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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 05/11/2020 dans toutes les zones

  1. Je pratique aussi la pinata sur ceux qui n'écoutent pas. On arrête quant l'étudiant s'ouvre. En ce moment c'est par vidéo alors je suis ammené à dire des trucs que je ne pensais JAMAIS dire en cours comme "est ce que je pourrais avoir des gens habillés" ou "ce peignoir mauve est perturbant". J'ai aussi eu "mais mademoiselle, pourquoi vous êtes dans le noir?" (je la voyais mal avec que l'éclairage d'un téléphone). Elle: "je peux pas parler fort, je suis dans le lit et mon copain dors encore". J'en ai des tonnes des comme ça.
    23 points
  2. Vu que tout le monde s'excite sur le post d'AKK, autant aussi poster la réponse (aussi dans Politico) de Franziska Brantner, porte-parole sur les affaires européennes des Verts au Bundestag: https://www.politico.eu/article/time-for-europe-to-move-past-pax-americana/
    13 points
  3. Verification faite, le chiffre de 89 % est bidon. Donc on s'evite un conversation sur les Stdev et le black sawn event a peu de frais, c'est de l'intox. Le chiffre du twit utilise le nombre de vote compté divisé par le nombre d'inscrit, mais la méthode utilisé sur l'historique c'est le nombre de vote divisé par la population en âge de voter. Comparer des chiffres qui n'ont pas la même signification et le même calcul et crier au scandale statistique, c'est beau ... En respectant la méthodologie fournie par la commission du Wisconsin on a une participation de 71% en 2020, next topic ?
    11 points
  4. Réponse longue, sur le rapport US-Allemagne et notre intérêt à nous français dans cette histoire: Non ce n'est pas un oedipe du tout. Je crois que les allemands ont toujours été un peuple talentueux qui a besoin d'un écrin pour exercer son talent, mais aussi d'un échappatoire qui ne les amène pas à opposer frontalement ce talent à celui d'autrui , sans quoi leur tropisme pour la domination les pousse par atavisme à chercher à imposer une suprématie réelle ou supposée. Les allemands ne tuent donc pas le père, mais le voisin. Je pense que les américains ont un lien complexe avec l'Allemagne, bien plus qu'avec la France, et moins visible historiquement. Les USA ont engagé leur ruée vers l'ouest grâce à des immigrés européens qui étaient majoritairement allemands. Les populations blanches du middle west qui pendant très longtemps ont constitué le coeur de la puissance américaine sont majoritairement d'origine germanique. Tout ce que la France avait construit autour de l'axe Nord-sud allant du Québec à la Louisiane a été détruit au travers de la guerre de 7 ans puis du soutien à Washington lors de la guerre d'indépendance, et enfin par la vente par Napoléon 1er des territoires français. Plus tard c'est en soutenant les confédérés puis en intervenant au Mexique que la France a fort logiquement grillé toutes ses cartes auprès des USA, amenant ceux-ci à avoir une politique "allemande" en Europe. L'attermoiement des USA à entrer en guerre autant en 1914 qu'en 1939 s'explique aussi par le fait que ce qui aurait pu être perçu comme une diaspora allemande a toujours eu un poids conséquent, même si axé sur un corpus culturel plutôt que sur la mise en avant d'un lien géographique, plus difficile à justifier que la relation entre France et côte est des USA. Ces engagements ont donc aussi été des victoires intérieures des WASP "canal historique" d'origine britannique contre une composante du peuple américain d'origine germanique. Il n'en reste pas moins qu'on a parlé allemand dans certains endroits reculés des USA plus longtemps qu'on a parlé français dans d'autres. Cet héritage a encore des effets aujourd'hui autant sur la démographie que sur la politique intérieure américaine. De plus, à bien des égards l'Allemagne a quelque part "gagné" la seconde guerre mondiale grâce à l'engagement américain. Ses scientifiques nazis ont été choyés et se sont trouvés au coeur, après que les britanniques aient été contraints de donner pour leur part accès à leurs meilleures technologies aux américains, de la supériorité technologique des USA à partir de 1946. "Supériorité" qui, 10 ans plus tôt à peine, pendant l'entre-deux-guerres, était une foutaise absolue et ce dans quasiment tous les domaines. Il suffit de voir les records dans le domaine de l'aviation par exemple: après la première guerre mondiale, majoritairement français, après la seconde, majoritairement américains. La France, elle, n'a pas eu cet honneur. Rappelons les horreurs survenues en Indochine lors de l'attaque par le Japon en 1945, et l'interdiction faite par Roosevelt, de venir en aide aux français. Claire Lee Chelnault, fondateur des tigres volants, devra assister impuissant à cet épisode où militaires et civils français sont massacrés. Au grand dam de la CIA, les locaux indochinois étaient à l'époque encore du côté de la France, comme ils le furent en Algérie, aspirant à l'indépendance en échange de leur engagement. Les vieux politiques sclérosés de la 4ième république n'ont pas voulu le comprendre, on en a payé le prix plus tard. Mais l'idée US était de se débarasser de l'empire colonial français, ou plutôt, en réalité de le coopter et d'en faire un marché pour l'Amérique. En clair, nous étions en guerre. Et toute notre posture fut plus tard de convaincre les USA que ce n'était pas sur nous qu'il fallait taper... Rien n'avait au fond changé depuis l'opération Torch en 1942. La France en tant qu'idée de nation aura finalement été plus maltraitée que l'Allemagne dans cette histoire même si le coût humain n'a pas été le même, mais elle n'a pas eu la "chance" d'avoir un statut qui explicite clairement ces actions américaines à son égard. L'Allemagne elle a bénéficié de son statut d'ancien ennemi pour poser les bases claires d'une reconstruction des relations fondée sur la coopération par le biais de la soumission totale et inconditionnelle dans beaucoup de domaines, alors qu'elle était libre de voler de ses propres ailes dans d'autres. Dès les années 50 la France était redevenue une épine dans le pied de la politique américaine tout en essayant de ne pas l'être, ce qui n'aurait pu qu'aboutir à une démission sur tous les fronts pour ne pas "gêner". Le coup du canal de Suez aurait pu forger les bases d'une alliance