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Janmary

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Tout ce qui a été posté par Janmary

  1. En effet Benoitleg, ce fut une excellente réalisation et qui fut un support important pour les opérations navales. Merci de ce rappel Akhilleus. En effet, la pénétration d'un blindage est fonction de la densité du noyau de l'obus d’après la formule de Jacob de Marre. Le tungstène étant très lourd, la pénétration est d'autant plus élevé. Ainsi, les obus à noyau de tungstène du canon Gerlach Allemand 28/20 mm perçait la plupart des chars en début du conflit.
  2. Oui, parce que il s'agissait d'un canon de l’artillerie tirant à une vitesse initiale trop élevée (pour cet appareil) engendrent un recul trop important pour la cellule de l'avion. Les solutions passent par = 1° - Un canon à vitesse initiale plus faible comme indiquée plus haut, 2° - Par le choix d'un canon de calibre plus faible comme le canon de 57 mm "Collins" qui équipa certains "Mosquito" de la RAF dont l'un à mené une véritable guerre personnel contre un torpilleur Allemand près de Gibraltar qui fut touché (de mémoire) prés de cinquante fois. Le torpilleur percé de toute part et immobilisé fut achevé plus tard par les Britanniques. En fait Hans Rudel s'en tira fort bien avec son Stuka JU 87 équipé de deux canons de 37 mm. %ais il faiut lui reconnaitre que ce fut un pilote de haute classe ainsi que quelques uns d'autre pilotes Allemand.
  3. Oui, je souscris au commentaire donné par Hans Rudel. J'ai rajouté sur mon post précédent les poids d'un tube de canon en fonction des vitesses initiales et l'accélération du projectile.
  4. 1° - l y a eu également le Beechcraft "Grizly" américain , bimoteur avec un canon de 75 mm qui ne fut pas construit avant la fin de la guerre et fut abandonné de ce fait (File ici même das un sujet débattu).. Beechcraft XA-38 Grizzly — avionslegendaires.net Le char est peu protégé au dessous et au dessus de la tourelle et le 20 mm est suffisant bien souvent pour percer la cuirasse. Le Stuka JU 87 fut équipé de 37 mm en URSS (Hans Rudel) qui fit un carnage de chars Soviétique.. Une anecdote. Lors de mon passage dans mon groupe américain de la défense (Litton Industrie) et la Guerre du Golf. Lors de la mise en place du dispositif de la guerre contre l'Irak, sur des cibles de chars hors service, un hélicoptère Français fit exploser au canon de 20 mm 'un des chars du site de tir en tirant au dessus de la tourelle. Pour les américains, c'était une chance incroyable . Et c'est ainsi que les Hélicoptères de l'ALAT partir confiant sans siège blindé avec pour protection leurs bulles de plastique ! Les Américains les affectèrent en seconde ligne, derrière leurs propres hélicoptères anti-chars. 2° - Pour un 75 mm monté sur avion (rôle anti-navire) : " B-25G : version équipée d'un canon M4 de 75 mm alimenté par vingt et un obus de 6,8 kg. Cette version était plus particulièrement destinée à l'attaque contre les navires. Mais elle ne pouvait tirer que 4 obus au cours d'une même passe. Le Canon M-4 avait une longueur de 3,00 m et pesait 500 kg. Il était monté sur un berceau destiné à absorber le recul de 50 cm consécutif à chaque tir. B-25H : version améliorée du B-25G, équipée d'un canon T13E1 plus léger, cadence de tir passant à 6 coups par passe. Membres d'équipage passant à 4 au lieu de 5 pour le B-25G. Sur les versions G et H le canon était situé en bas et à gauche dans le nez. 2 à 4 mitrailleuses de 0.50" (12,7 mm), implantées au-dessus permettaient soit d'aligner le tir du canon soit de neutraliser les défenses antiaériennes