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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 13/12/2020 dans toutes les zones

  1. Pour des allures de 20 a 27 nds les hélices du Charles sont à 140 et 170 rpm et qq , la pale a dû se rompre dans cette fourchette là Quelques mots sur un sujet épuisé Les ruptures de pale d’hélices sont rares mais pas exceptionnelles . Elles sont dynamiquement très sollicitées ( vibration , pulsation de pression , cavitation ) , les ruptures étant le fait de fatigue cyclique sous développement de fissures qui sont toujours initiées à partir d’un défaut métallurgique. Extrait d’une traduction d’un mémoire du Dr Klauss Meyne de Hambourg 1979 Les ruptures en fatigue peuvent aussi bien intervenir dans échéances très courtes ( CdG) , que très longues cf rupture d’une ligne d’arbre de la FAA Cassard en 2017 après 30 ans service, rupture en fatigue et fissure à partir d’un défaut d’usinage initial . Le CdG était en phase d’essais , dont ceux de la prop qu’on pousse dans ses retranchement ; zig zag, giration a PMP , et surtout crash stop qui éprouve mécaniquement les pales Coté conception c’est le bassin des carènes qui avait dessiné l’hélice en fonction des exigences de puissance à faire passer dans une fenêtre de discrétion acoustique donnée et dans les règle de l’art d’intégration d’hélice au stern d’une carène , et tout ceci oblige à des compromis techniques . A lire ou relire ….. http://www.ffaa.net/ships/aircraft-carrier/charles-de-gaulle/enquete-qualite.rtf. Hélice CLEM/FOCH diamètre 5.52m-21.7- 46 Mw en SHP/1LA soit une densité de puissance surfacique de 1.9 Mw/m² taillée pour du 33 nds Hélice du Cdg ; diamètre 6 m- 19 t- 30Mw estimé en SHP/1LA soit une densité de puissance surfacique de 1.06 Mw/m² taillée pour du 27 nds Hélice du G Ford diamètre 6.4m- 30 t- 50 Mw estimé en SHP/1LA soit une densité de 1.55 Mw/m² taillée pour du 30 nds et > Hélice du Kuznetsov diamètre 4.26 m – 12.5 t – 36.8 Mw estimé en SHP/LA soit une densité de 2.58 Mw/m² taillé pour du 29 nds , plus petite hélice très chargée conçue silencieuse avec ogive en croix rpm 250/300, A la comparaison de ces chiffres bv noter ceux des CLEM/CDG surtout en masse. Celle du CDG un peu plus grande et cependant plus légère ; finesse des pales taillée et spécifiée acoustique oblige.... Sinon après relectures de mes éléments PA2 et croisement coeff amirauté avec celles des gros PA existant, je suis finalement tombé sur un niveau de puissance aux hélices > ou = à 100 Mw. La valeur de 80 Mw en SHP sur les deux hélices que j’annonçais étaient ceux d’un CVF fr mais ni au DCC ni à 27 nds . solution des 80 MW en deux fois 2 MEP tandem de 2 x 20 Mw parce qu’il n’existait pas de MEP à 40 Mw . Alors à ceci il faudra prendre en compte une charge hotel load de 15 à 20 Mw je pense ainsi que le nécessaire énergie aux emals je crois Pour le fun , ces 2 schémas de l’appareil propulsif triple hélice ( qui n’est pas une innovation *) . Le choix définitif DGA/NG/CAT devra prendre en compte une solution à moindre risques techniques et pérenne en durée de vie blablabla ..... Mécanique d’inspiration CDG Electrique (*) Triple Hélices PA DCNS/STX ; « Le concept des trois lignes d'arbres permet, en cas d'avarie de l'une de ces lignes, de conserver une vitesse de 20 noeuds, suffisante pour réceptionner un gros avion de type Hawkeye malgré de fortes contraintes (vent nul et volets de l'appareil en panne) » TITANIC BISMARK CROISEUR DUPLEX
    8 points
  2. Histoire de couper court à la polémique, une bombe, c'est ça : Une roquette, c'est ça : Veuillez donc parler de missile à l'avenir.
    5 points
  3. Possible. Du coup quelle sera la prochaine nomenclature? "SSBU, super smart bomb unit"? "6BU, sixth gen bomb unit"? "OBU, omnirole bomb unit"?
    5 points
  4. Oui c'est américain, mais c'est fabriqué un peu partout sous licence. Et comme ça ne demande pas des compétences extraordinaires, s'il y a un problème d'approvisionnement on est largement capable d'en fabriquer nous même. On ne le fait pas parce que ça coûte moins cher ailleurs, et parce qu'on n'en consomme pas assez pour pouvoir maintenir en permanence une capacité de production.
    5 points
  5. Oui, pitié. La dénomination n'est pas liée à l'utilisation mais à la fonctionnalité. "doté d'un propulseur", qu'ils disent, ça ne veut pas dire qu'on doit s'en servir. Quand on largue un SCALP en détresse, donc propulseur éteint, ça n'en fait pas une bombe. A vouloir tout interpréter (plutôt qu'apprendre) pour que ça rentre dans des cases qu'on ne maîtrise pas très bien, c'est sûr qu'on fait de la bouillie. Globalement le concept AASM est bien nommé et rangé sous une appellation volontairement vague "d'armement" du fait d'un module de propulsion optionnel. La version sans propulseur est techniquement une bombe guidée, celle avec propulseur devient de facto un missile. C'est simple, clair, net, concis et sans ambiguïté. Mais peut-être faut-il parler d'aéronef motorisé pour parler d'un avion, ou d'un avion sans moteur pour décrire un planeur. Non mais franchement...
    4 points
  6. Disons toutefois qu'avec un peu de chance, le drone ne continuera pas d'être une menace pour les civils cinquante ans après la fin de la guerre, contrairement aux mines...
    4 points
  7. Ca confirmerait qu'il lâche les salles de cinéma avec sans doute encore quelques sorties pour l'image. Mais vu les coûts importants de ces séries ( SF, fantastique, superhéros, etc etc) je ne vois juste pas comment ils espèrent rentabiliser. Pour ceux qui suivent le foot le diffuseur de la Ligue 1 (médiapro) vient de tout lâche (après n'avoir rien payé) car a largement ( et dans les grandes largeurs) surestimé le prix de son produit. De mémoire il devait être à 2/2,5 millions d'abonnées à 25 Euros/mois pour être à l'équilibre et escomptait 5 millions d'abonnés. Les chiffres seraient entre 400 000 et 600 000 avec une partie non négligeable qui bénéficiaient d'offres "spéciales" donc qui ne payaient pas réellement les 25 euros. Alors oui la crise du Covid à largement accéléré le processus (l' a rendu quasi immédiat même) mais les spécialistes estimaient que si Médiapro aurait eu au max 1/1,5 Millions dabonnées ( et ce pour les estimations les plus optimistes. . .) donc déficitaire quoi qu'il advienne. . . Cela a été largement évoqué par Tancrède mais dépenser toujours plus et sans doute n'importe comment avec des qualités discutables pour un prix qui doit rester "attractif" (je vois mal les gens lâcher plus de 20 euros/mois pour une seule plateforme où alors de manière épisodique pour une série particulière et encore). Curieux de voir dan quel état sera le monde audiovisuel dans 5 à 10 ans. . .
