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Janmary

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Tout ce qui a été posté par Janmary

  1. Oui. Le Ju 88 fut modifié pour le bombardement en piqué. Son utilisation fut l'attaque marine et sur des bombardements horizontaux et en piqué sur des objectifs conséquents. Les missions entre He 111 et Ju 88 étaient globalement similaire Le He 111 était un bombardier horizontal que bombardait villes et concentrations de troupes, gare de triages ferroviaire, etc. Le Ju 88 fut plus polyvalent et le He 111 déclina techniquement avec l'avanc Au niveau des parachutistes en Belgique ou la prise de la Crête, il y eu des "Stuka" d'engagés comme appui feux et d'autre types d'avions en appui indirect comme cité plus haut (He 111, Ju 88, etc). Les paras Allemands étaient surtout largués par Ju 52 et planeurs et approvisionnés par les Ju 52 avec de -grosse perte en Crête. .
  2. Généralement oui. Non, pas spécialement. Les "Stuka" avaient pour mission de "nettoyer" le champs de bataille devant les Panzers (chars; anti-chars, etc dont une photographie montre un char Français touché de plein fouet par une bombe de "stuka") et les vois de communications logistiques. Les "Stuka" se sont permis de bombarder les réfugies sur les routes pour bloquer l'activité sur ces voies de communication.
  3. 1° - Les forces américaine ont utilisées aussi des bulldozers dit- "de déblaiement de rues" presque aussi large qu'une petite rue. Deux engins cote à cote ouvraient de nouveau une rue encombrée comme à Caen par exemple. Il y a toujours un de ces engins assez imposants et rien à voir avec les bulldozers que nous connaissons, au Musée de Caen si ma mémoire est bonne. 2° - J'ai appris récemment que l'Armée Us avait comme priorité dans l'ordre, 4 éléments (toujours d'actualité) = La logistique - la puissance aérienne (y compris anti-chars) - la puissance de feu - (et - je crois - l'artillerie). Source = Les tanks ou l'historique complet des tanks en plusieurs épisodes sur la chaine TOUTE L'HISTOIRE (121 de Orange). Les chars de combat étant subordonnés à l'infanterie et non destinée aux combats anti-chars réservé aux chars destroyers. Grosse erreur qu'ils leurs valurent des pertes énormes (en particulier les M3 Stuart peu blindé avec un canon de 37, avant le M4 Sherman) ! Mais - comme les Soviétiques - la masse était là (fabrication par moulage et non assemblé par thermo - soudure) avec 1.000 chars par mois en production qui sera un total de 50.000 à la fin de la guerre. 3° -l'opération Market-Garden qui fut l’ouvre imposée par le Maréchal Montgoméry fit qu'il fit utilise une route étroite et peu praticable au Corps de blindée Britannique et tenu en partie par l'artillerie ennemie et les parachutistes furent largués à plus de 10 km des ponts d'Arnheim. La conception de l'opération fut aberrante du point de vue des généraux parachutistes américains.américains. Les "diables rouges" firent preuves d'un courage peut commun reconnus par les Nazis et la SS. La fin de l'Histoire fut commenté par le conseillers de la Reine et les généraux Hollandais. Ce type de manœuvre (sans les parachutistes) avait été traité à l’école de guerre Hollandaise avant guerre. Les élèves qui passaient par le pont d'Arnheim pour la contre attique vers l'Allemagne était éliminés. Il fallait prendre une direction à 90° gauche et porter un coup de faucille par derrière les lignes Allemandes. Ex étude qui fut envoyé à l’État-major de Montgomery avec l'annotation " Nous ne pouvons plus nous permettre d'avoir des victoires de votre Grand Maréchal Montgomery".
  4. Pour la logistique des troupes e montagne, l'armée n'a pas trouvée mieux....mis à part l’hélicoptère ...un peu bruyant pour les ravitaillements discrets. Il y a une vingtaine d'année, en vacances prés de la frontière Italienne, à Saint- Dalmas- de -Tende (Saint dalmazio di Tenda), territoire pris a l'Italie en 1945 en compensation de l'offensive...tardive ressemblant à un coup de couteau dans le dos en France en 1940.), nous avions rencontrés un détachement de troupe Alpine en manœuvre avec mules bien chargées !
