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  1. (opex360)

    Mer Rouge : La France va participer à la coalition navale « Prosperity Guardian » lancée par les États-Unis

    (…) Outre les États-Unis et la France, cette coalition réunira le Royaume-Uni, Bahreïn, le Canada, l’Italie, les Pays-Bas, la Norvège, l’Espagne et les Seychelles. Sollicitée, l’Allemagne a visiblement décidé de ne pas s’y impliquer. Comme l’Égypte, qui est pourtant directement concernée en raison des conséquences de la situation en mer Rouge sur le trafic dans le Canal de Suez. (…)

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  2. Pourquoi le Pakistan expulse-t-il les migrants afghans ?

    https://www.cfr.org/in-brief/why-pakistan-deporting-afghan-migrants?utm_source=substack&utm_medium=email

    (cfr.org, 15déc.)

    La décision du Pakistan d'expulser les migrants sans papiers en raison des risques perçus pour la sécurité est sur le point d'affecter près de deux millions d'Afghans.

    L'annonce par le Pakistan, en octobre 2023, de l'expulsion de tous les migrants non enregistrés a fait craindre aux quelque deux millions d'Afghans sans papiers du pays qu'ils ne soient renvoyés dans des conditions dangereuses. Le Pakistan affirme que cette mesure est nécessaire pour endiguer l'influence croissante des groupes terroristes opérant dans sa région frontalière, mais ses détracteurs, notamment les États-Unis et le gouvernement taliban afghan, mettent en garde contre le risque d'une radicalisation accrue. (…)

    Citation

    Quelle est la politique d'expulsion du Pakistan ?

    L'ordre d'expulsion s'applique à tous les "étrangers non enregistrés" demeurant au Pakistan à compter du 1er novembre 2023. Les citoyens afghans sont les plus directement concernés : plus de 4 millions d'entre eux résident au Pakistan, et on estime que 1,7 million sont sans papiers. Nombre d'entre eux vivent dans ce pays depuis des décennies, ayant fui l'Afghanistan dans les années 1980 lors de l'occupation du pays par l'Union soviétique. Un petit nombre de Somaliens et de Yéménites sans papiers vivant au Pakistan sont également menacés par cette nouvelle politique.  

    Pour mettre en œuvre cette politique, le gouvernement pakistanais a dû créer à la hâte quarante-neuf nouveaux centres d'expulsion, où les conditions sont apparemment déplorables. Quelque 15 000 Afghans traversent la frontière chaque jour et on estime que 450 000 d'entre eux sont déjà partis. Les autorités pakistanaises ont donné l'assurance que les résidents afghans en situation régulière ne seraient pas expulsés, mais des rapports indiquent que certains d'entre eux ont tout de même été pris pour cible. Cela a conduit de nombreux résidents légaux à fuir le pays de manière préventive, craignant d'être intimidés par les autorités pakistanaises et d'être expulsés par leurs propriétaires. Entre-temps, la Cour suprême du pays a entamé des audiences pour contester l'ordonnance.

     

    Pourquoi le Pakistan expulse-t-il les migrants ?

    Islamabad affirme que cette politique est principalement destinée à lutter contre le terrorisme. La frontière contestée entre le Pakistan et l'Afghanistan, également connue sous le nom de "ligne Durand", du nom du diplomate britannique qui l'a négociée, abrite depuis des décennies toute une série de groupes extrémistes.

    Il s'agit notamment du Tehrik-e-Taliban Pakistan, également connu sous le nom de Taliban pakistanais, et de l'État islamique au Khorasan, une ramification du groupe plus large de l'État islamique. Les autorités pakistanaises ont rendu les ressortissants afghans responsables de la forte augmentation du nombre d'attentats terroristes de haut niveau et ont accusé le gouvernement afghan dirigé par les talibans d'héberger des militants. "Une grande partie des personnes impliquées dans des activités criminelles et terroristes font partie de ces immigrants illégaux", a déclaré le Premier ministre pakistanais par intérim, Anwaar-ul-Haq Kakar, en novembre 2023.

    Certains analystes estiment que le Pakistan espère faire pression sur le gouvernement taliban pour qu'il prenne le terrorisme plus au sérieux. D'autres évoquent la volonté de réduire la population de l'ethnie pachtoune, une minorité importante à laquelle appartiennent de nombreux migrants afghans et que l'influente armée pakistanaise considère comme une menace séparatiste.

    Ce n'est pas la première fois que le Pakistan invoque des problèmes de sécurité pour réprimer l'immigration : en 2016, il a expulsé quelque 600 000 migrants afghans. Human Rights Watch a qualifié cet exode de "plus grand retour forcé massif et illégal de réfugiés au monde ces derniers temps". Peu après, le Pakistan a commencé à construire une clôture le long de la ligne Durand.

