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fraisedesbois

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Everything posted by fraisedesbois

  1. (opex360, 01fév.) Une réparation « défectueuse » a été découverte à bord du sous-marin britannique HMS Vanguard huhu, faut que les mecs arrêtent la colle.
  2. En tous cas, sur le forum indien SFF cette affaire, ainsi qu'un certain documentaire à charge de la BBC consacré à Modi, sont considérés comme des manœuvres "de l'ouest" pour affaiblir/déstabiliser l'Inde, suite à la position de cette dernière vis à vis de la Russie/Ukraine.
  3. (anadolu, 27jan.) Le pétrole russe aidera le Pakistan "partiellement", disent les experts. Islamabad affirme qu'il commencera à recevoir du pétrole de Moscou à un prix réduit à partir de mars. La Russie et le Pakistan, autrefois ennemis jurés, s'efforcent actuellement de répondre à la demande croissante de pétrole et de gaz de ce dernier, une initiative accueillie avec prudence par les analystes locaux. Le ministre d'État pakistanais du pétrole, Mussadiq Malik, a déclaré lors d'une conférence de presse jeudi dans la capitale Islamabad que la Russie avait accepté de fournir du pétrole au Pakistan à des prix réduits afin de répondre aux besoins énergétiques domestiques et industriels croissants d'Islamabad. À partir du mois de mars, a-t-il ajouté, le Pakistan s'approvisionnera en pétrole à Moscou à un prix réduit, car "toutes les formalités" relatives à l'accord bilatéral seront finalisées d'ici là. Le Pakistan, selon lui, achètera du pétrole brut, de l'essence et du diesel à la Russie. Islamabad signera également des contrats à long terme avec Moscou pour l'approvisionnement en gaz, a-t-il affirmé. Les deux parties sont parvenues à cet accord après une série de visites bilatérales au cours des derniers mois, la dernière en date étant la visite à Islamabad d'une délégation russe de haut niveau conduite par le ministre de l'énergie Nikolay Shulginov la semaine dernière. - Une solution partielle L'approvisionnement en pétrole a longtemps été au centre de la politique locale, notamment après la visite de l'ancien Premier ministre Imran Khan, un jour seulement avant que la Russie ne lance sa guerre contre l'Ukraine le 24 février 2022. Khan, évincé par un vote de défiance au parlement en avril, a affirmé que sa visite à Moscou était l'une des raisons de son éviction. Samiullah Tariq, un expert en énergie basé à Karachi, estime que l'accord avec la Russie aiderait le Pakistan à atténuer partiellement l'augmentation de sa demande énergétique et de sa facture d'importation de pétrole. Néanmoins, selon lui, cela ne suffirait pas à résoudre le problème dans une large mesure, car Islamabad doit prendre lui-même certaines "mesures clés". L'ensemble du secteur de l'énergie doit être vu à travers un prisme commercial", a déclaré Tariq à Anadolu. Citant la facture d'importation de pétrole de 26 milliards de dollars de l'année dernière, il a déclaré que le pays a besoin d'un passage " aussi rapide que possible " aux sources d'énergie renouvelables, principalement le solaire et l'éolien, pour répondre à ses besoins. La production d'électricité se taille la part du lion dans les importations de pétrole, ce qui a des effets en cascade sur l'économie du pays, déjà en difficulté. Il faut réduire cette part et la réorienter vers le gaz local et les sources d'énergie renouvelables", a-t-il déclaré, appelant à de nouvelles explorations gazières dans le pays. - Il est peu probable que les États-Unis s'y opposent Munawar Hussain Panhwar, professeur associé de relations internationales à l'Université internationale Quaid-I-Azam d'Islamabad, a déclaré qu'il était peu probable que l'allié de longue date du Pakistan, les États-Unis, s'oppose à l'accord, compte tenu de la grave crise énergétique actuelle dans le monde après l'invasion de l'Ukraine par la Russie l'année dernière. Plusieurs alliés des États-Unis, de l'Amérique du Sud à l'Asie, ont rejeté la résolution de sanctions parrainée par Washington aux Nations unies. Ils ont gardé leurs options ouvertes pour répondre à leurs besoins énergétiques par le biais de Moscou", a déclaré M. Panhwar à Anadolu. Par conséquent, il pense qu'il y a peu de chances que les Etats-Unis s'opposent à cette initiative. En fait, je pense qu'il existe un accord tacite