    4 points
  8. Les systèmes les plus courants prévoient une méthodologie différente, qui est fixée à la technologie plutôt qu'à l'époque. En particulier, le modèle publié par l'American Air Force Magazine en 2009 est largement utilisé (voir figure 2). Il divise cinq générations existantes en fonction de jalons technologiques. Ce système envisage une sixième génération comme la prochaine étape de développement et lui attribue, entre autres, des caractéristiques telles que l'effectif optionnel. Le Tornado et l'Eurofighter sont classés respectivement comme Génération 4 (Tornado) et 4+ (Eurofighter), ce qui est également le consensus dans la discussion allemande. Le Rafale (4+) et le Mirage 2000 (4) français sont sur le même spectre. L'attribution d'un type d'avion à une certaine génération peut donc être très controversée et fait finalement toujours partie des efforts de marketing des entreprises de fabrication. Pour chacun des niveaux de génération, plusieurs critères ont été définis qui doivent être remplis pour la classification. Il n'est pas clair s'ils peuvent être mis en balance. Par exemple, une meilleure technologie radar permet-elle de compenser le manque de vitesse ? Si le terme de génération est utilisé, il doit être classé et expliqué et ne doit pas se suffire à lui-même. L'étiquette "Next Generation", telle qu'elle est utilisée dans les composants du FCAS, fait référence à la systématique décrite (voir figure 2), mais permet également d'autres interprétations. Si l'on suit l'affirmation selon laquelle le NGF devrait être un chasseur de sixième génération, on utilise le F-35 comme référence technologique. Cela implique en outre qu'il faut sauter une génération si l'on veut passer de l'Eurofighter à la sixième génération de NGF sans étape intermédiaire. Cela ne sera guère possible, principalement parce que les caractéristiques de la cinquième et de la sixième génération, comme la technologie de la furtivité, n'ont encore été construites par aucune des entreprises concernées et sont considérées comme très exigeantes. D'autre part, l'expression "prochaine génération" peut également s'appliquer aux avions qui existent aujourd'hui. Cela relativiserait quelque peu le NGF, car il ne devrait alors "plus" être plus moderne que l'Eurofighter et le Rafale et ne devrait plus explicitement former la sixième génération. Du point de vue allemand, il est logique que le développement du NGF se base sur le statut technologique de l'Eurofighter. Dans ce cas, la poursuite de l'évolution en direction du FNG devrait se faire principalement dans les domaines qui ne sont pas actuellement couverts par l'Eurofighter, c'est-à-dire principalement dans la guerre électronique en tant que technologie nationale clé. La dimension nucléaire d'un futur système aérien de combat Les questions de souveraineté technologique et d'affectation générationnelle du FNG jouent également un rôle crucial en ce qui concerne la capacité nucléaire d'un FCAS. La France considère la dissuasion nucléaire comme une pierre angulaire essentielle de sa propre souveraineté et de celle de l'Europe, et lui a consacré 37 milliards d'euros dans son budget militaire jusqu'en 2025. Le potentiel nucléaire de la France est le quatrième au monde, avec environ 300 ogives. En plus des sous-marins équipés de missiles balistiques, la France possède des missiles de croisière nucléaires transportés par le chasseur Rafale, y compris à partir de porte-avions. D'un point de vue français, le FNG, en tant que successeur du Rafale, doit nécessairement être capable de remplir cette tâche. Il en résulte deux exigences de capacité : premièrement, le transport de l'arme nucléaire de combat ASMP, et deuxièmement, la capacité d'atterrir sur des porte-avions. Du côté allemand, le lien entre le FCAS et le rôle nucléaire est plus indirect. Aujourd'hui, la Bundeswehr participe au partage nucléaire de l'OTAN avec sa flotte Tornado. Des bombes nucléaires en chute libre sont stationnées en Allemagne à cette fin. L'avenir de ce rôle est politiquement controversé. Les critiques réclament notamment la fin du partage nucléaire, car il garantit l'absence d'influence sur la stratégie nucléaire américaine et l'utilisation d'armes nucléaires est injustifiable sur le plan éthique et en vertu du droit international. Ce débat s'est cristallisé sur la question du successeur du Tornado. Du point de vue du gouvernement fédéral, la poursuite du partage nucléaire est une exigence de capacité élémentaire dans la sélection des avions de combat. L'opposition, en revanche, a présenté une motion au Bundestag allemand pour mettre fin au partage opérationnel du nucléaire et ne plus certifier un avion de combat à cette fin. En avril 2020, le ministère fédéral allemand de la défense (BMVg) a proposé une solution dans laquelle il souhaite remplacer les Tornados de l'armée de l'air par des modèles de F-18 américains (génération 4+). Pour cela, elle utilise le terme de "solution de transition", car l'objectif est d'assurer la disponibilité opérationnelle pendant la période entre l'élimination prochaine de Tornade et du NGF, qui ne sera probablement pas disponible avant 2040. Cependant, il n'y a aucune indication concrète sur la manière dont le rôle du nucléaire sera pris en compte à l'avenir. Si l'on suit la logique de l'image d'un pont, le F-18 américain serait initialement envisagé comme le porteur d'armes nucléaires dans ce scénario. Cependant, il ne dispose pas actuellement de la certification nécessaire des États-Unis pour l'utilisation nucléaire. Plus tard, le NGF devra reprendre ce rôle, pour lequel il aura également besoin d'une certification nucléaire. Cette circonstance en particulier semble problématique dans la perspective d'aujourd'hui : il faudrait tout d'abord trouver une solution technique à l'exigence selon laquelle les armes américaines et françaises devraient pouvoir être déployées avec cet avion. Une telle combinaison n'existe pas actuellement. Cela rendrait le projet encore plus complexe, car il faudrait non seulement clarifier les aspects techniques (arme à chute libre contre missile de croisière), mais aussi les aspects liés au secret. Deuxièmement, la question de savoir si l'Eurofighter pourrait être certifié nucléaire a déjà montré que cela impliquerait des obstacles importants. À cette fin, la documentation technique de l'avion de combat et de tous les autres équipements impliqués dans la mission doit être régulièrement divulguée. Tous les États utilisateurs doivent donner leur consentement, la question est donc très sensible pour des raisons de secret militaire et industriel. Comme le FNG sera explicitement le transporteur d'armes nucléaires français, il fait partie de l'autonomie stratégique de la France. Par conséquent, l'approbation française requise pour la certification semble incertaine dans la perspective d'aujourd'hui - il s'agit aussi, en fin de compte, des DPI, qui constituent un fil conducteur dans l'ensemble du projet. Si l'Allemagne s'en tient à la solution du pont F-18, elle disposera peut-être d'un nouveau transporteur nucléaire, mais devra relever le défi de l'intégrer dans le système FCAS global. Il en résulterait un affaiblissement implicite de l'alliance et des coûts supplémentaires pour la gestion de la flotte. Dans le pire des cas, il pourrait même devenir évident que le FNG n'est pas un successeur viable au rôle nucléaire ; dans ce cas, il serait lié à un système de génération 4+ pendant des décennies. Des doutes sont déjà émis sur l'adéquation opérationnelle du partage nucléaire aéroporté et sont d'autant plus justifiés que les avions porteurs sont anciens. Il n'est donc pas improbable que la solution du pont devienne la solution permanente ou que, nolens volens, le partage nucléaire sous sa forme actuelle soit remis en question. L'Allemagne et la France font face à cette dimension avec des perceptions différentes de la dissuasion et de la souveraineté, ce qui se reflète dans le débat sur le développement à tous les niveaux. Il est indéniable que le FCAS est aussi un projet nucléaire. Paris l'exprime clairement ; Berlin ne doit pas fermer son esprit à cette réalité, mais doit avoir la même prétention de la façonner dans ce domaine. L'avenir du partage du nucléaire devrait être abordé concrètement au cours de la prochaine législature. Si le gouvernement allemand se contente de permettre au FCAS de continuer, il se privera de ses propres possibilités d'action, ce qui pourrait avoir des conséquences sur le rôle de l'Allemagne dans l'Alliance. Perspectives et recommandations Les différences entre les cultures stratégiques de l'Allemagne et de la France se manifestent dans de nombreux domaines. Le FCAS est un autre exemple où les partenaires sont conscients de leurs différences et, en même temps, de leur interdépendance. Du point de vue français, le projet est d'une part une expression de la souveraineté européenne et d'autre part une composante essentielle de la sécurité nationale et des intérêts industriels. En Allemagne, cette importance stratégique se perd dans le fouillis de responsabilités du processus de passation des marchés. Pour la suite du projet, il est nécessaire de changer la perception du projet. Un engagement plus fort de la part de la Chancellerie fédérale peut permettre d'atteindre cet objectif. Le FCAS n'est pas seulement un autre projet de défense coûteux, c'est bien plus. Il vise à développer et à cultiver en Europe une excellence technologique capable d'avoir un impact bien au-delà du secteur militaire. Des applications telles que les services européens sécurisés dans les nuages ou les commandes de vol autonomes sans pilote sont des moteurs technologiques dont le potentiel est tout aussi pertinent pour l'utilisation civile. Le développement et la souveraineté en matière de données sont étroitement liés à la revendication d'utiliser en priorité les produits européens. C'est l'une des raisons pour lesquelles il est si important de considérer le FCAS comme un système complet. Le calendrier du projet est très ambitieux compte tenu de la complexité du projet et des nombreuses inconnues. Le premier vol du NGF en 2035 et le début du déploiement en 2040 ne seront possibles que si toutes les mesures s'imbriquent sans délai, ce qui, dans la perspective d'aujourd'hui, est peu probable. Le problème le plus urgent est la réglementation des DPI. Il faut se rendre à l'évidence qu'il