franco-anglaise renouvellée, mais malgré de fulgurants succès de coopération qui ont vu le jour à l'époque, le tropisme anglo-saxon mènera les anglais dans les bras de Washington. De Gaulle avait essayé, il a abandonné. Aujourd'hui il ne subsiste de cette relation presque plus rien dans les domaines statégiques à part un lien plus émotionnel qu'autre chose, qui ne suffit pas, ce qui est illustré par le psychodrame autour du FCAS-DP. Tout le sel de la posture française actuelle, qui a un peu lâchement abandonné sa politique britannique depuis le brexit, consiste donc à essayer, n'ayant plus que l'Allemagne comme horizon en Europe (enfin, le croit-elle, je pense pour ma part que c'est faux) de faire coller ces deux héritages français et allemand en tentant de faire réfléchir les allemands comme des français, afin de constituer un bloc solide pour s'opposer aux USA. Elle a déjà tenté cela avec l'Angleterre et ça a échoué. Pourquoi est-ce que ça marcherait ici? *** Ce qui déplait aux USA c'est qu'ils voient comme une posture anti-américaine atavique de la France chacune de nos tentatives de coopérer avec des alliés de l'OTAN ou des nations qui échappent à leur contrôle, ce qui eu court sous De Gaulle, puis sous Mitterrand (qui a pourtant été richement récompensé suite à l'affaire Farewell, on l'ignore mais CFM International entre-autres a été bâti grâce à cela, c'était un cadeau de Reagan) puis enfin sous Chirac, ce qui fut le chant du cygne de la posture française. C'est de là que vient le "forgive Germany, forget Russia, punish France" de Condoleeza rice, qui avait au moins le chic de nous identifier comme des adversaires. Nous avons alors eu droit à une campagne de dénigrement systématique par voie de presse semblable à la propagande de guerre anti-japonaise. Alors que concrètement nous essayions aussi de sauvegarder des vies américaines qui seront perdues en Irak. Nous n'avons jamais eu l'heur d'être considérés et traités franchement comme des ennemis par les USA, et ils ne savent au fond pas quoi faire de nous. Mais essayer de nous opposer à la folie ambiante qui dicte leurs actions sera toujours considéré comme un crime de lèse-majesté. *** C'est de là que vient notre énième tentative de fuite, consistant à dire "faisons l'Europe de la défense!" Ce qui consiste à faire réfléchir tous les européens comme des français. Pourquoi? Parce que. ...Des centaines de F-35 vendus comme des petits pains plus tard, on voit où ça nous a menés. Les allemands, eux, n'essaient pas de faire réfléchir les français comme des allemands, mais subtilement, par le biais d'une vision européenne soumise aux USA, essaient de nous neutraliser au nom de ce que leur dicte leur intérêt stratégique, qui est d'être le plus lisses possibles pour continuer à faire tourner leur économie. D'où le comique de situation quand on essaie d'être indépendants et de parler de dissuasion nucléaire française au service de l'Europe, et que les allemands eux voient alors des armes nucléaires françaises DONNÉES à l'Europe (et le Charles de Gaulle en prime). C'est une démonstration éclatante qu'il n'y a rien à attendre de notre voisin malgré les bons mots, les belles déclarations, le soutien populaire, etc. De toutes façons, comme d'habitude, la France ne saura RIEN faire de ses excellentes cartes, et navigue à vue. L'Europe de la défense sans l'OTAN est inenvisageable pour tout le monde. Surtout les allemands. Dire ce qu'on pense de l'OTAN, sans être en mesure de proposer et d'agir dans son intérêt, est très mal perçu aux USA, le "braindead" a laissé des traces, même si c'est vrai. Nous exposer par pure chevalerie contre les turcs aux côté des grecs pour le plaisir de vendre 6 Rafale est d'un ridicule complet. Chercher à exister au travers de l'ambition des autres n'a pas de sens. Ne pas savoir impulser au niveau national des projets concrets et durables, seuls, et qui puissent ameuter des partenaires "junior", ne renforcera pas notre posture diplomatique. La seule manière de fonctionner c'est le "qui m'aime me suive". On en est loin. Aller faire des risettes à poutine en visio-conférence pour tenter de démontrer l'existence d'un dialogue stratégique franco-russe est d'un grand-guignolesque achevé. Dans ce contexte, si on veut coopérer en Europe, on doit admettre qu'il faut coopérer avec les américains, et donc autant que la France aille se donner elle-même aux USA, plutôt que le faire au travers de l'Allemagne. Mieux vaut s'adresser au bon dieu qu'à ses saints. Ou alors il vaut mieux rester isolés et abandonner nos rêves d'Europe de la défense. Entrer dans une Suisse-isation, ou une Finlandisation, et rebâtir une "petite entente" en Europe avec des pays souhaitant diversifier leur porte-feuille d'alliances, tout en jouant un rôle de bon conseil auprès des USA, en étant, comme De Gaulle l'avait souhaité pour la France libre, "présents sur tous les fronts". On y gagnera mieux et plus, sans nous exposer bêtement. C'est donc la mort de la parole française dans le monde? Oui, et alors? Franchement, nous avons beaucoup mieux à faire que de perdre de l'énergie à essayer de faire fonctionner ce qui ne fonctionne pas. C'est je pense ce qui a guidé la création de l'ECO pour remplacer le Franc CFA, qui nous dédouane désormais complètement de tout impact sur la politique financière africaine, cette monnaie étant adossée à l'Euro et à la BCE, et non plus à la banque de France. C'est l'enterrement de ce qu'il restait de l'empire. Et le retrait de nos industries majeures (ORANO à Arlit) va dans le même sens. Nous avons des territoires outre-mer à protéger et valoriser, ce n'est pas l'Europe qui le fera à notre place. En tout cas, ce n'est certainement pas l'Allemagne. *** En conclusion: Nous avons tout intérêt à alémaniser la politique française plutôt qu'à essayer de franciser l'Europe de la défense en nous reposant sur l'allemagne, et à considérer nos ambitions pour ce qu'elles nous rapportent plutôt que ce à quoi elles nous font ressembler. La relation USA-Allemagne est irréfragable, et pire encore, même si nous avions les moyens de la faire voler en éclat, nous n'y aurions aucun intérêt. *** Voilà mon avis circonstancié. Tu ne l'as pas demandé, tu l'as eu quand même. Bravo et merci. C'est dit plus succinctement et bien mieux, mais c'est ce que j'essayais de développer.
