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Ponto Combo

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Tout ce qui a été posté par Ponto Combo

  1. Ponto Combo

    [Rafale]

    Relis ce que j'ai écrit.. Une photo pour illustrer mon propos: Tu vois les 3 boites noires montées dans l'avion? une de ces boites est l'émetteur du PESA qui contient le TOP. Sur la potence que manœuvre les deux gars, tu as la structure qui se monte dans la pointe avant. D'un côté est fixé l'antenne, qu'elle soit passive ou active. De l'autre côté, on voit l’emplacement de l'OSF (entre les deux bras) Question: que fais tu de l'émetteur PESA qui représente 1/3 du volume du back end quand tu montes une antenne AESA? Dans le fond, je suis d'accord avec Roland pour dire que c'est secondaire. Par contre c'est faux de dire qu'on ne change que les antennes sans toucher au reste.
  2. Ponto Combo

    Achat suisse

    Contrats entre la Suède et Saab pour les Gripen suisses L’Etat suédois veut conclure cette année des contrats avec Saab, le constructeur des avions de combat Gripen. Ils doivent notamment assurer le développement et la fabrication des 22 appareils destinés à la Suisse Dès que le Parlement suédois aura adopté le programme d’armement, un premier contrat doit être conclu entre l’agence gouvernementale FXM et Saab, ( 19.85 17.11%) a dit samedi Peter Minder, porte-parole du Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS). Il confirmait une information de la Neue Zürcher Zeitung. Le Parlement suédois se prononcera probablement durant la deuxième semaine de décembre sur le programme d’armement. Si ce dernier est accepté, le premier contrat devrait être valable début 2013 déjà. Celui-ci portera sur le développement du Gripen monoplace de type E, a indiqué Peter Minder. Mi-2013 suivra un deuxième contrat concernant la production en série. Ces deux documents ne porteront pas uniquement sur les avions de combat que la Suède veut acquérir pour elle-même, mais aussi sur ceux que la Suisse veut acheter. Le centre fédéral d’armement armasuisse ne conclura pour sa part avec Saab qu’un contrat portant sur les affaires compensatoires. Accord-cadre Selon l’accord-cadre conclu par la Suisse avec la Suède pour l’achat des Gripen, la responsabilité incombe à l’Etat suédois, a rappelé le porte-parole du DDPS. Dans ce document, le pays scandinave garantit à la Confédération la livraison de 22 Gripen pour le prix fixe de 3,126 milliards de francs. Malgré les garanties étatiques de la Suède, l’acquisition des Gripen n’en finit pas de soulever des critiques. Certains politiciens spécialisés en matière de sécurité soulignent qu’en cas de violation de l’accord, il n’existe aucune possibilité de sanctions. D’aucuns critiquent aussi le fait que l’accord-cadre n’a pas encore été publié intégralement et que les chiffres concernant le prix n’ont pas encore été montrés noir sur blanc. Le Conseil fédéral devrait formellement soumettre sa proposition de programme d’armement au Parlement début novembre. Il est agendé au printemps à la Chambre des cantons puis en juin au National. http://www.tdg.ch/suisse/contrats-suede-saab-gripen-suisses/story/12947204
  3. Ponto Combo

    [Rafale]

    Il reste du pop-corn?
  4. Ponto Combo

    [Rafale]

