19 décembre 2012 : visite du Président de la République française, Mr François Hollande, en Algérie,
le Président de la République algérienne, Mr Abdelaziz Bouteflika le reçoit avec tous les honneurs inhérents
à sa fonction au tarmac de l'aéroport Houari Boumediene d'Alger.
Une importante délégation d'hommes d'affaires accompagne François Hollande dont le PDG de PSA Peugeot-Citroën.
Aussitôt, des rumeurs les plus folles et une frénésie s'empare des médias spécialisés dans l'économie.
Pendant ce temps-là, l'action Peugeot augmente de près de 15 % au 20 décembre à 13h30.
A 15h, une conférence de presse a lieu et le ministre de l'économie algérienne avec son homologue
français annonce que le gouvernement algérien entre dans le capital de PSA à hauteur de 10 %
et l'installation d'une usine de production en Algérie courant 2014. La transaction est estimée à plus de 200 millions d'euros.
A la clôture, l'action Peugeot culmine à 7.65 €.
On apprend aussi que l'accord avec Renault est annulé. La France remporte de gros contrats en Algérie avec la construction
de logements, l'agrandissement du métro d'Alger ainsi que la fabrication d'une centrale nucléaire. Pour finir, le groupe Eutelsat
a remporté un contrat pour la fabrication d’un satellite de télécommunication.
La France n'a cependant toujours pas réussi à exporter ses avions de combat rafale...
Le dernier jour de visite du président français n'aura pas lieu. En effet, il est retrouvé mort dans le lieu de résidence fourni par
l'Algérie. Commence alors les problèmes...
François Hollande a été retrouvé mort dans son lit, officiellement d’une crise cardiaque mais des rumeurs se font entendre
comme quoi il s’agissait d’un, décidé en haut lieu de la hiérarchie militaire algérienne…
Après autopsie, il est porté à la connaissance des médias qu’il s’agissait bien d’un accident cardiaque…
Peu après, c’est le président du Sénat qui assure l’intérim au sein du pouvoir exécutif et des élections anticipées
sont prévues pour le 5 mai 2013.
Juste après ces évènements, les relations diplomatiques entre les 2 états ont commencé à se dégrader, d’autant
plus que les enquêteurs français ‘ont pas pu se rendre en Algérie car elle a déjà été faite par une équipe algérienne.
Le 14 février 2013, le président russe Vladimir Poutine est reçu à Alger et un contrat militaire de 8 milliards de dollars
est conclu entre les 2 pays concernant :
-30 avions de combats Su-30MKA,
-50 avions de combats multirôles Su-35,
-500 chars de combats T-90MS,
15 systèmes de défense anti-aérienne S400 et 25 systèmes anti-aériens Pantsyr.
Avec ce gros contrat, l’Algérie deviendra véritablement la 1ère puissance militaire en Afrique.
Après avoir réussi à reformer l’UMP et à s’imposer en leader, Nicolas Sarkozy se présente aux élections anticipées
et gagne avec 56.2% des voix contre Marine Le Pen.
Pendant ce temps-là, la situation au Mali se dégrade. Le gouvernement malien est très instable et des tensions
avec les islamistes se font de plus en plus violentes.
Le 23 octobre 2013, La France dépose une résolution afin d’aider les maliens à reconquérir leur territoire mais à la surprise générale,
la Russie oppose son véto. (Des rumeurs courent que la Russie a répondu favorablement à la demande algérienne d’opposer son véto)
Les relations entre l’Algérie et la France descendent au plus bas, la montée en puissance de l’armée algérienne
qui commence à recevoir ses premiers Su-35 irrite au plus haut point le gouvernement français qui voit
d’un mauvais œil perdre de l’influence dans la région de l’Afrique du Nord et du Sahel.
Durant les 10 premiers mois de l’année 2013, l’économie algérienne connaît une croissance de presque 5%,
plus que es prévisions du FMI. Peugeot va construire une usine an Algérie d’une capacité de 120 000
véhicules destiné prioritairement à la production locale. Par rapport à 2012, la production de blé tendre
a augmenté de 1 600 000 tonnes en Algérie et le Pétrole culmine à plus de 115 dollars le baril.
De plus, les allemands ont commencé la rénovation des chantiers navals de Mers El Kébir afin de l’adapter
à la production de 2 frégates MEKO A-200.
Petit rappel : Bachar El Assad s’est enfui du pays alors que les rebelles avaient presque
assiégé Damas et que la Russie avait lâché le régime. On se retrouve avec une Syrie en ruine avec un
gouvernement instable, pro-occidental et des menaces de sécessions se font sentir dans la partie Kurde du pays.
Le 27 novembre 2013, la France, en froid avec l’Algérie et voulant défendre ses intérêts au Mali et Niger
décide sans l’accord de l’ONU d’intervenir au Nord Mali. L’Algérie excédé, décide de positionner une force aérienne dans sa base
militaire de Tamanrasset (Oui, il y en une).
Les forces aériennes françaises font fuir des terroristes vers l’Algérie et se rapprochent trop près de la frontière,
une escarmouche semble inévitable…
ATTENTION ! IL S’AGIT D’UNE CONFRONTATION MILITAIRE DE MOYENNE INTENSITE, N’ENTRAINANT PAS UNE GUERRE TOTALE !!! (L’équipement militaire algérien n’est pas fictif et sera certainement en dotation dans les prochaines années pour le su35 et s400)
Force militaire algérienne à Tamanrasset :
-2 su-24 (avion de combat spécialisé dans la guerre électronique et de reconnaissance)
-6 Su-24 (avion de combat spécialisé dans le bombardement)
-10 avions de combats multirôles Su-30MKA
-5 avions de combat Su-35
-2000 soldats et des systèmes de défense anti-aérienne S300, s400 et Pantsyr autour de la base
A vous de définir les forces militaires françaises déployés. Bon jeu !