     

    Quel pourrait être l'impact des prochaines élections pakistanaises sur le débat ?

    Les déportations coïncident avec des perspectives politiques et économiques tumultueuses à l'approche des élections nationales prévues en février 2024.

    Le Pakistan est confronté à une polarisation intense depuis que son dernier premier ministre élu, Imran Khan, a été chassé du pouvoir en 2022 après s'être brouillé avec l'armée du pays. Sa destitution a donné lieu à des manifestations de masse, en particulier après son arrestation pour fraude un an plus tard. Malgré son incarcération actuelle, M. Khan a l'intention de se présenter à nouveau et pourrait être confronté à un autre Premier ministre évincé : Nawaz Sharif, qui s'est réfugié à Londres en 2019 après avoir été accusé de corruption et qui est revenu en octobre 2023. Cependant, les experts affirment que l'armée continue de mener la danse en coulisses. "L'armée, qui exerce une grande influence sur le régime intérimaire, est probablement à l'origine de la politique [d'expulsion]", écrit Michael Kugelman du Wilson Center.  

    Par conséquent, aucun des deux candidats n'aurait une grande marge de manœuvre en matière d'immigration, car l'opinion publique reste fermement hostile à l'immigration. M. Khan, un Pachtoune, aurait critiqué la politique d'expulsion, mais en tant que premier ministre, il a été contraint d'abandonner son projet de parcours vers la citoyenneté pour les Afghans à la suite des critiques des partis d'opposition. Sharif, quant à lui, a supervisé l'expulsion massive de 2016.

    Certains analystes estiment que l'aggravation de la crise économique au Pakistan, l'une des pires que le pays ait connues depuis son indépendance en 1947, a contribué à alimenter le sentiment politique anti-immigrés. Les prix des denrées alimentaires et des carburants ont grimpé en flèche, la roupie pakistanaise s'est rapidement dépréciée et les réserves de devises étrangères de la banque centrale ont diminué. Des coupures de courant à l'échelle nationale, dues à un sous-investissement chronique dans les infrastructures du pays, ont encore ébranlé l'économie ; Islamabad a été contraint de se tourner vers le Fonds monétaire international pour obtenir des prêts d'un montant de 3 milliards de dollars. Le resserrement budgétaire aurait conduit le gouvernement à faire payer aux sans-papiers un droit de sortie de 830 dollars, soit plus de la moitié du revenu annuel moyen au Pakistan.

     

    Quelles ont été les réactions internationales ?

    La question a suscité des critiques de la part des Nations unies, des États-Unis et des organisations de défense des droits de l'homme, qui ont demandé à Islamabad de mettre un terme aux expulsions et de respecter les obligations internationales en matière de traitement des réfugiés. Le Pakistan n'a jamais ratifié la convention de Genève de 1951 et ne dispose donc pas de protections nationales pour les réfugiés. Néanmoins, les analystes juridiques affirment que les déportations violent les normes internationales en matière de droits de l'homme qui interdisent de renvoyer les demandeurs d'asile dans une situation dangereuse ou oppressive.

    Les défenseurs des droits de l'homme affirment que l'Afghanistan répond certainement à ces critères et que la situation humanitaire s'est encore détériorée depuis la prise de pouvoir par les talibans en 2021, ce qui accroît la menace d'expulsion vers l'Afghanistan pour les réfugiés se trouvant au Pakistan. Les autorités américaines affirment qu'elles cherchent à obtenir des visas américains pour au moins vingt-cinq mille Afghans particulièrement menacés, notamment des alliés de guerre, des journalistes et des militants des droits de la femme.

    Les expulsions pourraient également aggraver les relations entre le Pakistan et l'Afghanistan, qui a condamné cette politique. La pression financière exercée par les centaines de milliers de rapatriés pourrait compliquer les efforts d'aide, compte tenu des sanctions occidentales en vigueur contre les talibans. L'Afghanistan a demandé davantage d'aide internationale, alléguant une pression similaire de la part de l'Iran pour expulser sa population afghane, mais de nombreux donateurs restent hésitants. Par ailleurs, certains analystes estiment que le plan d'Islamabad visant à réduire les attaques terroristes en expulsant les migrants pourrait se retourner contre lui en alimentant les griefs et en diminuant la volonté de Kaboul de coopérer. /deepl

     

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  3. Le 27/11/2023 à 22:24, herciv a dit :

    (…) 3 nouveau KALVARI toujours en course.

