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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 17/05/2020 dans toutes les zones

  1. Bonjour, Je dirai même plus : L' Article L2335-3 du Code de la Défense (entre autres) dispose que l'Etat supervise, d'une manière ou d'une autre, les exportations d'armes. Plus simplement, il faut des autorisations pour fabriquer, détenir et exporter. Bonne fin de week-end.
    9 points
  2. @Snapcoke : dans la même veine... 981 pages plus tard, nous sommes au regret de vous signaler qu'on n'en sait pas encore vraiment plus.
    8 points
  3. Prélevé et testé négatif ce matin, quand je vois le luxe de précautions avec lequel l'infirmière a effectué le prélèvement ... allongé tête en arrière 8/10 cm dans le sinus la fosse nasale et 15 secondes de rotation de l'écouvillon à en faire venir une larme j'avoue avoir de sérieux doutes sur la fiabilité des prélèvements en "drive"
    7 points
  4. Quelques questions ce pose... Où est Georgio ? A t'il obtenu une réponse satisfaisante ? A t'il trouvé un Bescherelle ? 17 ans que Georgio a posé cette question...
    7 points
  5. #100FrancsDansLeNourrain
    6 points
  6. Passes-lui le tien si t'en as plus besoin :-)
    6 points
  7. The US dollar: the final act Le dollar américain : l'acte final L'impensable devient de plus en plus probable. La fin de la domination du dollar américain et le début d'une nouvelle forme de système monétaire mondial seront bientôt à nos portes. Cela devait arriver à un moment donné. L'histoire des monnaies de réserve est longue et remonte à l'Antiquité. Mais comme le montre l'histoire moderne, la durée de vie moyenne des actifs de réserve est d'environ 100 ans. (C'est le cas du Livre français et du Florin néerlandais.) La fin est toujours causée par des dépenses excessives pour les guerres, la surconsommation, l'endettement excessif et le crédit facile. Cela vous dit quelque chose ? On m'a posé cette question dans une interview l'été dernier et j'ai répondu que, bien qu'elle soit inévitable, la baisse du dollar américain était encore à venir dans de nombreuses années. Bien sûr, c'était avant la pandémie COVID-19 et la réponse budgétaire et monétaire américaine à la crise qu'elle a engendrée. Je doute que nous sortions de cette calamité et de son impact économique prolongé avec le système actuel intact. Pourquoi ? Je vais essayer de le dire simplement et de me concentrer uniquement sur l'importante dynamique d'ensemble. Du jour au lendemain, le nouveau coronavirus a paralysé l'économie mondiale et les États-Unis connaissent des niveaux de chômage jamais vus depuis les années 1930. La différence entre cette époque et aujourd'hui réside dans l'ampleur de la réaction du gouvernement américain à la pandémie. La différence entre cette époque et aujourd'hui réside dans l'ampleur de la réaction du gouvernement américain face à la pandémie. Elle ne ressemble à rien de ce que nous avons vu de notre vivant. En effet, son approche a consisté à faire tout ce qu'il fallait pour que le système n'implose pas. Traduction : Il n'y a pas de limite aux dépenses déficitaires et à l'impression d'argent. C'est une réaction compréhensible et prévisible. Le problème est que nous sommes entrés dans cette crise sans les outils nécessaires pour sauver l'économie sans détruire la monnaie américaine en même temps. J'ai commencé à écrire sur cette éventualité en 2001, lorsque les premiers signes du type de comportement monétaire et fiscal qui conduirait à un aléa moral toujours plus grand sont devenus évidents. J'ai alors déclaré que la hausse des déficits, associée à des réductions d'impôts et à des taux d'intérêt artificiellement bas, préparait le terrain pour un accident financier. Nous l'avons compris à profusion avec la crise financière de 2008. Malgré ses ravages, nous avons été épargnés par une dépression similaire à celle qui a suivi le krach de 1929, car la Fed a imprimé beaucoup d'argent frais pour créer un plancher afin de soutenir l'économie. Mais il y a finalement un prix à payer pour toute cette impression d'argent et d'autres, comme le célèbre gestionnaire de fonds spéculatifs Ray Dalio, ont exprimé les mêmes inquiétudes. Pour apaiser ce malaise, la Fed a assuré au public que cette politique n'était que temporaire et que dès que l'économie se stabiliserait, elle normaliserait les taux d'intérêt et retirerait tout l'argent supplémentaire du système. Mais ils ne l'ont jamais fait. L'année dernière, j'ai écrit deux articles (Dancing on the Edge of the Precipice et Gold, The Unfortunate Final Refuge) pour avertir mes lecteurs que nous étions en danger à court terme d'un autre accident financier, en disant : "Alors, qu'est-ce qui pourrait déclencher la prochaine crise ? Et pourquoi n'aurions-nous pas les outils dont nous disposions en 2008 pour éviter un effondrement total ? La prochaine crise peut surgir de nulle part. Elle peut être déclenchée par la faillite d'une institution financière, par une crise politique surgie de nulle part ou par un événement géopolitique grave. Tout ce qui supprime le manteau de confiance sur lequel repose l'ensemble du système financier". Je n'aurais jamais imaginé qu'une pandémie serait l'événement déclencheur, mais la cause n'a jamais été le sujet. C'était forcément quelque chose. La réponse du gouvernement américain en 2008 nous a préparé à la prochaine crise. Plus précisément, l'assouplissement quantitatif et les autres mesures politiques se sont poursuivies au-delà du point où la stabilité a été atteinte. L'effet a été de créer une surchauffe des marchés et de rendre inefficaces les outils traditionnels pour influencer la politique monétaire. Nous étions destinés à être en difficulté une fois la prochaine crise arrivée. Signalons la pandémie de Covid-19. La réponse politique à Covid-19 et à ses effets sur les marchés financiers et l'économie réelle a été semblable à celle du méchant qui jette son arme sur le protagoniste lorsqu'il n'a plus de balles. Elle a commencé avec plus de 2 000 milliards de dollars de nouveaux fonds imprimés qui seront certainement augmentés et un plan de relance budgétaire de 2 000 milliards de dollars supplémentaires qui devrait passer à 4 500 milliards de dollars. Les démocrates et les républicains sont unis sur ce point et je ne nous vois pas revenir à des déficits inférieurs à 1 000 milliards de dollars. Il est beaucoup trop facile de dépenser sans discernement pour faire face à un déficit massif. Il n'y a pas de débat sur la provenance de cet argent. En fait, l'argent nécessaire pour toutes ces mesures de relance n'existe pas. Le gouvernement doit l'emprunter et il n'y a pas assez de prêteurs réels sur le marché pour acheter tous ces bons du Trésor. Pendant des décennies, les États-Unis ont pu financer leurs déficits parce que le reste du monde était heureux d'investir dans les bons du Trésor américain afin de vendre aux Américains leurs exportations - un financement par les vendeurs, si vous voulez. Avec des bons du Trésor qui ne rapportent effectivement rien et l'impression de monnaie à outrance, je ne pense pas que les acheteurs étrangers continueront à financer la prodigalité américaine. Comme je l'ai dit il y a dix ans, le jour viendrait où la Fed serait l'acheteur de la dette publique américaine en dernier ressort et, en fin de compte, le seul acheteur. Toute cette dette et l'impression monétaire simultanée sont indissociables, car la dette est monétisée, quoi qu'il en soit. Ces décisions sont prises sans tenir compte des conséquences futures. L'objectif est le même : éviter la noyade à tout prix, même si cela implique de faire couler le canot de sauvetage avec tout le monde dedans. À en juger par le rallye des actions depuis que la Fed est intervenue, au moins elles sauveront la bourse, ce qui devrait rendre heureux le 1%. (Pour l'instant.) Je ne pense pas que nous ayons encore vu le début des défauts de paiement et des insolvabilités des entreprises américaines. L'idée que nous allons avoir une reprise en forme de V est une fantaisie. Je prédis que le bilan de la Fed sera de 10 000 milliards de dollars d'ici la fin de l'année. Je le répète. La Fed ne sera jamais, jamais en mesure de normaliser les taux d'intérêt et ne dénouera jamais son bilan gonflé. C'est une certitude mathématique. Alors que je pensais que nous aurions peut-être franchi l'horizon des événements, en ce qui concerne la politique monétaire après 2008, nous sommes maintenant carrément au centre d'un trou noir. Les décideurs politiques ont commis l'erreur fatale il y a longtemps, en choisissant une série de victoires à la Pyrrhus et en perdant inévitablement la guerre. Je ne vois pas comment nous pouvons sortir de la crise post-Covid-19 et c'est un dommage irréparable à la réputation du dollar américain sans un nouveau système monétaire mondial. L'impensable est désormais inévitable. Les États-Unis commettent les mêmes erreurs que l'Argentine, le Venezuela et d'innombrables pays et empires au cours de l'histoire. La création d'un nouveau système ne sera pas facile ; il est probable qu'il sera très désordonné. Ce à quoi cela ressemblera est une supposition. Peut-être une unité commerciale constituée d'un panier de devises et/ou de produits de base. Et bien sûr, la seule monnaie qui a survécu à travers les millénaires, l'or.
    6 points
  8. M'enfin non, ils sont tous occupés à baver devant la vidéo du Rafale et du F-22. Faut vraiment tout vous expliquer!
    5 points
  9. Je trouve que cette explication a du sens. Qui aurait l'idée saugrenue d'utiliser un matériel militaire à ses pleines capacités ? Surtout en combat réel... Ce serait ridicule ! Pourquoi pas aussi tant qu'on y est, faire le maximum pour défendre sa peau et son pays ? Les détracteurs du F-35 ne savent pas quoi trouver comme petit défaut à la marge (incapacité à voler par exemple) pour dénigrer le programme !
