pourrait exiger des États membres qu'ils cherchent à s'aligner davantage sur des choses comme la loi sur l'insolvabilité. Ces divisions ne sont rien en comparaison du fossé qui sépare l'Europe et les Etats-Unis sous la présidence de Donald Trump. L'Allemagne est devenue le punching-ball préféré de l'administration, fustigée pour ses dépenses de défense relativement faibles, son important excédent de la balance courante et ses importations de gaz russe. Les entreprises allemandes redoutent que M. Trump ne donne suite à sa menace d'imposer des droits de douane sur les voitures européennes. C'est douloureux pour Mme Merkel, dont la carrière a pris son envol après l'unification. Dans une interview accordée l'année dernière, elle a décrit comment, alors qu'elle atteignait sa majorité en Allemagne de l'Est communiste, elle aspirait à faire un voyage classique en Amérique : " Voir les montagnes Rocheuses, conduire et écouter Bruce Springsteen - c'était mon rêve ", a-t-elle dit à Der Spiegel. La mauvaise chimie entre Mme Merkel et M. Trump a été largement rapportée. Mais les dernières tensions dans la relation germano-américaine sont-elles seulement personnelles - ou y a-t-il plus que cela ? "Je pense qu'il y a des causes structurelles ", dit-elle. Depuis des années maintenant, l'Europe et l'Allemagne sont en train de glisser vers le bas de la liste des priorités des Etats-Unis. "Il y a eu un changement ", dit-elle. " Le président Obama a déjà parlé du siècle asiatique, vu du point de vue américain. Cela signifie également que l'Europe n'est plus, pour ainsi dire, au centre des événements mondiaux". Elle ajoute : "L'intérêt des Etats-Unis pour l'Europe diminue - ce sera le cas sous n'importe quel président." La réponse ? "Nous, en Europe, et surtout en Allemagne, devons prendre plus de responsabilités." L'Allemagne s'est engagée à atteindre l'objectif de l'OTAN de consacrer 2 % de son PIB à la défense d'ici le début des années 2030. Mme Merkel admet que pour les membres de l'Alliance qui ont déjà atteint l'objectif de 2 %, " naturellement, ce n'est pas suffisant ". Mais il est indéniable que l'Allemagne a fait des progrès substantiels sur cette question : son budget de la défense a augmenté de 40 % depuis 2015, ce qui constitue " un grand pas en avant pour l'Allemagne ". Mme Merkel insiste sur le fait que la relation transatlantique "reste cruciale pour moi, notamment en ce qui concerne les questions fondamentales relatives aux valeurs et aux intérêts dans le monde". Mais l'Europe doit aussi développer sa propre capacité militaire. Il peut y avoir des régions en dehors de l'objectif premier de l'OTAN où " l'Europe doit - si nécessaire - être prête à s'engager ". Je vois l'Afrique comme un exemple ", dit-elle. La défense n'est pas la seule pomme de discorde avec les Etats-Unis. Le commerce est une source d'irritation constante. Berlin a regardé avec inquiétude la guerre commerciale amère entre les Etats-Unis et la Chine en 2018 : elle craint toujours de devenir un dommage collatéral. "L'Union européenne peut-elle subir des pressions entre l'Amérique et la Chine ? Cela peut arriver, mais nous pouvons aussi essayer de l'empêcher". L'Allemagne se fait peu d'illusions sur la Chine. Les fonctionnaires et les hommes d'affaires allemands sont tout aussi révoltés que leurs homologues américains par le vol de la propriété intellectuelle de la Chine, ses pratiques d'investissement déloyales, le cyberpiratage parrainé par l'État et les violations des droits de la personne dans des régions comme le Xinjiang. Autrefois considérée comme un partenaire stratégique, la Chine est de plus en plus considérée à Berlin comme un rival systémique. Mais Berlin n'a pas l'intention d'imiter la politique américaine de " découplage " - en coupant ses liens diplomatiques, commerciaux et financiers avec la Chine. Au contraire, Mme Merkel a défendu avec acharnement les relations étroites de Berlin avec Pékin. Elle dit qu'elle "déconseille de considérer la Chine comme une menace simplement parce qu'elle est économiquement prospère". "Comme en Allemagne, l'essor de la Chine repose en grande partie sur le travail, la créativité et les compétences techniques ", dit-elle. Bien sûr, il faut "s'assurer que les relations commerciales sont équitables". La puissance économique et les ambitions géopolitiques de la Chine en font un rival pour les Etats-Unis et l'Europe. Mais la question est de savoir si l'Allemagne et l'Europe veulent démanteler toutes les chaînes d'approvisionnement mondiales interconnectées... à cause de cette concurrence économique. Elle ajoute : "A mon avis, l'isolement complet de la Chine ne peut pas être la solution." Son appel au dialogue et à la coopération l'a mise sur une trajectoire de collision avec certains membres de son propre parti. Les faucons de Chine de son Union chrétienne-démocrate partagent la méfiance des États-Unis à l'égard de Huawei, le groupe chinois d'équipement de télécommunications, craignant qu'il ne soit utilisé par Pékin pour mener des activités de