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Janmary

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Tout ce qui a été posté par Janmary

  1. En fait, personne ne voulait de cette solution comme indiqué dans mon post précédent. D'autant que la population Française commençait à être lasse de cette guerre (bien qu'officiellement elle était désignée comme une opération de Police). Les cercueils qui revenaient en métropole ainsi que les commentaires des appelés (28 mois de service), ou rappelés (32 mois de services) commençaient sérieusement - malgré les censures télévisuelles (une seule chaine de télévision d'Etat avec un ministre de l'Information) et des médias journalistes, à alimenter les informations diverses et variées. Les philosophes prirent partis dans des tracts et des journaux d'oppositions. L'affaire été entendue. Les accords d'Evian stipulés que les pieds noirs pouvaient rester sous réserve de prendre la Nationalité Algérienne. Quelque uns le firent. Mais l'OAS (Organisation de l'Armée Secrète), très, très favorable et sans conditions à l'Algérie Française commencèrent une offensive contre la population dite musulmane, les pieds noirs (partir ou le cercueil), à quoi, le FLN (forces de Libération Nationale) riposta et ce fut des massacres organisés. Et les pieds noirs quittèrent le pays (leurs pays ou ils étaient nés). Nous pûmes conserver la partie Saharienne pour nos essais nucléaires pendant 5 ans si ma mémoire est exact, avant que les installations de la Polynésie soient disponible. De même le plan de Constantine (plan économique appliquée à l'Algérie) fut prolongé d'autant en contrepartie je suppose. Genèse d'un mauvais confit qui aurait pu être différent. Tout comme l'Indochine précédemment. Nous avions oubliés que ces populations ont servis la France pendant deux guerres mondiales et qu'ils désiraient et voulaient l'indépendance. Le plus curieux fut le nombre considérables d'auteurs, militaires pour certains, ayant servis pendant le second conflit et qui refusaient cette indépendance au nom de la France, alors que nous mêmes avions étét sous la botte Nazis. Aujourd'hui ce pays est peuplé de 44,9 millions d'habitants (2022). Il manque de céréales. Les bénéfices pétroliers sont limites pour faire vivre ces populations. Et pourtant ! Lors de mon passage pendant un an à l'Université de tours pour une formation de Master en informatique, j'ai acquit deux livres de cours qui étaient édités en Algérie. Et récemment, j'ai téléchargé des cours d'informatique sur divers sujets sur des sites universitaires Algériens. Les professeurs sont des virtuoses pédagogiques. Clarté et explications bien développées. Janmary
  2. Absolument exacte Carl. D'autant qui le Sahara, lors des accords d'Evian, devait revenir à l'Algérie. C'était sans appel. Déjà, précédemment, le premier Ministre, Michel Debré, avait proposé une partition ou la région d'Alger devait rester aux "Pieds noirs" Français et le reste du territoire aux algériens. On peur deviner à l'époque, les résultats d'une telle proposition de la part des pieds noirs, du GPRA (Gouvernement provisoire de la République Algérienne), du général de Gaulle, sans parler des pays neutre ou "non engagés".
  3. Janmary

    bonjour

    Bonjour krach C'est bien de se croire l'équivalent d'une mine d'or ! Encore faut-il en extraire les pépites ! Aurions nous l'honneur d'une présentation de votre personne ? Janmary
  4. Oui, Phacochère. Sans parler de celle de l'Ambassade américaine à Téhéran...mais c'était il y longtemps ! Avec Khomeini, ce vieux fou.
  5. J'ai appris hier soir, lors d'une table ronde sur un plateau de télévision, que des invités indiquaient que les services américain, israélien et Iranien, lors de ce genre de frappes (Israël sur le Consulat Iranien à Damas), s'entretenaient entre eux pour connaitre la réplique de l'autre (l'Iran en l'occurrence) qui serait à la hauteur et ne dépassait pas les limites pouvant conduire à une escalade. Cela rejoint ce que certains membres du forum (et moi même ) avions postés, à savoir, que l'Iran ne voulait pas s'investir dans un conflit éventuel au Moyen-Orient. Pour cela il y le Hamas (en mauvaise posture), le Hezbollah et les Houthis. Cette frappe directe de l'Iran sur Israël est donc "mesurée" (toute proportions gardées) en insistant sur le coté que "L'affaire est terminée" en ce qui les concernent. On sent de la maitrise dans toutes ces actions. Pas de débordement incontrôlable. Reste, bien sur, la réaction d'Israël à venir. Et le premier Ministre Israélien recherche toujours un conflit avec l'aide américaine. En Iran, l'économie va mal, la population souffre et les femmes en général encore plus, et il y du retard sur certains composants entrant dans la conception des armes nucléaires. Cela commence à faire beaucoup. Voici le coup de projecteur que je puis vous donner, Am39Exocet. Bien à vous.
