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SinopeMT

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Tout ce qui a été posté par SinopeMT

  1. C'est ce que je fais toujours maintenant. Je n'ai aucun problème que Wiki édite la partie "Résumé détaillé" dès la sortie mondiale ou française. Le comble est que ces résumés m'aident souvent à saisir ce qui se passe dans les film tellement le montage et l'écriture se sont dégradés au profit des effets de manche dans les blockbusters. Pour Avatar, sans attentes particulières, je serai tout de même curieux de voir le monde de Cameron et de l'histoire qu'il racontera et surtout comment.
  2. De façon générale faire passer tous les persos de la saga principale pour des ringards est mauvais. Tant Han Solo que Luke se font humilier et maltraiter dans la postlogie. Cette paranoïa des spoils m'a toujours indifféré, après tout une histoire ce n'est pas tant la fin que la façon dont c'est raconté et ce qu'enseignent les péripéties. Un bon film, un bon bouquin sont toujours prenant même si on connait la fin et les grosses lignes, y compris les surprises.
  3. L'apparition de Palpatine est vraiment un cheveux sur la soupe, il n'y a aucun fusil de Tchekov et rien dans les 2 épisodes précédents ne permettait de spéculer sur un Palpatine revenu d'entre les morts. Cet épisode IX sent vraiment le nanard le plus friqué de tout les temps avec cette écriture inepte. Pour les environnements, je garde toujours un faible pour les océans déchaînés même si la modélisation en image de synthèse demeure très délicate. Vraiment aucune excitation pour cet épisode IX (a contrario du II et III). Même le VII avait suscité en moi une once d'impatience. Le VIII les a douchées pour de bon.
  4. J'avais la scène d'ouverture avec le parkour dans le bâtiment en construction bien stylée et l'ensemble m'avait bien plus plu que Meurs un autre jour qui avait poussé le curseur trop loin avec trop de sérieux. Le sang, la brutalité et la photographie déjà crépusculaire m'avaient plutôt convaincu. Et Eva Green mine de rien est une superbe JB Girls. Campbell, déjà aux manette de Goldeneye réitère un opus de relance très divertissant. Des épisodes Craig, les deux problématiques sont Quantum of Solace tourné à l'époque de la grève des scénaristes et Spectre qui sent la fin et l'usure. Dans le premier, pourtant certains endroits visités sont fabuleux notamment dans l'Atacama et le pitch faisait écho à un problème aigu dans la région. Mais c'est vrai qu'en terme d'écriture, c'était un bel échec les scènes n'étaient pas vraiment reliées.
  5. Même à ce niveau, Star Wars s'est considérablement "génériqué" dans cette postlogie avec des CGI dont l'apparence, le rendu et la précision ne diffèrent en rien des blockbusters Marvels ou autres films de studios. La photographie est de même neutre, sans style, la seule proposition esthétique convaincante étant la scène de Crait dans le VIII (mais dont le contenu narratif est encore une fois d'une confondante bêtise). Star Wars en 1977 est un éloge de la débrouillardise technique et les deux épisodes suivants ont approfondit les trucages avec succès. La prélogie était une baffe technique à sa sortie avec une vraie patte en terme de design et l'application des technologies numériques. Certes la Menace Fantôme a mal viellie car probablement trop proche de la frontière technologique de l'époque, le grain numérique de l'épisode II a décontenancé les spectateurs mais les films de la prélogie ont une facture technique très au-dessus de celle de leur époque au contraire de la série actuelle. C'est vrai que j'ai 30 ans et que j'ai découvert Star Wars en famille avant la sortie de l'Episode I et que je n'ai pas été déçu par la prélo qui transportait d'une façon différent dans un autre univers pour une chouette expérience de divertissement. Lucas a de sévère limitation sur les dialogues et la direction d'acteurs mais ce sont des limites de formes qui n'occultent pas la cohérence du récit, la créativité et la richesse du "universe-building". Cette trilogie a la tare insurmontable d'une écriture lamentable de prétention, d'incohérences et de suffisance qui suffit à tourner aigre l'intégralité de l'expérience de divertissement (je confesse avoir vu 2 fois l'épisode VIII et la deuxième vision fut atroce: j'ai dormi pour faire passer la pilule, notamment le personnage de Rose est horrible).
  6. Effectivement, si on regarde les fiches climatologiques de cet incroyable fil sur Infoclimat Climat de Porto Velho (Rondônia), Climat de Manaus, Climat d'Iquitos (jungle péruvienne) (laisser un peu de temps pour charger chaque page), les conditions sont insupportables d'humidité quasiment toute l'année (ce n'est pas si loin des conditions d'un Hamamm) et avec une faune et flore hostile. N'importe quelle plaie doit rapidement pourrir. Quant aux fruits etc... je crois que la plupart sont toxiques ou nécessitent de longues préparations afin d'être comestibles, ce qu'un bataillon ne peut guère se permettre.
  7. SinopeMT