    Pour abonder dans ton sens, dans le PESA actuel, on a 3 URL derrière l'OSF (émetteur, traitement, pilote). Je ne vois pas un changement de l'antenne sans au moins toucher à l'émetteur actuel qui ne sert plus à rien. Il faut donc forcément trifouiller le back end. Ça ressemble effectivement à une "simplification" de la "com" pour le commun des mortels.
  5. Suède, Japon, Etats-Unis… Monténégro? Devinez qui a la dette la plus risquée ? Dans la zone euro et ailleurs, la crise mondiale de la dette est rythmée par la dégradation ou - plus rarement - le relèvement des notes des Etats par des agences de notation privées: Standard & Poor's, Moody's & Fitch principalement. Plus habituées à noter des entreprises et des produits financiers - leur mission originelle, avec le succès que l'on sait... -, ces agences utilisent d'abord des critères économiques et financiers traditionnels. Mais ces critères suffisent-ils à déterminer quelles sont les dettes d'Etat les plus risquées à long terme ? Et si ce risque dépendait aussi de la soutenabilité de la croissance, et donc de la capacité durable - plutôt qu'immédiate ou à moyen terme - à rembourser les créanciers? La piste est intéressante. Elle est le postulat de l'étude "Dette publique : nouveaux enjeux et notation ESG [environnement, social et gouvernance] (disponible en exclusivité par le lien suivant : http://medias.lemonde.fr/mmpub/edt/doc/20121010/1773138_c240_oddo_securities_-_esg_-_dette_souveraine_-_sept_2012_-_fr.pdf) réalisée par les économistes et les analystes spécialisés ESG de la société de Bourse Oddo, sous la houlette de Jean-Philippe Desmartin, Nicolas Jacob et Bruno Cavalier. L'étude utilise les critères qualitatifs de la notation "extra-financière", qui s'est développée ces dernières années pour déterminer le caractère "durable" des performances des entreprises, afin d'éclairer les décisions des investisseurs socialement responsables (ISR). A cette aune, quelques pays ont sans doute plus de soucis à se faire qu'on ne le pense - les Etats-Unis, le Royaume-Uni et le Luxembourg notamment -, tandis que les pays scandinaves sont bien armés. L'étude d'Oddo Securities porte sur 45 Etats, soit les 34 pays développés ou intermédiaires appartenant à l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), ainsi que les autres membres de l'Union européenne et les candidats à son entrée : un échantillon de pays qui ont émis, ensemble, les deux tiers des 50 500 milliards de dollars (38 843 milliards d'euros) de dette publique mondiale recensée à la fin 2011. ... Au sommet de la liste, les meilleurs élèves surprennent peu. On y trouve les démocraties scandinaves et océaniennes, dont l'ouverture, la transparence et l'équilibre social et démocratique - conjugués au dynamisme économique - sont souvent vantés. La Suède (72 points sur 100) se place en tête de liste des sept pays classés en opportunité "forte", devant le Danemark (67,5), la Nouvelle-Zélande et la Norvège (66), la Finlande (64,5), l'Australie (62,3) et l'Autriche (60). La suite de la liste est plus surprenante, puisque les pays classés dans la catégorie "opportunités" - au-dessus de la moyenne de 52,3 points sur 100 - ont des degrés de développement encore très différents, du Canada (58,5), des Pays-Bas (57,5) ou de la France (57) à la Pologne (56,5) ou la Croatie (56)... qui devancent l'Allemagne et la Suisse (56), et plus encore le Japon (52). Mais le résultat devient franchement étonnant sous la moyenne. L'analyse multicritère place la Belgique et le Luxembourg au niveau de l'Estonie (52), devant l'Irlande (51,5) et le Royaume-Uni (51), lui-même au niveau de la Roumanie. Surtout, les Etats-Unis obtiennent un résultat très faible (44), comme l'Italie (43,5), à égalité avec le Monténégro pour fermer le ban de la catégorie "opportunité modérée". Tandis qu'en dernière division ("opportunité faible") se trouvent trois membres de la zone euro : Chypre (43), la Grèce (42) et Malte (39,5), aux côtés du Mexique (40,5), de l'Albanie (42) ou de la Macédoine (37), bonne dernière. Le modèle qui arrive à ces conclusions constitue une aide complémentaire pour les investisseurs : ces notes ont le mérite de signaler des risques qui ne sont pas nécessairement mis en évidence ailleurs. Ainsi, trois pays - le Luxembourg, les Etats-Unis et le Royaume-Uni - disposent d'une notation ESG dite " perfectible " (opportunité modérée), alors que leur notation financière mesurée par S & P est jugée solide (AA + ou AAA). Les caractéristiques environnementales, sociales et de gouvernance "pourraient peser à terme négativement sur la soutenabilité de la dette financière de ces trois pays", estime Oddo Securities, qui les place "sous surveillance négative ESG". La Croatie, la Lettonie et l'Islande sont dans la situation inverse : notées BBB -, leurs bonnes performances ESG améliorent "la soutenabilité de leur dette" ! Evidemment, il ne s’agit pas pour les investisseurs socialement responsables (ISR) de se baser sur ces seuls résultats. Mais puisque la soutenabilité de la dette est une problématique de long terme, la notation ESG a son importance. Voici quelques années, la Grèce empruntait encore à des taux d’intérêt voisins de l’Allemagne. Or, selon les auteurs de l’étude, l’écart de notation ESG entre l’Allemagne et la Grèce était déjà du même ordre qu’aujourd’hui. Ce signal aurait pu servir… http://lemonde-emploi.blog.lemonde.fr/2012/10/10/suede-japon-etats-unis-montenegro-devinez-qui-a-la-dette-la-plus-risquee/
  6. Ponto Combo