cyber-espionnage ou de sabotage. Mme Merkel a adopté une ligne plus conciliante. L'Allemagne devrait renforcer ses exigences de sécurité envers tous les fournisseurs de télécommunications et diversifier ses fournisseurs " afin de ne jamais se rendre dépendants d'une seule entreprise " en 5G. Mais " je pense qu'il est erroné de simplement exclure quelqu'un en soi ", dit-elle. La montée en puissance de la Chine a suscité des inquiétudes quant à la compétitivité future de l'Allemagne. Et cette "angoisse" économique trouve des échos dans la politique fébrile du quatrième mandat de Mme Merkel. Sa "grande coalition" avec les sociaux-démocrates est en proie à des querelles. L'Alternative populiste pour l'Allemagne est maintenant établie dans les 16 parlements régionaux du pays. Une bataille a éclaté pour la succession de l'après-Merkel, avec une série de gros bonnets de la CDU qui auditionnent pour le poste le plus élevé. De nombreux membres de l'élite politique s'inquiètent de la diminution de l'influence internationale dans les derniers mois de l'ère Merkel. Bien qu'elle reste l'une des personnalités politiques les plus populaires du pays, les Allemands se demandent quel sera son héritage. Pour beaucoup de ses prédécesseurs, il est facile de répondre à cette question : Konrad Adenauer a ancré l'Allemagne de l'après-guerre à l'ouest ; Willy Brandt a inauguré la détente avec l'Union soviétique ; Helmut Kohl a été l'architecte de la réunification allemande. Comment se souviendra-t-on alors de Mme Merkel ? Elle balaie la question. "Je ne pense pas à mon rôle dans l'histoire - je fais mon travail." Mais qu'en est-il des critiques qui affirment que l'ère Merkel n'était qu'une simple durchwurschteln - un embrouillamini ? Ce mot, dit-elle, dans un rare éclair d'irritation, "ne fait pas partie de mon vocabulaire". Malgré sa réputation de gradualisme et de prudence, on se souviendra sans doute de Mme Merkel pour deux mesures audacieuses qui ont changé l'Allemagne - ordonner la fermeture de ses centrales nucléaires après la catastrophe de Fukushima en 2011, et maintenir les frontières du pays ouvertes au plus fort de la crise des réfugiés en 2015. Cette décision a été la plus controversée, et certains en Allemagne ne lui pardonnent toujours pas. Mais les responsables disent que l'Allemagne a survécu à l'afflux et a intégré les plus d'un million de migrants qui sont arrivés en 2015-16. Elle préfère mettre en évidence les changements moins visibles. L'Allemagne est beaucoup plus engagée dans le monde : il suffit de regarder, dit-elle, les missions de la Bundeswehr en Afrique et en Afghanistan. A l'époque de Kohl, même l'idée d'envoyer un bateau dans l'Adriatique pour observer la guerre en Yougoslavie était controversée. Elle mentionne également les efforts visant à mettre fin à la guerre en Ukraine, son rôle dans l'accord nucléaire avec l'Iran, sa prise en charge d'une responsabilité toujours plus " diplomatique, et de plus en plus aussi militaire ". " Il se peut qu'elle le devienne davantage à l'avenir, mais nous sommes certainement sur la bonne voie ", dit-elle. L'ère Merkel a été marquée par des crises, mais grâce à sa gestion, la plupart des Allemands ont rarement connu une telle réussite. Le problème, c'est que le monde attend encore plus d'une Allemagne puissante et prospère et de son prochain chancelier.
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  8. Je ne suis pas d'accord sur la vision d'exécution. Quand on s'engage dans des opérations de guerre , donc la en l'occurence des poses de mines navales , de facto on prend le risque d'une confrontation avec la puissance qui a des forces dans le coin . Donc quand les combats ont commencé les iraniens ce sont défendu même si ils étaient en infériorité numérique. De facto pour moi sa reste une bataille même si l'équilibre des forces voyaient les US gagnant d'office. Donc pour moi s'est une bataille et non une exécution , les iraniens ayant fait face . Sa s'est une exécution : D'ailleurs ne sous estimons pas la capacité d'une petite force contre une grosse , un général de l'USMC lors d'un exercice avaient démontré qu'ils pouvaient battre une force de américaine avec peu de moyens . https://en.m.wikipedia.org/wiki/Millennium_Challenge_2002 Pour moi ce général est un vrai chef qui n'a pas hésité à montré que la puissance ne faisait pas tout . https://en.m.wikipedia.org/wiki/Paul_Van_Riper
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  9. La traduction donne : Ce n’est donc pas du tout bon signe pour le Rafale https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Betsson
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  10. T'inquiètes, mon gars, ça fait un siècle qu'on le dit : l'Allemand paiera ! :-P Et puis ça ira, on n'est pas en train de faire un F-35, on peut fabriquer un avion qui fonctionne très bien avec un budget limité plutôt que chier un avion qui plante comme une daube avec un budget illimité. Ne critiques pas un avion en développement quand tu vantes les performances d'un avion imaginaire.
