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Bernard Gray, qui était en charge des négos UK-FR sur FCAS jusqu'en 2016 et voyait favorablement la coop avec la FR, se fritte avec Jon Lake sur Twitter (qui se cache derrière son compte). Tout de suite je lui rappelle ses articles bidonnés des années 2010s, il réplique en accusant Dassault de corruption en Inde. Je le démasque et engage le combat avec un fox3.6 points
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Excellente interview de Tatiana Stanovaya dans le New Yorker. Elle est chercheuse rattachée à l'excellent institut R.Politik, spécialisé dans l'analyse du monde politico-institutionnel russe, aux tarifs d'abonnement malheureusement prohibitifs. Elle y revient, tout en nuance (en dépit du titre racoleur de l'article), sur les fissures discrètes qui apparaissent entre un camps "modéré" et un camps ultra-patriote, sur fond de défiance grandissante, des deux côtés, vis-à-vis de Poutine, trop despotique pour les uns, trop mou pour les autres. Son analyse de l'effet des sanctions est aussi intéressante : elles ne provoqueront ni ruine économique (une stagnation, plutôt) ni soulèvement populaire (au contraire, elles soudent le pays), mais leur simple existence participe à radicaliser le régime, et donc à l'affaiblir en "[créant] des motifs d'erreurs de calcul et [diminuant] la compétence de la bureaucratie, conduisant à des choix irrationnels et erronés". https://www.newyorker.com/news/q-and-a/why-russian-elites-think-putins-war-is-doomed-to-fail6 points
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Interception Kinzhal russe par Patriot : développements sous le premier message6 points
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Il y a, cependant, dans ces phénomènes, un problème à deux étages. Celui du culte qui dérape en fétichisme. Le culte, en acte de mémoire, est une forme d'élévation, qui sépare, effectivement, l'homme de l'animal (même si de telles manifestations sont aussi apparues chez des animaux). Probablement davantage parce qu'il montre une forme de conscience de la vie, de sa fragilité, de la mort et de sa permanence, mais aussi de la persistance des actes de la vie par delà la mort. Mais le faire tourner au fétichisme, le brandir comme un totem et un tabou, est une négation de l'acte de conscience qu'il représente. C'est le degré zéro de l'élévation et un retour cinglant vers l'obscurantisme et à une forme d'animalité : celle des moutons obéissant servilement et sans conscience à l'objet (et l'animateur) du culte.3 points
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Oui selon l’audition de l’amiral Vandier. Perso je ne comprends pas trop le concept. Ca fait un peu usine à gaz pour développer des petites équipes avec des compétences qui ne sont même pas facilement transposables ailleurs… à part faire des ronds dans l’eau ces réservistes vont faire quoi exactement? Et de toute façon le littoral ce n’est pas plutôt le domaine de la Gendarmerie Maritime? Au doigt mouillé, on ferait peut être mieux d’utiliser ces réservistes pour former des « équipage B » complets sur les patrouilleurs P.O. et POM sur chaque façade + DOM-TOM. Même s’ils n’assurent que 3-4 entraînements courts par an avec une patrouille de 1-2 semaines ce serait bien mieux pour developer les compétences et un réservoir humain pour faire tourner les équipages en cas de conflit.3 points
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L'entreprise d'armement Rheinmetall développe et teste en Suisse des armes qu'elle fait fabriquer en Italie. Celles-ci sont ensuite livrées en Ukraine, alors même que la Suisse interdit la vente d'armes à des pays en guerre. Il s'agit de deux systèmes de défense antiaérienne développés par Rheinmetall Air Defence, dont le siège social est à Zurich. La valeur totale du matériel qui sera livré d'ici à la fin de l'année est de 183 millions de francs. "Nous confirmons que Rheinmetall livrera à l'Ukraine d'ici à la fin de cette année deux systèmes Skynex"*, a indiqué dimanche le porte-parole du fabricant d'armes Oliver Hoffmann. Il confirmait ainsi une information parue dans la "Sonntagszeitung". Ces systèmes sont produits puis livrés depuis Rome où se trouve le site italien du groupe, poursuit le porte-parole. https://www.rts.ch/info/suisse/14004018-des-armes-developpees-par-lentreprise-suisse-rheinmetall-seront-livrees-en-ukraine.html *https://www.rheinmetall.com/en/products/air-defence/air-defence-systems/networked-air-defence Ceci est autorisé par une disposition spéciale de l’ordonnance sur le matériel de guerre, selon le Secrétariat d’État à l’économie. L’article 7 y règle le transfert du savoir-faire en matière de matériel de guerre de la Suisse vers d’autres pays. La plupart des pays européens, dont l’Italie, figurent sur la liste. Cette faille permet aux canons Skynex produits en Italie, mais par la société basée en Suisse, d’être envoyés en Ukraine. https://www.blick.ch/fr/news/monde/le-systeme-est-fabrique-en-italie-des-canons-produits-par-une-societe-suisse-seraient-utilises-en-ukraine-id18554141.html3 points