  6. Je pense qu'une partie de la réponse est donnée par Ciders. Jusqu'à présent, l'Iran s'est montré prudent quand à ses actions au Moyen-Orient, tant contre Israël que vis à vis des USA. Ses problèmes internes l'incite à la modération autant que la future acquisition de l'arme nucléaire vont également dans ce sens. En fait, c'est une phase délicate que traverse ce pays qui n'a pas besoin de se projeter en intervention directe. Tirer les ficelles par le biais de mouvements pro-islamiste est plus aisée pour l'instant. Des répliques locales par Hamas ou/et Hoballah interposés très certainement. Des attentats contre les représentations diverses et variées israélienne à l'International également. Mais je ne pense pas à une action principale qui pourrait s'assimiler à l'équivalent de l'intervention Russe en Ukraine ou nombreux sont ceux qui n'y croyait pas malgré les avertissements américains. Mais tout peut arriver.
  7. En effet, FAFA, ce sujet est de plus en plus évoqué avec le conflit actuel. Nombre d'Etats ne s'exprimait plus sur ce sujet depuis des années....mis à part les principaux intéressés. Je crains que la guerre actuelle dans la bande de Gaza avec des actions ponctuelles d'Israël sur la Syrie soit synonyme de conflit de longue durée d'une part, de haine absolue entre les belligérants, d'autre part, qui vont durablement entraver cette possibilité de deux Etats souverains dans cette région. Possibilité attendue depuis 1948. Le problème posé est la possibilité la reconnaissance d'un Etat palestinien par un certain nombre de pays occidentaux qui fait l'objet actuellement de débats sur certain plateaux de télévisions. Et au niveau des Chancelleries ?
  8. A titre personnel, Ciders, je trouvais de bon ton de répondre aux destructions engendrées en Ukraine par la Russie par des frappes sur les raffineries. A plus d'un titre, ce sont des cibles stratégiques dont les cours pétroliers à l'international sont sensibles à de multiples motifs. Il semble que la Russie ait manifestée "sa méchante humeur" devant ces actions dont elle est en difficultés de réponses, autre que de frapper les sites énergétiques Ukrainiens. Par le biais des relations toujours en cours avec les USA, ces derniers ont intimés une demande ou un ordre de stopper les frappes sur ces centrales afin d'éviter, probablement, une escalade pouvant dégénérer dans des directions non métrisables. Il à donc une relation dans les conflits Russo-Urkainien et Israëlo-Hamas/Palestine quand au cours des produits pétroliers, contraire à nos intérêts les plus vitaux. Malheureusement dans ce contexte, krach, nous ne pouvons que souscrire à vos propos. Bien à vous deux.
  9. Post effacé par problème technique involontaire. Dommage. Nous aurons l'opportunité de se recroiser Clairon. Vous aviez de l'humour à revendre aujourd'hui.
  10. Il y a eu sous la III° et IV° République des conscriptions qui furent à la Hauteur. "La furia Française" était reconnu tant en Europe que lors de la création de l'Empire français. Dans mon post précédent ou je citais les parachutistes composés de 80% d'appelés étaient des combattants redoutables. Et reconnus comme tel par le colonel Bigeard à l'époque. Ils furent encadrés par des sous-officiers et officiers expérimentés de par leurs combats en Indochine et qui considéreront ces appelés comme inapte à sauter d'un avion et à combattre. Ils furent pris au "Jeux" et se surmenèrent. Tout les distinguaient. L'uniforme "Crapeau" la casquette Bigeard, etc. Dans le contexte sur lequel je m'exprime, ou "Opération de Police", tant pis pour les malades, blessés, traumatisés, etc. Il fallut qu'un premier Ministre, par la suite, Mr Jospin fit voter une Loi pour que cette opération fut désormais en réalité un conflit. Donc les pensions furent accordés aux engagés sur ce champs de batailles, les pensions de veuvage, des avantages fiscaux obtenus pour les "anciens combattants" (donc reconnus également comme tel), les décorations autres que la commémorative ou la valeur militaire. Le changement fut énorme. J'ignore aujourd'hui le montant de ces prestations ainsi ce que cela représente au niveau du budget de l'Etat. Les appelés bénéficiaient d'une (petite, très petite somme ou aumône) et des 8 paquets de cigarettes si je me souviens bien. Histoire d'aller prendre une bière au foyer ou au mess pour les gradés. Les conversations avec mes grands pères de 14-18 avaient une micro solde si je me souviens. Les Soviétiques pareillement avaient une solde malgré le manque de finances de l'Etat soviétique et les montants furent bloqués sur un livret ouvert à la fin 1945 pour en bénéficier. Donc le soldat était sans aucune monnaie et vivait sur l'habitant surtout en pénétrant en Pologne, Balkans et Allemagne. Pour les Britanniques et les Américains, ils possédaient un livret de solde, moins important pour les Britanniques que les américains. C'est tout ce que je puis vous dire sur vos questionnements, Pasha. Quand aux ukrainiens , j'ignore leurs sorts en ce domaine. Vos questions sur ce forum permettent de connaitre des éléments, voir des réponses complètes.