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  11. Le paragraphe concernant cette "pique à peine voilée"
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  12. Après 7 ans d'intervention et 399 page de fil on peut et on devrait s'interroger sur pourquoi ça ne marche pas, sans éluder les réponses gênantes
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  13. Les gradés filmés semblent très vieux, c'est quoi leur âge de retraite ?
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  14. La version export du Su-35S. Ceci dit, entre les Su-35 qu’elle n’arrive pas à payer, les F-16V espérés mais pour lesquels il n’y a pas un pence et une hypothétique commande de Rafale; il serait temps qu’ils finissent par se décider un jour... et qu’ils trouvent de quoi payer les factures.
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  15. Le passage le plus rigolo de l'article: Pourquoi l'Indonésie souhaite encore acheter de nouveaux sous-marins ? La marine indonésienne aurait rencontré de graves problèmes avec ses sous-marins de la classe Chang Bogo fabriqués par la Corée du sud. Elle va annuler un contrat signé avec Daewoo Shipbuilding & Marine Engineering (DSME) et estimé à 1 milliard de dollar pour la construction de trois sous-marins supplémentaires. La technologie sous-marine française est appréciée en Asie-Pacifique, une région où Naval Group compte déjà trois clients dans le domaine des sous-marins (Malaisie, Inde et Australie). Quoi??? Les sud-coréens feraient en réalité de la merde sous couvert de vendre à pas cher? ooooh, ben ça alors, quelle surprise!
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  16. Alors pourquoi toutes ces attaques contre le programme ? En France, on estime qu’il y a différentes raisons possibles, peut-être de politique intérieure au moment où le gouvernement est vivement critiqué pour sa gestion des incendies géants qui ravagent le sud de l’Australie. Mais certains y voient aussi la main de concurrents, qui pense-t-on à Paris voudraient en profiter pour mettre en difficulté Naval Group sur certaines compétitions en cours. Avec par exemple en ligne de mire les futurs sous-marins néerlandais, pour lesquels le groupe français propose à l'instar de la marine australienne une version à propulsion conventionnelle des SNA du type Barracuda. Lire l'article de M&M de ce matin, Sous-marins australiens : selon Canberra, coûts et délais sont tenus © Mer et Marine https://www.meretmarine.com/fr/content/sous-marins-australiens-selon-canberra-couts-et-delais-sont-tenus
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  17. Faudrait déjà qu'il y en ait une deuxième. non? L'huile de palme pourrait être au coeur du sujet.
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  18. J'ouvre ce file , relatant une bataille navale entre les US et les iraniens . https://en.m.wikipedia.org/wiki/Operation_Praying_Mantis https://www.navalhistory.org/2013/04/18/operation-praying-mantis-18-april-1988 Je me souviens de ces images des Cobras des marines allumant une plate forme ou les iraniens y avaient installé des armements, les marines debarquant sur cette même plate-forme dans un assaut heliporté .
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  19. L'Indonésie se situe (en gros) entre l'Inde, qui a commandé des Scorpene et des Rafales, et l'Australie qui a commandé des sous marins "Attack" à Naval Group. La Malaise, voisin au Nord de l'Indonésie, a commandé deux Scorpene et des Gowind. Les Philippines s'intéressent aussi aux armes "stratégiques" françaises. Il n'est pas impossible qu'il se produise un effet "boule de neige" régional en réaction contre les appétits impérieux chinois. Bien entendu, il faut se garder d'un optimisme béat, les concurrents sont agressifs et même possiblement fédérés contre celui qui peut paraitre en tête de gondole.
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  20. Oui, je sais : quand madame hirondelle truissotte un peu rudement, ça me fait des acouphènes, et je suis évacué une semaine dans un hôpital allemand
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  21. National Interest c'est le Sputnik anglosaxon sur la défense. Du grand n'importe quoi.
