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fraisedesbois

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  1. fraisedesbois

    [Rafale]

    huh! ... l'ingénieur général de l'armement Arvind Badrinath, directeur de programme RAFALE à la Direction générale de l'armement (DGA). "ils sont partout"
  2. (22/06/2023 EGE) Rapport d'alerte - Ingérence des fondations politiques allemandes et sabotage de la filière nucléaire française Alors que les problématiques d’indépendance énergétique et d’unité européenne deviennent de plus en plus saillantes, ce rapport alerte le décideur public, la société civile et les experts, des conséquences néfastes de l’action des fondations politiques allemande – en particulier à l’égard de la filière française du nucléaire. Réalisé et publié par l’École de guerre économique (EGE), ce document est le fruit d’un nouveau travail de recherche d’information en sources ouvertes s’inscrivant dans la lignée du rapport J’attaque ! de mai 2021. Il s’appuie également sur le rapport d’investigation « Comment l’Allemagne finance l’affaiblissement du secteur nucléaire français ? », réalisé et publié en avril 2023 par le Comité d’Intelligence Stratégique pour la Souveraineté (CI2S). Ce dernier a par ailleurs autorisé la reprise de ses travaux par les étudiants de l’EGE.
  3. voilà. En ouverture du défilé aérien (après la PAF), 3 Rafale C de l'IAF. je trouve ça "parlant"... ou du moins, j'ai l'espoir [édit] et oui, je n'ai mis que la première partie du défilé. volontairement, vous avez compris.
  4. allé, je colle ça ici: défilé aérien 14/07/2023:
  5. Bonjour, désolé je l’écris d’emblée, sinon après je vais oublier ce serait dommage: la gourdasse, pardon la journaliste de la BBC confond allègrement… enfin elle écrit: "selon l’unodc, la récolte d’opium en 2022 a augmenté d'un tiers par rapport à 2021". Faux. Selon l’UNODC, les surfaces cultivées ont certes augmenté de c.30%, mais la récolte a diminué de 10%. Du fait de la sécheresse, dit l’unodc. Voilà, comme ça c’est fait, ça soulage, et après on n’en parle plus. Or donc, en plus des reportages en Nangarhar (province du nord-est; à la frontière du Pakistan (Khyber Pakhtunkhwa, ex-FATA)), et en Helmand (province du sud Afghan; à la frontière avec l’Iran), l’article-reportage de la BBC cite 2 principales sources: D’une part, le rapport du United Nations Office on Drugs & Crime publié en nov.2022 (unodc2022.11), dont les sources sont quasi systématiquement « internes » (UN…). Méthodologie (non non ne me remerciez pas) Vite fait: l’unodc, c’est chiffres, graphiques, camemberts, statistiques selon les provinces, pour conclure qu’à nov.22 (parution), 6.200 tonnes d’opium récoltées (10% de - que 2021), sur c.233.000 hectares de terres plantées en pavot à opium (30% de + que 2021). Point. ... Ce qui est choquant lorsqu’on se souvient du décret d’avril2022 d’Hibatullah Akhundzada (lider maximo des taliban): Et d’autre part (l’autre source de la BBC): les analyses de David Mansfield publiées chez Alcis et, pour les plus récentes, basées essentiellement sur de l’imagerie optique haute-résolution d’origine spatiale, axée (téléobjectif braqué) sur les provinces de Helmand (pour le pavot) et de Farah (pour la méth). Le sud, sud-ouest de l’Afghanistan, quoi. Provinces à la frontière avec l’Iran, par où partent deux des trois routes de l’héroïne: celle dite « des Balkans », et l’autre dite « du sud » (vers le Makran, le Balouchistan, la mer d’Oman et Océan Indien (allo les FAZSOI !)): Avant d’aborder le document publié par Mansfield//Alcis, je vous donne quelques éléments de contexte: ... Bref, Mansfield a publié le 060623 sur le site d’Alcis son rapport mansfield2023.06, dont la BBC a eu la primeur, et titré: Vraiment sans précédent : L'interdiction des drogues par les Talibans v2.0. tadaaaa /!