  11. C'est ce que l'on appelle, "l'Ame slave", g4lly . Actions et décisions incompréhensible bien souvent pour nous occidentaux qui sommes - parait-il - cartésien. Les Nazis ont eu le temps de le constater.....à leurs dépens pendant "La grande guerre patriotique". Moi aussi, incidemment. Mais je n'étais pas obligé de me marier avec une de nos consœur de parents immigrés Russes, nés à Kiev, alors Russe. Cela ne s'invente pas .
  12. A bientôt 48 balais, et citoyen d'un pays PAS en guerre, je peux pas supputer sur mon propre comportement, je n'en sais trop rien, et je donne aucune leçon de "civisme" à personne. Donc je vais partir sur des conjectures, mais ça ne vaut pas grand chose ( cependant ça vaut tout autant que les tiennes ). Sans trop d'attaches ( femme(s), enfants jeunes...) je suis sans doute assez couillon et "patriote" je serai parti dans les volontaire du début. Possiblement. Si j'avais été jeune ukrainien diplômé et jeune pousse avec du potentiel, je serai parti avant 2014 possiblement. Si tu n'as pas les moyens de quitter un état failli tu y restes par résignation et surtout par manque de perspectives. Si tu as la fougue, la jeunesse et le potentiel, tu te barres quand il est temps. Et depuis la chute du mur, les perspectives en Ukraine sont bien pires qu'en Russie ( même si tu sera pas d'accord ) à statut social équivalent. L'excuse du matos, c'est de la pure branlette. C'est une fausse excuse. Soit tu as envie d'y aller, soit t'as pas envie. Soit tu es obligé par la force des choses, soit tu peux passer ( et tu le veux bien et tu fais tout pour ) entre les mailles du filet. La réalité c'est que le système n'est pas absolument pas égalitaire, donc partant de là, quand tu as un voisin émigré en UE, un autre voisin au front en première ligne, un autre enrolé mais "planqué" avec moins de risque, et 5 autres voisins comme toi qui restent "planqués" dans le civil en évitant les "recruteurs", tu as un droit quasi légitime à penser à protéger ta gueule, puisque la majorité en fait autant. Comme tout à chacun, je n 'ai pas à donner de leçon de moral à quiconque, ksimodo. Mais, outre un petit brin de vulgarité bien inutile dans ce genre de cas de conscience (mes excuses ksimodo mais je retrouve bien les locutions Bordelaises ou j'ai passé une partie de mes jeunes années ), je pense que l'ami Delbareth pose bien le problème d'un jeune homme qui devrait se battre pour son pays et qui se pose bien des interrogations sur les conditions de son engagement. Je pense que nombre d'Ukrainien(e)s doivent se sentir abandonnés. Vous pensez à ce que vous ferriez en pareil cas. Vous avez l'honnêteté de débattre de ce sujet et de poser le problème "sur la table". C'est tout à votre honneur. Et franchement, merci à vous. J'ai été dans ce cas (j'ai 82 ans aujourd'hui) en 1961 quand j'ai reçu ma feuille d'appel sous les drapeaux. Rien que de très normal. Juste le coté moral pour un service militaire de 28 mois afin de participer à une opération dite de Police. Que nenni, nous savions tous que c'était une vraie guerre qui cachait son nom et que nous étions, nous, la France, systématiquement condamnés par l'ONU, les pays en voie de développements (Afrique), les pays dit anti-colonialistes (Inde, Indonésie, etc.) et nous savions ce qui nous attendaient. En fait, nous étions les Russes dans ce contexte si nous faisons une comparaison un peu facile. Il y avait une communauté d'un million d'Européen et 9 millions de.....musulmans (et non d'Algériens). Personne ne prononçait ce terme. Ce fut une grande confusion de fait au niveau de plusieurs générations - du moins pour ceux qui se posaient des questions - qui ont servis dans ce pays. Il y avait des appelés qui servirent dans des unités d'élites (Parachutistes ) qui furent des combattants remarquables et de haut niveau jusqu'à l'appelé en poste dans une ferme ou sur un piton dans le cadre du "compartimentage" (Quadrillage) du terrain. Des cas de conscience - c'est indiscutable - se sont posés. Certains étaient particulièrement tourmentés. Mes questionnements se sont posés aussi après cette période. C'est la que j'ai décidé ce que je ferais de ma vie, tant professionnel que familial. J'ai pris des options, j'ai foncé, suivi des cours du soir pendant un cumul de temps de près de 15 ans, accepté des postes outre mer, bref, se définir en tant que tel, se donner les moyens et foncer. Cela m'a permis aussi de réfléchir longuement sur l'Histoire, les guerres, la stratégie et tactique des conflits dit révolutionnaires. Et surtout une soif d'apprendre. J'ai réussi, je pense à avoir eu la trajectoire désirée. Je dois reconnaitre que j'ai aussi beaucoup appris sur des sites / forums, d' Informatique, d'économies et.....d'Histoire ! Mais durant ce temps, la vie à passé. Et les mêmes grandes questions se posent avec régularité. La vie est un éternel recommencement. Les Ukrainien(e)s doivent s'en poser des questions dont nombre sont sans réponses et le sort de leur pays est en balance. Bien à vous ksimodo.