  5. E effet, il y a eu de très nombreux combats urbains pendant la seconde guerre mondiale....et même actuellement au Moyen-Orient ou dans les ex-République Soviétique. Ce sont les combats les plus difficiles, les plus sanglants ou la supériorité numérique de l’assaillant doit être a minima de 3 à 1. Il n'y a pas de technique particulière dans ce genre de combat sinon de rentrer dans une maison et d'y faire le nettoyage à l'arme automatique ou à la grenade (Stalingrad). Par défaut, c'est à l'artillerie de démolir maison après maison, comme à Berlin en 1945. L'erreur est de bombarder par l’aviation les villes et lancer un assaut par les chars de combats. Les ruines sont propice aux défenseurs (Stalingrad, Le Mont Cassino en Italie ou Caen en 1944). Les chars pénétrants dans une ville (tel en Tchétchénie) sont la cible de lanceurs de cocktails Molotov des hauteurs. Il ne reste vraiment que le fantassin avec ses armes et soutenus par l'artillerie ou des chars le cas échéant quand cela est permis par dégagement progressif des armes anti-chars ou chars dans la ville (Paris en 1944) ou les défenseurs étaient peu nombreux par rapport aux deux divisions engagées dans la ville (2° DB du général Leclerc et une division Us du général Collins). Sur le front de l'Est, des villes ont combattus longtemps en faisant des sacrifices énormes en unités combattantes avec pour but de ralentir et de faire "saigner" l'ennemi Nazi. Le cas de Léningrad est un peu à part mais elle fut encerclée pour exterminer sa population par le faim (les Nazis ayant prévus d’exterminer plus de 7 millions de Soviétique dont la majorité en Ukraine qui les avaient accueillis avec des fleurs par anti-Soviétisme pour les remplacer par des colons Allemands). C'est une petite note et un tout petit point de vue sur un problème bien plus important en fait !
  6. Non, pas du tout, Kiriyama. Il s'agit essentiellement du vote des "Verts" que je ne commente pas, mais le résultat est affligeant du fait que le stock des ogives nucléaires de la Force de Dissuasion ne pourrait pas être renouvelée ! Du reste, des parlementaires Français ont réagit de façon calme du reste en déclarant "Pas de soucis" aux députés Européen Français qui étaient opposés, étonnés et un peu scandalisé. Ce qui prouve que certains vote "important" Européen (dans nous retirerons du nucléaire) ne sont appliqués que dans la mesure ou les États le veulent bien. En fait, certains mouvements "vert "- toujours sans commentaire et polémique - sans opposés à TOKOMAC et ITER, projet de centrale à fusion nucléaire international situé en France..
  7. Belle analyse et résumé bien charpenté.Shorr kan. Merci à toi. Sans faire débats, la proposition Française actuelle à nos voisins germanique qui pourrait bénéficier de notre "dissuasion étendue" à sa réponse dans le dernier point que tu évoques. Curieux aussi le vote (Français ) du Parlement Européen qui limite le nombre et la réalisation d'ogives. On croit rêver !
