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Janmary

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Tout ce qui a été posté par Janmary

  1. Une émission de télévision à diffusée assez récemment (Chaine 121 et 122 d'Orange, Toute l'Histoire et Histoire) un documentaire assez complet sur la bataille de la piste de Kokoda Combat entre Japonais et Australien peu entrainé, peu nombreux, peu armé; et aucune expérience du combat. Ineffable général Blamey., après la bataille - gagnée de justesse, mais gagnée, insulta littéralement ses troupes lors d'une revue après les combats. Rage des combattants qui voulurent lui faire un sort séance tenante. Bref un général qui se moquait ouvertement de ses subordonnées et de ses troupes. Il faut dire qu'il était sous le commencement du général Mac' Arthue. Le même Mac'Arhur et le même général Blamey.peu après récidivèrent du fait que Buna n'était pas prise en assaut frontal comme prévu. Un colonel sur le terrain décida d’attaquer par un crochet sur le flan et prit Buna. Mépris ou contrariété des deux généraux, ce colonel fut ignoré. Comment osait-il prendre une position autrement que par les ordres qu'il avait reçu ? Il y a des réputations qui sentent le grillé et bien sulfureuse !
  2. Oui, en effet, c'est très exact. Hitler à été nommé Chancelier par le Président Hindenburg (fortement conseillé par le Directeur de la Banque Allemande et futur Ministre de l'économie et d'autre appuis tel certains industriels.. Mussolini fut nommé parle Roi d'Italie.
  3. Je me permet une petite intervention sur ce sujet dramatique en comparant avec les événements de Mai 1968 auquel j'ai participé (j'avais 26 ans). La gréve était vraiment total. Nous occupions nos établissements (et y dormions par roulement) et j'avais acheté un vélo pour me rendre sur les lieux d'occupations des locaux de mon entreprise car l'essence manquait, les stations étant fermées. Le analystes et économistes étaient unanimes ! Nous n'allions pas nous en remettre. Il était temps que le conflit s’arrête effectivement (les denrées commençaient à manquer dans les magasins). Un accord salarial - entre autre - qui fut englouti par la suite dans la reprise économique A la la fin du mois, notre bulletin de salaire indiquait "Zéro Franc" ! Pour une fois, les syndicats se firent muets et les gens se mirent au travail de façon débridée (dont mon service.de réalisations de réseaux de télécommunications analogique, numérique et par paquets, entre autre). Les résultats de l'année économique avaient été partiellement rattrapées ! Il est sur, que la contamination par le coronavirus es d'une tout autre ampleur et sa durée bien plus longue avec des désastres plus profond. Je pense - de façon raisonnable - que le travail des salariés à 40 heures par exemple, pour un temps, pourrait - partiellement - compenser une partie des pertes subies sur les plans salariaux, de production, et des chiffres d'affaires. Mais rien n'est gagné compte tenu de l'incertitude de événements et de la propagation de cette nuisance extrême qu'est le Covid-19. Note (hors sujet) = 1968 a apporté au départ "Il est interdit d'interdire". Chaque corporation a eu ses avantages. Plus d'uniforme dans la rue de la Police hors travail, des jeunes militaires pendant leurs services militaires, Etc.Etc.
  4. Pour échapper aux coups, il faut échapper à la vue. Depuis des temps immémoriaux et face aux invasions, les populations n’ont eu de cesse que de se protéger dans des grottes, des tunnels naturels ou creusés avec de l’alimentation et de l’eau pour tenir durant un temps maximum contre les exactions de toutes natures. Par la suite, ce fut également un refuge militaire pour la sauvegarde des troupes et des bases de contre-attaque. L’Histoire abonde de ces opérations de protection des populations et de combats. Au Moyen-âge en Cappadoce, en France, en Algérie, au Vietnam, en Afghanistan, en Palestine et au Liban, cette façon de combattre s’est souvent traduit par la mise en échec de l’ennemi malgré sa supériorité technologique écrasante. 1° - Un ouvrage que je conseille fut édité par deux frères qui ont planchés et recherchés longtemps sur ce sujet. Cet ouvrage historique qui étudie s’est arrêté aux confins de la seconde guerre mondiale. Donc la guerre Sino-japonaise, la guerre du Pacifique, la guerre de Corée, la guerre du Vietnam (sauf la guerre du Liban et de la Palestine pour contourner les blocus) n’y figure pas. La guerre souterraine – Sous terre, on se bat aussi Par Jérôme et Laurent Triolet - Chez Perrin 2011 2° - J’avais entendu parler des tunnels de Cu-Chi au Vietnam. J’ai eu loisir de visiter ce pays avec un ami né en Indochine pendant prés d’un mois pour visiter ces contextes entre autre (Voir ci-dessous). Un ouvrage à été édité sur ce sujet. Les tunnels de Cu Chi - L'incroyable histoire de la guerre souterraine au Vietnam Par John Penycate et Tom Mangold - Chez Albin Michel 1986 3° - J’avais évoqué par ailleurs les tunnels Nord-Coréen durant la guerre de Corée lors de mes déplacements professionnels aux USA avec d’anciens combattants du Vietnam et de Corée de mon groupe dans lequel je travaillais (Litton Ptecision Product Inc.). Puis j’ai acquis un ouvrage concernant ces tunnels par un journalise connu qui traversa , avant la seconde mondiale, l’URSS par le Transsibérien, resta en Poste à Tokyo durant le second conflit mondiale et suivi par la suite la Guerre de Corée (Voir ci-dessous). Il écrivit un ouvrage sur ce sujet et d’autres (Voir ci-dessous). Orient Extrême - Par Robert Guillain - Chez Le Seuil 1986 4° - J’avais posté – ici même - dans le sujet « La guerre de Corée », ces éléments ci-dessous rapportés pour l’essentiel. J’avais été contesté par un internaute sur ces affirmations de tunnels à 60 mètres de profondeurs en Corée. J’ai retrouvé sur un de mes Disque durs amovible, le texte Francisé du texte américain de plusieurs conflits avec l’utilisation des tunnels. La traduction fut faite par le système de traduction automatique. Il donne des informations sur la longueur des tunnels, des profondeurs et des volumes de la terre déplacée. J’ajoute donc ces nouvelles données à ce file. 5° - Un point sur la guerre du Pacifique. Le général Mac Arthur avait décidé d’isoler, puis de prendre la formidable base Japonaise de RABAUL (Ex-possession allemande comme la Nouvelle Guinée dont la prononciation est RA-BA-AUL). Impossible. Un document récent paru à la télévision sur les Chaines « Histoire » et « Toute l’Histoire » nous ont fait visiter ce contexte souterrain. 100.000 soldats Nippons se sont réfugiés dans ces labyrinthes creusés par eux même. Pas étonnant que l’aviation et l’aéronavale US n’ait pas pu les déloger. 6° - CHINE et VIETNAM Je suis allé près d'un mois au Vietnam (voyage parmi la population, donc peu onéreux avec un groupe d'amis) et malheureusement pas en Chine ou j'aurais aimé aller au Yunnan (fief des Tigres Volants en Chine durent le second conflit mondial par le petit chemin de fer en voie de 60 cm construit par les Français qui relie Hanoï à Kumming et qui n'existe plus.