y aura bien sûr des retards. Il faut cependant éviter les retards supplémentaires dus aux ambiguïtés politiques, au manque de sécurité financière et aux incohérences de procédure. Du côté allemand, il y a certainement un plus grand besoin de rattrapage ici. Une réforme fondamentale du processus de passation des marchés constitue un moyen nécessaire d'améliorer la situation. Une hiérarchisation politique du projet serait opportune et réalisable à court terme. Compte tenu de l'explosivité politique et de l'importance militaire du projet, un futur gouvernement allemand devrait désigner le FCAS comme un projet prioritaire et phare européen dans l'accord de coalition. Dans le cadre d'une loi sur les plans de défense faisant partie d'une réforme du processus d'armement, les prochaines phases du projet pourraient être définies et financées sur une base annuelle. D'une part, cela aurait un effet de signal fort vis-à-vis de Paris et, d'autre part, offrirait une sécurité de planification à la Bundeswehr et à l'industrie. En outre, la perspective européenne du projet doit être élargie. Cela implique également de considérer le projet, probablement avant tout la composante FNG, comme un produit d'exportation et de s'assurer que les réglementations appropriées sont en place. La tâche des futurs gouvernements fédéraux consistera d'abord à intégrer pleinement l'Espagne et à gagner d'autres partenaires à moyen terme, mais plutôt en tant que clients qu'en tant que promoteurs. Plus une entrée en tant que promoteur est tardive, plus elle sera complexe, car il faudrait rouvrir des sites de construction déjà fermés. La part des NGWS en particulier est plus avancée que celle d'autres projets comparables en Europe, par exemple le projet britannique Tempest ; la poursuite des efforts d'intégration ne devrait pas compromettre cette avance. La France, l'Espagne et l'Allemagne ne disposent pas actuellement d'un avion de combat de cinquième génération, contrairement au Royaume-Uni ou à l'Italie, par exemple. Pour les trois nations du FCAS, la NGF est un élément irremplaçable des plans futurs de leurs forces aériennes. Sur le plan technologique, cependant, l'idée de passer directement de la quatrième à la sixième génération et de la définir est extrêmement difficile. Les attentes excessives doivent être tempérées, en dépit de toute ambition justifiée. L'objectif doit être de développer une plate-forme qui représente une avancée significative à la fois sur l'Eurofighter et le Rafale et qui, de plus, est capable de concurrencer le F-35 sur le marché. Définir une génération 5+, avec l'avion à réaction devenant la norme européenne, serait mieux qu'une solution coûteuse qui imite la "vraie" sixième génération et ne peut être pleinement utilisée par aucun État. Quant au calendrier, la question de savoir s'il faut mettre davantage l'accent sur l'achèvement de la partie du FNG peut se poser. L'intérêt de la France pour cette question devrait être très élevé, ne serait-ce qu'en raison de son rôle de leader dans ce segment et du manque d'alternatives dans le secteur des chasseurs. Bien que l'idée générale doive être de voir un système total dans le FCAS, cette priorisation en faveur de la part la plus tangible peut devenir raisonnable dans certaines circonstances. Si ce projet n'est pas réalisé dans un cadre européen, il est de plus en plus improbable que des efforts conjoints importants en matière d'armement soient déployés en Europe. Les efforts visant à consolider les efforts européens en matière d'armement seraient contrariés et les dépendances vis-à-vis des fabricants américains continueraient de s'accroître. C'est avant tout cette responsabilité paneuropéenne dont les partenaires doivent toujours être conscients. Dominic Vogel est chercheur au sein du groupe de recherche sur la politique de sécurité. Institut allemand pour les affaires internationales et de sécurité, 2020 Tous droits réservés Le Courant reflète les vues de l'auteur.
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  9. Non c'est les 28 qui restent de la tranche 4 qui seront upgradé en F4.2. Pour les autres ils sont tous upgradables en théorie mais ça coûte beaucoup plus cher et on a décidé de ne pas le faire. Avec les 12 supplémentaires on passe de 58 F4.2 à 70 et si la Croatie se fait on passera à 82. Il faudrait proposer des Rafale M d'occasion à l'Inde!
    3 points
  10. Tactical Report est spécialisé dans les serpents de mer payants.
    3 points
  11. Tu te trompes peut être : - "Le basculement du barycentre économique mondial Selon le Fonds Monétaire International, la Chine est désormais première puissance économique mondiale (en termes de PIB à parité de pouvoir d’achat (PIB-PPA)a). Selon le cabinet Price Waterhouse Coopers, la hiérarchie des puissances économiques évoluera grandement au cours des prochaines décennies. Ainsi, en 2050 :  la Chine devrait représenter 20% du PIB mondial (PIB-PPA), contre 18% en 2016 ;  l’Inde 15%, contre 7% en 2016 ;  les Etats-Unis 12%, contre 16% en 2016 ;  l’UE27 9%, contre 15% en 2016. A plus court terme, l’Asie et le sous-continent indien connaîtront une croissance annuelle de 6 à 7% jusqu’en 2027 (Banque mondiale, 2018b). Ce déplacement du barycentre économique mondial vers l’Asie est confirmé par l’OCDE, qui estime que la Chine, l’Inde et l’Indonésie devraient à elles 3, représenter 40% de la production mondiale en 2030, et 50% en 2050 (OCDE). Les conséquences sur les échanges mondiaux et le fret maritime se font déjà ressentir avec la massification des lignes et la hausse des volumes." D'autre part (je me répète) si on pointe les latitudes des capitales des pays qui nous ont acheté des armes stratégiques (avions de combat - sous marin) leur latitude moyenne et de 7°30' Nord, qui correspond à la latitude moyenne de nos territoires d'outre mer. Cela signifie que nous vendons des armes stratégiques quand nous pouvons passer des accords stratégiques grâce a nos présences "dans tout les océans". Jakarta, la capitale Indonésienne est dans notre "ceinture d'influence stratégique" latitude = 6°11' Sud.
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  12. 3 points
  13. Sur les soums d’après guerre on avait ceci ; presse étoupe et joint tournant sur glace , Principe d’étanchéité aux grandes profondeur années 60 sur soum US chute de pression sur labyrinthage https://patentimages.storage.googleapis.com/48/82/cd/1ca8cab4e59bba/US3088744.pdf C’est un sujet de discussion https://www.quora.com/How-does-the-seal-of-a-submarine-propeller-shaft-prevent-a-leak-at-great-depths
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  14. Le futur système aérien de combat : trop grand pour échouer Des perceptions différentes et une grande complexité mettent en danger le succès du projet d'armement stratégique SWP Update 2020/A 98, décembre 2020, 8 pp. Sujets : Politique de sécurité et de défense commune (PSDC), Bundeswehr, politique de défense allemande, technologie militaire, politique d'armement, industrie de l'armement, politique de sécurité et de défense / forces armées et armée, politique de sécurité et de défense / armée d'un pays / d'une région, politique technologique Le développement du Future Combat Air System (FCAS) est le plus important projet d'armement européen. Tant sur le plan technologique que militaire, le projet a le potentiel d'établir de nouvelles normes et de révolutionner l'utilisation de la puissance aérienne. Politiquement, le projet multinational est un test décisif de la capacité de l'Europe à coopérer en matière de politique de sécurité, à développer ses propres capacités et à mettre les intérêts nationaux à l'arrière-plan à cette fin. Berlin et Paris portent une responsabilité particulière dans la réussite du projet. Cependant, leurs différentes perspectives et procédures la compromettent - un échec aurait de graves inconvénients pour toutes les parties concernées. Les origines du Future Combat Air System remontent à 2001, lorsque les premières études sur le développement de nouveaux avions de combat dans le cadre d'une alliance européenne ont débuté. Le projet global FCAS devrait être prêt à être déployé d'ici 2040. Le terme "Future Combat Air System" ou son acronyme FCAS est souvent utilisé de manière trompeuse. Bien qu'il y ait bien sûr des liens avec la solution qui succédera aux jets Tornado, le FCAS est bien plus qu'un projet d'avion de combat. La stratégie de l'aviation militaire parle d'un système de systèmes qui doit constituer l'épine dorsale de l'armée de l'air à long terme. En conséquence, le FCAS n'est pas une plate-forme de vol unique, mais plutôt un réseau de systèmes composé de systèmes existants (par exemple, les Eurofighters ou les hélicoptères de combat Tigre), mais aussi de nouveaux développements tels que l'Eurodrone et un système d'armes de nouvelle génération (NGWS). Le système d'armes de nouvelle génération est le noyau novateur tangible du projet FCAS. Il se compose d'un nouvel avion de combat, le Next Generation Fighter (NGF), et dans une certaine mesure de plateformes autonomes (Remote Carrier, RC), tous interconnectés dans un système d'échange de données protégé appelé Air Combat Cloud (ACC). FCAS et NGWS ne sont pas synonymes, mais le second fait partie intégrante du premier. Le système FCAS global peut être considéré comme un arrangement de cercles concentriques : Au centre se trouve le NGF en tant que chasseur de la prochaine génération. Dans le cercle intérieur, cela forme le système d'armes de nouvelle génération avec les téléporteurs, qui est connecté et contrôlé via le nuage de combat aérien. Dans le cercle extérieur, le NGWS est mis en réseau avec d'autres systèmes. Il s'agit d'avions de chasse comme l'Eurofighter ou le Rafale français, mais aussi de ravitailleurs, de navires de guerre, de satellites et de moyens des autres forces armées intégrées. Ce composite est le Future Combat Air System, dans lequel tous les éléments doivent constamment communiquer entre eux pour former une équipe. Ainsi, la valeur militaire sera moins dans les plates-formes individuelles et plus dans la façon dont elles sont combinées. Si nous transférons cette architecture aux systèmes existants de la Bundeswehr, cela signifie que l'Eurofighter sera développé plus avant et continuera à fonctionner au sein du FCAS, tandis que le Tornado sera remplacé par un autre système qui devra être intégré au FCAS. La complexité