
Ponto Combo
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Voir P44/50....
Les Mirage 2000-5 et -9 sont navalisés maintenant... Le stagiaire a encore frappé. Étonnante coquille pour un document DA...
https://dassault-aviation.publispeak.com/rapport-annuel-2021/doc/article/44/
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Il y a 2 heures, Patrick a dit :En plus, avec l'arrivée de l'OSF NG, beaucoup de tranches OSF vont être disponibles d'occasion ou stockées.
Si tu parles de la nouvelle voie IR alors c'est inexacte...
Un OSF est composé 3 unités:
UGT Unité de Gestion Traitement, c'est un boitier électronique qui fait en même temps l'interface mécanique avec l'avion
UIT Unité d'Identification et Télémétrie, c'est la voie TV qui a fait l'objet de l'amélioration IT Improved Tehnology
UIV Unité IR de Veille qui fait l'objet de la modernisation de la version F4
L'UIT et l'UIV sont montés sur l'UGT. L'OSF NG va uniquement remplacer le lest qui est en lieu et place de l'UIV d'origine.
Une UIT:
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Comment ce marin français a réussi le Perisher, le stage britannique de commandement de sous-marin
Le capitaine de corvette Clément Coeffé a validé le Perisher, la formation britannique des futurs commandants de sous-marins nucléaire d’attaque (SNA). À l’occasion de la venue du roi Charles III en France, il nous raconte son expérience lors de ce stage hors du commun qui renforce les liens franco-britanniques en matière de défense.
En 1917, alors que la Première Guerre mondiale fait rage, les Britanniques subissent de nombreux naufrages de sous-marins. Pour stopper ces pertes, ils créent un stage très sélectif afin de mieux former les futurs commandants de la Royal Navy. Cette formation est ouverte aux alliés les plus proches du Royaume-Uni. En 2022, le capitaine de corvette Coeffé a été le troisième français à y participer. Il nous raconte.
En quoi consiste le Perisher ?
Cette formation est l’ultime sélection des officiers britanniques pour se voir confier le commandement d’un sous-marin nucléaire. D’une durée de cinq mois, le Perisher réunit cinq à six stagiaires venus principalement du Royaume-Uni, des États-Unis et de France. Après des enseignements théoriques et des entraînements sur simulateurs, j’ai embarqué sur un SNA britannique dans les fjords de Norvège. Pendant un mois, j’ai pu prendre le commandement du submersible, à tour de rôle avec les autres candidats et sous la supervision d’un Teacher – l’officier entraineur, ancien commandant de sous-marin très expérimenté. Ce dernier teste nos prises de décision dans des situations difficiles. Il cherche à développer chez nous une « agressivité contrôlée » dans l'exercice du commandement. Formés jusqu’alors à respecter des procédures et à agir dans un cadre strict, nous devons, pour accéder au commandement, apprendre à dépasser ces limites tout en conservant un niveau de sécurité acceptable.
Sélectif à quel point ?
Le taux de réussite moyen pour les officiers britanniques est de 60 %. Lors de mon cours, un candidat a échoué 30 minutes avant la fin de l’épreuve et a été immédiatement débarqué du sous-marin, après s’être vu offert une bouteille de whisky – c’est la tradition. Cela marque les esprits.
Y a-t-il une seconde chance ?
Pas en cas d’échec à la mer. Le Teacher est très clair dans une lettre qu’il envoie à tous les stagiaires. C’est un cours où l’on échoue – ou réussit – devant tout un équipage. Difficile dans ces conditions de regagner la confiance des marins lorsqu’elle est perdue. Le stress est très intense car la moindre erreur peut mettre fin à notre carrière de commandant de sous-marin.
Parlez-nous des missions effectuées lors de ce stage.