  13. Parfaitement exact Boule75. Le soucis, est le fait que l'Etat à donné implicitement son feu vert (pour ne pas dire plus) à une époque, en souhaitant que Serge Tchuruk fasse un travail de démantèlement positif (le terme est d'un député) des grandes industries Française. Alors que le même Etat passait commande des matériels pour les télécommunications en France et pour l'armée (Fac similé, télégraphie harmonique, etc. etc. et, en coopération tel le STICAR ou d'autres systèmes). Alcatel avec son système numérique E10, remplaçait les auto-commutateurs analogique, pour l'implantation du téléphone numérique avec le réseau TRANSMIC (Transmission MIC ou Modulation, Impulsion et Codage, technique d'échantillonnage numérique d'un signal vocal analogique) sur toute la France. Par la suite ce fut Strauss Kahn qui à poursuivi dans cette voie de refus de grandes entreprises (Le pays à pour vocation de développer son attractivité dans le tertiaire). Puis notre Président avec la vente d'Alstom (nucléaire) aux USA pour la racheter....mais sans les brevets conservés par les américains. Avec les américains, ce fut pire. Car c'est Alcatel qui développa les premiers réseaux numérique aux USA. En effet, les distances étant très grandes, il y avait un problème de dysfonctionnement. Les MODEM (Modulateur-démodulateur) qui sont les interfaces entre numériques d'un coté (Les systèmes binaire) et analogique de l'autre ( transposition des bits "zéros" et bit "un") en fréquences analogiques sur câbles, posaient soucis. Quand on envoie deux fréquences sur ligne téléphonique (1300 Hz et 1700 Hz par exemple qui sont celles d'un MODEM aux normes V24), une fréquence arrive à destination avant l'autre. C'est le phénomène dit "de programmation du temps de groupe". Donc au niveau binaire dans la chaine de transmission qui suit, c'est une confusion dans la réception binaire puisque chaque fréquence émise représente un UN ou un 0. Le système utilisé par Alcatel était un dispositif automatique de remise en phase des données fréquentiels (ce fut l'objet de mon mémoire d'ingénieur par la suite sur les transmissions de données et les MODEM) . Les USA ne pouvaient pas accepter qu'un pays tiers puisse être apte à implanter ces systèmes chez eux. D'où la mainmise du système par des voies peu recommandables sur le plan commercial et un coup dur pour Alcatel. Il est vrai que j'ai simplifié mon post précédent....au point d'être à la limite erronée. Merci pour votre intervention claire et précise, Boule75. Bien à vous. Nota = Le STICAR ou Système de Transmission et d’Information par Codage des Armées. Voulu par le Président de la République, le général de Gaulle, suite aux grèves de 1968, permettant au Chef de l’Etat de se passer des télécommunications publiques ou semi-officiel bloquées par lesdites grèves. Le reste de ce thème est confidentiel.
