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Mercury

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  1. Ok, je n'étais pas au courant des 30 minutes. Effectivement, 30 minutes de vol supplémentaire en planant, l'avion doit être capable de parcourir 150 ou 200 km avant de toucher le sol.
  2. Justement, est ce que ces protections d'enveloppes marchent encore en cas d'absence totale de courant électrique et avec des commandes de vol qui sont livrées à elle-même? Je sais qu'il y a pas mal de garde-fous mais il y a un moment où l'avion risque quand même de sortir de son enveloppe de vol.
  3. @ zx Quand l'avion est à sec, le PA saute après l'arrêt du dernier réacteur. Les commandes livrées à elle-mêmes et sans pilote, l'avion tombe comme une enclume.
  4. Et ces technologies haut-rendement pour les panneaux solaires n'ont pas grand choses à voir avec les terres rares. Le problème des carbonatites c'est qu'elles contiennent surtout des terres légères. Regarder un profil de fractionnement sur un diagramme TR normalisées aux chondrites et vous comprendrez pour quoi les carbonatites ne seront jamais ou pas avant longtemps une source rentable de terre rares lourdes. Seul les chinois pour le moment en disposent en quantité importante. Ils extraient les TR de couches lateritiques qui proviennent de la dégradations de granites bien particulier dit granite anorogénique. Le monopole chinois ne durera cependant pas. On explore partout pour ça avec des très bons prospects au Groenland, en Amérique du Sud et en Afrique. Un gisement pouvant fournir 10% de la demande mondiale suffirait à briser le monopole chinois.
  5. Plus les grands lacs qui étaient gelés à 92%. On était plus très loin du record de 1979. Mais bon ça se réchauffe.
  6. Ça coûte très cher d'avoir une boucle détection-identification-interception opérationnelle 24/24. Si comme il a été dit, le 777 suivait en plus des routes commerciales, il y avait peut-être pas de quoi fouetter un chat. Maintenant, aucun des pays qui ont pu potentiellement être traversé n'ont les moyens de garder leur espace aérien inviolé (à part l'Inde, le Pakistan et la Chine, si on privilégie une route Nord). On comprends l'embarras du gouvernement malaysien qui n'a pas réagit alors qu'un vol commercial probablement détourné, sans transponder a fait mumuse dans son espace aérien. C'est ce qui s'appelle être pris le pantalon sur les chevilles.
  7. Je crois qu'on peut poser un 777 sur 1500m. Après tout dépend si on a planifié un decolage dans le futur. Si ce n'est pas le cas, les options sont multipliés d'autant. Le fait que les américains envoient leurs navires dans le détroit de Malacca et aussi à l'ouest des îles Andamans est un signe qui ne trompe pas. Les indiens font de même. Les Malaysiens peuvent démentir tout ce qu'ils veulent, les actes parlent d'eux mêmes. On ne déploie pas de tels moyens sur un coup de dé. Ils "savent" quelques choses. Si l'avion s'était crashé dans le golfe de Thaïlande, on aurait trouvé quelque chose depuis, considérant les moyens absolument colossaux mis en place. N'oublions pas que les fonds marins ne dépassent pas 200 m et sont souvent plus proche de 50 m. Le signal des boîtes noires n'auraient pas trop de problèmes à être captés par une écoute attentive, tout comme la balise de détresse. Un autre truc bizarre est que le transponder a arrêté de fonctionner juste au delà de la zone de contrôle malaysienne et avant la prise de contrôle par la zone vietnamienne. Coïncidence? Peut-être mais curieux quand même. Les premières rumeurs faisant état d'un demi-tour sont probablement les bonnes. Maintenant, s'il est vrai que l'avion a continué de voler pendant 4 h et qu'il a finit au fond de l'ocean indien, il est possible qu'on ne le retrouve jamais. D'un autre côté, en continuant de voler sur la réserve, il a pu aller aussi loin que le sud de l'Arabie voir peut-être la Somalie.
  8. Ça pourrait être n'importe quoi.
  9. Je suis d'accord pour la parti technique. D'un autre côté, cela serait une mauvaise idée de le trompeter sur les toits, quand on pense aux implications.
  10. Si les portables ont effectivement sonné (personnellement je demande à voir et j'espère que c'est de bonne augure), ça veut dire qu'ils sont connectés à un réseau et qu'ils ne sont vraisemblablement pas au fond de l'océan, donc...
  11. Il semblerait qu'il n'ait pris trop mal son échec. En tout cas, il a suffisamment aimé pour avoir envi d'écrire quelque chose à ce propos.
  12. Pourtant, très vite au cours de la seconde guerre mondiale, les destroyers sont devenus le premier écran antiaérien-alerte avancée des task force américaines, à tel point qu'il essuyèrent le gros des attaques kamikazes. Édit: grillé par skw
  13. Non. Que les océans pour tout un tas de raisons puissent stocker beaucoup plus de chaleur que l'atmosphère est un fait, que les océans puissent se réchauffer sans aucun réchauffement préalable de l'atmosphère est tout simplement impossible. Si les océans se réchauffent, l'atmosphère se réchauffe aussi. L'atmosphère peut difficilement réchauffer de manière significative les océans. Par contre, ceux-ci peuvent très bien chauffer l'atmosphère en relargant la chaleur stockée. Imaginer par ailleurs qu'on puisse réchauffer la parti profonde des océans sans avoir au préalable chauffé la couche supérieure de ceux-ci est une sinistre plaisanterie. Le seul moyen d'enfouir efficacement de la chaleur est par convection. La encore la chaleur doit venir du haut. Soit dit en passant, la circulation thermohaline est un de ces courants qui est capable d'apporter de la chaleur en profondeur........chaleur qui peut disparaître pendant très longtemps, considérant que cette circulation thermohaline met environ 2500 ans pour faire un tour complet, cela laisse bien du temps.
  14. Je me demande si le mot anthropique ici n'est pas de trop. On peut conclure à juste titre à un réchauffement, sans pour autant apporter la preuve de la contribution anthropique, tout simplement parceque cette contribution a été estimée au doigt mouillé et que les hausses de températures prédites sont très fortement dépendante des rétroactions positives. Ces rétroactions positives se sont montrés soit inexistantes soit très largement surestimées. Qu'on arrive pas à décider entre des modèles prédisant 5 C de réchauffement sur 100 ans et ceux à 1C en dit très long sur l'état des connaissances calamiteux des mécanismes climatiques. Par ailleurs, la seconde question est très mal posée pour la bonne raison que le terme significative peut vouloir dire tout et son contraire. À combien estime t-on la part anthropique dans l'augmentation des températures du siècle dernier? Réponse: au delà de la contribution du CO2 qui est minime (même les carbocentristes ne le contestent pas) et honnêtement on n'en sait rien. La contribution anthropique est-elle suffisante pour oblitérer la variabilité naturelle? Tout laisse à penser que ce n'est probablement pas le cas. Si la réponse est non, cela veut dire qu'on a probablement pas grand chose a craindre.
  15. Pas seulement. Les masses d'eau océaniques répondent aussi à la gravité et aux phénomènes géologiques. Les plus grandes transgressions marines ont eu lieu alors que les vitesses d'expansion des dorsales océaniques étaient maximales avec une forte intumescence thermique. Il est vrai que les échelles de temps ne sont pas les mêmes, néanmoins, je ne suis pas certains qu'en dehors des zones à risques sismiques, ces problèmes soient regardés de près.
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