ennemies." https://fr.wikipedia.org/wiki/North_American_B-25_Mitchell 3° - D'autres calibres ont été montés. Notamment un 75mm sur Henschel. Si je me rappelle il n y en a eu cependant que 12 (ou 24) exemplaires parce que pas satisfaisant : emport de munition limité et dégradation des performances de vol notamment par modification du centre de gravité de l'avion. Par contre parait qu'il faisait mal 4° - Le canon à faible vitesse initiale = Le canon est lourd parce qu’il tire des obus à des pressions et à des vitesses élevées. Un canon de campagne comme notre 75 mm d’avant guerre, c'est-à-dire de 1914-1918 (pour comparaison), pesait de 1.200 à 1.500 kg pour tirer à des pressions et des vitesses de 600 mètres/seconde pour des poids d’obus de 6 à 7 kg. Or, un canon tirant à 200 mètres/secondes (720 km/h), pèsera 15 fois moins qu’un canon de même calibre tirant le même projectile à 800 mètres/seconde. C’est acceptable pour un avion en particulier le poids de ce canon tirant à faible vitesse initial. D’autant que sur un avion, le tube est axial sans toutes les servitudes à terre, comme le frein de bouche, les organes de visée, etc. Exemple d’un tube tirant à 40 kg /millimètre carré, avec des calibres de 75, 100, 130 et 150 mm tirant à 150 et 250 mètres/seconde. . 75 mm Projectile de 6,75 kg Poids du tube (Vs 150m/s) 3 ,8 kg et (Vs 250 m/s) 10,7 kg 100 mm Projectile de 16 kg Poids du tube (Vs 150m/s) 9,2 kg et (Vs 250 m/s) 25,5 kg 130 mm Projectile de 35,3 kg Poids du tube (Vs 150m/s) 21 kg et (Vs 250 m/s) 56,2 kg 150 mm Projectile de 54 kg Poids du tube (Vs 150m/s) 31,7 kg et (Vs 250 m/s) 88,0 kg C’est ainsi qu’un canon de 100 mm de 3 mètre de long (calibre dit « 30 calibres ») n’aura besoin que de 5,4 mm d’épaisseur pour tirer à 250 mètres/seconde) ; L’accélération du projectile ne doit pas dépasser les 7 g. Le poids du tube égal presque à 250 mètres/seconde, le poids du projectile Les monomoteurs de 1944 / 1945 devaient pouvoir "encaissés" ce type de tir et les bimoteurs d'avant guerre également ne fut-ce que par le poids du moteur et de la cellule compacte, avec, qui est plus, des raccordements / joints élastiques. Avec une charge de poudre à 1000 calories par kg, il suffit d’une charge de poudre de1, 2 % du poids du projectile pour lancer ce dernier à 150 mètres/seconde et 3,2 % pour le lancer à 250 mètres/seconde. C’est un rendement remarquable du canon sur avion, alliant légèreté et calibre important. L’avantage du tir d’un canon sur un avion, c’est que la vitesse de cet appareil n’est pas nul comme à terre et il supplie donc au manque de vitesse initiale de ce canon en additionnant sa vitesse en propre à la vitesse du projectile. Les essais pratiqués au polygone de tirs de Bourges après la seconde guerre mondiale ont confirmés ces calculs théoriques à l’époque. Source = L’Aviation de bombardement, Volume 1 et 2 (1936) Par Camille Rougeron Réédité par les Éditions Lazauvelle. Toujours disponible à ma connaissance. Par comparaison et pour un ordre d’idée.= Dans la marine, avant et pendant la seconde guerre mondiale, les calibres d’artillerie, le poids de l’obus, leur vitesse initiale et la cadence de tirs des canons sont les suivants. (Source = Forces sur la mer d’Henri Le Masson) Il s’agit de portée horizontale. Calibre de 25 mm Poids de 0,250 kg Vitesse 900 m/s Portée de 5 km 150 coups/mn Calibre de 40 mm Poids de 0,900 kg Vitesse 900 m/s Portée de 9 km 120 coups/mn Calibre de 90mm Poids de 9.500 kg Vitesse 900 m/s Portée de 13 km 10 coups/mn Calibre de 105 mm Poids de 16.000 kg Vitesse 850 m/s Portée de 18 km 10 coups/mn Calibre de 127 mm Poids de 25.000 kg Vitesse 800 m/s Portée de 18 km 10 coups/mn Etc.Etc.