    9 points
  5. Et au risque de choquer ici, je vais dire la chose suivante: investir le moindre euro dans les lits d'hopîtaux n'a strictement aucun intérêt. Bon... j'eexplique. Avec une courbe de contamination exponentielle (ou autre), on constate la chose suivante: chaque lendemain est pire que la veille (forcément). Avec 5000 lits (classiques) et sachant qu'on a 4000 cas et 200 par jour, on peut encore tenir CINQ jours en capacité normale. Si on monte le nombre de lits à 6000 on tient encore DIX jours (en fait moins car on aura plus de 200 personnes de plus). Si on a 7000 lits, on tient encore QUINZE jours et c'est tout. En gros, si on ne casse pas l'évolution exponentielle du nombre de cas on a la certitude absolue de ne pas avoir assez de lits en réa quel que soit le nombre de lits mis en place. Même si on, en a 7000, 8000, 10000...... Cela ne fait que retarder l'explosion.
    6 points
  6. <J'ai dit quoi sur les posters/relais de fake news ? Encore si tu avais écris, "il y' aurais une impossibilité" ca ouvrait à discussion ...> Zalmox a déjà pris 10 points pour posts de merde (sources fake et relais idoine). On a déjà fermé ce thread une fois, il est donc zone rouge. Evitez de relayez de la dejection de médias sociaux, ca vous évitera le couperet ..... (et c'est pas comme si j'avais pas déjà averti 2 pages avant, hein ...)
    6 points
  7. Une démocratie n'est pas un modèle statistique… franchement, c'est totalement bidon comme argument.
    6 points
  8. Je m'abstiens de tout regard et commentaire sur le déroulement de l'élection, les mécanismes, les résultats précis.... Je recommande la chose à tous; c'est bien meilleur pour la santé mentale. Cependant, un de mes premiers essais de prise de recul pour de plus vastes observations (plus durables) me fait dire que le résultat de Trump, victoire ou pas victoire, est excessivement impressionnant, étant donné qu'il est arrivé là: - après 4-5 ans de traitement médiatique massif complètement antagoniste, mensonger, manipulateur et pour ainsi dire unanime dans 80 à 90% du bruit créé sur la scène publique: sa "bulle" de soutien est au final extrêmement petite (Fox, Sinclair et quelques journaux, et c'est tout), alors qu'en face, on n'a pas seulement les médias au sens strict, mais l'essentiel de la "clérisie", cad la soi-disant "intelligentsia", la classe "éduquée" qui commande à toutes les interfaces d'information, de débat, de "sense-making", d'enseignement et de "production émotionnelle" (cad les arts et le divertissement... Ce qui inclue l'essentiel des stars du showbiz et l'influence qu'elles peuvent avoir). - de façon similaire, le "5ème pouvoir", cad la sphère internet/médias sociaux, est un peu plus partagé en termes de production de contenus, mais les plates-formes elles-mêmes sont devenues aussi des censeurs extrêmement partisans qui ont tout fait (même régulièrement de la censure directe, pure et dure, sans toujours de justification) pour entraver sa communication - avec un mix démographique changé par rapport à 2016, particulièrement dans certaines minorités ethniques (et chez les femmes), face à un constant barrage de messages directs et indirects disant ou suggérant (pour l'essentiel gratuitement) qu'il est un raciste/nazi/sexiste (et sans doute un violeur d'enfants.... Parce que Epstein et les illuminati) - avec un budget de campagne très largement inférieur à celui de son adversaire (comme en 2016) qui bénéficiait en outre des avantages médiatiques et institutionnels précités (qui peuvent aussi s'évaluer, imparfaitement, en dollars de pub) - après cette année de merde (COVID, crise économique, division tribale/raciale et émeutes + menace permanente d'émeutes plus ou moins organisées/coordonnées) où tout ce qui pouvait lui être mis sur le dos, à tort et à raison, a été multiplié par 1000. Et malgré tout, le gars, et son parti avec lui, n'est pas balayé dans une immense vague antagoniste dans les urnes.... Outre l'aspect impressionnant de ce résultat (plus impressionnant encore que 2016 où l'appareil médiatique, les élites et les plates-formes internet n'étaient pas à ce point contre lui), le point que j'essaie de faire et qui m'interpelle, c'est de savoir ce que cela révèle. S'il y a certainement un enthousiasme pour Trump proprement dit dans une certaine portion de l'électorat qui a voté à droite, il va vraiment falloir décomposer, dans les jours qui viennent, ce vote et les raisons de chaque groupe pour l'avoir choisi. Il a certainement une part très conséquente de gens qui ont voté pour lui en se pinçant le nez, et d'autres qui ont voté largement CONTRE Biden, ou les démocrates, ou leur aile gauche, ou encore juste pour dire "merde" à leur façon. Le système de fait bipartisan a aussi cette limite qu'il fait de "l'autre" parti (que celui qui semble avoir le vent en poupe) le seul vote protestataire avec effets, ce qui a toujours contribué à limiter les tentatives de 3ème parti aux USA (avec d'autres blocages, certains très intentionnels). Avant qu'on commence à avoir ces données et que les médias commencent à mal les traiter pour ne surtout pas comprendre et faire comprendre les leçons à tirer (comme en 2016, où les bonnes intentions de comprendre n'ont pas duré plus de quelques semaines), et se