entre Islamabad et Washington sur cette question", a-t-il affirmé. Commentant la condition posée par Moscou pour le paiement du pétrole dans les devises des pays "amis", M. Panhwar a observé qu'elle serait bénéfique pour le Pakistan, compte tenu de l'épuisement de ses réserves en dollars. - Le CPEC a contribué à améliorer la capacité électrique Les pannes d'électricité sont courantes dans ce pays nucléaire d'Asie du Sud, principalement en raison de la médiocrité des infrastructures et du laxisme des normes de maintenance. En été, la demande d'électricité du pays atteint 28 000 mégawatts, laissant un déficit d'approvisionnement de 4 000 à 6 000 MW. En hiver, l'écart entre la demande et l'offre est de 8 000 MW. Le Pakistan, a observé Tariq, a considérablement amélioré sa capacité électrique d'au moins 14 000 MW, principalement après la mise en œuvre du projet de corridor économique Chine-Pakistan (CPEC) de plusieurs milliards de dollars signé en 2015. La production d'électricité représente la plus grande partie de ce mégaprojet de 64 milliards de dollars, suivie par le développement des infrastructures. Farhan Mahmood, un autre chercheur en économie et en énergie basé à Karachi, a soutenu ce point de vue, affirmant que le pays a la capacité de faire face à sa demande énergétique. Néanmoins, selon lui, la hausse des prix du pétrole et du gaz et les systèmes de distribution et de transmission "primitifs" constituent des obstacles majeurs à la satisfaction des besoins réels. S'adressant à Anadolu, Mahmood a appelé à améliorer l'utilisation de l'énergie, en particulier en hiver, par le biais des activités industrielles. Le Pakistan a une activité industrielle moindre par rapport à sa capacité énergétique. Les centrales électriques coûtent cher en frais de fonctionnement même si elles ne produisent pas d'électricité, surtout en hiver", a-t-il déclaré. La réduction de la consommation de pétrole et le recours aux sources d'énergie renouvelables seront bénéfiques dans les deux sens. Cela permettra non seulement de réduire la fuite des dollars, mais aussi de soutenir le secteur industriel du pays, qui est au ralenti", a affirmé M. Mahmood. /deepl
  4. (lemonde, 01février) Révolution culturelle au sein des services secrets français La DGSE connaît une réorganisation sans précédent confortant un modèle intégré, associant analyse, technique et action Cela ressemble à de la socio­logie administrative ennuyeuse, c’est en fait une petite révolution de palais au cœur des services secrets fran­çais. Entrée en vigueur le 1er no­vembre 2022, la réorganisation intervenue au sein de la direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) a bouleversé les équilibres internes et cassé des baronnies qui structuraient cette institution depuis près de quarante ans. Elle a entraîné un important jeu de chaises musicales dans le monde du renseignement français et concentré le pouvoir entre les mains de la direction générale du service, actuellement occupée par le diplomate Bernard Emié. Elle a, enfin, réduit en miettes l’idée d’une agence technique du renseignement autonome, à l’ins­ tar de l’Agence de sécurité natio­nale (NSA) américaine. Cette réforme, annoncée au cœur de l’été 2022, a conduit à la disparition de la direction phare de la DGSE, celle du renseigne­ment (DR). Son directeur, Marc Pi­mond, nommé en 2016, représen­tait un véritable contre­pouvoir interne. Expert du monde arabe, il a été nommé coordinateur des ac­tivités de la DGSE pour le Sud­-Est asiatique, un poste créé sur mesure et localisé à Singapour. Ses ré­sultats contestés sur le terrain afri­cain, où la France n’a pas su antici­per les crises politiques au Mali et les vagues de ressentiment envers la France, notamment au Burkina­ Faso, ne l’ont sans doute pas aidé à défendre la survie de son bastion. De même, le risque de guerre en Ukraine aurait été sous­-éva­lué. En réponse, ses troupes ar­guent qu’on leur a assigné comme priorité la lutte contre les réseaux djihadistes et que nom­bre d’agents en poste dans la sphère russe avaient rejoint le dispositif DGSE au Sahel. Thématiques transversales Mais derrière la disparition de la direction du renseignement, c’est aussi une certaine culture du se­cret qui semble avoir été stigmati­sée. L’organisation très cloison­née et verticale qui prévalait à la DGSE, structurée en