  5. Qua l'aviation tactique et plus particulièrement stratégique ait été surévalué par rapport aux investissements en fabrications d'appareils, de formations, de pertes d'appareils, etc. vis à vis des résultats attendus, c'est vrai Akhilleus. Mais TRÈS surévalué est quand même fonction - me semble t-il - des engagements sur des fronts donnés (Bataille des Ardennes en 1940, "encagement" (mise en cage littéralement) du front Italien ou Normand avant la bataille par exemple, le support close des Marines sont des particularités devant être plus nuancés. Néanmoins, le "rendement" consacrés aux investissements ne fut pas au rendez vous vis à vis de l'efficacité attendu. C'est en partie vraie. C'est le fameux "rapport sur investissement". Pour le bombardier lourd, qu'il ait été surévalué, c'est vrai de façon officielle par "Strategie Bombing Survey, Overall Report, Europeen War" (Études sur l'aviation de bombardement stratégique des États-Unis). Les immenses efforts industrielles et financières pour obtenir de grandes formations qui subissaient des pertes sévères est sans contexte un effort démesuré concernant les rendements des l’opération ou il y avait (presque) autant de poids en bombes larguées sur certaine missions que de poids d’appareils abattus en cellules, moteurs, etc. Pour l'aviation tactique, son succès commença par surprise durant la guerre d'Espagne ou une division motorisée Italienne (camions légers et motos) fut partiellement détruite et stoppée dans son avance à Guadalajara par l'aviation Nationaliste par les mitrailleuses et bombes légères des appareils. Les Allemands s'en inspirèrent avec le Stuka Ju 87 de bombardement en piqué qui travaillèrent de pairs avec les blindés en formations endivisionnées et travaillant de concert en temps réel par la radio téléphonie. La Pologne et la France en firent victimes tout en exagérant, du reste, l'ampleur des dégâts infligés par l'aviation. Son échec fut la "Bataille d'Angleterre" ou la chasse ennemie en fit un adversaire facile au point d'en interdire les missions en G.B. Il fut remplacé par la formule du chasseur emportant des bombes en surcharges ce qui n'était pas une nouveauté en 1941, car déjà défini par certains auteurs qui y voyaient un avenir efficace. Le Stuka Ju 87 fut utilisé en URSS avec des chances de survie dû a la grandeur du pays. Il fallut attendre les "Hurricane" Britannique armés de canons de 40 mm en Libye faire de l'appui tactique avec une certaine efficacité Les "Typhon" Britannique, "Thunderbold "US prirent le relais avec un suces dans le cadre de mitraillage des 'objectifs ferroviaires, de colonnes motorisées, etc. et purent encagés partiellement les champs de batailles d'Italie te de Normandie. La roquette devait être la panacée. Malheureusement comme les fusées de l'antiquité, le tir de la charge est soumis à une vitesse nulle au départ et soumise au vent latéraux éventuelle, d’où une dispersion énorme. (L'arrivée du canon à âme rayée changea la donne). Pour les roquettes considérées, la vitesse propre de l'avion suppléait en partie au manque de vitesse mais pas suffisamment. La solution devait être le canon (37 mm sur le Stuka ou 40 mm sur le hurricane). D'autre calibre plus important aurait pu être monté sachant qu'un tir à basse pression (200 à 300 m/s), le tube du canon ne pèse guère plus que l'obus qu'il tire. (Déjà décrit ici même mais je peux le ré-poster). Ce theme est des plus intéressants et pourrait être développé. Vous avez ouvert la voie Akhilleus.
  6. Pas tant que cela. A l'"poque et encore maintenant, les formation scolaires , secondaires et universitaires sont plus techniques et professionnelles que littéraire sauf pour les langues. ou le Baccalauréat "Langues" Allemand prime toujours tout comme notre ancien "Baccalauréat" "Math Elem" était la clef pour entrée dans les grandes écoles (Bac Math et Bac Sciences Ex" et Bac "Philosophie" Les Allemands ont donc une rigueur industrielle avec la Chimie, la Métallurgie, l'Industrie lourde, etc. Durant la guerre deux éléments ont néanmoins bloqués partiellement le système. 1° - Le premier reste l'Organisation.qui restait anti-rationnel, c'est à dire le contraire des méthodes de Ford aux USA ou tout était rationalisé dans le cadre d'une chaine de fabrication avec la décomposition par de gestes élémentaires, d’où l'emploi d'ouvriers et de femmes non professionnels..Dans le système allemand, c'était le règne d'ouvriers hautement spécialisés qui posa problème avec l'envoi de ces hommes au combat. Les remplaçants furent le STO (Service du travail Obligatoire) pour la France et plus généralement par la déportation et les prisonniers de tout ordre. 2° - Le second sont les coteries et clans des Nazis (et de l'armée) intervenants dans le système industriel pour se créer des "fiefs" (dont la SS utilisant les détenus des camps de concentration pour la fabrique des V1, V2, Me 262, etc. Il a fallut l'arrivée d'Albert Speer (voir son ouvrage "Au cœur du troisième Reich" et les attendus du tribunal de Nuremberg) pour redresser la fabrication industrielle. Quand aux projets des entreprises, ce fut le délire pour l'obtention de fond et de présenter des prototypes à peine ébauchés afin d' être considéré dans la Cour des Grands et comme un Nazi pur sang. Ceci est une petite vue de la réalité bien sur. La fabrication de chars "Tigers" et "Panthers" (entre autre) furent portée à son maximum par Speer car demandé par Hitler avec les bombardiers, V1, V2, c'est à dire les armes de représailles.