  8. La taille minimum des ogives atomique '(pour différentier des bombes H), pour les USA, semblent être celles contenues dans un obus. je suppose que le type de de la bombe ressemble à celle d(Hiroshima -, c'est à dire de deux parties d'uranium qui sont envoyés l'une contre l'autre à grande vitesse afin d'obtenir la masse critique créant le début de la fission. Mais c'est une supposition de ma part car une ogive au plutonium pourrait s'inscrire dans le diamètre de l'obus de 280 mm. La masse critique ne représente pas grand chose en poids et dimension. Le soucis de l'artillerie 'atomique" est le mainyien à température constante pour éviter un emballement thermique. Nous avons évoquée l'Histoire de la doctrine Soviétique et plus spécifiquement entre USA et URSS. La stratégie Française de la force de dissuasion est différente de l'Histoire que nous venons d'évoquer par le fait que sa conception n'a pas suivi - et pour cause - l'évolution des deux autres grandes puissance en temps. Je te laisse - si tu le veux - évoquer cette conception, et de la réalisation dans le temps et l'Histoire par comparaison avec les USA et URSS. Nous avons commencer plus tardivement et avec des moyens moins important que ceux précités des deux grands (Mirage IV, puis engin balistique sur le plateau d'Albion, puis sous-marin lanceurs d'engins au niveau stratégique. Plus une "dissuasion" tactique. L'Historique est évidemment différent et cela serait intéressant de comparer en temps et en conception les différentiations; J'ai vu que tu as bien débattus de notre dissuasion sur le sujet que tu évoques.. J'apportais au sujet mes connaissances sur le sujet, pour animer le sujet et le complémenter, c'est tout.( cours de formation, déplacement professionnel sur les sites de tirs et d'expérimentation (1968-1972) et salarié dans un groupe de la défense US).. Cordialement.
  9. C'est difficile à connaitre. 1° - Car fonction de la puissance de cette dernière. 2° - Une bombe de une mégatonne que j'ai pu voir, consistait en une sphère de l'ordre de trente à 40 cm (biome A explosant comme celle de Nagasaki par des charge conventionnelle disposes autour de la bombe (64) afin de permettre une "compression" amenant à la fission). De part et d'autre de cette sphère sont disposés deux manchons (25 cm de diamètre et une trentaine de centimètres en longueur environ) et contenant respectivement le deutérium et le tritium. 3° - Pour une bombe transportée, il est nécessaire que le cœur de l’engin (bombe A) soit à une température constante pour éviter l'effet de l'emballement thermique. D’où divers systèmes pour maintenir l'engin à température constante,anti chocs, de sécurité des détonateurs, etc. 4° - Pour une bombe A tactique de faible puissance lancé par l'artillerie, ce fut le canon de 280 mm qui fut utilisé primitivement.(obus de > de 300 kg) résistant au tir pouvant être de 850 métrés/seconde soit environ > de 30 km (estimation de ma part).
  10. Il y a eu, lors des dissuasions nucléaire entre USA et l'URSS deux doctrines différentes. En particulier lors des "Forces de frappe" avec les missiles intercontinentaux. 