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ARMEN56

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Tout ce qui a été posté par ARMEN56

  1. ARMEN56

    Marine allemande

    Une place au balcon doigts de pieds en éventail pour renifler tranquillou le bruit rayonné dont celui des hélices …
  2. Le vraquier Rubymar simple coque ayant eté construit en 1997 serait en principe assujetti à cette règle Solas de stab après avarie « 3 Bulk carriers of 150 m in length and upwards of single-side skin construction, carrying solid bulk cargoes having a density of 1,780 kg/m3 and above, constructed before 1 July 1999 shall, when loaded to the summer load line, be able to withstand flooding of the foremost cargo hold in all loading conditions and remain afloat in a satisfactory condition of equilibrium, as specified in paragraph 4. This requirement shall be complied with in accordance with the implementation schedule specified in regulation 3 » On parle d’hypothèse d’envahissement de la cale avant plus grosse cale plutôt https://imorules.com/GUID-9F5223E2-E2FF-4427-9B35-789DBDAE780C.html Apres 2009 la SOLAS s’est compliquée en une approche probabiliste …’ https://afcan.org/dossiers_reglementation/capitaine_solas2009.html https://www.afcan.org/dossiers_reglementation/regles_probabilistes_solas2009.html L’arrière s’est enfoncé de 7 , 8 m en raison de la tranche machine noyée .Selon images le navire resterait ttfois stable en équilibre . Dès lors ne voit pas autre chose que ; - de tenter d’alléger l’arrière en colmatant et en asséchant ( si c’est possible ??) - de s’assurer que la première CPE ( superstructure/cale) reste étanche - Une fois le cul levé , tenter de ballaster pour établir une assiette gérable en remorquage puis échouage . - Grigri et/ou gousse d’ail Ceci dit Il existe des professionnels du « salvage » ; SMIT international , ils ont de bonnes réf https://fr.wikipedia.org/wiki/Smit_International https://smit.com/
  3. Dans cadre étude de pérennisation du BTS Bougainville en 97 ( perspective MINREM) on avait proposé au SPN une solution POD pour remplacé une prop asthmatique ; un avant projet travaillé a minima en offre budgétaire. Des gros efforts et toussa pour finalement de le mettre à la baille en matchant avec les hollandais pour le Dupuy lors étude BSAH /PPP en 2010 nous avions travaillé avec le staff technique de LDA ( je n’avais jamais été aussi impressionné qu’à l’écoute des pointures -généralistes- qui animaient les projets de la flotte LDA , ben pour rien au monde ils auraient mis des POD sur leurs navires ( trop de risques indus ) POD , des tas d’avantages ( gain de volume - souplesse en manœuvrabilité….) mais aussi pas mal de doute , tenue aux chocs , , concentration de masse tranche arrière, bruits , vibs et j’en passe ? Sinon reste les POD oreillettes pour soigner mon vieil auditif ; ambiance bal musette Yvette , André , Édouard ….mes Beatles accordéonistes quoi
  4. Les gros soucis de roulement concernaient uniquement les Mermaid de 20 mw , pas ceux de 7 mw montés du BPC. Démonstration de la problématique roulements et butée gros POD avec explications RR à CAT , j’y étais à poser des questions ….
  5. Article visible des abonnés .
  6. C’est sûr qu’une hélice sous tuyère offre une poussée supplémentaire et donc améliore le rendement propulsif . Mais pourquoi avoir été question de changer de pods (*) sur le 3 ? ; - Modifier la manœuvrabilité , celle des 1&2 estimée améliorable ? - Gagner un chouya en vitesse ? - Contrat maintenance pods mermaid RR exorbitant ? Sachant que cette modification conduisait ; - à revoir les études structurelles arrières - à revoir la logistique dans un SLI initial déjà optimisé - refaire d’autres essais chez Marintek ; tous les essais de manœuvrabilité ; zigzag , giration , crash stop et autres - revoir toutes les courbes d’operabilité . J’ai été impliqué tres tres modestement en fin de programme BPC et zéro écho sur cette affaire , mes oreilles ayant participé à qqes réunions POD à CAT dans un contexte de bcq de questions sur les roulements ( suite déboires POD paquebot ) (*) ou alors cette vue correspondant à la réponse ABB consulté en phase projet pour les 1 & 2 https://www.meretmarine.com/fr/construction-navale/le-nouvel-azipod-xl-d-abb-une-tuyere-pour-ameliorer-le-rendement https://library.e.abb.com/public/bb845dbaca5b483a984410e623534fa2/Detailed Description _ AzipodPropulsion.pdf https://library.e.abb.com/public/a2f9b227bdae4e61b0325e12e3fecfff/The Azipod XL.pdf
  7. Peut être une manière de répondre aux reproches évoqués ….? « De même, la DGSE, comme l’ensemble de l’appareil d’Etat, n’avait pas prévu l’invasion de l’Ukraine par la Russie en février 2022, contrairement aux analyses de la CIA » https://www.lopinion.fr/politique/services-secrets-bernard-emie-le-directeur-de-la-dgse-sur-le-depart
  8. ARMEN56