  7. C'est pierre Clostermann (Premier chasseur de France) qui à écrit que les chars Allemands en Normandie se dissimulaient sous les arbres pour se cacher des appareils alliés. Malheureusement pour eux, ils étaient trahis par la trace de leurs chenilles et détruits par rockets des "Typhon" en particulier. En parlant avec les personnels Historien des Musées dont celui de Caen d'une part, mais aussi, d'autre part, avec les Historiens de la revue Heimdal bien des contextes sont révélés et fourmillent d'anecdotes sur tous les sujets dont les combats de chars. (Mr Jacques Lalubie en 1983 des Éditions Heimdal). Hors Sujet = C'est ainsi que j'ai appris que les fortifications souterraines du Mon Canisy ont été murés mais que tout l’armement est resté intact à l'intérieur. Certaines galeries peuvent être visitées avec guide ou par dépôt de visites à la Gendarmerie car ces ces fortifications sont immenses. C'est la Brigade Hollandaise "Princesse Irène" qui à livré combat dans cette région (prés de Deauville). Fin du Hors Sujet.
  8. DEBUT DU HORS SUJET N'édulcorez pas mon propos KALOKO. Les auteurs de la revue concernée ont maintes fois fait des erreurs concernant le système et le fonctionnent des armées et ceci sans sourciller. D’où mes dires sur le sujet Je suis allé en comme tous les jeunes de mon age Algérie (28 mois merci) et j'ai pu constater le nombre d’erreurs dans les ouvrages parlant de ce conflit écrits par des universitaires ou pseudo-Historiens bien souvent improvisés qui consulte ouvrages et plus rarement les archives. C'est toute la différence .entre les termes d'Historiens et auteurs. Exemple = L'utilisation de "bidons spéciaux" en Algérie par l'armée Française. Une campagne de presse à .jugée que la France menait une guerre chimique. En réalité c'était des bidons de napalm dont le nom était banni. Ce genre de propos foisonnait et seuls les journalistes couvrant les opérations sur le terrain connaissaient les réalités sur ce conflit, tout comme en Indochine ou Vietnam. Pour moi, débat terminé. Nous revenons au sujet actuel. FIN DU HORS SUJET
  9. Oui, je vous j’entends bien Arkhilleus. Mais quand même, dénigrer autant des pilotes, des entités combattantes, il y a une limité. Il est facile pour des auteurs, dans un bureau, de juger à l'emporte pièce. D'autant que la majorité ignore le domaine de l'armée n'ayant pas fait leur service militaire, et encore moins d'avoir porter les armes.opérationnellement. Mais comme nous sommes dans un monde ou chacun est dans l'expertise, je n'insisterais pas. Passons. Effectivement nous somme dans le sujet du Volsturm comme le cite kalligator dont la remarque démontre son impatience justifiée de revenir au sujet. Je laisse donc la "main à notre intervenant pour revenir sur le chemin d'origine du reste passionnant dont nous avons dérivés. Je m 'en 'excuse !. Merci Kiriyama pour cette photo qui résume bien le système nazi de 1945.
  10. Je crois alors que je me suis mal exprimé. Lisez cette revue sur des sujets que vous connaissez plus particulièrement. Et Comparez. C'est tout. Nombre d'intervenants sur notre forum (dont certains écrivent dans des revues et ouvrages) sont plus professionnels et Historiens que les auteurs de cette revue. Dans le cas cité des "Tigres Volants" , l'auteur à voulu passer le message que cette formation n'était rien sinon du vent (cité dans le texte). Allez aux USA et parler aux anciens combattants de cette unité qui à regonflé la Foi de l'Amérique avec également le bombardement de Tokyo par Doolittle parti d'un porte-avions avec ses B-25, a la différence que les combats des TIgres Volants furent la seule formation combative en Birmanie et en Chine mené par des combattants volontaires américain...avec succès. On ne peut pas édulcorer ainsi l'Histoire. Il y a des faits d'une part, et, d'autre part, leurs interprétations ce qui différent et fait l'objet de nombreux écrits sur notre forum et de la part d'Historiens.Le reproche que je fais est que les auteurs s'assoient sur les faits pour commenter selon leurs vues propres, donc leurs interprétations. Vous pouvez ainsi vous faire une opinion vous même. Cordialement.