  14. Si il y a de grandes vérités dans vos propos, il n'en reste pas moins qu'il y a quelques points à apporter. Je généralise un peu, profitant du sujet. L'étude des USA, Union Soviétique et France avant 1939-1941, voir des Nazis, en matière de la mise en œuvre de l'industrie de guerres est caractéristique. 1° - Aux USA, pays dit libéral à souhait, n'ayant que peu d'armée et peu de fabrications de guerres, se lancèrent avec Pearl Harbor dans une mobilisation sans précédent ou la majeure partie de l'industrie civile fut concernée par la reconversion militaire avec le succès que l'on connait et qu'il est difficile de nier. Ils furent même le fournisseur - outre aux forces de leur propre pays - de l'Union Soviétique, de la Grande-Bretagne, de la Chine, etc. 2° - L'URSS, avec un système étatique des plus prononcées et de manière totalement différente, se mobilisèrent totalement pour les fabrications en très grande séries de matériels de bases (comme les USA sur ce point du reste), d'usines dans l'Oural par déplacement forcées d'entreprises avec un travail quasi total sur toute la semaine. Même les gardes pour enfants fut prévues pour que les mères puissent travailler au maximum. Tout était planifiés. 3° - La France, pour sa part, s'était imposée la défensive. La ligne Maginot - du reste fut construite dans ce sens avec une efficacité bien étudiée - mais qui engloutissait "l'Armée dans le béton et non dans la Légion" Citation de l'époque avec "Mieux vaut Hitler que le front populaire") qui fut le résultat d'un pacifisme sans faille....et on le comprend après la guerre 1914-1918. Les fabrications de chars et d'avions furent presque un fiasco. Pourtant nous eûmes le Dewoitine 520 pour l'un et le Soma avec un canon de 47 mm qui perforait tous les blindés allemands. Pourtant ledit Front populaire avait nationalisé les entreprises aéronautiques, mais les pièces composants ces fabrications n'étaient pas disponible au moment "T". Donc les Allemands récupèreront bien des appareils manquants, qui de mitrailleuses, qui de leurs immatriculations, etc. Le procès de Riom (à lire) qui à démontré ce grand désarroi dans les fabrications de matériels de guerres. Et je ne parle pas de stratégie ou de tactiques lors de ce procès. 4° - L'Allemagne Nazie, quand à elle était industriellement supérieur à la France et même la Grande Bretagne suivant les aspects étudiés. Alors que les USA étaient des adeptes du principe de Taylor ou chaque employé avait une tache précise et répétitive (Nous avons étudiés cela au Collège technique à mon époque), l'industrie Allemande firent du matériel d'excellence (jusqu'à la fin du conflit pratiquement sur certains matériels) avec des employés qui s'attachaient a accomplir la gamme complète du travail de leurs spécifications. Quand les hommes partirent à la guerre, difficile de les remplacer au pied levés. D'où le STO (Service du Travail Obligatoire Français en Allemagne), puis les hordes misérable des camps de concentration pour effectuer les fabrications. Nous savons et connaissons les suites. L'une des conclusions en ce qui nous concerne est la dualité....opposée politique et des armement sous une République de concept libéral (Liberté, Egalité, Fraternité). "La logistique suivra" pour employer un terme combien utilisé. Il y a un "antagonisme" de fait entre les décisions de l'exécutif ministériels et parlementaires avec les budgets incompatible avec des entreprises de droits privés qui se doivent de gérer des plans de fabrications continus et sans interruptions pour leurs survies. Or, nous sommes complétement dans ce schéma depuis bientôt 30 années. Des budgets parfois reportés, parfois annulés. Aucune gestion continue par plan quinquennaux ou autres. D'où fermeture d'entreprises. Achat extérieur. Bien souvent, petites séries aux coûts prohibitifs (J'avais cité la baïonnette du Famas par exemple). Il n'y a pas que l'industrie d'armement. Le groupe Alcatel de télécommunications (les marchés en France des PTT puis de France Télécom et nombre de réalisations à l'International y compris aux USA) qui exportait est devenu Nokia par la décision de l'Etat tout comme Thomson qui fut revendu un franc symbolique après que son département "Scanner et imagerie médical" fut vendus aux USA. De grands groupes industriels furent amenés à la faillite par l'Etat. Citons le payement des commandes passées par l'Etat, non pas à 30 jours, ni 60 jours, ni même 90 jours, mais à 90 jours le vingt du mois suivant (120 jours de fait). D'où avance par Banques. puis refus des Banques de poursuivre. Dépôt de bilan. Nous étions en avance dans les domaines nucléaires, des télécommunications (via satellite avec Pleumeur-Boudou), aéronautique (Concorde), etc. etc. Bref, une désindustrialisation. En préalable, je postais = Si il y a de grandes vérités dans vos propos, il n'en reste pas moins qu'il y a quelques points à apporter. En effet, car, dans le langage commun, et je n'en débattrais pas sur ce sujet, car un peu délicat, il est bien connu que le privé "S'en met plein les poches". Images un peu trop répandues d'entreprises dites privées qui sont le fruit d'un secteur marchand qui sont montrés du doigt du fait d'individus corrompus qui jettent la désapprobation par leurs agissements sur des millions de personnes qui travaillent...et perdent leurs emplois. Je fus dans ce cas. Intéressant. à plus d'un titre.
  15. Certes Gustave. Je souscris à vos propos qui revient à la création d'une structure nouvelle Européenne. Le souci est de combien de temps cela prendra t-il ? Le temps me semble compter aujourd'hui. Reprendre les acquis, dans l'urgence d'un abandon des USA, est le plus rapide dans l'urgence qui se posera aux Européens. Nous avons eu certains de nos généraux qui ont participés aux plus hautes fonctions dans le cadre de l'OTAN, ce qui reste un atout. Le problème posé reste Cornélien. Nous avons vécus dans l'insouciance et le réveil est brutal, tardif, et les solutions restent brouillonnes et désordonnées pour le moment, même si un semblant de cohérence commence à apparaitre. Bien à vous Gustave.