(Lors de la saison chaude, les résidents de Hanoï allaient au Yunnan, sur les hauts plateaux, pour "respirer". Sacré voyage !). Les techniques de combat ancestrales développées par la Chine furent employés par les forces communistes de la chine du Nord contre les Japonais, par utilisation de tunnels de villages en villages, grottes et salles en sous-sol pour la protection des villages, techniques d'embuscades dans ces labyrinthes, Etc.Etc. Les forces communistes ont survécus malgré des pertes dues aux différences d'armements entre ces derniers et les Japonais. Outre le fait d'avoir inventé la boussole, la poudre, les Chinois (et les Vietnamiens pour se protéger de son grand voisin) ont mis au point dès cette époque - donc ancestrale - des techniques de défense avec bambous acérés pour empaler dans des trous les pieds des "étrangers" (toujours valable au Vietnam avec les américains) et des herses dans la forêt ou jungle. Un proverbe vietnamien dit, du reste, "L'autorité de l'Empereur s’arrête à la herse de bambous du village" Les techniques de guérilla en Chine et au Vietnam furent mises au point dès cette époque contre les envahisseurs de tout poils et utilisés encore aujourd'hui (Corée, Vietnam, etc.) En Chine, avant le second conflit mondial, c'est un allemand, le général Alexander von Falkenhausen, conseiller militaire du général Chiang Kaï-Shek (Avant que ce fut le général Claire Lee Chenault avec ses « Figres Volants ») qui remis la guérilla à l'honneur en Chine contre les forces Japonaises sur une grande échelle au point que les Japonais demandèrent aux autorités allemandes de la relever de son poste et de le faire repartir en Allemagne (en 1937) au vue des dégâts commis par les Forces Nationalistes de la guérilla envers des divisions entières japonaises (s'il vous plait) "L'Empire du Milieu" à de solides bases ancestrales en matière de combats et qui ont évolués que dans le sens de l'armement malgré une modernisation des autres vecteurs de l'armement (nucléaire, missiles, etc.). Dans la Chine du Nord, Les Japonais combattirent contre les forces Chinoise dans les tunnels. Lors des bombardements massifs américains sur le Nord-Vietnam, les habitants des villages trouvaient refuge dans les sapes en profondeurs reliées entre elles. La France à utilisé au cours des siècles, la protection souterraine par tunnels, grottes, etc. Un ouvrage récent est à lire et étudier en ce sens pour les passionnés. -La guerre souterraine – Sous terre, on se bat aussi Par Jérôme et Laurent Triolet - Chez Perrin 2011 Un autre ouvrage a également était édité sur les tunnels de "Cu Chi" que je n'avais pas en partant au Vietnam mais j'ai retrouvé les photos des entrés des tunnels qui sont "visitables" par les occidentaux. Ces tunnels, prés de Saigon, jusqu'à 40 mètres de profondeur – limité par les nappes d’eau plus en profondeur – avait une « garnison » égale à une division. Au dessus d’eux, une division d’infanterie américaine ! Les tunnels de Cu Chi - L'incroyable histoire de la guerre souterraine au Vietnam Par John Penycate et Tom Mangold - Chez Albin Michel 1986 LA PREMIÈRE ÉTUDE APRÈS GUERRE FUT LA CORÉE 1950 = Attaque Nord Coréenne en Corée du Sud. Les forces US et ROK (Republic Of Korea ou Corée de sud) se retrouvèrent dans le sud, dans le réduit de Fusan. Guerre perdue ? Le général MacArthur, organise après la retraite sur Pusan, en bas de la péninsule, le débarquement à Inchon, au niveau de Séoul, du corps amphibie US avec la « First of Marines » (1° de Marines) – et une division d’infanterie - dont tous les militaires avaient combattus dans les iles du Pacifique (Tarawa, Peleliu, Eniwetok, Saipan, Iwo-Jima, Okinawa, etc.) et rappelé sous les drapeaux. Gros succès du débarquement et offensive générale américaine et ROK qui arrive presque au Yalu à la frontière Chinoise. Formidable contre offensive Chinoise (400.000 hommes portés à 1 million d’hommes pour la suite pour «libérer » la péninsule) La 1° Division de Marine est encerclée au réservoir de Chosin par des températures Sibériennes. Citation célèbre de son chef, le major-général Edward Almond « Nous ne battons pas en retraite, nous attaquons dans une autre direction ». Rembarquement sur les navires de la flotte à Wonsan après avoir percé les lignes chinoises. L’aviation américaine fait un massacre. Le front se stabilise à la ligne entre les deux Corées sur le 38° parallèle. Offensive de part et d’autres. Toujours autour du 38° parallèle. De guerre lasse, négociations à Panmunjun sur la ligne du 38° parallèle de 1945. D’un coté, les officiers généraux américains et de l’autre les artistes de la rouerie. Et l’on amuse la planète, et c’est la guerre psychologique, bref, il reste les BON chinois et Nord Coréens et les « CRIMINELS » américains ! Et de reprendre les armes ! Seulement là, problème ! Les Chinois et Nord-Coréens s’étaient enterrés ! Dans le sol et dans la montagne à plus de 60 mètres (source de mes collègues américains) de profondeurs avec des cavernes pour des trains de ravitaillement. Impossible de prendre seulement une de ces montagnes ! Obus de 406 (1 tonne) des cuirassés de la Marine (le célèbre « Missouri » sur lequel avait été signée la capitulation Japonaise), bombe de 250, 500 et 1000 kg, napalm à profusion. Rien n’y fit. Les offensives se soldaient par des milliers de morts sans rien apporter. Les noms de ces montagnes sont connus = La crête sanglante, le hachoir à viande, etc. La situation se figea et c’est à la mort de Staline – 1953 - que l’armistice fut rapidement signé ! 1° - LA GUERRE DE CORÉE Par Robert Leckie (Ancien Marine de la 1° Division de Marines du Pacifique et de Corée). - Robert Laffont 1963 (Écrivain et Journaliste d’investigation). Aujourd’hui, le livre et les mémoires de Robert Leckie font l’objet d’une série (Band of Brothers) « L’enfer du Pacifique » sous le titre original de « The Pacific » chez Warner DVD Club.com et qui vient de repasser à la télévision. 2° - Orient Extrême - Par Robert Guillain - Chez Le Seuil 1986 Ou l’auteur, journaliste, fit le voyage du Transsibérien en 1937, couvrit la guerre Sino-Japonaise à Shanghai en 1937-1938, se trouva bloqué au Japon pendant toute la seconde guerre mondiale, objet de livre remarquable. « La guerre au Japon », chez Stock) 1979, et réédité sous le titre « J’ai vu bruler Tokyo », chez Arléa 1990), « La Corée 1951-1953 », « Diên Biên Phû » 1954, etc. Il écrivit, concernant la Corée « La grande surprise pour les alliés à été de découvrir le fabuleux réseau des fortifications souterraines de l’adversaire [...].En surface la tranchée est peu profonde, mais on y découvre un puits étroit, on y descend et on se trouve dans un « métro » avec galeries interminables, salles souterraines, logements, soutes à munitions ou à réserves, garages de camions ou même de locomotives, silos pour pièces d’artillerie »..... Le tout, sous la montagne et les ponts sous la surface de l’eau comme au Vietnam par la suite. COMPLÉMENT = DOCUMENT US (TRADUCTION AUTOMATIQUE) CONCERNANT LES TUNNELS SOUS TERRAIN SINO - NORD-COREEN. Subtitle 4: guerre de Corée Sur la péninsule coréenne de la guerre souterraine a atteint une échelle massive. De l'expérience dans la Seconde Guerre mondiale aux États-Unis avait compté sur l'aviation. Forces nord-coréennes avaient subi de lourdes pertes de frappes aériennes qui les ont contraints de construire des abris souterrains. Initialement fortifications souterraines ont été construites de façon indépendante par des unités individuelles et leur placement était chaotique. Par la suite fortifications souterraines ont été réunis en un seul système. L'ampleur de la