\ Teaser: C’est ce document dont je vous fais un petit résumé-papiercollé. Si mon post est un peu long, je vous file d’emblée les points clé, comme ça vous pouvez aller à la piscine après: Interdiction 2022-23 de la culture du papaver somniferum, ok. Remplacé par du blé, ouioui. des stocks d’éphédra (précurseur naturel de la méthamphétamine) détruits, et des labos de méth démantelés un peu partout, ok Mais le commerce, lui, se poursuit (pour combien de temps?). Pas de pénurie, simplement les prix augmentent. C’est tout bénef pour certains, pas pour d’autres. LA question en suspens: l’interdiction sera-t-elle renouvelée la saison prochaine? la prohibition est politique. Pas dogmatique (religieuse). je répète: po-li-tique En retour de l’interdiction, les taliban espèrent l’aide financière internationale pour le développement rural. Si la prohibition était reconduite (2023-24), risque de catastrophe humanitaire, et pour ce qui nous concerne: crise de migrants économiques. Dans le détail: 1/ L'interdiction est bel et bien en place. Il ne restait que 740 hectares de pavot à opium dans le Helmand en avril 2023, contre plus de 129 000 hectares en 2022. 2/ Toutefois, la filière des opiacés se poursuit et il existe peu de restrictions au commerce 3/ les conséquences pour les afghans sont diverses selon qu’ils sont grands propriétaires terriens (du sud) ou bien petits cultivateurs (du nord-est). Et selon que l’interdiction sera reconduite ou non pour la saison 2022/23 (c’est toute la question). 4/ Et les conséquences pour nous-autres (toujours selon que l’interdiction est reconduite ou non l’année prochaine): les pays européens pourraient avoir à choisir entre la drogue afghane et les migrants afghans. À moins bien-sûr que les institutions internationales n’apportent leur aide financière à la patate, pardon: au développement rural 5/ La méthamphétamine. Selon Mansfield, le principal marché d’éphédra (précurseur naturel de l’éphédrine) se situe à Bakwa, au bazar d'Abdul Wadood province de Farah (sud-ouest). Les laboratoires de transformation se situant aux alentours. 2020 2022 Tous les sites de laboratoires d'éphédrine précédemment évalués semblent désormais inactifs sur les images satellite à très haute résolution datant du 26 septembre 2022. /!\ Problème: (…) La destruction de laboratoires et la saisie d'éphédra et d'éphédrine dans d'autres provinces ont également été largement signalées pendant la majeure partie de l'année 2022. (...) le nombre croissant de provinces dans lesquelles ces mesures ont été prises - de Bamian à Herat, de Ghor à Sar e Pol, d'Uruzgan à Faryab - a également révélé à quel point le commerce de l'éphédra et la production d'éphédrine avaient pris de l'ampleur avant même la prise du pouvoir par les Talibans, et à quel point l'industrie continue d'être souple (…) Les efforts récents de destruction de laboratoires dans des provinces aussi éloignées que Farah, Herat, Ghor et Samangan ont montré que notre connaissance de la production de méthamphétamine à base d'éphédra en Afghanistan laissait sérieusement à désirer ». [https://www.alcis.org/post/taliban-opium-ban] (Ma) traduction: À ne se fier qu’aux seules vues du satellite, la filière méth en Afghanistan était démantelée… mais l’optique longue focale du satellite de Mansfield, braquée sur le Bazaar-Machin à Bakwa, en Farah, et proches alentours n’a pas vu la dissémination des labos. Et si j’ajoute que même sur le pavot, en Helmand, les experts se contredisent: l’unodc évoque 20% des terres dédiées au pavot. Mansfield: 45% Ça pose problème, non? Conclusion de Mansfield, prudent: En ce qui concerne la méthamphétamine, il est plus probable que ces efforts aboutissent à une perturbation qu'à une élimination 6/ ... y nada del hashish. (pour le cannabis, voir par ex. afghanistan-analysts.org, 15/06/23 --------------------------- c'est long hein? sisi, c'est long. Du coup je reparlerai de la "dichotomie" entre les acteurs du nord (Nangarhar, Badakhshan) et ceux du sud (Helmand, Nimroz...) une autre fois. Ainsi que de la thématique hydrique (comme ça ça introduira le post que je dois écrire dans "Iran".
