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Janmary

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  1. Janmary

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    Bonjour Bienvenue sur le forum Bonne chance pour vos projets. Au plaisir de vous lire Janmary
  2. Janmary

    je reviens...

    Bonjour .d.k.p. Bienvenue sur le forum Heureux de votre retour. Bonne chance pour vos projets. Au plaisir de vous lire Janmary
  3. Bonjour Bienvenue sur le forum Bonne chance pour vos projets. Au plaisir de vous lire Janmary
  4. Bonjour Bienvenue sur le forum Bonne chance pour vos projets. Au plaisir de vous lire Janmary
  5. Oui, en effet Pascal. J'ai omis et oublié de parler de cet élément fondamental qui est pourtant l'un des événements essentiels de la défaite Russe. Le contexte n'était pas favorable aux armées du Tzar
  6. 1° - De Janmary En ce qui concerne le coté navale de ce conflit, c’est Emile Bertin, Français, ingénieur naval du Génie Maritime, qui – détaché au Japon - assista les Japonais lors de la création et de la construction des croiseurs dit « protégés » qui furent engagés dans cette bataille, et dont les officiers étaient....britanniques. Inventeur du caisson cellulaire et ceci sur une grande longueur du bâtiment, il insista lors de son départ du Japon, pour que les Japonais – au lieu de combattre sur une ligne de front comme depuis l’époque de Lissa – attaqua avec le retour au combat en ligne de file et n’eurent au Yalu, que de se féliciter d’avoir fait choix de cette proposition d’Émile Bertin. Les Japonais en naviguant en ligne de file (à la queue leu-leu) ont réussis à "Barrer le T", c'est à dire de rendre TOUTE l'artillerie de TOUS les navires utilisable sur la flotte Russe.Le "T" pour comprendre la disposition de l'artillerie des navires vis à vis de l'autre flotte. Donc l'Amiral TOGO fut un bon stratège et un bon manœuvrier. 2° - Kiriyama Sur mer en revanche ça semble moins clair. Les Russes perdent pas mal de navires à Port Arthur suite à une attaque surprise mais leur défaite à Tsushima est plus surprenante vu l'équivalence qualitative et quantitative des deux forces. Ceci est dû, comme ci-dessus, d'une part que les Japonais ont réussis "à Barrer le T" et d'autre part que leurs bâtiments étaient plus léger et manœuvrable du fait de ces caissons blindés (anti-torpilles) en lieu et place de blindages répartis sur un bâtiment, tout nouveau dans une flotte de combat. Ce fut surprenant que les navires plus légers Japonais coulèrent, endommagent, saisirent des navires Russes de plus fort tonnages. 3° - kiriyama En tout cas de ce que j'en sais la victoire des Japonais avait vraiment beaucoup surpris. Le tsar les appelait d'ailleurs "les macaques". C'était, pour les puissances occidentales, des "parvenus" que ces Japonais.Des petits, des insignifiants. Des "macaques" et autres sobriquets étaient d'usage dans les Chancelleries (comme ce fut la cas avant la seconde guerre mondiale ou les pilotes Japonais ne savaient pas piloter et étaient myope ! On vit !). Le problème, c’est que l'Empire du Japon voulait et allait entrer dans le cadre d'une grand puissance du Pacifique. Ce fut la démonstration avec les Russes pour commencer. Janmary
  7. Bonjour Ciders L'ouvrage est réédité et à ma connaissance il n'y en a pas de comparable encore aujourd'hui. L’intérêt est l'aspect historique DES guerres du Pacifique en commençant par l'ouverture du Japon aux occidentaux d'une part, et de la Chine, d'autre part, pour le coté économique de l'Amérique et des pays occidentaux avec une longue étude des relations Américano-Japonaise ("Rester souriant avec un bâton à la main"....qui s'est émoussé pour arriver au conflit 1941-1945) et à la doctrine Monroé de l'Amérique vis à vis des Allemands. Bien écrit - malgré la traduction - et passionnant. Cordialement à toi Ciders. Janmary