La phase « mer » s’est effectuée dans les eaux norvégiennes, connues pour leurs fjords étroits et la présence de pêcheurs contraignant les opérations. Nos missions ont balayé tout le spectre des opérations sous-marines : acquisition de renseignement, observations d'objectifs côtiers, lutte anti-navire et anti-sous-marine, dont un exercice de détection et de pistage d’un submersible norvégien.
Un moment marquant vous vient-il en tête ?
Lors d’une mission, notre tâche était de reconnaitre un objectif afin d’y déployer ultérieurement une équipe de forces spéciales. Les jours précédents, nous avions reconnu l’ouest de l’objectif. Enclavé dans un fjord, le sud restait à observer. Après plusieurs études de la zone et en tant que responsable de la navigation, j’ai proposé un plan passant par le sud : un chemin plus complexe en raison de cartes insuffisamment précises mais, à mon sens, réalisable. Mon plan a été retenu et nous sommes entrés dans le fjord. Cependant, en raison d’une trop grande densité de pêcheurs, nous avons dû rebrousser chemin après quelques minutes seulement.
Que s’est-il passé ensuite ?
Après la manœuvre, le Teacher ne nous a donné aucune indication concernant son appréciation de la situation. J’étais assez perturbé de ne pas savoir si j’avais agi correctement. Avais-je pris des risques inconsidérés ? Avais-je été trop téméraire ? À la fin du stage, j’ai appris que le commandant du bateau avait apprécié ma capacité à me mettre dans une situation inconfortable mais surtout la faculté de notre équipe, dans l’action, à renoncer à notre plan car le niveau de sécurité n’était plus acceptable.
Le Perisher est une illustration du niveau de confiance entre les marines française et britannique. L’intégration est telle que la validation de ce stage au Royaume-Uni prévaut également en France. Selon Clément Coeffé, la coopération franco-britannique se vit à travers ces échanges d’officiers.
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il y a 19 minutes, Teenytoon a dit :
Quelqu'un l'avait déjà vu celle-là ?
Mais ça fait toujours plaisir de la revoir.
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La partie "Ex Cassidian" basée à Élancourt a été intégrée dans une boite qui s'appelle Spherea séparée d'Airbus maintenant. Il était question de rapatrier à Toulouse toutes leurs activités.
Il me semble que ce sont ces équipes qui ont fait le banc Mermoz du Rafale:
Citation
Banc de test Mermoz
Le banc de test automatique Mermoz réalisé par EADS est conçu pour tester près de 350 équipements (calculateurs, organes de visualisation pilote, RBE2, OSF, lance-missiles, etc.). Il permet de diagnostiquer les pannes et d’assurer la remise en état des matériels avec des délais de l’ordre de quelques heures. En évitant un retour systématique à l’industriel, il permet de réduire considérablement les quantités de pièces de rechange nécessaires à l’emploi des Rafale.Le gros sites Airbus DS restant à Élancourt c'est du spatial, beaucoup de salles blanches.
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il y a 40 minutes, Titus K a dit :
Probablement... Il est à la retraite maintenant:
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il y a 35 minutes, Picdelamirand-oil a dit :C'est difficile à retrouver parce que c'est un you tube et que je ne me rappelle plus le nom de la manifestation où ça a eu lieu.
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il y a 3 minutes, Picdelamirand-oil a dit :
Oui je pensais à la détection des 3 F-16 à 80 NM, mais j'étais peut être un peu optimiste, après on ne connait pas les conditions météo.
Comme @Patrick, c'est peut-être une détection via SPECTRA si les radars des F16 sont ON ce qui est le cas le plus probable
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Il y a 2 heures, herciv a dit :
Ca c'est de l'info.
Afficher une info signifie que le pilote doit être en mesure de confirmer une identification, et pas simplement de visualiser quelque chose qui ressemble à un chasseur.
La formulation de la phrase n'implique pas qu'il y a identification.
Il y a 1 heure, Picdelamirand-oil a dit :Surtout que ce n'est pas avec le nouvel IRST !