    Achat suisse

    Le Gripen n’a toujours pas de majorité au parlement Le futur avion de combat suisse est présenté aujourd’hui à Emmen. Pourtant, les feux restent à l’orange pour le Gripen suédois. Il passera sans doute en votation populaire, s’il réussit à convaincre le parlement… C’est aujourd’hui que les forces aériennes exposent le démonstrateur Gripen F sur l'aérodrome militaire d'Emmen. L’avion venu spécialement de Linköping (Suède) a été présenté mardi dernier aux parlementaires des commissions de politique de sécurité et a pris part, hier, aux traditionnelles démonstrations en vol des Forces aériennes sur l'Axalp. Mais verra-t-on encore ces prochaines années d’autres Gripen sur les Alpes suisses? Ce n’est pas une certitude. Il suffit d’entendre les parlementaires romands de la Commission de sécurité pour en douter. «Ueli Maurer ne répond jamais par A plus B à nos questions. J’ai de très gros doutes sur les garanties qu’il dit avoir reçues par l’Etat suédois», explique Hugues Hiltpold. Le conseiller national genevois PLR veut un avion de combat, mais n’entend pas faire campagne pour le Gripen sans être rassuré. «D’une part, Ueli Maurer dit qu’il n’y a pas d’alternative au Gripen – pas de plan B – et d’autre part, lui et son département font comme si le parlement allait inéluctablement accepter cet achat. A l’heure actuelle, le PLR ne le soutient pas», explique Hugues Hiltpold. Le centre droit attend des réponses Difficile dans ces conditions de construire une majorité en faveur du Gripen. L’UDC a beau soutenir le choix de son ministre, elle aura besoin d’alliances. Mais les présidents des quatre partis du centre (PLR, PDC, PBD et Vert’libéraux) viennent d’adresser une lettre à la présidente de la Confédération Eveline Widmer-Schlumpf et exigent des réponses sur le processus d’acquisition des avions de combat. Elle fait écho au ping-pong de désapprobations réciproques entre parlement et Conseil fédéral. Chacun jugeant les réponses de l’autre insatisfaisantes. Le PDC est, lui, aussi dans cet état circonspect et très critique: «Aujourd’hui, devant le peuple, on se prendrait une claque magistrale! Le Conseil fédéral ne répond pas sérieusement aux questions que se posent les parlementaires», explique Luc Barthassat. L’élu genevois estime d’ailleurs qu’Ueli Maurer devrait être dessaisi du dossier et la procédure d’achat d’un jet de combat reprise à zéro. L’UDC Yvan Perrin, s’il continue à soutenir son ministre, met l’accent sur une responsabilité collective du gouvernement. Est-il confiant dans une union sacrée de la droite à la dernière minute? «Mon impression est que le Conseil fédéral s’est engagé avec Saab ( 19.85 17.11%) plus que la prudence ne l’aurait dicté. Il y a encore beaucoup de flou. Et tant qu’il nous répond avec ce ton paternaliste, il n’y aura pas de majorité pour l’avion», explique Yvan Perrin. Une votation populaire très mal engagée De plus, le conseiller national UDC n’a pas été davantage convaincu par les propres représentants de Saab et de l’armée suédoise lors de la présentation à Emmen mardi dernier. «Les aspects techniques sont désormais réglés, mais les questions sur le risque industriel restent ouvertes. Et chacun fait comme si la très possible votation populaire en Suisse était gagnée d’avance… C’est pourtant très mal engagé», analyse Yvan Perrin. La gauche qui, elle, ne veut pas d’avion de combat, voit le dossier s’enliser sans joie, mais avec satisfaction. «Je suis un socialiste qui veut une armée compétente. Mais le spectacle des mésententes de la droite, d’Armasuisse, des forces aériennes et du Département, décrédibilise le processus d’achat sans que l’on s’en mêle», commente le conseiller national vaudois Eric Voruz. http://www.tdg.ch/suisse/gripen-toujours-majorite-parlement/story/31015829
  7. Ponto Combo