  11. C'est au fur et à mesure des numéros, que je me suis aperçu qu'il y avait des distorsions dans les thèmes présentés. D'autant que sur notre forum, il y a des intervenants connaissant bien un certain nombre de sujet sur lesquelles nous devons reconnaitre leurs maturités. Science-et-Vie est une revue à caractère de vulgarisation. Bien que des numéros d'avant guerre sur les Sciences et les Techniques n'étaient pas si aisés à comprendre que cela. Dans les années 60/70, il eu des articles sur les transistors (en Anglais Transfert de Résistance) ou le nucléaire. A cette époque , je suivais ce type de cours au CNAM de Paris et j'ai trouv éces publications de haut niveau.. Cette publication à voulu étendre aux Guerres et Histoire cette vulgarisation de présentation. Je ne suis pas contre. Le probleme c'est ce sont plus des Histoires que de l'Histoire avec un grand H. Ce sont des auteurs qui prennent un ouvrage - en général mentionné dans les sources - et qui extrait des phrases sortis de leurs contexte et qui brodent sur le sujet. 1° J'ai commencé a comprendre vraiment avec des mini-articles sur la Marine Allemande et les Porte-avions Nazis dont personne ne connaissaient la doctrine d'emploi, parait-il, donc inutile. Oublié l'attaque simulée de l'US Navy avant 1941 (1930 ?) des porte-avions américain sur Pearl-Harbor par exemple qui devait s’avérer catastrophique en 1940. 2° - Les Tigres Volants fut le pompon de .la méconnaissance de l'auteur sur le sujet (j'ai écris 10 pages de rectificatif à Guerres et Histoire) car tout est exprimé de façon péjorative.Exemple, "les pilote se donnaient des victoires aériennes"...ou "ils finirent lamentablement dans une petite compagnie insignifiante sous ce même nom", etc. etc ! Flying Tiger Line = A priori, ce n'était pas une petite compagnie insignifiante ! https://fr.wikipedia.org/wiki/Flying_Tiger_Line 3° - Dernièrement, ce fut le créateur de l'Arme blindée Guderian qui fut la cible péjorative d'un de ces auteurs. Méconnaissance total du sujet car c'est Hitler lui même qui pris connaissance des propositions de force blindée en tant qu'arme de rupture et d’encerclement (Tout comme le général J.F.C Fuller en G.B), Estienne en France, .Liddel Hart en G.B à un moindre degré et de Gaulle en France). Visiblement l'auteur n'a pas lu "Achtung Panzer" ou le futur général définissait les principes de la tactique des blindés ET de l'aviation de coopération ET de l'infanterie motorisée, le tout sous commandement en temps réel par radiotéléphonie. Etc.Etc. sans parler de l'évaluation de 17.000 blindés en URSS. Bref, de l’inexactitude dans les écrits des auteurs.. Il faudrait relire les articles en fonction de nos connaissances pour avoir une idée exacte des ...inexactitudes certaines vraiment lourdes. Voici - en gros ce que je puis dire sue ce sujet Kiriyama..
  12. Bonjour Bastion. Méfiez vous de cette revue que je lis depuis le premier numéro et je possède la collection de Science-et-Vie en partie d'avant guerre et d’après guerre. Revue remarquable de l'époque. Il en va tout autrement de GUERRES et HISTOIRE (S-V). Je connais bien un sujets à savoir les "Tigres volants" du général Chennault (puisque je me suis entretenu - entre autre - à Chicago avec le fils d'un pilote des Tigres Volants qui à écrit un ouvrage documenté sur ce sujet avec photos, citation, décorations, etc.etc.) ainsi que d'autres sujets à moindre degré dont nous avons longuement débattus ici-mème. Les écrits de GUERRES et HISTOIRE sont partisans, sans fondements et négationnistes du moins pour ceux que je connais. J'ai écris à cette revue des courriers de plusieurs pages (5 à 10) rectificatives. Rien. Cela continue.J'ai décidé de stopper mon abonnement. Ce ne sont pas des Historiens mais des gens qui "pompent" des ouvrages sans rien connaitre des tactiques militaire ou au fonctionnement organique d'une armée. Il y a pourtant des ouvrages solides qui ont retracés la vie de Claire Lee Chennault, les Tigres Volants et la XIV Air Force. C'est le dénommé benoit bihan que vous citez qui est l'auteur (mais pas Historien) de l'article sur les Tigres Volants. Nous avons évoque et commenté également cette revue ici_même. The Pictorial History of the Flying Tigers by Larry M.Pistole Cordialement à vous Bastion. Moss Publications - Orange - Virginia Cordialement à vous Bastion.