conceptuelle rend difficile un débat axé sur les faits. Certaines publications tournent autour du FCAS, mais ne concernent en fait que la composante avion de combat. Il en résulte une perte de clarté et de profondeur des détails. Si le FCAS est réduit à la composante FNG, la complexité et la portée du projet sont sous-estimées et les sous-composantes pertinentes telles que le développement de téléporteurs sont ignorées, c'est-à-dire le développement d'une technologie pour des drones armés au moins semi-autonomes. La forme concrète d'un FCAS peut varier dans chaque pays partenaire, et les plateformes intégrées seront différentes. Peut-être qu'à l'avenir, les nations individuelles n'utiliseront que le cercle intérieur avec le NGWS ou ne déploieront que le NGF ou des transporteurs individuels à distance dans leurs forces armées. Malgré toutes ces possibilités, il est important que le FCAS soit toujours compris comme un système total. L'architecture du projet tient compte de cette conception. Le FCAS est divisé en un total de sept domaines de développement (piliers), avec une entreprise qui prend la tête de chacun d'entre eux (voir diagramme 1). A suivre Le développement de ces piliers distincts se fait à des rythmes différents et sur la base de contrats distincts. Elle suit une approche progressive. L'intention est explicitement de ne pas attendre que toutes les composantes soient pleinement développées, mais plutôt de mettre à disposition des résultats intermédiaires afin de rassembler des connaissances pratiques pour la suite du processus. L'Allemagne et la France jouent les rôles clés dans les domaines du développement ; l'Espagne a rejoint tardivement cette organisation. Les possibilités de participation des entreprises espagnoles découlent, d'une part, des lacunes qui se font encore jour et qui doivent être comblées de manière significative et, d'autre part, des intérêts de la politique industrielle. Bien qu'il soit souligné que les sept piliers apporteront des contributions significatives, les résultats les plus tangibles et les plus formateurs sont certainement à attendre dans les domaines des aéronefs, y compris les moteurs et les drones (transporteurs à distance). La perception du FCAS comme un projet franco-allemand est en fait devenue obsolète avec l'adhésion de l'Espagne. Compte tenu de la répartition des paquets de développement entre l'Allemagne et la France et de l'avancement du projet, cela est néanmoins valable. L'un des principaux domaines d'action pour la poursuite du développement est la pleine intégration de l'Espagne, qui peut également servir de modèle pour l'inclusion ultérieure d'autres partenaires. Il est important ici de permettre à l'Espagne de participer le plus rapidement possible à l'avancement du projet et de créer ainsi un point d'accueil commun aux trois pays parrains. Différences culturelles et structurelles entre Paris et Berlin L'Allemagne s'est appuyée sur la coopération multinationale européenne plus tôt, pour Tornado et Eurofighter. La France, en revanche, a opté pour des approches nationales de développement. Berlin et Paris sont des partenaires inégaux réunis dans un projet d'armement ambitieux, parfois visionnaire. Cependant, leurs différentes cultures politiques et stratégiques déteignent également sur des projets communs tels que le FCAS. Le système présidentiel centraliste de la France contraste avec le fort parlementarisme de l'Allemagne, tandis que la prétention de la France à être capable d'une action militaire unilatérale contraste avec l'orientation de l'Allemagne vers des structures multilatérales. Le FCAS est donc un projet politique à part entière - les différences mentionnées ci-dessus peuvent en effet toujours donner lieu à des malentendus et donc à des risques qui doivent être traités au niveau gouvernemental. Compte tenu de la complexité et des multiples implications du projet, les participants allemands doivent être clairs quant à leurs propres intérêts, à ceux de la France et de l'Europe. Le FCAS suit le principe du "meilleur athlète" : Chaque entreprise doit être responsable du domaine pour lequel elle a déjà démontré ses capacités. Dans chaque cas, la nation leader est soutenue dans son pilier par un partenaire principal. Cette division concerne principalement les phases de démonstration du projet (phases 1B et 2), qui sont maintenant imminentes. Une question cruciale qui se pose à ce stade concerne la protection de la propriété intellectuelle émergente ou existante : dans quelle mesure les entreprises doivent-elles divulguer leurs procédés et leur savoir-faire, dans quelle mesure les spécifications techniques seront-elles ultérieurement mises à disposition entre les partenaires ? Un accord sur la manière de traiter les droits de propriété intellectuelle (DPI) est élémentaire pour la poursuite du projet et a un impact sur de nombreuses questions individuelles. Par exemple, il déterminera en fin de compte la manière dont l'utilisation des différents composants est organisée. L'entretien et la réparation ne peuvent-ils être effectués que de manière industrielle par le fabricant principal, ou l'accès à la documentation est-il garanti à un point tel que cela peut être fait en grande partie dans les forces armées avec l'aide de la coopération industrielle nationale ? Si seul le fabricant peut et est autorisé à effectuer certaines parties de la maintenance, cela peut affecter l'état de préparation opérationnelle. Ces questions juridiques sont également pertinentes pour les adaptations et les développements ultérieurs tels que l'intégration de nouveaux systèmes d'armes ou d'avionique. Aujourd'hui, l'Allemagne et la France utilisent pour leurs avions des systèmes d'armement différents, en partie purement nationaux. Si certaines parties de la documentation technique restent sous clé, un goulot d'étranglement pourrait également se former ici. Outre ces effets très pratiques, les aspects de la politique industrielle jouent un rôle primordial. Les intérêts allemands sous forme de technologies nationales clés (par exemple, la technologie des capteurs et la guerre électronique) et les intérêts français relatifs à l'autonomie stratégique industrielle nationale (par exemple, la capacité de développer un avion de combat entièrement en interne) sont opposés. L'objectif d'une solution européenne doit être de minimiser, voire d'éviter complètement, les boîtes noires en matière de technologie, comme c'est souvent le cas aujourd'hui avec les importations américaines. Avant que le FCAS puisse passer à la phase 1B et donc au développement des démonstrateurs, ces questions doivent être résolues et fixées contractuellement dans les différents piliers du projet. Berlin et Paris poursuivent chacun leurs propres intérêts (économiques) nationaux en matière de politique industrielle. Le secteur français de la défense est cependant structuré de manière fondamentalement différente de son homologue allemand. L'industrie française de la défense est étroitement liée à l'État et apparaît comme un complexe cohérent. La Direction générale de l'armement (DGA) est le coordinateur suprême de tous les projets d'armement et le point de contact central pour toutes les questions relatives à l'équipement. Cependant, c'est plus qu'un bureau d'achat français. Par exemple, la DGA est responsable d'un pool national d'ingénieurs militaires (corps des ingénieurs des études et techniques de l'armement, IETA), qui sont spécifiquement formés par des missions dans l'armée, mais aussi par des échanges avec l'industrie. Il existe donc un degré de perméabilité beaucoup plus élevé entre l'armée et l'industrie, ainsi que des liens culturels et personnels intensifs. Au contraire, le flux d'informations entre le gouvernement et l'industrie est formalisé et fait naturellement partie de la politique de défense nationale. Non seulement la partie allemande n'a pas de contrepartie institutionnelle à la DGA, mais l'industrie allemande est également beaucoup moins homogène. Ce déséquilibre culturel institutionnel et technique entraîne des malentendus des deux côtés. Alors qu'en France, la DGA, en tant que point de contact, contrôle tout de manière centralisée, de la conclusion des contrats aux questions de développement et d'utilisation, en Allemagne, divers acteurs agissent à la fois sur le plan interne et externe : le gouvernement, représenté par le ministère de la défense et le ministère de l'économie ; la Bundeswehr, sous la forme du Bundesamt für Ausrüstung, Informationstechnik und Nutzung der Bundeswehr (BAAINBw - Office fédéral de l'équipement, des technologies de l'information et de l'utilisation de la Bundeswehr) ; et enfin l'industrie, par le biais d'entreprises individuelles ou de ses organisations faîtières, chacune ayant des rôles et des intérêts différents. Cette différence structurelle favorise la position de la France en général et surtout dans le cas des avions de combat, où elle assure le leadership du développement. En fin de compte, cela montre également que le processus de passation des marchés publics en Allemagne doit être réformé. Sur le concept de "génération" pour les avions de combat Le Next Generation Fighter, le noyau du FCAS, est également décrit comme un chasseur de sixième génération. Elle serait ainsi formellement à la pointe du développement technologique. Les modèles américains F-22 et F-35, par exemple, forment ce qu'on appelle la cinquième génération, actuellement la plus moderne. Les avions de chasse ont longtemps été divisés en générations par les experts. Ce système permet de distinguer les modèles d'avions de chasse sans avoir à traiter à chaque fois les spécificités techniques exactes. La catégorisation est essentiellement basée sur les caractéristiques du stade de développement technique et de la période de développement. La division en générations est donc assez sommaire et devient floue aux transitions entre deux étapes. En outre, les générations en question ne sont pas définies de manière uniforme, ni ne sont des normes généralement acceptées. Il existe même plusieurs approches de la division des générations, dont certaines sont très différentes les unes des autres. En 1990, par exemple, l'historien Richard Hallion distinguait déjà six générations, les modèles alors communs, aujourd'hui obsolètes, tels que le Tornado, le Mirage 2000 ou le F-14 représentant la sixième génération, la plus moderne.
