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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 31/05/2025 dans toutes les zones
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Si en 2032, le contrat Gripen n'est toujours pas signé, on pourra reconsidérer la question.6 points
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Je prends le train en marche @Dedieu je trouve que pour des chiens de garde ceux qui à tes yeux méritent ce qualificatif ont plutôt un tempérament de labrador... La preuve tu es encore là a pouvoir exprimer tes idées... Elles sont ce qu'elles sont mais au moins ce sont les tiennes Souffres néanmoins que certains ici ne les partagent pas. J'aurais tendance personnellement a mettre Poutine et l'actuel Von Papen Israélien (celui qui est aux mains de son extrême droite) dans le même sac de fumier... Ça doit être mon côté nazi5 points
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Je peux pas parce qu'après ça devient un gloubiboulga d'anciennes stars défraichies, de jeunes espoirs à l'avenir incertain, de gros malabars en manque de finesse ou de vedettes aux yeux bridés affriolantes mais au genre incertain.4 points
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Matthew H. Murray est professeur adjoint d’affaires publiques et internationales à l’Institut Harriman de l’université de Columbia (New York). Il a exercé la charge de sous-secrétaire adjoint au commerce pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique au sein du département du commerce du gouvernement Obama. Il développe ici la thèse des impacts de la corruption et de l'oligarchie sur la structuration de l'économie russe, et son incapacité à construire une économie diversifiée et florissante. https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/05/30/l-invasion-de-l-ukraine-est-la-consequence-du-systeme-de-corruption-generalisee-qui-gangrene-la-russie_6609255_3232.html3 points
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Si tu peux pas t'offir le F35tu achètes le Rafale ... Si tu paux pas t'offrir le Rafale, tu achètes le Gripen ...3 points
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Je crois comprendre mieux : tu es obsédé par le soft-power russe, donc tu te fais un point d'honneur de tacler tout propos qui pourrait être en faveur des russes quitte à prendre des arguments foirouilles comme dans ton post en question. C'est donner beaucoup d'importance au Forum qui n'est lu ni par les obligés de tonton Vlad ni par uncle Donald ni ses affiliés ni clairement par nos décideurs. Après ce Forum n'a pas pour vocation à être une tribune de ceci ou de cela, même si, comme le dit @Akhileus beaucoup trop de gens se la joue Fanboy de leur camps. Perso les seules choses qui me préoccupent sont que l'on puisse faire fasse si la situation part en quenouille en Ukraine ou que la compréhension de la situation puisse aboutir à un processus de paix. Et pour ce dernier élément, il faut pouvoir sortir d'un argument à la Desproges que je paraphase en disant : "l'ennemi est bête, il ne sait pas que c'est lui qui a tort." Après, on peut faire l'économie de cette compréhension si on pense qu'on arrivera à lui mettre une déculottée ou si on constate qu'il n'y a pas de perspectives de négociations de paix, comme cela apparaît être le cas ici.3 points
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Je discute du conflit en cours depuis le début, sujet du topic. Ce qui est lourd, trollant et fatiguant, c'est lorsque sur le fil Ukraine on discute impérialisme russe, ça finit toujours par what about les américains. Si Vlad s'en contrefout de ses milliers de morts et des argumentaires, alors pourquoi on en revient toujours à ceux de la guerre en Irak et des US ? On s'en fout aussi. Ils s'en foutent également. Vous voudriez que je vous dise que c'est pas bien ? "C'est pas bien." En revanche, on ne se "contrefiche pas" du bilan russe en la matière, sur le fil géopolitique "guerre Russie Ukraine 2022 - Géopolitique", ou alors désolé mais c'est que le sujet n'est pas bien compris. On s'en contrefiche du bilan russe sur le fil Mexique ou USA, ça oui d'accord. J'allais faire un post plussoyant sur le soft power russe, une réalité sur laquelle il y a beaucoup à dire, qui ne devrait pas être minoré (désaccord avec Ciders sur ce point) et sur lequel j'ai beaucoup partagé de sources. Un camarade a amené une question rhétorique foireuse entre l'impérialisme russe et l'américain, traçant un parallèle entre le conflit en cours et les délires lunatiques du POTUS, qui aboient beaucoup mais qui ne fait que çà. A question conne, réponse conne, mais sur le fond, qui pour mettre des points pour hors sujet ? L'anti-américanisme, ça nous aveugle, c'est tellement culturel que c'en est devenu un gag: accepté sur tous les fils, toutes pénalités en sursis, même en cas de récidive. J'ai pourtant aucun penchant à leur égard, mais vous le lirez que sur le fil dédié US, très exceptionnellement ici ou là bas. Fanboy ? Je dois avoir le plus de partages de sources journalistiques à mon actif sur ce fil, avec Wallaby. Ca prend du temps, un abonnement payant et c'est pas du voice of America...3 points
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"Un phare dont les richesses ruissellent". Je vais m'asseoir cinq minutes.2 points
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J'adore le "football fans" il est certain que si les mercenaires combattant en Ukraine sont issus des rangs d'intellectuels du Virage Nord du Vélodrome (ou du Kop de Boulogne y a pas de raison), les généraux ukrainiens ont du souci à se faire Putin Putin on t'encule, Putin Putin on t'encule, Putin ta femme est là devant nous et nous suce le bout (sur l'air des lampions évidemment ...) Qui saute pas est pas Marseillais ouais, Qui saute pas est pas Marseillais ouais ... Chanté en montant à l'assaut ça doit pas être mal ... ça change de la Marseillaise ou du chant de marche du BEP sur Eliane 22 points
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Allez savoir pourquoi les sources partagées convergent toutes dans le même sens. Et je travaille à iso-source, positionnée dans la médiane politique des journaux français. Je peux me prévaloir de ce travail sur ce topic, et je ne peux pas faire plus neutre. Mais que reste-t-il encore à comprendre ? Enumère une question sous-jacente à ce conflit et que l'on aurait pas assez traitée ici, je prends l'engagement de la documenter au mieux. Crois-tu vraiment qu'il y a quelque part, des chancelleries occidentales encore à la recherche d'une vérité ou d'une explication qui leur manquerait, pour convaincre Poutine d'arrêter cette guerre ? Un espèce de mot magique qui déclencherait une argumentation supérieure et convaincante vis à vis de Moscou ? Chimère. Est-ce que je peux critiquer sans prendre 5 points, le postulat qui voudrait que parce que cette guerre continue depuis 3 ans, alors il y aurait forcément quelque chose d'incompris ? Et si on admettait plus prosaïquement que Poutine en veut plus et que la situation actuelle ne lui suffit pas, sans plus de raisons que l'agenda qu'il a rendu public en 2021, est-ce qu'on ne ferait pas déjà un progrès de compréhension ? Tu te trompes sur mon avis au sujet des russes. Ils défendent leur bout de gras et très bien: je n'ai aucun mal à l'admettre, et je suis bien plus admiratif de leurs méthodes que tu le penserais. Ce qui m'agace ici car pollue les débats, c'est l'exercice constant de justification leurs actes par les pêchés américains. C'est l'antithèse d'une bonne compréhension que tu appelles de tes vœux, et pire, ça s'inscrit dans la droite ligne d'une justification morale (pour pas dire propagande / relai) des actions russes en Ukraine.2 points