directions commandées par des mandarins veillant jalousement sur leur pré carré, paraît avoir vécu. « On peut se demander, en effet, résume un haut fonctionnaire du renseigne­ment, acceptant de s’exprimer sous le couvert de l’anonymat, quand le cloisonnement de l’infor­mation sert l’action du pays et quand il sert votre seul pouvoir ad­ministratif. De plus, des analystes faisaient la même chose au sein de la direction technique et du rensei­gnement sans le savoir. » Décision a donc été prise de dis­soudre non seulement la direc­tion du renseignement mais aussi celle de la stratégie et d’asso­cier leurs membres à ceux venant des directions techniques et des opérations au sein d’une demi­ douzaine de « centres de mis­sions » consacrés à des zones géo­graphiques ou des thématiques transversales. L’un d’entre eux est ainsi concentré sur les questions de contre­terrorisme, un autre sur la lutte contre la prolifération des armes nucléaires et chimiques. On retrouve également la région du Sahel en tant que telle. Le mot d’ordre est au partage de l’infor­mation et aux équipes mixtes. Une forme d’autonomie Les centres de missions dispose­ront d’une forme d’autonomie. Pour le reste de la production de la DGSE, un poste de secrétaire géné­ral a été créé pour centraliser l’in­formation et gérer les relations avec les institutions destinataires du travail de l’espionnage fran­çais. Les ressources humaines, la formation, les achats, les finances, les affaires immobilières et le sou­tien logistique restent assumés par la direction de l’administra­tion. C’est elle qui gère, notam­ment, le projet de déménagement du siège de la DGSE à Vincennes. La direction de la recherche et des opérations, qui héberge le ser­vice action, bras armé clandestin de l’État français à l’étranger, dont le principe a toujours été « l’auto­nomie opérationnelle complète », doit désormais composer avec les autres directions de la DGSE. Seule vraie rescapée de cette ré­forme radicale, la direction tech­nique, qui absorbe la plus grande part du budget et du personnel de la maison, se voit adjoindre la mission recherche et développe­ment, appelée « innovation ». Néanmoins, le rapprochement des agents de la direction techni­que avec d’autres directions sonne le glas de toute émancipa­tion au sein d’une agence techni­que de renseignement auto­nome, idée défendue depuis des années par des caciques de l’es­pionnage. La France conforte donc son modèle intégré, asso­ciant analyse, technique et action, alors que les Anglo­-Saxons ont préféré séparer les tâches. Le directeur technique de la DGSE, Patrick Pailloux, a choisi de partir mi­-2022 après huit ans de service. Cet ingénieur de haut ni­veau, qui a montré son intérêt pour la mise en adéquation du droit et de la surveillance d’État, a intégré le Conseil d’Etat. Il a été remplacé par Frédéric Valette, in­génieur général de l’armement qui, jusqu’ici, dirigeait la direction technique de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Les pronostics pour succéder à M. Pailloux avaient longtemps donné Guillaume Poupard, direc­teur général, pendant près de neuf ans, de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’infor­mation (ANSSI), fer de lance de la cybersécurité en France. Mais M. Poupard, faute d’avoir décro­ché le poste de directeur général de l’armement, a préféré devenir, le 1er janvier, directeur général ad­joint de Docaposte, filiale numéri­que du groupe La Poste. Sa mission sera, notamment de créer le pre­mier véritable « cloud de con­fiance » en partenariat avec Das­sault Systèmes, Bouygues Tele­com et la Caisse des dépôts. Enfin, Bernard Emié, patron de la DGSE, a obtenu la création du poste de directeur général adjoint, qui sera, notamment, chargé des questions de sécurité interne et du contre­-espionnage. La fonc­tion de directeur de cabinet, con­sidéré comme le numéro deux des services secrets extérieurs, et traditionnellement confiée à un militaire, disparaît. /fin --------- "Expert du monde arabe, il a été nommé coordinateur des ac­tivités de la DGSE pour le Sud­-Est asiatique, un poste créé sur mesure et localisé à Singapour". Ahem. Sans être expert en restructuration d'entreprise, "intuitivement" donc, la création de « centres de mis­sions » consacrés à des zones géo­graphiques ou des thématiques transversales me paraît judicieuse.