    5 points
  10. A cause du confinement ! Non ?
    3 points
  11. Ma femme a lancé tout à l'heure le film "Contagion" de 2011 avec Matt Damon, Kate Winslet et Gwyneth Paltrow. Au bout d'un moment, elle me fait "On n'a rien fait, on a merdé..." puis elle est partie fumer. Moi je continue sur le film parce que je ne l'ai jamais vu. J'en suis à "Day 7", on parle de Hong Kong, on parle de chauve-souris, on parle de porc... Si j'extrapole au cas de la COVID-19, J+7 c'est le 3 Janvier. Le CDC chinois et le NIH central étaient en train d'effectuer des analyses sur les échantillons pour essayer d'isoler la pathogène. En attendant, les organes de presse chinois commencent à jouer le même jeu que leur homologues américains (et probablement européens). Ils demandent aux Etats Unis d'expliquer au monde entier ce qu'il s'est réellement passé au Fort Detrick en Juillet l'an dernier, où se trouve l'USAMRIID (United States Army Medical Research Institute of Infectious Diseases), qui était fermé suite à une fuite du système de recyclage d'eau (??). Certaines personnes aux States ont associés la mort de plusieurs dizaines (ou centaines, me rappelle plus) de personne d'une pneumonie d'origine inconnue (??) dans les environs à cette fuite. https://mp.weixin.qq.com/s?__biz=MTI0MDU3NDYwMQ==&mid=2656884050&idx=1&sn=5f95e363867509e322fd56c65b278404&chksm=7a6628b44d11a1a21b15b9228c70e5f300ef632b4ec6e0d6c35904c6eac95bf99e43d6f4a99f&scene=0&xtrack=1#rd Bon, apparemment le virus dans le film "Contagion" semble être beaucoup plus violent. Ils viennent de dire "mais pourquoi travailler sur ce virus dans un P3"... Aller, je continue. Henri K. P.S. Une phrase dans le film m'a marqué : "On va s'assurer que personne ne sache, jusqu'à tout le monde le sache".
    3 points
  12. 15-17 mai 1940 : à Stonne, l’héroïsme des soldats français .... Bataille oubliée de la Seconde Guerre mondiale, Stonne symbolise, à bien des égards, la résistance et la pugnacité de l’armée française face à l’invasion ennemie, suite à l’offensive du 10 mai. Les combats s’engagent le 14 mai aux alentours de cette petite ville des Ardennes, située au sud de Sedan, prise le 13 mai par les Allemands. Stonne est un verrou stratégique car il permet l’accès aux routes vers Paris, vers le centre et le sud de la France. Les Français disposent de 42.500 hommes et de 130 chars face aux 90.000 hommes et 300 chars ennemis. Malgré ce rapport de force défavorable, les soldats français vont défendre leur territoire de manière acharnée. En effet, au plus dur des combats, entre le 15 et le 17 mai, le village, qui compte alors une soixantaine d’âmes, sera pris et repris par les Allemands. Il change de mains dix-sept fois au cours de ces trois jours ! L’affrontement est à la fois brutal et meurtrier, causant la disparition de 7.500 Français (tués et blessés), de 26.500 Allemands (tués et blessés) et entraînant la destruction de 33 chars français et de 24 chars allemands. Deux épisodes significatifs incarnent l’âpreté des combats. Le 16 mai, le capitaine Pierre Billotte (1906-1992), du 41e bataillon de chars de combat (41e BCC), pénètre dans Stonne avec son char Renault B1 bis et traverse la place du village. De l’autre côté arrive une colonne de panzers allemands. Un obus perforant étant déjà prêt dans le canon, Billotte ordonne le tir et fait mouche sur le Panzer IV en tête du convoi. Le char de tête immobilisé, la colonne allemande ne peut plus avancer. Alors, il tire sur les autres chars alignés. L’un après l’autre, 13 blindés allemands sont mis hors de combat. Au cours de la canonnade, le char B1 bis de Billotte reçoit 140 impacts issus des tirs adverses, mais le blindage du char français se révèle plus résistant. C’est d’ailleurs le point fort de ce type de char. Son blindage très épais le met à l’abri de nombreux tirs ennemis. Le lendemain, le 17 mai, en fin d’après-midi, une section de trois chars B1 bis du 49e BCC (qui appartient, comme la 41e BCC à la 3e division cuirassée) entre dans Stonne. L’un d’eux, baptisé Riquewihr, est conduit par le lieutenant Domecq. Il se trouve face à face avec une colonne de fantassins allemands qui tente de se protéger dans une portion de fossé le long de la route. Les Allemands ouvrent le feu sur le char français. Celui-ci poursuit sa route et neutralise les tirs en écrasant les occupants du fossé sous ses chenilles. Arrivés dans le village, les défenseurs allemands rompent le combat, pris de panique à la vue des chenilles couvertes de sang. On parlera du char Riquewihr comme du « Boucher de Stonne ». Au soir du 18 mai, les Français tiennent toujours tête à dix divisions d’infanterie et deux , stoppant net leur avancée. Le général Heinz Guderian (1888-1954) est furieux car les Français viennent de menacer le 19e corps d’armée allemand. Mais les Français ne contre-attaquent pas, perdant l’occasion de transformer le statu quo en victoire. Du 19 au 22 mai, un calme relatif règne sur la zone avant une reprise des combats, de manière sporadique.
    3 points
  13. Conclusions Le DOD prévoit que les F-35 seront au centre de l'action des chasseurs dans les futurs conflits. Cependant, le programme a pris du retard et a dépassé les coûts presque depuis son lancement. Le DOD est censé passer à une production à plein régime malgré plusieurs défis majeurs dans la production d'avions. Nous reconnaissons que les taux de production du programme F-35 actuel sont plus souvent associés à des programmes déjà en production à plein régime. Cependant, les avions F-35 sur le terrain n'ont pas satisfait aux normes de fiabilité et de maintenabilité, ce qui indique que le programme ne livre pas des avions au niveau de qualité attendu. En outre, l'approche simultanée du programme et les changements continus apportés par le contractant à la chaîne de production indiquent que les processus de la chaîne de production ne sont pas maîtrisés. Les pratiques de pointe indiquent que les chaînes de production matures - les chaînes de production prêtes pour une production à plein régime - doivent répondre à des critères de cohérence. En outre, pour minimiser les risques de production et la croissance potentielle des coûts, les fournisseurs devraient systématiquement respecter les délais de qualité et de livraison, bien que cela ne soit pas encore le cas pour le programme F-35. Si ces pratiques de pointe ne sont pas respectées, le ministère de la défense et les partenaires internationaux risquent de ne pas recevoir régulièrement les F-35 qu'ils ont spécifiés et dont ils ont besoin. Les problèmes de longue date liés à la réception des pièces dans les délais et les efforts en cours pour remplacer les fournisseurs turcs de pièces pour les F-35 aggravent ces difficultés de production et peuvent soulever des risques supplémentaires. Si le bureau du programme n'évalue pas ces risques de fabrication et n'en rend pas compte avant l'examen de l'étape C, le Congrès pourrait ne pas avoir une idée précise des risques qui subsistent dans le cadre du programme et de l'effort global pour livrer les F-35 au combattant. Étant donné que le programme F-35 ne gère pas l'effort du bloc 4 comme un programme séparé avec les outils de surveillance traditionnels, nous sommes particulièrement préoccupés par le fait que les efforts du bloc 4 se poursuivent par le développement et les tests. Plus précisément, en raison des retards du programme, après 2023, le ministère de la défense ne sera pas tenu de fournir au Congrès des informations sur les efforts de développement du bloc 4, car les exigences actuelles en matière de rapports prendront fin. En outre, l'estimation des coûts du programme, telle qu'elle est présentée dans son rapport au Congrès, ne présente pas entièrement tous les coûts engagés et futurs pour le bloc 4. Sans ces informations, le Congrès pourrait ne pas avoir l'aperçu dont il a besoin pour évaluer les coûts du bloc 4 et les progrès du calendrier, ainsi que pour prendre des décisions de contrôle et de budgétisation en connaissance de cause. En outre, l'estimation des coûts de développement du bloc 4 ne répond pas entièrement aux pratiques de pointe, car elle ne reflète pas tous les coûts. Plus précisément, l'estimation des coûts ne comporte pas de structure de répartition du travail au niveau des bureaux de programme, d'analyse des risques et des incertitudes, ni de prise en compte de l'état de préparation technologique. En l'absence d'une estimation complète et crédible des coûts, le ministère de la défense et le Congrès ne disposent pas d'une base solide pour prendre des décisions d'investissement en connaissance de cause, formuler un budget réaliste, mesurer les progrès de manière significative, corriger les orientations de manière proactive lorsque cela est justifié, et responsabiliser les programmes et les contractants quant aux résultats. Questions à examiner par le Congrès Le Congrès devrait envisager de réviser la section 224(d) de la loi d'autorisation de la défense nationale pour l'année fiscale 2017, Pub. L. n° 114-328, pour étendre l'obligation de déclaration du bloc 4 du ministère de la Défense jusqu'à ce que toutes les capacités du bloc 4 soient mises en œuvre, afin que le Congrès soit informé de la croissance des coûts et du calendrier au-delà de 2023. (Question à examiner 1) Recommandations pour l'action de l'exécutif Nous faisons les cinq recommandations suivantes au Secrétaire à la défense pour qu'il donne instruction au Sous-secrétaire à la défense pour l'acquisition et le maintien en puissance (OUSD (A&S)). L'OUSD (A&S) devrait ordonner au bureau du programme F-35 de fournir au Congrès des informations similaires à celles qui sont légalement requises après l'examen de l'étape C, avant l'examen de l'étape C (décision de production à plein régime). Cette soumission devrait inclure Une évaluation des risques de production associés aux processus de production critiques qui ne sont pas sous contrôle, aux objectifs de fiabilité et de maintenabilité (R&M) qui ne sont pas atteints, et à la préparation des fournisseurs - en particulier pour ceux qui remplacent les fournisseurs turcs - ainsi que les mesures prises pour faire face à ces risques. (Recommandation 1) L'OUSD (A&S) devrait demander au bureau du programme F-35 d'établir une base de référence pour l'estimation des coûts du bloc 4 qui inclut tous les coûts du bloc 4, y compris les coûts encourus et les coûts futurs dans ses rapports au Congrès, comme l'exige le NDAA pour l'année fiscale 2017, afin que le Congrès ait une compréhension complète de tous les coûts du bloc 4 et puisse comparer cette base de référence aux estimations de coûts et aux performances futures. (Recommandation 2) L'OUSD (A&S) devrait demander au bureau du programme F-35 de mettre au point une structure de répartition du travail au niveau du bureau du programme, axée sur les produits, pour la prochaine mise à jour de son estimation des coûts du bloc 4, afin de s'assurer que l'estimation répond aux pratiques de pointe complètes. (Recommandation 3) L'OUSD (A&S) devrait demander au bureau du programme F-35 de procéder à des analyses de risques et d'incertitudes pour la prochaine mise à jour de son estimation des coûts du bloc 4 afin de s'assurer que l'estimation répond aux pratiques de pointe crédibles. (Recommandation 4) Le département de l'éducation et de la formation continue (A&S) devrait demander au bureau du programme F-35 de tenir compte des résultats de sa future évaluation de l'état de préparation technologique de toutes les technologies du bloc 4 et d'intégrer les risques liés aux coûts et au calendrier de développement de ces technologies dans la prochaine mise à jour de son estimation des coûts du bloc 4 afin de garantir que l'estimation respecte les pratiques de référence globales. (Recommandation 5)
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  14. Et les bougies, c'est la marmottes qui met l'étincelle? L'EMP touche aussi le réseaux électrique donc aussi les circuit électrique de la voiture....