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https://www.repubblica.it/politica/2025/05/30/news/meloni_kazakistan_asia_occidente-424638112/ Meloni : "Heureux de la visite de Macron. La crème a été fouettée sur la relation entre l'Italie et la France". Le premier ministre s'est exprimé en marge du sommet d'Astana "Vous êtes toujours très passionné par cette question. Je vois beaucoup de crème monter sur cette question. Mais l'Italie et la France sont des amis et des alliés. Elles ont des positions convergentes sur de nombreux dossiers et divergentes sur d'autres. Mais c'est normal. Ce n'est pas qu'il y ait des désaccords. Parfois, les dirigeants se disputent, mais cela ne compromet rien". C'est ainsi que la Première ministre Giorgia Meloni a répondu, en marge du sommet d'Astana, à la question sur la prochaine rencontre avec le président français Emmanuel Macron. Nous nous sommes vus tellement de fois« , a-t-elle ajouté, toujours en parlant du dirigeant français, »il y a tellement de sujets à aborder. Je suis heureux qu'il vienne à Rome pour que nous puissions nous voir calmement et parler de tout ce qu'il y a à dire'.2 points
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C'est totalement ridicule. Alors oui, l'irrédentisme hongrois fantasmant feu la Grande Hongrie c'est réellement quelque chose. Et ça fait faire des conneries (dans les pensées). Maintenant y a la réalité européenne et de l'état de l'armée hongroise. Soyons sérieux.2 points
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Un remarque très intéressante de randomradio sur le forum indien histoire de remettre une pièce dans le débat sur l'armement SEAD/DEAD du rafale : " Le fait que l'IAF puisse mener des frappes sans SEAD/DEAD et pénétrer l'espace aérien de la PAF avec un SEAD/DEAD limité alors que la PAF utilise des systèmes chinois primaires comme le HQ-9, le HQ-16 et le J-10C avec la version du PL-15 de la PLAAF potentiellement intégrée avec des AWACS occidentaux avancés et peut-être même des satellites AMTI chinois devrait réellement effrayer la PLAAF. "2 points
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Japan frets over fighter rollout target and weighs stopgap options, sources say https://www.reuters.com/markets/europe/japan-frets-over-fighter-rollout-target-weighs-stopgap-options-sources-say-2025-05-30/ Résumé Sociétés Le projet de chasse japonais avec la Grande-Bretagne, l'Italie est en retard, selon des sources Les options Stopgap incluent les achats F-35 ou la mise à niveau des anciens F-2, selon les sources Le chef du commerce japonais affirme que les achats d'armes pourraient faire partie des négociations commerciales TOKYO, 30 mai (Reuters) - Le Japon doute de plus en plus que son projet de chasse de la prochaine génération avec la Grande-Bretagne et l'Italie atteigne un objectif de déploiement de 2035, forçant potentiellement Tokyo à combler les lacunes dans la défense de l'air avec de nouveaux États-Unis. Les avions furtifs F-35 ou les mises à niveau vers les jets vieillissants, selon deux sources. Le Programme aérien de combat mondial (GCAP) établi en 2022 accuse un retard de retard en raison d'un manque d'urgence de la part de la Grande-Bretagne et de l'Italie, qui pourrait pousser le déploiement au-delà de 2040, selon l'une des sources. Les deux sources, qui ont une connaissance des discussions japonaises sur la défense aérienne, n'ont pas été autorisées à parler aux médias et ont refusé d'être identifiées. Le Japon devra commencer à planifier rapidement si le GCAP est retardé pour s'assurer qu'il dispose de suffisamment d'avions pour contrer les avions chinois et russes qui sondent régulièrement ses défenses aériennes. Alors que les hauts fonctionnaires discutent de la possibilité d'acheter plus de F-35, Reuters n'a pas été en mesure de savoir si des chiffres spécifiques ou un calendrier sont à l'étude. Une décision rapide d'acquérir davantage de Lockheed Martin (LMT.N) , ouvre un nouvel onglet F-35 à environ 100 millions de dollars chacun pourrait être une monnaie d'échange pour le Premier ministre japonais Shigeru Ishiba dans des discussions tarifaires avec les États-Unis. Le président Donald Trump. Le négociateur en chef du commerce japonais, Ryosei Akazawa, tiendra une nouvelle série de pourparlers tarifaires avec les responsables américains vendredi à Washington. Ishiba devrait également rencontrer Trump pour sa deuxième réunion en juin lors de la réunion des dirigeants du Groupe des Sept au Canada. "L'achat par le Japon de matériel de défense contribuerait à l'excédent commercial des États-Unis, de sorte qu'en ce sens, il pourrait être envisagé (dans les négociations commerciales)," Akazawa a déclaré aux journalistes jeudi avant son départ pour le capital américain. En 2019, dans un geste loué à l'époque par Trump, alors le Premier ministre Shinzo Abe a commandé 105 F-35, faisant du Japon le plus gros acheteur étranger de l'avion avec un total de 147 en commande. Dans un signe que Trump pourrait à nouveau accueillir des achats japonais de matériel militaire américain, le journal Asahi rapporte que lors d'un appel téléphonique avec Ishiba le 23 mai, il a discuté de Boeing (BA.N) , ouvre un nouvel avion de chasse planifié F-47 et encourage son homologue japonais à considérer les avions américains. Le projet GCAP est un effort de la part du Japon et de ses deux partenaires européens pour construire un chasseur de nouvelle génération exempt des restrictions opérationnelles qui accompagnent souvent les achats d'équipements militaires fabriqués aux États-Unis. Par exemple, les acheteurs ne sont souvent pas autorisés à effectuer des mises à niveau et à effectuer des travaux d'entretien sans l'autorisation des États-Unis. Le projet est mené par Mitsubishi Heavy Industries (7011. T) , ouvre un nouvel onglet au Japon, BAE Systems (BAES.L), ouvre un nouvel onglet en Grande-Bretagne et Leonardo (LDOF.MI) , ouvre un nouvel onglet en Italie. En Grande-Bretagne et en Italie, le GCAP remplacera les avions à réaction Eurofighter Typhoon qui seront opérationnels jusque dans les années 2040. Au Japon, il est destiné à remplacer le F-2, un État membre. La variante F-16 a été développée il y a trois décennies par Mitsubishi Heavy et Lockheed Martin. Les préoccupations du Japon quant à un éventuel retard dans le déploiement du GCAP en 2035 découlent du temps pris pour aligner le concept de chaque pays de la manière dont l'avion fonctionnera, a déclaré l'une des sources. Un porte-parole de l'agence d'acquisition du ministère japonais de la Défense a déclaré que l'objectif de déploiement de 2035 était inchangé, ajoutant que le déclassement du F-2 devait commencer cette année-là. "Je n'ai pas connaissance d'un projet de commande supplémentaire pour le F-35", a-t-il ajouté. Un porte-parole du ministère britannique de la Défense a déclaré: "Le Royaume-Uni, l'Italie et le Japon se concentrent sur la livraison d'un avion de combat de nouvelle génération pour 2035 et nous faisons de grands progrès." Le ministère italien de la défense n'a pas répondu à une demande de commentaires. D'autres partenaires du GCAP pourraient inclure l'Arabie saoudite, qui apporterait un financement et un marché lucratif pour l'avion. Sur les 147 F-35 que le Japon a commandé à ce jour, 43 F-35A ont été livrés, tandis que six F-35B, une variante à décollage court et à l'atterrissage vertical, ont été retardés, ce qui a permis d'acheter davantage d'un problème litigieux. Le Japon pourrait plutôt choisir de prolonger la durée de vie opérationnelle de son ancienne flotte de F-2 par des améliorations. "Nous avons déjà payé pour de nombreux articles, et ils ne sont pas arrivés. Il n'est pas juste d'être dit d'en acheter plus lorsque les commandes précédentes n'ont pas été remplies", a déclaré un législateur du Parti libéral démocrate au pouvoir, s'exprimant sous condition d'anonymat en raison de la sensibilité de la question.2 points
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Comme je l'avais dit précédemment la décision d'achat du Gripen par la Colombie est acté depuis quelques mois, la lettre d'intention par la Suède fut signée début Avril. Reste à signer le contrat en soi puis verser le premier acompte pour concrétiser tout cela avant le debut de 2026 normalement.2 points
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Personnellement, j’ai un peu du mal avec les argumentaires qui disent que puisque un tel a déjà fait des millions de morts dans une autre guerre des années avant, alors finalement les Russes peuvent bien faire la même chose aujourd’hui en Ukraine. Avec ces raisonnements, il n’y a plus de droit international et seul subsiste la loi du plus fort, puisque si on remonte suffisamment dans l’histoire, aucun pays ne peut se prévaloir de n’avoir jamais initié un conflit.2 points