  13. Lors de l’attaque de Moscou, Hitler à ordonné la prise en tenaille de Kiev par le groupe blindé du général Guderian. Celui-ci, alla s'entretenir avec Hitler contre ce plan.. Lors de la réunion, ce dernier s'exclama = "Mes généraux ne comprennent rien à l'économie de guerre . ...nous avons besoin de l'économie de l'Ukraine". Le problème était que l'armée Allemande ne recevait pas assez de munitions, essence, vivres, etc. alors acheminer le blé d'Ukraine ou autre était une fantaisie. Ce fut identique pour le futur pétrole du Caucase. Un général avait même osé calculé les tonnages transportés par camions et le résulta démontrait l'insuffisance de tonnage. Hitler devint rouge de colère et le sujet ne fut plus évoqué devant lui !
  14. Difficile de répondre. J'avais un oncle travaillant de force en Allemagne (STO). En 1945, l'angoisse et la peur à Berlin était l'arrivée des Soviétiques . Du reste, ma propagande Nazie en faisait ses répertoires journalier. Alors, si les américains étaient arrivés à ce moment, bien des Allemands se seraient soumis de bonne grâce aux troupes US. Bien que peu nombreuse, les Américains ne seraient certainement pas rentrés à Berlin, dont la prise de la ville avait été définis par les alliés, c'est à dire entre Soviétique et le général Eisenhower.sur le terrain dans l’implication de la prise de la ville. Il faut regarder les images d’archives et la colère de l'armée Rouge que de voir des colonnes entières de combattants Allemands se rendre aux forces Britanniques et Américaine. Surtout par Manstein. D'autres (Guderian), Inspecteur de l'arme Blindée) sont allés aux réunions d’État-major du Führer en s'opposant à cette offensive du fait de reconstitution des forces blindées avec les chars Tigres. Pour l-Ukraine, en effet, la surprise à jouer à plein. Mais l'erreur fut de faire une fixation sur Stalingrad avec la suite que l'on connait. L’immensité du pays fit qu'il fut difficile de prendre les puits de pétrole du Caucase d'ailleurs mis hors d'état de fonctionner par destruction pour ceux atteint par l'armée Allemande. Le général J.F.C Fuller à longuement évoqué ces problèmes dans ses ouvrages "Les batailles décisives du monde occidental" et "La conduite de la guerre de 1789 à nos jours".. Pour lui,il fallait prendre Moscou (Staline, nœud ferroviaire et routier, nombre d'usines d’armements, etc.), aller au delà en protection des forces Soviétique de l'Oural, et bloquer les deux ports amenant l'aide US et Britannique. Après quoi, il était possible de descendre de Moscou vers le sur par les voies de ravitaillement de la Volga, ferroviaire, etc. alors inexistante dans le sens de l'opération défini par Hitler.mais tout cela est bien suggestif ! Cordialement.
  15. A mon avis, oui. 1° - Sir Winston Churchill s'est emballé lors de l(invasion de l'URSS par les Nazis en proposant aide et assistance à Staline sans condition. Hors, il eut été souhaitable de concrétiser un accord politique tenant compte de la Pologne, des États -Baltes et de la Finlande occupé partiellement ou en totalité par l'URSS.Sir Xinston à réagit vite mais mal pour sauvegarder la Grande-Bretagne. (citation du Général Fuller). 2° - L'aide Britannique et Américaine aurait du être modérée en fonction des combats et des situations de force respectives des belligérants. C'était possible du fait des pertes importance navales commerciales importante des alliées. Le changement des stratégies et tactiques fut la motorisation des forces armées Soviétique dès 1943 par les livraisons des camions Studbeker américain qui permirent à la logistique de l'armée d'exister vraiment, à savoir le ravitaillement des chars et artillerie en pétrole, munitions avec des déplacements de ces derniers tractés par ces camions, sans parler des fusées "Katiouchia" portés sur ces mêmes camions..Ce qui permis de passer à une guerre plus mobile pour les Soviétiques avec les résultats que nous avons pu constater.