  16. Il faut reconnaitre que les grands capitaines de l'industrie acceptent de se faire remonter les bretelles ....avec le sourire, mais les insultes ne passent pas. D'autant que certain Présidents précédent ont cassés en partie la machine militaire, dont notre Président actuel durant son premier mandat, et commandés nos armements, en partie, à l'international (Israël, RFA et même quelques pièces en Chine). Il est vrai que compte tenu des quantités de matériels commandés dont le FAMAS dont la Baïonnette qui fut un luxe tant le coût était élevé. Mais le marché Européen ne fut pas, pour autant à l'ordre du jour. Nous nous sommes contentés de supprimer des fabrications et d'acquérir le matériel en fonction des couts et de leurs qualités. La guerre en Ukraine va peut-être faire réagir....enfin ?
  17. Site bloqué par les anti virus du fait de connections dangereuses avec nomination du virus. Dommage ! Le Ministre exige beaucoup et il à raison. Il exige des stocks. Très bien. Sais t-il que l'état prélève des taxes sur les stocks non attribués par des commandes clients ? Dans ce cas il faut créer des stocks que la législation appelle " Stocks de produits finis" et qui sont dans des endroits clos. D'où, les entreprises tel Renault comme exemple, font que les camions de livraisons arrivent "pile et poil" en temps voulus et précis pour que leurs produits livrés entre sur les chaines de production immédiatement. Il est bon qu'un ministre se bouge un peu. L'exemple d'un ministre de la marine (cela existait à l'époque) est intervenu bruyamment dans son domaine de la marine pour exiger et lancer les deux porte-avions qui allaient devenir le Foch et le Clemenceau.
  18. Merci Bechar06 d'avoir collationner ces différents exposés. Intéressante la comparaison ! Heureux de vous avoir croisé de nouveau.
  19. Oui, en effet, CANDIDE. Il s'agirait, je pense, de reprendre le commandement de la partie US laissé libre de l'Otan, avec les mêmes structures, par les européens. Les généraux Français sont aptes à ce commandement. Par contre la logistique Américaine serait absente et nous nous trouverions avec le même problème de manque de moyens assez rapidement. L'Europe doit s'investir vite, très vite. Toujours pas de commissaire à la défense de la part de la Commission Européenne. De l'inconscience frisant la trahison ou une solide stupidité. Les moyens financiers peuvent être rapidement envoyés à l'Ukraine qui serait à même d'acquérir le matériel et les munitions là ou il pourrait les acheter. C'est un choix stratégique. Les interventions du Président de la République ont quand même un effet de réactions des dirigeants de certains pays de l'Union.
  20. Pour dériver un peu le débat traité, afin d'éviter de se faire remonter les bretelles et revenir modestement à un sujet non HS, je suis étonné par deux particularités relatives aux événements sur le conflit Russo-ukrainien, d’une part, et, d’autre part, sur le conflit OTAN-Serbie. 1° - Il y a eu débat, ici même, sur les attaques de drones Ukrainiens à prés de 1.000 km de leurs bases de lancements, concernant les raffineries de pétrole Russes. Je ne reviens pas sur ces débats, fort bien commentés du reste. Outre ma surprise de constater que l’ex-Empire Soviétique devenue Fédération Russe avec un locataire du Kremlin très à l’offensive et stipulant comme un matador que la frappe nucléaire serait automatique si l’intégrité de la Russie était mise en cause (Sujet également traité ici même), je serais tenté de croire que nous assistons au combat de David contre Goliath. Nous connaissons la mise en demeure de la Maison Blanche sur les frappes de drones Ukrainien avec des destructions de l’ordre de 15% (également bien débattu ici même) des raffineries Russes, et, en général, sur toutes frappes en Russie. Il y a eu débat sur la chaine LCI concernant ce sujet. Certes, stratégiquement, ce n’est pas un bouleversement que de frapper dont les effets – comme déjà indiqué – ont eu pour tendance la montée des prix pétroliers à l’International. Pour l’Amérique, dont le deux lobbys sont l’industrie de la défense et l’industrie pétrolière, c’est inconcevable, comme chez nous, jadis, le labourage et le pâturage furent les deux mamelles de la France. Mais quand même ! Quel coup de canif dans le dos ! Déjà que le président Biden avait annoncé qu’aucun soldat américain n’irait en Ukraine, voici maintenant que les Ukrainiens doivent se battent avec une main attaché dans le dos. Beau cadeau empoisonné en vérité. Je me perds en conjoncture comme dirait le Général. On ressent, au pire, une crainte ou peur d’assister à une spirale incontrôlée dans le conflit en cours, vue des USA, ou, de considérer, comme au temps de la guerre froide, que l’Ukraine est dans la zone d’influence de la Fédération Russe. 