  5. (usni, 30jan.) Les Australiens et les Français évitent les discussions sur l'AUKUS lors de la réunion ministérielle de Paris et s'engagent à accroître les opérations dans le Pacifique. Les ministres de la défense australien et français se sont engagés à produire des obus d'artillerie pour soutenir l'Ukraine contre l'invasion en cours de la Russie, lors de la première réunion entre les deux pays depuis que Canberra a renoncé à un accord sur les sous-marins conventionnels avec le constructeur français DCNS. [sic] Le ministre français de la Défense, Sébastien Lecornu, et son homologue australien, Richard Marles, se sont rencontrés lundi à Paris, un peu plus de deux ans après l'abandon du projet de remplacement des sous-marins de classe Collins de la Royal Australian Navy par des bateaux d'attaque diesel-électriques Barracuda de DCNS, au profit d'un accord sur les sous-marins nucléaires avec les États-Unis et le Royaume-Uni, signé en 2021. "C'est la première fois que nos consultations ont lieu à ce niveau - dans le format dit 2+2 - depuis un incident sur lequel je ne reviendrai pas", a déclaré la ministre française des Affaires étrangères Catherine Colonna lors d'une conférence de presse avec les ministres de la Défense et la ministre australienne des Affaires étrangères Penny Wong. Cette série de réunions a constitué une remise à zéro des relations diplomatiques après le fossé qui s'est creusé entre les deux pays à la suite de l'élection en mai du Premier ministre australien Anthony Albanese et de l'installation d'une nouvelle équipe de sécurité nationale. [trad. de merdre] Plutôt que de parler de sous-marins, les ministres de la défense ont convenu de produire des milliers d'obus d'artillerie de 155 mm destinés à être utilisés par l'armée ukrainienne contre l'invasion russe. "Il existe en fait des complémentarités entre nos bases industrielles de défense, ce qui permet à cela de se produire", a déclaré M. Marles après la réunion. "Il est également vrai que nous voulions agir ensemble comme une déclaration sur l'importance que l'Australie et la France accordent au soutien de l'Ukraine dans le conflit actuel." M. Marles a également répondu aux questions de la presse française sur la possibilité pour l'Australie d'acheter des sous-marins diesel-électriques. Ces questions ont été suscitées par les informations selon lesquelles la Marine [USN] a fermé quatre de ses cales sèches de réparation de sous-marins au Puget Sound Naval Shipyard & Intermediate Maintenance Facility à Bremerton, Wash. selon un rapport de Sky News. "Nous travaillons évidemment en étroite collaboration avec les États-Unis et le Royaume-Uni pour développer une capacité de sous-marins à propulsion nucléaire et développer la voie optimale pour atteindre cette capacité", a déclaré Richard Marles. "Il n'y a aucun plan pour une quelconque capacité intérimaire de sous-marins à propulsion conventionnelle". La première ébauche du plan de production de sous-marins d'attaque nucléaires pour la Royal Australian Navy est attendue en mars. Les premières mesures envisagées dans le cadre de ce partenariat comprennent l'installation d'un certain nombre de bateaux d'attaque nucléaires américains à la base sous-marine de la RAN, près de Perth, en Australie occidentale. Ces bateaux d'attaque pourraient être armés par un équipage mixte composé de marins de la RAN et des États-Unis, ont déclaré à USNI News plusieurs sources au fait des discussions en cours. Le calendrier des Australiens pour la mise en service de leurs propres bateaux d'attaque