  6. ne rigole pas tant (...) Autre opération menée par les services secrets tricolores, notamment la DGSE : une manœuvre de diplomatie parallèle en Biélorussie, ayant conduit le président Loukachenko à renoncer à envoyer des troupes en Ukraine. Cette mission, que le média Intelligence Online a révélée sous le nom d’«opération Alisia» et que L’Express peut détailler, a consisté en une mise sous pression de l’entourage sécuritaire du dirigeant sur les conséquences financières et politiques d’une participation active au conflit. Par ailleurs, si nul ne confirme officiellement la présence d’agents du service action de la DGSE en Ukraine, l’information ne fait guère de doutes. (...) [l'Express, nov.2022] et plus récemment (mars2023): France-Biélorussie: Au cœur de l'opération de la dernière chance de la DGSE à Minsk Intelligence Online a pu remonter la trace d'un ultime voyage de Bernard Emié à Minsk, le 24 mars, pour jouer les médiateurs auprès d'Alexandre Loukachenko. Si, le lendemain, Vladimir Poutine a affirmé avoir eu l'accord de la Biélorussie pour déployer des armes nucléaires tactiques sur son territoire, une semaine plus tard, le président biélorusse plaidait pour une trêve entre Moscou et Kiev. [...] (506 mots)
  7. fraisedesbois

    Le successeur du CdG

    un "lieu riche", tu dis?
  8. (tasnim 29/05)L'Iran offre une aide militaire au Mali dans la lutte contre le terrorisme
  9. fraisedesbois

    Le successeur du CdG

    c'est pas un couteau suédois?
  10. (defensa.com, 23mai) La marine roumaine sera dotée de deux sous-marins de la classe Scorpène Le Parlement roumain a autorisé l'achat de deux sous-marins français de la classe Scorpène de type conventionnel d'une valeur de 2 milliards d'euros, avec lesquels sa marine récupérera la capacité perdue après avoir désactivé il y a près de trois décennies celui de construction soviétique "Delfinul", qu'il a utilisé entre 1985 et 1995. Nous serions confrontés à la première vente de sous-marins de Naval Group, l'entreprise d'État française de construction navale, sur le marché européen exigeant, dominé ces dernières années par son concurrent allemand ThyssenKrupp Marine Systems (TKMS). La dure compétition pour doter la marine roumaine a débuté en 2018, lorsqu'elle a annoncé, pour faire face aux problèmes de sécurité dans la région de la mer Noire, qu'elle envisageait la reprise de la capacité sous-marine, perdue au milieu des années quatre-vingt-dix de la dernière décennie, lorsqu'il a été retiré de l'éléphémère sous-marin (...)
  11. trouvé ça: sources: https://xorl.wordpress.com/2021/04/16/russias-cyber-operations-groups/
  12. ... or donc, élections ce dimanche en Turquie. La (bonne) tenue du scrutin dans les zones touchées par les tremblements de terre, tâche compliquée... (asiatimes, 12mai) Le scrutin en Turquie : confiance et esprit démocratique La sécurité et la transparence seront essentielles pour que les résultats des élections de ce week-end soient respectés. La Turquie se rend aux urnes dimanche pour l'une des élections les plus importantes de son histoire récente. Les enjeux sont considérables, tant pour le Turc moyen que pour l'élite qui gouverne depuis plus de vingt ans. Malgré ce qui ressemble à une main de fer sur la politique nationale, le président Recep Tayyip Erdogan et son Parti de la justice et du développement (AKP) au pouvoir sont vulnérables. Dans un contexte d'inflation galopante, de baisse record des salaires et de restriction des libertés individuelles, le parti arrivé au pouvoir en 2002 pourrait finalement être sur le point de disparaître. Quoi qu'il en soit, la sécurité et la transparence seront essentielles pour que les résultats soient respectés. (...)