    Le F-35

    Le plan B des US peut s'appliquer à eux aussi. Par contre les Britons et leur PA sans catapulte (et les italiens), ça peut potentiellement être un sacré casse-tête.
  8. C'est à confirmer, mais je pense que d'après le pacte d'actionnaires cela doit être possible sans que Merkel n'ait son mot à dire. De toute façon, je doute que Dassault ai envie de rentrer dans ce jeu, ils n’ont pas grand chose a y gagner.
  9. Ponto Combo

    Le F-35

    Oui, c'est bien le même article. Sur Dedefensa l'interprétation sera toujours un peu extrême sur certains points... Enfin, en ce qui concerne un plan B, il doit y avoir pas mal de personnes qui cogitent sur le sujet et pas seulement aux US.
  10. ... Car le but de Lagardère est bien de vendre ses titres, probablement fin 2013, une fois le nouveau long courrier d'Airbus, l'A 350, mis sur le marché. Et c'est là tout le paradoxe de sa position dans cette affaire : une fusion EADS-BAE aurait certainement rendu sa participation plus liquide. Alors que le maintien de la structure actionnariale actuelle d'EADS rend sa sortie beaucoup plus compliquée. L'Etat français devra lui trouver un repreneur, au risque de voir le pacte d'actionnaire voler en éclats. Certains murmurent déjà que le seul candidat crédible pourrait être... Dassault ! Dont EADS détient 46%... http://lexpansion.lexpress.fr/entreprise/fusion-eads-bae-pourquoi-lagardere-et-daimler-ont-rate-le-coche_346593.html#xtor=AL-189
  11. Ponto Combo

    Le F-35

    Ouch! Pentagon Should Investigate Fighter Options Beyond The F-35 http://www.aviationweek.com/Article.aspx?id=/article-xml/AW_10_01_2012_p58-500608.xml&p=1
  12. Ah! Ce cher Loren Thompson. Porte-parole du CMI américain, ardent défenseur du JSF... Ses arguments ne tiennent pas deux secondes. Les dividendes élevés ne sont pas un indicateur très pertinent, cela peut aussi refléter un cours de l'action bas ou un manque d'investissements. Quant aux soi-disant "unfair subsidies" pour Airbus, ça fait sourire quand on pense aux actualités récentes... Subventions à Boeing : Bruxelles réclame 12 milliards de dollars de sanctions aux Etats-Unis http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/09/27/bruxelles-reclame-12-milliards-de-dollars-de-sanctions-aux-etats-unis-pour-avoir-subventionne-boeing_1766809_3234.html
  13. Ponto Combo

