
Ponto Combo
Members-
Posts
2,484 -
Joined
-
Last visited
-
Days Won
8
Content Type
Profiles
Forums
Blogs
Everything posted by Ponto Combo
-
A ces prix et délais ça ne peut être que de l'occase quasiment en fin de vie...
-
Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
Ponto Combo replied to pascal's topic in Europe
Nous avons les montres, ils ont le temps. Tomorrow perhaps (cf Daguet GW1) -
« Il y a un vrai French flair » : en Angleterre, les trois armées de l’air phares de l’Otan se sont préparées à agir ensemble L’armée de l’air et de l’espace, la Royal Air Force et l’US Air Force viennent d’achever un exercice d’ampleur dans le nord de l’Angleterre. Le ciel britannique a été durant quinze jours le théâtre d’exercices de combats à haute intensité pour un trio qui se veut plus que jamais renforcé Un vrombissement digne de science-fiction fend le calme des champs constellés de moutons du North Yorkshire. Une odeur de kérosène emplit les pistes de la base de la Royal Air Force de Leeming. Un Rafale de la BA 118 de Mont-de-Marsan vient de se mettre en marche. Le « HMS Queen Elizabeth », porte-avion fleuron de l’Angleterre, est attaqué en pleine mer du Nord. Les F-35 américains, britanniques, les Eurofighter Typhoon de la Royal Air Force s’élancent aussi, chacun leur tour. L’intervention doit être coordonnée, elle a été planifiée, pensée dans l’urgence. C’est même sa raison d’être. Du 30 octobre au 10 novembre, la Royal Air Force a accueilli l’US Air Force et l’Armée de l’air et de l’espace française – « les plus capables et désireuses » de former « un club à trois » – pour un exercice d’envergure. Parce que « la guerre à haute intensité est revenue à nos frontières européennes », le Trident Atlantic 2023, deux ans après la dernière édition à Mont-de-Marsan, avait pour but de « développer l’interopérabilité, les capacités à travailler ensemble ». Réseau partagé et cyber-menace « Les missions haut de gamme contre un adversaire armé, puissant qui nous sort de notre zone de confort – à savoir quand on a des supériorités tactique et aérienne établies –, nous amène à réfléchir à d’autres aspects, définit le général Laurent Rataud, commandant de la Défense aérienne et des Opérations aériennes (CDAOA). Notamment, le fait de ne pas pouvoir opérer aussi facilement que ça sur nos bases aériennes, bien installés avec nos mécaniciens, nos stocks, nos munitions, nos pièces. » « On simule une situation où notre base initiale est attaquée » Chacune déployée de leur côté dans le nord de l’Angleterre, les trois armées se sont retrouvées à Leeming pour deux jours. « On simule une situation où notre base initiale est attaquée », décrit le commandant Romain, « mission commander » et pilote à Mont-de-Marsan depuis 2016. « On doit se remettre en l’air depuis un site connexe pour défendre un peu de zone et peut-être en gagner. » Une « situation d’inconfort » volontairement créée pour travailler « un savoir-faire un peu perdu » et soumis aux évolutions perpétuelles, inhérentes a la modernité, à laquelle n’échappe pas le gratin des armées de l’air occidentales. « Le risque cyber et donc les moyens pour y remédier n’ont de cesse d’augmenter. On a réussi à travailler sur un réseau partagé de très haut niveau secret (le Battlefield Airbone Communication Node, ou BACN). Une gageure, en particulier quand on va se déployer sur une base où tous les serveurs, les données, la crypto ne sont pas en place », poursuit le général Retaud, aux 3 800 heures de vol et 251 missions de guerre. « Chacune des nations a ses systèmes élaborés, très fonctionnels, mais en national. Les affaires se compliquent à l’international. » Pratiquer l’anglais Au mess (la cantine militaire) de Leeming, les repas