  8. Bonjour Kiriyama Est-ce que quelqu'un sait me conseiller un livre sur la guerre russo-japonaise de 1905 ? Quelque chose de complet, qui explique bien les combats aussi bien terrestres que naval. J'aimerais comprendre les facteurs qui ont permis la victoire surprise des Japonais. 1° - A vrai dire, il y a des ouvrages dont le but est l’étude des stratégies politique et militaire Chine-Japon depuis les origines et parlant de ce conflit. Je pense à l’ouvrage – qui vient d’être réédité – qui part de l’ouverture du Japon aux Bombes atomique, c'est-à-dire la Grande Histoire du Pacifique. La Guerre du Pacifique Nouvelles histoire à partir d’archives restées jusqu’ici secrètes. Volume 1 = Des Origines du conflit à Midway et Guadalcanal Volume 2 = Des Prémices de la Victoire à l’Apocalypse d’Hiroshima De John Costello Chez Pygmalion 1982 Note = Réédité en un seul volume récemment 2° - Je rejoins Ciders, à savoir = Et ceux qui étaient bons sont souvent morts au combat avant d'avoir pu sauver la situation. Dans l’ouvrage en question, il est fait mentions d’officiers Russes des plus compétents et tués dès le début des combats. Au sein de l’État-major Russe, le terme pouvant les définir était « des ganaches » dont un général chargé des défenses et qui jeta l’aprobe sur les forces de son pays. Néanmoins, les combats furent dures et Russes et Japonais très combatif. Les Russes furent perdus par une stratégie déficiente et moins efficace que celle des Nippons dont les pertes furent lourdes. Je puis essayer de relire le chapitre et écrire un résumé éventuellement. 3° - En ce qui concerne le coté navale de ce conflit, c’est Emile Bertin, Français, ingénieur naval du Génie Maritime, qui – détaché au Japon - assista les Japonais lors de la création et de la construction des croiseurs dit « protégés » qui furent engagés dans cette bataille, et dont les officiers étaient....britanniques. Inventeur du caisson cellulaire et ceci sur une grande longueur du bâtiment, il insista lors de son départ du Japon, pour que les Japonais – au lieu de combattre sur une ligne de front comme depuis l’époque de Lissa – attaqua avec le retour au combat en ligne de file et n’eurent au Yalu, que de se féliciter d’avoir fait choix de cette proposition d’Émile Bertin. Pour plus d’information = http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-%C3%89mile_Bertin http://ecole.nav.traditions.free.fr/pdf/1_bertin2012.pdf http://ecole.nav.traditions.free.fr/pdf/2_bertin2012.pdf http://ecole.nav.traditions.free.fr/pdf/3_bertin2012.pdf http://ecole.nav.traditions.free.fr/pdf/4_bertin2012.pdf http://ecole.nav.traditions.free.fr/pdf/5_bertin2012.pdf Janmary
  9. Bonjour Kiriyama Est-ce que quelqu'un sait me conseiller un livre sur la guerre russo-japonaise de 1905 ? Quelque chose de complet, qui explique bien les combats aussi bien terrestres que naval. J'aimerais comprendre les facteurs qui ont permis la victoire surprise des Japonais. A vrai dire, il y a des ouvrages dont le but est l’étude des stratégies politique et militaire Chine-Japon depuis les origines et parlant incidemment de ce conflit. A ma connaissance, il y a deux approches de ce conflit. 