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  15. Leurs développements ont quand même été toujours 2 ou 3 fois plus chers qu'en France pour des complexités comparable, là où ils se rattrapent c'est sur la série car avec 6 fois plus de budget on produit 10 fois plus d'équipements et ils ont le marché pour la production de masse. Ce que je constate c'est que leur compétence s'est dégradée pendant que leur ambition s'est envolée. Aux US la plupart des étudiants scientifiques (pour les sciences dures pas la médecine ou la biologie) sont étrangers de nos jours. Les citoyens US qui sont à peu près potables préfère faire Avocat ou médecin que math ou physique. Mais pour l'armement il faut des citoyens Américains, et il faut des maths ou de la physique, et là c'est le drame, ceux qui remplissent les cases sont les mauvais! Déjà en Europe j'ai constaté des pertes de compétences dramatiques, alors aux US je ne sais pas où ça doit en être mais je pense que ça ne doit pas être très beau.
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  16. Le Bureau des programmes a reporté la livraison de la plupart des capacités du bloc 4 de 2019 aux années 2020 L'entrepreneur chargé de la cellule n'a pas livré les capacités du bloc 4 qu'il avait prévu de livrer en 2019. Plus précisément, selon le plan exposé dans son rapport de mai 2019 au Congrès, le programme F-35 devait livrer huit capacités du Bloc 4 en 2019. Cependant, le programme n'a livré qu'une seule capacité logicielle appelée système automatique d'évitement des collisions au sol. Cette capacité permet à l'avion d'effectuer une récupération automatique lorsqu'il prédit que l'avion va heurter le sol. Ce projet a été réalisé plus tôt que prévu car le programme avait initialement prévu de fournir cette capacité après 2019. Selon les responsables du programme, le développement des autres capacités prend plus de temps que prévu et, par conséquent, le programme a repoussé son calendrier de livraison à 2020. Le développement et la livraison des capacités dans le cadre du bloc 4 sont complexes, et le programme considère que le développement n'est pas terminé tant que les produits pour tous les éléments du système aérien des F-35 ne sont pas prêts.56 En particulier, la livraison de la capacité complète a lieu lorsque le contractant livre tous les logiciels et le matériel nécessaires pour tous les éléments du système aérien des F-35 pour soutenir la capacité prévue. Les responsables du programme ont déclaré qu'ils travaillaient toujours à la mise en place des processus permettant de synchroniser la livraison des capacités tardives pour tous les éléments du système aérien des F-35. Par exemple, l'entrepreneur chargé de la cellule avait prévu de livrer une capacité appelée "vidéo intégrale provisoire" pour le corps des Marines en 2019. Le contractant a développé le logiciel nécessaire, mais il est en retard dans le développement du matériel nécessaire au fonctionnement du logiciel et, par conséquent, le contractant n'a pas livré la capacité en 2019 comme prévu. Les responsables des tests de la Défense que nous avons rencontrés à la base aérienne d'Edwards ont déclaré qu'en 2019, en utilisant l'approche C2D2, le contractant a livré d'autres capacités partielles du bloc 4 à tester. Cependant, les responsables des tests nous ont dit que ces capacités ont été livrées plus tard que prévu. Comme le programme n'a pas pu tester complètement ces capacités sur l'avion, le bureau du programme les a reportées à la prochaine mise à jour progressive prévue pour 2020. De tels changements ont contribué à l'augmentation des coûts et du calendrier du Bloc 4. Le programme découvre également des problèmes lors des tests du Bloc 4, ce qui fait que les tests prennent plus de temps que prévu. Selon un responsable du DOT&E, les modifications du logiciel du Bloc 4 ont causé des problèmes de fonctionnalité des capacités de base des avions F-35 qui fonctionnaient avant que le programme n'installe le nouveau logiciel du Bloc 4 sur l'avion. Le programme a découvert des problèmes avec chaque nouvelle version de logiciel pendant les essais en vol et a travaillé pour résoudre ces problèmes dans les mises à jour logicielles ultérieures. Les responsables des tests et du DOD ont déclaré que le contractant n'avait pas effectué de tests adéquats du logiciel avant de le livrer à la flotte de test, ce qui explique ces problèmes. Les représentants du contractant ont reconnu ces problèmes et ont déclaré qu'ils mèneraient des tests supplémentaires en laboratoire pour les futures versions du logiciel afin d'éviter de tels problèmes à l'avenir. L'estimation des coûts de développement du bloc 4 ne correspond pas entièrement aux pratiques avancées, ce qui limite la compréhension des coûts par le Congrès Tableau: Évaluation de la mesure dans laquelle l'estimation des coûts de développement de la modernisation du F-35 correspond aux pratiques avancées du GAO Caractéristiques Évaluation Justification de l'évaluation Compréhensive Partiellement satisfaite L'estimation des coûts comprend les coûts du gouvernement et des entrepreneurs, mais elle ne comprend pas les coûts encourus ou les coûts de maintien dans l'estimation. Les fonctionnaires ont supposé que les coûts de maintien ne sont pas affectés par les coûts du bloc 4, comme le reflète l'estimation actuelle des coûts annuels de maintien ; toutefois, ils n'ont pas effectué d'analyse pour étayer cette affirmation. Le bureau du programme a déclaré que les impacts des coûts dus au bloc 4 ont été évalués par le bureau du programme et que l'estimation des coûts du bloc 4 était destinée à informer sur les coûts de développement et non sur les coûts du cycle de vie. Les fonctionnaires ont indiqué que le bureau du programme continuera à valider ou à réviser l'affirmation sur les coûts de maintien en activité si nécessaire et au fur et à mesure que le bloc 4 continuera à évoluer. En outre, une partie de l'estimation repose sur une structure de répartition des travaux (SRT) élaborée par le contractant, mais pas l'estimation globale. Une SRT représente en gros le plan du programme pour achever le projet, en l'occurrence le bloc 4. Une SRT doit définir en détail le travail nécessaire pour atteindre les objectifs d'un programme et fournir une base pour identifier les ressources et les activités nécessaires à la production de produits livrables. Le bureau du programme F-35 s'appuie sur le WBS du contractant plutôt que de créer son propre WBS. Si le bureau du programme F-35 disposait de son propre WBS, il pourrait déterminer s'il a identifié toutes les ressources et les tâches nécessaires pour accomplir le bloc 4, y compris celles qui dépassent le champ d'action du contractant. Toutefois, le programme n'a pas effectué d'évaluation de l'état de préparation technologique pour déterminer la maturité des capacités du bloc 4.a Par conséquent, l'estimation n'évalue pas l'impact si les capacités sont immatures et peuvent prendre plus de temps que prévu pour se développer. On peut s'attendre à ce que les coûts augmentent si la conception, l'intégration ou les essais d'une capacité prennent plus de temps que prévu. Bien documenté Satisfait en grande partie La documentation décrit les méthodes utilisées pour arriver à l'estimation et décrit étape par étape comment l'estimation a été élaborée. L'estimation s'appuie également sur des descriptions techniques de base, mais celles-ci ne sont pas contenues dans un seul document. L'objectif de la base de référence technique est de fournir, dans un seul document, une définition commune du programme, y compris une description détaillée des techniques, du programme et du calendrier du système sur lequel se fondent toutes les estimations de coûts du programme et les estimations indépendantes. Le bureau du programme F-35 utilise plusieurs documents à différents niveaux de détail pour documenter la base de référence technique du bloc 4. Précis Partiellement respecté L'estimation s'est appuyée sur des données historiques pour estimer les coûts. Selon les responsables du programme, l'estimation a fait l'objet d'une révision par des pairs pour vérifier son exactitude. De plus, l'estimation a été mise à jour pour refléter les changements dans le programme. Toutefois, bien que le programme ait ajusté l'estimation en fonction de l'inflation et l'ait mise à jour annuellement pour intégrer les coûts des contrats, nous avons constaté des incohérences entre les facteurs d'inflation appliqués dans l'estimation et les sources citées. L'application de l'inflation est une étape importante dans l'estimation des coûts car, lors de l'élaboration d'une estimation, les données relatives aux coûts doivent être exprimées en termes similaires. Si une erreur est commise ou si le montant de l'inflation n'est pas correct, des dépassements de coûts peuvent en résulter. En outre, le programme n'a pas tenu compte de l'écart entre les coûts prévus et les coûts réels. Sans une comparaison documentée entre l'estimation actuelle (mise à jour avec les coûts réels) et l'ancienne estimation, l'estimateur de coûts ne peut pas déterminer le niveau d'écart entre les deux estimations. En d'autres termes, les estimateurs ne peuvent pas voir dans quelle mesure leurs estimations sont correctes et comment le programme évolue dans le temps. Les responsables du programme ont déclaré qu'à l'avenir, ils prennent des mesures pour inclure les coûts réels dans l'estimation et tenir compte de l'écart entre les coûts prévus et les coûts réels. Crédible Respecté au minimum Bien que le bureau du programme et le contractant se rencontrent régulièrement pour discuter des risques, le programme n'a pas effectué d'analyse des risques de coûts. Une analyse des risques de coûts prend en compte la probabilité qu'un événement défavorable se produise et en examine les conséquences. Une analyse d'incertitude montrerait comment les coûts peuvent changer si les variables de l'estimation changent. Une estimation sans analyse des risques et des incertitudes est irréaliste car elle n'évalue pas la variabilité de l'estimation des coûts en fonction d'effets tels que les glissements d'horaires, les changements de missions et les solutions proposées qui ne répondent pas aux besoins des utilisateurs. Sans analyse des risques et des incertitudes, la direction ne peut pas déterminer le financement nécessaire pour une complexité de