  16. Sans vous êtes désagréable, à notre tour de vous demander vos sources et de douter de vos certitude comme vous le faite avec autrui de façon systématique. Vous avez l'art des raccourcis et de la polémique ce qui est utile dans les débats du reste. En Mai 40, Hitler sur la proposition du général Manstein, à pratiqué "le coup de faucille dans les Ardennes" dont il s'est approprié les honneurs. La guerre tout court, la guerre à l'Est, la diversion vers l'Ukraine au lieu de Moscou, l'objectif et la prise de Stalingrad, la ruée vers le Caucase, la décision de l'offensive vers Koursk; les "ordres du Führer" de ne pas reculer d'un mètre et la tenue de places fortes à tenir jusqu'au dernier homme sont bien des décisions d'Hitler et de lui seul contre l'avis de la majorité de ses généraux. Tout cela à été dit, écrit par de ombreux Historiens après avoir était dit et enregistré au tribunal de Nuremberg qui sont a lire bien que les éditions Françaises n’existent plus à ma connaissance et les 26 volumes sont difficile à digérer. Il doit en exister encore un exemplaire à la Bibliothèque de France. J(ai lu et pris des notes que sur un certain nombre de sujets seulment) sur l'exemplaire à la bibliothèque de la SNCF des années 60 Place Valhubert. C'était une parenthèse et je ne tiens pas à couper le sujet en cours. Cordialement.
  17. Juste un commentaire concernant les "Panzerfaust" et autre armes anti-chars Allemands. D’après nombres d'Historiens militaire, globalement le front de l'Est Nazi n'a réellement cédé devant une charge de chars Soviétique. C'est la combinaison massive d''artillerie, de chars et d'infanterie avec vague sur vague qui ont réussis à percer et / ou contourner le front Allemand (citation). Pour votre question sur le "Volkssturm", je n'en sais pas plus Kiriyama.
  18. Ce fut encore le cas en Tchétchénie ou 200 chars de la Fédération Russe et pas loin de 10.000 hommes furent anéantis par les insurgés placés en embuscade en haut des immeubles. Stalingrad bien sur et Berlin ou les Soviétiques eurent des pertes élevés en infanterie et chars pourtant soutenus par une artillerie importante.
  19. Rectification de ma part. Au delà du calibre 88 mm Nazi (Panzer....) , il devient délicat de maintenir correctement l'arme au moment du tir. D’où la dispersion. C'est la raison pour laquelle les USA ont mis leurs canons sans recul sur trépieds. J'ai donc élargis au 112 mm APILAS le fait qu'il serait souhaitable d'avoir aussi cette possibilité de trépied mais je ne crois pas que cette possibilité existe allant à l'encontre de la conception de cette arme. Mes excuses pour ce "raccourci" Patrick.
  20. Qua l'on puisse tirer avec le LRAC à 200 mètres était sans doute possible à condition = ) - Que l'objectif soit fixe et non mobile. 2° Que les vents ne soient pas trop important du fait que la roquette suie une trajectoire qui est la résultante de la vitesse de la roquette en sortie du tube et de la composante du vent. En 112 mm, tout comme le canon sans recul de 75 mm et de 105 mm, il faut de préférence un trépied genre mitrailleuse pour le maintien de l'arme et éviter les inconvénients du tir (jet de gaz, fumée et diverses particules comme explicité plus haut.
  21. Oui, 290 mètres étant la distance maximale de la roquette mais avec une divergence de la trajectoire de cette dernière. Aucun souvenir par contre du modelé. Nous avons utilisé une fois seulement cette arme.à des fins d'entrainement.
  22. La peur réelle depuis des militaires Nazis lors des batailles de Sicile jusqu'en Allemagne , fit les bombardements (artillerie) au phosphore qui semaient la terreur parmi ces derniers. Phénomène peu connu, à savoir l'utilisation du Napalm en Allemagne même en 1945 pour "casser" des unités Nazies retranchées. Par la suite, les quelques stocks de ce Napalm restant furent brulés sur des installations allemandes à des fins "d'expérimentations". J'ai vu moi même en 1961 un bombardement tactique par napalm en R.F.A et l'emploi de ces "bidons spéciaux" en Algérie. J'ai assisté et participé à deux campagnes de tirs atomique (Bombe A et Bombe A dopé) et thermonucléaire (Bombe H) avec le nuage se développant au dessus de nos tètes. L'Homme est un apprenti sorcier. L'Homme est prédateur. Pour répondre à Cracou, bien sur que les dirigeants savaient. Le problème est que dans l'entourage de Hitler, c'était le "grenouillage" absolu avec pour seul but l'intérêt personnels et ceci en fournissant des faux à Hitler lui même ! Martin Bormann, Hermann Göring, Heinrich Himmler, et Joseph Goebbels n'eurent de cesse que de vouloir augmenter leurs prérogatives au détriments même de la vie des autres membres du "premier cercle" (Albert Speer qui fut sauvés de justesse,) Totalement en dehors des réalités de la guerre puisque Hermann Göring pensait être le Président du futur État Allemand soutenu par les Alliés 'et contre les Soviétiques !). On croit rêver ! (Informations issues du Tribunal de Nuremberg).