1° - La doctrine américaine s'attachait à de multiples missiles frappant au plus juste en précision.Ce fut l'époque du "délire" (c'est ainsi que ce fut appelé) des entreprises US avec les systèmes à effet Doppler et les fabricants de gyroscopes. Avantage = Destruction de l’objectif. Inconvénient relatif = Explosion à relativement en basse altitude pouvant être interceptés par des anti-missiles, inexistant à l'époque en URSS.. 2° - La doctrine Soviétique privilégiait les armes de forte puissance explosant à très haute altitude. Avantage = Le cour de armes nucléaires n'est pas fonction de la puissance. C'est le cœur - pour une bombe H qui est le détonateur ou bombe A - qui reste le cout principal et la puissance de la bombe H proprement dite qui est fonction des deux isotopes apportés dans la fabrication, c'est à dire le deutérium et le tritium Par ailleurs, c'est de la destruction à plus faible cout que la doctrine américaine. L'URSS 'ayant pas l'économie nécessaire pour suivre sur le plan balistique et nucléaire de ces derniers. Les succès orbital de Spoutnik, de Youri Gagarine et sa consœur ne durèrent qu'un temps et tout désouffla. C'est le Président Reagan qui mis en évidence (après plusieurs autre Président et les vols de reconnaissance par U2 et par satellites) le faible nombre de vecteurs soviétique et qu'il utilisa ce fait pour la future guerre des Étoiles que l'URSS ne put suivre. Enfin, les destructions par haute altitude ont des effets considérable du point de vue mécanique, incendiera, thermique et sur la destruction des semi-conducteurs utilisé en radio -électronique (diodes, transistors, etc.). 3° - Pour simple information, ce fut le sujet mémoire que j'ai présenté au jury pour ma formation en Énergie Atomique (titre de l'époque) en complément a ma formation d'Ingénieur électronicien avec en plus, l’énergétique nucléaire en chambre profonde par explosion atomique et remplissage d'eau qui devenait une chaudière thermique (Essai "Rainier" aux USA et en France au Hoggar au Sahara). En électronique, j'avais opté pour le sujet de mémoire sur les réseaux numériques (TRANSPAC ou Transmission par Paquet utilisant des ordinateurs MITRA, d’où une formation complémentaire en informatique dès cette époque
  11. Totalement Gibbs le Cajun. J'ai failli le citer dans mon petit post. Il faisait partie des généraux dont l'utilisation des chars devaient accompagner l’infanterie et écraser frontalement l'ennemi. Cette façon de faire fut exécuter dans la région de Colmar ou il procéda a une rupture du front par assaut devant des Pack antichars Allemands. Les généraux Nazis, par la suite, déclareront ne pas avoir compris la manœuvre de de Lattre de Tassigny , bien inutile. De Lattre de Tassigny, lui aussi, était un caractériel et le général de Monsabert "rusa" en prétendant envoyer ses éléments Nord-Africains de reconnaissance sur Toulon pour en fait prendre la ville , lors du débarquement de Provence, parce que le "Roi Jean" avait interdit cette façon de procéder ! En Alsace, malade, il avait interdit toutes opérations pendant ce temps ! En occupation en Allemagne, il mena "Grand tapage et grande fêtes grandioses" dans le pays. La Suisse s’offusqua et le général de Gaulle le déplaça pour travailler (entre autre) avec ....Montgoméry (duo explosif qui ne dura pas). Il fut remplacer par le général Koening (le "Roi" en Allemand ) qui prit en charge l'occupation de la zone Française. https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_de_Goislard_de_Monsabert Un ouvrage à lire, de Lucien Bodard sur la guerre d'Indochine ou il suivi le "Roi Jean" et accepté dans sa "cour" (ou il se comportait de façon assez infecte avec les dames pour "punir" les maris sous son commandement.= La guerre d’Indochine - Lucien Bodard - (L'enlisement - l'Humiliation - L'aventure) En 6 volumes rassemblés en un volume - Grasset -1997 / 2000
  12. Oui, ce débat est à lire. Merci Rob 1. Je n'ai pas parler de la Sicile ou de l'Italie ou des opérations qui le mériteraient car c'est un véritable ouvrage qu'il faudrait écrire. Mais c'est un débat assez particulier qu'à posé Gibbs le Cajun. A titre personnel, je n'avais jamais fait la relation entre ces deux points, Monty et ses soldats.