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C’est quand même compliqué d’être juge et partie dans des discussions pour lesquelles le modérateur a lui-même un avis bien tranché. Est-ce qu’il ne faudrait pas une décision collégiale des modérateurs pour pouvoir coller des points à quelqu’un simplement parce qu’il défend ses opinions face à un modérateur ?2 points
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https://www.lesechos.fr/monde/europe/le-pib-par-habitant-des-italiens-rejoint-celui-des-francais-2167231 https://www.ilsole24ore.com/art/pil-pro-capite-l-italia-raggiunge-francia-ridotto-gap-berlino-AHBoBor https://lftcommercialista.com/?p=8060 Les données objectives montrent des interprétations et des causes différentes des deux côtés des Alpes2 points
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Bien entendu qu'il y a la réalité géopolitique et militaire à considérer. Mais le problème c'est que la pensée "nationaliste" amène ces idées de grandeurs et de puissances qui mènent vers des actions guerrières. Vous pouvez trouver ces idées dans presque tous les pays en Europe, certains rêvent de ce genre d'agrandissement, sur base historique (un jour c'était à nous), sur des bases linguistiques, sur des bases géographiques ou simplement reprendre une forme de vengeance vis à vis d'un voisin qui à un moment donné, n'a pas été sympa. On trouve cela même dans des pays qu'on ne soupçonnerait pas sur l'instant, entre les nationalistes hollandais qui se diraient que ce serait pas mal de se "partager" la Belgique avec la France ou que dire des USA qui viennent du jour au lendemain évoquer sérieusement l'annexion du Canada. Le truc c'est qu'il y a une remontée de ces nationalistes et que des pays étrangers soutiennent ces mouvements, qu'on cherche à influencer, convaincre, corrompre les gens pour la valoriser. Au bout d'un moment on a ces nationalistes qui arrivent au pouvoir, la situation fait qu'ils ne peuvent pas mettre à exécution leurs rêves de grandeurs, mais ils restent dans une logique ou ils cherchent à modifier la situation, ils sont comme en embuscade. On attend et on espère que d'autres nationalistes similaires émergent pour amener de la division, pour amener du soutien, pour créer du blocage, de l'affaiblissement. Du côté de Moscou c'est pareil, on rêve de voir les américains abandonner les européens et en foutant en l'air l'Otan, on rêve de voir les européens se la jouer "solo" en foutant en l'air l'UE et on serait très facilement prêts à refaire des accords avec certains pays pour faire des guerres communes pour se partager certains autres pays. Combien de fois on a vu la propagande du Kremlin, avec des responsables politiques du pouvoir afficher une carte de l'Ukraine avec des zones que les polonais occuperaient, d'autres que la Roumanie occuperait, une petite partie pour la Hongrie. Bref cette idée du "partage" des conquêtes, c'est un truc qui reste dans l'idéologie russe et qu'on cherche à faire revivre chez les européens. Après il ne faut pas se dire que le passage à l'acte est impossible. Le cas de la Serbie peut nous le rappeler et dans ce pays l'idéologie nationaliste reste très marquée et la guerre pourrait bien réapparaitre du jour au lendemain, malgré le rapprochement avec l'UE. Là c'est pareil, les russes exercent encore le maximum de leur influence sur les politiciens (souvent la corruption se fait au bas de l'échelle) et cherchera à y foutre le bordel si elle voit que ce pays passera totalement dans le camp occidental. Quand on voit Orban en Hongrie, on a vraiment l'impression d'avoir également un cheval de Troie de Moscou. Ce pays est dans une logique d'opposition systématique à l'UE dès lors que ça touche un peu aux intérêts de la Russie. Les aides à l'Ukraine, les sanctions à la Russie et tout le reste, on a toujours des "nationalistes" qui sont en opposition. Prenons encore le cas récent du plan de réarmement de l'UE, 150 milliards pour divers projets, on se dit que dans le contexte global, pourquoi s'opposer? 26 pays ont acceptés, la Hongrie s'est abstenu, car de toute façon on allait passer cela à une majorité et non pas à une unanimité. On ne se rend pas compte des semaines et des mois de retards sur diverses initiatives en faveur de l'Ukraine ou à l'encontre de la Russie qui sont le fruit du blocage de la Hongrie, c'est systématique et il faut vraiment être aveugle pour ne pas comprendre que la Hongrie semble chercher à obtenir des choses de Moscou en jouant ce jeu. L'UE a engagé récemment la fin de l'achat de gaz (y compris GNL) et de pétrole russe d'ici 2027, autant dire que ce qui était hier une dépendance et qui permettait le plus à Moscou de corrompre par de "bons accords" énergétiques certains politiciens/pays, d'exercer une influence ou tout autre chose, ça va disparaitre. C'est terminé les Nord stream, Turkish stream et autres projets qui brassaient des milliards et par lesquels on avait l'impression que nous n'avons pas le choix, que la Russie est incontournable. La Hongrie d'Orban a été un pays qui a largement profité de "bons accords" négociés avec les russes. De bons prix permettant derrière des gains politiques. Tout comme les subventions de l'UE, vous voyez quand on menace de les couper, ça rentre dans le rang. Petit à petit, on voit quand même que l'UE évince l'influence russe et que même pour les nationalistes, le contexte global fait qu'il devient de plus en plus difficile de se montrer russophile, ce qui est au fond est totalement normal.1 point
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La police nationale veut s’équiper de 11 véhicules blindés pour ses missions de sécurité intérieure https://lignesdedefense.ouest-france.fr/la-police-nationale-veut-sequiper-de-11-vehicules-blindes-pour-ses-missions-de-securite-interieure/1 point
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La Russie est un phare dont les richesses ruissellent, c'est pour cela que les Criméens ont largement approuvé l'annexion. Les retraités passaient d'une retraite ukrainienne à une retraite russe, les fonctionnaires d'un salaire ukrainien à un salaire russe. Pour eux c'était le jackpot.1 point
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La défense veut s'étendre : ce sont les nouveaux emplacements prévus https://nos.nl/artikel/2568416-defensie-wil-uitbreiden-dit-zijn-de-beoogde-nieuwe-locaties Nouveaux dépôts de munitions, zones de basse altitude pour les hélicoptères et casernes militaires. Ils sont tous nécessaires pour bien s'entraîner dans un monde de plus en plus dangereux, selon le ministère de la Défense. Aujourd'hui, le ministère présente la liste définitive des lieux où il souhaite s'étendre. Selon le secrétaire d'État Tuinman de la Défense, les extensions arrivent à un bon moment. "C'est désespérément nécessaire, cela devient de plus en plus dangereux en Europe. Nous le voyons sur le flanc est avec le président russe Poutine, mais les États-Unis devient également de plus en plus imprévisibles", explique-t-il. « Nous devons être en mesure de garder notre propre pantalon et c'est pourquoi nous avons besoin d'espace pour nous entraîner. » Cette liste est le résultat d'une recherche qui a commencé il y a des mois. Un certain nombre des emplacements sélectionnés ont déjà été connus récemment. Par exemple, il est clair que les avions de chasse, tels que les F35, voleront probablement à partir de l'aéroport de Lelystad et qu'un terrain d'entraînement militaire sera placé à l'actuel centre de demandeurs d'asile à Budel. Selon Tuinman, la dispersion des nouvelles extensions de défense a été bien prise. « Nous avons examiné les besoins minimaux, mais cela se retrouve dans tous les Pays-Bas. Chaque province reçoit sa part." Voici les extensions les plus importantes : Voici les extensions les plus importantes de la défense En plus de l'aéroport de Lelystad, les grandes zones de basse altitude pour les hélicoptères sont particulièrement frappantes. Il y avait déjà douze de ces zones, maintenant il y en a 8 de plus. Ceux-ci se connectent aux zones de faible altitude déjà existantes aux Pays-Bas. La Zélande en particulier attire l'attention ; cette province devient presque entièrement une zone de vol à basse altitude. "Il y aura beaucoup plus