guerre souterraine est attestée par les faits suivants. La longueur de l'avant était de 250 kilomètres tandis que la longueur des tunnels souterrains était de 500 kilomètres. Donc, pour chaque kilomètre de l'avant, il y avait deux kilomètres de tunnels souterrains. Un total de 2.000.000 mètres cubes de roche ont été extraits. La Corée du Nord a développé une théorie de la guerre souterraine. Manpower, entrepôts et de petit calibre des canons ont été complètement logés souterrain qui les rend moins vulnérables aux frappes aériennes et d'artillerie. Sur la surface de fausses cibles (bunkers...tranchées et des entrées de leurre au système de tunnel) qui a rendu difficile la détection de véritables cibles américaines forçant les forces de gaspiller des munitions. Directement sous la surface des casernes spacieuses ont été construites, permettant des unités entières à être rapidement ramenées à la surface pour un court laps de temps et aussi rapidement retournés à l'abri souterrain. La Corée du Nord a même créé des abris souterrains pour l'artillerie. Pendant les bombardements d'artillerie a été roulé dans des bunkers situés à l'intérieur des montagnes. Quand une accalmie est venu les canons ont été annulées sur une zone spéciale devant le bunker. Quelques obus ont été tirés et les canons révulsés dans le bunker à nouveau. Contrairement à d'autres exemples de la guerre souterraine troupes nord-coréennes ne pas seulement rester dans les tunnels. forces nord-coréennes avaient trouvé refuge dans les tunnels du bombardement et des bombardements et des États-Unis en attente d'attaque à la baïonnette. Lorsque les forces américaines ont atteint le sol dans la zone des tunnels, choisi unités nord-coréens émergeraient de se livrer à la main-à-main en profitant de leur supériorité numérique. Actuellement la stratégie nord-coréenne est de construire autant installations souterraines que possible pour l'usage militaire dans le cas d'une attaque des États-Unis. La profondeur des installations souterraines atteint 80 à 100 mètres qui les rendent difficiles à détruire, même avec l'utilisation d'armes nucléaires tactiques. Dans la guerre de Corée la tactique de la guerre du tunnel a été employée par les forces chinoises elles-mêmes. "La station chinoise à la guerre du tunnel, et les pertes dévastatrices aux soldats américains, ont conduit à la fermeture des tunnels entrées par Commandement des Nations Unies. Selon prisonnier plus tard des interrogatoires de guerre, les officiers chinois avaient tué un certain nombre de leurs propres soldats dans les tunnels, parce que ce dernier avait voulu creuser leur chemin et se rendre au commandement des Nations Unies ». Janmary Note = D’autres document de ce type disponible sur d’autre conflits disponible. Il s’agit d’une présentation courte sur ce sujet qui est toujours d’actualité et reste des plus importants.
  5. Janmary

    Conflits méconnus

    Je me souviens de ces événements. Je ne possède pas de sources particulière sur ce sujet.. A l'époque, à la télévision, il y avait eu un reportage filmé (il n'y avait qu'une seule chaine de télévision en ce temps là) sur les "incidents de frontière" entre URSS et Chine. Document Soviétique à priori. On y voyait des troupes Soviétique, calme, en ligne, opposées à des soldats Chinois, un peu excité, agitant le livre Rouge de Mao. Impressionnant. J’espère de ne pas me tromper d'année. Cela avait été frappant de voir ces événements filmés.C'était étonnant aussi de voir deux "Pays frères" se "chicaner" ainsi, officiellement pour des problèmes de frontière, en fait, pour des divergences politique de fond. C'est un peu une constante que de provoquer des incidents pour diverses raisons tant de l'URSS (Blocage de Berlin pour protester contre l'introduction d'une nouvelle monnaie dans le secteur occidental et pont aérien des alliés en 1949, mur de Berlin pour protéger des évasions de personnes etc.), que de la Chine (Les Quesmoy et les Matsu appartenant à Taïwan qui sont situées prés du littoral de la Chine continentale). Encoure aujourd’hui, la France vient d'avoir un souci avec la Chine par des insultes dans un journal Chinois.L'Ambassadeur Chinois convoqué par notre Ministre des Affaires Transgenres. Le cause, en fait, est la demande de plusieurs parlementaires Français de demander que Taïwan soit intégré à l'OMS. Pour la Chine, Taïwan c'est une partie de territoire. On ne touche pas. Donc, action anti-Française.
  6. En effet, les archives principales se trouvent à Coblence. Mes excuses. A Cologne , se sont des archives particulières sur certaines sources si mes souvenirs sont exacts.
  7. Il y a le Musée - toujours en Allemagne - de l’aéronautique de Munich qui ont conservés nombre d'appareils de la seconde guerre mondiale. Merci pour le site des archives Allemandes. Je crois - sans certitude - que les archives relatives à ces sujets sont à Cologne.
  8. Absolument d'accord avec toi cracou.et avec les autre intervenants. Il y a de la débilité dans l'air ! Ce n'est pas compliqué de monter quelques étages à pieds, de rester chez soit et sur son balcons quand on en possède un.. De prendre un petit chiffon imbibé d'eau de javel pour nettoyer au préalable la barre du caddie lors de nos courses, etc. Dans notre cage d'escalier, deux dames remplacent la femme de ménage et désinfecte tout les jours le digicode, poignées de partes, mains courantes de la cage d'escalier ET nous lavons les mains au savon de Marseille (conseillé par un professeur en biologie de l'Université de Tours). Nous avons même un petit commerce fermé (couturière avec son mari infirmier) qui s'est mise a fabriquer des masques en tissus répondant aux besoins autre que médicaux, du type que ceux qui vont être mis en circulation à venir. Nous avons déjà reçu ce nouveau masque par notre infirmière qui nous suit sur le plan du cabinet médical, nous les cardiaques, ou diabétiques, etc. Infirmière qui à institué des groupes de marche pour le moment supprimé. Le résultat global est qu'il a peu de cas en Touraine. Nos hôpitaux sont "réquisitionnés" et nos hospitalisations (mon cas) dont déportés en Mai...peut-être. Bon courage à tous et portez vous bien !
  9. Un petit rajout en ra pellant que le canon de 47 mm Français fut l'un des meilleurs anti-chars de cette époque,, omis l e 75 mm bien sur. Il fut vendu à la Tchécoslovaquie tardivement. C'est une autre histoire que de le monter sur les chars alors en service dont le canon de 37 mm (poids, affut) convenait mieux, effetivement Benoitleg.. A cette même époque, nous avions créé les obus en sous-calibrage pour faire face au canon conique de 28/20 mm Gerlach Allemand. Deux types qui furent employés par l'armée allemande par la suite. Le premier fut le 105/88 mm et le second le 75 (?) mm. L'avantage était d'augmenter de façon très significative la vitesse initiale et donc la portée et la pénétration des l'obus dans des blindages plus importants. En gros, l'obus était d'un calibre donné (par exemple 105 mm) avec soit une enveloppe entre 88 et 105 mm qui s’éjectait à la sortie fi tube, soir des ergots maintenant le calibre de 105 mm dans le tube pendant le tir. La pression s'appliquait au final sur l'obus "vrai" de 88 mm alors que la détonation été celui d'un obus de 105 mm. Certains chars Français avaient des flans latéraux inclinés qui étaient bien pensés.