    Le successeur du CdG

    Surtout pas il pleut tout le temps 370 jours par an , les goélands au bord du suicide.., un temps à faire de la rouille , du maussade à oxyder ce qui brille. Sinon ça serait plutôt un réaménagement car dans la bataille on a perdu toute cette poésie ; la base sous marine Le polygone de Gavres , boum boum aussi L’amirauté ( hôtel Gabriel) Le bassin 1 Les gendarmes maritimes aux portes La DP Les Travaux maritimes Le Commissariat Les SAO Les escales de navires militaires Les grands carénages Les vielles barcasse désarmées brise lames….etc
  9. Quand la guerre se déclenche en Ukraine, la DGSE a-t-elle assez de capteurs pour proposer une analyse divergente de celle de la CIA ? « Par le passé, la DGSE a beaucoup investi à l'Est. Donc, au moment du déclenchement de la guerre de la Russie contre l'Ukraine, la DGSE avait les mêmes renseignements techniques que ses partenaires américains. Le problème du renseignement, c'est l'exploitation que vous en faites, l'analyse que vous en tirez. En termes d'anticipation, pour dire les choses simplement, nous étions tout à fait dans la course et nous avons apporté à nos autorités le renseignement technique, précis, sur le déclenchement du conflit lui-même. Là où nous avons leu une divergence d'analyse, c'est que nous pensions, avec d'ailleurs beaucoup de services de nos partenaires de l'Est, que les Russes ne déclencheraient pas le conflit tant que les négociations diplomatiques à niveau élevé se poursuivraient. Et en fait, ils l'ont fait contre toute attente, mais nous savions très bien qu'ils étaient prêts à le faire à tout moment. » Et il y a eu cette divergence d'appréciation parce que la DGSE avait moins de capteurs humains que la CIA par exemple ? « Mais pas du tout. C'est une question d'analyse. Simplement une question d'analyse. La CIA avait fait le choix, tout à fait res-pectable, de divulguer le renseignement qu'elle avait avec comme objectif de dissuader les Russes de lancer leur opération. C'est une politique que, nous, nous n'avons pas. Mais en termes de renseignement, nous étions au même niveau de connaissances. Pour dire les choses simplement : personne n'avait dans l'entourage de Poutine celui qui a accès à son logiciel personnel. » - L’ancien DGSE Bernard Emié dans l'ouvrage "DGSE, la fabrique des agents secrets" de Jean-Christophe Notin (Éditions Tallandier) paru la semaine dernière https://www.linkedin.com/posts/pierre-opexnews_dgse-russie-guerre-ugcPost-7167833645146185728-81wi
  10. Fut une époque , dans l’organisation de l’arsenal de la marine , du port ou de la base marine , c’était la DP qui assurait ( sous directives du MG) ce qu’on appelait les mouvements . Ces mvts avaient pour périmètre le port voire la rade pas plus loin je pense . Par mvts s’entendait ; - entrée sortie navires bassin , forme - Appareillage accostage navire - Accompagnement - Mvts bugalets ( citernes eau douce, Go, mun) - Mvts coffres , grues , ras…..etc C’est clair que Propulseurs d’étrave , safrans Becker et hélices à pales orientales ont donné à la passerelle une meilleure maîtrise des manœuvres de port … Sais pas si chez nous , les mvts pour SNA ou SNLE seraient sous traitables , me semble que la RN fait appel au privé à Portsmouth ou Davenport .
  11. Sous traitance du lamanage au privé …et corrélativement tours de vis à la DP jusqu’à plus de « marga »…
  12. Tu peux mettre les noms des navires dont ceux du fond ? FDA FAA FASM FLF PR SNA BPC FDA Celui déporté sur la gauche, j’vois pas avant dernier une FLF? serre file ?
  13. Merci On s’est étalé pas mal sur le sujet sillage dans le fil « remplacement du CdG » ; sillage de coque + sillage d’hélice aspect discrétion ….etc « kelvin » est même venu y mettre son grain de sel.
  14. J’ai posté pour la blague dans un sillage …de blagues . Mes excuses En réalité je ne sais pas dire si les effets de sillage volatiles air sont transposables dans l’eau telle qu’ici la ligne d’escadre Ceci dit lors ravitaillement en flèche de moins en moins pratiqué , ravitailleur et ravitaillé se tiennent à distance à vitesse modérée .
  15. ARMEN56