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  22. https://malijet.com/actualite-politique-au-mali/editorial-journaux-mali/237960-éditorial-le-discours-qui-pose-problème….html (15 janvier 2020) La France d’En marche ira-t-elle jusqu’à exiger des régimes du G5 Sahel, notamment celui d’IBK, que cessent les défoulements anti-français ? À moins d’exiger d’IBK de changer la Constitution du Mali, sinon on voit bien mal comment lui et les autres chefs d’État pourraient empêcher leurs opinions de critiquer et de dénoncer la politique de la France ou même le maintien de Barkhane. Parce que, tout comme en France, la liberté de penser, la liberté d’opinion et la liberté de manifester sont garanties par la Constitution. https://malijet.com/la_societe_malienne_aujourdhui/education_et_formation_au_mali/237959-sans-tabou-qui-pour-sauver-l’école-malienne.html (15 janvier 2020) Le ridicule, pendant ce temps, c’est que les écoles où la plupart des enfants des hauts cadres et des membres du Gouvernement sont inscrits continuent de travailler normalement comme si de rien n’était. Tandis que les enfants des honnêtes citoyens reçoivent une éducation au rabais comme étant des citoyens de seconde zone, on constate que ceux des plus nantis étudient à l’étranger. https://malijet.com/a_la_une_du_mali/237821-au-mali-le-sentiment-anti-francais-gagne-du-terrain.html (10 janvier 2020) L’hymne malien résonne sur la place de l’indépendance de Bamako, la capitale. La main droite sur le cœur, un homme brandit une pancarte proclamant « A bas la France ». Vendredi 10 janvier, le drapeau français brûle sous les cris de près de 1 000 personnes rassemblées à l’appel d’organisations de la société civile et de personnalités politiques pour demander le départ de l’opération Barkhane et des forces internationales de leur pays. Des manifestations qui se multiplient depuis quelques mois. Alors que les présidents des pays du G5 Sahel (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger et Tchad) sont attendus en France, à Pau, lundi 13 janvier, pour « éclaircir leur position » vis-à-vis de l’opération Barkhane, le sentiment anti-français gagne du terrain au Mali. « Ce n’est pas contre le peuple français que nous sommes en colère, mais contre la politique de son Etat », insiste un technicien opposé à l’intervention de l’armée française dans son pays depuis 2013. Lui qui ne rate pas une manifestation et refuse de s’approvisionner dans les stations essence Total, fustige la durée de l’opération Barkhane et son manque de résultats. « Comment voulez-vous que l’on comprenne que la cinquième puissance mondiale, avec tous les moyens techniques et technologiques à sa disposition, n’arrive pas à arrêter des bandits sur des motos ? », interroge-t-il. Selon un sondage publié mercredi 11 décembre par le site Maliweb.net, une aide russe « pour sortir définitivement de la crise » aurait la faveur de 89,4 % des Maliens, et 80 % de la population aurait une opinion défavorable de la France. Pourtant, cette enquête a été uniquement réalisée « dans le district de Bamako ». Mamadou Sinsy Coulibaly, patron du Conseil national du patronat du Mali (CNPM), connu dans le pays pour son engagement contre la corruption et son franc-parler, affirme qu’une petite frange de la société malienne opposée à la présence française est « manipulée par ceux qui ont échoué à résoudre la crise dans le monde politique, et qui souhaitent maintenant remettre sur d’autres la faute. De l’argent est viré à des leaders d’opinion pour l’organisation de marches et la galvanisation du sentiment anti-français ». https://malijet.com/a_la_une_du_mali/237989-le-mali-receptionne-130-blindes-militaires.html (16 janvier 2020) Arrivée ce matin sur le tarmac de l’aéroport International Modibo Keïta d’un vol cargo avec à son bord sept véhicules blindés de type Typhon sur un parc attendu de 130 blindés acquis avec nos partenaires émiratis dont une trentaine en donation et 100 achetés sur le budget national du Mali.
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  23. Ils resterons en service il y aura une escadre mixte SU-24 et SU-34
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  24. C'est quand il va se décider de défendre sa frontière nord que ça va être le plus marrant..... ça inclut je présume la Bulgarie, Bosnie, Grèce, Kosovo macédoine .....
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  25. "Erdogan annonce l'envoi de troupes en Libye" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/erdogan-annonce-l-envoi-de-troupes-en-libye-20200116 "Erdogan a ajouté que la Turquie continuerait d'utiliser tous ses moyens diplomatiques et militaires pour assurer la stabilité à sa frontière sud, terrestre ou maritime, intégrant la Libye dans cet objectif." voilà voilà .... sa frontière Sud ....
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  26. Un petit texte très intéressant, écrit par un pilote de l'Armée de l'air,qui suggère ce que pourrait être une mission de frappe en profondeur à bord d'un avion piloté, type SCAF j'imagine ; il serait assisté par une IA embarquée, et travaillerait en équipe avec des essaims de drones de toutes sortes : drones ISR, mini-drones furtifs air-air avec un unique MICA comme charge d'emport, et des drones kamikazes air-sol construits à partir de vieux M-88. Les possibilités tactiques avec tous ces drones paraissent immenses, mais la charge de travail des pilotes a l'air également assez énorme. Plein d'abréviations dans le texte, je ne sais pas exactement ce que veut dire "ED" ( ... Drone ?), pour le reste, même si je ne vous apprends probablement rien : ISR = intelligence surveillance and reconnaissance, NOSA = navigateur officier système d'armes, SA = situational awareness, TTBA = très très basse altitude, SDT = suivi de terrain. https://m.facebook.com/nouvellelutteardente/posts/3017054388318164?__tn__=K-R
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  27. En Off, oui, des pneus sur le terrain c’est rarement propre. Ce qui d’ailleurs, à tort, représente pour beaucoup un indicateur de l’état de propreté d’un véhicule. Lors des séances d’entretien du 1er échelon, combien d’équipages (en incluant les Chefs de section et les commandants d’unités) se focalisent sur l’état des flancs de pneumatiques sans trop insister sur le dessous du châssis. Il faut se baisser, la manipulation n’est pas aisée, on est vite trempé et en plus ça se voit pas (donc perte de temps). Donc Hop ! Insistons-donc sur le bas de châssis et les flancs de pneu, ça fera propre. Je ne dis pas que c’est le cas de tous les équipages, je précise juste que c’est une tendance quasi naturelle et communément observé que de se préoccuper de la propreté des pneus en premier lieu. Je préfère mille fois un véhicule à l’aspect sale, mais avec un graissage effectué, les niveaux correctement faits et un lot de bord entretenu et complet (et si la roue de secours est gonflée à la bonne pression, c’est le Graal). Je sais, ça tombe sous le sens, mais franchement quelle énergie et quel temps dépensé à obtenir ces résultats. On sent bien qu’en unité ça irrite, ça agace et même que l’on s’en fou. J’occulte le niveau des éléments de batteries, hein... bien sûr.