  23. Lorsque je fus accepté de travailler en Polynésie Française (1968-1972) pour mon entreprise de télécommunications (CIT - Alcatel), une longue enquête préliminaire fut diligenté à mon égard (par les Renseignements Généraux suivi d'un entretien avec un de ses officiers) pour l'obtention du "Secret N°2' du CEA (Commissariat à l’Énergie Atomique), division DAM (Division des Applications Militaire). Je travaillas directement sur le réseau numérique 'Information' et j''avais accès au PCT (Poste de Commandement et de Tirs ou était mon atelier), aux PEA (Points d'Essais Atomique) et sur la barge - Ballon ou était l'engin atomique/nucléaire à expérimenter Un avantage indirecte fut que nos passeports avaient le Visa Américain "Indefinelety" (durée indéterminée) en Juillet 1969 ce qui me fut bien utile par la suite en travaillant dans un groupe de la défense américain (Litton Precision Prodict).(1983 - 1994) en me rendant aux USA.. Pour Taverny et le travail concernant le matériel militaire au sein de ce groupe de télécommunications (STICAR, Fac-similé, RITA, matériel de télégraphie pour balises aérienne, etc., l'accréditation du "Secret Confidentiel N°2" fut utilisé pour me fournir l'accréditation militaire spécifiques aux Armées. Nous ignorions le nombre de personnes travaillant sur ce site. Lors de mon entrée au sein du groupe Litton, j'ai obtenu le même agrément pour travailler avec la défense Nationale (Lasers pour hélicoptères, magnétrons pour RADAR des appareils de l'Armée de l'Air, etc.). J'ai quitté CIT-Alcatel avec regret lors de restructuration du groupa pour le groupe Litton (meilleur salaire et ingénieur position cadre supérieur ou travaillait mon frère) ou je fus licencié après 11 années comme d'autre personnes car abandonné par le siège américain qui se fit condamné pour fraude financière (150.000 personnes dans le monde).
  24. Oui Kiriyama. Je fus en charge de l'élaboration en plate forme de contrôle,, de présentation en recette auprès du client et de l'installation du premier équipement à Taverny. Ce fut ma première "Grosse affaire" en tant qu’électronicien du fait que j'avais déjà à cette époque une formation numérique acquise par cours du soir et une expérience de responsable numérique au CEP (Centre d'Essai du Pacifique). Ce site était immense et nous nous déplacions en voitures dans les galeries souterraines. A intervalle régulier, il y avait des salles de travail et des "bunkers anti-nucléaire" de part et d'autre ainsi que des séparations de galerie. Le poste de garde d'entré de la galerie principale était severement gardé avec chiens et fouille des véhicules et parfois des personnes. Il fallait une accréditation pour se présenter à l'entrée.
  25. Lors de l'assaut des force Alliées en Allemagne, nombre de Jeunesses Hitlérienne ont fait le coup de feu contre les unités US, Britannique et Française (sans parler du front de l'Est). La division du Général Leclerc eut affaire à ces "Francs tireurs et partisans" tirant d'une maison. Au départ, neutralisation du tireur abattu ou / et fait prisonnier. Puis ils furent fusillés systématiquement sans sourciller tout comme les Français prisonniers sous uniforme Allemands combattant dans l'Armée Allemande. Le général Eisenhower avait donné l'ordre par ailleurs de raser toute agglomération qui résisterait aux forces Alliées. Message compris.. Source = Les divers ouvrages concernant le général Leclerc. Je vois que je me suis mal expliqué. La grenade à fusil à un tir courbe, la crosse posée par terre. On utilise un crochet pour actionner la queue de détente pour cause de recul. La grenade Suisse mise au point après la guerre avait une trajectoire rectiligne propulsée par une fusée à poudre. Sa précision était excellente. Mes excuses pour la non précision.
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