de domaines pour que l'impact soit aussi minime que possible. Nous prendrons également en compte les saisons de reproduction et les grandes festivités », dit Tuinman. Malgré cet impact minimal promis, les hélicoptères à basse altitude peuvent être assez radicaux. Cindy Klop vit dans une zone de basse altitude existante et possède deux chevaux. « Ils ont beaucoup de stress et s'enfuient ensuite. » Le stress conduit parfois à des situations désagréables pour les animaux. "Un cheval a été tellement choqué qu'il a couru à travers la clôture et s'est retrouvé dans le fossé. Heureusement, il a pu s'en sortir lui-même. Mais mon cheval a été traumatisé." Malgré la résistance aux régions, la plupart des Néerlandais soutiennent les plans, selon de récentes recherches menées par Kieskompas pour le compte de la NOS et de divers radiodiffuseurs régionaux. Cela s'applique également à la plupart des autres plans d'expansion de la défense. Le choix de l'emplacement de deux nouveaux dépôts de munitions est également attendu depuis longtemps. Cela a principalement à voir avec l'impact sur les résidents locaux. Pour des raisons de sécurité, moins de personnes peuvent vivre et d'entreprises peuvent être établies dans un cercle d'environ 1900 mètres autour d'un dépôt. Les endroits finalement choisis sont Staphorst et Kollumerwaard. Un grand dépôt sera installé à Staphorst, tandis qu'il sera un peu plus petit à Kollumerwaard. Tuinman indique qu'un peu plus de dix maisons et entreprises doivent être déplacées pour tous les plans d'expansion. "C'est assez significatif. Lorsque nous parlons de parcelles et de terrains, il s'agit plutôt de centaines de personnes pour lesquelles une solution doit être trouvée." Tout ne convient pas Le village de Deelen, près d'Arnhem, accueillera une nouveauté. La première bande de terre des Pays-Bas y sera installée. C'est une piste d'atterrissage non pavée pour les avions militaires. La Défense s'entraîne déjà sur les bandes de terre à l'étranger, mais veut aussi le faire dans son propre pays. Ce qui est également frappant, c'est l'expansion de deux zones d'entraînement militaire : De Haar, près d'Assen, et Oirschotse Heide. Les deux augmenteront considérablement en taille. Le ministère de la Défense n'a pas réussi à trouver un endroit pour tout. De cette façon, il n'y aura pas de terrain supplémentaire où l'entraînement avec des explosifs peut être fait. Jardinier : « Cela prend beaucoup d'espace pour des raisons de sécurité. Nous avons découvert que cela ne correspond pas aux Pays-Bas. Nous allons maintenant examiner au niveau international s'il y a de la place pour pratiquer." Pas encore sûr Le secrétaire d'État souligne que tous les sites qui ont été choisis maintenant sont des sites préférés de la Défense. Il y a encore des bosses à prendre. Par exemple, les municipalités, les provinces, les résidents locaux et les autres parties prenantes peuvent encore soumettre un point de vue. Après cela, il devient définitif. Dans certains cas, les émissions d'azote associées aux extensions doivent également être examinées et si la Défense obtient les permis de nature nécessaires. Le jardinier est d'humeur positive. « En 2026, la première pelle doit être mise au sol et en 2030 tout sera réalisé. »1 point
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Note liminaire : SpaceX n’étant pas cotée en bourse, la société n’a aucune obligation de publier ses coûts ni ses résultats détaillés. En-dehors de contrats connus et des déclarations officielles, il n’y a donc pas de source réellement fiable, même si les spécialistes s’accordent sur certains chiffres. Avant tout, il faut comprendre que le financement du programme Starship repose principalement sur des contrats de la NASA pour la version lunaire, tandis que le développement global du véhicule est soutenu par des investissements privés et internes. et seuls les montants des contrats avec la NASA sont précisément connus. Les autres chiffres sont des estimations ou des projections. Donc, pour le programme Starship : Il est majoritairement financé en fonds propres, grâce à Starlink notamment, et aux marges dégagées avec les lancements Falcon 9. Le reste est couvert par les contrats spécifiques de la NASA pour la version lunaire, pour des contrats de 2,89 M$ (en 2021) + 1,15 M$ (en 2022) . Ces contrats sont de type « firm fixed-price » qui, tout comme la démonstration de ravitaillement en vol, font l’objet d’un règlement principal à l’atteinte de l’objectif. Ainsi, sur la 1ere tranche de 2,89 M$, qui vise à réaliser la démonstration d’un vol Starship SLS avec atterrissage lunaire sans équipage, seuls 300 millions de $ ont été versés initialement par la NASA, et le reste est étalé sur plusieurs années avec l’essentiel du règlement qui sera débloqué lorsque la démonstration aura été faite. À mi-2024, le coût total du programme était estimé entre 2 et 5 Milliards de $ -sachant que E. Musk avait indiqué que chaque Starship - booster + vaisseau - coûtait 30 millions de $ à produire actuellement. Voir ci-dessous un graphe comparatif reprenant l’estimation haute : https://payloadspace.com/rocket-development-costs-by-vehicle-payload-research/ Ce coût semble inclure l’ensemble des infrastructures au Texas comme en Floride, tout comme le développement du Raptor. Pour ces derniers aspects, il n’y a là encore aucune estimation financière officielle. Pour le Raptor, on a ainsi un coût de fabrication unitaire qui était estimé en 2023 à 1 à 2 millions de $, et un développement initial qui avait été contractualisé avec l’USAir Force pour 33,6 millions de $, à condition que SpaceX apporte 67,3 millions de $ en fonds propres. 47,1 millions de $ supplémentaires ont été contractualisés avec l’US Air Force, pour un coût total de développement actuellement estimé à plus de 1 milliards de $. La version v3 du Raptor baissera très significativement ce coût de production, et la réutilisation de ceux-ci rapprochera le coût d’un Raptor de l’objectif, à savoir 250 000$ pièce à produire. Par comparaison, le coût de développement du Starlink est estimé à 10 milliards de $, pour 12 à 20 milliards de $ de revenus attendus sur 2025. Évidemment, tous ces montants s’étalent dans le temps.1 point
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L'Ouzbékistan pourrait devenir un prochain client de l'A400M ... On a vu aussi dans la présentation Indonésienne que l'option pour 4 A400M pourrait encore être levée, donc on peut garder espoir.1 point
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Le modérateur a un avis bien tranché sur les posts qui ne sont que du marquage de ligne de fanboy qui met un point d'honneur à défendre systématiquement, pieds à pieds son équipe. Quant à avoir besoin d'une discussion collégiale pour mettre des points... mais, mon bon monsieur, avec la quantité de posts à lire, avec leurs positions souvent subrepticement tordues où il faut parfois aller chercher dans les références de la personne citée pour voir qu'on est en train de nous en enfumer ... Ben on serait pas sorti de l'affaire... Je crois que,argumentaire ou pas, Vlad n'en a cure (pour le dire poliment) Je crois que le père Blaise a dit quelque chose comme : "Ne pouvant faire que ce qui est juste soit fort, on a fait que ce qui est fort soit juste." Et tu penses sincèrement qu'il persiste encore une concrétisation du "droit international" entre l'Ukraine, Gaza, le Soudan ?1 point
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Accessoirement, il a aussi droit à une défense entendable : Et jusqu'à preuve du contraire, et jusqu'à jugement si l'affaire est judiciarisée, il n'y a rien d'autre que des accusations sans preuves. Les soupçons ne valent pas un verdict, à part dans le tribunal populaire d'Internet...1 point