conception inattendue, des exigences incomplètes, une incertitude technologique et d'autres incertitudes. En outre, l'estimation ne comprend aucune analyse de sensibilité. Une analyse de sensibilité examine comment la modification d'une seule variable modifie l'estimation des coûts. Sans une analyse de sensibilité qui révèle comment l'estimation des coûts est affectée par la modification d'une seule hypothèse, l'estimateur des coûts ne comprendra pas entièrement quelle variable affecte le plus l'estimation des coûts. Une façon de renforcer la crédibilité de l'estimation des coûts est de déterminer si l'application d'une méthode différente produit des résultats similaires. Bien que les responsables du bureau de programme aient déclaré qu'ils comparaient certains éléments de coût aux éléments de coût du contractant pour déterminer si les résultats sont similaires lorsqu'ils utilisent des méthodes différentes, l'estimation ne contient aucune preuve de ce fait. Enfin, il n'y a pas eu d'estimation indépendante des coûts du bloc 4 à ce jour, bien que le programme en ait prévu une pour soutenir un prochain examen intermédiaire du programme en mars 2020. Sans estimation indépendante des coûts, les décideurs n'auront pas une idée précise des coûts potentiels d'un programme, car les estimations indépendantes des coûts utilisent souvent des méthodes différentes et sont moins entachées de biais organisationnels. Comme l'indique le tableau 2, notre évaluation de l'estimation des coûts de développement du bloc 4 du F-35 a permis d'identifier un certain nombre d'éléments manquants. Plus précisément, l'estimation ne repose pas sur une structure de répartition du travail (SRT) orientée produit, elle ne tient pas compte du risque et de l'incertitude liés aux coûts, elle ne prend pas en compte le risque lié à la maturité de la technologie et elle ne dispose pas d'une estimation de coût indépendante, comme le reflètent les pratiques de pointe. Bien que le bureau du programme mette régulièrement à jour son estimation des coûts, les fonctionnaires nous ont indiqué qu'ils n'avaient pas l'intention de traiter certains de ces éléments manquants dans les futures mises à jour. Structure de répartition du travail. Selon les pratiques de pointe en matière d'estimation des coûts, le programme devrait baser son estimation des coûts sur une OTP au niveau du programme et orientée vers les produits qui permet à un programme de suivre les coûts et le calendrier par produits livrables définis, tels que les composants matériels ou logiciels. L'OTP garantit que le programme n'omet aucune partie du travail et facilite la comparaison avec des systèmes et programmes similaires. Selon les responsables du programme, l'estimation des coûts du bloc 4 ne repose pas sur une seule OTP ; il existe plutôt plusieurs OTP dérivées du contractant pour le programme. Sans sa propre OTP au niveau du bureau du programme, le programme ne dispose pas d'un cadre pour élaborer un calendrier et un plan de coûts qu'il peut utiliser pour suivre les progrès et les réalisations. Analyses des risques et des incertitudes. Le programme n'a pas effectué d'analyses des risques et des incertitudes liés aux coûts. Les responsables du programme ont déclaré qu'ils ne prévoyaient pas de procéder à une analyse formelle des risques. Le bureau du programme travaille conjointement avec le contractant pour identifier et gérer les risques pour le programme F-35. Par exemple, il existe des conseils conjoints de gestion des risques auxquels participent chaque mois les responsables du bureau du programme et du contractant. Cependant, la gestion globale des risques du programme est différente des analyses quantitatives des risques et des incertitudes liés aux coûts, dans la mesure où la gestion des risques du programme n'est pas spécifique aux coûts et qu'elle n'est pas utilisée pour évaluer l'écart de coût de l'estimation des coûts elle-même. Lors de la planification des décisions de financement pour un programme de cette envergure, l'analyse des risques au niveau du programme seul est insuffisante. Sans une analyse des risques, l'estimation des coûts ne sera pas entièrement précise ou crédible parce qu'elle ne tiendra pas compte des effets d'éventuels décalages de calendrier ou d'autres risques que le programme pourrait réaliser. Maturité technologique. Un responsable du bureau du programme a déclaré qu'en établissant l'estimation des coûts, il n'avait pas tenu compte du fait que les technologies ne seraient pas matures, mais qu'il avait plutôt supposé que la plupart des technologies nécessaires à la réalisation de chaque capacité du bloc 4 seraient matures avant que le programme ne commence le développement de cette capacité. Le fonctionnaire a déclaré que la complexité de la conception, du développement et des tests basés sur l'expérience de base du programme se reflétait dans l'estimation, mais que l'estimation des coûts n'indiquait pas s'il y avait des coûts spécifiques associés à la maturation de ces technologies. Le fonctionnaire a également noté que les coûts du bloc 4 augmenteraient si une capacité prenait plus de temps que prévu à être conçue, intégrée et testée en raison de son immaturité. En 2019, nous avons recommandé que le secrétaire à la Défense veille à ce que le bureau du programme F-35 effectue une évaluation indépendante de l'état de préparation technologique, dans le cadre de son analyse de rentabilité pour les capacités initiales du Bloc 4, avant d'entamer des travaux de développement supplémentaires58 . Selon un responsable du programme, en décembre 2019, le bureau du programme n'avait pas encore effectué d'évaluation de l'état de préparation technologique, bien que le contractant ait commencé le développement de plus de la moitié des capacités du bloc 4. À l'avenir, le programme envisage de procéder à des évaluations progressives de l'état de préparation technologique, alors qu'il planifie et développe un nouvel ensemble de capacités, conformément au calendrier C2D2. Les responsables du programme nous ont indiqué qu'à l'avenir, lorsqu'ils mettront à jour l'estimation des coûts du bloc 4, ils tiendront compte des résultats des futures évaluations de l'état de préparation technologique. Tant que le bureau du programme ne l'aura pas fait, la direction ne peut pas déterminer un niveau raisonnable de ressources supplémentaires qui pourraient être nécessaires pour couvrir les coûts accrus résultant d'une complexité de conception inattendue, d'exigences incomplètes, d'une incertitude technologique et d'autres incertitudes. Estimation indépendante des coûts. En 2019, nous avons également recommandé au bureau du programme F35 d'inclure une estimation de coût indépendante dans son analyse de rentabilité pour le bloc 4.59 Comme indiqué dans le tableau 2, il manque encore une estimation de coût indépendante pour l'effort du bloc 4. Le programme prévoit que le bureau du secrétaire à la défense, à l'évaluation des coûts et à l'évaluation des programmes dispose d'un projet d'estimation indépendante des coûts pour un examen intermédiaire du programme prévu en mars 2020 et d'une estimation indépendante complète des coûts en juin 2020. Cette estimation permettra d'évaluer l'ensemble du programme F-35, y compris le bloc 4. Ces pièces étant actuellement manquantes, l'estimation des coûts de développement du bloc 4 ne présente pas une image complète du coût du bloc 4. En fin de compte, sans une compréhension complète des coûts du bloc 4, le programme pourrait être confronté à une augmentation des coûts supplémentaires, qu'il sera difficile de suivre sans une base de référence complète des coûts. L'absence d'une base de référence complète des coûts entrave la compréhension et la surveillance des coûts, des plans et des progrès du programme à ce jour et à l'avenir. En outre, si une estimation des coûts ne répond pas entièrement ou substantiellement aux quatre caractéristiques des pratiques de pointe en matière d'estimation des coûts, elle ne peut être considérée comme fiable. J'ai pas corrigé partout mais il faut remplacer OTP par WBS (les fusion intempestives de posts rendent les corrections très lourdes....)
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  17. On se détend les pleureuses Un enfant haut comme 3 pommes, j’en ai un. Avant de donner des leçons aux parents, sachez que très probablement ceux-ci sont en train de se scandaliser sur vivrebienmagrossesse.com que vous n’ayez pas pris le peine de bien vous écarter. Et le voisin qui babyfootait à la campagne est peut-être en train de coller des clous sur la route pour que les mecs de la ville à moins de 100km viennent plus cracher leurs miasmes citadins dans son petit bourg. Mais ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, hein : le voisin babyfooteur, s’il vient se faire soigner dans ma grande ville, j’y brûlerai sa grange et violerai sa mère ; et je hais les gniards des autres, qui pour commencer sont tellement moins beaux que les miens! Je veux dire en essayant de ne pas être trop lourd, que plus, c’est pas toujours mieux, paille poutre toussa. La surenchère de la correctitude sanitaire n’est pas obligatoire. Peut-être la fraternité ?
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  18. C'est gentil mais je ne sais pas si je vais traduire les annexes. De toute façon si il n'y avait pas DeepL je ne pourrais pas traduire tout ça. Ça a beau être imparfait la traduction est quand même compréhensible et transmet 90% de l'information. Par contre si on veut une traduction parfaite, ce que l'on a tenté avec @Alexis , pour un document que l'auteur nous avait autorisé à traduire, et où on ne voulait pas transiger sur la qualité de la traduction, eh bien il y a du boulot !! Donc je fais l'impasse pour ces traductions de document GAO.
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  19. Les Transall ravitailleurs assurent toujours :
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  20. Tes questions sont très bizarres et pas habituelles pour quelqu'un qui se dit passionné...
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  21. tu les vois les hommes en noir devant chez toi?
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  22. Tu es comme ma femme alors. Je l'ai fini et je trouve ça génial, dans le sens que le comportement humain est tellement prévisible, et que l'histoire se répète sans cesse... Henri K.