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Du nouveau du côté du XQ-58A Walkyrie Notamment un prix unitaire de 6,5 m$ qui pourrait encore baisser à 4 m$. https://www.thedrive.com/the-war-zone/marine-xq-58-valkyries-will-be-electronic-warfare-platforms-for-f-353 points
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Ce qui aurait pu être un ancêtre du Griffon : le camion blindé Berliet-Lorraine https://www.chars-francais.net/2015/index.php/22-les-units-blindes/1945-1990/3324-berliet-lorraine3 points
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Et à noter que si les Italiens ne sont pas réputés pour leur aisance en langues étrangères, les tessinois sont ceux qui maîtrisent le mieux les 3 principales langues nationales d'après mon expérience (les romands étant probablement les plus faibles). On peut arguer que la notion de dialectes sous une langue-toit n'étant pas connue dans l'aire francophone, à contrario de l'italien et de l'allemand, ne doit pas aider non plus . Quant à l'ancrage du Tessin en Suissse, c'est logique, la Suisse étant une communauté politique avant tout et depuis toujours, l'argument ethniciste n'a pas vraiment court.3 points
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Je ne me risquerais pas à évaluer le risque de dommage cataclysmique pour un impact hypothétique, que l'on ne peut pas franchement quantifier, sur une structure dont on ignore tout ou presque. Je me borne à évaluer le plus probable : une déviation par le souffle ou l'impact de masse faible ou un impact indirect (pas plein-fer) sur un missile dont la structure est très probablement bien plus dense et rigide que pour les tubes bien légers auxquels nous sommes habitués pour les vitesses classiques de Mach 2 à Mach 4 (les efforts ne sont plus les mêmes vu la section). Et le missile hypersonique, mis en dérapage par un tel "impact", a de forte chances de finir incontrôlable (ce qui n'exclut pas la possibilité qu'il se disloque). Dans tous les cas, l'impact au sol, qu'il soit entier ou en morceaux, a peu de chances d'être hypersonique.3 points
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A Cherbourg, un puzzle de 700 000 pièces à assembler pour chaque sous-marin nucléaire Barracuda Naval Group va livrer à la Marine nationale un sous-marin nucléaire d’attaque tous les deux ans d'ici à 2030. Un exploit qui mobilise 2 500 salariés, des moyens industriels hors normes ainsi que le savoir-faire artisanal de ses techniciens. Un chantier industriel unique en France. Dans l’un des immenses halls d’assemblage du site de Naval Group à Cherbourg (Manche), des tronçons de coques de sous-marins attendent d'être solidarisés les uns aux autres. Il s’agit de tranches d’acier gigantesques, semblables à des immeubles d'une vingtaine de mètres de long et d'une dizaine de hauteur. Pour préparer ces colossales sections d’acier à recevoir leurs équipements, les opérateurs du groupe grimpent sur des échafaudages de cinq ou six étages. Il faut dire qu’il sort de ce chantier des monstres d’acier : les sous-marins nucléaires Barracuda destinés à la Marine nationale. Des navires longs de 99 m avec un tonnage de 5 000 tonnes. Le chantier a passé fin avril un jalon important. «Les ultimes tronçons du dernier Barracuda ont été produits», se félicite Jean-Michel Merat, le directeur de l'usine, qui compte environ 5 000 salariés. Cette fabrication minutieuse s’inscrit dans une longue tradition, unique en France : plus de 108 sous-marins ont pris vie à Cherbourg depuis le Morse, en 1899 ! 2 500 personnes mobilisées par le programme L’histoire n’est pas près de s’arrêter. Les salariés du site travaillent à la construction des quatre derniers sous-marins nucléaires d’attaque (SNA) de la série des Barracuda. «Aujourd’hui, c’est environ 2 500 personnes dont 800 chez nos partenaires qui sont occupées à plein temps sur ce programme », précise Hervé Glandais, directeur du programme pour Naval Group. Les deux premiers exemplaires sont déjà à la mer. Le premier de série, le Suffren, est entré en service il y a un an. Le second, le Duguay-Trouin, a quant à lui effectué sa première sortie en mars dernier. Les quatre navires restant à produire sont à des états d’avancement bien différents. Le troisième navire, le Tourville, a été jonctionné entièrement et a accueilli sa chaufferie nucléaire. Quant aux trois derniers exemplaires (le De Grasse, le Rubis et le Casablanca), leurs tronçons commencent à être réunis pour former des secteurs ou à recevoir leurs équipements de structure. Ces sous-marins nucléaires d’attaque assurent différentes missions clés pour la Marine nationale : ils escortent le porte-avion Charles De Gaulle et protègent notamment les sorties à la mer des SNLE, les sous-marins lanceurs d’engins qui portent les missiles de la dissuasion nucléaire. La série des Barracuda remplace les vieillissants SNA de la génération des Rubis, mis en service au début des années 1980, dont l’un des exemplaires, le Perle, avait subi un grave incendie à la base de Toulon (Var) en juin 2020. Un programme à 9 milliards d'euros La série des Barracuda