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Ça fait effectivement quelques mois que je prêche qu'on a atteint un point d'équilibre. Néanmoins on peut considérer que les Russes sont bien meilleurs que l'an dernier pour préparer leurs attaques, se faufiler en fonction de la topographie pour aller chercher une victoire indirecte sur une zone fortement défendue. Je soupçonne donc que le ratio mort/km2 est meilleur que jamais pour les Russes. Mais dans l'absolu, ça témoigne aussi d'une double limite russe à savoir : le fantassin à consommer (et oui, on est loin des charges à la Stalingrad), des capacités matérielles pour préparer des assauts (que ce soit en terme de vci, d'Iskander ou autre). Là où ça dessert les Ukrainiens c'est qu'ils sont contraints de plus en plus souvent de livrer bataille selon les termes Russes (en zone ouverte, en déficit logitique et en se faisant attaquer de deux ou trois endroits différents. Dès lors une concession Ukrainienne de territoire ne serait pas vraiment une bonne affaire car ça reviendrait à céder aux Russes les glacis qui tiennent depuis des années et qui ont coutes cher en sang et en argent. A mon sens, sauf facteur qui viendrait rompre cet équilibre (mais quel facteur ?) on aura juste un conflit qui va s'étendre mois après mois avec des Russes qui prendront des villes rasées et une armée Ukrainienne saignée. C'est donc bien à l'avantage de la Russie mais ça prendra peut être un siècle à rentabiliser (ne serait ce que re-viabiliser les territoires et corriger le déficit démographique, en particulier en diplomés). Maintenant je ne vois pas particulièrement de dirigeants du continents Européens qui ont une politique cohérente sur un siècle (voir même sur dix ans), donc c'est peut être moi qui suit complètement hors propos1 point
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" Les silos entourés de clôtures sont désormais de véritables bases bétonnées, enterrées et sécurisées." Ils découvrent le fil à couper le beurre ?1 point
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Non c'est parce que sur les FREMM les SYLVER sont entre autres protégés par un cofferdam qui n'existe pas sur les FDA1 point
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Rappelez-vous du temps de "mon pilum dans votre sternum" .... Clairon1 point
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En espérant que les norvégiens nous renvoient l'ascenseur Contrat majeur signé dans la marine en France https://www.kystens.no/nyheter/signerte-stor-marinekontrakt-i-frankrike/2-1-1818615 Une toute nouvelle classe de navires de guerre français choisit la technologie norvégienne pour mettre rapidement les soldats à l’eau. Vestdavit a remporté un contrat pour fournir un système de mise à l’eau et de récupération à la marine française. L’image d’illustration montre un système équivalent à bord du patrouilleur norvégien KV Bjørnøya. La société Vestdavit, basée à Bergen, a décroché un contrat prestigieux avec la marine française, portant sur la fourniture de systèmes de manutention d’embarcations pour sept nouveaux patrouilleurs construits en France. – La France est devenue l’un de nos plus grands marchés. Nous avons développé une bonne relation avec notre client, et les Français construisent beaucoup, tant pour leur propre marine que pour d’autres pays. Børge Noddeland chez Enova estime que la technologie vélique est encore immature. Il est critiqué par les armateurs, qui considèrent la voile comme un élément de la transition énergétique en mer. Lire aussi : Conflit autour de la voile : les armateurs économisent des sommes importantes – l’État qualifie cela d’« immature » Le directeur général de Vestdavit, Rolf Andreas Wigand, déclare à Kystens Næringsliv que le projet garantit à l’entreprise une bonne activité et un bon chiffre d’affaires pour les années à venir. – Il s’agit ici de sept navires avec une option pour trois supplémentaires. Le contrat vaut plusieurs dizaines de millions de couronnes, avec un horizon et un carnet de commandes solides pour plusieurs années, affirme Wigand. Kystens Næringsliv a précédemment écrit qu’un bossoir de Vestdavit, destiné à un navire militaire, coûte environ 20 millions de couronnes pièce. D’après les informations du journal, les bossoirs destinés aux Français se situeraient dans la même fourchette de prix. En lice pour les contrats de défense norvégiens L’industrie maritime norvégienne attend avec impatience de savoir qui remportera le contrat pour la construction des nouvelles frégates. Wigand affirme que Vestdavit est bien positionné, quel que soit le lauréat du contrat gouvernemental. – Il est difficile de dire qui obtiendra les contrats norvégiens pour les frégates, mais nous sommes en dialogue avec les quatre acteurs encore en lice, dit Wigand. – Comment obtient-on un contrat pour livrer des bossoirs à la marine française ? – Ce sont les chantiers navals qui remportent des contrats avec les autorités françaises. Une fois le contrat obtenu, ils s’adressent à leur réseau de fournisseurs avec les spécifications. Dans ce cas, la compétition était serrée, et nous avons dû innover et développer un nouveau bossoir pour ce projet, explique Wigand. Ce contrat s’ajoute à la série de livraisons de défense internationales remportées par Vestdavit, comme l’a déjà évoqué Kystens Næringsliv : – Cela montre la confiance que les marines de l’OTAN à travers le monde accordent à nos systèmes, et confirme la fiabilité éprouvée de notre série PLR, affirme Wigand. PLR signifie Pivoting Lifting Ramp, un type de système de manutention de bateaux spécialement conçu pour la mise à l’eau et la récupération de petites embarcations. Au total, 14 bossoirs et autant de potences seront livrés pour les nouveaux Patrouilleurs Océaniques – une nouvelle génération de patrouilleurs hauturiers destinée à renforcer les capacités navales françaises dans le monde entier. Les navires seront construits par trois chantiers français différents. Livraison prévue entre l’été 2025 et l’automne 2029. Conçus pour la haute mer Vestdavit fournira le bossoir spécialement développé PLR-5004, conçu pour manipuler des embarcations rapides allant jusqu’à 5 tonnes, même par mer agitée (jusqu’à état de mer 4). Les nouveaux patrouilleurs français mesureront 92 mètres pour 2 400 tonnes, et seront équipés d’un pont hélicoptère, d’un sonar, de missiles de défense aérienne et de systèmes de capteurs avancés. Ils pourront opérer pendant 30 jours d’affilée, et seront notamment utilisés pour la surveillance, la sécurisation des eaux françaises, et des opérations internationales. À propos de Vestdavit Fournisseur norvégien de systèmes de manutention d’embarcations avancés Un bossoir est une grue en porte-à-faux permettant de hisser ou de descendre des objets. À bord des navires, ils sont souvent utilisés par paires pour les canots de sauvetage Vestdavit a livré plus de 2 200 bossoirs à des clients dans le monde entier Livraisons principalement à des marines, garde-côtes et à l’industrie offshore A développé des solutions innovantes comme Mission Bay, un système automatisé pour la manutention d’embarcations habitées ou non Utilisé aujourd’hui par plusieurs marines de l’OTAN et des acteurs du secteur énergétique international Demande croissante Vestdavit a désormais plus de 40 systèmes de ce type en service sur des navires de guerre et de garde-côtes dans le monde entier, et la demande continue d’augmenter. L’entreprise développe également la prochaine génération de solutions, dont Mission Bay, un système entièrement automatisé pour embarcations habitées ou non. Kystens Næringsliv a déjà publié plusieurs articles sur les clients internationaux de Vestdavit. La marine américaine et la marine australienne choisissent également la société de Bergen pour équiper leurs navires. Lire aussi : Les États-Unis compliquent la tâche aux étrangers – mais ce fournisseur norvégien a la cote La marine française modernise sa flotte La marine française est en train de moderniser en profondeur sa flotte de patrouilleurs à travers le programme Patrouilleurs Hauturiers (anciennement connu sous le nom de Patrouilleurs Océaniques), rapporte le site Naval News. L’objectif est de remplacer les navires vieillissants, notamment la classe D’Estienne d’Orves et la classe Flamant, par dix nouveaux patrouilleurs hauturiers d’ici 2035. Les sept premiers navires ont été commandés en novembre 2023, avec une livraison prévue entre 2027 et 2030. Vestdavit devient désormais un acteur clé de ce renouvellement. La construction des nouveaux patrouilleurs implique plusieurs chantiers navals français, dont Piriou, Constructions Mécaniques de Normandie (CMN) et Socarenam. Naval Group dirige l’équipe industrielle, et est responsable de la conception et de la livraison des systèmes de combat.1 point