  10. Janmary

    Guerre du Vietnam

    Je viens de retrouver les propos de Henry Kissenger, secrétaire d’État Américain sur la guerre du Vietnam = Nous avons mené une guerre militaire, Nos adversaires ont menés une guerre politique, Nous avons recherchés l’usure physique, Nos adversaires ont recherchés notre épuisement psychologique, Du coup, nous avons oubliés la maxime fondamentale de la guérilla, La guérilla gagne si elle ne perd pas, L’armée conventionnelle perd si elle ne gagne pas. 1° - Cela peut être appliqué à toutes les guerres non conventionnelles, asymétriques, révolutionnaires ou d’indépendance comme l’on veut. L’Indochine et l’Algérie furent dans ce cas. 2° - Peut-être que le Secrétaire d’Etat à oublié une autre maxime, Française celle là = Les militaires veulent gagner la guerre. Les politiques se doivent de gagner la Paix. Faute de l’avoir un peu oublié, le traité de Versailles de 1920 à engendré un autre conflit mondial à venir. L’humiliation, la vengeance, les territoires perdus en furent la base.
  11. Oui, c'est vrai Deres. Je pense que des enlèvements par ballons eussent été possible dès 1942/1945. Après tout, il avait été testé un avion accroché sous un dirigeable pour combattre et assurer la défense de ce dernier et se raccrocher. Le système des deux avions superposés Britanniques ou l'un portant l'autre afin d'avoir une grande autonomie de l'appareil plus petit qui se décrochait pour terminer sa course. Les idées ne manquaient pas. Les USA avaient des DC3 (C-47) et des planeurs (Waco) pour les charges non parachutable (Jeep, Canons, et des hommes ) et c'était bien pratique (oui, enfin, avec les risques insérant de se faire abattre par la DCA ou de se brisaient en arrivant au sol) pour se poser avec tout cela. Les Britanniques avaient mis au point les "Horsa" plus important que les Waco (personnels ou canons, Jeep) et les "Hamilcar" qui transportaient des chars légers. Les Britanniques avaient parachutés des Jeep en Bretagne lors du débarquement de Normandie par des bombardiers "Hallifax" dont le matériel était logés en soute. En particulier pour les SAS Français du colonel Bourgoin. Ce dernier conflit à vue bien des avancées dans tout les domaines. L'aéronautique et le spatial on continué dans la lancée. Je viens de trouver le lien suivant sur Internet avec les photographies en question...et le texte. Mon document datait de 1947.= http://claudel.dopp.free.fr/Les_planeurs/Histoire/Remorque-avion-en-vol/Remorque-avion-en-vol.htm
  12. Ci-dessous l e texte transcrit de façon intégral et mot pour mot.. Les deux petites photographies ne figurent pas. LA PRISE EN REMORQUE D’UN PLANEUR PAR UN AVION EN VOL. La guerre dans les jungles de Birmanie et des iles du Pacifique, ou bien souvent, aucun aérodrome ne pouvait être aménagé et ou pourtant l’envoi de renfort, de ravitaillement et l’évacuation des troupes se faisait par la voie des airs a exigé de l’avion des taches tout à fait extraordinaire entrainant parfois des manœuvres acrobatiques. L’une d’entre elles est maintenant de pratique courante : c’est la prise en remorque de planeurs par un avion en vol. Cette opération permet l’évacuation des blessés par la voie des airs, là ou un avion ne pourrait pas se poser ni décoller de nouveau. Les photographies ci-dessous représentent la capture d’un planeur Waco « Adrian II » par un avion de transport « Dakota » dans un camp d’entrainement Anglais. Photos = La capture du câble de remorquage d’un planeur Waco « Adrian II par un avion de transport Douglas « Dakota ». En haut = l’avion arrive en passant à coté du planeur. En bas = La boucle qui termine le câble de remorquage est saisie par le crochet qui l’attellera à l’avion. Les deux problèmes qu’il faut résoudre dans la prise en remarque sont l’accrochage du câble de remorquage avec le câble de capture, et, d’autre port, la répartition de l’accélération nécessaire au décollage du planeur sur une période de temps suffisante, faute de quoi il se produirait un véritable choc qui pourrait rompre le câble ou provoquer des accidents dont seraient victimes soit le planeur, soit l’avion remorqueur, par suite d’une brusque perte de vitesse. La solution du premier problème ne représentait pas de difficultés : la capture au vol de certaines charges, en particulier du courrier, est de pratiques courante dans l’aviation commerciale. Le remorquage du « Waco » s’effectue à l’aide d’une corde en nylon (qui possède une certaine élasticité) de 70 m de longueur. A l’extrémité de cette corde se trouve se trouve une boucle triangulaire dont on accroche deux sommets à l’extrémité de deux poteaux de 4 m de hauteur et distants de 7 m environ. Cette boucle sera saisie par l’avion remorqueur son passage. Le dispositif de capture installé à bord du « Dakota » pèse un total de 590 kg. Il comprend un câble d’acier de 350 m de longueur enroulé sur un tambour freiné à l’extrémité duquel se trouve un crochet qui saisira la boucle du planeur. Pour la capture du planeur, ce câble d’acier est légèrement déroulé, et le crochet est guidé par un bras articulé éclipsa blé placé au dessous de l’avion. Apres accrochage de la boucle par le crochet, l’effort de traction qui s’exerce sur les deux câbles provoque le déroulement du câble d’acier. Ainsi le choc qui se produirait si l’attelage était rigide se trouve amoindri et le planeur est progressivement accéléré. Le Douglas « Dakota » est un avion de 16,5 tonnes en plaine charge, muni de deux moteurs de 1200ch. Le planeur Waco « Adrian II » pèse 3600 kg. La vitesse à laquelle vole normalement le « Dakota » au moment de la prise en remorque est de 160 à 200 km/h, mais le Waco décolle à partir de 115 km/h. Le décollage s’effectue en 70 m environ. Dans ces conditions, si l’on admet que le mouvement du planeur est uniformément accéléré, l’accélération est de l’ordre de 6m/s et la traction exercée sur le câble serait de l’ordre de 2200 kg, compte non tenu du freinage exercé par le sol sur le planeur. De toute façon, cette traction ne dépasse pas normalement 3000 kg. Le câble d’acier est ensuite est ensuite enroulé de nouveau sur son tambour grâce à un petit moteur de 2,5 ch. Des sécurités sont prévues pour le cas ou, pour une cause quelconque, un des deux appareils se trouverait en difficulté. Le câble en nylon présente en effet un point faible dont la rupture se produit quand la traction vient à dépasser la valeur de 7 tonnes. Enfin, il est possible de couper instantanément le câble d’acier à l’aide d’une petite charge d’explosif dont on commande la détonation si le tambour vient à fonctionner de façon défectueuse. Je viens de trouver le lien suivant sur Internet avec les photographies en question...et le texte. Mon document datait de 1947.= http://claudel.dopp.free.fr/Les_planeurs/Histoire/Remorque-avion-en-vol/Remorque-avion-en-vol.htm
  13. Bonjour ARPA Pour information, la poste aérienne aux USA, entre les deux guerres mondiale, utilisait cette technique pour qu’un aéronef puisse prendre le courrier sans se poser. Peu de documents disponibles, même aux ÉDITIONS TIME LIFE, le volume consacré à LA POSTE AÉRIENNE, Chapitre LES POSTIERS VOLANTS AMÉRICAIN, évoque juste je fait, sans photos que l’on peut trouver ici ou là dans une revue dédiée à cette époque. J'ai dû voir une fois ou deux cette photo. Par contre, un film relatif à un opération des "Chindits" en Birmanie, à savoir "Objecticve Burma" (Objectif Birmanie) sous le titre Français d' "Aventure en Birmanie" avec Errol Flynn, montre des parachutages (venant assister un commando qui vient de réussir sa mission ,d'une part, et, d'autre part, ces parachutistes vont participer à une offensive), l’atterrissage de planeurs Waco avec du matériel (Jeep, canons) et la prise d'un de ses planeurs par un C-47 par la méthode du "crochetage" avec le "commando qui sera ainsi acheminer sur sa base arrière. Les séquences sont visiblement prises lors de manœuvre ou par un cinéaste des armées de l'époque. Le film est disponible en DVD chez Warner Home Video. Ne pouvant plus scanner (malheureusement) le document et l'afficher directement sur le forum je vais rapidement réécrire le texte comme je le fait parfois. Je fais au plus vite. Cordialement.