est l’un programmes les plus ambitieux de la Marine nationale et de la DGA (Direction générale de l’Armement, ndlr), en charge de la maîtrise d’ouvrage. Sur les 30 ans de durée de vie des navires, le coût du programme s’élève à 9 milliards d’euros, soutien logistique et capacités d’entrainement compris. En dehors de la France, seul un club très restreint de pays est capable de produire des navires de combat pouvant apporter une telle maîtrise des fonds sous-marins : les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la Russie et la Chine. «L’enjeu c’est de livrer ces 6 bateaux à un rythme d’un tous les deux ans, jusqu'en 2030», précise la responsable du programme pour la DGA, dont le nom est tenu secret. Un délai qui s'explique par le considérable défi industriel et technique. Ces sous-marins figurent parmi les objets les plus complexes à réaliser sur la planète. Dans un espace réduit, le navire est déjà une base de vie censée accueillir un équipage de 65 personnes avec ses chambrées de 4 à 6 personnes, ses sanitaires, sa cuisine, son réfectoire... Le bâtiment embarque également l’équivalent d’une mini-centrale nucléaire en mesure d’assurer sa propulsion silencieuse à plus de 350 m de profondeur. Enfin pour accomplir sa mission de guerre, ce redoutable navire est équipé d’un central opérationnel, de sonars, de moyens de communication et de navigation, de tubes lance-missiles... Un puzzle industriel de 700 000 pièces Pour faire fonctionner une telle machine, il faut des équipements de servitude : 160 km de câbles, 20 km de tuyaux, 70 000 appareils fonctionnels (pompes, carlingages, robinets, vannes…). Soit au total plus de 700 000 pièces à installer ! C’est beaucoup plus que pour une voiture (10 000 pièces), un char blindé (15 000 pièces) ou un avion Boeing (100 000 pièces)... «Au total, le programme représente près de 50 millions d’heures de travail. Aux moments les plus forts, jusqu’à 600 personnes peuvent être mobilisées sur un bateau», précise Hervé Glandais, le responsable du programme Barracuda pour Naval Group. Ces SNA de nouvelle génération démultiplieront la capacité à agir de la Marine nationale dans les profondeurs. Ils ont été conçus pour aller plus loin et deux fois plus vite que leurs prédécesseurs. Le Barracuda est le premier navire de ce type à pouvoir lancer des missiles de croisière à même de frapper des cibles à plusieurs centaines de kilomètres des côtes. Il permettra aussi de faire débarquer un commando des forces spéciales grâce à un mini véhicule sous-marin. Et un détail pragmatique fait aussi toute la différence : plus de place pour embarquer la nourriture ! «Le Barracuda permet d’emporter de vivres pour environ plus de 2 mois contre une quarantaine de jours pour les Rubis», souligne Sébastien Renaud, le commandant du Duguay-Trouin. De quoi assurer des permanences à la mer plus longues. Des tolérances de 1 à 2 mm pour l'épaisseur de la coque Pour produire des sous-marins, Cherbourg dispose d’installations et d’outillages industriels hors-normes, quelle que soit l’étape de la fabrication. De grandes plaques d’acier planes, larges jusqu’à une dizaine de centimètres d’épaisseur, sont entreposées devant l'atelier. Il faudra leur donner des formes cylindriques, à l'aide de presses capables d’exercer des forces de 2 000 tonnes, 6 000 tonnes… La plus puissante, de 12 000 tonnes, insérée dans une fosse de 12 m de fond, est l’une des presses les plus puissantes qui existent en Europe. «La forme de la coque est critique pour résister aux contraintes d’immersion. On doit déformer à froid l’acier pour lui donner la bonne forme tout en garantissant les épaisseurs», souligne Jean-Michel Merat. Les tolérances sur l’épaisseur de la coque doivent donc être impérativement respectées : de l’ordre du millimètre sur une dizaine de centimètres d’épaisseur. Pour leur donner la courbure finale attendue, les techniciens font appel à de grands gabarits, des moules en bois, finalement plus pratiques que les scans lasers et autres technologies à base de solutions en 3D… «Nous sommes dans de l’artisanat à dimension industrielle. Le savoir-faire relève de l’artisan. Les moyens sont industriels», explique le directeur du site. 400 compétences métier requises La fabrication de ces géants des fonds marins requiert des compétences et des savoir-faire techniques multiples. C’est d’ailleurs l’un des défis majeurs du site de Cherbourg : trouver et former les bons techniciens, dans 400 domaines de compétences. Pour certains métiers, il faut 5, 7, parfois 10 ans pour passer d’un jeune ouvrier à un technicien qui maîtrise parfaitement son domaine. En particulier pour les opérations de formage de la coque et de soudage. Les aciers à hautes performances utilisés sur le Barracuda sont très difficiles à souder. «Cela nécessite de préchauffer l’acier à 100°C, 120°C pour que le soudeur puisse travailler. Nous prenons d’énormes précautions pour protéger les soudeurs contre les risques de brûlures», assure Jean-Michel Merat. Et quand le patron de la production évoque le travail de ses formeurs, capables de donner aux coques la