rattacher aussi vite que possible aux trames narratives tribales pré-établies, il convient quand même de remarquer l'importance de ce simple résultat serré, ou en tout cas beaucoup plus serré que tout ce que les conditions créées depuis 4 ans (et augmentées par les circonstances exceptionnelles de 2020) auraient pu suggérer; plus encore que 2016 où, logiquement, un candidat comme lui n'aurait même pas du avoir moins de 5-10% d'écart avec Clinton. Ce n'est certainement pas sa personnalité, ou son élocution, ou encore sa "présidentialité" qui justifient ce vote, hors d'une proportion donnée (mais minoritaire, y compris dans le vote républicain) de l'électorat de droite. Ce n'est certainement pas non plus un supposé racisme à grande échelle qui le porterait. Et à ce stade, c'est encore moins le parti républicain, qui n'a aucun capital sympathie hors de son électorat hardcore. On peut en être, comme en Europe mais sous d'autres oripeaux politiques, à un stade où la catégorisation droite-gauche qui a prévalu depuis les années 70 dans ce pays, n'a plus aucun sens pour une portion très conséquente de l'électorat (ce qui se voit aussi chez les minorités ethniques, où Trump est beaucoup moins mal vu chez les jeunes noirs que chez les personnes âgées, et réalise de beaux scores chez les latinos, surtout non mexicains). Donc... hypothèses?
    6 points
  9. Je ne sais pas s'il existe sur ce forum un sujet dédié à la géopolitique en général avec les contextes historiques. Mais il me semble que l'intervention de la ministre allemande pourrait avoir de bon d'enfin faire le point sur les tenants et les aboutissants historiques. Les stratégies élaborées depuis le 19ième siècle pourraient être mise en lumière et confrontées à quelques lectures. Milton Friedman, Samuel Huntington, Pierre Papon, Jeremy Rifkin... l'école de Chicago... J'en oublie. Bref, il y a de quoi dire et surtout de quoi réfléchir et être pragmatique plutôt que de s'entêter. Si les Allemands ne veulent pas de notre Europe de la défense, à nous d'observer le monde, de le comprendre et d'élaborer quelque chose qui soit en phase avec nos idées plutôt que d'espérer que les choses se passent comme nous souhaitons. Je ne sais pas s'il s'agit d'un héritage de l'époque romantique mais nous imaginons le monde à travers des sentiments que nous sommes (peut être) bien seuls à éprouver. A tort ou à raison...
    5 points
  10. Intéressantes tes méthodes éducatives …
    5 points
  11. Ça se joue sur un duel au 6 coups devant le saloon.
    5 points
  12. Une sacrée publicité quand même, parce que là c'est un exploit "de routine", une capacité native d'avions neufs et de pilotes fraîchement formés sur l'avion, avion suffisamment fiable et pratique à manier pour permettre l'enchaînement des ravitaillements. Les déboires du F-35 lors des traversées de l'Atlantique, à répétition, font vraiment pâle figure à côté.
    5 points
  13. La stratégie de Trump pourrait être de faire entreprendre des démarches juridiques en vue de contester la répartition des grands électeurs, ceci de manière à empêcher le vote du 14 décembre désignant le Président. Dès lors ce serait au Congrès de le faire. Or à la chambre des Représentants c'est un état une voix et les Républicains s'ils n'ont qua 190 représentants contre 204 aux Démocrates sont majoritaires dans plus d'états notamment ceux du MidWest qui nomment peu de représentants au Congrès en comparaison d'états de la Nouvelle Angleterre par exemple. Bref s'il "va devant le Congrès" Trump gagne l'élection ...
    4 points
  14. La Pennsylvanie a toujours voté démocrate, en 2016 Trump n'avait eu que 40 000 voix d'avance. Sur les Etats des grands lacs c'est un peu la même chose, au Michigan il ne l'avait emporté que de 10 000 voix... Il semble qu'en France il y a aussi des relais chargés de relayer la merde trumpiste
    4 points
  15. Un monsieur avec des accointances avec la DGSI disait en guise de boutade : "le meilleur instrument de déradicalisation, c'est le Drone" (Déjà dehors).
    4 points
  16. Pour une raison extrêmement simple : avec une petite entente, on choisi les pays qui veulent bien que ça marche ; avec la grande entente il faut convaincre les pays qui ne veulent pas que ça marche. En gros et en simplifié, les pays non-méditerranéens (Benelux, Allemagne, Pologne...) ne voudront jamais se défaire de la tutelle de Washington et réagissent donc avec une hostilité énorme face à toute tentative de permettre à l'UE d'être un tout petit peu moins facile à ignorer sur le plan international. Une Europe avec une politique étrangère qui lui sois propre risquerait de fâcher Washington et donc de perdre la garantie américaine. Une Europe avec une politique de défense qui lui sois propre risquerait de conforter la tendance américaine à l'isolationisme puisqu'elle pourrait servir de prétexte au retrait Américain. Il faut donc éviter à tout prix tout dévelopement allant dans l'un de ces sens. Bien entendu c'est un mauvais calcul car les Américains ne prennent pas leurs décisions en fonction de l'état du monde, mais en fonction de leur politique intérieure. Mais pour faire comprendre ça aux atlantistes pour qui les Américains sont des super-héros infiniments généreux, altruistes, et bienveillants...
    3 points
  17. 20/20 avec félicitations du jury pour Patrick ce soir!
    3 points
  18. 3 points
  19. Trump vient de tweeter sa victoire (non officielle) dans je ne sais plus quel état. Je suis perplexe, n't il pas, selon lui, déjà gagné l'élection générale?
    3 points
  20. Oui… mais. Mais où est l'affaire Dreyfus des Américains ? Pourquoi au juste y a t il tant d'énervement et de tension voire d'hystérie dans les échanges politiques aux Etats-Unis ? Je veux dire, si on regarde les choses en face, les partisans de l'aile gauche du parti Démocrate sont des marxistes-sociétaux-éveillés à ambition totalitaire, tendance révolution culturelle, bref de vrais Commies. Les partisans de Trump quant à eux sont tout bonnement des Nazis. Oui, mais ces gens-là devraient s'entendre très bien !
    3 points
  21. C'est ce qu'ont fait des tas de Mirage 2000 pour aller faire red flag ou autres joyeusetés de ce genre. Ca en dit long sur la maturité du zoziau. FMJ
    3 points
  22. Merde je voulais écrire dégoût du terrorisme bien sur
    3 points
  23. Finalement, la France aurait peut être préféré une reelection de trump. A comparer avec la prise de position de la ministre de la défense allemande faite quand Biden devait gagné avec 7% d'avance
    3 points
  24. on faisait des blagues sur l'Afrique qui envoit des observateurs. Vu d’Afrique. Les États-Unis seraient-ils eux aussi un “pays de merde” ? Burkina Faso Le Pays - Ouagadougou Publié le 05/11/2020 - 13:40 En 2018, Donald Trump avait qualifié un certain nombre de pays, dont les États africains, de “pays de merde”. Mais au vu de son attitude peu démocratique lors de la présidentielle américaine – au cours de laquelle il s’est empressé de revendiquer la victoire et de dénoncer des fraudes –, l’on est en droit de se demander s’il n’est pas du même acabit que les dirigeants de ces pays qu’il méprise, s’amuse ce journal burkinabé. De Joe Biden ou de Donald Trump, les Américains, qui étaient appelés aux urnes le 3 novembre dernier, attendent de savoir qui sera le 46e président des États-Unis. Une élection qui intéresse aussi au plus haut point les Africains, curieux de savoir si Donald Trump, connu pour son manque d’intérêt, à la limite du mépris, pour le continent noir, où il n’a même pas daigné mettre les pieds une seule fois en quatre ans, pourra se succéder à lui-même. C’est donc naturellement qu’en Afrique, comme un peu partout dans le monde, la tension monte durant l’attente des résultats. Car, s’il n’est pas exclu que le milliardaire compte encore des sympathisants sur le continent noir, il y a des raisons de croire que, dans leur grande majorité, le cœur des Africains bat pour Joe Biden, ancien vice-président du seul président noir de l’histoire des États-Unis. République bananière En qualifiant leurs États de “pays de merde”, Donald Trump a contribué à s’aliéner la sympathie de bien des Africains. Cela dit, vu d’Afrique, l’un des faits majeurs de cette présidentielle est qu’avant même la fin du dépouillement, le président américain sortant s’est autoproclamé vainqueur, dénonçant au passage des tentatives de fraude, et a menacé de saisir la Cour suprême pour arrêter le décompte des résultats. De quoi rappeler les républiques bananières, où la contestation systématique et les dénonciations de fraudes sont la marque déposée des élections en Afrique. Sauf que, dans ce cas d’espèce, ce n’est pas le candidat de l’opposition, comme c’est généralement le cas sous nos tropiques, qui crie à la fraude, mais bien le président sortant. On croit rêver, et pourtant c’est la triste réalité. Risque de violences Donald Trump va-t-il faire de son pays un “pays de merde” ? Il présente bien des points de similitude avec tous ces dirigeants africains qui se comportent en “président fondateur” [expression ironique employée en Afrique pour qualifier les autocrates]. On se demande quel genre de démocrate est Donald Trump, avec un tel comportement, qui ne met pas son pays à l’abri d’une crise. À lire aussi Vu d’Europe. Désormais, l’Amérique fait pitié En tout état de cause, il faut souhaiter qu’au sortir de cette présidentielle 2020, qui s’annonce indécise jusqu’au bout, cela ne donne pas lieu à des violences, dont la menace est loin d’être écartée. Cela ne pourrait qu’écorner l’image de la plus grande démocratie du monde, et celle de Donald Trump avec. https://www.courrierinternational.com/article/vu-dafrique-les-etats-unis-seraient-ils-eux-aussi-un-pays-de-merde?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&Echobox=1604580169&fbclid=IwAR33QB-CUW8U3lwuteQB_W4-Pv2Tha6e-qjz8bV4G98VgUjZNxCqdPlmyX0
    3 points
  25. Désolé pour le HS : La productivité croissante d'une personne n'est pas forcément mal vécue, ça peut même devenir un sujet de fierté, c'est surtout que pour un qui produit, il y en a au moins sept en charge de l'emmerder.
    3 points
  26. Si ma mémoire est bonne, cette partie n'était qu'une anecdote qui ponctuait une considération plus générale relative à la complexité de monter une opération de convoyage au delà des mers. En tout état de cause ce n'est pas comparable au convoyage indien, constamment à portée d'un terrain de déroutement et sous surveillance permanente du contrôle aérien. Bref, il n'y a pas de quoi en faire toute une histoire. Vraiment.