     

    La marine indienne accélère l'acquisition de trois nouveaux navires de la classe Kalvari. Le chef de la marine a demandé aux responsables de raccourcir le délai d'acquisition. Il s'agit d'un excellent moyen de renforcer les capacités de la marine.

    MDL soumet une offre pour un projet de plus de 20 000 crore roupies pour la construction de trois nouveaux sous-marins de la classe Kalvari.

    New Delhi [Inde], 13 décembre (ANI) : Dans un développement significatif, l'entreprise publique Mazagon Dockyards Limited a soumis sa réponse à l'appel d'offres du ministère de la Défense pour la construction de trois nouveaux sous-marins de classe Kalvari pour la marine indienne.
    Des sources de défense de haut niveau ont déclaré à l'ANI que le ministère de la défense avait reçu les offres de l'entreprise publique pour ce mégaprojet, qui sera construit à Mumbai en partenariat avec l'entreprise française Naval Group.
    L'Inde a déjà mis en service cinq des six sous-marins de classe Kalvari, également connus sous le nom de classe Scorpène, qu'elle a commandés à la France en 2005, et le sixième devrait être mis en service l'année prochaine.


    Le projet 75 de sous-marins supplémentaires a été approuvé par le gouvernement lors d'une réunion du Conseil d'acquisition de la défense en juillet de cette année, en même temps que 26 avions de chasse Rafale Marine.


    Les sous-marins ont fonctionné conformément aux attentes de la marine et celle-ci souhaite qu'ils soient mis en service le plus tôt possible.


    Le chef de la marine, l'amiral R. Hari Kumar, a également demandé à ses responsables de raccourcir les délais pour achever les procédures de construction des sous-marins dans le chantier naval indien, ont indiqué les sources.


    Le MDL a déjà construit six sous-marins Scorpène, dont cinq sont déjà en service. Le sixième devrait être mis en service au début de l'année 2024. Le cinquième sous-marin furtif de classe Scorpène de la marine indienne, INS Vagir, a été mis en service dans la marine indienne en janvier de cette année.


    Les sous-marins de la classe Kalvari sont des plates-formes extrêmement puissantes, dotées de caractéristiques furtives avancées et équipées de torpilles guidées à longue portée et de missiles antinavires. (ANI) /deepl

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  4. Le 26/10/2023 à 14:22, mudrets a dit :

    (…)

    Le dernier tir de Bulava remonte au 3 novembre 2022

    https://soumarsov.eu/armes/Armes_details/bulava.htm

    D'autant qu'en mars 2022 il était annoncé des tirs en salve de Bulava 

    https://ria.ru/20231105/bulava-1907530912.html

    (via @saturnax1)

    Le futur SNLE 955A de classe Borey-A/Borei II "Imperator Alexandr III" (K-554) de la flotte du Pacifique aurait lancé un seul SLBM Bulava/SS-N-32 dans le cadre de la dernière partie des essais en mer du sous-marin avant sa mise en service dans le courant de l'année.

    Le lancement a eu lieu quelque part en mer Blanche et la cible était le polygone d'essais de missiles de Kura, au Kamtchatka.

  5. Pêché chez Jean-Paul Roux (Histoire des Turcs, Fayard, Paris, 1984).


    (…) On les a connus au cours des temps sous des noms différents, ceux de Hiong-nou, de Huns, d’Ouïghours, de Seldjoukides, de Mamelouks, de Kiptchak, de Timourides, de Grands Moghols, pour ne citer que quelques-uns, et on les nomme aujourd’hui d’une façon qui ne laisse pas deviner au profane leur appartenance à un tronc commun, entre autres, Turcs, Turkmènes, Kirghiz, Uzbeks, Tatars, Azeris, Kayaks, Yakoutes, Tchouvaches, Bachkirs… (…)

    Citation

    Mais des comportements restent identiques, qui donnent certaines de leurs spécificités aux sociétés ouïghoures du haut Moyen Age, au royaume des Khazars de la Caspienne, au khanat de la Horde d’Or et à l’Empire ottoman: solidité physique et morale à toute épreuve; haute dignité; respect de la parole donnée; implacabilité envers les traîtres; absence de tout racisme*; esprit militaire accentué et vertus qui y répondent, goût de l’offensive, solidarité entre combattants, obéissance absolue au chef, mépris de sa vie et de celle ds autres; sens de l’administration, de la comptabilité; goût pour les archives; grande perméabilité des classes sociales pourtant fortement structurées; amour du mécénat; crainte des prêtres et soucis d’organiser les Églises, inlassable curiosité religieuse. C’est à peine si nous osons dire que, la mentalité étant le reflet de la langue (ou la langue le reflet de la mentalité?) ces traits découlent seulement des caractères du turc.