1° - Le premier est la narration de ce conflit par des reporters et journalistes (ainsi que la chute de Port Arthur) par la revue de l’époque JE SAIS TOUT et reprise dans une série de gros volumes classés historique. L’un de mes frères possède ces ouvrages. Je pourrais vous communiquer ces informations après Noël. 2° - Le second est une étude réalisée par un ingénieur du Génie Maritime (Camille Rougeron) sur les innovations techniques apportées par l’ingénieur du Génie Maritime Emile Bertin, détaché au Japon, sur les bâtiments de guerre Nippons, et qui a permis cette bataille victorieuse par les Japonais. J’ai déjà écrit un résumé de cette étude sur un autre forum. C’est très loin d’être une étude exhaustive, mais peut donner une idée des diverses techniques proposées et utilisées par les belligérants de l’époque. Je fais une recherche, sinon reste à la réécrire. Je ne possède pas d’ouvrages complets – et je n’en connais pas a vrai dire - sur les combats terrestre et navales. Désolé Kiriyama. A défaut = https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_russo-japonaise http://w http://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/guerre_russo-japonaise/141839ww.larousse.fr/encyclopedie/divers/guerre_russo-japonaise/141839 http://www.herodote.net/27_mai_1905-evenement-19050527.php Et assez complet, le blog de Carl = http://carlpepin.com/2010/11/09/la-guerre-russo-japonaise-1904-1905/ Cordialement. Janmary
  10. Je souscris à votre post cracou. 1° - Les Chinois, du reste, n'avaient pas - organiquement parlant - d'artillerie et/ou de trains des équipages et/ou de service sanitaire et d’hôpitaux de campagne, etc. Alors ce type de chars, léger, convenait fort bien contre l'infanterie chinoise dépourvue d'armes antichars efficace par ailleurs. 2° - L’armée Chinoise – nationaliste du Général Tchang-Kai-Chek – avait 300 divisions, ce qui était formidable...sur le papier. Car l’effectif moyen d’une division Chinoise était de l’ordre de 5.000 hommes au lieu e 10.000 hommes. Les troupes ne sont pas nourries et sujettes aux maladies et aux conséquences d’une déplorable nutrition. Sur les 300 divisions, seuls 30 étaient commandées par des officiers dévoués aux ordres du généralissime, les autres l’étaient aux seigneurs de la guerre locaux et des gouverneurs de province, menant une guerre dans la guerre. Nombres de divisions n’avaient jamais été engagés contre les Japonais après 9 années de guerre ! Quand au matériel fourni aux Nationalistes, il était stocké en vue de la guerre contre les Communistes Chinois après le conflit actuel. En fait, le Général Tchang-Kai-Chek faisait faire sa guerre par procuration par les alliés. 3° - La composition organique d’une division (DI ou Division d'Infanterie) Japonaise est la suivante, telles les divisions de la XV° Armée du général S.Iida (33° DI du général S.Sakukaï, 55° DI du général Y.Takeuchi) en Birmanie lors de l’offensive Japonaise. Elles seront renforcées par la suite par la 56° DI venant du Japon et de la 18° DI (du général Mataguchi venant de Chine du Sud, Malaisie et à participé à la prise de Singapour) Il n’y a pas de Corps d’Armée. La division compte 15.000 hommes, à 3 régiments d’infanterie, transportées par camions, mais manœuvrant à pieds, 1 régiment d’artillerie de campagne tractée ou de montagne, 1 régiment de génie, 1 régiment de transport, une compagnie de transmission. La division est commandée par un Lieutenant-général. Les chars, du type 95 ou 97sont organiquement rattaché à l’Armée et données en renforcement aux DI ou aux colonnes. C'est à l'échelon de l'armée qui est organisé l’appui aérien, bombardement et chasse > La Campagne de Birmanie (1942-1945) L'Armée des Indes défait le Japonais Par Pierre Lesouef (Général , Historien, professeur d'Histoire à l'école de Guerre). Chez Economica1993 > Guérilla en Birmanie (1944-1945) Par Charlton Ogburn Presse de la Cité 1959 Note, histoire des "Maraudeurs de Merill" écrit par l'un des officier participant (ou l’équivalent américain des "Chindits du général Wingate") qui opérèrent de la Chine vers le Centre de la Birmanie derrière les divisions Chinoises du général Stilwell.. C’était un petit complément. Janmary