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  28. moi pas : je ne suis pas toujours fan de la petite histoire dans la grande histoire, ne servant qu'à humaniser un truc pour le fait de l'humaniser. Des films humains en période de guerre, ou des films sur des humains dans les tourmentes de la guerre, là par contre OK... Je pense que les soldats qui se sont battus là bas l'ont fait pour leurs camarades, leur pays (ils y croyaient), pour les gens qu'ils aimaient dans leur foyer respectif. Pourquoi ajouter dans un frère dans le bataillon, et que si ils n'y arrivent pas, 5000 hommes dont votre frère vont mourir dans le guet-apens ? Ils sous entendent que si il n'y avait pas eu son frère il n'aurait pas tout risquer pour sauver d'autres soldats, qu'il aurait moins pris à coeur sa mission, que son comportement aurait pu être moins héroïque ?
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  29. Je pense qu'il y a des réponses très intéressante dans cette analyse sur la situation régionale. Et vu se qu'il avait déjà annoncé et qui est devenu du concret à se jour, et avec mon expérience africaine, je suis d'accord avec son analyse. Dès Serval qui a été une réussite militaire le gvt français aurait du imposé au gvt central des options dans chaque phase de reconquête en se qui concerne les relations entre ceux du nord et ceux du sud ( nomades et sédentaire) qui reste le principal facteur d'instabilité, les trafics et les islamistes étant des sur infection sur une plaie déjà présente. À la conférence de Pau, la pression aurait dû être de mise. Mais il faut écouter la vidéo, c'est plus précis et détaillé. Le pb c'est que le développement est une bêtise sans phase de stabilisation éthnique entre nomades et sédentaires , les humanitaires ayant cru apporter du moderne la ou les gens étaient habitué depuis des siècles à se gérer... Alors quand on a permis l'explosion démographique via des campagnes de vaccination, on a surtout déséquilibrer le besoin et la disponibilité de l'eau, des terres à bétail, terre cultivable. etc... Mon constat peut paraître rude mais c'est du factuel. On aura beau construire des routes, des infrastructures, les gens de la région ont déjà leurs habitudes via des siècles de vie en zone sahelienne ou des pistes où circuler tout les trafics dans un contexte tribal, clanique, éthnique ou le système sociétal est le plus bas niveau en comparaison des états nation optique européenne. Ces pistes sont bien plus importante que des routes toute neuve reliant la capitale et donc les gens du sud, les sédentaires à ceux du nord, les nomades... Et qui ont en commun le faît de ne pas pouvoir se voir en peinture, vu qu'ils ne ce sont jamais aimé. Donc donner de l'argent pour le développement c'est juste de la bonne conscience... Mais ça ne réglera rien. On le voit bien avec tout l'argent que la France a donnait pour le développement, et l'image que derrière il y aurait des intérêts français , l'uranium du Niger c'est peanuts par rapport au marché de l'uranium. Donc les allemands sont bien gentil, je veux bien que le gvt français qui a lancé l'affaire libyenne à commis une connerie, mais l'Allemagne a aussi fait des conneries en faisant le mode open bar aux "réfugiés" ( soyons honnête, ils n'étaient pas tous syrien, ni venant de pays en guerre...) alors que l'idée de fond était de combler un pb national qui est celui dz la baisse démographique du pays qui vieilli sans faire de gosses, permettant une main d'œuvre t en payée à des salaires très bas ... À l'instar de du gvt français qui a merdé en Libye, les allemands n'ont demandé l'avis à personne en Europe quand ils ont décidé pour leur propre intérêt ( celui du gvt français de l'époque on cherche encore les raisons...) l'accueil des réfugiés devenu migrants, l'Allemagne râlant que des pays Européens refusent de prendre leur part de migrants, sauf que pour certains pays soient il y a trop de chômage, soit ils ont du boulot mais juste pour leur propres citoyens qui eux sont aussi en phase d'évolution de niveau de vie ( les pays de l'Est), et s'est Merkel qui est toujours patronne en Allemagne mais aussi avec une montée de l'extrême droite qui a vu un parti avec des représentants en haut lieu ... Aujourd'hui les pb sont là et il faudra les gérer , mais il semblerait que personne ne veut prendre sa part, alors que le pb des migrants et celui du Sahel sont très lié... On critique la France mais l'Allemagne a autant de responsabilités d'une certaine manière, car elle a aussi permis la surinfection pour un intérêt propre... Enfin voilà, les allemands sont bien gentil, mais ils ne sont pas meilleur pour autant, se qui me pousse à encore être plus critique sur une UE et le pseudo couple franco-allemand, j'y ai jamais cru d'ailleurs mais là je ne peux qu'être conforté vu le constat. Là solution s'est de peser sur les états centraux pour qu'ils prennent en compte Le pb entre gens du nord et ceux du sud, imposer de l'autonomie avec en fond la menace de l'arrêt des aides au développement et le départ de Barkhane, qui verra forcément les gens du nord rapidement descendre au sud... En influant ainsi, on permettrait la cicatrisation de cette plaie ouverte entre nomades et sédentaires, pour que la sur infection islamiste, trafic se réduisent. Ça critique la stratégie militaire de la France, mais ils savent très bien que le problème n'est pas là, mais surtout là où comme je le met en avant plus haut dans mon message, mettre la pression de manière logique sur les gvt des pays du Sahel qui profitent très bien de l'aide au développement, tellement bien que depuis des années rien n'a changé concrètement... Beaucoup de monde se demande où fini l'argent, et la réalité pas là ou c'était prévu... Ça me rappel quand avec ma femme d'origine djiboutienne on allait sur le marché à Djibouti, et que des étales revendaient des sacs de riz marqué don des USA, don de programme alimentaire d'organisation internationale ... Alors imaginer se qui peut arriver avec de l'argent... Même ma femme était désabusée sur la possibilité de voir évoluer les choses, et c'était à Djibouti, pas au Mali ou autres pays du Sahel ou la corruption est de mise... Donc les allemands ils me font bien rigoler vu leur manière de faire... Mais bon voilà mon humble constat.
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  30. on l'avait mis à la poubelle, enfin presque, c'est là que l'aventure commence, tant que ca sert ca sert, que c'est bon de rêver :P Gnarf ^^ @seb24
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  31. Comme ça a été expliqué mainte fois sur ce forum par des gens compétents pour faire un truc aussi pointu qu'un avion de combat il faut 3 choses : - du temps - de l'argent - de l'expérience C'est pour ça que l'eurofighter s'est cassé la gueule certains gros acteurs (l'Allemagne par exemple pour ne pas la cité) ont voulu se donner beaucoup de workshare. Mais tu peux mettre le pognon que tu veux avec les ingénieurs les plus doués et motivés, faire un truc au top de la technologie est impossible du premier coup si tu n'as pas déjà bossé sur des truc au top niveau. C'est pour ça que Dassault Snecma et tous les acteurs se battent pour avoir régulièrement du travail a fournir a leurs bureaux d'études pour éviter une perte de compétences.
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  32. Trop tard. La france a signifié son camp avec le cdg l'année dernière.
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  33. http://psk.blog.24heures.ch/archive/2020/01/16/f-35 -un-remplacant-pour-alis -868499.html
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  34. Seulement 11 alors qu'il y aurait un besoin supplémentaire, c'est bizarre. Et si le besoin supplémentaire était apparu récemment ils auraient du compléter la commande de SU-35. Les livraisons n'ont sans doute pas commencées donc on ne peux pas dire qu'ils sont mécontents donc pour moi il n'y a pas de vrai besoin (pas de budget).
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  35. Vu le résultat de la compétition APDW de l'OTAN, probablement pas. Cependant, il a quand même été vendu dans une 40aine de pays à travers le monde...
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  36. Plutôt les indonésiens, non?
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  38. Non, pas de "doubler l'Europe", mais de "mettre les bouchées doubles" pour la construction de l'Europe. Peut-être que l'Europe est tout simplement une "Grande Allemagne" ? Comme si la Russie ne faisait pas partie de l'Europe... Réflexion très intelligente. Donc le problème n'est pas Trump. C'est beaucoup plus profond, et cela veut dire que les Européens doivent faire leur deuil de la "relation spéciale" (special relationship) si chère aux Anglais, Trump ou pas Trump. Les Européens doivent faire leur deuil de l'OTAN.
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  39. Je croyais qu'au nom de la liberté de Jésus d'Allah ou autres Saints on peut se contenter de l'amour et de l'eau fraîche (et le WiFi en sus)... ? On m'aurait menti ? Merde alors... Henri K.
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  40. Moi ma vision est que Naval Group a un contrat de 12 bâtiments à honorer en Australie et qu'il n'ont rien mais alors rien à branler de l'agitation des réseaux sociaux ...
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  41. Pugliese est jaloux : https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/unlike-finland-canada-nixes-cold-weather-tests-fly-off-among-competing-fighter-jets Tout un article pour se lamenter que contrairement aux Finlandais, le Canada ne va pas tester la bonne marche des avions en conditions de climat froid et humide. Et de rappeler que ce sont les mêmes avions qui sont considérés par les deux pays, sauf pour ceux qui ont abandonné le Canada pour sa partialité envers le F-35. Et de redonner des exemples objectifs de cette partialité. De là à penser que ces tests ne seront pas fait au Canada parce que le Canada n'a pas confiance en la capacité du vainqueur-désigné de les réussir...