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  15. On finit toujours par payer le prix de la perte de souveraineté d'une manière ou d'une autre.
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  16. Le truc qui me fatigue, c'est qu'on met en avant Erdogan comme si il était apparu du jour au lendemain et que la Turquie subirait ça... Le mec a était élu par des turcs et ils otn été très nombreux dans les diasporas installée Europe et ailleurs à voté pour se bâtard... Donc faire le tri des gentils turcs et des méchants turcs... C'est plus d'actualité ... Quand je vois le sort qu'ils réservent aux arméniens, déjà il y avait eu un signal en 1915... Et pas un petit signal... Faudrait peut être se réveiller... Vu leur continuité à vouloir voler les terres et massacrer les arméniens. On s'est mêlé d'une putain de guerre en Syrie ou on a au final armé est équipé des groupes pseudos démocrates en se basant sur nos pseudos amis qataris & Cie... Au final les gentils rebelles démocrates ont savait déjà qui ils étaient, des putains de djihadistes, des frères musulmans, de la merde en faît ! Maintenant le bâtard de Erdogan va pouvoir installer ses djihadistes syriens en Libye ( là aussi... Bravo...) et en Arménie... Mais pour l'Arménie, rien... Même pas un pansement... On aura vraiment eu la pire des diplomaties depuis pas mal d'années, 3 présidents de suite ... Enfin bref, en Arménie se joue une guerre entre la civilisation et les sauvages car pour moi en face c'est pas une civilisation... La belle affaire entre des ottomans, des frères musulmans et toute la racaille islamiste.... Enfin voilà, faut restait calme face au cirque de se bâtard de Erdogan, mais dès que ça sera possible faudra lui faire des coups de pute, et cela en lui foutant la merde chez lui, le désordre qui fera imploser la Turquie ... Pas besoin de la 3ème guerre mondiale pour se faire. Vu que la diaspora turque vote pour lui dans sa majorité , et bien qu'ils aillent vivre le rêve ottoman chez les ottomans, hop tout le monde en mode charter direction Ankara dernier arrêt tout le monde descend ! Ça lui fera les pieds de ne plus avoir l'argent de sa diaspora qui fait vivre au pays... Et à la diaspora aussi ça leur fera les pieds ! Et pas la peine de me sortir le couplet la démocratie et bla bla bla, le droit européen et je ne sais quoi, quand on voit comment les turcs et leurs pietailles islamiste virent les arméniens à coup de phosphore et de bombe à fragmentation, massacre civils et prisonniers de guerre, même les morts sont "tué" de nouveau quand on s'attaque à leur sépulture ... Donc si vous voyez des gens civilisés après tout ces actes... Avec nous ils auront droit à un repas dans l'avion... Enfin bref, fallait que je me défoule un peu, vu que je viens rarement sur se file. Soutien aux arméniens !
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  17. Le concept initial du char de combat principal polonais de nouvelle génération, après les véhicules T-72M1, a été développé au OBRUM en 1988. Le PT-91 "Twardy" devait être la première étape de la modernisation du T-72 (le suivant PT-94 et aussi le PT-97) menant au développement du char de 3e generation appelé Goryl (Gorille) Plus tard, le nom du programme a été changé en "Anders". Ainsi, le PT-91 polonais est l'ancien T-72 avec l'armure réactive ERAWA et le nouveau système de contrôle de tir DRAWA (créé en 1988, mais était équipé de caméras thermiques israéliennes El-Op). L'armée polonaise a reçu 232 PT-91 (livrés en 1994-2002, dont environ 90 machines entièrement nouvelles). Plus de 60% des chars ont été rénovées et reçu des caméras thermiques polonaises KLW-1 de PCO. Malheureusement, aucune MLU n'a été mise en œuvre, malgré les propositions de l'industrie. Le PT-91"Pendekar", en revanche, était le T-72 le plus moderne en 2003, car il avait de nombreux systèmes occidentaux intégrés, avec des paramètres inaccessibles pour l'industrie soviétique. Par exemple le système de stabilisation 2E28 du T-72M1 a été installé dans le PT-91 polonais. À la distance de 1600 m en mouvement et vers la cible en mouvement, la stabilisation du 2E28 assure une chance de toucher environ 30%, dans le malais PT-91 EPS Albatros et SAVAN15 il fournit déjà plus de 80% des chances. Et l'ancien WNA H22 de Leopard 2A4 - plus de 86% dans les mêmes conditions. Une vision d'un Gorille
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  18. Comme les masques en papier ou les medocs de base ?
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  19. Je ne sais pas si la France l'utilise mais la BLU-116 est désormais aussi compatible sur les GBU-24 et 50 https://aviationsmilitaires.net/v3/kb/externalload/show/1547/raytheon-gbu-24b-paveway-iii https://en.wikipedia.org/wiki/BLU-116 Ce sont des modèles américains mais fabriqués en Europe. On les fabrique en France (groupe Rafaut, à Valenciennes) les corps de bombes Mk81/Mk82/Mk83/Mk 84. OPEX360 a aussi fait état d'une nouvelles sources franco-allemande chez RHEINMETALL : http://www.opex360.com/2020/12/02/la-france-et-lallemagne-commandent-plus-de-2-000-corps-de-bombes-mk82-ep-a-rheinmetall/
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  20. ‘Bunker buster’ for Rafale: Fighter tests 1,000kg version of HAMMER missile https://www.theweek.in/news/sci-tech/2020/12/12/bunker-buster-for-rafale-fighter-tests-1k-kg-version-of-hammer-missile.html
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  21. On peut voir deux aspects : Sachant les hésitations des US pour livrer des F35 et avec quelles performances, les EAU ont tout intérêt à leur mettre la pression en "discutant sur le Rafale". Sachant que le F35 n'est pas spécialisé en supériorité aérienne et que, avec un faible rayon d'action, il n'est pas plus spécialisé en intervention Air/Sol à distance, il est logique qu'ils cherchent un complément au f35.
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  22. J'entends bien mais cette publicité autour des discussions sur le Rafale arrive à un moment où les UAE aimeraient infléchir la position US et obtenir enfin des F-35, contre l'avis d'une partie des cadres de défense israéliens ou américains, probablement contre l'avis de pas mal de démocrates également, juifs ou pas. Bref : agiter le spectre d'une vente de Rafale aux UAE est un bon moyen pour ces derniers de forcer les USA à acquérir le F-35 tant que Donald est encore à la Maison Blanche, sachant que ce sera plus compliqué ensuite (renégociation des rétro-commissions...).