2° - Le second point de vue, est le bombardement par l’OTAN, de bombes à graphites sur les réseaux de distributions électrique en Serbie avec une certaine efficacité. Je laisse deux auteurs ci-dessous l’explication des effets sur les réseaux Serbe d’électricité. Mais la politique dent pour dent serait que l’Ukraine puisse utiliser ce type d’armes…ou d’autres sur les sites de production des centrales électriques…et poursuivre les attaques contre les raffineries. Sans parler des productions agricoles céréalières Russe qui ne demandent qu’a subir des coups. Mais je m’égare. C’est le privilège de l'âge ! Avant d’engager – éventuellement – des hommes sur le terrain (gros débat ici même sur ce thème), il y a encore bien des aides, assistance, matériels, options qui s’offrent aux occidentaux….avant la capitulation en rase campagne que personne - à juste - titre - ne veut entendre souscrire. La guerre des drones est surprenante et reste l'une des données essentielles dans ce conflit. 3° - La Serbie livre à la Russie des bombes américaines au graphite Par JACQUES ISNARD Publié le 18 mars 2000 à 00h00, modifié le 18 mars 2000 à 00h00 LES SERBES ont livré aux Russes des bombes au graphite, que les Américains ont utilisées contre Belgrade, au printemps 1999, et qui ont eu pour effet de plonger les habitants dans le noir durant plusieurs nuits en pleine opération « Force alliée ». William Harkin, un enquêteur de l'organisation Human Rights Watch (HRW), lui-même ancien agent de renseignement américain, l'a rapporté de ses investigations en Serbie. Des employés de l'administration locale de l'électricité, mandatés pour réparer et, du même coup, pour récupérer des restes de ces munitions sur les lieux de leur largage, ont reconnu avoir été chargés de les confier aux Russes aux fins d'analyse des composants de cette arme secrète. Rendu public le 31 janvier, le rapport du Pentagone, censé tirer les leçons de la guerre du Kosovo, ne fait nulle mention de ces bombes au graphite dans sa partie déclassifiée. On les connaissait, dans l'arsenal américain, sous le nom de code de CBU-94 et cette appellation ne figure pas dans le document du Pentagone. C'est en 1991 que ces bombes au graphite ont fait leur apparition, lorsqu'elles plongèrent Bagdad dans l'obscurité, provoquant des courts-circuits sur le réseau de distribution électrique irakien, après avoir été disséminées par des missiles de croisière Tomahawk. Au Kosovo, ce sont des avions « furtifs » F-117 qui, par trois reprises au moins, les 3, 8 et 22 mai 1999, les ont lâchées sur Belgrade en volant à quelque 3 000 mètres d'altitude. Les bombes au graphite ne détruisent pas les transformateurs ou les circuits de distribution de l'électricité. Elles en neutralisent le fonctionnement durant des heures - le temps de la réparation - et elles ne tuent pas directement. En ce sens, elles sont considérées comme des armes non létales, dont l'emploi n'est, à ce jour, interdit par aucune convention internationale. L'attaque du 3 mai a requis l'intervention de 500 techniciens durant une quinzaine d'heures. 4° - Bombes au graphite de l’OTAN en Yougoslavie (gssa.ch) Bombe au graphite — Wikipédia (wikipedia.org) Janmary
  21. Qu'est ce qu'un appui assez fort ? Je ne tiens pas à polémiquer sur ce sujet. Trois points. 1° - Les forces Françaises libres ont appliquées de par les ordres du général Leclerc directement, en Alsace, l'ordre de fusiller des combattants Français en uniforme Allemand et combattant pour les Nazis. Evènement connu. 2° - Il fut accepté par ces mêmes Forces Française - qui, globalement respectaient les militaires Allemands qui acceptaient la reddition pour devenir des prisonniers - eurent des comportements de refus envers ces prisonniers . Mon père fut témoin, après un combat très dur, que des Allemands / Nazis, s'étant refugiés dans un école primaire ont reçus l'ordre de nettoyer la place. Ce qui fut. Beaucoup de ces derniers s'étant refugiés dans les toilettes - malgré les mains levés et criant "Kamarade" - furent abattus sans sourciller. La sanction fut = Des salauds en moins. Ils n'avaient qu'à se constituer prisonnier .(Sans commentaires). De nombreux belligérants, je le reconfirme, ont considérés que la Convention de Genève ne couvrait pas le sort des militaires qui se rendent. Si une reddition proposée est acceptée, c'est différent et reste un crime de guerre si un homme est abattu gratuitement. 3° - Malheureusement pour moi, je fus engagé en tant qu'appelé du contingent dans une opération dite de police. Deux choses en arrivant sur place. Le petit livret de photos des exactions commises par l'ennemi qui nous étaient remis. Juste pour nous mettre en condition. Et le rappel de la Convention de Genève qui nous octroyaient de tirer même préventivement car le sort des rebelles n'est pas couvert par ladite convention. Et pourtant. J'ai vu des morts. Et tous, nous portions le treillis militaire. Parfois avec une djellaba. Mais le rebelle portait un petit insigne de couleur verte sur l'épaule. Je pense que vous avez deviné. La guerre est une chose des plus déchirante et abjecte qui soit. En parler, c'est normal. La vivre, civil ou militaire, laisse des traces profondes. Si j'ai posté sur ce sujet, c'est que j'avais quelques éléments à afficher pour ce débat. Bien à vous ksimodo. A se lire et poster sur d'autre sujets avec plaisir. Janmary