  13. (theprint.in, ce jour) La Cour suprême du Pakistan qualifie l'arrestation de l'ancien ministre Imran Khan d'illégale et ordonne sa libération immédiate La décision du tribunal intervient au milieu de violences généralisées entre les partisans de l'ancien Premier ministre et les forces de sécurité pakistanaises, qui ont fait au moins 12 morts. New Delhi : Dans une tournure dramatique des événements, la Cour suprême du Pakistan a ordonné jeudi la "libération immédiate" de l'ancien Premier ministre et chef du parti pakistanais Tehreek-e-Insaaf (PTI), Imran Khan, qualifiant son arrestation dans l'affaire Al-Qadir Trust de "illégale". Cette décision intervient deux jours après que son arrestation ait conduit à des violences à grande échelle dans tout le pays. Les manifestants appartenant au parti de Khan ont vandalisé des installations militaires, y compris le siège du pouvoir au Pakistan - le quartier général de l'armée pakistanaise. (...)
  14. En parlant des "territoires du nord-est", un bon article/reportage introductif aux problématiques de cette région, en tous cas des territoires frontaliers avec le Myanmar. Je ne suis pas dupe que ce papier est aussi une opé de comm. du corps des Assam Rifles, mais c'est pas grave (selon moi). Date de 2021. The Hindu. Traduit avec Deepl. Méthamphétamine, or et armes - Comment l'Assam Rifles tente de les empêcher d'entrer au Mizoram. Les Assam Rifles doivent relever le double défi de contrôler la contrebande et d'empêcher les passages illégaux vers le Mizoram, tout en supervisant le très retardé et ambitieux projet de transport en transit multimodal de Kaladan. Dinakar Peri nous parle de cette force paramilitaire. Printemps 2023, la route Zorinpui-Paletwa est toujours "en cours de construction" Un "brief" d'ORF, fev.2023: Projets de connectivité de l'Inde avec le Myanmar, après le coup d'État : Un bilan
  15. La Cour suprême examinera le recours du PTI contre l'arrestation d'Imran Le parti a saisi la Cour suprême après que l'arrestation de l'ancien premier ministre a été jugée "légale" par l'IHC. La Cour suprême devrait entendre jeudi la requête du Pakistan Tehreek-e-Insaf (PTI) contre l'arrestation du chef du parti, Imran Khan. Un banc de trois membres, dirigé par le juge en chef du Pakistan (CJP) Umar Ata Bandial, examinera l'affaire. Le juge Muhammad Ali Mazhar et le juge Athar Minallah seront également présents. L'audience débutera à 14 heures. Un jour plus tôt, le PTI a déposé une requête auprès de la haute cour pour contester la décision de la Haute Cour d'Islamabad (IHC) selon laquelle l'arrestation du chef du parti, Imran Khan, par le Bureau national des comptes (NAB) dans les locaux de l'IHC, le 9 mai, était "légale". Après l'arrestation d'Imran, qui a déclenché de violentes manifestations dans tout le pays, le vice-président du PTI, Shah Mahmood Qureshi, a convoqué une réunion d'urgence d'un comité de sept membres du parti afin d'examiner la situation et d'élaborer une stratégie globale visant à obtenir la libération rapide et en toute sécurité de l'ancien premier ministre. Mercredi, l'équipe juridique du PTI, dirigée par Fawad Chaudhry, a déposé une requête auprès de la Cour suprême, lui demandant d'annuler l'ordonnance rendue par le juge en chef de l'IHC à la suite de l'arrestation. "L'autorisation d'interjeter appel peut être accordée contre l'ordonnance contestée du 09-05-2023 adoptée par l'honorable IHC [...] peut être annulée et, après avoir entendu les parties, le mandat daté du 01-05-2023 émis par le