  14. https://fr.wikipedia.org/wiki/Douglas_C-47_Skytrain On peut dire que le C-47 fut la bête de somme du transport aérien US et des parachutages massifs (avec planeurs remorqués également du type "Waco CG4-A") tant en Europe (Sicile, Normandie, passage du Rhin) que dans le Pacifique et en Birmanie, sans parler du pont aérien de "la bosse" entre Birmanie et Chine au dessus de l’Himalaya, etc.. Il est à noter que lors de la campagne des "Chindits" en Birmanie qui furent transportés sur le champs de bataille par C-47 Dakota, ces derniers avaient deux planeurs Waco à tirer....avec quelques soucis. C'est également des "Waco" (en général chargé de blessés) qui furent arrachés du sol par des C-47 Dakota à l'aide d'un crochet de queue qui "crochetait" une boucle du câble de remorquage montée sur deux pylônes au sol. (J'ai un document complet sur ce sujet si vous désirez des précisions). https://fr.wikipedia.org/wiki/Waco_CG-4 Les Britanniques ont reçus de nombreux DC-3 des USA qui furent appelés "Dakota". Les planeurs Anglais (du Type "Horsa" de forte capacité avec 28 hommes, avec jeep et moins d'hommes transportés, un canon, etc.) étaient tirés par des avions ex-bombardiers convertis pour cette tache. Mais ce ne fut ps systématiquement le cas .Les Short "Stirling" , les Handley Page "Halifax" ,furent utilisés; https://fr.wikipedia.org/wiki/Airspeed_AS.51_Horsa https://fr.wikipedia.org/wiki/Douglas_C-47_Skytrain Les sources sont assez nombreuses. On peut citer entre autre = 1° -D-Day Gliders - Les planeurs américains du Jour J - par Philippe Esvelin - Chez Heimdal 2001 (En Français et Anglais). - 2° - Le DAKOTA - Jasques Borgé et Nicolas Viasnoff - Editions E.P.A 1980 (L'Histoire du DC-3 de sa conception jusqu'aux années 1970 quand à son utilisation). Je connais mal les sous-marins de cette époque. Merci pour toutes ces informations.
  15. Oui, Rob1. Je souscris. A ma connaissance, les Curtiss C-46A "Commado" furent utilises les derniers mois du conflit en Europe. Ils furent utilisés entre autre pour le rapatriement des prisonniers de guerre de concert avec les C-47. Les Douglas C-54A "Skymaster" furent utilisés essentiellement sur le réseau ATC américain, c'est à dire les liaisons transatlantique et Pacifique pour le transport fret et passagers. Oui, de nombreux parachutages d'armes - entre autre aux maquis - furent effectués par des bombardiers dont au Vercors.effectivement.
  16. Normalement; les parachutages étaient effectués par des DC-3 (appellation civile), Dakota (Appellation Britannique), C47 (Appellation USA). Il y a eu récemment à la télévision sur les chaines TOUTE L'HISTOIRE et HISTOIRE (Pour Orange, Chaines 121 et 122), une série consacrée aux débarquement en Afrique du Nord, Sicile et Corse. Je sais peu de chose sur ce sujet mis à part l'envoi de commandos de choc et l'histoire du sous-marin Français qui ont participés en livrant armes et quelques éléments militaires. Les combats furent rude car les Forces Nazies surent utiliser le terrain pour une retraite efficace par la cote Est de la Corse. C'est tout ce que je peux dire.
  17. Janmary

    Guerre du Vietnam

    Oui, Gobbs le Cajun. En rase campagne,ou à Khe Sanh, l'Armée Nord-Vietnamienne et le Vietcong ne pouvait pas emporter la décision du fait de la formidable puissance aérienne, d'artillerie, bref de la puissance de feux américaine et des Marines. Cela fut sous-estime par Hanoï avec nombre de controverses interne, on le sait aujourd'hui Résultat, des combats des plus âpres et difficiles et des pertes hors de proportion avec l'objectif à atteindre. En ce qui concerne l'offensive du Têt, il y eu une double erreur (plus ou moins reconnu par Hanoï). La premier fut de croire en un soulèvement général de la population civile. La seconde est de ne pas continuer de poursuivre la guerre subversive tant que des forces importantes qui leurs étaient opposées fussent amoindries. Ce fut le cas seulement en 1975 lors de la chute de Saïgon qui tomba avec l'appui de chars de l'Armée Nord-Vietnamienne..(1). Le résultat négatif de ces offensives fut de massacrer beaucoup d'hommes (et de femmes combattantes) en faisant "sortir de l'ombre" des unités jusqu’à là opéraient de façon "subversive". L'armée Nord Vietnamienne et le Vietcong furent cassées en tant qu'unités de combat. Le coté positif, fut de gagner la guerre des médias et d'imprimer un choc dans le subconscient des peuples dont les Américains en premier lieu. Le territoire sacré de l'Ambassade Américaine "occupé" . A ce moment là, la guerre changea et amorça un virage. (2). Note 1 = En Corée, en 1950, ce fut le contraire qui s'opéra. Franchissant la frontière entre les deux Corées, l'Armée Nord Coréenne fut disloqué par l'aviation US et par le débarquement sur leurs arrières à Inchon. Ils appliquèrent alors les principes de la guerre subversive, puis avec l'aide Chinoise, de la guerre souterraine. La guerre s'enlisa. Note 2 = Ce fut également le cas en Algérie ou l'Armée Française tenait le terrain, et anéanti pratiquement l'Armée FLN (Force de Libération National) de l'intérieur. La guerre de l'indépendance fut gagnée par la position des pays neutres et de l'ONU. Note = Les pertes comparatives entre les belligérants, Armée Nord et Sud Vietnamienne, Vietcong en un premier lieu furent énormes. Les pertes US en hélicoptères et avions furent importante.Le pays fut ravagé par l'Agent orange, les bombes , les engins non explosés (tel les petites bombes a fragmentations anti personnel au Cambodge, au Laos et au Vietnam).