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  23. Quelques réflexions: 1/ Point de vue MiG-35S/UB: la Russie pleure après des commandes et les VKS n'ont aucune envie de ce dernier... je ne vois donc pas les Russes envoyer un appareil ultra-neuf en Syrie avec le risque de se faire démonter "easy peasy" en moins de deux par tout ce qui porte l'Etoile de David et qui traîne dans les parages. Mauvaise pub pour l'appareil. Sans même parler, comme tu le soulignes très justement, l'aspect €€€ qui est absent de l'équation. 2/ L'option de réapprovisionner légèrement et à faible coût la force aérienne syrienne est clairement le plus logique: ils ont eu une sévère attrition (un peu logique vu les zincs employés et ce qu'il y avait en face) et les rééquiper avec quelques MiG-29 même des Vanilla dans leur jus, apportera un peu de sang neuf non-négligeable. Accessoirement, pas besoin de former les pilotes sur d'autres variantes du MiG-29 puisque le Vanilla est déjà dans les rangs. 3/ La dernière option reste bien évidemment la réparation d'avions endommagés lors de raids antérieurs. C'est une option qui se défend également. A première vue, première livraison à la Syrie MAIS je ne vais pas t'apprendre qu'il ne faut pas grand chose pour transformer un avion russe stocké dans un coin en avion syrien en service... Vu que je ne suis pas dans le secret des dieux, c'est une option que je n'écarterais pas d'office. Enfin, la source de l'info: c'est de l'OSINT en provenance d'Iran. Désolé de le dire ainsi mais certainement pas les gens les plus fiables du monde. Le vol du Tu-154B2 est bien documenté (merci à La Souris d'ailleurs) mais rien n'indique (j'attends des images, pour ma part) qu'il était réellement accompagné de MiG-29. En outre, il y a un An-124-100 des VKS qui a été se promener en Syrie dans les mêmes jours que le Tu-154B2: rien n'interdit les russes d'employer ce moyen pour livrer discrètement les avions en Syrie sans que ça ne se remarque (je doute qu'il y ait beaucoup de spotters en Syrie pour l'instant). #My2Cent
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  24. Scramble.nl annonce un truc potentiellement en lien avec le MiG-29 (le plus bel avion soviétique de tous les temps avec le MiG-19 et le Tu-128) : Alors ? Pour l'armée de l'air syrienne ou un autre client ?
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  25. Tout ceci pourrait fort bien se régler dans 2 à 4 semaines ... selon le niveau de saturation des urgences. On verra de toute manière on navigue à vue dans ce merdier, tout est nouveau ...
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  26. Contrôle qu'il exerce entre autres via la CIEEMG https://fr.wikipedia.org/wiki/Commission_interministérielle_pour_l'étude_des_exportations_de_matériel_de_guerre Bon dimanche
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  27. L'idée c'était que les ambitions Françaises n'étaient pas assez élevées , on pratiquait une sorte de "opération to cost" qui montrait qu'on n'avait pas réellement besoin de développer beaucoup l'avion. Alors Dassault a dit "d'accord mais ça pénalise l'avion à l'export" ils ont donc négocié et se sont mis d'accord sur une participation de 25% des industriels en échange d'une augmentation des ambitions, sachant que les industriels auraient le droit de récupérer leurs investissements sur les ventes exports. Ça doit pas être facile quand tu négocie avec des Indiens
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  28. Quelle horreur! Après faudra les vendre et ça ce n'est pas gagné. Si tu veux mon avis, c'est l'idée marketing d'un ingénieur. Tu ne trouveras pas toujours des grecs qui voulaient des FREMM et à qui on enquille des FDI ou des argentins désargentés bien contents de prendre un navire usé (sur 4) à titre promotionnel ^_^ .Quand aux Gowinds ça se vend comme des petits pains (comme les FLF) Quand on tient un truc gagnant, on ne change pas, on fait de l'incrémental. Stage obligatoire chez Porsche et Volkswagen pour tous les branques de la planche à dessin. Faudra aussi leur expliquer comment fait Ocea pour vendre et y compris en Asie, et ce sans commandes de l'Etat. Peut-être que le esthétique et le besoin client y sont pour quelque chose..
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  29. Hors les aspects de simplicité qui font que les circuits électriques de l'époque n'auraient rien à foutre d'une EMP, une arme nucléaire ne produit une EMP sérieuse que si elle est activée à très haute altitude, pour bénéficier de l'effet Compton. Au sol ? Bah elle ne produira pas d'effet électromagnétique notable hors de la zone des effets thermiques et mécaniques, sans quoi le B-29 de chaque bombardement se serait écrasé après le largage, etc. Faut vraiment arrêter de se documenter dans les mauvais films.
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  30. F-414. Ça c'est aussi faute de n'avoir pas pu avancer sur le Kaveri. Et c'est la faute du DRDO qui n'a pas voulu de l'offre de Safran. Ils préfèrent des F-414 sur lesquels ils n'ont pas grand chose. Mais bon au moins ça permet de rester dans les petits papiers du Donald et d'avoir obtenu plus de la part des USA. Je reste malgré tout confiant sur le Rafale en Inde. Laissons le temps à DRAL de se mettre en marche. Et surtout à Safran de parfaire ses installations en Inde. Le tejas ne suffira pas ni en nombre ni en qualité. L'IAF peut à peine envisager remplacer le Jaguar et le Mig 27 dans une moindre mesure. Il ne tiendra pas la comparaison face aux Mirage 2000 I fraîchement modernisés, ni surtout face au Rafale, et encore moins face au Su30. L'ORCA restera un projet de papier, sorte de tentative de Rafale lookalike par HAL. Surtout que la version navale du Tejas, validée avec leurs premiers appontages récemment, existe purement parce que, en application des offsets, Safran a tout déverminé, train et crosse. Et ça HAL le savent très bien. 36 Rafale c'est très insuffisant et ça ne va pas dans le sens d'une rationalisation de la flotte telle que voulue jusqu'ici. Or à relativement court terme (d'ici 2 à 4 ans) Dassault pourra produire beaucoup de pièces de Rafale en Inde, et pourrait même proposer à titre de test, l'assemblage entier d'un avion surnuméraire contenant beaucoup de pièces fabriquées à Nagpur et ailleurs, au sein du tissu industriel créé pour les offsets. L'objectif? Rien moins que prouver que DRAL fabriquant du Rafale est la meilleure entreprise d'aéronautique indienne en termes de potentialité et de qualité. À plus long terme (4 à 6 ans) il est envisageable que l'option "prenons plus de Rafale en make in India" devienne une solution moins chère et plus versatile, tout en répondant à la question "où va l'argent?" par la réponse "en Inde". Enfin posons-nous la question: au moment de la mini guerre aérienne indo-pakistanaise, les indiens ont-ils dit "si on avait eu des Tejas?" non, ils ont dit "si on avait eu des Rafale". La crise du COVID-19 qui pour le moment provoque ce repli, finira bien à un moment ou à un autre. À ce moment si le Rafale en make in India peut être à la fois la meilleure offre l'industrie indienne et le meilleur résultat de coopérations avec un partenaire stratégique, alors de nouveaux Rafale s'imposeront d'eux-mêmes.
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  31. Brana: Dassault Adapting in Crisis, Forging Ahead on 6X Brana : Dassault s'adapte à la crise et prend de l'avance sur le 6X Dassault Aviation s'est concentré sur la remise en route de ses lignes de production après une courte suspension pour tenir compte des nouvelles mesures de santé et de sécurité et, malgré les incertitudes persistantes concernant le Covid-19, s'efforce de maintenir son programme Falcon 6X sur la bonne voie, le premier vol étant toujours prévu pour l'année prochaine, selon un haut dirigeant de la société. Carlos Brana, vice-président exécutif de Dassault pour les avions civils, a déclaré que le redémarrage de la production - qui s'est interrompu à la mi-mars pendant quelques semaines - s'est déroulé sans heurts et que la priorité de la compagnie est de "sortir de cette crise en position de force". Il s'agit notamment de soutenir la recherche-développement et les nouveaux programmes de l'entreprise. "Nous avons beaucoup d'activités de développement en cours", a déclaré Brana, qui a pris la responsabilité des programmes d'aviation civile du constructeur français l'année dernière après avoir occupé plusieurs postes au sein de la société, notamment celui de vice-président senior des opérations de Dassault Falcon Jet. Dassault se concentre sur l'avancement des travaux sur les avions de pré-production Falcon 6X, a-t-il ajouté. "Nous avons des engagements envers les clients que nous avons l'intention d'honorer. Comme annoncé précédemment, le premier vol aura lieu au début de l'année prochaine". Dassault a mis au point le bi-réacteur 6X de 5 500 nm au début de 2018 et prévoit de le commercialiser en 2022. Les activités de recherche et de développement se poursuivent pour des programmes au-delà du 6X, a noté M. Brana. "Nous avons également des projets intéressants en cours, notamment un tout nouveau modèle Falcon et de nouvelles caractéristiques de sécurité, de confort et de santé", a-t-il déclaré. "Je pense franchement que les yeux de nos concurrents vont sortir de leur orbite quand ils verront ce qui s'en vient." Dassault n'a pas encore dévoilé les plans de son "futur Falcon", mais son PDG, Eric Trappier, a déclaré en février que ces détails seraient dévoilés plus tard dans l'année. A court terme, cependant, Dassault Falcon prend des mesures pour faire livrer les avions de ses clients. "Nous avons adapté notre processus de livraison à ce nouvel environnement et, en parallèle, nous avons maintenu notre soutien aux opérations de nos clients", a-t-il déclaré. Cela comprend le déploiement d'équipes de vol et d'avions de soutien en cas de besoin et le maintien des opérations dans les centres de service, les centres de pièces détachées et autres centres de soutien. "Nous poursuivons l'adaptation de notre réseau de centres de service, qui s'est considérablement étendu, grâce aux acquisitions de TAG Aviation et d'ExecuJet", a déclaré M. Brana. Avec ces acquisitions, toutes deux réalisées au cours des 18 derniers mois, Dassault dispose désormais d'un réseau de centres de service en propre couvrant 34 sites dans le monde entier, en plus des centres autorisés. Comme c'est souvent le cas lors de ralentissements du marché, il anticipe une baisse des nouvelles ventes, mais observe : "Nous nous sommes déjà adaptés aux circonstances auparavant". Au-delà d'un ralentissement de la demande, la pandémie et les restrictions qui l'entourent constituent des obstacles aux efforts de vente. "Imaginez la frustration de nos vendeurs ! Ce sont des gens qui aiment être dans le bureau du PDG ou montrer un avion à un salon aérien - ou mieux encore, emmener un client en vol de démonstration". Il est encourageant de constater que l'intérêt pour les avions d'occasion Dassault a été fort, a déclaré Mme Brana. "Il y a un certain segment du marché qui recherche des avions de qualité pouvant être mis en service rapidement". La compagnie bénéficie également d'une "base d'investisseurs profondément engagés", y compris la famille Dassault elle-même, a-t-il dit, notant que les enfants de Serge Dassault-Olivier, Laurent, Thierry, et Marie-Hélène - ont écrit aux employés pour les rassurer que la compagnie passerait les tests de la pandémie et "en sortirait encore plus forte". Ils ont également diminué leur dividende de 2019 pour préserver les liquidités, a-t-il dit. "L'engagement émotionnel et financier de la famille nous donne une grande confiance". Dassault est également dans une position plus forte après avoir stabilisé le côté militaire, a-t-il dit. "Nous avons livré 26 Rafale l'année dernière - notre meilleure année à ce jour." Mais en ce qui concerne l'avenir, Brana est moins sûr. "J'aimerais avoir une boule de cristal pour les deux prochaines années. Tant de choses dépendront de la capacité des marchés mondiaux à fonctionner en l'absence de thérapies et de vaccins", a-t-il déclaré. "Nous devons simplement supposer que la demande restera faible pour le moment, mais que les marchés commenceront à se redresser à mesure que les restrictions seront levées". M. Brana pense cependant que la pandémie laissera une marque plus durable sur les transports. "Je pense qu'à chaque strate de la société, nous allons être plus attentifs à la façon dont nous utilisons les transports", a-t-il expliqué. "Les gens ne vont pas abandonner l'aviation. Mais les exploitants de jets d'affaires accorderont une plus grande priorité à l'efficacité et à la productivité. Ce ne sera pas une mauvaise chose pour Dassault, qui a longtemps mis l'accent sur l'efficacité opérationnelle". Il pense que la crise pourrait également aider à faire avancer des domaines tels que l'expansion de l'utilisation des biocarburants. "Si nous pouvons travailler ensemble pour créer des économies d'échelle, les biocarburants deviendront plus compétitifs, tout comme l'éolien et le solaire sont maintenant en concurrence avec les combustibles fossiles", a-t-il déclaré. "Une chose que nous apprendrons de la situation actuelle est que nous pouvons accomplir de grandes choses et nous attaquer à de grands problèmes par une action collective". Pour Brana, Covid-19 a été "une expérience proche et personnelle". Il a eu un cas relativement précoce et léger, a-t-il dit, le gardant à la maison avec lui pendant trois semaines. Mais il a dit qu'il s'était rétabli et que sa famille allait bien aussi. "Ce n'est pas facile de diriger et de gérer depuis chez soi ; je préfère naturellement être face à face", a-t-il dit, ajoutant que la technologie le permet. "C'est quand une crise survient que votre équipe est vraiment mise à l'épreuve." Les équipes Dassault ont travaillé avec cohésion, et le moral est resté élevé car les gens se sont adaptés au travail à domicile et aux nouvelles précautions, a-t-il dit. "Il y a beaucoup de raisons d'être optimiste. La solidarité que nous constatons entre les gens, et certainement au sein de Dassault, et entre Dassault et les communautés que nous servons", selon Brana. Il s'agit notamment de participer aux efforts de secours, de fournir des avions et des équipages pour aider à faire voler les prestataires de soins de santé et de faire un don de 2 millions d'euros pour le fonctionnement des hôpitaux. Brana a également reconnu les efforts des clients de Dassault, en citant un client qui a acheté des respirateurs à Taïwan et les a fait voler vers l'Europe dans son propre Falcon 7X. "Je pense qu'il est juste de dire que nous voyons une toute nouvelle série de héros", a-t-il déclaré.