L'IRST détecte mais ça ne veut pas dire qu'il identifie, surtout à ces distances.
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Ils sont cons les américains, ils veulent intégrer un HMD monoculaire sur le F22...
The Air Force is looking for a host of F-22 Raptor upgrades and will seek small businesses to offer potential solutions, according to a draft “open topic” on the AFVentures Small Business Innovation Research (SBIR) page. No timing was stated for the upgrades.
According to a recent but undated “Focus Topics” summary in the AFVentures system, which is run by the Air Force Research Laboratory, the Air Force is looking at 14 potential F-22 upgrades, including:
- Integrating the Thales Scorpion helmet-mounted display/weapon cuing system
- A long-range infrared search-and-track sensor
- Manned-unmanned teaming
- Pilot-assisted autonomy
- A GPS-alternative navigation system
- Simulation of “red air” threats
- Algorithms for “optimized intercepts”
- Combat identification of threats
- Cyber intrusion detection and prevention
- Predictive maintenance
- Synthetic data generation
- Sensor fusion
- Improved sensing
- Real-time debriefing
The Air Force has been evaluating the Scorpion helmet for at least seven years. The F-22 is the only frontline Air Force fighter not to have a helmet-mounted display and targeting system; the F-15 and F-16 both use the Joint Helmet-Mounted Cuing System (JHMCS), and the F-35 has its own unique helmet-mounted display system (HMDS).
For various reasons—mostly budgetary, but also due to the size of the helmet hampering pilot movements under the F-22 canopy—the helmet system has been consistently deleted from planned F-22 upgrades over the years.
The AFVentures announcement says the service is willing to entertain small business proposals to process aircraft data and provide an interface to the Scorpion helmet, not to provide the helmet itself. The “desired functionality” is to include “displays of threats, battlespace lines, aircraft state information, weapon information, and navigation information.” The overall goal is to improve battlespace situational awareness; “usability and processing intensity are considerations.”
https://www.airandspaceforces.com/usaf-looks-to-small-businesses-for-some-f-22-upgrades/
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Ellemann : des erreurs ont été commises dans l'achat d'artillerie
Les rapports sur le déroulement de l'affaire Elbit montrent que des erreurs ont été commises et que le Parlement danois a reçu des informations incorrectes dans plusieurs cas. Aujourd'hui, le ministre de la défense Jakob Ellemann-Jensen a présenté ses excuses au Parlement danois et estime qu'une enquête indépendante sur cette affaire est nécessaire.
Aujourd'hui, le ministre de la défense Jakob Ellemann-Jensen a informé le parlement danois de la défense et la commission des finances sur l'affaire Elbit. Les rapports du ministère de la défense et de l'Agence danoise du matériel et des achats de défense (FMI) montrent que des erreurs ont été commises et que le Parlement danois a reçu des informations erronées dans quatre domaines en particulier.
Les documents indiquaient à tort que le contrat avec le fournisseur devait être signé avant la fin du mois de janvier pour que l'appel d'offres soit valable.
Le Parlement danois n'a pas été suffisamment informé du fait que l'IGF n'a pas repris contact avec tous les fournisseurs potentiels en raison de contraintes de temps.
Le Parlement danois a eu l'impression erronée que la défense danoise recevrait un système d'artillerie ATMOS - un soi-disant démonstrateur - au printemps 2023.
Le Parlement danois n'a pas été informé qu'au début du mois de janvier, un accord a été conclu entre FMI et Elbit dans le cadre d'un procès à partir de 2020."Des erreurs ont été commises dans ce processus. Aujourd'hui, je me suis excusé auprès du Parlement danois, tout comme je me suis excusé pour le traitement urgent des documents. Malheureusement, les rapports montrent que le Parlement a reçu des informations incorrectes dans plusieurs cas. Il s'agit d'informations que j'ai reçues de mon ministère et que j'ai transmises. C'est répréhensible. Je la prends très au sérieux", a déclaré le ministre de la défense Jakob Ellemann-Jensen.