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Pour cette raison, les autorités ont décidé de vider encore plus le lac du barrage de Ferden pour donner de la marge et vont installer des pompes, une fois la situation stabilisée1 point
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Je comprends son étonnement ceci dit. En France, un politique condamné et en prison, c'est aussi rare qu'un ragondin unijambiste. C'est même presque mieux d'être inculpé pour être élu, ça rend respectable aux yeux de l'électeur moyen.1 point
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https://nationalinterest.org/feature/nation-building-in-bosnia-and-herzegovina-30-years-of-failure (27 mai 2025) Trois décennies d'interventionnisme international n'ont pas réussi à guider la Bosnie-Herzégovine vers l'harmonie confessionnelle et la démocratie. Des commémorations ont commencé à marquer le trentième anniversaire de la fin de la guerre de Bosnie (1992-1995), qui a fait 100 000 morts. Pourtant, il n'y a pas grand-chose à célébrer dans ce qui est devenu un projet de construction nationale raté de plusieurs milliards de dollars au milieu de l'Europe. Les musulmans bosniaques, les Croates catholiques et les Serbes orthodoxes de Bosnie-Herzégovine restent aussi divisés aujourd'hui qu'ils l'étaient en 1995. Les régions du pays à majorité serbe cherchent toujours à se séparer et à rejoindre la Serbie voisine. Avant la guerre, les mariages mixtes représentaient 13 % de l'ensemble des mariages. Aujourd'hui, ce chiffre est de 4 %. Les efforts déployés par les étrangers pour instaurer une identité civique bosnienne afin de remplacer les affiliations ethno-religieuses forgées au fil des siècles sont restés lettre morte. L'essence de la crise réside spécifiquement dans l'architecture internationale de l'après-accord de paix qui a donné à une clique de diplomates occidentaux le pouvoir d'arbitrer en dernier ressort toutes les décisions dans le pays. Ceux-ci gardant jalousement leurs pouvoirs, la Bosnie-Herzégovine ne jouit d'aucune souveraineté nationale. Les hauts représentants successifs ont imposé plus de 900 décisions, allant de la sélection des symboles de l'État à la politique économique en passant par la réforme judiciaire et constitutionnelle. Par décret, le haut représentant a révoqué de nombreux élus, y compris des présidents. Trois des neuf sièges de la Cour suprême sont réservés à des juristes étrangers (actuellement originaires d'Albanie, d'Allemagne et de Suisse) qui se prononcent souvent en faveur de la centralisation du pouvoir à Sarajevo, où la majorité musulmane bosniaque contrôle la plupart des institutions fédérales. Les efforts internationaux visant à « centraliser la Bosnie d'une manière qui n'était pas explicitement prévue par les accords de paix » au détriment de l'autonomie serbe sont un non-sens politique et ont fourni à Moscou une ouverture permanente pour déstabiliser la région. Dans l'autre moitié du pays, où les musulmans sont trois fois plus nombreux que les Croates catholiques, les musulmans se livrent à des votes croisés pour élire les Croates, ainsi que les représentants des minorités, privant ainsi le bloc pro-occidental du pays de ses droits. En outre, le dirigeant croate a été menacé de sanctions par les États-Unis pour s'être opposé à un projet de gazoduc qui serait géré par la compagnie nationale de gaz dirigée par les Bosniaques musulmans, mais qui serait construit dans des zones peuplées de Croates. En résumé, il n'existe aucun espace politique ou civique où le peuple de Bosnie-et-Herzégovine puisse se gouverner lui-même. Faut-il s'étonner que les relations interethniques soient au plus mal ?1 point
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Le point de vue d'un Indien, là j'abandonne la concurrence est trop vive: La taille du radar n'a pas autant d'importance que le niveau technologique des TRM et leur densité. Si les Français ont atteint des performances maximales avec leur nouveau TRM pour le F5, le radar comptera bien plus de 1600 TRM. Il disposera d'un récepteur physique pour chaque TRM et pourra théoriquement engager autant de cibles qu'il a de TRM actives. En cas d'utilisation de la technologie TWS à grande échelle, il pourra balayer 90 degrés de l'espace aérien en une seule fois, détecter plus de 1 000 cibles et les suivre toutes théoriquement. Chaque TRM disposant de son propre processeur, il disposera de ressources informatiques suffisantes pour suivre plus concrètement plus d'une centaine de cibles. En pratique, divisé en 16 sous-réseaux, avec 16 faisceaux, il peut facilement suivre plus de 10 cibles de 0,1 m2 chacune à 300 km de distance, soit un total de plus de 160 cibles. Cela dépasse même les capacités des radars de défense antimissile balistique. La capacité d'un seul radar à résoudre des dizaines de cibles sera une condition essentielle pour faire face aux menaces MUMT. Grâce à des techniques avancées telles que le partitionnement des sous-réseaux, les algorithmes de super-résolution tels que MUSIC et le monopulse, nous pouvons obtenir une résolution angulaire bien inférieure à 1 degré pour des cibles de 1m2 à des distances supérieures à 300 km. Les performances de la BM lui donneront une résolution de portée inférieure à 1 m. Et si nous combinons toutes sortes de techniques telles que l'intégration cohérente, la diversité de fréquence, la formation adaptative de faisceaux et le traitement doppler avec la compression d'impulsions, nous pouvons même améliorer la portée de balayage ordinaire du TWS à 350 km contre une cible de 0,1 m2 en améliorant le RSB d'environ 25 à 30 dB. En utilisant des techniques multistatiques, le radar sera capable de détecter des VLO (0,0001m2) bien au-delà des portées BVR, soit à plus de 200 km. Un tel radar dépasse déjà largement les exigences tactiques d'un avion de chasse, indépendamment de sa petite taille. Les seuls radars plus performants nécessiteront non seulement une technologie TRM similaire, mais aussi des niveaux d'alimentation électrique irréalisables pour un bénéfice limité. Cela expliquerait pourquoi les Français ont décidé de revenir sur le plan précédent qui consistait à retirer le radar du nez de l'appareil. Les nouveaux TRM numériques rendent inutile la modification de la conception de base, de sorte qu'ils pourraient même conserver la cellule existante pour le F5. L'ancien radar n'est certainement pas à la hauteur, mais il est tout à fait décent pour l'environnement non-MUMT d'aujourd'hui. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)1 point
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Le pb c’est de toujours penser que l’herbe sera toujours plus verte chez le voisin alors que notre gestion de l’artillerie a permit d’avoir une souplesse tout en permettant de garder une capacité d’évolution dans nos formats GTIA tout en pouvant évoluer sur des ambitions au niveau taille de nos battles group au niveau emploi complet d’une brigade et Division . Du point de vue griffon MEPAC , quand on observe les prévisions de dotation dans chacun des régiments d’artillerie sol-sol , on aura pas de pb au niveau ressource humaine pour assurer le service des Caesars et des griffons MEPAC . Pour le moment on est dans une phase de modernisation de nos Caesar , et non dans un format qui amène à une augmentation de la dotation en nombres de pièces d’artillerie Caesar . si il est décidé d’une augmentation des effectifs de l’armée de terre le problème se situera plus dans la capacité à attirer des potentiels recrues , du point de vue des régiments les capacités à réorganiser se fera sans pb majeur , et les griffons MEPAC seront géré aisément dans leur emploi et leur maintenance . Je pense que d’avoir repositionné les mortiers de 120 mm tracté F1 dans les régiments d’infanterie une bonne chose même si ayant connu le passage des mortiers de 120 tracté F1 chez les artilleurs ( enfin chez nous au 11e de Marine c’était effectif depuis plus de 10 ans ) , et qui était pour moi une bonne chose car au delà du 155 TRF1 qui était déjà dans le technologique , nous avions aussi des 105 HM2 ( vétérans de nos guerres de décolonisation et des opex de l’après période guerre de décolonisation ) et les mortiers de 