forme désirée, il les assimiles à des «magiciens de l’industrie» ! L’assemblage des Barracuda fait appel à la technique dite des berceaux. Il faut imaginer un structure dont la forme et la taille s'apparentent à celles d’un tronçon de sous-marin, en version réduite. Car une fois que le berceau sera chargé de tous ses équipements (vannes, pompes, tuyauterie…), il sera introduit dans le tronçon vide et comblera quasiment tout l’espace. Cette technique offre deux gros avantages. D’abord pour l’équipage. «On évite ainsi de raccorder directement des équipements vibrants à la coque. Cela limite la propagation d’ondes sonores vers l’extérieur et renforce donc la discrétion acoustique du sous-marin», confie la responsable du programme Barracuda pour la DGA. Mais aussi pour l’industriel. Naval Group peut paralléliser les opérations de fabrication de coque et d’installation des équipements dans les berceaux. Cette technique d’assemblage avait été mise en œuvre pour la première fois avec la construction des SNLE de deuxième génération du type Le Triomphant. Une coque fabriquée en 17 mois L’assemblage final des appareils s'effectue dans un bâtiment dédié, la nef Laubeuf. Une véritable cathédrale industrielle. L'édifice a été prévu pour accueillir simultanément deux sous-marins côte à côte. «C’est l’un des bâtiments industriels les plus grands de France», affirme Hervé Glandais, de Naval Group. A Cherbourg, le gigantisme de la production et la petite série des sous-marins à assembler n’empêchent pas de rechercher l'efficacité industrielle. «Entre les premiers exemplaires, où l’on cherche à optimiser la fabrication et le dernier où l’on est rodé, nous avons gagné en coût et en délai», se félicite le directeur du site. La reconstitution de la coque des premiers Barracuda a nécessité 25 mois, celle du sixième et dernier, seulement 17 mois. Naval Group se projette déjà dans le chantier suivant : l’assemblage des sous-marins de la dissuasion nucléaire, les SNLE de troisième génération. Les équipes travaillent déjà sur des prototypes en vue d’accélérer les opérations d’assemblage et de soudure. Des travaux de génie civil vont démarrer pour agrandir la surface des ateliers. «Notre enjeu, c’est d’aller plus vite. On pousse les murs. On automatise plus», explique Jean-Michel Merat. Les premières tôles doivent être découpées cette année. A Cherbourg, un chantier de sous-marins chasse l’autre. Hassan Meddah 04 Mai 2023 \ 05h00 L'USINE NOUVELLE3 points
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Un tour du port gratuit , du temps des LMP généreuses3 points
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Bonsoir. En lisant un article rapporté sur un site italien d'une association de protection des chiens errants sur les "chiens ambulanciers" utilisés par diverses armées pendant la Première Guerre mondiale, j'ai été frappé par ce qui était rapporté : "Certains de ces chiens étaient également capables de porter sauf les soldats blessés en les traînant jusqu'à leurs propres lignes : les blessés pouvaient, en effet, s'attacher à une courte laisse reliée au harnais et être traînés." En particulier est cité Prusco: "Prusco, un chien de la Croix-Rouge française, a sauvé en une seule journée plus de 100 soldats blessés, certains d'entre eux les traînant au poids." Avez-vous plus d'informations sur ces chiens généreux ? Merci2 points
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Un très bon fil sur l'analyse des fortifications autour de tokmak. Plusieurs lignes, sur les crêtes, des champs de mines suspectés, des obstacles AC.2 points
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ASMP supersonique, pas hypersonique, mais au ras du sol... Qant au M51, c'est plusieurs corps de rentrée, capable d'évolutions.2 points
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''Normalisation'' un peu étrange, si on croit l'article suivant l'aviation jordanienne à bombardé la résidence d'un narcotrafiquant en Syrie en accord avec Damas - et cela ne serait pas la première fois - : https://www.ouest-france.fr/monde/syrie/en-syrie-une-frappe-aerienne-tue-un-important-narcotrafiquant-670542ec-ed96-11ed-94dc-2c4fc4099362 En Syrie, une frappe aérienne tue un important narcotrafiquant Une frappe aérienne a tué, lundi 8 mai 2023, un important narcotrafiquant et sa famille dans le sud de la Syrie, a rapporté l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), attribuant la frappe à la Jordanie qui n’a pas confirmé dans l’immédiat. « Marai al-Ramthan, sa femme et ses six enfants ont été tués dans une frappe de l’aviation jordanienne » dans l’est de la province de Soueida, près de la frontière syro-jordanienne ...La Jordanie a déjà effectué des frappes ciblant des narcotrafiquants en Syrie, certaines remontent à 2014.2 points
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D'un autre côté c'est un mauvais message pour la dissuasion...2 points