  11. @ Kiriyama Au fait est-ce qu'il y a eu des équipements de vision nocturne chez les Japonais ? Non, pas du tout Kiriyama 1° -Les seuls équipements "de vision nocturne" qui ne portaient pas ce nom, mais vision de nuit par infrarouge, fut le fait des Américains, Allemands et Soviétiques,les premiers furent très avancés dans ce domaine et dont les systèmes furent utilisés en tant que tel ou montés sur un fusil et utilisé dans le Pacifique par les forces US, 2° - les Allemands qui créèrent d'excellents systèmes et montés sur un petit nombre d'avions de reconnaissance, 3° - et Soviétique qui développement cette technologie. Le principe est simple et consiste à emmètre des rayonnements dans le spectre de l'Infra-Rouge et de visualiser ces rayonnements qui "illuminent" en retour sous forme d'une couleur verte (a l'époque) et qui est fonction du matériau utilisé par la "plaque" du tube récepteur permettant de visualiser toutes choses "vus" par les rayonnements Infra-Rouge émis). J'ai quelques photographies mais plus de scanner en état, malheureusement pour les afficher sur le forum.. La Vision nocturne - d'aujourd'hui - est toute différente puis qu'elle consiste à détecter et à amplifier de façon considérable, les photons de lumière présent même la nuit. C'est notre vision, à nous, humain, qui, à l'image d'un appareil photographique, provoque la "fermeture" de notre vision la nuit car détectant un nombre insuffisant de photons. La lecture de la vision s’effectue sur une plaque d'un tube de couleur en général verte (le bleu ou l'orange existe) qui est fonction du matériau utilisé sur cette plaque. J'ai été en charge techniquement et commercialement de ces "amplificateurs de lumière ou vision nocturne" de la firme AIrtron (usine de mon groupe Litton Industries) pour les besoins de l'armée Française. J'ai encore une documentation pour plus de questions si vous le désirez. Attention, il est meurtrier d’émettre de l'Infra-Rouge devant des combattants équipés de vision nocturne (comme aux Malouines, à Port-Stanley, ou les tireurs d'élites Argentins équipés de vision Infra-Rouge furent facilement détectés par les Britanniques équipés de vision nocturne), car c'est littéralement un projecteur émis vis à vis d'un équipement de vision nocturne. J'en fus témoins lors de mes meeting et trainings aux USA. Cordialement. Janmary
  12. @ Kiriyama L'appui lors de la bataille de Shanghai viendra de la flotte navale. L'aviation n'est presque jamais intervenue en appui-feu. C’est vrai pour l’appui direct Kiriyama. Ce ne l’était pas pour l’appui indirect. Les bombardements de Tchoung-King (la nouvelle capitale de la Chine Nationaliste) et de Kumming (dans le Yunnan) , terminus de la route dite de Birmanie, puis du pont aérien de l’Himalaya quand cette route fut fermée par les Japonais en Birmanie, terminus de la petite ligne de Chemin de Fer Français de Haiphong et de Hanoï, furent ravagées et dévastées par les bombardements Japonais, incluant les bombardements en « profondeur » lors des débarquements côtiers. Le nombre de morts et de blessés étaient impressionnant et les Chinois se dissimulèrent essentiellement dans les grottes et cavernes disponibles. Les Tigres Volants (Flying Tigers) du futur général Claire Lee Chennault, composé de volontaires américains, n’étaient pas encore prêt et ne furent engagés que lors de l’avancée Japonaise en Birmanie. Il faut lire un ouvrage, complètement oublié, d’un professeur américain enseignant dans une université Chinoise, Robert Payne, de 1941 à 1945, et qui consigna toutes ses notes et observations dans un ouvrage = Journal de Chine Par Robert Payne Edition Anglaise London 1945 Edition China Awake 1947 Edition Stock 1950 Il décrit les bombardements Japonais, la férocité des combats, le sort des blessés (enterrés vivant pour s’en débarrasser), le manque de soins réel et de toutes choses dans les hôpitaux, la lutte des Communistes Chinois et Nationaliste Chinois dans les tunnels creusés dans les villages du Yenan (Ou l’on retrouva cette technique lors de la guerre de Corée de 1950 à 1953 entre Nord-Coréen et Chinois d'une part et force de l'O.N.U.d'autre part) contre les Japonais, le sort des populations soumis au joug Japonais à Singapour et en Chine, bref la VIE pendant ce conflit qui fut féroce et impitoyable.etc.etc. Beau sujet. Janmary