nucléaires n'est pas clair, mais les responsables américains ont déclaré que ces sous-marins pourraient ne pas voir le jour avant plusieurs décennies. Dans une déclaration commune, la France et l'Australie se sont engagées à poursuivre leurs opérations dans le Pacifique et à participer aux exercices internationaux dans la région. "Les ministres ont réitéré leur ferme opposition à toute coercition ou action déstabilisatrice en mer de Chine méridionale, y compris la militarisation des éléments contestés", peut-on lire dans une déclaration commune de la réunion. "Ils ont réaffirmé leur intention de poursuivre les transits et les déploiements dans la région indo-pacifique, conformément au droit international." À cette fin, Paris et Canberra se sont engagés à renforcer leur soutien logistique militaire dans le Pacifique pour leurs forces respectives. En outre, l'Australie participera à la série d'exercices Croix du Sud au large de la Nouvelle-Calédonie, tandis que la France se joindra aux exercices Talisman Saber 2023 au large de l'Australie, selon la déclaration de lundi. La déclaration s'oppose également aux "changements unilatéraux du statu quo" concernant la souveraineté de Taïwan et se fait l'écho des préoccupations relatives aux violations des droits de l'homme au Xinjiang et à "l'érosion de l'autonomie, des droits et des libertés de Hong Kong". /deepl
  6. Mais...? N'a-t-on pas vu passer les mêmes tweets il y a environ 3 semaines/1 mois? Je veux dire: le fait que le RafaleM a la préférence de la Navy?
  7. Dans cette vidéo « Trishul » (ie: formation à 3), on voit tout de même un quatrième Su-30 (au début, à droite). C’est peut-être un indice…
  8. (usni, 27/01) La marine ferme 4 cales sèches pour sous-marins à Puget Sound suite à une étude sur les risques de tremblement de terre Quatre cales sèches que la marine utilise pour réviser les sous-marins nucléaires dans l'État de Washington sont temporairement fermées après que le service a constaté qu'elles risquaient d'être endommagées par un tremblement de terre, ont déclaré des responsables du service à USNI News jeudi. Les cales sèches, dont trois se trouvent au Puget Sound Naval Shipyard & Intermediate Maintenance Facility à Bremerton, dans l'État de Washington, et la jetée delta du Trident Refit Facility à Bangor, dans l'État de Washington, sont toujours certifiées pour la révision des sous-marins nucléaires, mais la marine a décidé de les garder vides en attendant une enquête plus approfondie. (...) (...) Une révision des cales sèches qui leur permettrait de mieux supporter les dommages causés par les tremblements de terre pourrait prendre entre 18 et 24 mois, d'après les évaluations précédentes de la Marine, selon USNI News. Ce type de travaux pourrait consister à retirer le plancher et les côtés d'une cale sèche et à utiliser différents types de sable pour absorber les mouvements en cas de tremblement de terre. Il n'est pas clair comment la pause dans les quatre cales sèches affectera le retard dans la maintenance des sous-marins nucléaires dans les quatre chantiers navals publics du service. Selon un rapport du Government Accountability Office de 2020, la Marine a connu plus de 4 000 jours de retard dans la maintenance des sous-marins entre l'année fiscale 2015 et l'année fiscale 2019. Le directeur exécutif du programme des sous-marins d'attaque, le contre-amiral Jonathan Rucker, a déclaré en novembre que 18 des 50 sous-marins d'attaque de la Marine étaient en maintenance ou attendaient d'entrer dans un chantier pour une disponibilité. (...)