    3 points
  27. Gaffe la politique sur le forum des fakes news est sans pitié : https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Ignace_Guillotin
    3 points
  28. Réponse de le drian a akk : https://www.google.com/amp/s/www.europe1.fr/international/etats-unis-on-ne-reviendra-pas-au-bon-vieux-temps-de-la-relation-transatlantique-previent-le-drian-4003460.amp
    3 points
  29. C'est bien que Politico transforme cela en débat en anglais. Mais pour l'instant je ne vois rien en allemand dans la presse allemande (en recherchant dans google news en allemand). On dirait que la prise de position d'AKK est passée complètement sous le radar de la presse allemande. Le peuple allemand me parait laissé dans l'ignorance des prises de position de sa ministre. Ou est-ce que je n'ai pas assez cherché ? Politico a également publié https://www.politico.eu/article/biden-administration-pitfalls-for-europe-us-election-2020/ le 1er novembre.
    3 points
  30. Ce qui démontre le caractère bancal de la catégorie "latino". Je crois que c'est l'heure de faire la leçon padre.
    3 points
  31. Je plussoie ... Ce forum n'est pas une tribune où l'on vient soigner ses aigreurs d'estomac ...
    3 points
  32. Vu les résultats.... entre 30 et 50% de la population européenne de l'époque a clamsé.....
    3 points
  33. Pourquoi les États-Unis ne sortiront jamais de leur cauchemar politique… et cela n’a rien à voir avec Trump… Depuis la chute du mur de Berlin en 1989, qui annonçait la fin de l’ère communiste, les chroniqueurs et les historiens prétendent que le libéralisme occidental et ses 4 valeurs intransigeantes ont finalement triomphé. Le monde entier aspire en effet à la liberté individuelle, à des droits de l’homme étendus, à une démocratie participative et à un marché ouvert et libre. En 1992, l’historien Francis Fukuyama a écrit le best-seller ‘La fin de l’histoire et le dernier homme’. Il y a montré de manière éloquente et empirique que le modèle occidental de démocratie, dans toutes ses variantes, avait conquis les alternatives autocratiques, communistes et fascistes. Tous ont été testés par différents régimes au cours des 80 premières années du XXe siècle. À la fin, tous ont fini par se heurter au mur de l’appel indomptable à la liberté individuelle, à l’égalité des chances et au droit d’expression. Depuis la chute du mur de Berlin en 1989, qui annonçait la fin de l’ère communiste, les chroniqueurs et les historiens prétendent que le libéralisme occidental et ses 4 valeurs intransigeantes ont finalement triomphé. Le monde entier aspire en effet à la liberté individuelle, à des droits de l’homme étendus, à une démocratie participative et à un marché ouvert et libre. En 1992, l’historien Francis Fukuyama a écrit le best-seller ‘La fin de l’histoire et le dernier homme’. Il y a montré de manière éloquente et empirique que le modèle occidental de démocratie, dans toutes ses variantes, avait conquis les alternatives autocratiques, communistes et fascistes. Tous ont été testés par différents régimes au cours des 80 premières années du XXe siècle. À la fin, tous ont fini par se heurter au mur de l’appel indomptable à la liberté individuelle, à l’égalité des chances et au droit d’expression. L’alternative chinoise L’épidémie du Covid-19 prouve que ces 4 piliers sont irrévocablement sur la sellette, comme Anders Beken le mentionnait dans son dernier livre. Pragmatiques, les Chinois semblent avoir développé une alternative très intéressante. Le ‘capitalisme autocratique’, une excellente réponse à la nature folklorique des Chinois, qui est axée sur l’argent. Le pays veille aussi à ce qu’un organe central, ironiquement appelé le ‘Parti communiste chinois’, tienne très fermement les reines du pays entre ses mains. Les derniers mois ont montré qu’une approche rigoureuse pour apprivoiser un virus – surtout lorsqu’on compte 1,3 milliard de citoyens – est probablement le meilleur moyen pour y arriver, quoi qu’en pensent les Néo-Zélandais. Avant que le coronavirus ne fasse son chemin dans le cœur des libéraux occidentaux, trois des quatre valeurs sont restées plus ou moins intactes : le respect de la liberté individuelle, notre économie de marché et notre protection des droits de l’homme. Le quatrième pilier De nombreux autres doutes avaient déjà été émis sur le quatrième pilier, en particulier sur le fonctionnement de la démocratie. La variante européenne – la représentation proportionnelle, dans laquelle chaque a une importance égale – a été soumise à une forte pression au cours des 25 dernières années. La polarisation, la fragmentation des votes à travers une série infinie de partis, la complexité de la prise de décision, les compromis sans fin, etc. ont fait que nos démocraties semblent dépourvues d’orientation, ce qui s’est traduit par une forte envie de défaire des décisions prises au niveau local, tant à un niveau inférieur, qu’à un niveau européen, ou à un niveau supérieur, dans le but de pouvoir réaliser certains progrès. La variante anglo-saxonne : ‘First past the post’ En revanche, la variante anglo-saxonne – le système ‘first past the post’ dans lequel seuls les votes gagnants comptent et sont représentés au Parlement – a continué à bien fonctionner pendant longtemps. Cette méthode était d’ailleurs plébiscitée par des économies fortes comme les États-Unis et la Grande-Bretagne. Aussi, le ‘Cool Britannia’ – un slogan magistral – s’est illustré dans l’organisation parfaite des meilleurs Jeux olympiques du XXe siècle (Londres 2012) .Il était aussi à l’origine du ‘Britannique confiant’ sous Cameron. Il n’y avait alors qu’un seul patron, un gouvernement uni qui partageait les mêmes idées, déterminer une politique à mettre en place et tracer avec force la voie future du pays. Mais ce système a provoqué la frustration de nombreux électeurs, qui ne se