ne traînent pas. Les trois nations s’y côtoient, se distinguent par les motifs de leur treillis avant de regagner leurs détachements, concentrés et bien polarisés dans l’immensité de la base. Les briefings s’enchaînent jusqu’au « scramble », l’alerte d’urgence. Dans le petit bâtiment en brique et autour des hangars à avions alloués aux Français, les nombreux mécaniciens du Rafale, parfois couverts d’un gilet jaune et noir estampillé « Mont-de-Marsan », croisent les pilotes en combinaison verte et casque à la main. Au sol, les spécificités se partagent entre nations. « Qui tracte l’avion ? Un Anglais, un Américain, comment il le fait ? On n’a pas tout le temps les mêmes règles d’emploi. En temps de crise, il faut les adapter. » En l’air, « le plus qualifié prend le commandement des trois armées et avec les dernières consignes données, on fait la mission », raconte le commandant Romain. La langue de Shakespeare s’entretient même au cœur de ce type de combat à haute intensité appelé l’entry force (l’entrée en premier). « They are speaking English very well », rassure James Sainty, pilote du 12e escadron de la Royal Air Force, avec son accent « Geordie » (du nord de l’Angleterre). « On joue comme sur un terrain de rugby, avec des placements stratégiques » Standard et différences « Il faut toujours se confronter aux autres pour mieux travailler ensemble, prône le commandant Romain. Pour les jeunes, voler en Angleterre, c’est aussi particulier car les règles de vol ne sont pas les mêmes. Je suis revenu plus fort de mon premier exercice en Hollande, j’avais progressé en anglais, j’avais volé avec beaucoup plus d’avions que lors des entraînements classiques en France. Les jeunes pilotes n’ont pas l’habitude de voir autant d’informations sur leur radar et ils progressent. » Et même si « l’interopérabilité » est une fin, que les pilotes doivent être « standardisés » pour assurer le jour J, quelques particularismes demeurent dans le vif de l’action. Le commandant Romain, jurassien et montois d’adoption, a l’allégorie toute trouvée. « On joue comme sur un terrain de rugby, avec des placements stratégiques. Les Anglais ont leur façon de procéder, des tactiques de jeu propres à eux, les Américains sont très cadrés. Et je dirais qu’il y a un vrai ‘‘French flair’’. C’est du ressenti, un peu de panache. » En rugby, l’audace ne suffit pas toujours, on lui préfère la complémentarité. Ce reportage a été réalisé dans le cadre d’un voyage organisé et financé par l’armée de l’air et de l’espace, sans contrepartie éditoriale. https://www.sudouest.fr/societe/defense/il-y-a-un-vrai-french-flair-en-angleterre-les-trois-armees-de-l-air-phares-de-l-otan-se-sont-preparees-a-agir-ensemble-17421525.php
-
[Tempest] Nouvel Avion de Combat Britannique En Partenariat !
Ponto Combo replied to SharkOwl's topic in Europe
Les approches ne sont pas vraiment comparables dans ce cas... C'est l'heure du déjeuner, ça tombe bien. -
[Tempest] Nouvel Avion de Combat Britannique En Partenariat !
Ponto Combo replied to SharkOwl's topic in Europe
Je parlais du Tempest.... Est-ce qu'ils font des soirées fish'n chips, sushis, jambon de parme???? -
[Tempest] Nouvel Avion de Combat Britannique En Partenariat !
Ponto Combo replied to SharkOwl's topic in Europe
Déjà, est ce que les trois armées de l'air se sont mis d’accord sur une fiche programme commune? Je n'ai pas souvenir d'avoir vu passer cette info, mais je peux me tromper. -
[Tempest] Nouvel Avion de Combat Britannique En Partenariat !
Ponto Combo replied to SharkOwl's topic in Europe
Ça veut dire qu'ils sont à un stade moins avancé que le SCAF malgré ce qui se dit dans la presse anglaise... -
scaf [SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...