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  32. Je trouve la position assez dédaigneuse et condescendante. Y'a des millions de gens qui font la fête quand y'a des gars qui mettent un ballon dans une cage, alors bon... On pourrait se moquer, ou alors relativiser. Chacun choisi son exutoire, ses combats de coqs. On choisi de placer sa fierté dans une chose ou dans une autre... Là, il s'agissait de rétablir une vérité ressentie par beaucoup mais sans preuve. Et là, enfin ! Et comme je l'ai dit et répété, y compris dans mon témoignage, il ne s'agissait pas de réussir à coller l'ennemi au milieu du viseur une fois, mais bel et bien de rester derrière pendant toute la durée du combat, ce qui est révélateur d'une chose très simple. On a deux avions qui se confrontent dans le sang et la sueur dans un combat égal, et sans supériorité dans cette catégorie. Faut vraiment se remettre dans le contexte de l'époque et dans la tête des gens. Oui, j'ai été fanboy. Et ça m'a beaucoup amusé. Ça m'a beaucoup appris aussi.
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  33. Les ricains ont diffusé leur propre vidéo du dogfight et leur conclusion est un peu différente: F 22 vs Rafale, Awesome Dogfight In short because Rafale is a 4th gen. aircraft while F-22 is a 5th gen. aircraft. The gap between the two is huge.
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  34. Le FLSS des Britanniques? C'est un concept de base mobile, qui ne bouge pas ^_^ Une coque de porte-conteneur, ça coûte 3 francs 6 sous. Une partie logements, une partie logistique / soutien / atelier , une plateforme hélico et roule. Les brits embarquent leurs aéroglisseurs Griffon 2000TD sur le pont des Bay Class et les mettent à l'eau avec les grues. Une autre discussion c'est LHD vs LPD... L'US Navy, qui a les moyens, utilise les deux, voir trois avec les LSD. Tu trouves les 3 sur une task force amphibie. Pareil pour les brits, LHD, LPD, LSD, etc...et même les chinois aujourd'hui. En fait, les gens qui font de l'assaut amphibie ont des LPD et si possible des LHD et des LPD. .
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  35. Et avec @Deconfine82, qui commence décidément mal. C'est fatigant que vous ne soyez pas fatigués. Vous êtes saoulants. Le Ministre se rend sur une plage dont son administration vient de ré-autoriser l'ouverture, le tout dans le cadre de son "boulot", pour communiquer, pour saluer les fonctionnaires, avec cravate, tout ça. Vos 3 derniers commentaires sont tout suintants de rancœur absurde. Non : il n'y aurait pas eu la même couverture presse, et pas la même appréciation localement. Vous faites de la politique, quoi.
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  36. C'est une émission radio qui relate 10 ans après la chute du camp de Diên Biên Phu. Des témoignages de survivants qui sont connu ( mais pas que) et les derniers échanges radios entre Cogny et de Castries.
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  37. Spectra a la capacité de déclencher les séquences de leurage et donc de les piloter. J'ignore si elle est permanente ou pas, débrayable ou pas, si cette capacité n'intervient que lorsqu'une menace imminente leurable est détectée par les capteurs alors même que le pilote n'aurait pas le temps de réagir, etc, mais c'est ce que j'ai retenu de la comm' officielle sur le sujet. Vu de moi, la séquence serait 1) détection d'un tir missile par les DDM 2) alerte du pilote s'il y a le temps 3) identification du type de missile en fonction des émission reçues (s'il n'y en pas : IR) 4) peut être une capacité de classification des missiles en fonction des séquences radar reçues ou de la plume d'éjection du missile pour adapter la réponse et 5) leurrage au bon moment avec les bons leurres en l'absence de contre-ordre du pilote. J'ignore si le système claironne flares!, flares! dans le cockpit et à la radio à ce moment là pour prise en compte lors de l'ATLC . Voilà, c'était ma minute spéculative. J'ignore aussi si le système déclenche le siège éjectable s'il est à cours de leurres ou s'il détecte l'échec de son leurrage.
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  38. Pour une fois qu'on parle du Rafale dans le sujet Rafale...
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  39. Vous ne l'avez pas demandé ? Ben vous l'aurez quand même. Les dessous de l'histoire de la publication de la vidéo F22 VS RAFALE On connait tous ici de la vidéo F22 VS RAFALE. On a tous compris désormais qu’il y a eu un avant et un après. Quelques-uns se souviennent peut-être même du choc que ça a provoqué à l’époque, pour les passionnés que nous étions. J’ai eu l’idée ce matin, en lisant les différents commentaires de ces dernières pages, de raconter un peu de l’intérieur comment ça s’est passé. Parce que ça reste un tournant, non pas seulement à cause du fanboy que j’étais, mais surtout pour tout ce que ça a changé quand j’ai reçu cette vidéo. Et pas simplement pour la communauté, mais également d’un point de vue personnel. Pour se remettre dans le contexte, le Rafale à l’époque c’est le standard F3 qui pointe le bout de son nez, et qui donne à cet avion un point final à ce qu’il aurait dû être depuis le début si le programme n’avait pas été sans cesse dilué en moyens et en temps, fin de la guerre froide oblige. En France, nous avons désormais un avion qui n’est pas seulement beau, il est aussi opérationnel dans la totalité du spectre des missions de combat que l’on peut confier à n’importe quel avion de combat. Mais cette force est souvent détourné par nombre de commentateurs (incompétents ou auto-flagellateurs chez nous, de mauvaise foi à l’étranger) noyés qu’ils étaient par la discrétion historique de la communication chez Dassault Aviation et leur manque d’investissement dans les médias grands publics, face à l’excès de communication chez les constructeurs concurrents. Au niveau de la communication, le contexte de l’époque était submergé par un Raptor tout puissant dans TOUS les domaines du combat aérien (y compris le BFM hein…), et un Typhoon Très capable, mais pas autant, faisant de lui automatiquement le « Second Best ». Et puisque le Raptor ne peut être considéré que comme un avion hors catégorie tellement il a un excès de tout ce qui fait la puissance américaine avec son budget débordant de dollars, le Typhoon s’auto-couronne pratiquement le roi de l’avion de combat conventionnel par excellence. Aucune place n’est laissée au reste, et ce qui pourrait s’y opposer est systématiquement dénigré. Et puisque leurs médias sont puissants et relayés, même notre presse s’y mets, aidée qu’elle est par des intérêts internes contre Dassault. Car depuis le grand père, Dassault est aussi un objet politique, il fait partie de ces personnes qui ont acquis un certain pouvoir au point d’être capable de se payer une part dans les médias. Le Rafale est donc également l’objet de luttes intestines de pouvoir au sein même de la classe des dominants français. Car si nous croyons encore que le vote est une affaire saine en politique, il ne faut pas oublier que ceux qui influences les votants sont ceux qui possèdent les médias. On peut donc y voir là une des raisons qui fait que le Rafale, malgré lui, se retrouve dans une bataille franco-française plus cruelle, plus insidieuse, et surtout une bataille pour laquelle aucune contre-mesure n’a été conçue. Soutenir le Rafale à l’époque, c’était un peu comme soutenir le bien mal aimé Jacquet et son équipe de France au début de l’été 1998. Personne n’y croyait… D’un point de vue perso, ce n’était pas la gloire non plus. Nous avions quitté notre belle maison dans les Landes, j’étais dans un état dépressif suite à la liquidation de mon entreprise, j’avais perdu un job dans mon domaine, et nous voilà parti dans une ville qui ne me plaisait pas à la frontière espagnole, habitant désormais dans un appartement que je qualifiais de cage à poules, à bosser dans un commerce bien moisi avec mon épouse… Les prémices d’un divorce en prime, mais ça je n’en savais encore rien. Pour m’évader du train-train, j’avais créé, 2 ou 3 ans plus tôt un blog sur l’aviation. J’avais envie de partager ma passion. Mal défini entre un blog d’expression d’un fanboy pas très équilibré et une tentative d’activité journalistique, on va dire que je faisais mes armes. Je n’étais pas non plus très compétent dans le sens que je n’écrivais pas forcément très bien, mes prises de positions étaient plus souvent dictée par mes émotions que par la raison et qu’en prime j’avais un manque flagrant de connaissances. Mais je me suis accroché. Si mes premiers articles faisaient sourire, je commençais, à force de me frotter à de fortes têtes ici-même sur Air Defense, à comprendre des choses, mais j’apprenais également sur le tas l’art de l’argumentation. Bien qu’étant loin à l’époque d’avoir atteint la qualité d’analyse, d’écriture et de sérieux que l’on attend d’un vrai journaliste, je n’en étais pas moins persévérant et je commençais à avoir une clientèle de lecteurs attentifs. Mais très peu de reconnaissance dans le milieu professionnel. Sauf pour quelques-uns que j’ai dû soulé à mon avis, j’ai réussi à obtenir quelques miettes pour enfin avoir un contenu plus exclusif, plus qualitatif aussi. Voilà pour le contexte. Et puis, un jour, un forumer bien connu ici –un vieux de la vieille, un vieux loup qui traine et que j’aimerai nommer (dis-moi si je peux et j’édite) – me contacte et me dit qu’il a quelque chose à m’envoyer, aussi discrètement que possible, à la condition impérieuse de ne pas