  18. Janmary

    Guerre du Vietnam

    Il y a, assurément, beaucoup à dire sur ce sujet que représente le Vietnam. On peut toutefois tenter de définir certain nombre éléments de cette guerre après les débats précédents, afin de poursuivre des apports au sujet. Ce fut, pour les Américains, une humiliation qui ont laissés des traces encore pendant des années comme une meurtrissure pour l’armée, le peuple américain, et pour tous les soldats engagés dans ce conflit. Le retour de ces deniers aux USA ou ils furent traités de tous les noms à cause de l’assassinat de My Laï entre autre, de la télévision montrant en quasi direct certaines opérations sur le terrain (Attaque de l’Ambassade US à Saigon), les reportages de photographes et journalistes de guerre (telle cette petite fille brulée par le napalm largué d’un avion), etc. y furent pour beaucoup. Avec pour résultat l’introduction de la drogue par les soldats rentrant dans leur pays avec une cicatrice psychologique profonde qui devait rester longtemps pour ces derniers. N’oublions pas que nombres de chefs d’entreprises refusèrent à ces soldats de retour qui furent ainsi condamnés à faire une guerre, à être méprisés, et ne pas trouver d’emplois ! Par la suite, l’Amérique se retourna sur son passé et l’éclosion de nombreux films sur le Vietnam furent tournés. Anciens combattants, les médias, l’Armée, furent mis en face de leurs anciens tourments. Plus tard, l’Armée ne toléra plus les photographes et journalistes autre que ceux accrédités par l’État-major et le mensonge, les manipulations politiques pour les médias et le peuple devinrent la règle (Irak, etc.). Pourtant, si l’idée fixe des militaires en haut lieu n’avait pas été celle de la recherche de l’ennemi avec destruction en rase campane de ce dernier avec un support de feux extraordinaire, peut-être que les choses auraient pu être différentes. Peut-être ! Quelques points = 1° - Les Vietnamiens, petit pays, furent confrontés durant des siècles, à un grand pays, voisin, la Chine. Elle à donc appliquée des règles de combat du petit au grand (pièges de toutes natures sur le terrain avec des bambous, caches souterraines pour les récoltes, les armes et les combattants). 2° - Les Américains n’ont pas voulus, au départ, appliquer les leçons des guérillas, guerres irrégulières dont les britanniques en Afrique (Guerre des Boers), en Malaisie après le second conflit mondial, la France (Algérie sur les leçons d’Indochine) ont déterminés les bases, à savoir pour l’essentiel)= Fermetures et étanchéités des frontières du pays concernés (Transvaal pour les Britanniques, Algérie pour la France) – Cloisonner le champ de bataille du pays concerné par des moyens mobiles (Transvaal pour les Britanniques ou « quadrillage » fixes en Algérie) - application de la doctrine « quadrillage, repérage, encerclement, destruction » - Utilisation de la cavalerie aérienne ou opérations héliportés - Avec l’application de la règle, d’après les spécialistes de la contre guérilla (David Galula en France qui en est le père et dont les thèses sont enseignées aux USA sur ordre du Général David H.Petraeus), il faut 1 militaire pour contrôler de 10 à maximum 20 autochtones. Ce fut vrai en Algérie ou nous avions 450.000 à 500 .000 militaires - Créer des zones vides de civils ou donc le tir est permis, etc.etc. 3° - Or, que s’est-il passé au Vietnam. L’armée régulière et le Viêt-Cong ont appliqués la maxime « Pour échapper aux coups, il est nécessaire d’échapper à la vue ». Les tunnels de Cu-Chi prés de Saigon sont une application de ce principe. Une division Viet-Minh sous prés de 40 mètres de profondeur en partie sous une division d’infanterie US 'A lire et mieux à visiter).. 4° - Les Forces Américains n’ont pas pu fermer et étanchéiser les frontières du Vietnam (Cambodge et Laos) ni couper les pistes de ravitaillement de « La piste Ho Chi Minh ». Ce n’est pas faute de moyens pourtant. 5 ° - Les bombardements massifs au Nord-Vietnam sur des objectifs définis par le « Politique » (du Président), quoique terrible, n’ont pas eu l’impact espéré d’un bombardement stratégique espéré (Comme en Allemagne et Japon). 6° - Afin que la guerre perdure longtemps (20 ans si nécessaire), l’Armée Nord-Vietnamienne régularisait ses offensives en fonction des pertes qui devaient être compensées par des naissances (élément peu connu sur ce conflit). 7° - En fait (analyse de certains spécialistes des conflits) les armes lourdes des Forces US (B52, Chars de combats, artillerie lourde > 105 mm) furent contrés par l’utilisation d’armes légères portables tel le lance roquette anti-char, le mortier de 122 mm équivalent à notre mortier de 120 mm décomposable en 3 fardeaux), etc.etc. 8 ° - Une guerre n’a pas été appliquée, c’est la guerre du riz. Le général Français Alessandri (le même qui avait retraite en Chine lors du coup de force Japonaise en 1945) avait voulu appliquer ce type de solution au Tonkin. Avec la chute des bases le long de la frontière Chinoise en 1949, il fut renvoyé en France. De tout temps, la guerre pour le riz fut le combat pour la survie dans ces pays d’Extrême-Orient. Un américain l'a demanda (John Paul Vann, conseiller américain auprès de l'Armée sud-Vietnamienne qui fut tué au combat).. C’était juste un panorama sur ce sujet sur lequel il a été écrit et commenté sur la guerre dans ce pays par des intervenants que j'ai apprécié. Janmary.
  19. Il y a eu plusieurs "écoles" d'Aïki-do en France au rythme du temps en fonction des Maitres qui ont enseignés cet art marial dans notre pays. Moi même, dans mon cursus de pratiquant pour la ceinture noire, j'en ais pratiqué trois dont le dernier enseigné par Maitre Tamura délégué officiel Japonais. Pour la Police Japonaise, ce fut l'Aïki-Kaï à mon époque. Un Aïki-do dure et sans fioriture. Mais c'était dans les années 60 à 80. Il est possible qu' au vue des écoles, des changements apportés en fonction de la formation des Maîtres dans la durée de vie de Maitre Ueshiba (le concepteur de cet art qui à repris l'ensemble du Jiu-Jitsu existant au Japon) la conception enseignée à la Police Nippone ait été modifiée par évolution du temps et de l'expérience sur le terrain. Ainsi , l'Aïki-do de Maitre Ueshiba à évolué durant sa vie; tel les coups préalable sur l'agresseur ou pas sur chaque attaque.En fonction de la formation de ce qui allait devenir des Maîtres, l'enseignement par la suite, par eux même, fut différents.