Ponto Combo replied to g4lly's topic in Europe
Le FCAS évalue quatre modèles d'avions de combat et pourrait faire un choix définitif d'ici mars 2025 "Il y a une bonne ambiance de travail et les résultats sont en cours de livraison", a déclaré le général de division Jean-Luc Moritz à propos du projet franco-germano-espagnol de système d'avion de combat futur. Un haut responsable de l'armée de l'air et de l'espace française a déclaré cette semaine à la presse que le projet franco-germano-espagnol de système aérien de combat futur (FCAS) mettait en balance quatre conceptions différentes d'avions de combat, le choix final devant intervenir au premier trimestre 2025. Le général de division Jean-Luc Moritz, qui dirige le segment français de l'effort trilatéral, également connu sous son acronyme français SCAF, a déclaré aux journalistes jeudi qu'il prévoyait de réduire la sélection à deux conceptions d'ici juin 2024 et de disposer d'une conception finale "d'ici" mars 2025. C'est un signe de progrès pour un programme qui a été confronté à des vents contraires politiques presque depuis le début. Le dernier en date est un journal britannique qui affirmait le 1er novembre que l'Allemagne pourrait se retirer complètement du projet. M. Moritz a déclaré aux journalistes qu'il ne voyait aucun signe indiquant que l'Allemagne était sur le point de se retirer du programme, ajoutant que "l'atmosphère de travail est bonne et que les résultats attendus sont atteints". Ses homologues au sein du comité de pilotage du SCAF sont le général de division José Antonio Gutiérrez Sevilla pour l'Espagne et le général de brigade Markus Schetilin pour l'Allemagne, avec lesquels M. Moritz dit avoir "une très bonne relation de travail". M. Moritz a souligné l'importance de développer le système d'armes de nouvelle génération (NGWS) pour réaliser les ambitions du FCAS. Le NGWS implique le développement d'un chasseur de nouvelle génération (NGF), accompagné d'aéronefs pilotés à distance, ou drones d'accompagnement, appelés porteurs distants, qui se connecteront numériquement les uns aux autres à l'aide d'un "nuage" de combat. Le NGWS pourra se déployer de manière autonome ou en réseau avec d'autres systèmes de combat ou de commandement aéroportés, navals, terrestres ou spatiaux. L'accord trilatéral de mise en œuvre 3, signé par les gouvernements du FCAS en août 2021, a approuvé l'élément de travail du NGWS. Depuis lors, au nom de la France, de l'Espagne et de l'Allemagne, la Direction générale de l'armement (DGA) de la France a attribué aux trois principaux chefs de file de l'industrie - Dassault, Airbus et Indra - et à d'autres fournisseurs clés un contrat de 3,2 milliards d'euros (3,4 milliards de dollars) pour lancer la phase 1B du FCAS en décembre 2022, donnant le feu vert aux travaux de développement d'un démonstrateur volant d'avion de combat de nouvelle génération. Aperçu des nouvelles capacités du FCAS Les trois nations continuent de travailler sur les trois éléments du NGWS : les avions de combat, les porte-avions distants et le nuage de combat. "Nous devons développer ces éléments en essayant de prévoir les menaces auxquelles nous sommes susceptibles d'être confrontés à l'horizon 2030-2040. À quoi penseront nos adversaires ? Nous devons maintenir notre supériorité opérationnelle grâce à une technologie supérieure, mais nos adversaires évoluent également plus rapidement", a-t-il fait remarquer, ajoutant que les transporteurs distants "doivent coûter une fraction du prix du chasseur, car ce sont eux qui prendront les risques". La supériorité aérienne est un principe qui restera vrai à l'avenir, a déclaré M. Moritz. "Je veux donc un outil capable d'échanger des données de qualité et actualisées en temps réel, qui utilisera probablement des calculateurs quantiques au lieu d'ordinateurs, je veux être capable de manœuvrer depuis la terre, l'air ou la mer et je veux être plus rapide, plus fort et plus haut que mon ennemi". Il a ajouté que les trois pays s'étaient mis d'accord sur un certain nombre de capacités clés pour l'avion. Il s'agit notamment de la furtivité, de la manœuvrabilité, de la capacité à saturer l'ennemi et du nuage de combat utilisé à ce qu'il a appelé le bord extrême, le bord et le cœur. La périphérie est la plus proche des utilisateurs (le cœur de la bataille) mais la plus éloignée des centres de données du nuage. La périphérie impliquerait des aéronefs tels que les AWACS et serait située un peu plus près des centres de données en nuage. Le cœur fait référence aux opérations situées loin derrière la ligne de combat et au plus près des centres de données. Les défis auxquels les développeurs sont confrontés comprennent l'architecture du nuage de combat qui "doit être développé de manière native pour être interopérable avec les aéronefs