    Marine Britannique

    HMS HERMES (R12) INS VIRAAT Scrapped at Alang Ship Breaking Yard
  16. Mais non , cette ligne de V améliore le rendement propulsif de l’escadre
  17. Oui un chalutier peint en gris ; prop elec modernisée en 1990, problématique d’une seule LA , comme l’Aconit ( corvette) . Vu ça de près à la réunion en 2000 pour préparer son IPER à Brest . Souvenirs de discussions avec Henri , ( Leclerc) ex cdt Albatros, qd il était conseillé à ING/DCNS ; un parler simple suscitant l’écoute… Naviguer en littoral antarctique donc loin base logistique ça peut angoisser. Nombreuses demandes de modification à traiter dont bcq traduisant la crainte d’une panne propulsion et/ou collision avec iceberg niveau ancienne grosse cale à poisson , ( pas d’épuisement gros débit) , cale au besoin pouvant d’ailleurs loger un paquet de VLS . Bref l’éloignement initiant grosse considération de safety plateforme …tout ceci étant totalement justifié.
  18. ARMEN56

    [Marine] Taiwan

    Je me demande jusqu’où ira cette modernisation du système de combat La DGA / NG à la manœuvre ….en marchant sur les œufs ?
  19. ARMEN56

    Marine Britannique

    Visiblement le raté ; côté missile ( part US ) ou côté lanceur ( part UK) .. pas une ambiance de kermesse on imagine vu l’image catastrophique véhiculée. Un mariage à deux pour une dissuasion sous tend un ressenti de dépendance , donc de fragilité or à ce propos ;
  20. ARMEN56