dévoiler ma source. Piqué par la curiosité, après avoir accepté, j’attends. Nous sommes au printemps 2013. Si je ne me souviens pas de tous les détails, et ayant une mémoire assez poreuse, je me souviens particulièrement bien de ce jour. Nous sommes vers midi passé, et je fais quelques emplettes dans le Lidl en face du commerce où je bosse, et mon téléphone vibre. Je reçois trois fichiers, que je télécharge en 3G, pas très vite… Il m’a parlé d’un combat avec un Rafale contre un F22, et je ne m’attendais à rien de spécial à part profiter de l’exclusivité d’une vidéo qu’apparemment personne n’a vu. Ah, ça y est le premier est téléchargé. Adossé sur mon charriot de course en attendant mon passage en caisse, j’ouvre la vidéo. Très courte. Je reconnais bien la VTH du Rafale, je baisse le son au premier merge sans quoi les autres clients pourraient me regarder d’un mauvais œil à l’écoute de ce qui pourrait ressembler à une vidéo pas très autorisée aux enfants « mais non madame, ce n’est pas ce que vous pensez, c’est juste un homme qui tire bien fort sur son manche », et je me demande ce qu’il va se passer ensuite. Suite du précédent message (que je n'ai pas pu publier en une fois, et... MON 3000 ème message !!) Première apparition du F22. Woaaaaa… Mal barré le F22 ! Le Rafale est derrière lui. Génial… C’est sympa, mais n’importe quel avion peut mettre n’importe quel autre avion au milieu de sa VTH de façon fortuite. Les évolutions continues, et… HO PUTAAAAIIIINNNN il ne lui lâche pas les basques, le F22 revient là où il ne devrait pas être, cet avion formidable duquel on avait dit, 3 ans plus tôt qu’aucun kill n’avait pu être revendiqué contre lui « Fox…FOX TWO » HO PUTAIIIIINNNNN –Fin de la première vidéo. Je ne sais pas ce que les autres clients autour pensent de moi maintenant qu’ils m’entendent jurer à haute voix, et bien que je m’en foute royalement, je n’ai plus porté aucune attention à partir de ce moment-là. J’ai même souhaité, pour la première fois de ma vie, que la file en caisse avance encore plus lentement que ce n’était déjà le cas. Ouverture de la seconde vidéo : « Ho PUTAAAAIIIINNN… »… Et ça se répétera jusqu’à la fin. J’ai ressenti, là, tout seul, une sensation certainement aussi unique qu’un mec qui cherche toute sa vie la vérité sur les extra-terrestre, qui tombe sur un vrai, mais qui n’a le droit de ne rien dire à personne. Que c’est BON mais qu’est-ce que c’est FRUSTRANT ! Dans un autre registre, j’avais découvert l’Amérique, avec la même excitation que Christophe Colomb, mais sans me rendre compte de la portée de la chose. Surtout, va falloir attendre avant de le partager à d’autres. Une fois la pression retombée… Quelques heures plus tard, que faire de cette vidéo ? La publier, certes, mais comment ? Et qu’en dire ? mais surtout… Elle vient d’où ? Et vais-je m’attirer des ennuis ? Ni une ni deux je contacte Dassault Aviation. Je ne suis pas encore rodé à l’exercice de la langue de bois, et pas encore suffisamment rodé, car marié depuis trop peu longtemps, aux non-dits et à la subtilité de ce qu’il faut comprendre des désirs de la personne d’en face mais qu’il n’exprimera jamais. Mais il me faut une réponse claire et net. Donc je dois poser une question simple et obtenir une réponse sans interprétation possible. Est-ce que, oui ou non, la publication d’une telle vidéo serait préjudiciable au secret industriel ? Réponse de l’intéressé : non. Très bien. Nous sommes à quelques semaines du salon du Bourget. Ma première participation. Je suis tout seul, je n’y ai jamais été en tant que journaliste, mais pour la première fois, j’ai un badge presse. Un ami va m’héberger, et je découvrirai au passage la vie à la capitale, que je détesterais encore plus, sans savoir qu’elle deviendra de force mon quotidien, d’ici peu de temps... Je commence donc à assembler les vidéos, et surtout j’y mets un contexte. Un peu de pub pour le blog, et un watermark pour pas qu’on me vole MON exclusivité. La seule que j’ai jamais eu jusqu’alors. Il me tarde de la mettre en ligne, mais je peaufine. Je choisi de l’aborder sous le thème de l’avion décrédibilisé de toute part, dans le contexte de l’exercice pendant lequel cette vidéo a tourné. Je ressens en moi pourquoi cette vidéo a fuité. Une sorte de sentiment de recherche de justice certainement… Et je me dit… Qui dit fuite dit délit, ou au moins emmerdements. Moi je suis journaliste sans l’être, mais je me renseigne. Apparemment je ne risque pas grand-chose, sauf si je casse le secret défense. Et moi qui veut m’insérer dans les petits papiers du SIRPA, j’ai du mal à obtenir une réponse. Ils ne connaissent pas la vidéo, mais sont frileux. Ils ne m’interdisent rien cependant. J’apprendrais plus tard qu’un Mammouth du secteur, en couple avec une des filles du service, tentait de mettre des bâtons dans les roues à tout ce qui pourrait devenir un concurrent pour lui (dont moi). Bref. Je me décide donc à appeler l’escadron 1/7 Provence, car c’était eux qui avaient été envoyé aux Emirats pour ce fameux ATLC. La discussion aura été étrange. Tout en ne cachant pas que la publication de cette vidéo provoquera inévitablement une chasse aux sorcières, mais qu’en même temps il y avait prescription 4 ans après et certainement pas de sanction autrement que symbolique, j’ai ressenti chez mon interlocuteur une certaine volonté de voir cette vidéo sortir pour enfin rétablir un sentiment de justice… Encore une fois, faut interpréter les non-dits ! Je devenais enfin un maître rompu à cet exercice, mais trop tard pour que ça sauve mon mariage… La vidéo est maintenant prête. Je n’ai pas de feu vert, mais pas de feux rouge non plus. Tant pis, passons à l’orange. A quelle date la publier ? On est à la veille de l’ouverture du Bourget, ça serait un super coup de pub quand même… Pas que pour moi, mais pour l’avion, pour le constructeur. Journaliste médiocre que j’étais, ma fibre de fanboy passionné avait gardé le dessus. Au-dessus de la sauvegarde de l’opportunité de cette exclusivité, véritable cadeau tombé du ciel, je n’oubliais pas tout ce que cette vidéo pouvait représenter pour l’image de mon avion favoris. Ce sera le 18 juin. Lendemain de l’ouverture du Bourget. Pas le jour même pour pas que ma publication soit noyée dans la masse des articles, mais le lendemain. Ça serait pas mal. Peu connu, je devrais également compter sur les quelques fanboys qui me suivent sur le blog et la page Facebook qui fonctionne pas trop mal, et les quelques forums que je fréquente, en espérant que ce soit suffisamment partagé. Croisons les doigts. 18 juin au matin. Je rends la vidéo publique, et publie l’article. Puis je partage sur quelques réseaux sociaux et forums. Et j’attends. Je me colle devant Google Analytics et j’attends que ça morde, pour voir si l’affluence des grands jours sera au rendez-vous. A l’époque, j’arrivais aux meilleurs moments à avoir une dizaine de personnes au maximum en ligne simultanément sur le site, pour 500, voire 1000 pages vues en une journée, 10 000 max dans le mois. Ah… ça frémit. Ça bouge…. 20 personnes simultanées. Pas mal ! 25…. 30… 28… 40… ça monte, ça descend un peu, comme pour reprendre de l’élan, et c’est monté jusqu’à plusieurs centaines ! En quelques jours, la vidéo sera vue plus de 300 000 fois!!!. Et les commentaires affluent de toute part. Elle sera pompée et repartagée sur d’autres sites, tel que liveleak, mais tant pis. Ça part aux USA, tant mieux. Je regrette de ne pas maîtriser l’anglais pour ne pas en avoir fait une version internationale, mais je m’en fou. Mon cœur de cible c’est qu’au moins les français puissent réviser leur jugement sur leur propre production (chemin de longue haleine loin d’être terminé). Mais ça marche. Alors oui, ça me fait encore quelque chose quand, plusieurs années après, on en parle encore. Ça aura été ma pierre à l’édifice. Même si je n’ai pas été le pilote qui a tiré sur le manche, ni celui qui a fait sortir la vidéo. Celui qui me l’a donné, m’a fait un immense cadeau. Je n’ai fait que transmettre, et elle m’aura fait beaucoup de bien. Beaucoup aussi ont ragé. Ragé de ne pas l’avoir eu avant, ou de ne pas avoir eu le courage de la publier. Aujourd’hui mon histoire avec ce site est terminée, je suis passé à autre chose. Mais j’en garde un excellent et très ému souvenir. Merci « H. »
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  40. Le tweet de l'ancien Premier ministre australien :
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  41. C"'est moi ou ca sent fort le troll depuis quelques posts ???? Je dis ca, je dis rien (charge les tambours de 23 mm HEI-T)