des autres pays de l'OTAN", a souligné M. Moritz à plusieurs reprises, en prenant l'exemple des téléphones portables développés et fabriqués par différentes entreprises mais capables de se connecter les uns aux autres grâce au protocole Internet (IP). "Je suis tout à fait optimiste quant à notre capacité à atteindre cet objectif", a-t-il déclaré. Selon lui, le besoin d'interopérabilité est "très réel", car d'ici 2030, les forces aériennes européennes utiliseront près de 1 000 avions développés et fabriqués en Europe (quelque 300 Rafales français, 450 Typhoons anglais et plus de 200 Gripens suédois), en plus d'un peu moins de 400 F-35 développés par les États-Unis. Il pense également que l'intelligence artificielle sera à bord de l'avion pour aider le pilote à prendre des décisions opérationnelles et tactiques. "Elle ne sera pas là pour aider le pilote à piloter l'avion, car cela ne sera pas nécessaire. Le vol de l'avion sera contrôlé automatiquement", a-t-il expliqué. Il a ajouté que sur les sept "piliers" de développement - avion, moteur, téléporteurs, nuage de combat, simulation, capteurs et furtivité - actuellement en cours de développement, le "plus effervescent" est pour l'instant le nuage de combat, "dont nous sommes tous d'accord pour dire qu'il s'agira d'un développement totalement européen". Il a déclaré que tous les pays étaient d'accord pour que les avions et les transporteurs à distance puissent opérer à partir de porte-avions. Ce qui "reste un sujet", a-t-il admis, c'est l'exportabilité de l'avion. La France, par exemple, souhaite pouvoir exporter le NGF. M. Moritz a également confirmé que la Belgique participerait au programme en tant qu'observateur dans le cadre d'un protocole d'accord d'ici la fin de l'année, avec l'intention de devenir un partenaire à part entière à un moment donné dans l'avenir. En ce qui concerne la Suède, il a fait remarquer qu'il faudrait au moins deux ans avant que la Suède ne décide de ce qu'elle veut pour l'avenir de son aviation. (Bien que lors de la récente conférence internationale sur les avions de combat à Madrid, la Suède ait indiqué qu'elle ne prendrait pas de décision avant 2031). M. Moritz s'est également efforcé d'expliquer que le Global Combat Air Program (GCAP) britannico-italo-japonais, anciennement connu sous le nom de Tempest, n'est pas comparable au SCAF car il ne concerne que le développement de l'avion de combat de la prochaine génération. Il ne s'agit pas d'un système de systèmes comme l'est le SCAF. https://breakingdefense.com/2023/11/fcas-weighing-4-fighter-designs-could-make-final-choice-by-march-2025/ -
Portrait du capitaine « Bobby », pilote britannique en échange au de l’AAE (On notera le réflexe incontrôlé du sourire qui survient lors du passage du Typhoon au Rafale...) Le capitaine Robert est pilote de Typhoon au sein de la Royal Air Force. En échange au sein de l’escadron 3/30 « Lorraine » sur Rafale depuis août 2021, il participe à cette nouvelle édition d’Atlantic Trident 23 https://www.defense.gouv.fr/air/actualites/portrait-du-capitaine-bobby-pilote-britannique-echange-au-laae
-
MILF interviewé par la RAF sur AT23....
-
scaf [SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...
Ponto Combo replied to g4lly's topic in Europe
doublon -
Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
Ponto Combo replied to pascal's topic in Europe
Le Monde, toutes les nouvelles d'avant hier.... -
scaf [SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...
Ponto Combo replied to g4lly's topic in Europe
The Times n'est pas un tabloïd. La ligne éditoriale c'est autre chose. Je te rejoins sur la jalousie au sujet de la France et le côté schadenfreude quand ça leur est possible. -
Le projet Aukus de construction de sous-marins nucléaires à Adélaïde, d'une valeur de 368 milliards de dollars, a été qualifié de "conte de fées" et de "baril de porc" par Alexander Downer, le plus ancien ministre australien des affaires étrangères. M. Downer a déclaré lundi que l'élément central du projet Aukus "drainerait l'économie nationale", se joignant ainsi à un certain nombre d'hommes d'État plus âgés qui s'interrogent sur la faisabilité ou l'opportunité de construire des sous-marins nucléaires. Dans le cadre du plan Aukus, l'Australie acquerra au début des années 2030 des sous-marins américains de classe Virginia. L'Australie modernisera immédiatement le chantier naval d'Osborne, en Australie-Méridionale, afin de commencer à construire de nouveaux sous-marins SSN-Aukus d'ici la fin de la décennie, pour une livraison au début des années 2040. Le coût total du plan est estimé à 368 milliards de dollars d'ici au milieu des années 2050. Lundi, M. Downer s'est demandé où l'Australie obtiendrait "360 000 millions de dollars". "L'acquisition de sous-marins nucléaires est importante