président du NAB [National Accountability Bureau] peut être déclaré nul et il peut être ordonné de libérer le pétitionnaire/accusé immédiatement dans l'intérêt de la justice", peut-on lire dans la pétition. /deepl (je parie qu'ils vont le relâcher) ----------- [edit] À propos de ce NAB (National Accountability Bureau // Bureau national des comptes), un papier intéressant du Diplomat, datant de 2020 (nb: Imran Khan était alors PM). Je n'en colle que cet extrait: (...) La plupart des affaires contre l'opposition sont préparées par le National Accountability Bureau (NAB), la puissante agence anti-corruption créée par le général Pervez Musharraf et toujours dominée par l'armée. Le contrôle exercé par le puissant establishment militaire sur le NAB est évident dans la mesure où, bien qu'il soit apparemment dirigé par un juge à la retraite, la plupart de ses postes clés restent occupés par des officiers de l'armée ou des services de renseignement à la retraite, ce qui permet aux militaires de poursuivre sélectivement les hommes politiques. L'un des anciens présidents de la NAB, qui était également un proche de Musharraf, a ouvertement admis que le général avait l'habitude de manipuler les affaires faisant l'objet d'une enquête, selon ses désirs (ou ceux de l’armée). Bien que le NAB prétende rendre des comptes de manière impartiale, les tribunaux supérieurs ont conclu le contraire et ont ouvertement critiqué le NAB pour avoir spécifiquement victimisé des personnalités politiques majeures. Dans l'affaire Hudaibia Mills, la Cour suprême a conclu que le seul motif était de faire pression sur la famille Sharif. Dans une autre affaire contre Shehbaz Sharif de la même famille, la Haute Cour de Lahore a également observé qu'elle avait été choisie par le NAB avec l'intention de le cibler. En outre, les principaux tribunaux se sont également montrés préoccupés par l'attitude partiale du NAB en général. Il y a environ un an, les juges de la Cour suprême ont réprimandé le NAB pour sa politique de deux poids, deux mesures et sa politisation dans le traitement des affaires, certaines étant poursuivies avec force et d'autres retardées de manière très pratique. Dans un autre commentaire, il y a quelques années, la Cour suprême avait censuré le NAB et l'avait accusé de détruire le pays par ses politiques. (...) etc.
  16. (Extrait du live de Dawn (quotidien pak)): La province de Khyber Pakhtunkhwa demande le déploiement de l'armée pour maintenir l'ordre public Le gouvernement de Khyber Pakhtunkhwa a écrit une lettre au gouvernement fédéral pour demander la réquisition des forces armées dans la province. Dans une notification, dont Dawn.com a obtenu une copie, le gouvernement de Khyber Pakhtunkhwa a demandé que des forces armées soient déployées dans la province en raison de la "situation qui prévaut en matière d'ordre public, de la sécurité des vies et des biens des citoyens ainsi que de la sécurité des installations gouvernementales". Auparavant, le ministère de l'intérieur avait approuvé le déploiement de troupes armées au Pendjab. ---- [edit] Par ailleurs, le PTI (le parti d'IK) a déposé une requête constitutionnelle devant la Cour Suprême par l'intermédiaire de l'avocat Khawaja Haris, plaidant que "l'arrestation d'Imran Khan est illégale". La requête a également demandé au tribunal suprême d'annuler l'ordonnance d'IHC (la Haute Cour d'Islamabad) déclarant l'arrestation d'Imran légale, et d'ordonner de présenter le premier ministre déposé devant le tribunal (de la Cour Suprême).