120 mm qui étaient arrivé dans le début des années 80 . nos 105 ayant bien servi , en les retirant du parc artillerie car ancien et sans remplaçant , nous avions nos 120 tracté F1 qui ont assuré l’abandon du 105 . Et avec les dissolutions de régiments à la professionnalisation on a put avoir du stock en rechange pour faire durer les 120 tracté F1 tout en ayant aussi des pièces complètes prêt à . donc je pense qu’en comparaison d’autres pays on a put garder une artillerie en pointe dans la maitrise et l’emploi même si bien évidement nous avions réduit les effectifs avec la professionnalisation des armées . donc avec l’arrivée du Griffon MEPAC qui il faut le rappeler est technologiquement en pointe en comparaison de pays qui on du 120 embarqué et pas forcément avec des pièces de dernier cri au niveau technologique, et je pense que le système mérite que sa plus value puisse être employable au sein des artilleurs qui restent une source de proposition aux fantassins dans les appuis et qui permettra d’éviter l’effet tunnel de vouloir tout maîtriser au sein du commandement fantassin . car quand bien même on est dans l’idée du concept Scorpion ou tout peut paraître plus simplifié , l’effet commandement plasma peut amener à des déconvenues comme le connaîtra Tsahal durant la dernière avec le Liban ( enfin celle d’avant le 7 octobre ) avec un commandement qui pensera tout maîtriser . d’ailleurs ce pb est pris en compte au niveau commandement armée de terre qui commence à réfléchir aux limites à avoir sans être dans l’effet tunnel que le programme scorpion peut apporter si on y prend pas garde . donc qu’on ai remis en dotation nos 120 tracté F1 dans les régiments d’infanterie offre une souplesse que le MEPAC ne pourra gérer sur des projections comme expliqué dans mon précédent message via mes exemples ( légèreté du 120 tracté F1 , souplesse et adaptation etc …. ) . bref à tout vouloir être regroupé on fini toujours par des ralentissements dans la gestion des appuis feu et parfois ça aide bien d’avoir des spécialistes concentrés dans leur domaine et force de proposition ( tactiques , densité des feux et souplesse pour gérer la masse de pièce pour assurer être des feux etc…) , mais pour se faire il faut lui donner les outils comme le MEPAC aux artilleurs qui justement auront la même vision d’emploi que le Caesar , idem dans la capacité à bouger les pions tactiques selon les risques ou la manœuvre sans parasiter l’action des fantassins . Enfin voilà mon humble avis .1 point
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NG a signé un protocol d'accord avec PT PAL portant notamment sur les Belh@rra en Indonésie 1. Cherbourg (04/06) PT PAL Indonesia a renforcé son partenariat stratégique avec Naval Group par la signature d'un protocole d'accord en présence du CMO de PT PAL Indonesia, Willgo Zainar, et du vice-président des ventes pour l'Asie-Pacifique de Naval Group, Nicolas Hersart de la Villemarqué. 2. Le protocole d'accord vise à renforcer les capacités des deux entreprises à conquérir ensemble des marchés potentiels, sur la base d'un contrat antérieur avec le ministère indonésien de la défense pour la construction de deux sous-marins Scorpene Evolved Lithium-Ion Battery dans les installations de PT PAL Indonesia. 3. La signature de ce protocole d'accord ouvre des perspectives de collaboration plus larges, notamment le développement de la frégate multi-missions Belh@rra (FDI), présentée comme la première frégate numérique au monde. 4. Ce partenariat devrait permettre de renforcer les relations bilatérales entre l'Indonésie et la France dans le secteur de la défense, ainsi que d'explorer les opportunités du marché mondial avec un engagement en faveur de la stabilité et de la sécurité régionales. J'avais posté les slides de NG pour l'indonésie dans le fil FDI -->1 point
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La détection sonore et la connectivité ont des marges de progrès avec le traitement, les algorithmes et les IA. La signature acoustique d'un drone peut être caractérisée, il en est question... Tout comme la GE, les bibliothèques devront être mises à jour régulièrement en fonction des évolutions techniques. Le drone anti-drones relève du même schéma avec la détection et les moyens mis en oeuvre en fonction des types de drones. Ce n'est pas qu'un simple FPV, mais un système. Le glaive et le bouclier, comme toujours.1 point
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Le souci c'est qu'on a vu en Ukraine l’extrême vulnérabilité de la flotte russe ... même face à des drones naval basique ... et qu'à un moment - à mon sens rapidement - il va falloir dilluer nos navire habiter dans un nuée de plateforme inhabité qui s'exposeront à la place - en portant les senseur pas discret, en patrouillant en marge de la bulle de protection, et engageant la menace au plus près etc. -. Autant je comprends bien l’intérêt de drone autonome offensif pour faire de la reconnaissance ou de la patrouille en complète autonomie, autant je déplore qu'on mette de coté la sécurité de nos frégates face à la multiplicité de menace bon marché disponible.1 point
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Héritage historique qui se perpétue et qui trouve son origine dans un protectionnisme étatique ancien. Explication (succincte, évidemment): 1/ Lorsque sont fondées les compagnies ferroviaires européennes (période 1910-1930) sur les cendres des premières compagnies ferroviaires privées: les infrastructures sont uniformisées (signalisation, règles d'exploitation, etc...) dans chaque pays. Chaque pays disposait alors de ses propres constructeurs de matériels adaptés aux exigences locales (ex Baume et Marpent en Belgique, Schneider en France, Borsig en Allemagne, etc...), fort logiquement: la société nationale faisait vivre ses constructeurs (et inversément: tout nouveau produit développé était poussé chez l'opérateur national) et chacun restait sagement chez soi sans aller bouffer dans le râtelier du voisin. Patatras! WWII, destructions massives, besoin de reconstruire, etc... Donc débarquent les Ricains et leurs locos pas chères et disponibles en masse (la 141R de la SNCF, par exemple) corolaire de cette arrivée massives de locos étrangères: les constructeurs européens qui ne sont déjà pas en forme (bah ouais, le carpet bombing sur les ateliers: ça laisse des traces...) voient leur volume de commandes diminuer et l'électrification avec ses avantages inhérents (équipages réduits, capacité d'accélération accrue, effort au crochet augmenté ET pas de recours au charbon qui était pour le moins onéreux!) pointe le bout de son nez dès le début de la reconstruction post-WWII. Bref, si on ne peut pas livrer chez soi: on va essayer d'exporter. Sauf que "n'y pense même pas gaillard": les Allemands achètent allemand, les Français achètent français, etc... (exception fait des Hollandais et des Luxembourgeois mais pour d'autres raisons). Comment faire pour bloquer les exportations? Simple l'ami: on tape un système de sécurité national obligatoire, on tape un voltage différent des autres, et on trouve des arguments bidons (masse à l'essieu, gabarit, raquettes pantographes, etc...) pour bloquer l'accès à "son" réseau. Début des années 1960 arrivent les TEE. "On" essaie d'être un peu moins c*n que d'habitude et on développe des engins polytensions et bicourants (les CC40100 de la SNCF par exemple) qui ont pour objectif d'être passe-frontières (FR/BE/NL/DE). Ca marche... un peu. Mais on trouve vite des arguments bidons (masse à l'essieux, "courants perturbateurs" (sic) et système de sécurité, notamment) pour restreindre ces dernières à... FR/BE (et un peu de DE avec des tonnes de restrictions). Bah oui: "Keine Französisches lok bis Deutschland, unmöglich!" (l'inverse sera également d'application: rangez votre germanophobie version Lidl au placard les gars dans le fond de la salle). A leur décharge, l'électro-mécanique de l'époque était lourde, encombrante et fragile: chaque réseau supplémentaire rendait la création d'une locomotive un enfer technique et... coûtait un pont en or massif. Bref, jusqu'au début des années 1980: chaque pays achète SON matos chez SON constructeur, les cahiers des charges étant rédigés main dans la main avec le constructeur directement tandis que les spécifications techniques propres à chaque réseau rendent l'interpénétration (rien de s*xuel dans le propos) presque impossible (sauf tronçons frontières). 