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D'un point de vue industriel, je pense qu'à l'heure actuelle, compte tenu de la proposition de l'industrie italienne d'un PMA/ASW totalement italien basé sur un développement ad hoc du C27-J et d'une suite électronique Leonardo, cela empêche la collaboration entre l'Italie et France dans ce périmètre. Quant à une collaboration franco-coréenne...... l'industrie aéronautique coréenne est main dans la main avec celle des États-Unis. Développer un nouveau MPA/ASW à partir de zéro avec la France au lieu d'acheter le P8 déjà en production aux USA ? Autre que l'échange italo-japonais de 100 M346 en échange de 9 P1 dont on fantasmait récemment en Italie!!!2 points
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D'Oerlikon-Contraves en fait, car Oerlikon existe encore dans d'autres activités. Rheinmetall les a repris en 1999 Clairon2 points
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oui aussi et ça permet de repousser au-delà de la LPM les crédits de développement que l'adt n'a pas de toutes façons.2 points
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Pas un matériel très courant ni très vu : A priori, un système de détection RPS-42 de conception et de fabrication israélienne, prévu pour repérer les drones russes. Portée de trente kilomètres s'il s'agit bien d'un modèle 42. Selon ce site, les Ukrainiens en auraient commandé 16, les trois premiers en cours de livraison étant financés par du financement participatif lituanien. https://mil.in.ua/en/news/first-radars-delivered-to-ukraine-from-lithuanian-volunteers/2 points
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Comment faire une dizaine de "manifestations" anti-Ukraine avec trois gugusses :2 points
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La "normalisation" est en cours ... https://www.lemonde.fr/international/article/2023/05/07/la-ligue-arabe-reintegre-la-syrie-apres-plus-d-une-decennie-d-absence_6172432_3210.html2 points
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Pas de nouveautés chez feu Jean Houben, mais ce récit m’avait échappé :70’s, mirage IV, reco BA en MÉDOR pour shooter au CT52 du croiseur soviétique de classe KRIVA et KRESTA. 7h30 au ras de l’eau, 30 tonnes de kéro biberonnés auprès de la «baleine », et la blague du pilote de retour à l’escadron lorsqu’il voit sortir son navigateur : «Ah, c’était toi derrière?! » http://aviateurs.e-monsite.com/pages/1946-et-annees-suivantes/souriez.html2 points
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Ce n'est pas de la guerre ici, c'est une mauvaise telenovela.2 points
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Un autre exemple qui va dans le sens de ce que je disais. Voici l’Insuya Oya III construit par Piriou (Concarneau) et Kership Lorient. €26M TTC pour un caboteur de 950t pc, 55m x 12.6m, 260t de port en lourd, 15 noeuds sur diesels (2x 1,440kw). On peut imaginer une commande de 4 LST de gabarit similaire avec quelques économies d’échelle, mais difficile de viser plus grand. https://www.paysdelaloire.fr/sites/default/files/2021-10/dp_211025_transport_presentation-insula-oya3-.pdf https://drive.google.com/file/d/1mO8AtPGlVvrsE2vC4TaZDxS8YvLgGIcz/view (Très beau navire par ailleurs… beaucoup d’images dans les liens ci-dessus)1 point
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Ce qui sous entend, à mon sens, clairement, que le politique n'envisage pas de montée en puissance industrielle sur le segment des caisses chenillés et que le futur char français tournera avec du Renk. Ah moins que cette fameuse "pérennisation du moteur", évoqué par le CEMAT, soit la première pierre...1 point
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J'ai mis l'info dans la partie du forum réservée aux livres aéros, mais comme elle a l'air quelque peu désertée, je mets également le lien ici :1 point
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Le 29 avril dernier, sur le forum british Secret Projects, Alexis Rocher (pseudo : Mirage 4000), rédacteur en chef du Fana de l'aviation, a annoncé qu'il allait "très bientôt" publier le premier livre sur le Mirage 4000 https://www.secretprojects.co.uk/threads/mirage-4000.34/post-594317 J'ai déjà hâte !1 point
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L'autre question que je me pose c'est la fin du mono véhicule de combat dans les RI (VBCI, ou exclusif Griffon, ou exclusif Serval) On va probablement s'orienter pour les brigades lourdes vers des CC en VBCI et des Griffons pour la CA et la CCS, et pour les brigades médiums CC en Griffon et Serval pour la CA et la CCS1 point
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Et ils sont sur les appareils d'occasion (facilement reconnaissables car pas de damier noir et blanc sous le spectra)1 point
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Le vers gigote à la surface du fruit. Une position provisoire sans avenir, si tu vois ce que je veux dire.1 point
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Une vidéo de Tytelman qui date de 7 jours. Un bon bilan de situation, avec aussi des infos qui viennent du côté russe (mais moins de volume que côté ukrainien). Et surtout à 25:00 la présentation d'un site recensant les incendies et autres dans les sites industriels russes. Fut-un temps où l'on se posait la question en voyant ça si y en avait pas tout autant avant mais qu'on ne s'y intéressait tout simplement pas. Réponse dans la vidéo (ou ici : https://www.molfar.global/en-blog/what-burned-best-in-russia).1 point