  13. Bonjour Bienvenue sur le forum Bonne chance pour vos projets. Au plaisir de vous lire Janmary
  14. Janmary

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    Bonjour Bienvenue sur le forum Bonne chance pour vos projets. Au plaisir de vous lire Janmary
  15. Merci Gibbs le Cajun. En effet, les soldats d'Afghanistan font parfois figures d'oubliés alors qu'ils furent dans un monde de difficultés, d'ingratitude et qu'ils ont servis avec efficacité puisque le Sénat Américain à féliciter les Forces Spéciales engagés sur ce terrain difficile; Beaucoup à dire pourtant sur le sujet. J'ai tenté - très modestement - de parler de l’Afghanistan sur un autre forum (pour les jeunes inscris qui posaient beaucoup de questions) et j'ai affiché ces deux documents (sans les commentaires, dont celui très judicieux de notre ami Rob1, le monde est petit) ici même. Je précise que je n'ai pas relu ces textes affichés après qu'ils furent déplacés.(Journal AD.net). > De L'Afghanistan et de la Guerre. > De L'Afghanistan et de la Guérilla. Janmary
  16. @ Akhilleus Question technique mais en cas de décrochage, l'appareil ne donne -t-il pas du nez vers le bas naturellement ? Auquel cas il suffirait en théorie de ne même pas toucher les commandes (enfin ça dépend de l'altitude) ? @Kiriyama Au fait quand l'avion est pratiquement à la verticale est-ce que c'est encore rattrapable ? Effectivement Akhilleus Je ne puis m'exprimer que sur les petits appareils du "dimanche". L'appareil pique et reprend de la vitesse malgré le moteur au ralenti pour mettre l'avion volontairement ou involontairement en décrochage. Surtout de pas tirer sur le manche ce qui empêcherait la prise et la reprise de vitesse. Il est même conseillé de donner du manche c'est à dire de pousser le manche en avant pour maintenir l'appareil en descente pour reprendre de la vitesse au delà de la vitesse de décrochage. A ce moment là, on redonne du compte tours (augmentation de la puissance moteur) et l'on tire sur le manche - doucement, pas de brusquerie - pour reprendre l’assiette de vol. On perd peu d'altitude avec des avions aussi peu chargés au mètre carré de voilure. En général, si l'appareil est pourvu de becs d'attaques mobiles, l'appareil à une tendance à reprendre sa sustentation sans histoire. J'ai vu des avions mis en décrochage, "chuter" à plat avec de tels dispositifs hypersustentateurs. La descente à la verticale est une autre chose. La structure de l'avion ne peut pas supporter pareil "facteur de charge". Je sais que les tests de sortie d'usine pour les jets, une descente avec un grand piqué pour tester la cellule, le ailes, les attaches moteurs est réalisé. Les pilote sont de "fine moustaches" qui testent l'appareil dans le cadre de ses possibilités pour déterminer tout soucis éventuel. En général, avant décrochage, les commandes vibrent et les becs d'attaques sortent avec le son d'un petit buzzer. Pour les jets, pourvus de commandes électrique et gérés par ordinateur, le pilote du Rio-Paris n'avait qu'à laisser libre le joystick (et non tirer dessus) et l'appareil se serait remis "de lui même" en vol. Les calculateurs de vol sont programmés pour cette configuration. Janmary
  17. Certes et ce sont des belles photos quand même: Seal. Quand à la vue, je suis hospitalisé en fin d'année et j'ai pratiquement perdu l’œil droit. Je doute que je poursuive longtemps sur notre forum. Cordialement à vous.