sont pas sentis entendus parce qu’ils ne pouvaient pas s’identifier à l’un ou l’autre des partis. Pour sortir de la pauvreté, ils ont voté pour la droite – le Parti républicain ou conservateur, ou pour la gauche – soit le Parti démocrate ou travailliste. Votes rejetés Alors qu’en Europe, chacun a son mot à dire et peut faire des choix beaucoup plus thématiques et spécifiques (que ce soit pour le parti des Verts, le parti communiste, d’un grand groupe de partis populistes, au parti pour la protection des animaux, dans les démocraties anglo-saxonnes, ces voix ont toujours été écartées, ne se traduisant jamais par un quelconque pouvoir administratif. Aux États-Unis, la situation est particulièrement pénible. Des gens comme Mitt Romney, George W. Bush ou John Mc Cain regarderont aujourd’hui avec aversion un parti républicain, qui n’a plus rien à voir avec les valeurs républicaines d’autosuffisance et d’autodétermination, une grande aversion pour la corruption, une forte croyance dans l’esprit d’entreprise et une grande croyance dans la liberté de l’individu. Mais lorsqu’on pense à Bill Clinton ou à JFK Kennedy, on peut avoir un regard désolé et impuissant face à tant d’Américains qui se disent en faveur de ‘recettes socialistes’ émanant de Bernie Sanders et d’Elizabeth Warren. Les États-Unis ne sont pas si différents de l’Europe Ce graphique produit par The Economist qui reprend des données à partir de 2016 – en remplacement d’Hillary Clinton par Joe Biden – met ce problème en évidence. Les États-Unis ne sont pas constitués de deux partis, mais de cinq partis, et ressemblent donc beaucoup aux démocraties parlementaires européennes, du moins en ce qui concerne les intentions de vote. Dans la société américaine aussi, il y a beaucoup plus de visions et d’opinions nuancées et tout n’est pas noir ou blanc – bon ou mauvais selon vos propres opinions – mais il y a beaucoup plus de nuances de gris. The Economist sur Twitter : ‘À quoi ressemblerait l’élection présidentielle américaine sous un système parlementaire?’ Ce serait une expérience intéressante que de réapprendre aux politiciens américains ‘l’art du compromis’, qui existait encore avant la présidence de Bill Clinton. Ce durcissement des positions est survenu à l’investiture d’Obama et s’est, petit petit, accentué avec Trump. Ce système, lui aussi, finira par se heurter aux mêmes limites que celui que nous connaissons. Mais il pourrait déjà calmer les ardeurs, afin que les émotions à l’étranger puissent se calmer un peu. Il ne faut pas sous-estimer l’ampleur du fossé entre ces deux camps et la façon dont deux groupes de population – on pourrait presque les appeler des sectes – se regardent au sens figuré. Il n’y a donc pas grand-chose à faire pour rendre l’atmosphère… encore plus sinistre. ThePost
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  34. La chambre des représentants nomme le président et le sénat le vice-président. En pratique un ticket Biden - Pence En fait non. Comme l'explique Pascal, les Représentants votent suivant un système "un État, une voix", ce qui donne l'avantage aux Républicains, donc à Trump : https://www.ouest-france.fr/monde/etats-unis/elections-americaines/presidentielle-americaine-que-se-passerait-il-en-cas-d-egalite-entre-les-candidats-7039947 (4 novembre 2020) Bien que les démocrates soient majoritaires au sein de la Chambre des représentants, les républicains, eux, détiennent davantage d’États. Une telle élection favoriserait par conséquent Donald Trump. Une date limite est cependant fixée pour cette succession de scrutins entre les représentants. Si le 20 janvier 2021, aucun vainqueur n’a été désigné, Donald Trump sera contraint de quitter le pouvoir, conformément au texte du 20e amendement de 1933. Le fauteuil de président ne resterait toutefois pas vide. En cas d’absence de décision de la Chambre des représentants ou d'intervention de la Cour suprême, le président de la Chambre des représentants endosserait le costume de président par intérim, jusqu’à l’organisation d’une nouvelle élection présidentielle. Actuellement « Speaker of the House », la démocrate Nacy Pelosi serait par conséquent désignée pour diriger le pays, avec les mêmes prérogatives et pouvoirs que les présidents passés.
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  35. Et juste pour ceux qui auraient encore du mal avec les statistiques : toute participation entre 0 et 100% est possible. On peut y voir des anomalies statistiques si la déviance est importante par rapport à la norme, mais ce n'est pas, dans l'absolu, un signe de fraude. Et ces anomalies peuvent tout à fait être explicables, notamment par des facteurs humains (autres que la triche). Par contre, il existe des impossibilités statistiques : tous les taux de participation supérieurs à 100% sont des signes manifestes de fraude. Y en a-t-il ?
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  36. Tu ries, mais de ce que j'ai compris, le code électoral de l'Arizona prévoit ( où prévoyait à une époque ) de régler ça aux cartes en cas de too close to call.
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  37. La chambre des représentants nomme le président et le sénat le vice-président. En pratique un ticket Biden - Pence
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  38. Il a laissé plané le flou sur l'avortement, il est religieux à ses heures, raciste un peu aussi, une pointe de misogynie, et le côté LAW and ORDER qui va bien devant les antifas. AHMA ne pas sous-estimer les effets collatéraux des émeutes BLM et actions/discours des antifas qui n'existaient pas trop auparavant sur la scène médiatique (sauf erreur). Ca ratisse large à droite il s'en est jamais caché. Ce n'était pas une liste exhaustive des raisons d'une persistance du vote Trump , juste des pistes, il doit y en avoir bien d'autres.