    C’est pourtant à la langue qu’il nous faut en venir si nous voulons tenter de cerner le fait turc. J’ai écrit « fait », pour me conformer à l’usage; mais il conviendrait plutôt de parler de réalité turque, ce qui est plus difficile, mouvant, parcouru des frémissements de la vie, le fait se devant d’être facilement repérable, durable, scientifiquement déterminable.

    La seule définition qu’on puisse retenir est linguistique. Est turc qui parle la langue turque. Toute autre formulation est fortement inadéquate. (…)

    * Évidemment contre-intuitif lorsqu’on pense aux Arméniens, Grecs Pontiques, etc.

  6. Il y a 16 heures, Shorr kan a dit :

    (…) le nationalisme turque est un ethno-nationalisme : tout ce qui n'est pas ethniquement turque musulman (etc)…

    Hello,

    je pige pas :mellow:

    Pour certains nationalistes turcs (lesquels? Loups gris?), il y aurait une « ethnie » turque? Vraiment?

    (Quant à « musulman », je ne vois pas non plus de rapport avec une quelconque ethnicité).

    ’fin bref, je pige pas, désolé.

     

  7. il y a 26 minutes, herciv a dit :

    (….)

    Dans le fond ce qui est intéressant c'est ce qu'il ressort de ses conversations avec les australiens à savoir la crainte d'un trou capacitaire pendant une décennie puisque rien ne remplace actuellement le shortfin.

    Oui, tafdak sur le fond, mais juste ça:

    Il y a 2 heures, herciv a dit :

    Maintenant la solution évoquée par les US est une transformation des colins en nucléaire pour 2035 ...

    Je suppose que c’est de l’humour moqueur de la part de ton correspondant X.

  8. il y a une heure, Eau tarie a dit :

     

    Il était tombé "tout seul" officiellement celui là non ?

    “oui”.

    Citation

    (…) 

    Publié le 13 décembre 2011
    RAMSTEIN AIR BASE, Allemagne - Les responsables des forces aériennes des États-Unis en Europe ont publié les résultats de leur enquête sur le crash, le 21 mars en Libye, d'un F-15E Strike Eagle alors qu'il effectuait des opérations de combat pour faire respecter la zone d'exclusion aérienne rmandatée par les Nations Unies dans le cadre de l'opération Odyssey Dawn.

    À l'issue de l'enquête, le président de la commission, le colonel Scott Shapiro, chef des capacités de transport aérien stratégique de l'USAFE, a trouvé des preuves claires et convaincantes que la cause de l'accident était la sortie soudaine de l'avion du vol contrôlé parce qu'il avait dépassé l'angle d'attaque critique au cours d'une manœuvre de combat approuvée par l'armée de l'air. D'autres facteurs ont contribué à cet accident, notamment le fait que le pilote a effectué une manœuvre acceptable pour le F-15E à l'échelle de l'armée de l'air à une altitude jamais testée auparavant et l'asymétrie latérale (avion déséquilibré) (…)

    https://www.usafe.af.mil/News/Article-Display/Article/253716/usafe-releases-aib-report-on-f-15e-crash-in-libya/

    (bon, la traduction dipl est un peu pourrie, désolé)

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  9. il y a une heure, Desty-N a dit :

    Pendant la guerre du Vietnam, les USA se sont trouvés confrontés au problème des tunnels. Entre autre dans la zone de Củ Chi
    VietnamCuChiTunnels.jpg

    Ils n'ont jamais trouvé de solution satisfaisante: 

    La recherche de la solution technologique miraculeuse n'a pas donné grand chose (déjà à l'époque :dry:) La moins mauvaise méthode consistait à envoyer des commandos spécialisés, des "rats des tunnels".  Il se trouve qu'une unité israélienne spécialisée possèderait cette compétence: 

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    Israel's "tunnel rats" brace for new guerrilla war

    SIRKIN SPECIAL FORCES BASE, Israel (Reuters) - Fearing a surge in tunnel and bunker construction by Lebanon’s Hezbollah and Palestinian militants, Israel is training its troops to hunt below ground with robot probes and sniffer dogs.

    Such preparations reflect concerns that should Israel or the United States carry out attacks on Iran’s disputed nuclear program, Tehran may retaliate through its allies on the Jewish state’s borders.

    “You can see a growing threat,” said a major from the Israeli engineering corps’ Yahoo (“Diamond”) commando unit.

    “We’re gathering the information, studying it and building training facilities to train our soldiers,” the officer, whose name was withheld under secrecy regulations, told Reuters Television during an exercise put on for the foreign media at Sirkin special forces base in central Israel.