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  23. Autres nouvelles du LCA60T ( Large Capacity Airship with a 60 tons payload ) avec un article dédié par Air & Cosmos n°2713 du 05/12/20 Un des + grands dirigeables jamais construits Premier vol fin 2023. Marché mondial estimé de 800 appareils ( marché doublé en 2 ans ). 3 fois la capacité ( en volume ) d’un AN-225. Au terme de nouveaux compromis : Il a grossit : 200 m de long, Soute de 96 m de long, diamètre externe : 50 m . Soute de 3600 m3 Vol de croisière à 100 km/h. Supportera des vents de + de 40 km/h. Autonomie : 1000 km Containers, Grumes de bois et pales d’éolienne seront dans ses capacités. Charger et décharger en vol stationnaire une masse de 60 T. Altitude de croisière à 3000 m Pour cela propulsion hybride première mondiale de 4 MW, distribuée en 4 turbogénérateur de 1 MW, chacun alimentant 7 points de propulsion dont 4 verticaux, 2 longitudinaux, 1 en latéral. En tout 32 hélices à 3 pales ( 4 générateurs * 7 points => 28 … + 4 apparus là ! ) et les treuils. AU futur : évolution vers techno de piles à combustible La structure est un jeu modulaire à partir de 50 références différentes maxi. Ossature couverte de panneaux de textile technique Durée de vie : 30 ans à 230 j/an d’utilisation Construction à Laruscade ( Gironde ) de 2 hangars de 240 m de long * 60 m de haut. 1 LCA60T par mois avec 300 personnes. Flying Whales Industry. Vers un deuxième simulateur pour al formation. Développement : 1 premier de série en 2023. 15 mois de tests suivront. Certifications prévues : européenne, canadienne et US, puis Chine. Ensuite 3 usines de production( Gironde, Canada, Chine ). Premier utilisateur prévu : Flying Whales Services ( soit même ) Clients prévus : ONF ( 5 à 10 machines ). ArianeGroup : récupérer Themis en automatique ( x centaines de km ) et le ramener à Kourou Themis : démonstrateur de fusée bas coûts réutilisable Marché mondial estimé de 800 appareils ( marché doublé en 2 ans ) https://www.lesechos.fr/pme-regions/innovateurs/flying-whales-ouvre-son-capital-a-adp-bouygues-et-air-liquide-1155366 => 8 systèmes d'hélices par turbogénérateur, que bizarrement on ne voit pas tous sur les images ... http://www.portail-aviation.com/blog/2016/11/02/avic-g-a-entre-au-capital-de-flying-whales/ Sa portance assurée par l’hélium, combinée à ses capacités de propulsion vectorielle, lui évite les décollages et atterrissages conventionnels, s’affranchissant de pistes et minimisant sa consommation d’énergie. belles perspectives dans le transport exceptionnel comme par exemple celui des pales d’éoliennes, des pylônes haute-tension, ou encore de maisons préfabriquées. l’entrée du groupe Marocain MARITA au capital de FLYING WHALES....le désenclavement économique des régions dont le développement est freiné par le déficit d’infrastructures de transport. C’est l’ambition du partenariat qui lie par ailleurs FLYING WHALES et le Maroc pour le continent africain. http://flying-whales.com/fr + Wiki => Partenaires: En plus des collectivités territoriales (région Nouvelle Aquitaine) ou des organismes étatiques (Bpifrance, Québec) ; Flying Whales compte également l'avionneur chinois Avic, qui est entré au capital de la société en Octobre 2016, parmi ses partenaires. L’ONERA, a contribué aux études aérodynamiques, que ce soit la dynamique de vol ou les contraintes environnementales (vent, pluie, neige) qui peuvent être problématiques sur une structure aussi volumineuse. Les sociétés Epsilon Composite, Zodiac Aerosafety Systems, REEL et Tecalemit Aerospace ont étudié quant à elles, la réalisation de la structure en composite, les enveloppes, le système de gestion de la charge utile et les systèmes de ballastage. En décembre 2019, la société annonce l'entrée dans son capital de trois investisseurs français importants : le Groupe ADP, Bouygues et Air Liquide.
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  24. Le souci c'est qu'un SSK a l'australienne ça coûte presque autant que le coût marginal d'un Suffren... Et un equipage de SSK c'est aussi cher qu'un équipage de SNA...
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  25. Plutôt d'accord avec @Tancrède sur le business model qui permet aux grand groupes multimedia de survivre: les investisseurs sont passés en mode d'appréciation start-up. Dans cette logique ce qui compte, ce n'est pas la rentabilité, mais la conquête des parts de marché. Tant que la bourse y croira les grosses sociétés garderont la tête hors de l'eau. A commencer par le leader - Netflix - et le challenger - Disney+. Disney semble changer un peu sa politique et, comme son concurrent, miser sur la sortie d'une quantité importantes de nouveautés. C'est bien, ça leur permettra de palier aux inévitables faux-pas. Il faut espérer que Disney saura se montrer suffisamment réactif pour couper à temps les branches mortes, mais ils vont sans doute disposer d'un droit à l'erreur. Ça leur laissera le temps de gérer la guerre civile larvée évoquée par @Tancrède au sein de LucasFilm. Par contre, il va falloir s'attendre à des coups bas. Cependant, cet engouement de la bourse n'aura qu'un temps. Comme toutes les bulles, elle va finir par éclater. A ce moment là, les investisseurs vont sans doute redécouvrir Amazon, et se demander si leur modèle ne présente pas aussi un intérêt. Si le groupe de Jeff Bezos possède vraisemblablement avec Amazon Prime le plus gros service d'abonnement au monde, au delà des rentrées d'argent mensuelles, ce qui fait sa force, c'est sa capacité à collecter les données de ses abonnés. Dans cette optique, je crois que la rentabilité des séries qu'il diffuse passe au second plan derrière les possibilités de corrélation qu'elles lui apportent. Par exemple proposer des romans sur Star Trek à l'abonné qui ne loupe pas un épisode de Picard. Cela fait partie de la logique d'Amazon Prime: proposer un maximum de services, pour qu'il y en ait au moins qui attire le client et le pousse à s'abonner. Ensuite il se retrouvera coincé dans un écosystème qui tendra à s'adapter à ses besoins, voire à les deviner (ou à les orienter) C'est malin, c'est redoutable voire dangereux, c'est Jeff Bezos. Même si je ne vois pas d'autre société capable d'atteindre un tel niveau de synergie, on ne peut pas exclure des variantes de ce modèle où l'un ou l'autre des services de streaming se verra inclus dans une offre plus globale. On le voit un peu, par exemple, avec Netflix proposés pas défaut dans certains abonnements de Free. Dans cette logique, visant avant tout à offrir la plus grande diversité de prestations pour amener le consommateur à s'abonner, la tranche des cinéphiles, amateurs assidus de salles de ciné constitue une niche à ne pas négliger. Pas pour l'argent qu'ils rapportent en fonction des séances, mais pour ce que leurs choix de visionnage révèle sur leurs habitudes de consommation. Sans compter le coté événementiel, qui fournira de la publicité gratuite et poussera les gens à s'abonner. Pour rester dans le sujet Star Wars, on peut imagient que Le Mandalorien poursuive sur sa lancée, et que, dans quelques années, les producteurs, décident de conclure la série par un film. S'ils annoncent un certain nombre d'avant-premières, accessibles uniquement aux abonnés Disney+, on peut parier que les fans s'abonneront, juste pour faire partie des premiers spectateurs (ça les changera du téléchargement illégal le lendemain de la sortie des épisodes) EDIT: post publié accidentellement trop vite, tout à l'heure. Je viens de finir de le compléter.
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  26. Moi j'attend de voir quand les pecheurs francais auront bloquer le traffic trans manche avec leur navires via un blocus des ports. Et que le gouvernement francais ne se presse pas pour les deloger; Mettre des bateaux en travers d'une passe c'est facile et si les dockers se mettent avec eux on va bien rigoler .
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  27. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles les tendances en cours peuvent se prolonger un moment: - l'absence de changement de mentalités des dirigeants et de tout l'écosystème hollywoodien, qui considère quoiqu'il arrive que deux choses ne manqueront jamais parce que, dans leur tête, ça leur est du: une audience qui bouffera tout ce qu'ils veulent produire, quelle qu'en soit la qualité, le contenu.... Et des masses de fric infinies. La dernière décennie, à cet égard, n'a fait que les confirmer dans cet état d'esprit: l'ère des méga-films de super-héros et des (tentatives de) franchises multi-films avec déclinaisons en séries (et autres produits) a vu beaucoup, vraiment beaucoup, de "dumb money" (par la dette et une mentalité "ruée vers l'or" de financiers peu regardants) se déverser sur ce petit monde, ce qui n'a été qu'amplifié par le démarrage de la guerre du streaming - cette guerre va justifier, au moins pour un temps, des investissements massifs à perte: on est dans la phase de conquête des parts de marché, et de concurrence exacerbée de services cherchant à exister dans ce média du futur (beaucoup de morts en cours de route à attendre), et surtout, dans la phase de quête de l'ascendant culturel/psychologique qui va déterminer quels seront les 2-3 services qui deviendront les "bases" de quasiment tous les domiciles, ceux qu'on prend quoiqu'il arrive avant de réfléchir et voir si (sous réserve de budget suffisant) on prend un service "complémentaire", et/ou si on "zappe" d'un service complémentaire à un autre selon le mois. Et déjà, Netflix et Disney sont, de loin, en tête de peloton, loin devant le très mal nommé Peacock (Comcast/NBC/Universal), et encore plus loin devant le nouvellement controversé HBOMax (AT&T/Warner/HBO) et le reste (AppleTV dans les choux, CBSAllAccess...). A noter l'inconnue que représente AmazonPrime, difficile à évaluer/chiffrer à l'heure actuelle étant donné sa particularité (complément d'un service commercial). Mais dans l'ensemble, aux USA, il y a en ce moment une bonne douzaine de services, représentant des dizaines de milliards d'investissement (avec croissance exponentielle des coûts) qui s'ajoutent à des dettes accumulées déjà monumentales. Et seul Netflix semble avoir, à ce stade, trouvé un premier genre d'équilibre, permettant, au moins en apparence et pour l'instant, de gérer leur énorme dette, sous réserve qu'ils puissent continuer à produire assez de trucs originaux qui plaisent, quand les derniers produits (séries essentiellement) qu'il diffusent encore au nom d'autres (encore nombreux, et représentant encore une part très significative de leur traffic) seront retournés dans le giron de leurs propriétaires (dans les 2 années à venir pour l'essentiel). - la possibilité, pas encore écartée, voire même renforcée depuis 1-2 semaines, d'un plan de subvention massif pour les studios et les salles, qui prolongerait l'état d'esprit existant, les mauvaises habitudes, la tendance à la surdépense, le maintien de business models qui ne marchent plus... - la stratégie que tout le monde semble avoir adoptée est "flood the shelves": de la surproduction effrénée tablant sur le fait qu'on est désormais dans une ère d'audiences de niches spécialisées, que la qualité ne paye pas autant qu'on veut le penser et ne se perçoit pas à l'avance, que l'effet quantité (choix) est réel, et qu'il faut de toute façon, dans le monde du streaming, sans cesse avoir du nouveau, qui justifie de ne pas lâcher un abonnement d'un mois sur l'autre. Et sachant qu'Hollywood est complètement monoculturel, ça ne laisse de chance de non conformité intellectuelle que du côté des productions étrangères auxquelles Netflix recourt de plus en plus: les autres suivront-ils? Dans le fil de la dernière remarque, outre le fait que Netflix semble le modèle que les autres essaient de copier, les derniers choix de Warner semblent indiquer qu'il y a de fortes pressions (chez AT&T, qui se fout éperdument des préférences du milieu du ciné et a une grosse dette à repayer) pour se dégager, au moins partiellement, de la "cour" de l'entertainment US, où tout tourne autour des 3 grandes agences de représentation des "talents" (acteurs, réalisateurs, auteurs stars...), et dans une moindre mesure des "guildes" des métiers (écriture, métiers techniques... Des syndicats monopolistiques dans leurs spécialités), sans qui rien ne se fait. C'est ce petit milieu qui râle comme un putois, souvent dans la presse, depuis l'annonce de Warner. Pour Disney et SW, on voit juste plus de formes mises autour de choix assez similaires à ceux de Warner: tous les studios savent que le système des salles sera fini en tant que mode de diffusion massif permettant de rentabiliser des gros films et des grosses franchises. Une Amérique du Nord avec des sorties d'un seul film sur 3 à 5000 écrans (seule façon de justifier des films à 150 ou 200 millions, ou plus), c'est déjà du passé. Et le niveau de concurrence des sites de streaming semble indiquer qu'il ne serait pas très malin d'augmenter les prix au-delà de 15-16 dollars/mois, ou de forcer sur la VOD pour beaucoup de sorties, même s'il semble que ce soit bien ce que Disney soit déjà en train d'essayer de faire, sous diverses formes (ce qui révèle à quel point ils doivent être pressés côté fric).