  20. Je ne puis que souscrire à vos propos, Niafron. Le Japon s'est bercé d'illusion sur la mentalité américaine. 1° - Croire que l'on puisse "terroriser" un ennemi est une chose qui est dans la mentalité Nippone depuis la nuit des temps par laa subordination à baigner et vivre pour et par "La voie du guerrier" qui va jusqu'au "Seppuku" (et non Hara Kiri qui est une expression méprisante américaine). Ex-Pratiquant.d'Aïki-do, je dirais comme un certain nombre d'Historiens ou de journalistes spécialisés ayant vécu au Japon (Tel Robert Guillain, journaliste Français en poste à Tokyo pendant tout le conflit mondial qui a écrit de nombreux ouvrages sur le Japon) que c'est "l'Art de mourir". Ce qu'on démontrés du reste l'Armée Japonaise au combat.. 2° - Quand on connait un tant soit peu la mentalité américaine en étant resté quelque semaines aux USA - et l'Amiral Yamamoto fut en poste à Washington comme attaché naval - on cannait la réaction de ces derniers qui défendent leurs personnes et leurs biens les armes à la main. C'est propre à leurs cultures. 3° - En fait, Pearl-Harbor à réveillé le "Tigre endormi" d'une part, et d'autre part, à permis de mettre sur pied une puissance industrielle énorme. La guerre ne pouvait qu'être perdu par l'Empire Japonais. Ses communications longues et mal défendues avec peu de navires stratégiques de transports pétroliers et de transports victime de la force sous-marine US. L'économie Japonaise fut "détruites" plusieurs fois = Par le blocus naval, puis par les bombardements aériens et par le massacre des populations par des bombardement au napalm exécutes à basse altitude, de nuit, par les B-29. Sources = De Robert Guillain > La guerre au Japon De Pearl-Harbor à Hiroshima (Chez Stock1979). (Note = La guerre vue du Japon par l'auteur) > J'ai vu bruler Tokyo (Chez Arléa 1990) (Note = Même ouvrage mais amélioré) > Orient Extrême Une vie en Asie (Chez Arléa 1986) (Note = La mission de couvrir pour l'agence Havas la guerre en Chine de 1937 à ....la fin de la guerre ! par le fait d'être retenu au Japon). > Les Geishas ou le monde des fleurs et des saules (Arléa 1988) Aïki-do (et Aîki-KaÎ réservé à la police japonaise) https://fr.wikipedia.org/wiki/Aïkido
  21. Je reviens sur le post de Niafron Oui, effectivement, ce fut un raid. Mais à l'époque, comment les Britanniques auraient pu savoir s'il s'agissait d'un raid ou d'une offensive. Les Britanniques et l'amiral Sommerville ne s'y est pas trompé du reste. Il à su conserver son escadre en se repliant vers la coté Est de l'Afrique. Vu d'une carte, une offensive était plausible. En regardant une carte du Japon vers le Pacifique Sud, nous pouvons constater une offensive "plein sud" vers les Philippiennes (Avec un axe Malaisie, Singapour et Birmanie) puis vers la Nouvelle -Guinée et l'Australe pour couper les communications Australie - USA. Le flan gauche était constitué par des iles et atolls. Le flan droit était l'Océan Indien. Donc la Marine et les Forces terrestre avait deux options = 1° - Soit exécuter un "nettoyage" ou "raid" des bases et bâtiments Britannique de l'Océan Indien et poursuivre vers la Nouvelle -Guinée et l'Australe (volonté de l'Armée Nippone).. 2° - Soit poursuivre en parallèle de l'axe Malaisie - Birmanie une offensive vers un axe naval et pénétrer aux Indes. L'Amiral Yamamoto ne fut pas satisfait des résultats de Pearl-Harbor dont le but était la destruction des porte-avions américains. Ces derniers se montraient combatif de surcroit et devenaient une menace. Il s'agissait donc de provoquer une bataille navale décisive pour les éliminer ! Midway était une position stratégique navale américaine permettant une réaction de ces derniers. Las. Malgré des forces Nippone importantes, diverses circonstances (code Japonais partiellement décodé + bonne stratégie de l'Amiral Nimitz + porte-avion US endommagé à la bataille de la Mer de Corail réparé en quelques jours + hasard, etc) ont eu pour conséquence une défaite navale Nippone Majeure. Un conflit, une guerre ont pour résultats des cheminements bien aléatoire et bien souvent pas prévue par les planificateurs. C'est la compréhension, l'étude de ces événements qui sont sources d’intérêts et de satisfaction.
  22. Le seul sous-marin important et de gros tonnage (> de 5.000 tonnes) Japonais prévu pour lancer trois hydravions porteur d'une torpille ou de 800 kg de bombes sur Panama, puis une attaque bactériologique sur la cote ouest américaine par un commando porteur de bacilles qui devait contaminer la population US pourrait (sous toute réserve) emporter des charges lourdes. Pour un véhicule de ce type, je reste sceptique, mais peut-être cela eut été possible ! https://fr.wikipedia.org/wiki/I-400_(sous-marin)
  23. Concernant notre sujet « armes miracles et foireuses (parfois les mêmes) du troisième Reich », un complément, non militaire, mais se rapportant à ce sujet semble intéressant à être posé, à savoir l’aspect économique appliqué par l’Etat Nazi. Un second point est que les américains ont libérés la France, ce qui vrai, et l’armée américaine et ses militaires en ont payés le prix Pour le Président Roosevelt, il fallait « abattre » le Nazisme en passant directement par le chemin le plus court - en cela partagé par le général Eisenhower - c'est-à-dire par la France (et au départ par le Pas de Calais). I° - Nous savons maintenant avec l’ouverture d’archives officielles américaines et britanniques sur ces périodes, que les courriers échangés entre le Président Américain Roosevelt et Sir Winston Churchill qui fut Premier Lord de l’Amirauté Britannique, indiquaient que ces deux hommes politiques avaient décidés de combattre le régime nazi pour deux raisons essentielles dès cette époque. Se rapporter aux ouvrages de J.F.C Fuller. Ses ouvrages sont nombreux (et de lecture facile) et considérés comme source des plus fiables. Sources = § La conduite de la guerre de 1789 à nos jours (Editions Histoire Payot 1963 et réédité) § Les batailles décisives du monde occidental (Volume I, II, III) Collection Stratégie Berger-Levrault1981 Le fait que Hitler avait imposé en 1933 les règles économiques suivantes (qui permirent de passer de 6 millions à 1 million de chômeurs dans le pays en 2 ans du fait également de grands travaux et du réarmement de l’Allemagne en contradiction du Traité de Versailles = § De refuser les emprunts étrangers avec intérêts, § De fonder la valeur de la monnaie Allemande sur la production et non sur l’or, § D’obtenir des marchandises d’importation par l’échange direct – le troc – et de financer les exportations si nécessaire, § De mettre fin à ce que appelait « la liberté des changes », c’est dire de jouer sur les monnaies et de faire passer des fortunes privées d’un pays à l’autre en fonction de la situation politique, § De fabriquer de l’argent au lieu de s’endetter en faisant des emprunts, quand on disposait de la main d’œuvre et de matières premières, § De créer un «espace vital à l’est » ou « Lebensraum » avec extermination des populations dites « inutile ». .Comme le mécanisme de la finance internationale reposait sur les prêts avec intérêts consentis aux nations en détresse économique, les décisions d’Hitler la vouaient à la ruine. Si on laissait faire, d’autres nations suivraient probablement son exemple, et quand tous les gouvernements ne possédant pas d’or échangeraient