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En pratique ce n'est qu'un Iskander... pas vraiment nouveau. Ce qui est plus surprenant c'est que l'enveloppe d'interception des PAC4 est super basse par rapport à la trajectoire des Iskander ... en gros le dispositif devait être en défense de point, voir en autodéfense.1 point
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Pour le Romanche, il faut savoir que seules 60'000 personnes parlent cette langue. Cette langue est devenue une langue officielle Suisse en 1938 lors d'une votation populaire durant laquelle le peuple suisse l'a approuvé à plus de 91 % de OUI (de toute l'histoire des votations seuls deux autres scrutins ont eu un taux d'approbation supérieur - il y a eu 677 objets en votation depuis 1848). Plébisciter une langue parlée par si peu de personnes peut paraître étrange, surtout qu'à l'époque les Romanches étaient encore beaucoup moins nombreux. En fait si l'on remet cette votation dans son contexte. Cette époque était marquée par la montée du fascisme en Italie. Les fascistes italiens voulaient que les territoires italophones situés hors d’Italie réintègrent l'Italie. A la base, le Romanche étant un dialecte lombard, les fascistes italiens allaient donc certainement revendiquer cette région au nom de l'unité des régions italophones. En votant OUI à la reconnaissance du Romanche comme étant une langue nationale suisse, le peuple suisse faisait un pied de nez aux fascistes italiens en leurs disant qu'ils n'étaient pas prêt d'abandonner ce coin de pays et ses habitants. https://blog.nationalmuseum.ch/fr/2020/01/le-romanche-quatrieme-langue-nationale/ Pour ce qui est du Tessin (la région de Suisse où l'on parle Italien (il y a également un petit coin des Grisons où l'on parle italien), cette région est difficilement accessible depuis les autres régions de Suisse. Le col du Gothard était la principale voie d'accès avec le reste de la Suisse. En 1830 quelques 900 diligences franchissaient le col chaque année. https://www.swissmintshop.admin.ch/cshop_mimes_smt/2C/2C59E545D7371EE4A6C7BEB968BC8E56.pdf Au fil des ans la route a été agrandie et sécurisé et les voiture ont remplacé la diligence mais l'hiver la route est fermée à cause de la neige. Beaucoup d'efforts ont été entrepris pour relier le Tessin au reste de la Suisse et pour faciliter la liaison entre l'Allemagne et l'Italie: - En 1872 un premier tunnel ferroviaire: https://www.rts.ch/archives/7684319-le-premier-tunnel-du-gothard.html - Le tunnel routier du Gothard de 17 km de long mis en service en 1980 - La construction d'un nouveau tunnel ferroviaire inauguré en 2016 et qui avec ses 57,1 km est le plus long tunnel du monde. https://www.swissinfo.ch/fre/saint-gothard_le-tunnel-ferroviaire-le-plus-long-du-monde-victime-de-son-succès/43220294 - Il y a aussi la construction d'un deuxième tubes pour le trafic routier et qui est toujours en cours. https://www.rts.ch/info/suisse/12529464-les-travaux-du-second-tube-routier-du-gothard-ont-commence.html Désenclaver le Tessin avec des voies de communication modernes a été un élément très important et en votation le peuple suisse a toujours accepter de dépenser beaucoup d'agent pour cela. Le fédéralisme et les systèmes en place qui tiennent compte des minorités permettent aux italophones d'avoir leur mot à dire dans la direction du pays. Bien entendu ils restent très minoritaires, mais par exemple l'année passée, le Président de la confédération était un tessinois. Je connais quelques tessinois et malgré la très grande facilité qu'ils ont pour accéder à l'Italie, ils restent très encrés à la Suisse. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, les Tessinois n’étaient pas très rassurés par les combats qui faisaient rage de l’autre côté de la frontière. Malgré cela, ils ont accueilli les réfugiés à bras ouverts et leur ont apporté leur aide et ils ont également aidé les partisans italiens déclenchant la fureur de Rome. https://blog.nationalmuseum.ch/fr/2019/10/tessin-pendant-guerre-mondiale/1 point
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Les inondations et glissements de terrains provoqués par de fortes pluies jeudi dans le Sud-Kivu, dans l'est de la République démocratique du Congo, ont fait au moins 203 morts dont les corps ont été retrouvés, a annoncé samedi un responsable administratif. https://www.rts.ch/info/monde/14002842-des-inondations-dans-lest-de-la-republique-democratique-du-congo-font-200-morts.html1 point
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En Ukraine, une course contre-la-montre a commencé pour les agriculteurs dans les zones libérées par l'armée. C'est la période des semences, mais les terres entre Izioum et Kharkiv sont parsemées de mines et d'obus qui n'ont pas explosé. https://www.rts.ch/info/monde/13989186-les-agriculteurs-ukrainiens-obliges-de-simproviser-demineurs-pour-semer.html1 point