2/ Début-milieu des années 1980: les budgets se cassent la gueule ("c'était - déjà - la crise ma bonne dame") donc les commandes se raréfient... et les industriels font la gueule. Vu l'absence de débouchés sur le marché national => on va viser l'export. Oui mais pour l'export il faut être polyvalent. Coup de bol: l'informatique et l'électronique de commande permettent de rendre plus simple et "moins onéreuse" la construction d'engins passe-frontières. Ni une ni deux, les constructeurs européens commencent à enregistrer des commandes dans d'autres pays que leur pré carré coutumier. 3/ Le développement des avant-projets de LGV internationales et du Tunnel sous la Manche vont venir mettre un coup de pied dans la fourmilière... Oui mais non. "Dites les gars pour les LGV européennes, on ne va pas se faire ch*er à développer un système de sécurité propre à chaque pays quand même?". Réponse des Anglais et des Allemands: "Va te faire enc*ler le mangeur de grenouilles" (la forme différait mais c'était en substance l'idée). Conclusion, la France développe la TVM300 puis TVM 430 pour ses LGV, l'Allemagne développe le LZB, la Belgique la TBL2, etc... et chaque pays va globalement installer SON système sur SES lignes... Oui Chef mais pour les liaisons Transmanches, on fait quoi? Tracasse gros, "I've got ZE solution": TVM 430 pour tout le monde de Bruxelles/Paris à Londres. C'est beau la vie? OUI MAIS NON! C'est le ferroviaire qu'on t'a dit! Chaque pays traversé va venir y mettre sa propre sauce... Bref, la TVM430 belge n'est pas la TVM430 française qui n'est pas la TVM430 eurotunnelienne (ça se dit pas mais je m'en cogne) qui n'est bien évidemment pas la TVM430 anglaise (Mouahaha, "Trafalgar forever les Frounzes!"). Alors qu'il s'agit DU MEME PUTAIN DE SYSTEME DE SECURITE A LA CON DANS LES PAYS TRAVERSES (oui je m'emporte, mes excuses). 4/ L'Europe débarque et dit en résumé: "Bon Messieurs, on pourrait arrêter d'être des gros blaireaux deux minutes, Svp? Bitte? Please? AUB?". Silence dans la salle. Finalement: "Ouais t'as raison! Uniformisons!" (Ndtr: aucun altruisme dans les motivations mais bien un intérêt industriel: avec un seul système de sécurité, on pourra fourguer plus de matos à l'exportation dans et en-dehors de l'UE). Bref, on part sur l'ETCS (alias ERTMS: ETCS+GSM-R) qui globalement dispose de trois niveaux (1, 2 et 3: c'est l'UE hein, on fait simple) et dont le développement va prendre globalement 20 ans et nécessiter des budgets de gueux car chaque pays veut y mettre sa touche et apporter ses spécificités. Puis le bébé est présenté: "Wouawwwwww, c'est beau", "C'est joli", "Ca glougloute, ça froufroute, c'est quoi ce m*rdier?". Et en même temps que le bébé sont présentés deux choses: la facture (aïe) et l'obligation de l'installer à terme (re-aïe). Bref, silence dans la salle et tout le monde regarde ses pieds en mode "Et sinon, la famille ça va?". Vu l'absence d'enthousiasme dans la salle, l'UE hausse le ton et décrète: ETCS pour tout le monde sinon je pète des dents! La France et l'Allemagne tergiversent en mode: "Touche pas à ma TVM430/LZB, râclure!" tandis que les industriels (les trois derniers survivants: Alstom, Siemens et Bombardier) poussent voyant le potentiel offert par un système de sécurité unique pour développer des engins passe-frontières et standardisés. Mais selon l'adage "Chassez le naturiste, il revient au bungalow": chaque pays va trouver une petite parade foutrement efficace pour protéger son territoire, les STI (Spécificités Techniques propres à chaque réseau). Selon la théorie européenne: tu installes l'ETCS sur une ligne en France et Jarek le Tchèque peut venir conduire sa loco de facture allemande équipée ETCS de la sorte sans soucis (oui Jarek parle Français) sur le réseau RFF. "Oui mais non" (vous l'avez vu venir hein?): chaque pays va rajouter des couches avec par exemple des software différents (ex ETCS niveau 2 software 2.3 qui n'est pas compatible avec l'ETCS niveau 2 software 2.2... alors qu'il s'agit DU MEME PUTAIN DE SYSTEME DE SECURITE A LA CON DANS LES PAYS TRAVERSES), chaque pays va ajouter des obligations du type disposer du système national historique en "fall back" (si le premier système ne fonctionne pas), plus les restrictions propres aux engins moteurs (style vitesse, effort de traction, etc...) qui vont différer d'un pays à l'autre (ex: 100 Km/h en DE, 110 Km/h en FR, 115 Km/h en BE, etc...). Le but étant bien évidemment de NE PAS voir ce brave Jarek conduire sa loco Allemande en France. #CGT#Grèèèèèèèèève#CaVaChier Evidemment, les Allemands continuent à garder le PZB/LZB ("Ca marche donc tu paies ou tu vas te faire voir l'UE"), la France fait de même avec la TVM430 ("ETCS cher et moi pas argent, pas travail, famille quatre enfants toussa"). Bref alors que l'idée de base était de simplifier, on n'a fait que rajouter une kolossale couche d'emmerdes supplémentaires avec un système européen (l'ETCS) qui dispose parfois de plusieurs standards au sein d'un même pays (je vous jure que je ne plaisante pas!) qui est superposé avec les systèmes nationaux (toujours obligatoires, évidemment) hérités de l'Histoire ferroviaire, et un paysage industriel en ruine où chaque locomotive produite dispose d'un package d'équipements qui la rend apte à un ou plusieurs pays mais où chaque modification nécessite une nouvelle homologation (rien que ça!) à la moindre pétouille modifiée dans un software... et dieu sait si ces derniers changent souvent. Et les industriels dans tout ça? Ils ont presque tous disparu... le marché étant monopolisé par deux grands joueurs qui commencent doucement à se prendre des claques des pays asiatiques. Perso, la situation me fait rire vu que je jongle avec leurs conneries au quotidien sur le terrain, mais je conçois parfaitement que pour le néophyte: ça ressemble à du Kafka.1 point
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Svp un peu de sérieux et de recul avant de poster n'importe quoi1 point
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..si les allemands ne nous saoulent pas pour des histoires de poids par essieu. Je te rejoins sur le fait que, après l'avion, la route est le plus adapté (même si le convoi jusqu'à la Roumanie a été un sacré chantier...).1 point
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Absolument pas. Mais concrètement, si on s'achemine bien vers la destruction de tout ou partie de plusieurs batteries de HQ-9 et de HQ-16, c'est un problème certain pour les forces armées chinoises qui se reposent aussi beaucoup sur ces matériels. De la même façon que les Soviétiques ont dû mettre à jour leurs SA-6 après la guerre de Kippour. Niveau radar, il faudrait vérifier si la PAF aligne davantage d'équipements chinois qu'américains mais la capacité indienne d'ouvrir un chemin dans les défenses pakistanaises en 48 heures aura probablement été notée par plusieurs pays. --- Pour le reste, on commence quand même à avoir un scénario plutôt clair : J-1 : les Indiens mènent des attaques uniquement contre des cibles terroristes ou présentées comme telles, la PAF monte des embuscades et tire tout ce qu'elle peut. Les bombardements semblent aboutir mais il y a de la casse côté IAF J-2/J-3 : les Indiens utilisent leurs missiles SAM longue portée pour cibler les patrouilles CAP pakistanaises et viser les AWACS, leurs drones suicide pour éteindre les radars et une partie des SAM pakistanais et plusieurs types d'armes de précision pour neutraliser les bases aériennes L'activité aérienne de la PAF paraît avoir décru significativement dès l'instant où l'IAF a commencé à la viser directement. L'engagement par le Pakistan de missiles balistiques et de drones a soit été un échec par manque de moyens de guidage soit par les contre-mesures indiennes (GE et/ou DCA). Enfin, il restait des marges de manœuvre pour l'Inde. La flotte n'a pas bougé, mais a contraint le Pakistan à maintenir ses propres unités à Karachi en couverture. Il n'a pas non plus été question de l'utilisation de missiles balistiques par l'Inde.1 point
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