directement leurs marchandise, non seulement les emprunts cesseraient mais l’or perdrait son pouvoir et sa raison d’être, et les préteurs d’argent devraient fermer boutiques. II° - Cette menace financière faisait courir un grand risque tant aux Etats-Unis qu’en Grande-Bretagne. La crainte des investissements et le sort des entreprises Anglo-américaines en Allemagne du fait de la politique économique de Hitler fut grande, bien que, par la suite, lesdites entreprises (Dupont de Nemours, ITT, Général Motors, Ford, IBM, Etc.) ne furent jamais bombardées par les alliés durant la guerre en Allemagne, ni inquiétés après le conflit au même titre qu’un groupe financier et sidérurgique appartenant au grand père de l’ex-président Bush. IBM (ou International Business Machines) qui conçus et exporta les premiers ordinateurs à cartes perforées grâces auxquelles le système nazi géra tous le système ferroviaire de déportation des camps entre autres. Nombre d’accords tacites existant entre les grandes entreprises américaines et les nazis. Source = IBM et L’Holocauste - Par Edwin Black - Editions Robert Laffont 2001. III° - De 1933 à 1936, Hitler avait réduit le nombre de chômeurs de 6 à 1 millions. Pour les américains, la parole vint de Samuel Untermeyer, un riche mandataire de New-York lança « la guerre sainte » au National-socialisme et demanda le « boycott des marchandises et des transports Allemand ». En 1934, Cordell Hull, secrétaire d’Etat Américain (équivalent de ministre des affaires étrangères) lors de la signature du traité commercial international, exigea que nulle entrave ne fût appliquée par le contrôle des changes, les monopoles gouvernementaux et le système de troc. Pour Sir Winston Churchill – Premier Ministre Britannique - qui s’est confié au général américain Robert E.Wood = « L’Allemagne devient trop forte, il nous faudrait l’écraser » Il est bon de rappeler que la politique étrangère Britannique à toujours jouée sur les Etats Nations pour assurer ses intérêts et sa suprématie en divisant ses principaux concurrents dans les domaines politique, économique et militaire. Puis vint 1937 avec une nouvelle crise économique avec l’approche de l’élection Présidentielle américaine et le discourt du Président Roosevelt sur la « quarantaine internationale des agresseurs » en parlant de l’Allemagne et du Japon. IV° - Ce ne fut donc pas le génocide juif en tant que tel, connu à cette époque par le Vatican, qui fut le but de l’intervention en guerre de l’Empire Britannique et de l’Amérique ou même le coté moral, mais c’était d’abattre le régime nazi pour le coté économique particulièrement dangereux qu’il représentait pour ces deux puissances, sans compter, bien sur, les germes que représentait le nazisme avec les premiers camps de concentrations, la main mise sur l’Etat de la Tchécoslovaquie, de l’annexion de l’Autriche, et Hitler lui-même, avec son attitude belliqueuse rendant la guerre inévitable, tel la le Danemark, la Norvège, les Balkans, la Pologne, la France et la bataille d’Angleterre, puis l’URSS. Et comme le voulait ledit régime nazi de son fait, c'était la guerre totale en particulier pour « son espace vital à l’est » ou « Lebensraum », tout était prêt pour un nouveau conflit mondial. Le Président Roosevelt qui avait fait promesse électorale de ne pas intervenir dans les futurs conflits, mais qui recherchait tous les prétextes pour intervenir (loi pré-bail, escorte des convois de cargos américains dans l’Atlantique, occupation de l’Islande, etc.) tant avec l’Allemagne qu’avec le Japon, fut exaucé, car ce fut l’Allemagne qui déclara la guerre (avec l’Italie) aux USA, suite au Japon le 6 décembre 1941 attaquant Pearl Harbour (un dimanche) mettant en marche une puissance économique majeure. V° - Le but de la guerre d’anéantissement de l’Allemagne nazi contre l’Union Soviétique fut la guerre économique justifiée par Hitler pour le blé d’Ukraine, les industries du bassin du Donets et le pétrole du Caucase nécessaire à l’Allemagne. A ce titre, Hitler avait décidé et planifié l’anéantissement de plusieurs millions (30 millions pour être exacte !) de citoyens Soviétiques, des populations Slaves, juives et tziganes au fait de personnes inutiles à « entretenir » ! C'était donc la guerre totale en particulier pour «l’espace vital à l’est » ou « Lebensraum ». (Option citée lors du procès de Nuremberg relatant les propos d’Hitler du 16 aout 1941 lors d’une conférence d’Etat-major relative à la guerre à l’Est et des règles à appliquer aux populations). VI° - Le Président Roosevelt était un anticolonialiste convaincu. Il avait décidé de mettre fin à la possession et à l’indépendance de tous les pays des colonies Française et Britannique Pour la France, l’Italie, et bien d’autres pays, il était prévu une monnaie d’occupation sous un régime militaire (l’AMGOT ou gouvernement militaire allié des territoires occupés, en Anglais Allied Military Government of Occupied Territories ) Le chef de la France Libre d’abord, les pays concernés, puis le décès du Président Roosevelt et le début de la guerre froide ont mis fin à cette volonté. VII° - Une guerre mondiale et totale de 55 millions de morts (estimation) dont 21 millions (estimé) de morts en Union Soviétique (13,6 millions de civils et 7,7 millions de militaires), de 6,4 millions de Polonais essentiellement des civils et de 7 millions d’Allemands (3 ,8 millions de civils et 3,3 millions de militaires) ! Avec pour corolaire, une Europe coupée en deux, un nouvel Etat totalitaire et la ruine présente partout hors États-Unis. Reste bien entendu - outre les morts - les sacrifices, les dévouements et les « larmes et le sang » suivant l’expression de Sir Winston Churchill. Les champs de bataille de Normandie, ces cimetières, nous le rappellent avec le débarquement des Alliés. Janmary
  24. Oui et je pense que le théâtre Méditerranéen proposé par l'Amiral Reader - avant l'invasion de l'URSS et après l'échec de l’offensive sur la Grande Bretagne - aurait des chances de réussite plus élevée que l’offensive Nippone. Blocage de Gibraltar et une armée plus importante (et non un Corps d'Armée) en Libye du général Rommel ainsi qu'une logistique Italienne plus efficace. Mais le refus de Franco pour que les forces armées Nazies passent par l'Espagne d'une part, et, d'autre part, la destruction partielle de l'escadre Italienne à Tarente par la Fleet Air Arm d'un parte-avions (HMS Illustrious,avec des vieux biplans porteur d'une torpille à basse immersion) rendit plus difficile les opérations dans ce secteur Libye - Égypte. Cela était terminé pour le pétrole du Moyen-Orient tout comme celui du Caucase par la suite.
  25. En effet Niafron. L'Amiral Sommerville à bien été inspiré de vouloir conservé son escadre de combat et de se replier sagement. Ce que l'on connait moins, c'est cette Eastern fleet exécutant l'opération "Cockpit" en avril 1944 (le porte-avions HMS "Illustrious" de concert avec le porte-avions USS Saratoga") sur les installations pétrolière et portuaire en avril 1944, puis les opérations navales avec les quatre porte-avions de l'escadre opérant - dans le cadre des opérations US sur Okinawa - dans le détroit de Formose en 1945. Leurs ponts blindés ne furent pas percés par un appareil suicide Japonais s'écrasant sur l'un de ces ponts.
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