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Tant mieux. Il faut se rappeler de la commande initiale de M2000 et de F16 par les grecs : 40 de chaque avec une option pour celui qui apparaitrait le meilleur (à leurs yeux). Et c'est le F16 qui a gagné cette faveur. Pourquoi? parce que le radar du M2000 du moment était le RDM, une version modernisée du Cyrano du F1.... quand le F16 voyait lui plus loin et en look down. On ne peut que se féliciter du choix éclairé il y a 15 - 20 ans de sacrifier quelques Rafale (8 il me semble) pour financer le développement du très réussi RBE2 AESA. Ca a été la clef de son tardif démarrage à l'export.1 point
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Bien que pas officiellement en service, la Fremm DA Lorraine a ete deploye en urgence pour l'evacuation des ressortisssants au Soudan. On note qu'il n'y a pas de NH90 mais un Puma, car La Lorraine effectuait ses essais en mer. https://www.navalnews.com/naval-news/2023/04/how-a-not-yet-commissioned-frigate-played-a-key-role-in-sudan-evacuation-operations/1 point
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Le public n'aura pas accès aux critères d'évaluation des nouveaux avions de combat et à leur pondération. Il en va de même pour le rapport sur les émissions sonores, a décidé le Tribunal administratif fédéral dans deux arrêts. https://www.blick.ch/fr/news/suisse/le-tribunal-administratif-federal-a-tranche-les-dossiers-sur-les-nouveaux-avions-de-combat-resteront-secrets-id18505191.html allez, lâchez-vous, c'est vendredi1 point
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Point sur les A400M de l’ AAE, grâce à Air et Cosmos papier numéro 2824H du 6 avril 2023 : extraits reformulés, paraphrasés Rétrofits : - 18 appareils sont ( pour 7 ) ou vont être rétrofités sur 21 reçus. Seuls les 3 derniers étaient d’emblée au standard final prévu au contrat. C’est en 2027 que la flotte sera uniformisée - Ces chantiers attendent chacun le check C de maintenance lourde, et des slots libres à Séville. D’autres pays procèdent à ces chantiers chez eux ( Turquie, Allemagne ) - Seuls les tous premiers ( quasi présérie ) ont dû aller jusqu’au remplacement de qq cadres structuraux - Fin des remplacements de Boîtes de Transmission PGB des TP400 à problèmes de Avio : gros gains de disponibilité attendus Capacité finale atteinte, avec : - Pilotage automatique à très basse altitude et sans visibilité : LLF Low Level visibility, à partir d’un fichier numérique – sans radar – sera effective cette année - Seul le vol à TBA ( 150 pieds mini ) avec visibilité ( à 500 pieds mini ) pratiqué jusqu’à présent - Ravitaillement en vol de chasseurs Mirage et Rafale : ça vient à partir des A400M français. Mais les autres ressources de ravitailleurs n’en ont pas fait une priorité française ( KC-135 C-135FR, Phénix ) - Ravito nocturne avec une caméra infrarouge sur l’A400M : ça vient - Ravito selon 3 configurations possibles : o Avec 2 pods sous voilure uniquement o Avec en + 2 réservoirs additionnels en soute ( capacité passant de 63500 à 78000 litres ) o HUD Hose Drum Unit en point central : ça vient aussi pour ravitailler les chasseurs - Seul ce point central permet un ravitaillement d’un autre A400M. MAIS bloque la soute et maintenance + lourde que les pods - 5 HDU livrés à l’AAE - 6 pods de ravito livrés à l’AEE - A l’ESSAI prochainement, en sus du ravito d’un A400M par Phénix ou un autre A400M : o Utiliser le pod droit pour ravitailler un autre A400M ( à gauche pas possible ) : prévu fin 2024 - Ravito des hélicoptères : voir autre fil avec Hélicoptères militaires / Ravitaillement Caracal o 5 pods spécifiques prévus - Largage chaînes SAMAR et SATERRE de sauvetage à la place des ressources C-135FR ( issues des Transall précédemment ) - A400M en C3ISTAR pour les FS doté o des MX20 ( des 6 transall, et raté leur passage aux C-130H pour retard de leur rétrofit ) en intégration minimaliste : sur les portes parachutistes ( comme testé sur Transall et envisagé sur C-130H ) o D’un SATCOM et liaisons dédiées COS pour C2 volant - Autoprotection : de l’équipage avec vitres blindées + Standard final avec RWR détecteur alerte radar + Détecteur IR + module de leurrage avec paniers répartis + Calculateur coordinateur qui intègre le tout ( tous les appareils ne seront pas équipés ) - Parachutages : o Par les 2 portes latérales en parachutistes avec ouverture auto ( pas tous les appareils équipés ) o Largage par éjection de charge par un parachute extracteur o Vers passage en parachutage auto de charges : par gravité – inclinaison de l’appareil – jusqu’à 25 tonnes, maxi en 1 seule charge de 16 T – en 1 ou plusieurs passages o Vers campagnes spécifiques pour charges spéciales ( ex. Ecume ) Cible d’équipement en A400M pour l’AAE : - Que 35 équipages formés actuellement dans l’ AAE => Perspective de 75 en 2035 - Rythme actuel permet d’envisager 25 appareils en 2025, 35 en 2030 - Alors qu’il fut question de réduction du format initial de 50… - Au-delà des 35 ou 50 envisagés : discussions avec Allemagne et Espagne pour