  18. @ Seal Les Brigades du Tigre, ça ne vous rappelle rien ? Je ne comprend pas votre allusion. Comme indiqué dans mon post, la Savate Boxe Française est tombée très bas en niveau du nombre de pratiquants vis à vis d'autres disciplines et nombres de formateurs tendent - avec succès - de relancer cette discipline. Belles photos et bon sujet que vous avez affichés et créés Seal. Félicitations et merci. Que de bon souvenirs !
  19. Pour mémoire, dans le cadre du brevet de pilotage des petits avions "du dimanche", l'épreuve de la mise en décrochage et la récupération de l'assiette de vol est obligatoire. Bien que nombre de ces appareils soient presque auto-stable et pour ceux qui sont équipés de becs d'attaque mobiles, il est relativement aisée de remettre l'appareil en sa configuration. Néanmoins, le signe avant coureur (vibrations) et l'abattée n'est pas facile à gérer les premières fois. Pour un pilote professionnel - et je souscris a vos remarques - cela doit-être instinctif. A Tahiti, mon moniteur -un ancien militaire de l'Armée de l'Air - se délectait de ces décrochages, voir de mise en vrille pour les élèves "avancés" sur certains appareils. La crainte - a basse vitesse - du décrochage était toujours omniprésente (enfin pour moi).
  20. Merci ZX.Très clair. @ Kiriyama Les raisons de cette catastrophe sont obscures. De ce que j'ai compris l'équipage a débranché l'ordinateur de bord (pourquoi ?) avant de cabrer l'avion (re-pourquoi ?) jusqu'à le faire décrocher. Quand tout va mal dans un cockpit (voyants, klaxon, etc.) et que l’équipage s’interroge sur les pourquoi de se qui se passe, la solution consiste à couper les ordinateurs, reprendre l’appareil en main en mode manuel à l’aide des instruments non informatisés prévus dans ce cas, remettre en fonction les ordinateurs qui effectuent une « remise à zéro » lors de l’initialisation de démarrage. Plusieurs pilotes en parlés de cette procédure lors de diverses émissions de télévision concernant les incidents de vol. Par contre, maintenir l'appareil – comme le vol du Rio-Paris ou de ce vol ci – en position cabrée est une faute lourde, qui, exécuté par un débutant, lui vaut sanction sous diverses formes. Pour redonner de la vitesse à l’appareil et le sortir de sa perte de vitesse ou d’un décrochage, il faut au contraire baisser le nez de l’appareil, donc mettre le joystick sur la position basse. Maintenir l'appareil en position cabré, c'est perdre encore un peu plus de la vitesse et augmenter la vitesse vertical de perte d'altitude. C'est le crash assuré. C’est absolument incompréhensible – et inadmissible - de la part de pilotes professionnels et pilotes d’une compagnie commerciale en sus. Janmary
  21. La boxe Française est loin d'être un anachronisme Elle cumule les avantages des poings de la boxe Anglaise, du chausson issu des "apaches" de Paris à l'origine et de la canne terriblement efficace. Cela correspond bien à l'époque des "Brigades du Tigre" ou la boxe Française était à son zénith. Voici ce que j'avais écris sur l'un de mes forums concernat la Savate Boxe Française. La Savate Boxe Française La boxe Française est l’alliance de la boxe Anglaise et du chausson du XIX° siècle. C’est au long du Moyen Age que s’élabore la tradition Française du coup de pied. Les vilains jouent du bâton, les lutteurs Breton donnent des coups de sabot. A la fin du XVIII° siècle, deux méthodes à coup de pieds existent en France. > Dans le Midi, on pratiquait le « chausson » (du nom des chaussures de salles d’arme) qui consistait à porter de coups de pieds exclusivement. > Dans le Nord, on pratiquait la « savate » qui enseignait de frapper avec les pieds, mais