  13. Le sujet demandé n’est pas spécifiquement simple à répondre. A titre personnel, j’ai bien discuté avec des Britanniques mais ayant participé en tant qu’aviateurs dans la RAF sur bombardier Sterling et Lancaster. C’est donc par connaissance livresque et donc par l’étude de la seconde guerre mondiale sue je puise ma réponse. Bien sur, ce n’est qu’un avis et peut être contesté et contestable. Le général Montgomery était un général sur de lui, suffisant, querelleur du fait d’être convaincu d’être le meilleur dans un cadre Interallié avec des Armées étrangères, ne badinant pas sur la discipline, autoritaire. Bref une certaine similitude avec Winston Churchill et ses vues sur la guerre (le ventre mou de l’Europe - les forces américaine avec des combattants non accomplis- le Lyon britannique et son Empire, etc.), Quand il prit son commencement au Moyen-Orient (Libye / Egypte) sur décision de Churchill, il fut convaincu que les généraux précédents avaient menés des offensives suivis de retraite rapide devant la venue d’un nouvel adversaire, à savoir Rommel parce que pas à la hauteur (ce qui faux). Car Churchill avait prélevé des forces Britannique pour les envoyer en Grèce. Avec lui, pas question. Et il prépara El Alamein (avec le prélude Bir Hakeim Français pour gagner du temps). L’armée Britannique allait aller au combat comme un « drill » militaire. Etude d’un plan sur des positions fortes et tactique simple dans sa globalité et complexe dans le déroulement des opérations car minuté et chronométré. D’abord force très supérieure à celle de l’ennemi et ce en tout domaine - formidable champs de mines de la dépression libyenne à la mer - artillerie anti-char - artillerie lourde - aviation attaquant en profondeur les lignes ennemies déjà très distendues. Tout était pensé, pesé, étudié avec minutie dans les moindres détails. Effectivement, Rommel se cassa les dents. Lors de l’offensive de Montgomery (je dirais très mathématique), son chronométrique des opérations fut perturbés par l’ouverture des champs de mine – par la « charge » des blindés ensuite qui se firent détruire par les canons de 88 mm Nazis. 1° - Un premier constat apparait. Les « Tommy » considèrent qu’ils allaient au combat de façon réfléchie et non plus jetés dans la bataille comme en 14-18. La contre partie était une avance lente, progressive, sans saisir les occasions de défaire des unités ennemies par encerclement comme ce fut le cas en Normandie ou la poche de Falaise ne fut pas fermée pour ne pas « subir de tirs fratricides » (Montgomery et le général US Bradley). Les unités s’échappèrent et se reconstituèrent en Hollande...et à Arnhem. 2° - Un second constat, c’est que le général Montgomery ne maitrisait pas la tactique du combat de chars (comme les Allemands suivant la doctrine de général Guderian, copié par Patton et Leclerc) qu’il assimilait au soutien d’infanterie avec des percées frontale. Il avait oublié les études Britannique avec la constitution d’une brigade de chars expérimentale en Grande-Bretagne tels que l’avait défini Liddell Hart et le général J.F.C Fuller (premier commandant du régiment de Chars Britannique engagé dans la Somme en 1916) sur l’appert stratégique de percée et d’encerclement des forces ennemies avec l’appui de l’artillerie mobile de soutien et de l’aviation. Le stuka qui déblayait le terrain devant les Panzers (canons anti-char, chars, pièces d’artillerie), etc. était d’une importance énorme et vitale dans le cas de batailles de ruptures. Or, le général Britannique ne fit pas attaquer en rase motte (très dangereux il est vrai avec les forces en présences) contre lesdits 88 mm. Pas plus qu’en Normandie, il fit protéger ses chars qui roulaient en file indienne des attaques latérales par des Panzers Nazis avec les dégâts que l’on connait ou protéger ses derniers par l’aviation. Même souci avec la prise des pots en Hollande ou le Corps Britannique s’engagea sur une route impropre aux chars sous forme de charge rapide pour assister les 3 divisions parachutistes lors de la prise des ponts par ces derniers. Sans parler du largage des parachutistes Britanniques à plus de 12 km des objectifs. Sans parler de la non prise du port d’Anvers qui aurait être le premier objectif à entreprendre. En conclusion, 1° - le général Montgomery fut détesté par ses « pairs » pour son agressivité - ses critiques systématique – sa suffisance permanente - bref un mauvais coucheur de première classe. Et il fut ainsi lors de la création de l’OTAN ou il fut en définitive démis de ses fonctions. Il lui fut reproché par ses « pairs » sa prudence excessive (qui lui valut la victoire d’El Alamein dans le cadre de la défensive en ne prenant pas la ville de Caen dès le premier jour comme le plan le prévoyait et en ne prenant pas résolument l’offensive. Il est vari que les alliés prirent un marteau-pilon pour détruire par l’aviation cette cille dont les chars ne purent l’occuper qu’avec une grande difficulté devant tant de destruction ! 2° - Les soldats des dominions – comme déjà souligné plus haut – le considérait comme économiseur du sang de ses hommes de par son commandement - sa méthodologie – ses préparations d’offensive, etc. Aujourd’hui, les survivants Canadiens et Britanniques dans les séries télévisuelles de la télévision (unités de chars) reviennent sur les horreurs de la guerre subies par eux-mêmes et bien d’autre et sont toujours partie prenante pour maintenir le souvenir de leurs unités de chars dans lesquelles ils ont servis et parler, parler. Janmary
  14. Bonjour Gibbs le Cajun Je vais tenter une réponse avec une petite analyse concernant le général Montgomery et ses hommes. Ce Week-end, car je suis en traitement hospitalier après mes deux interventions chirurgicales. Tout se passe bien mais cela est très prenant car deux protocoles sont utilisés..