pour la sécurité nationale et, plus largement, régionale, et j'y suis donc favorable, mais leur construction en Australie était beaucoup trop coûteuse et ne se fera jamais", a-t-il déclaré à Radio National. "Aucun des hommes politiques au pouvoir aujourd'hui ne le sera plus [lorsque les sous-marins seront lancés dans les années 2040]. Ils n'auront pas à faire face aux conséquences de ce projet ; un futur gouvernement devra s'en charger" Le développement de la capacité de l'Australie à construire des sous-marins nucléaires est un élément central du plan Aukus, qui vise à répondre aux préoccupations du Congrès américain selon lesquelles la vente à l'Australie de sous-marins nucléaires "rares" nuirait à la sécurité nationale des États-Unis. Jeudi, le bureau du budget du Congrès américain a publié un rapport avertissant que la vente de trois à cinq sous-marins de classe Virginia à l'Australie dans les années 2030 "réduirait le nombre de sous-marins d'attaque disponibles pour la marine [américaine]". Le rapport indique que les chantiers navals américains ont déjà "du mal" à répondre à la demande existante. M. Downer a été ministre des affaires étrangères du gouvernement Howard de 1996 à 2007, lorsque l'Australie a mis en service ses sous-marins de la classe Collins, les premiers à être construits en Australie. Certains de ces six navires pourraient être amenés à fonctionner jusqu'en 2050, en attendant la construction de la flotte de sous-marins nucléaires. M. Downer a déclaré : "Un peu de charcutage - construire une route ici, ou investir dans une salle de classe et un terrain de sport là - n'a probablement pas beaucoup d'importance, et c'est plus ou moins acceptable et accepté dans le cadre du processus politique. "Mais lorsqu'il s'agit, dans ce cas précis, de centaines de milliards de dollars, il faut se rendre compte que ce genre de gaspillage a un effet assez négatif sur l'économie nationale. "Ainsi, les sous-marins de la classe Collins auraient pu être construits en Suède, il aurait probablement été préférable de les construire en Suède et [nous aurions pu] simplement les acheter aux Suédois, mais je veux dire que c'était il y a très longtemps, donc cela a été fait. Le plan Aukus a également été critiqué par l'ancien premier ministre libéral Malcolm Turnbull, qui craint que l'Australie ne soit pas en mesure d'exploiter des sous-marins nucléaires sans l'expertise des États-Unis, et par l'ancien premier ministre travailliste Paul Keating, qui estime qu'il s'agit d'un moyen de dissuasion coûteux et inutile contre la Chine. Le président américain, Joe Biden, a déclaré à Anthony Albanese, à l'issue d'entretiens à la Maison Blanche mercredi, que l'adoption d'une législation autorisant le transfert de sous-marins à propulsion nucléaire à l'Australie était une question de "non pas si, mais quand". https://www.theguardian.com/australia-news/2023/oct/30/aukus-submarine-deal-built-adelaide-alexander-downer
-
scaf [SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...
Ponto Combo replied to g4lly's topic in Europe
On croise les doigts.... Germany may abandon €100bn fighter jet project with France .... et pourrait lever son veto sur l'AS pour rejoindre le Tempest https://www.thetimes.co.uk/article/germany-may-abandon-100bn-fighter-jet-project-with-france-2n7ffv5g5 Article sous paywall, donc difficile de se faire une idée sur sa crédibilité. En général The Times est sérieux. -
Non, Vishnou thinking
-
Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
Ponto Combo replied to pascal's topic in Europe
Ça fait combien en temps indien? -
La partie gris clair est mobile pour régler l'écart pupillaire, il est préférable de centrer la caméra de restitution sur le casque.
-
Il y a une camera de restitution sur le dessus du casque au centre.
-
Un "rétrofit" C vers E n'est pas réaliste, les versions sont trop différentes ( cellule plus longue, 40% de carburant interne en plus, trains d'atterrissage positionnés différemment, points d’emport différents, etc). C'était une vague idée au début pour influencer le lancement... Tous les E sont ou seront neufs.
-
Durant 10 jours, les Rafale F4.1 et Mirage 2000D rénovés à mi-vie (RMV) ont expérimenté leurs derniers standards, avec au bilan 60 sorties et 100 heures de vol réalisées. Aux côtés de 12 nations, les équipages ont pris part à des vols réalistes et complexes rassemblant un large panel d’aéronefs : Eurofighter Typhoon, F-16, F-18, Tornado et Grippen. Les hélicoptères de combat Gazelle et Tigre de l’armée de Terre et les E-2C Hawkeye de la Marine nationale étaient aussi de la partie.
-
Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Ponto Combo replied to Philippe Top-Force's topic in Europe
BAe était chargé des ventes à l'international... https://en.wikipedia.org/wiki/Saab_JAS_39_Gripen