Les rapports montrent que la formulation des documents transmis à la commission des finances le 26 janvier est incorrecte. Les documents indiquent que "le dossier est *** car le contrat avec le fournisseur doit être signé dès que possible et avant la fin du mois de janvier pour garantir la validité de l'offre, les possibilités de production et une mise en place rapide de la capacité opérationnelle".
Cette formulation a donné l'impression que l'offre expirerait à la fin du mois de janvier, alors qu'en réalité, la date limite visait à assurer la livraison la plus rapide possible des nouveaux systèmes.
Des questions qui restent sans réponse
Un autre élément de critique concerne la nature de l'étude de marché réalisée par l'IGF, et notamment la question de savoir si le Parlement danois a été informé du fait que, faute de temps, tous les fournisseurs potentiels n'ont pas été contactés.
FMI déclare qu'elle "n'a malheureusement pas été précise dans la formulation du moment et de la manière dont les informations sur les possibilités de fournir des systèmes d'artillerie de Nexter Systems ont été obtenues". Ainsi, il ressort de l'évaluation du matériel que des demandes informelles ont été adressées à trois fournisseurs concernés, dont Nexter Systems. Or, cela n'a pas été le cas pour Nexter Systems".
Le Parlement danois a également eu l'impression erronée que la défense danoise recevrait un système d'artillerie ATMOS - un soi-disant démonstrateur - au printemps 2023. À l'époque, c'était l'un des arguments en faveur de l'acquisition d'ATMOS, mais en raison de malentendus sur le lieu et le moment de la livraison, le démonstrateur n'est arrivé au Danemark que la semaine dernière.
En outre, le Parlement danois n'a pas été informé que, début janvier, un accord a été conclu entre FMI et Elbit dans le cadre d'un litige datant de 2020. FMI souligne dans le rapport qu'il n'y a aucun lien avec la signature ultérieure du contrat, mais ni le ministère ni le ministre de la défense ne semblent avoir été informés à l'époque de la conclusion de l'accord, ce que FMI a confirmé.
"Dans l'ensemble, le processus a été critiquable. Des erreurs ont été commises et j'ai donc insisté sur le fait que des mesures concrètes devaient être prises pour que ce type de processus ne se reproduise pas. J'ai encore un certain nombre de questions concernant la couverture du marché par FMI et le fait que le ministère n'ait pas été informé de l'accord conclu avec Elbit. J'ai donc proposé aux parties à l'accord de mener une enquête indépendante afin de clarifier les questions qui subsistent", a déclaré Jakob Ellemann-Jensen.
https://www.fmn.dk/da/nyheder/2023/ellemann-der-blev-begaet-fejl-i-forbindelse-med-artilleri-indkob/
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Il y a 17 heures, Titus K a dit :
Il y une source pour "les uk préfèrent le subsonique furtif et les français préfèrent le haut supersonique"
J'ai cru comprendre que les deux pays financent deux missiles différents que les deux pays vont utiliser main dans la main.
Voir p40 du rapport parlementaire conjoint franco-britannique: "en conclusion des travaux d’une mission d’information conjointe
sur la prochaine génération de missiles anti-navires"CitationLa capacité des deux pays à s’entendre pourrait achopper sur la question
de savoir si la priorité doit être accordée au développement de missiles
supersoniques et manœuvrants, ou de missiles subsoniques mais plus furtifs.