  15. Il fut beaucoup exporté vers l'URSS et utilisé contre les forces Nazies. Dans les conditions difficiles des combats dans ce pays et les saisons hivernales avec boue et neige, le train atterrissage tricycle fut apprécié en permettant d'éviter les capotages ou les sorties de piste parfois nombreuses.
  16. Oui, c'est vrai. Mais c'était un appareil embarqué sur les porte-avions de sa gracieuse Majesté qui sont forcement complexe à mettre en œuvre en particulier sue les monte-charge (: ascenseurs étroits) des PA Britannique du type Illustrious. Ils ont à leurs actifs l'incendie a la roquette des raffineries de pétrole de Sumatra et Bornéo en 1944 /1945.
  17. Il est vrai que le liste de beaux appareils ou présentant un intérêt de la 2° G.M est longue. Le meeting aérien de la Ferté Allais est à voir chaque année. C'est vrai que j'ai apprécié nombre d'appareils EN VOL" don le Concorde, la bataille aérienne entre un Spitfire et un Me 109; le DC3, les antiquités avec femmes et hommes attachés sur les ailes, etc.etc . Pour l'avoir découvert à la Ferté (il me semble), le décollage en 30 mètres à 50 kms est franchement impressionnant" (Citation). En effet et cet avion m'a fait rêver en essayant de calculer - suite à un article de Science-et-Vie de l’après guerre, le distance de décollage sur un porte-avions par la formule donnée par l'auteur. .Au fond, le Fieseler à donné naissance aux avions à décollage et atterissage court de chez de Haviland Canada et à la formule du Bréguet STOL 941 en France..
  18. Pour moi, c'est le de Haviland Mosquito (Moustique) en toutes versions, Avions de reconnaissance à grande autonomie sans armement, chasseurs de nuit (Radar et 4 canons de 20 mm) bombardier (bombe de 1.800 kg au dessus de Berlin en 1945), Intruder (chasse et destructions libre contre les convois ferroviaire, les avions autre que chasseurs en Allemagne, etc.). Construit en bois, le pilote et le radio-navigateur-bombardier était cote à cote. L'armement du chasseur était de 4 canons de 20 mm et de 4 mitrailleuse de 7.7 mm. Il possédait une grande autonomie (> 3000 km). Une version navale fut construite. Il eut un successeur pour le Pacifique, avec fuselage effilé, moteurs plus puissant à grande autonomie, le Hornet. https://fr.wikipedia.org/wiki/De_Havilland_Mosquito https://fr.wikipedia.org/wiki/De_Havilland_Hornet
  19. Janmary

    Guerre du Vietnam

    je souscris .à votre commentaire kalligator. Je rajoute sans aucune méchanceté "Et un peu suffisant d'eux mêmes".
  20. Il y a beaucoup à dire sur ce conflit qui fut précurseur en technique militaire appliquée de la premier guerre mondiale. Aucun général Français n'en a tenu compte en 1914. Observation par ballons, transport stratégique et tactique par chemin de fer, fusils semi-automatique, premières mitrailleuses, tranchées et barbelés qui fit dire que seul la surprise pouvait prendre une tranchée dans ces conditions, et comme en Vendée durant la guerre des Chouans et dans le Palatinat, large acception de "fourrager" chez l'ennemi, c'est dire de piller, d'incendier, d''abattre les animaux ou les récupérer, mettre le feu aux récoltes, viols, assassinats raciaux, etc.etc. Ce fut les bases de l'occupation Prussienne ou Allemande en Belgique et eau Nord de la France en 1914-1918. On oublie ces épisodes horrible du comportement barbare prussiens /Allemands qui furent débattus après guerre au parlement Français qui furent la base de la "vengeance" à appliquer au moment du Traité de Versailles. Les ouvrages des combattants, les divers mémoires et le travail des Historiens sont remarquables.