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  42. La réélection de Trump étant quasi assurée, je le met dans les criailleries (même si ce n'est pas la place qu'il mérite...) https://www.cyberscoop.com/russia-hacking-ukraine-burisma-donald-trump-apt28-area-1/ La compagnie de gaz Burisma (Ukraine), point de départ de la procédure de destitution en cours, aurait été piratée, et et de nombreux documents fuités. Bref, on peut s'attendre à d'autres fuites pendant la campagne présidentielle (façon Guccifer, Macronleaks, etc) C'est la compagnie dont fait partie Hunter Biden (le fils du candidat). Trump avait pressuré l'Ukraine, très probablement juste pour avoir du dirt sur son rival politique. Bémol des experts en sécurité : contrairement à ce qu'affirme le NYT, il n'y a pas assez de preuve technique solide pour l'attribution au GRU/APT-28. Même s'ils sont dans les premiers suspects (via la motivation). Merci à Kotai pour la reprise d'un talking point trumpiste / sputnikien ... Sauf qu'il ne résiste pas 1 minute à une simple vérification de base. Et franchement, je suis assez déçu que personne sur le forum ne l'ai réfuté. (Trump fatigue peut-être ?) Résumé (par un média conservateur US) https://thebulwark.com/truth-lies-and-the-nonsense-trump-biden-ukraine-false-equivalency/ https://mediabiasfactcheck.com/the-bulwark/ Version ultra courte en français: En 2014, Shokin, le procureur viré par Biden ... bloquait les enquêtes anti corruption en Ukraine... Dont celles sur Burisma. (et les enquêtes sur Maidan d'ailleurs...) En gros, Biden l'a fait virer ... sous les applaudissements de l'UE, et du FMI, et a débloqué les enquêtes sur la compagnie de son fils. Bref, aucun bénéfice personnel dans l'affaire -> et c'était dans l'intérêt US / UE Alors que pour le call d'extorsion d'Ukraine, c'est difficile de trouver le moindre intérêt pour les USA ... et que le bénéfice personnel pour la réelection de Trump est évident et assumé à la TV (même sans preuve formelle ou témoignage direct). Sources: Articles de 2016 (bien avant les polémiques) https://www.irishtimes.com/news/world/europe/eu-hails-sacking-of-ukraine-s-prosecutor-viktor-shokin-1.2591190?mode=amp https://www.nytimes.com/2016/03/30/world/europe/political-stability-in-the-balance-as-ukraine-ousts-top-prosecutor.html bio wiki du procureur viré https://en.wikipedia.org/wiki/Viktor_Shokin article de mai 2019 (quand Burisma était juste une rumeur qui courait dans l'alt right, au milieu des pressions de Giuliani, bien avant le call d'extorsion sur l'Ukraine) https://theintercept.com/2019/05/10/rumors-joe-biden-scandal-ukraine-absolute-nonsense-reformer-says/ article post scandale, mais bonne synthèse https://www.rferl.org/a/why-was-ukraine-top-prosecutor-fired-viktor-shokin/30181445.html
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  43. https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/societe-africaine/mali-l-influent-et-virulent-imam-mahmoud-dicko-lance-son-mouvement-politique_3609581.html (9 septembre 2019) Inspiré par la doctrine wahhabite en vigueur en Arabie Saoudite, où il a reçu une partie de sa formation, Mahmoud Dicko vient de faire son entrée sur la scène politique, en lançant son propre mouvement, la CMAS. Président jusqu'en avril du Haut conseil islamique, principale organisation islamique d'un pays à 90% musulman, l'imam Dicko a, par le passé, fortement contribué à faire reculer le gouvernement sur la question des droits des femmes, de l'interdiction de l'excision à un projet de manuel scolaire prônant la tolérance envers l'homosexualité. L'imam, âgé de 65 ans, prône "une refondation" sur la base de valeurs sociétales et religieuses. Mahmoud Dicko incarne face au rite malékite dominant au Maghreb et en Afrique de l'Ouest, plus ouvert, la tendance inspirée par la doctrine wahhabite, en vigueur en Arabie Saoudite, où il a reçu une partie de sa formation théologique. Très populaire dans le pays, il a été engagé dans les efforts de médiation quand le nord du pays est tombé aux mains des jihadistes en 2012. Il a soutenu l'intervention militaire internationale lancée à l'initiative de la France en 2013 et assisté, aux côtés d'autres dignitaires religieux, en 2015, à la signature de l'accord de paix au Mali, ou en 2017 à la conférence d'entente nationale prévue par cet accord. Mais, avec le chérif (prédicateur musulman) de la localité de Nioro, Bouyé Haïdara, il est aussi entré en fronde contre l'ancien Premier ministre, Soumeylou Boubèye Maïga, poussé à la démission en avril après le massacre de près 160 civils à Ogossagou et une série de manifestations contre l'incompétence imputée à l'Etat. Le rapport Chevènement de 2013 était déjà très soupçonneux vis à vis de Mahmoud Dicko : http://www.senat.fr/rap/r12-513/r12-513_mono.html#toc148 Certains chercheurs vont jusqu'à estimer qu'il y avait une convergence, voire un projet politique visant à instaurer au Mali un « état islamique » voire à négocier avec le mouvement d'Iyad ag Ghali l'éventuel établissement d'une plate-forme commune entre le Nord et le Sud. Sans aller jusque-là, d'autres constatent que ce n'est sûrement pas un hasard si l'imam Mahmoud Dicko, Président du Haut conseil islamique du Mali (HCIM), s'est rendu à Gao quand la ville était sous le joug des terroristes, où il a rencontré un porte-parole du MUJAO.