Historiquement, les acteurs militaires et industriels français ont privilégié la
vitesse à la furtivité, considérant que la vitesse permettait d’accroître la
survivabilité du missile en privant l’adversaire de tout temps de réaction. Cette
approche contraste avec celle choisie par le Royaume-Uni, qui a toujours opté
pour des systèmes de missiles plus furtifs. Cette divergence entre nos deux pays a
été soulignée par M. Antoine Bouvier lors de son audition par la mission
conjointe : « Il y a en France et en Grande-Bretagne des cultures opérationnelles,des cultures techniques, des expériences, des héritages technologiques bien
différents. En deux mots, la culture opérationnelle et technologique est plutôt
fondée, en France, sur la vitesse, tandis qu’en Grande-Bretagne, elle repose
davantage sur la manœuvrabilité et la furtivité. »
Ces deux options sont étudiées dans le cadre de la phase de concept. Au
cours des auditions conduites à Paris, la capacité des deux pays à s’accorder sur
une solution commune a été identifiée comme l’un des enjeux majeurs du
programme FMAN/FMC, tant par M. Joël Barre, que par M. Antoine Bouvier ou
l’amiral Prazuck.
Pour ce dernier, les deux options devraient être comparées l’une à l’autre
« afin de déterminer laquelle est la plus efficace ». M. Antoine Bouvier a, quant à
lui, suggéré une approche similaire, en appelant à « un approfondissement des
échanges entre les deux pays afin de mettre sur la table les avantages et les
inconvénients de chaque solution technique […] et que chaque pays expose le plus
ouvertement possible à l’autre les mérites et limites des différentes solutions, de
manière à ce que la meilleure décision soit prise ».-
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On ne connait pas le CV de cette personne mais son avis est très tranché....
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il y a 18 minutes, Kamelot a dit :
J'ai un doute : le casque Scorpion de L'AAE Rafale F4.1 est il monté sur du MSA Gallet ou pas ?
CitationDepuis le début de cette année, la DGA a débuté des essais d’intégration et de compatibilité entre le viseur de casque Scorpion de Thales et le casque Gallet CGF LA 100. Se déroulant au CEV (Centre d’Essais en Vol) de Cazaux, cette campagne a pour but d’intégrer le viseur de casque dans le futur standard 4 du Rafale.
https://air-cosmos.com/article/le-viseur-de-casque-du-rafale-f4-24547
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Il y a 4 heures, Picdelamirand-oil a dit :
le dispositif EOTS basé sur le QWIP utilisé dans les Sukhoi Su-57 et F-35.
J'ai plus que des doutes. Santa Barbara Focalplane qui est la filiale de Lockheed Martin fournissant les blocs de détection est réputée pour ses détecteurs InSb utilisé entre autres sur le pod Sniper dont est dérivé l'EOTS. Ils travaillaient sur du QWIP en LW mais pas en MW, encore qu'il a pu y avoir du changement. Le QWIP est surtout utilisé en imagerie, il est plus facile d'obtenir de grandes matrices homogènes contrairement au MCT ou les rendements de fabrication sont moins bons.
Citation"Les détecteurs QWIP constituent une option viable dans la partie LWIR du spectre", déclare Axel Reisinger, directeur technique et cofondateur de QmagiQ (Nashua, NH). "Basés sur des semi-conducteurs III-V très matures, ils offrent des rendements de fabrication et une stabilité opérationnelle - et donc un coût - bien supérieurs à ceux des dispositifs HgCdTe existants. En revanche, leur efficacité quantique est intrinsèquement beaucoup plus faible, ce qui limite leur utilisation à des applications qui peuvent tolérer de longs temps d'intégration (un peu comme un film photographique "lent" qui nécessite de longues expositions pour collecter un nombre suffisant de photons). Cette caractéristique les rend inadaptés à la détection et au suivi de cibles se déplaçant rapidement ou de scènes changeant rapidement. Cela dit, les QWIP conviennent parfaitement - et peuvent même être supérieurs - pour toute application nécessitant des fréquences d'images ne dépassant pas 30 ou 60 Hz".
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10000h de vol pour les Rafale égyptiens. Papier de JL
https://www.timesaerospace.aero/features/defence/major-milestone-in-rafale-export-programme
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Bel accueil au Japon:
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[Rafale]
in Europe
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il faut être pisteur pour s'y retrouver...