  21. Janmary

    Guerre du Vietnam

    Ne trouvez vous pas, Cathax, qu'il y a une singulière analogie avec la bataille d'Angleterre ? L'explication donnée par les stratèges, puis les historiens, fut la concentration des moyens de combat localisés en Grande-Bretagne parmi d'autres. (Utilisation rationnel du RADAR, dispositif de la chasse Britannique anticipant les trajectoires des bombardiers Nazis, faible rayon d'action des chasseurs Allemands, bombardiers en piqué Stuka trop lent, etc).. Au Nord-Vietnam, pour ce que je sais, les pilotes étaient bien formés par l'URSS (contrairement au conflit Coréen ou même les pilotes Soviétiques étaient en général dominés par les pilotes Américains plus expérimentés). Les Mig 19 et surtout Mig 21 étaient des avions de chasse dit ponctuel ou de défense de zone, bien réalisés en avance sur leur temps, très souples aux commandes, engageant vite et se retirant aussi vite, bien mené par les RADAR sol. (Le Mig 15 engagé en Corée fut un appareils remarquable légèrement supérieur aux première versions des "Sabre" Américains) Les missiles Américains posaient soucis pour les premières versions.ou l'US Air Force pensait guerre missiles avec l'obsolescence du canon. Erreur vite rectifiée. Quand on relit les déclarations politique ou militaire Américaine des le début du conflit Vietnam, la cause était entendue ! Pulvérisé le Vietnam. Balayée cette armée de paysans se battant cachée. On vit. Les blindés US engagés furent des cibles de choix. Les embuscades montés de façon bien pensées (comme en Corée en 1950 lors de l'offensive Chinoise). L'artillerie et les mortiers de fabrication Chinoise et Soviétique avaient une portée supérieure à l'artillerie US. La connaissance du terrain et la logistique au Nord-Vietnam, au Cambodge et au Laos étaient en partie hors des coups de l’aviation US. Bref, les forces américaines se battaient contre un adversaire intelligent, sans pitié et sans état d’âme, politiquement convaincu (comme les SS Nazis pour faire une analogie) de la justesse de leurs combats pour l'indépendance, habitué depuis des centaines d'années à combattre un ennemi puissant qui était la Chine et de savoir s'opposer par la ruse, la guérilla avant l'heure, aux tentatives d'occupations de leurs villages et de leurs terre. Il nous faut reconnaitre , Français comme américain, que nous avons eu affaire à un people courageux, vaillant, intelligent, façonné par une doctrine sans faille et cruelle, avec un objectif final bien défini. L'adaptation était remarquable tel le pipe line mobile de la piste Ho Chi Mih ou encore le nombre de morts Nord-Vietnamien ne devait pas dépasser celui des naissances ! Dès le départ, ce fut donc une guerre longue et très dure qui fut engagé.