    Photos de Russie

    J'aime bien le "sous-marin" de 1721. Il faut espérer que les vapeurs de la vodka qui était stockée là-dedans ont bien été dissipées. Sinon, bonjour l'ivresse des profondeurs...
  14. Les dépêches tombent un peu partout... EADS +3.5% en ce moment. Les discussions sur une fusion EADS et BAE Systems ont échoué en raison du blocage de l'Allemagne, a déclaré mercredi une source proche de l'entreprise EADS. "Ca n'a pas marché parce que les Allemands ont bloqué", a déclaré cette source, confirmant que les deux entreprises n'allaient pas demander au régulateur britannique une extension du délai qui expire à 18 heures pour poursuivre les négociations. Le porte parole du gouvernement allemand refuse pour le moment de commenter l'information. Peu avant, la porte-parole du gouvernement français avait simplement déclaré: "les discussions se poursuivent, normalement une décision doit être rendue publique aujourd'hui". La Grande-Bretagne attend une annonce d'EADS et BAE et il revient aux deux groupes de prendre une décision sur leur projet de fusion, a déclaré mercredi le ministre britannique de la Défense, Philip Hammond. "Nous attendons une annonce des sociétés, les sociétés s'en occupent en ce moment", a-t-il déclaré à Reuters. "Elles ont tenu un conseil d'administration hier soir. Nous attendons leur annonce, qui, si j'ai bien compris, doit intervenir aujourd'hui", a-t-il ajouté. "Il ne m'appartient pas de dire qui fait quoi, la décision est entre les mains des sociétés." L'action EADS était en forte hausse après l'annonce et gagnait 2,86% à 26,86 euros tandis que le titre BAE était en recul. http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/10/10/97002-20121010FILWWW00418-eadsbae-berlin-bloquerait-la-fusion.php
  15. Ça va intéresser Tancrède, entre autres... Cette personne est Hongroise. EADS-BAE: la trahison à l horizon Pour y voir plus clair dans cette affaire dite « extrêmement complexe » que serait la fusion proposée entre EADS et BAE Systems, il faut avant tout rectifier au moins deux contre-vérités omniprésentes dans l’écrasante majorité des dépêches d’agences, sans parler des commentaires divers et variés. Première « erreur » : à en croire la présentation trompeuse à laquelle on a droit dès les premiers ébruitements, le mariage des deux sociétés aéronautiques et de défense résulterait en un géant européen, capable de tenir tête à la concurrence internationale, notamment celle des grandes firmes américaines. Faux. L’un des premiers soucis des mariés eux-mêmes serait justement de réfuter toute étiquette « européenne », et leurs noces signifieraient, en effet, une étape décisive dans le transfert sous le giron du Pentagone de l’industrie d’armement européenne. Deuxième « erreur » : les exigences prétendument déraisonnables des gouvernements, en particulier celles de la France, risqueraient de torpiller une lumineuse idée qui, selon ses initiateurs, « makes perfect business sense ». Doublement faux. Primo : vouloir maintenir, voire maximiser l’influence des Etats dans des compagnies éminemment stratégiques n’est pas un luxe, encore moins un caprice, mais un devoir envers les contribuables-citoyens. Secundo : aux yeux des instigateurs industriels du projet, il s’agit avant tout d’un dessein idéologique (à forte implication politico-stratégique), à tel point que pour le mener à bien ils sont parfois prêts à ignorer même leur sacro-sainte « logique des affaires ». http://www.hajnalka-vincze.com/Publications/185 C'est dans la droite lignée de ce qu'elle écrivait en ... 2007 Ce sont ces dispositions qu’il faut garder à l’esprit avant d’applaudir la « conquête » du marché de défense américain par des entreprises étrangères. En vérité, l’intérêt de telles opérations est purement financière (augmenter le retour sur investissement pour les actionnaires). L’acquéreur est dans l’incapacité de dégager des synergies, il n’a pas d’influence réelle sur la gestion des filiales US, et pas d’accès aux technologies développées sur sol américain. L’essentiel de son investissement lui échappe. La filiale US reste partie intégrante du système US (elle peut aussi être obligée, à chaque instant, de laisser tomber tout autre engagement contractuel pour donner préférence aux demandes du Pentagone), dans un isolement quasi-total de la société mère. S’il y a conquête, c’est donc dans l’autre sens qu’elle se fait. Car les entreprises étrangères qui investissent massivement dans les USA deviennent, du coup, exposées aux pressions, chantages et « bons conseils ». Comme l’ancienne British Aerospace, devenue BAE Systems en 1999, qui se vante aujourd’hui d’être le 6ème plus grande société de défense américaine, et fut parmi les 5 premiers donateurs issus du secteur de l’armement lors des législatives de 2006 aux Etats-Unis. Et dont les dirigeants se sont précipités à préciser, au sujet de l’éventuelle levée de l’embargo européen contre la Chine, que pour appliquer une telle décision ils auraient besoin de l’autorisation de Washington au même titre que de celle du gouvernement britannique. A l’évidence, du point de vue européenne, ce n’est pas l’existence de cet arsenal réglementaire outre-Atlantique qui pose problème. Mais le fait que nous ne pratiquons pas, nous en Europe, les mêmes règles du jeu. Hormis, bien entendu, les deux grands travers du système US. Non pas, donc, pour servir la course au profit des intérêts particuliers, mais au service d’intérêts collectifs, et non pas en appliquant deux poids deux mesures, mais en reconnaissant et respectant, chez les autres, la souveraineté que nous voulons nous-mêmes sauvegarder. Si nous voulons la sauvegarder. http://www.hajnalka-vincze.com/Publications/168
  16. Ponto Combo