  9. je suis hs désolé, mais j'ai pensé très fort à la biographie de Dostoïevski et sa transformation lors de son séjour au bagne d'Omsk https://fr.wikipedia.org/wiki/Fiodor_Dostoïevski#Biographie
  10. Du peu qu'on peut voir, je dirais: Tejas (pcq c'est "Republic Day". Et puis pcq c'est moche. Le c*l d'un 2000 est quand-même + sexy ;)
  11. On dirait bien un monomoteur en tous cas.
  12. À 0:12 de cette séquence vidéo, je crois qu'on voit le c*l de l'avion qui filme:
  13. La Russie poursuit ses ambitions gazières en Ouzbékistan et au Kazakhstan https://eurasianet.org/russia-forges-ahead-with-gas-ambitions-in-uzbekistan-kazakhstan (25janvier2023) Moscou poursuit ses ambitions énergétiques en Asie centrale, à la recherche de nouveaux marchés pour le gaz que l'Europe évite désormais. L'Ouzbékistan a souligné que Gazprom ne contrôlerait aucune infrastructure locale. (Uztransgaz) Lorsque la Russie a lancé l'idée de créer une union gazière tripartite avec le Kazakhstan et l'Ouzbékistan à la fin de l'année dernière, elle est tombée à plat. Ses détracteurs y ont vu une tentative de l'ancien maître colonial d'Asie centrale d'exercer une influence politique et économique. Les deux pays semblent avoir jeté un froid sur cette idée. Le vice-ministre kazakh des affaires étrangères, Roman Vassilenko, a prévenu que le Kazakhstan ne permettrait pas que "son territoire soit utilisé pour contourner les sanctions" et qu'il garderait cela à l'esprit "lorsqu'il s'agira d'évaluer toute nouvelle initiative potentielle". Le gouvernement de l'Ouzbékistan a également offert une réponse brutale. "Si nous importons du gaz d'un autre pays, nous ne coopérons que sur la base d'un contrat commercial, d'un contrat de vente", a déclaré le ministre de l'Énergie Jurabek Mirzamahmudov en décembre. "Nous n'accepterons jamais de conditions politiques en échange de gaz". Mais maintenant, les deux gouvernements ont signé de nouveaux accords de coopération avec le géant gazier russe Gazprom, cimentant ainsi les partenariats avec Moscou. Les feuilles de route ont été signées sur une base bilatérale entre Gazprom et les deux gouvernements, ce qui laisse penser que l'idée d'une union à trois n'est peut-être plus d'actualité, du moins pour l'instant. Le site Internet russe d'information sur l'énergie Neftegaz.ru a toutefois présenté une version différente, quelque peu alambiquée. "Les pourparlers sur cette [union tripartite] se sont poursuivis dans un format bilatéral au niveau de Gazprom et des ministères et gouvernements concernés des trois pays", a-t-il suggéré, laissant entendre que la Russie poursuit ses projets par des moyens détournés, sous un autre nom et dans un autre format. Si l'on met de côté les questions relatives à une union - et à ce qu'elle signifierait exactement -, les accords montrent comment la Russie poursuit ses ambitions énergétiques en Asie centrale, alors que Moscou cherche de nouveaux marchés pour le gaz que l'Europe évite désormais en raison de la guerre