  22. Janmary

    Guerre du Vietnam

    Heureux de ton retour sur le forum, Gibbs le Cajun. Il y a une série télévisée actuellement sur les chaines Histoire et Toute l'Histoire, concernant la guerre du Vietnam et les témoignages d'anciens combattants. Émouvant et remarquable. Les peurs exprimées. Le silence pendant des années par la suite. Les jeunes américains (comme les jeunes Français en Algérie) furent traumatisés par cette guerre de pieges (Rob1 ci-dessus), d'embuscades, de prises de positions ennemies abandonnées par la suite, etc. La Première division de cavalerie s'est inspirée du support de combat apporté par les hélicoptères. Les vietcongs et Nord-Vietnamiens avaient des armes plus efficace que le FLN (Force de Libération Nationale) en Algérie et les pertes furent importante en matériels et en hommes pour les deux belligérants. Le pertes aériennes au dessus du Nord-Vietnam furent importante également. Je crois que l'Armée US et les Américains en général ont payés un lourd tribut en Corée et au Vietnam. Le retrour des GI's aux USA (pour le Vietnam) furent lamentables et l'Armée Américaine se modernisa pour faire face à de neauveau conflits avec des techniques avancées (Bombes guidées par Lasers, par GPS, etc.). En ce qui concerne les bombardements au Nord-Vietnam, il y a beaucoup de choses à dire sur l'emploi de l'aviation, des objectifs à traiter (sur décision du Président des USA), de la protection civile, etc. Quelques bombardements tenterent de détruire les digues du fleuve "Rouge" pour assinir la production de riz mais sans conviction réelle, là ou il aurait fallu faire de l'épendage sur zone par des défoliants. Nous pouvons éîloguer longtemps maintenant que ce conflit est termeiné et le Vietnam devenu un "Tigre" économique du Sud-Est Asiatique. C'est devebu de l'Histoire et s'est bien passionnant.
  23. Certainement oui. Il est à l'origine indirecte de l'étude et de la réalisation de missiles SS 10 et SS 11 Français antichars. Ils furent utilisés en Algérie contre certaines grottes protégées dont les entrées étaient partiellement protégés par des rochers. Il fallait être un bon tireur pour esquiver lesdits rochers et faire exploser le missile SS 10 dans la grotte. En Allemagne en 1961, lors de manœuvres, les chars (Patton) de mon régiment étaient équipés avec des "antennes rigides" pour que les fils du missile se prennent dans ces "obstacles" et castes les fils de guidage. Les SS 10 étaient tirés par des hélicoptères "Alouette". J'ai ramené chez moi les restes d'un SS 10. Tout le système électronique transistorisé était enveloppé dans un magma de résines de protection anti choc et les fils qui se dévidaient d'une bobine en forme de cône étaient très fin et dextrement résistant.
  24. Il est vrai que nous parlons des Forces militaire Nippone en général sans trop de réelle différentiation entre les objectifs et moyens utilisés différents entre Marine et Armée de terre. En ce qui concerne les objectifs Japonais, il est bon de rappeler cette différentiation et de celle dus aux conflits inhérents à ces deux entités. C'est un oublie que nous faisons souvent. Dans l'ouvrage et le téléfilm à caractère historique consacré à Sorge, l'influence du personnel de l'Ambassade Allemande à Tokyo est mis en avant avec les theses politiques nazies. Ce qui est curieux et bien dans la mentalité Japonaise, c'est à la fois l'acquisition des théorie Nazies en particulier racistes et de la formulation "On prend de droit ce qui doit nous appartenir"et la méfiance de l'étranger occidentaux en général. On conçoit pour la Marine, une un objectif et une "promenade militaire" (j’exagère mais c'était la mentalité je pense) pour posséder leurs propres colonies sur celles des occidentaux méprisés sous la forme de la "Sphère de cos prospérité"
  25. Je souscris à vos posts. Pour le Japon, déjà engagé en Chine, c'était le pétrole de l'Indonésie qui était l'essentiel avac les minerais et le caoutchouc issus de la Birmanie, sans parler du riz de l'Indochine / Vietnam.. Nous revenons au concept Marine et Armée de l'Empire Japonais qui furent souvent contradictoire dans leurs objectifs. Je possède un vieil atlas de mon grand-père (d'avant guerre donc) ou la Sibérie figure en blanc comme terre sans ressource aucune. Il suffit d'ailleurs de lire l'ouvrage du dissident Soljenitlsyne ("L'Archipel du Goulag") ayant été au Goulag en Sibérie bien après le 2° conflit mondial pour voir qu'il n'y avait aucune infrastructure dans cette région ( mis à part le Transsibérien)..
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