    [Rafale]

    Oui, et il en aurait perdu la boule... ... Ce qui en aurait fait un monorchide...
  17. Ponto Combo

    [Rafale]

    Il fonctionne aussi de jour mais en IR (on voit essentiellement les objets par contraste thermique). Avec une voie fonctionnant dans le "visible" on a une meilleure résolution.
  18. Il ne me semble pas qu'elle ait déjà été posté... C'est superbe, à regarder plein écran. Qu'est ce qu'on est bien au sec... http://www.youtube.com/watch?v=xx51ab2cUxA&feature=plcp
  19. Ponto Combo

    [Rafale]

    M. Jacques Gautier - ... Les pods Damoclès sont, selon nos pilotes, inadaptés aux missions qui sont les leurs en Libye. L'industriel nous dit qu'ils n'ont pas été conçus pour cela. Quand aurons-nous des pods de désignation d'objectifs à la hauteur ? ... M. Laurent Collet-Billon, délégué général pour l'armement - ... Nous considérons également qu'il faut rapidement améliorer les capacités du pod Damocles dans l'identification de petites cibles de jour. ... Le pod Damoclès actuel n'est pas parfaitement adapté, c'est un fait. Nos forces ont besoin d'un pod avec une voie jour excellente, du même niveau que les pods Sniper ou Lightning. Nos industriels savent le faire. Nous avons du reste bouclé une négociation avec Thales sur ce sujet. ... http://www.senat.fr/compte-rendu-commissions/20110711/etr.html
  20. Ponto Combo

    [Rafale]

    Le composant clé c'est le détecteur IR. Or c'est le même que pour le Pirate de l'Eurofighter. Il est toujours au catalogue de Sofradir. Je penche plutôt pour une obsolescence du concept qu'une obsolescence purement matérielle.
  21. Oui c'est bien ce qui est écrit dans le pdf Thanks to the central electric drive, the firer will be able to pre-select a rate of fire of up to 600 rounds per minute. Matching the rate of fire to the specifics of the gun mount eliminates the problem of detrimental resonance frequencies. Powered by the electric drive, the gearbox-driven crank moves the bolt forward and back for the ammunition. Il y a un moto-réducteur pour le réarmement de la culasse ce qui permet de régler la cadence de tir jusqu'à 600 cp/mn.
  22. Ponto Combo

    Mirage 2000

    Ça ne se claironne pas... Il s'agit d'un officier taïwanais, indique l'armée de l'air : le lieutenant-colonel Tung-Yi Wong, 37 ans, qui servait au 1/2 depuis près de deux ans dans le cadre d'accord technique avec son pays. Taïwan a acquis 60 Mirage 2000-5 et fait partie d'une sorte de "club d'utilisateurs", même si la présence de pilotes taïwanais dans l'armée de l'air reste discète... pour ne pas froisser Pékin. Le lcl Wong était un pilote expérimenté, avec 1500 heures de vol sur Mirage 2000. Il s'apprêtait à rentrer chez lui, le mois prochain... Il était marié et père d'une petite fille. http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/A-Luxeuil-un-pilote-taiwanais-tue-dans-le-crash-d-un-Mirage-2000-5-actualise-2_a778.html
  23. Ponto Combo

    Marine Britannique

    Par rapport à la version de 2010, le look s'est Fremmisé... =)
  24. Ponto Combo

    Achat suisse

    La Suisse n'achètera que du "E". Trop cher le développement de la version biplace...
  25. Ponto Combo

    Mirage 2000

    JM Tanguy parle d'un pilote en échange...
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