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  42. https://reporterre.net/Planet-of-the-Humans-la-diatribe-de-Michael-Moore-contre-les-energies-vertes (5 mai 2020) Centrales à biomasse, panneaux solaires, voitures électriques... Dans « Planet of humans », dont il est producteur, le cinéaste engagé Michael Moore déboulonne le mythe des énergies vertes. Mais il est critiqué par de nombreux écologistes. Disponible gratuitement en ligne, le documentaire montre que « la seule énergie propre, c’est de consommer moins d’énergie ». Après plusieurs films sur la fin du rêve américain, Michael Moore déboulonne cette fois le rêve du développement durable. En l’honneur du Jour de la Terre, le 22 avril dernier, il a mis en ligne un nouveau film Planet of the humans — il en est le producteur exécutif et Jeff Gibbs, le réalisateur [1]. Michael Moore y accuse le capitalisme vert et désigne les « traîtres » qui nous guident sur de fausses pistes : des stars de l’écologie étasunienne comme Van Jones, conseiller environnemental de Barack Obama, Bill McKibben, fondateur de 350.org, Elon Musk, constructeur automobile de voitures électriques, Robert F. Kennedy Jr, avocat en droit de l’environnement, Michael Brune, directeur du Sierra Club, influente organisation environnementale, Michael Bloomberg, ancien maire de New York et activiste du climat qui finance la campagne contre le charbon du Sierra Club, et l’ancien vice-président Al Gore, qui a convaincu l’homme d’affaires Richard Branson d’investir trois milliards de dollars dans l’énergie « verte ». À la question : « Al Gore est-il un prophète ? » Branson répond par un jeu de mots entre « prophet » et « profit », semblables en anglais. Et c’est cette confusion que le film démontre. Dans ce documentaire, qui cumule déjà six millions de vue sur YouTube, Jeff Gibbs enquête sur les centrales à biomasse qui ont envahi les États-Unis. Avec les biocarburants, la biomasse est de loin la principale énergie « verte » produite dans le monde, mais elle détruit les forêts anciennes et occupe les sols agricoles. Interviewés dans des manifestations, les militants écolos ne le savent pas et les leaders environnementaux s’empêtrent au micro de Jeff Gibbs, lui répondant confusément sur l’intérêt de brûler ou pas des arbres et des plantes. Seule Vandana Shiva, militante écoféministe indienne, s’exprime clairement : « C’est la vieille économie fondée sur le pétrole qui, pour se perpétuer, se reconvertit avec une autre matière première, et grâce à des subventions. Nos esprits ont été manipulés pour qu’on se laisse gouverner par des illusions. » Et le réalisateur, Jeff Gibbs, de commenter : On nous fait avaler la fable des renouvelables qui vont nous sauver du changement climatique parce que cela rapporte aux industriels et au système financier. On ne parle ni de surpopulation, ni de consommation, ni du suicide que constitue la croissance infinie, parce que cela nuirait au business. » L’énergie verte ne nous sauvera pas, explique le film. « Au contraire, argumente le coproducteur Ozzie Zehner, elle repose sur les procédés industriels les plus toxiques qui soient. » L’enquête montre que les panneaux solaires, les éoliennes géantes, les voitures électriques se révèlent très décevants en matière d’efficacité, de rentabilité, de durabilité, et surtout, du fait des désastres qu’engendrent leur processus de fabrication : destruction de milieux naturels, forte consommation d’énergies extractives, utilisation de matières premières rares et polluantes à extraire. Et, au terme de leur fonctionnement, panneaux, éoliennes et batteries sont difficilement recyclables et difficiles à traiter une fois mis au rebut. Reste à espérer que le film qui, sans en parler directement, dément le Green New Deal du Parti démocrate, ne se révèle pas un atout pour Trump en novembre.
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  43. tout d'abord le système conserverait toutes ses parts de "marché" dans les capacités que les autres sont incapables de remplir : tirer des fumigènes, des éclairants et des semonces. Ce n'est pas parce que le marketing mettra le paquet sur le tir à longue distance avec des obus spéciaux que les artilleurs ne voudront pas garder ces capacités essentielles. Rappel : Wagram a tiré plus d'éclairants que d'explosifs. Idem en Afghanistan je crois (si les artilleurs du forum peuvent confirmer, merci). Après il y a le coût d'engagement d'une cible. Détruire une cible située à 70 km avec un missile qui tape à 500 km c'est un peu du gâchis. Ensuite il y a la dimension météo qui ne permettra pas aux avions d'intervenir 27/7 donc on sera bien content d'avoir un système qui tire tous temps. Il faut rechercher systématiquement le recouvrement des domaines capacitaires de sorte qu'il n'y ait pas de trou. Normalement le CIFS devrait analyser tous ces aspects.
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  44. Attend, il y a pire : Spectra est-il capable de discriminer entre un tir de missile ami visant l'affreux dans le secteur arrière et le missile de l'affreux. Hein ? Ah !
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  45. Celle là elle est trop facile Sous pretexte que les fonctionnaires "sont tous animés par l'amour de leur métier" et "ont la vocation" (sic) on peut user et abuser d'eux avec des salaires de m***, des conditions de travail de m***mais une obligation de résultat tout en enviant leur coté fonctionnaire. Si je voulais être provocateur, je dirais que le CoviD a transformé tout les français, privés compris en fonctionnaire pendant 2 mois puisque c'est l'Etat qui paie les 84% (et 100% SMIC) des salaires de personnes du privé qui n'en "foutait pourtant pas une" puisque confinés Ce conflit fonctionnaire - privé est ridicule. Tout le monde va morfler, tout le monde va râler de toute façon à son niveau. On entend déjà les restaurateurs, les artistes, les avionneurs, les fabricants automobiles réclamer des aides sonnantes et trébuchantes. Et je pense que le râlage n'est pas sur les RTT mais le fait que l'on t'enlève rétroactivement quelquechose pour une action que l'on t'as obligé à faire en te disant que ça n'aurait pas d'impact. C'est vrai pour des RTT, ce pourrait être vrai pour n'importe quoi. Essaie de faire ça à n'importe qui dans n'importe quel secteur et pour n'importe quoi. Les gens vont réagir par sentiment d'injustice par ce que ils vont se sentir manipulés et trahis. C'es pas compliqué pourtant, c'est de la psychologie humaine de base
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  46. C'est les américains qui vont être content avec la production de F404...
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  47. Je reprends Engin type Little Boy ou Fat Man : impossible à monter sur un V2 De nuit la chasse alliée est omniprésente avec piquets radars au sol, sur mer et embarqués sur avions Les P61 ou les Mosquitos se seraient bien amusés.... Proba pour que ca fonctionne : minime Risque pour que tu perdes l'appareil et sa cargaison précieuse : trèèèèèèèèès elevée
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  48. Rien, juste de la prévention pour « sortir couvert » (En plus de toute la règlementation sur les seringues qui a été mise en place, les mesures spécifiques de protection des personnels soignants, et tout le reste). Avec le Covid-19, la prévention « sortir couvert » pour aller voir sa copine, ça reviendrait à ça : On devrait d’ores et déjà avoir vu un effort individuel et collectif pour assembler ces « bulles d’auto-confinement individualisées » et ainsi démontrer que la communauté Covid-19 « se serait mobilisée ensemble pour multiplier les gestes de soin, d’auto-support, d’attention réciproque»... en s’affranchissant des pouvoirs publics qui s’autorisent d’interdire plein de trucs sans ça ! Les pouvoirs publics sont définitivement des salauds et pris la main dans le pot de confiture de leur tentation dictatoriale en ne nous laissant pas aller voir nos maîtresses.
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  49. Petit aparté quand même :) Un forum est un lieu d'échange entre des gens qui auraient eu de fortes chances de ne jamais se croiser dans le mondé réel. Un forum met en relation des personnes d'horizons et de tempéraments très différents, notamment des spécialistes et des béotiens, des personnes ayant fait l'effort d'acquérir une culture certaine et d'autres pleins de certitude superficielle ... C'est un cocktail parfois explosif où la patience de certains peut-être mise à mal par l'aplomb creux de certains autres. Un forum a des règles en termes de courtoisie. Mais attention la courtoisie n'est pas uniquement la politesse c'est aussi et surtout savoir admettre que l'on a tort et que l'autre sait de quoi il parle et pas nous... Les rapports distanciés ont parfois tendance à faire oublier à ceux qui se trompent une autre règle du forum au moins aussi importante que la courtoisie qui est l'humilité. En tant que modérateur je vous le dis très sincèrement entre un ignare imbu de lui même et une pointure au verbe fort mon choix sera vite fait pour au moins deux raisons -l'un apporte quelque chose au collectif et pas l'autre -l'un connais ses limites et pas l'autre, et malheureusement trop souvent le meilleur, lassé quitte le forum alors que l'ivraie droite dans ses bottes continue de le hanter (un temps ...)
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  50. Le 1 RI avait aussi des fardier Lohr comme la 11 BP Notament un fardier qui servait à ravitailler les motos en carburant (vue sur un vieux magazine) Et pour le renseigement d'aujourd'hui Tu peux rajouter que des Quad Sportsman 570 equipe aussi le 28 Groupe Geographique ils sont notament utilisés pour transporter leur mini drones en zone de combats pour faire de la carthographie au profil des FS . Le 28e groupe géographique est heureux de vous présenter un nouveau capteur GEO, l’aile volante E-beex. L’utilisation de ce nouveau matériel permet de réaliser des visualisations 3D de zones survolées par l’engin. L’E beex mesure 116 cm pour un poids de 1,4 kg. Son autonomie en vol est de 90 mn et grâce à son système optique il peut couvrir, pendant la durée du vol, une zone de 500 hectares avec une précision de 3 cm. La reproduction jointe permet d’apprécier le niveau de détails obtenu Le 2 RH utilise les Quads pour mettre en oeuvre les Drone Novaden et Black Hornet Les couples Quades Drones étant l'avenir du renseignement.
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