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  28. Sortez le popcorn : Un fichier avec 2 millions de membres du PCC vient de fuiter et ils ne sont pas que en Chine: https://www.skynews.com.au/details/_6215946537001
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  29. Il est surtout dépourvu des poncifs et des stéréotypes auquels nous avons eu droit jusqu'alors mais il n'oublie pas de faire l'impasse sur le démonstrateur Neuron.
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  30. C'est d'ailleurs étrange que cette désignation ait été acceptée. Si on prend l'exemple des munitions américaines on trouve 1 exemple d'erreur de nommage : l'AGM-62 walleye, qui est une bombe planante guidée non propulsée (bref, une GBU) et n'aurait donc pas due être classée dans les missiles (AGM). La même erreur a failli être faite pour la GBU-15 (non propulsée) que l'USAF voulait initialement nommer AGM-112 ce qui lui fut refusé. La version propulsée de la GBU-15, développée 20 ans plus tard, sera correctement classée dans les missiles et nommée AGM-130 Enfin, la version propulsée de la GBU-16, est également correctement classée dans les missiles A2G sous la désignation AGM-123 On ne peut pas faire plus clair : une GBU à laquelle on colle un propulseur devient un AGM :
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  31. C'est sûr que la mise en réseau avec des sémaphores serait plus difficile qu'avec des Datalinks.
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  32. Oui, la citation d'Einstein sur la 3eme guerre mondiale vient à l'esprit à la vue de telles images. 2020 n'en finit plus de ne pas vouloir finir.
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  33. Mon allemand est un peu rouillé mais dans la définition des générations j'ai du mal à comprendre la différence entre Datenlink (liaisons de données) et Vernetzung (mise en réseau). Et puis mettre supercruise avec le F-35 ça me semble discutable. Bref c'est pas top comme classification. Si les US arrivent à leur fins sur la 6e génération ils auront plusieurs incréments avec des plateformes différentes, et elles seront caractérisées par un moteur 3 flux (comme le moteur du NGF je crois) et puis après par des lasers intégrés (jamais mentionnés pour le SCAF par contre).
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  34. Sérieusement... Rien que l'abandon du JCPOA avec l'Iran par Trump et sa bande indique à quel point les politiques peuvent changer en fonction des dirigeants. On pourrait aussi donner, comme exemple de changement radical induit par un changement de gouvernant, l'indépendance de l'Algérie ferment décidée par de Gaulle à son retour aux affaires. Ou le Brexit ! Et on peut en trouver d'autres. Que certains invariants (proximité géographique, linguisitique...) demeurent dans les déterminant des politiques étrangères : soit. Que les gouvernants n'aient jamais aucun rôle : pas d'accord. C'est vraiment du rabâchage de talking points confortables mais faux.
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  35. Faut pas croire en Russie, on a tendance à masquer les chiffres afin de servir la cause politique qui a besoin du "tout va bien chez nous, ailleurs c'est le chaos" pour pouvoir persister et ne pas être contestée par le peuple. Avant même les conséquences du covid sur la population, c'était déjà acté, tout ce que fera Poutine et son gouvernement seront les plus appropriées, il faut donc que derrière ça colle, il faut que le pays affiche de bons chiffres pour mettre en avant la bonne "gestion de crise" par le pouvoir. Idem pour le vaccin, être premier à tout prix quitte à sauter des étapes, pas grave. Pourtant il ne faut pas être naïfs, la population russe est comme en Europe, plutôt vieille, de plus son espérance de vie est réduite pour diverses raisons, donc des vieux en moins bonnes santé qu'ici. De nombreux foyers sont très peuplés avec parfois plusieurs générations ou fratries sous le même toit, vieux et jeunes ensembles. Le système de santé publique n'est pas au top et ce n'est pas en voulant faire un super hôpital comme les chinois, ultra médiatisé pour donner le sentiment que le pouvoir "agit" qui change la donne, bien au contraire, c'est l'expression d'un système qui ne tient pas la route, c'est un arbre qui cache la forêt. Donc il est fort intéressant en Russie de rechercher au delà de la voix officielle. Chez nous autant il y a une abondance de chiffres dans lesquels on va se perdre et interpréter diverses choses, quitte même à mettre sous le coup du seul Covid certaines morts certaines et imminentes, mais il n'y a pas une volonté politique de cacher des morts sous la paillasson comme dans certains pays, comme la Russie.
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  37. En faite les états arabes devraient faire exactement l'inverse reconnaissance d'Israël, et multiplier les actions diplomatique dès qu'israel dépasse les bornes, mais peut être que certains n'ont pas trop envient... Histoire qu'on ne viennent pas trop les embêter avec leurs propre turpitudes...
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  38. Après le NIGER, application au MALI ! ... Dans la région de Gossi et Tombouctou, les soldats de la Force Barkhane et les FAMa patrouillent ensemble, de jour comme de nuit,
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  39. C'est encore en HS, mais en quoi ne PAS AVOIR de relations diplomatiques avec Israël a aidé la "cause palestinienne" qui est dans l'imaginaire collectif arabe la cause de la brouille entre les deux entités? Cela n'empêche pas ensuite les remarques et sanctions sur la politique de ce pays. Est ce l'Union Européenne a coupé les ponts avec la Russie après l'affaire de la Crimée par exemple ?
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  40. Je me suis fais "scotché" la gueule dans un porche d'entrée par la BAC du 6ème un soir en rentrant du foot dans les beaux quartiers de lyon, cours Vitton. J'avais repérer leur manège, il pleuvait des trombes sur Lyon et peu d'activité pour eux. J'en ai tiré, à posteriori, le fait qu'ils s'emmerdaient... Le fait du temps et de la ville déserte normalement animée autour du centre ville. Ils sont passé une fois en sens unique, ont contourné pour revenir et me sauter dessus. J'avais le tort de porter la capuche et un gros sac de sport rempli d'affaires qui puait la mort conséquence d'un match de foot -transpiration et pluie masserée-. Brutal. Pas un "bonsoir police, vos papiers" ou un brassard, rien qui n'indiquait l'intervention de la police. Il a fallut que je jette mon sac à terre devant moi et dans la course du baqueu qui sortait porte arrière pour stopper son élan et ne pas trop ramasser. Ce petit jeune de l'équipe qui m'a demandé de jeter ma clope alors que j'avais les bras en l'air, qu'à quatre ils m'entouraient et leur genoux dans le dos pour m'assurer un déséquilibre permanent, la tête dans le porche. Fouille en 2 minutes chrono d'affaires qui puent - mon plaisir !!! - fouille aux parties mais papiers en règle et politesse de mise pour ma part. Je leur ai signalé la brutalité du contrôle, pas même un "police". En toute réponse un "dégage" ferme et définitif. Bref, c'était pas nécessaire, ce soir-là j'etais une merde ! Je tiens à signaler que je viens d'une famille où mieux eut valu pour moi que je parte en prison plutôt mon père vienne me chercher en garde à vue. Réellement.