aussi avec les mains ouvertes (qui consistait à faire le coup de la musette, consistant à relever le nez de l’adversaire avec la paume de la main). Curieusement, en Aiki-do (Art marial Japonais), les frappes sont souvent exécutées main ouvertes et la paume de la main sert à remonter du menton au visage afin d’amener l’adversaire au sol. Certains affirment tel Salvini, historien incontesté de la boxe Française, et que se sont les marins qui ont importés ces techniques. C’est Baleta qui fut le grand homme de cet art de boxe. La savate était la méthode de combat favorite des voyous Parisiens, tel Michel Casseux, « un apache » de la Courtille. Qui rédigea un ouvrage »Sur la théorie de la Savate ». En 1820, il ouvrit une salle que fréquenta le Duc d’Orléans dont les escapades lui valurent le surnom de Milord l’Arsouille. C’est Charles Lecour qui inventa la boxe Française qui fut l’élève de Michel Casseux. Il ouvrit une salle à Paris en 1830, passage de Panoramas. La boxe intégrale était une alliance des poings et des pieds. Le succès de ce sport allait être considérable. En 1854, vint Vigneron, surnommé « l’homme canon ». Il rencontra Dickson, un champion Anglais qui l’avait défié afin de connaitre la supériorité de l’un des deux arts. Vigneron était un colosse avec une souplesse et une rapidité égal à sa force. (Il expulsait ses adversaires hors du ring par de terribles « chassés »). Ayant assez fait durer le combat avec Dickson pour démonter sa supériorité en contrôlant ce dernier par d’habiles coups, il conclut par un magistral « fouetté » qui atteignit l’Anglais au plexus. Enfin, Charlemont (père) vint dit la Maître. Ce fut le théoricien qui avait une brillante carrière de professeur et de tireur (nom des pratiquants de la boxe Française) de 1865 à 1893. Charlemont tira à St James Hall pour le Jubilée de la Reine Victoria. En effet, de nombreux mauvais esprits mettaient en doute la supériorité des « savatiers ». C’est donc Charlemont fils (Charles, fils de Joseph) qui fut choisi pour rencontrer le champion Anglais Jerry Driscoll qui eu lieu à Paris, rue Pergolèse en 1899. Cette rencontre déchaine les passions et l’on parla de match du siècle. La mission étant de devoir sacré de bouter l’Anglais hors du ring. Il s’acquitta de sa mission en mettant son adversaire hors de combat. La boxe Française connaissait son apogée avec cette victoire en cette fin du XIX° siècle. A Suivre. La Boxe Française de grand-papa – vers le renouveau. Qu’est ce que la Boxe Française ? Etc. Suite et Fin La Belle Époque des années 1900 est la belle époque également pour la boxe Française. Les beaux messieurs du moment et même les dames en corsage de dentelles et pantalons bouffants ce haut lieu de l’Académie de la Boxe Française de la rue des Martyrs. La Belgique, l’Italie, la Suisse et la Russie connaissent ce succès du « combat Français ». Le grand Carpentier sera champion de France. C’est l’époque de la boxe Française de grand-papa. Mais peu à peu, le succès s’estompe dû à ce sport « amateur » au détriment de sport professionnel avec les matchs «à sensation ». La première guerre mondiale lui porte un coup très dur dont la seconde guerre mondiale l’empêche de se relever. Le renouveau avec des hommes d’énergie et de caractère – Pierre Bazury, Pierre Plasait, lucien Alliot – permettent à la Boxe Française de survivre jusqu’en 1965 ou la Fédération est créé. Bernard Plasait, Marc Kunstlé, Jean Dionnot et Claude Simonot furent les pionniers de cette nouvelle Boxe Française. La tradition des championnats de France était reprise et les premiers championnats d’Europe repris à Paris en 1970. Savate et Chausson appartiennent