en Ukraine. On sait peu de choses sur le contenu des feuilles de route, si ce n'est qu'elles couvrent toutes deux les exportations de gaz de la Russie vers les deux pays. Mirzamahmudov et le patron de Gazprom, Alexey Miller, ont "signé une feuille de route sur la coopération dans le secteur du gaz", a annoncé la compagnie dans un communiqué laconique du 24 janvier, sans autre précision. Gazprom a utilisé la même formulation pour annoncer la feuille de route avec le Kazakhstan le 18 janvier, mais le gouvernement kazakh a fourni quelques détails supplémentaires, bien que peu nombreux. Le document couvre des questions telles que le traitement du gaz kazakh dans l'usine gazière russe d'Orenbourg et "la possibilité de fournir du gaz russe au Kazakhstan", selon Astana. Une déclaration du ministère de l'énergie de l'Ouzbékistan, le 25 janvier, a révélé que son accord couvre également les fournitures de gaz russe à l'Ouzbékistan. La feuille de route décrit les "actions techniques nécessaires pour assurer le transit du gaz le long du gazoduc Asie centrale-Centre", qui relie la Russie au Kazakhstan et à l'Ouzbékistan. Mais le ministère a pris soin de souligner que tout serait fait dans "la pleine défense des intérêts nationaux". Il convient de "souligner séparément" que les pourparlers avec les Russes et la feuille de route qui en résulte ont pour objectif "de fournir du gaz naturel au marché intérieur [de l'Ouzbékistan] dans les volumes nécessaires, en préservant pleinement le droit de propriété (préservation complète du droit d'administration) sur le système de transport de gaz existant de la République d'Ouzbékistan". Cette déclaration fait suite à des informations non confirmées par les médias, citant des sources anonymes, selon lesquelles la Russie aurait demandé à prendre le contrôle des systèmes de transport de gaz d'Asie centrale. Il n'y a eu "aucune menace de remise du système de transport de gaz à qui que ce soit, ou de notre souveraineté", a déclaré le ministère ouzbek de l'énergie. Le Kazakhstan et l'Ouzbékistan, pays producteurs de gaz, importent déjà une partie de leur gaz de Russie, et Moscou a déclaré le mois dernier qu'il était en pourparlers avec ces deux pays pour augmenter leurs exportations, alors qu'ils réclament des approvisionnements supplémentaires dans le contexte de la crise énergétique hivernale en Asie centrale. Le Kazakhstan exporte également du gaz vers la Russie, mais pas l'Ouzbékistan. Les deux pays envoient habituellement la majeure partie de leurs exportations vers la Chine, mais Astana et Tachkent affirment avoir interrompu les exportations de gaz cet hiver afin de conserver les réserves pour la consommation intérieure. L'Ouzbékistan s'est engagé à arrêter complètement ses exportations d'ici 2025, et le Kazakhstan envisage d'y mettre fin dès cette année. /deepl
  14. en grec, j'ai ça: https://defencereview.gr/dassault-rafale-i-epicheirisiaki-diastasi-gia-ell/ (pas certain du tout que ce soit ce que tu recherches)