  17. Entre les États-Unis et la Corée du Sud, un accord de défense nucléaire (courrierinternational, 27avril) Au moment de commenter l’accord conclu avec les États-Unis, le président sud-coréen, Yoon Suk-yeol, s’est fendu de cette déclaration, rapportée par la CNBC : “Une paix durable dans la péninsule coréenne ne va pas se faire toute seule.” C’est pour cette raison que les leaders de Washington et de Séoul, qui se rencontraient dans le cadre d’une visite d’État de Yoon Suk-yeol aux États-Unis, ont signé la “déclaration de Washington”. Un accord qui prévoit des mesures censées envoyer un message sans ambiguïté au régime de Pyongyang, détaille le média américain : “Des sous-marins américains à armement nucléaire accosteront en Corée du Sud pour la première fois depuis plus de quarante ans, et, en échange, la Corée du Sud va réaffirmer son engagement au sein du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP), qui interdit aux pays de développer leurs propres armes atomiques.” L’accord conclu prévoit également que “les armées américaine et sud-coréenne renforcent leur entraînement commun et intègrent mieux les ressources militaires de Séoul dans l’effort de dissuasion stratégique commun”. Enfin, un groupe de consultation nucléaire entre les deux pays sera mis sur pied pour élaborer une planification stratégique nucléaire en réponse à d’éventuelles attaques nord-coréennes. Un accord insuffisant pour apaiser les inquiétudes ? Des progrès certains, donc, mais “le contrôle opérationnel de ces armes atomiques restera entre les mains des Américains”, tempère The Korea Times.À ce sujet, le média anglophone donne la parole à Yang Uk, chercheur à l’institut d’études politiques Asan, qui prévient : “Je ne pense pas que cette déclaration puisse apaiser les inquiétudes de nombreux Sud-Coréens qui ont exprimé la nécessité pour leur pays de fabriquer ses propres armes nucléaires.” Une affirmation que le journal de Séoul appuie en relayant les résultats d’un sondage mené par ce même institut auprès de 1 000 Coréens. Selon les réponses fournies, 64 % des personnes interrogées pensent que la Corée du Sud devrait se doter de ses propres armes nucléaires. Une option qui sera donc écartée en vertu de la “déclaration de Washington”, ce qui est néanmoins normal au vu des intérêts des États-Unis, concède Yang Uk. “Il est tout à fait compréhensible que les États-Unis aient fixé une limite stricte à la dissuasion nucléaire indépendante de Séoul, juge l’expert. Washington ne souhaite absolument pas que la Corée du Sud soit dotée de l’arme nucléaire, et l’administration Biden s’oppose fermement à la dissémination d’arsenaux nucléaires dans n’importe quel pays.”
  18. Pour appréhender ce qui se joue au Pakistan actuellement: Pakistan : Une guerre civile d'un autre genre (ORF, Sushant Sareen, mars2023) Chaque action des principaux acteurs politiques pakistanais ne fait qu'enfoncer un peu plus le pays dans le bourbier. La crise politique actuelle au Pakistan est, sans aucun doute, le défi le plus sérieux auquel est confronté l'État qui a vu le jour en 1947. En fait, il ne serait pas exagéré de dire que la crise actuelle est plus grave et plus dangereuse que la crise du Pakistan oriental de 1971, qui a fini par diviser le pays et a laissé un Pakistan croupion sur le front occidental de l'Inde. Ce qui rend l'imbroglio politique actuel particulièrement destructeur, c'est qu'il s'est transformé en une guerre civile au sein de l'establishment au pouvoir. avec deepl.
  19. l'ex PM Pakistanais Imran Khan arrêté: Le chef du PTI, Imran Khan, qui était présent à la Haute Cour d'Islamabad (IHC) pour deux audiences mardi après-midi, a été arrêté dans l'affaire Al-Qadir Trust, ce qui constitue un revirement choquant. La police d'Islamabad a publié un communiqué citant l'inspecteur général (IG) Akbar Nasir Khan qui a déclaré qu'Imran avait été arrêté dans le cadre de l'affaire qui allègue que le chef du PTI et sa femme ont obtenu des milliards de roupies d'une société immobilière pour la légalisation de 50 milliards de roupies. Le chef de la police a également déclaré que la situation à Islamabad était "normale", ajoutant que la section 144* avait été imposée dans la ville et que des mesures seraient prises contre les contrevenants. Le ministre de l'intérieur, Rana Sanaullah, a déclaré qu'Imran ne s'était pas présenté devant le tribunal malgré plusieurs mises en demeure. "L'arrestation a été effectuée par le Bureau national des comptes pour avoir causé des pertes au Trésor national", a-t-il déclaré. (...) * utilisée pour interdire le rassemblement de plus de 5 personnes lorsque des troubles sont prévus (IK bénéficie d'un fort soutient populaire). Ça s'annonce chaud, à moins qu'il soit vite relaché. "l'affaire Al-Qadir Trust" n'est qu'un prétexte: de toutes façons l'establishment, pardon: l'armée, et le pouvoir en place veulent la peau d'IK.
  20. fraisedesbois

    L'Inde

    et Macron a un voyage en Inde à l'automne...
  21. "Cette fameuse âme russe n'existe pas. Les seules choses tangibles en sont l'alcool, la nostalgie et le goût pour les courses de chevaux". A. Tchekov ---> [ ]
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