    The Yahalom men were armed with pistols and snub-barreled assault rifles to ease movement through narrow passages. Oxygen masks are an option, should ventilation prove problematic.

    After the soldiers blew up the door of a mock tunnel, a camera-carrying robot was pulled out of a backpack and tossed inside. A “battle” -- with blanks fired -- ensued against comrades playing Hezbollah fighters.

    The Israelis use dogs to sniff out booby-traps in the tunnels and, if needed, to tackle the defenders.

    Outgunned and outnumbered, Hezbollah dug tunnels to hold off Israeli ground forces during the 2006 Lebanon war. Israel suspects the Iranian-backed militia has since built underground networks to carry out ambushes in any future conflict.

    “Israeli troops were completely taken by surprise at the extent and sophistication of these underground systems,” said Nicholas Blanford, a Beirut-based Jane’s analyst and author of “Warriors of God: Inside Hezbollah’s Thirty-Year Struggle Against Israel”.

    Blanford said the tunnels enabled Hezbollah to launch rockets into Israel in 2006. “Seeing as they had some bunkers extremely close to the border, it would not surprise me at all if they had burrowed under the border for use at a later date,” he added.

    RESISTANCE
    Palestinian militants in the Hamas-ruled Gaza Strip used a cross-border tunnel to capture Gilad Shalit, a soldier for whose return, after more than five years in captivity, Israel last year freed more than 1,000 jailed Palestinians.

    “We are ready to confront them above ground and underground, and such propaganda and drills do not frighten us,” said Abu Attaya, spokesman for the Popular Resistance Committees faction, of the Israeli media exercise.

    He called Gaza’s tunnels “tools of the resistance”.

    Palestinians also use the underground networks to smuggle building materials, energy supplies and weapons into Gaza from Egypt, which cooperates with an Israeli blockade on the enclave.

    Demolition is among Yahalom’s specialties, and its major said destroying tunnels and bunkers with explosives was a “good solution”.

    “But there are cases where the real mission of the force is getting in the tunnel, exploring it, maybe taking out high-value intelligence or releasing a kidnapped soldier,” he said.

    “We prefer not to get in, but if we have to, we know how to do it.”

    L'article date de 2012. Il faudra voir si Tsahal possède toujours ce savoir-faire. Vu la manière dont l'IDF a géré l'attaque su Hamas, j'ai quelques craintes. :sad:

    Un épisode du « Collimateur » sur les opérations israéliennes contre les tunnels du Hezb en 2018

    https://lerubicon.org/israel-face-aux-tunnels-du-hezbollah-dans-le-viseur-59/

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  10. Il y a 22 heures, ARMEN56 a dit :

    Oui , la charge explosive d’une  torpille lourde peut générer un fouettement de poutre sur un navire de surface jusqu’à brisure et perte navire . Elle peut aussi causer des dégâts rédhibitoire sur coque ep d’un soum  (…)

    Un « fouettement de poutre »… génial :mechantc:

  11. Il y a 8 heures, g4lly a dit :

    (…) servir de support à une invasion partielle ... voir à une connection avec le Nakhitchevan.

    Le 25/09 dernier, Erdo et Aliev en viste officielle en république officielle de Nakhitchevan ont inauguré le chantier d’un gazoduc censé relier l’enclave à la ville Turque d’Igdir. Erdo: « Avec ce projet, nous renforçons notre coopération énergétique avec l’Azerbaïdjan et nous contribuons à la sécurité énergétique de l’Europe »

    Or ce tronçon de pipe n’a de sens que dans l’hypothèse de la création du « fameux » corridor de Zangezur, reliant physiquement le Nakhitch’ et l’Azerbaïdjan.

    Corridor qui par ailleurs aurait le bon goût d’établir une continuité du « monde turc ».

    Et qui intégrerait « naturellement » la Turquie dans le projet Chinois BRI.

    Et qui écarterait l’Iran.

  12. Il y a 3 heures, Patrick a dit :

    Si c'est vrai c'est très bien. La question est qui va compenser maintenant?

    Et vive les anti-nucléaires bien sûr.

    C’est-à-dire que je crois bien que depuis l’accord de 2022, le « surplus » de gaz était russe, de toutes façons: « Au lieu que l’Europe achète le gaz russe à 100, elle l’achète via l’Azerbaïdjan à 150 », détaille Franck Papazian:

    https://www.publicsenat.fr/actualites/international/haut-karabakh-leurope-sest-deshonoree-en-achetant-du-gaz-a-lazerbaidjan

    Sinon, c’est vers le gaz Turkmène que lorgne l’UE, par dessous la Caspienne. Mais « bonjour » les défis!…

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