    Marine Britannique

    https://www.navylookout.com/a-credible-deterrent-trident-missile-fails-during-test-launch-from-hms-vanguard/ « Comme si la Royal Navy n'avait pas déjà assez de gros titres négatifs à affronter, le journal The Sun rapporte qu'un missile balistique Trident n'a pas été lancé lors d'un récent test. Ici, nous fournissons un peu de contexte à cette histoire. Après une longue période de réaménagement et modernisation , le HMS Vanguard a fait cap de l'autre côté de l'Atlantique en octobre vers les États-Unis pour son opération de démonstration et de shakedown (DASO) planifiée depuis longtemps. Il s'agit d'un événement standard pour les sous-marins de la dissuasion suivant une période de maintenance profonde (DMP) et vise à certifier que le bateau et son équipage sont sûrs, compétents et capables de lancer un missile balistique Trident, s'ils sont appelés à répondre à une attaque nucléaire très improbable contre le Royaume-Uni ou l'OTAN. L'essai de missiles a eu lieu le 30 janvier. Le rapport Sun indique que les boosters du premier étage ne se sont pas enflammés et que le missile est retombé dans l'océan. Lors du lancement de Trident, le SSBN « en plongée » juste en dessous de la surface, le tube est sous pression pour égaler la pression de la mer au-dessus, puis la trappe s'ouvre. Le missile est expulsé verticalement du bateau par de la vapeur à très haute pression. Il monte rapidement à la surface et dans les airs où la fusée de rappel de premier étage s'enflamme juste au-dessus de l'eau et propulse l'arme jusqu'à des vitesses de Mach 1.8 et finalement au-delà de l'atmosphère terrestre. Cette séquence peut sembler simple, mais c'est un défi d'ingénierie très complexe, à la fois en termes de conception de missiles et de sous-marins. Les notifications précédentes aux marins indiquent que l'intention de ce test était que le missile couvrirait environ 6 000 km, descendant jusqu'à un point d'impact dans le milieu de l'océan Atlantique entre l'Afrique et le Brésil. Selon les normes de Trident, il s'agissait d'un vol relativement court car l'arme a une portée d'au moins le double de cette distance. Le MoD affirme que "l'anomalie était spécifique à l'événement, et il n'y a donc aucune implication pour la fiabilité des systèmes et de la réserve de missiles Trident plus larges". En supposant que cette déclaration soit correcte, il y avait des paramètres, des limitations ou des conditions particuliers pour le test qui ne seraient pas le cas dans un scénario de test Les missiles Trident II D5LE sont partagés par le Royaume-Uni et les États-Unis à partir d'une réserve commune et sont entretenus par Lockheed Martin Space Systems avec la flotte américaine de l'Atlantique et les bateaux RN qui embarquent les missiles à l'installation de Kings Bay en Géorgie. (Northrop Grumman fabrique les moteurs de fusée pour les trois étapes du missile Trident). Il s'agit d'un échec de l'industrie américaine autant qu'un problème duRoyaume-Uni, car ils sont responsables de la sélection du missile et de sa préparation pour le test. La gamme de tests est également gérée par les États-Unis et les données sont partagées par les deux parties. Le HMS Vanguard est arrivé à Kings Bay à la fin du mois d'octobre 2023 pour charger des missiles. Il convient de noter que les ogives nucléaires ne sont pas partagées, le Royaume-Uni fabrique les siennes à AWE Aldermaston et Burghfield et les accouple avec les missiles du RNAD Coulport. Pour l'essai de missile, les ogives nucléaires ne sont pas montées et les mannequins de poids égal sont transportés à la place. Il s'agissait du 192e test du système Trident qui a un record de fiabilité exceptionnel depuis son développement dans les années 1990, n'ayant échoué que 10 fois auparavant.L'USN a mené un test réussi aussi récemment qu'en septembre 2023 lors de l'événement DASO de l'USS Louisiana dans le Pacifique. Malheureusement, il s'agit du deuxième échec de test d'affilée impliquant le RN et il n'a pas l'air bon, même s'il y a des raisons nuancées pour le problème qui ne peuvent pas être rendues publiques. En juin 2016, le HMS Vengeance a lancé avec succès un missile, mais il a décollé dans la direction opposée prévue, se dirigeant vers les États-Unis et le personnel de sécurité à portée a commandé le missile pour l'autodétruire. La cause de cela n'a jamais été confirmée, mais une erreur humaine semble plus probable qu'un problème technique. Notoirement, l'échec de 2016 n'a pas été révélé au Parlement avant le vote sur le renouvellement du Trident et est un grief très aimé du lobby antinucléaire. Étant donné que le RN tire des missiles d'un pool commun partagé avec l'USN, cela soulève la question de savoir si une deuxième défaillance n'était que de la malchance ou indique un problème systémique avec les procédures RN ou l'interface entre le bateau et le missile. En raison de l'incroyable sensibilité autour de la technologie Trident et des SSBN, ce type d'analyse ne peut jamais être rendu public. Les informations limitées disponibles suggèrent qu'il s'agissait d'un problème technique lié aux tests et non de la faute des sous-mariniers RN hautement professionnels ou d'un problème avec le HMS Vanguard nouvellement réaménagé. La question clé est la crédibilité de la dissuasion nucléaire du Royaume-Uni. Bien que ce récent revers ne soit pas le bienvenu, la fiabilité globale de Trident est bien prouvée et l'état des sous-marins vieillissants devrait probablement être plus préoccupant que leur système de missiles. La classe Vanguard peut transporter jusqu'à 16 missiles, bien qu'en 2010, il ait été annoncé que seulement 8 missiles seraient transportés de façon régulière (5 ogives par missile). Les résultats des tests, qui peuvent ne pas reproduire complètement un scénario réel, montrent que Trident a un taux d'échec d'environ 6 %. Une projection très grossière suggérerait que si un bateau Vanguard tirait ses 8 missiles, un seul pourrait échouer et 35 ogives nucléaires seraient toujours en route.
  21. Annulé , reposté vers marine britannique
  22. Bah oui on y voit bien les pirogues de compétition sur GE . Plus facile de les mettre à l’eau à partir de la cale inclinée utilisée autrefois pour le beachage technique des BDC .
  23. Dock à gauche bien sûr ; C’est ce que mon (logiciel saison chais plus laquelle) déduisait de la première photo où figurent ALPACI et le PR/PF avec en arrière plan quais et hangars desserte Tuamotu Autrement vu ; Pointe de l’angle sur vue Google earth Rond vert vue époque CEP Le point vert est bien positionné sur les 2 BDC on voit bien leur taud couvrant plage arrière Un Pétrolier juste à droite le dock à l’extrême droite Paillote sur quai en arrière point vert ( la paillote a été démolie voici plus de 10 ans m’a t on dit Et bien à gauche le pont de motu uta
  24. Starter au canon de salut ; et c’est parti pour un nouveau long cours …
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