  22. Nous pouvons que souscrire ksimodo. Néanmoins, vous soulevez deux problèmes. En tant de belligérances, de conflits, c'est à dire de guerres, vous n'êtes par tenu de faire des prisonniers. Du moins durant le second conflit mondiale et les accords de Genève. IBien des lectures et des débats de procès de divers belligérants d'après guerre sont malheureusement là pour le confirmer. Il y a eu quelques modifications depuis. Par contre, si vous acceptez la reddition, vous êtes comptable de sa sécurité de ce prisonnier. Et c'est un crime de guerre que de le rudoyer physiquement sous formes de tortures ou de l'exécuter. Ce qui fut fait par nombres de belligérants durant le second conflit mondial, éventuellement pour des questions de haines, de vengeances, voire par principe (SS, troupes "spéciales" de supplétifs). Nazis, Soviétiques et Japonais ne s'en privèrent pas. Les V1 et V2 sur Londres et les bombardements stratégiques au dessus de l'Allemagne, de l'Italie et du Japon furent des crimes de guerre du fait de bombardements de civils. C'est clair. Quand aux conflits de guérillas ou révolutionnaires à l'époque ou ils furent menés (avant les indépendances de ces pays), le fait d'être sans uniformes dans le cadre d'une Nation non reconnue, étaient sans équivoque. Sauf, quand il avait nécessité d'avoir quelques prisonniers pour interrogatoires musclés, dont le sort était....l'assassinat pur et simple par la suite. C'est souvent l'officier commandant qui détermine ce qui doit être entrepris à ce niveau sur les champs de batailles.
  23. Je suppose que cela est fait pour avoir rapidement une "masse de manœuvre" plus importante qu'une conscription de 11 mois à partir de 18 ans. De 18 à 27 ans, cela représente plus de réserves, d'hommes entrainés en cas de conflit. Mais c'est une supposition de ma part. Je ne vois pas d'autres raisons à priori.
  24. A ma connaissance, les combattants sans uniformes ne bénéficient pas des "protections" des Conventions de Genève. En ce domaine, j'en suis resté aux années 60 et 70. Je souscris à vos propos, g4lly. Par ailleurs, j'avais lu effectivement le problème du PaVa et des enceintes diplomatique. Je n'avais jamais pu voir le développement de ce problème.
  25. Pas pour les essais à l'air libre, Akilius G. Uniquement souterrain par la suite, effectivement. Les seuls personnels qui restaient sur l'atoll au moment des tirs étaient les dirigeant du CEA-DAM ( commissariat à l'Energie Atomique - Division des applications militaires) au PCT (Poste de Commandement de Tirs) qui était un énorme blockhaus étanche pouvant assurer la survie pendant assez longtemps. Par contre le danger étaient les atolls environnants ou pouvaient transiter le nuage radioactif. Les autres points dit PEA (Point d'Etude Atomique) des zone de tirs étaient sans personnel aucun. De même Hiroshima et nagasaki, précédemment cité, le personnel américain s'y rendit....et y resta un certain temps. Tout est différent avec une bombe A (A rayonnement renforcé) dopée. Il n'est pas question de se promener sur le terrain. IL faut attendre un certain temps. Puis avec un temps sans vent de préférance, dérouler un tapis plastique pour se déplacer dessus. Les dosimètres sont de rigueur. Les militaires assuraient toute la logistique navale et aérienne et bien sur la sécurisation de la zone Pacifique et proche des tirs. Parfois les tirs furent diligentés à partir du Croiseur Colbert (Avec le Général de Gaulle ou l'Amiral de la flotte du Pacifique). Un atoll c'est un cône inversée avec un lagon sur la partie supérieure. Donc, les forages devaient être dans l'épaisseur de ce cône. Sans déboucher sur l'océan ou vers le lagon. Des hypothèses furent émises si l'explosion "cassait" la pointe de ce cône reposant dans les fond de l'Océan sous l'effet sismiques de l'engin à expérimenter. Vos craintes furent évaluées Akilius G, de contamination éventuelle vers la mer ou de la radioactivité vers l'atmosphère via la fermeture de ce forage. En fait, je pense qu'il s'agissait de tests pour la maitrise de la géométrie de l'engin à expérimenter sans fortes puissance. Mais sur ce point, je peux me tromper. Bien à vous. Janmary
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