récupérer des appareils excédentaires o A travers un éventuel pool européen ? o Pour des missions stratégiques essentiellement Perspectives tous clients : - FCTM hors de ces considérations, car + tactique - A400M bombardier d’eau : d’autres expérimentations seront réalisées - Perspectives de missions complémentaires : o SCAF o A400M comme porteur d’effecteurs au profit des COS ( remise au goût du jour du scénario passé des Griffin sur C-130H… abandonnés au profit de l’équipement des Reaper ) - Perspectives de futurs BLOCK UPGRADE s parmi les clients : o Approches de précision par assistance Satellites GNSS LPV o Mise à niveau IFF mode 5 o Radios cryptées o Evolutions Système de mission A NOTER SUR CET intéressant ARTICLE : - Rien sur l’export et ses perspectives - Rien sur la coopération entre pays utilisateurs - Rien sur les concurrents : C-130J et C-390 ou autres encore1 point
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Il y a blindage et blindage. On a perdu un Capitaine de Gazelle qui s'est pris une balle de Kalash dans la jambe et n'a pu être sauvé. La gazelle de l'AdT n'a absolument aucune protection contre les armes de petits calibres, contrairement au Tigre.1 point
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Ce dimanche, l'équipage de la frégate La Fayette a croisé la route d'un navire de guerre britannique. L'occasion pour les marins de la Marine nationale de taquiner leurs homologues anglais suite à la brillante victoire des Bleus, dans le cadre du Tournoi des VI nations, samedi à Twickenham (10-53).1 point
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re, j'ai commencé la précédente réponse sur mon tel ; de retour à la "maison" (en vacances à la Reunion), je vais préciser aussi quelques détails importants ; Nous ne pouvons pas envoyer d'effectifs passer le Chef de Quart Marine. Les collegues sont des policiers generalistes ; ils sont en contrat pour 4 ans, à priori. Donc, tu t'imagines que pour un chef de quart, chef de bord, le collegue exerce depuis au moins un an. Dans l'hypothese la plus optimale, ils sont arrivés à la nautique en début de contrat. Rien n'indique que le calendrier de la formation Marine Nationale matchera avec le notre. Notre hierarchie est réticente à payer un vol, du temps (police) pour une formation qui ne servira qu'ici, qu'un temps limité. La solution a été trouvée vers 2006-2007. A la suite de plusieurs accidents impliquant des kwassas ou nos bateaux et des coffres d'amarrage, le Ministère a missionné un collegue pour creer un cursus de formation, pour équipage, d'un coté et pour chef de bord, de l'autre. A l'issue de la premiere mouture, celle ci a été présentée aux Aff Mar Mayotte qui ont eu leur lecture technique, demandé une modif mais, refusé de s'engager. La mouture rectifiée est partie à la Reunion où les Aff Mar ont demandé quelques autres modifs, qui ont été realisé mais, ont eux aussi refusé de valider. Au vu de tout cela, mon collegue (Joseph S) a envoyé cela aux Aff Mar Paris qui ont trouvé les documents parfaits................. mais, sans valider. Il est passé par le SG Mer et le commissaire qui y travaille ; le SG Mer est rattaché au bureau du 1er ministre, lequel a donné instructions, aux Aff Mar d'expertiser et de valider si les formations étaient bonnes. Depuis, elles ont été adaptées aux moyens qui ont été renouvelés ; le cursus équipage dure 3 semaines ; une semaine en salle, 2 semaines en mer, de jour comme de nuit.... avec des simulations de panne (de traceur), feu à bord, voie d'eau, homme à la mer, des interceptions, des navigations hors des chenaux et tout cela sous stress... le cursus chef de bord dure 2 semaines, jour comme nuit, avec, bien sur, des simulations sur tous les cas non conformes et les choix à realiser. ce n'est pas l'école des fans, il peut y avoir du déchet, dans l'un comme dans l'autre des cours. Comme je l'expliquais à un cdt de gendarmerie nautique qui disait que nous avions une formation cocotier, "mais, tes gars, que savent ils faire de plus que les notres ? que font ils de plus ?" Nous n'avons pas besoin de savoir naviguer au sextan ; nous savons nous reperer aux étoiles, naviguer sans aide electronique... faire face à une avarie de barre (en reel plusieurs fois par an)... Quand, vers 2010, la Royale a eu son intercepteur, c'est chez nous qu'ils ont embarqué pour peaufiner leurs techniques.1 point
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‘tain ! tu viens de me faire écraser une larme….. Plus sérieusement c’est le succès de tous dont le top départ années 60 le fût dans une organisation dont DCAN était intégré au sein de la Marine Nationale. Songer aussi au fait que pour nos programmes nationaux d’aujourd’hui , NG conçoit (en liaison avec DGA /EMM et les indus du système de combat) des SOUMs et des « bateaux cibles » dans une stratégie de furtivité réciproque ( chasseur/chassé-chassé/chasseur), bref diffusion des données techniques de retex des bureaux d’études soum vers les bureaux d’études bâtiment de surface d’à coté et vice-versa en saine promiscuité et çà c'est inestimable .....1 point