au musée des sports. La Boxe Française avait de beaux jours devant elles. Mais Voilà ! Les « Arts Martiaux d’origine Japonaise (Judo, Karaté, Aïki-do), puis Chinoise (Kung-Fu popularisé par le cinéma avec Bruce Lee), Coréen, Indonésien, Vietnamien, etc. sans compter les nouveaux sports de combat (Israélien, etc.) ont emportés le succès au détriment de la Boxe Française avec la canne associée ! Une source (parmi d’autre). Boxe Française en image Du débutant au gant d’argent. Par Bernard Plasait - Président Fondateur du CNBF – Gant d’Or – Professeur de Boxe Française Editeur = Judo International (vers les années 1970 vraisemblablement). https://fr.wikipedia.org/wiki/Savate_%28sport_de_combat%29 https://www.google.fr/search?q=savate+boxe+fran%C3%A7aise+technique&biw=1024&bih=638&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ei=G26KVbjlIYa3swHpooKICw&ved=0CCAQsAQ https://fr.wikipedia.org/wiki/Savate_%28sport_de_combat%29 Janmary
  22. @ Seal Est-ce qu'une personne peut m'expliquer l'effet de "décrocher" ? Comment un avion de ligne peut plonger sans que le pilote ne puisse redresser l'appareil ? Merci Un avion décroche quand il perd sa portance. Grossièrement, il "tombe" ou "décroche" en devenant un objet, sans sustentation. Dans tous les cours de pilotage, les formations insistent pour que le pilote reprenne la main sur son appareil, même sur les petits avions de tourisme. Néanmoins, même des pilotes très confirmés peuvent échouer pour diverses raisons pour reprendre en main leurs appareils, tel altitude trop basse ne permettant pas de "récupérer" la vitesse voulue, plus de traction moteurs ou poussés des réacteurs ou fautes de pilotage. Je pense à ces deux pilotes expérimentés de l'Air Force, habitué aux tests en vol, donc à faire décrocher leurs Boeing 707 pour le récupérer ensuite (test obligatoire pour des appareils sortis de révision). Un jour, le test portant sur un DC-8, ils se crashèrent après un piqué impressionnant. Nul ne compris, car avec ce type d'appareil, il est nécessaire de pousser à fond sur les commandes, en butée, et non pas de repousser à mi-course les commandes comme sur le Boeing 707 pour que les gouvernes du DC-8 puissent "raccrocher". C'est une particularité de cet appareil et les pilotes en étaient très bien informés ! La manœuvre, sur un petit avion de tourisme consiste à laisser aller la main sur le manche, donc laisser l'appareil descendre en piqué, remettre doucement du moteur et reprendre la main non moins doucement, c'est à dire tirer sur le manche. L'appareil reprend alors son assiette de vol. Globalement, l'altitude perdue est fonction du type d'appareil, de sa masse, des critères de vol, etc.etc Explication assez simpliste bien sur.. Janmary
  23. En effet ARPA. Le dirigeable revient doucement à l'ordre du jour. Il apparait que ce moyen de locomotion est bien moins polluant en CO2 que ses concurrents, en particulier aérien. Le dirigeable, imaginé par l'Ukrainien Igor Pasternak, gonflé à l'hélium, prévue pour 2016, est prévue et capable de transporter 30 fois la charge d'un avion. Mais lequel ? Le paquebot de la société russe Aeros peut convoyer 250 tonnes sur plus de 5000 km. Source à confirmer quand même, car affichées dans le Paris Match du mercredi 28 novembre de cette année, avec la photographie du "Aeros". https://www.google.fr/?gfe_rd=cr&ei=sIlfVOKmG8PO-galyYCwCw#q=dirigeable+aeros&btnK=Recherche+Google Janmary
  24. Sans parler de la pratique de la Boxe Française et de la savate ! Une autre époque, pleine de nostalgie para ailleurs.
  25. En effet Seal, je souscris ! Je ne ratais aucun épisode !
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