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  39. Bon je ne serais pas objectif, mais des Bigors du 3ème RAMa ça me parle beaucoup a moi l'ancien du 11ème RAMa , et vu le paysage et les tenues ont est au Sahel, superbe jeu de lumière entre celle du ciel et du flash sortant du tube du mortier de 120 mm ! Voici une photo qui date, votre serviteur faisant un tir en commandé sur son mortier de 120 mm dans le début des années 90 en Centrafrique. Bon vous verrez on peu voir la queue de charge en sortie de tube. Je suis celui a gauche sur la photo, le plus petit. Putain que le temps passe !
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  40. https://www.theguardian.com/us-news/2020/nov/04/us-election-takeaways-biden-trump-polls Dans l'ensemble, les sondages se sont révélés grossièrement trompeurs, surestimant la force de Biden dans chaque État encore plus que la force d'Hillary Clinton en 2016. Les principaux instituts de sondage ont raté la cible dans de nombreux endroits, par des nombres élevés à un chiffre, et les sondages au niveau des districts les plus granulaires étaient encore plus éloignés. Alors que les analystes des sondages s'étaient mis d'accord sur des conclusions claires après 2016 sur ce qui était cassé et comment le réparer, il est difficile de savoir comment l'entreprise de sondage pourrait être sauvée cette fois-ci. Dans le Wisconsin, de nombreux sondages étaient à 10 points de la cible et en Floride à 8 points de la cible. Ailleurs, les sondages ont semblé un peu plus précis. Les démocrates ont été largement déçus par les votes de bas de bulletin, avec leurs rêves de majorité sénatoriale ne tenant qu'à un fil. Ils ont conservé leur majorité à la Chambre des représentants, mais ont réussi à perdre quelques sièges. Ils semblent s'emparer de certaines législatures, comme dans le Michigan, tout en se faisant souffler dans d'autres endroits où l'on pensait qu'ils avaient une chance de gagner, comme au Texas. Il s'agit d'une élection où il est difficile de caractériser un patchwork de résultats nationaux qui a vu des reprises démocrates éblouissantes dans des endroits comme l'Arizona et potentiellement la Géorgie, mais des revers ailleurs et un échec évident à consolider la vague bleue de 2018. Les progressistes ont également déploré la force électorale évidente de M. Trump, se demandant comment combattre le trumpisme à l'avenir tout en lançant un appel à ses électeurs, dont une solide minorité d'électeurs hispaniques de différentes origines. Selon les sondages de sortie des urnes, M. Trump a gagné les électeurs blancs de 15 points, soit la même marge qu'en 2016.
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  41. Ca fait aussi penser à la livraison des Gripen au Brésil
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  42. La marque de fabrique et le succès de Bond, c'est précisément ce qui est condamné par tous le "camp du bien" surreprésenté dans les médias: la "masculinité toxique". Un Bond métrosexuel, c'est la mort du perso. Un bond qui n'est pas un loup solitaire avant tout, c'est la mort du perso: il bosse pas en équipe hors de quelques moments dans un film, à l'occasion. Si on lui adjoint un équipier, qui plus est une nana, c'est la mort du perso. Si en plus on fait tout, comme c'est la mode, pour le diminuer afin de mettre la dite nana (comme d'hab, la nana avec une tête de moins et qui pèse la moitié du poids du gars va faire valser des armoires à glace... Suspension of disbelief en manque de stéroïdes) sur un piédestal, c'est la mort du perso. Et si on fait de 007 juste un matricule à transmettre à une autre incarnation... C'est la mort de devinez quoi? La franchise entière, merci d'avoir participé. Cette idée de 007 mantle/007 title comme un truc qui se transmet, un "relais" qui se passe, ça n'a jamais beaucoup marché hors de quelques exemples isolés très spécifiques (et le Dr Who ne compte pas: lui, c'est vraiment TRES spécifique). Un personnage est un tout réunissant des conditions uniques pour marcher et continuer à marcher. La croyance selon laquelle tout peut pondre des spin-offs ou se transmuter indifféremment semble vraiment une maladie contagieuse dans les studios. Il leur faut combien de gadins et de franchises perdues pour s'en rendre compte? Mystère.
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  43. En Corse, on fait voté les morts, au Dakota du Nord, on vote pour des morts... https://www.20minutes.fr/insolite/2901699-20201105-presidentielle-americaine-mort-covid-19-elu-dakota-nord-mois-apres
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  44. comme par exemple faire tourner les lanceurs pour couvrir le max de zone .... ça évite de multiplier les pots au 4 coins du véhicule ...
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  45. Tu as presque raison, le Gripen NG n'est pas juste en service depuis peu, il ne l'est pas du tout !
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  46. Jamais vu une élue verte tenir des propos aussi lucides, pertinents et cohérents sur la dissuasion! Chapeau Madame!
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  47. Le gif qui va bien pour les zolies couleurs : La participation globale est en hausse est les États ayant le plus participé en 2020 étaient déjà des Etat à forte participation en 2016.
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  48. Biden annonce qui rejoindra l'accord de Paris dans 77 jours ( trump a quitté celui ci hier )
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  49. Non tu n'as pas compris la blague: Le premier Gripen brésilien a été livré par bateau. Sanglé à fond de cale et débarqué à la grue sur le quai d'un port... https://www.flightglobal.com/fixed-wing/saab-f-39e-gripen-arrives-in-brazil-for-flight-testing/140291.article Dans les commentaires de la vidéo tout le monde est content. Et semblent oublier que c'est un avion. À la base. Enfin je crois. Sur le forum DEFA m'avait fait remarquer que même les Tucano livrés par le Brésil à la France avaient été convoyés en vol jusqu'à chez nous par des pilotes français.
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