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  44. Comme je l'ai écrit, en cas de guerre la Finlande c'est 900.000 hommes! (et femmes désormais même si sur la base du volontariat). Sont-ils dépendants des US pour tenir le terrain? Non. En revanche ce qui peut être intéressant ce sont les capacités de soutien dans la profodeur, du dispositif apporté par les US, oui. Mais mettre le doigt dans l'engrenage en prenant du F-35, avion totalement imbriqué aux systèmes d'information US, c'est finir inféodés. Tout le monde n'est pas Israël! Attention aux conséquences, la Finlande est au contact direct de la Russie sur toute sa frontière, la Pologne n'a AUCUNE frontière avec la Russie hors de l'enclave de Kaliningrad! La posture ne sera pas la même. Les polonais peuvent faire les fiers à bras, à bien des égards ils sont en second rideau! Les pays baltes bénéficient d'une réassurance par l'OTAN, servent de thermomètre diplomatique, et devraient forcer l'Europe à se sortir les doigts pour éviter que les russes n'y imposent leur influence. Et certes les américains font le boulot que nous devrions faire ce qui leur permet de renforcer leur position diplomatique... Mais la Finlande a-t-elle besoin de la réassurance de l'OTAN, de l'Europe, ou des USA, pour assurer une masse critique à ses forces armées? Non, car les troupes, les aides, les assistances que nous pourrions leur porter ne seront jamais équivalentes à celles qu'ils mettraient déjà en oeuvre contre la Russie en cas de guerre. Et c'est grâce à la conscription. À la rigueur du matériel, de l'armement, pourrait s'avérer utile, mais globalement nous ne serons jamais dans le rôle que tenait l'armée allemande en 1940-41 sur le front finlandais. Historiquement, la pirouette réalisée par les finlandais à la fin de la guerre de continuation a été de signer une paix séparée avec les russes, puis de se retourner vers les allemands pour les chasser de leur territoire. Pourquoi ce choix? Pour ne pas faire de leur pays l'axe majeur du champ de bataille, ce qui, précédemment, semblait pourtant acté, les russes voulant envahir la scandinavie pour couper la route du fer suédois à l'Allemagne nazie, et le terrain se prêtant relativement bien à la progression de l'armée rouge, en théorie. On a vu la suite avec la défense acharnée des finlandais (ils se servaient même de Morane Saulnier 406 pris à la France et reversés par l'Allemagne pour attaquer les T-34 en piqué au canon de 20mm hispano suiza et ainsi percer le toit des chars! des dingues!). Et sans la négociation entre alliés ils en auraient pris plein la poire façon découpage à la scie. il a fallu attendre 1947 et le traité de Paris pour valider les pertes de terrain (et de population). Et vu les circonstances ils s'en sont bien sortis... https://fr.wikipedia.org/wiki/Traité_de_Paris_(1947)#Transferts_territoriaux_et_indemnisations Aujourd'hui les finlandais sont sensibles au fait que la France soit encore une armée dont les effectifs se comptent en divisions. En Europe nous sommes clairement vus comme meneurs sur le plan militaire, nos intérêts sont liés et même notre posture face à la Russie: on discute, on se parle, mais on ne s'allie pas pour autant. À mon avis c'est ce qu'il y a de plus sécurisant. Et en cas d'accords de défense mis en jeu, c'est toute notre posture qui basculerait car nous n'avons pas le poids diplomatique pour dire "non" à nos alliés, et contrairement aux allemands nous respectons les traités que nous signons. Ça a de la valeur. Je pense donc que dans le contexte qui nous intéresse, le Rafale est une troisième voie qui ménage au mieux les uns et les autres tout en assurant à la Finlande des capacités non-négligeables. Ni trop, ni pas assez.
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  45. C'est le comble, pour un avion avec des canards.
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  46. et ils ont du cacher l'EF sous les oranges...
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  47. Les chargeurs Magpul PMAG deviennent une norme on dirait. Ils sont aujourd'hui les chargeurs de l'USAF et l'USMC (dotation) et devaient être egalement le cas pour l'Army. Chez les british, il s'agit d'EMAG car plus fin pour rentrer dans le puit des L85A2 et maintenant A3. D'ailleurs seuls ces derniers passaient dans les premières versions des 416 (d'où la version A5 de nos FS et désormais la norme sur les 416 F et générations suivantes)
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  48. J'ai quand même l'impression que ça reste toujours une discussion franco-française avec dans l'idée de se faire financer par les autres pays européens des besoins français.
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