  15. Oui, 8 tubes c'est ce qu'indique le wiki pour la classe Attack. Et nos Suffren, c'est 4 effectivement.
  16. Le 5è classe Kalvari, l'INS Vagir commissionné par la Navy ce jour, après seulement 11 mois d'essais à la mer... En outre, l'AIP indigène avance bien. Communiqué du MoD ce jour: Aatmanirbhar Bharat : Le système de propulsion indépendante de l'air basé sur des piles à combustible du DRDO sera bientôt installé à bord de l'INS Kalvari, ce qui améliorera considérablement son endurance sous-marine. Le DRDO et Naval Group France signent un accord pour intégrer en toute sécurité le système indigène dans les sous-marins de la classe Kalvari. Posté le : 23 JAN 2023 8:21PM par PIB Delhi Dans un élan majeur pour " Aatmanirbhar Bharat ", le système de propulsion indépendante de l'air (AIP) à base de piles à combustible du Laboratoire de recherche sur les matériaux navals (NMRL) du DRDO sera bientôt installé à bord de l'INS Kalvari. Un accord a été signé entre les hauts responsables du NMRL et de Naval Group France à Mumbai le 23 janvier 2023 pour étendre la coopération afin d'entrer dans la phase de conception détaillée pour l'intégration de l'AIP indigène dans les sous-marins de classe Kalvari. Dans le cadre de cet accord, Naval Group France certifiera la conception de l'AIP en vue de son intégration dans les sous-marins. L'AIP a un effet multiplicateur de force sur la létalité d'un sous-marin diesel-électrique car il améliore l'endurance en immersion de plusieurs fois. Il présente des avantages en termes de performances par rapport à d'autres technologies et est unique car l'hydrogène est généré à bord. Cette technologie a été développée avec succès par le NMRL avec le soutien de partenaires industriels indiens. La technologie a maintenant atteint le stade de maturité pour l'industrialisation. Il convient de mentionner que le prototype terrestre de l'AIP du NMRL a été testé avec succès. Ce nouvel effort constituera une étape importante vers la certification de la conception détaillée du module énergétique, qui sera réalisée par le NMRL en collaboration avec l'industrie indienne, et vers la conception des plates-formes concernées par l'intégration de l'AIP indigène dans le sous-marin indien par Naval Group. Ces actions ouvriront la voie au démarrage de la localisation et de l'industrialisation de l'AIP, y compris la fabrication de la coque par l'industrie indienne, en vue d'une future installation à bord des sous-marins. S'exprimant à cette occasion, le président-directeur général de Naval Group France, M. Pierre Eric Pommellet, a déclaré : "Nous sommes fiers de coopérer avec les acteurs indiens pour intégrer en toute sécurité le PIA dans les sous-marins de la classe Kalvari, qui ont été construits par Mazagon Dock Shipbuilders Limited. Il s'agit d'une extension naturelle de la coopération stratégique bilatérale entre l'Inde et la France dans le domaine de la défense et de la dissuasion sous-marines, qui s'inscrit dans le cadre de l'engagement continu de Naval Group envers la politique gouvernementale "Aatmanirbhar Bharat". Raksha Mantri Shri Rajnath Singh a félicité la DRDO, la Marine indienne et le MDL pour avoir fait avancer l'initiative Aatmanirbhar Bharat dans le domaine sous-marin. Samir V Kamat, secrétaire du département de la R&D de la défense et président du DRDO, a également félicité le NMRL, la marine indienne, le MDL et Naval Group France pour ce partenariat stratégique. Le "refit" de l'INS Kalvari (1er de la classe) est prévu pour l'année prochaine.
  17. Oh, depuis un peu plus longtemps que ça. La tradition remonte à la deuxième moitié du XIXè siècle, je dirais à la louche. "Le grand jeu".
  18. Et heu "gosnold" a lui aussi publié un article: https://satelliteobservation.net/2023/01/10/france-debates-its-near-space-policy/
  19. oui, le gars mélange pas mal de choses (c'est pourtant le "journaliste défense" du HT). Mais "à la fin", les allemands s'étant retirés du P-75I (et nous autres, et les russes) il ne reste qu'un seul soumissionnaire, la Corée. Ce que le droit des marchés, en Inde, proscrit, dans le cadre d'un appel d'offres. Sur le forum indien SFF, les sous-marins coréens ont mauvaise réputation de fiabilité. Par ailleurs pas mal de voix s'élèvent pour que la Navy zappe ce projet 75I et passe à autre chose. Les indiens sont bien conscients que leur sous-marinade est largement insuffisante. Pour le plaisir, la couve du n° de décembre du mag. Geopolitics.in: "Scorpène: the game changer"
  20. hum, (hindustantimes, 11jan.) La marine indienne pourrait renouveler sa commande de sous-marins de classe Kalveri La marine indienne est prête à enterrer toute nouvelle acquisition dans le cadre du projet 75 I et pourrait renouveler la commande du projet 75 à MDL avec un système de propulsion indépendant de l'air, éprouvé et testé par le DRDO, installé dans les nouveaux sous-marins dans le cadre du programme "Aatmanirbhar Bharat".
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