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  41. Je pense que c'est parce qu'un porte-avions avec moins de 6 Rafale, c'est vraiment beaucoup moins performant qu'un gros PA. Sur les 6 Rafale, il faudra en conserver 1 pour assurer la mission nounou. Vu que c'est une mission "vitale", qui pourrait être encore plus souvent nécessaire qu'avec des PA classiques disposant d'une surface de pont et de parking plus importante, il faudra donc en conserver 2 pour palier une éventuelle indisponibilité. On sera donc bloqué à des raids de 4 avions si on peut supporter une ponté de 5 avions (avec un sixième encore présent sur le pont). En pratique, on n'aura pas une disponibilité de 100%, une disponibilité de 85% laissera un Rafale HS (peut-être au dernier moment) donc on se retrouvera avec seulement 3 Rafale de disponible pour un raid. Il sera presque impossible de planifier des opérations nécessitant un raid de plus de 3 avions. Ensuite, j'ai peur qu'il ne soit pas économiquement raisonnable d'avoir une catapulte pour seulement 3 avions. On risque donc de devoir envisager des décollages STOBAR, probablement depuis une piste assez courte et peut-être même depuis un navire relativement lent. Donc les avions devront se limiter à une masse au décollage relativement réduite. Si on veut faire un raid un minimum loin, il faudra donc prévoir un ravitaillement en vol post décollage. On se retrouve donc à déployer un porte-avions léger pour organiser un raid de 2 Rafale M. Et évidement pendant qu'on organise notre raid, on a aucun avion de disponible pour assurer la défense aérienne de la flotte. Un porte-avions STOBAR dérivé d'un navire amphibie risque d'être limité des raids très peu performant. Pour ça, un PA STOVL serait plus performant vu qu'il permettrait de ne pas avoir besoin de prévoir une nounou vu qu'il n'y a pas de risque d'imprévu à l'appontage. Donc avec 6 F35B, on pourrait planifier un raid en autonomie de 5 F35B. Alors qu'avec 6 Rafale, on se retrouve presque limité à 2 Rafale. Le porte-avions léger STOBAR (ou CATOBAR) limité à 6 Rafale n'apportera pas un véritable gain opérationnel. L'armée de l'air pourra faire presque la même chose avec ses ravitailleurs et en opérant depuis une base éloignée. De ce point de vue, il ne sert à rien. Bon, on peut aussi réfléchir différemment. Si le porte-avions léger opère en complément d'un autre PA ou pas trop loin des ravitailleurs de l'armée de l'air, la question de la nounou pourra être mise de côté et on retrouve les 5 ou 6 Rafale de disponibles. Mais dans cette situation, le porte-avions léger permet "juste" d'économiser des heures de vol mais n'offre pas de capacités. On peut aussi se dire que des raids de 2 avions, c'est la norme pour les détachements de l'armée de l'air. Donc qu'un PA se limite à cette capacité, c'est déjà énorme.
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  42. Future Combat Air System: Too Big to Fail edit: je viens de le lire et je vous le recommande, sans doute le meilleur article sur le sujet paru chez les Allemands.
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  43. Soit dit en passant, le Maroc ne va pas très bien non plus. M6 achète aussi sa tranquillité en se vendant aux Américains... du moins il espère l'acheter.
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  44. Source OCDE ; la comparaison a l'air sophistiquée (même si ça n'est pas du PPP) : Abscisse : dépenses de santé par individu (citoyen ? résident?) incluant les dépenses personnelles, d'état, de sécu... J'ignore si les actions de préventions y sont en tout ou partie. Ordonnée : âge moyen des décédés ("espérance de vie"). Ouille. Bon : il n'y a que des pays "comparables", donc pas de BRIC & Co.
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  45. Déjà il y beaucoup de hors sujet alors si on se met à parler du F-35 ici on va pas s'en sortir. ---> []
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  46. Airbis vient de déposer 2 nouveaux brevets pour des avions "Zéro Emission", fonctionnant à l'Hydrogène, dotés de piles à combustibles et de moteurs électriques rechargeables. Voici les 2 avions concepts > Source : https://www.lefigaro.fr/societes/aile-volante-avion-electrique-rechargeable-comment-airbus-prepare-l-avion-du-futur-20201211 (N'étant pas abonné au journal je ne peux pas lire plus que l'introduction de l'article...)
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  47. Voici le cours de la livre turque en euro sur les cinq dernières années. On parle de -20% / an en moyenne, quand même. Ca c'est plutôt le contexte général, l'une des causes de la contestation, que Erdogan cherche à contrebalancer avec ses aventures extérieures et son nationalisme agressif. La question pour lui, c'est s'il parvient à augmenter sa popularité. Mais ça ne semble pas être le cas. Il a le support d'une partie importante des Turcs, mais qui pourrait être insuffisante pour une réélection en 2024. Bon sa popularité reste supérieure à celle de Macron en France... mais pas dans les mêmes conditions, la liberté de contester et la variété de l'information semblent quand même nettement meilleures chez nous. Quant à la puissance militaire de la Turquie, Erdogan l'a beaucoup diminuée en conduisant son pays vers une sorte d'isolation : - Etre sur la brèche partout en permanence, Anatolie orientale contre les Kurdes, Syrie contre les Russes, Méditerranée orientale contre Grecs et Français, Libye contre Russes, Egyptiens et Français, c'est peut-être glorieux et tout, mais ça use. Alors on peut se défouler sur les Arméniens et pousser à l'épuration ethnique du Haut-Karabagh oui, mais est-ce que ça compense ? - D'ailleurs, du point des gains réels et concrets, qu'ont donc produit les aventures méditerranéennes ? Y a t il du gaz en production ? Ou du moins découvert ? Les autres pays ont ils accepté une extension des zones d'exploitation de la Turquie ? Non. Et il n'y a guère de raison que ça change - Produire les efficaces drones Bayraktar sera plus difficile à l'avenir... vu que le Canada refuse maintenant d'exporter les capteurs du drone qu'il fabriquait. De même, les Etats-Unis ont décidé de ne plus exporter d'armes "trop" avancées vers la Turquie. Quant au projet turc de char avancé "indépendant", on comptait quand même sur les Allemands pour la transmission - ils ont dit non - et pour le blindage sur les... Français. Ca serait bien que Erdogan le redemande à Macron d'ailleurs, ça ferait un peu de détente à bon marché pour notre président ! Quant aux U214 à propulsion anaérobie que l'Allemagne est en train de construire pour Ankara, la Grèce - et d'autres sans doute - demandent avec insistance à Berlin d'y renoncer... à voir ce que Merkel décidera Ben oui, quand on se fâche avec tout le monde, alors qu'on n'est même pas indépendant militairement... les beaux projets d'armement, ils prennent du plomb dans l'aile ! C'est ballot, hein ? Si les Turcs se trouvent un dirigeant plus raisonnable en 2024, il aura du pain sur la planche pour remonter la pente ...
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  48. KK a présenté le futur de Star Wars : Un nouveau film de la saga « Star Wars » annoncé pour 2023 . Le nouvel opus de la saga mythique s’appellera « Rogue Squadron » et sera réalisé par Patty Jenkins, la première femme aux commandes d’un long-métrage de la franchise. (je cache le reste de l'article, car il est assez complet, mais je risque de toute façon de spoiler beaucoup de choses dans ce post) Parmi les bonnes infos, je note le retour de Hayden Christensen, pour incarner Dark Vador, dans la série sur Obiwan Kenobi. Je suis curieux de savoir comment ils vont résoudre les problèmes de continuité, puisque je pensais que les deux personnages ne s'étaient pas revus entre "La revanche des Siths" et "Un nouvel espoir"? Je regarde aussi avec bienveillance la série "Rangers of the New Republic" puisque développée par Jon Favreau et Dave Filoni, ou l'idée de faire converger les intrigues de plusierus séries. Par contre j'avoue ma réserve sur "Lando" , chapeautée par le créateur "Dear White People", et mes interrogations sur Ahsoka Tano ou sur un film réalisé par Patty Jenkins (Wonder Woman). Au final, ce sont les abonnements à Diseney+ et donc la satisfaction des fans qui feront la différence. Au moins, il y aura suffisamment de série pour qu'on ait une chance de trouver quelque chose de correct dans le tas.
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