    Le F-35

    C'est sur que le principe de la sous-traitance à tous crins et focalisation sur "coeur de métier" aboutit à une caste de donneurs d'ordres dont la seule compétence est de tempêter au téléphone en menaçant de ne pas payer. Pour les manipulateurs, c'est du pain béni: on se décharge de la responsabilité, on brasse du vent et on cache son incompétence tout en gagnant du fric. Pendant ce temps, les opérationnels n'ont que le mépris des supérieurs et doivent trouver des solutions de brics et de brocs.
  8. Et très loin devant les champions de la nouvelle technologie, comme quoi l'énergie demeure la base en matière d'enjeux. Certes, le pétrole est patrimonial, n'est pas le produit du génie humain (seule son exploitation l'est) et les Saoudiens ne doivent qu'à la chance d'avoir les gisements les plus facilement exploitables. Une fois n'est pas coutume, l'Aramco a pourtant la réputation d'être bien gérée et plutôt arabisée. Les premières publications avaient en tout cas soufflé le marché par l'ampleur des chiffres et la rentabilité de l'exploitation. Il y a déjà beaucoup de ça, ne serait-ce qu'avec la ville du futur dont les caractéristiques nous ont tous values de rouler de rire. Je pencherais plutôt sur l'hypothèse des ventes de bijoux de famille puisqu'à partir de maintenant les dividendes partiront petit à petit vers les investisseurs et la pression va s'accroître pour presser le citron vu le comportement à la Bourse au niveau mondial. Certes, l'extravagance des chiffres permet une valo capitalistique intéressante mais cela signifie également perdre en souveraineté et raison d'Etat sur cet actif essentiel du pouvoir saoudien.
  9. Le nouveau Largo Winch est arrivé. Le lien avec la défense est ténu mais ça se passe en Russie et les services de sécurités sont impliqués. J'ai bien aimé ce premier diptyque de Giacometti avec un retour aux sources bienvenu pour les personnages. Simon par exemple est plus conforme aux premiers albums. Comme souvent le deuxième album se focalise plus sur l'action et de déboucler le scénario infra sans faire avancer l'univers mais c'est une lecture rythmée, divertissante et Francq est toujours excellent dans le dessin. Plus de détails en révélations
  10. Couverture XIII XIII sort le premier album du nouveau cycle par surprise (je pensais que les XIII l'enquête 2ème partie suffisaient pour cette année). Rien de notable, l'intrigue sur la Fondation Mayflower me paraît stupide et inintéressante au possible mais en revanche, je peux reconnaitre que Jigounov parvient à imiter de mieux en mieux feu Vance. C'est à la fois dommage parce que j'aimais beaucoup son dessin dans Alpha et remarquable de réussir un tel changement. Janet Fitzimmons est très belle, combinant bien les deux styles (les femmes de Vance n'étaient pas le point fort de son dessin en toute honnêté).
  11. Connaissais pas et c'était bien dommage.
  12. En l'occurrence l'hôtellerie sollicite la lecture constamment en réception ainsi que l'écoute car il faut souvent combler les trous quand les clients vous parlent en langue étrangère. Cette excuse ne fonctionne pas pour justifier les difficultés que je constate. En revanche, c'est vrai que ne pas lire de romans et autres littérature n'aide pas à exprimer des sentiments et raconter des histoires. A propos de l'Allemagne, le sentiment de la fin de règne difficile d'Angela Merkel se fait de plus en plus fort: à l'heure du bilan, je pense que "mollesse" sera l'un des principaux qualificatif utilisé pour commenter cette période.
  13. Je compte comme premier quartile les 20% d'une classe d'âge qui n'atteignent pas le bac. Donc 2ème quartile en absolu, 1er des employables en niveau académique (les métiers de l'hôtellerie-restaurations souffrent d'un grand déficit d'image avec une perception des opérationnels comme étant stupides et lents: la réalité est que le client est un être souvent odieux et qu'interagir en permanence avec des inconnus qui vous traitent avec condescendance et mépris ou sont nombrilistes demandent des qualités humaines qui ne sont pas à la portée du premier venu). Je peux constater que les moeurs sont plus rudes et les gens font de moins en moins société, vu l'absence d'égards et de prévenance vis-à-vis des autres (les chambres sont souvent laissées dans des états hallucinants avec déjections hors de la salle de la bain, cigarettes éteintes sur les murs etc...). Exact: vont-ils songer à aller grossir le texte, manipuler la résolution de l'écran pour améliorer leur confort? Du tout. S'ils y songent et ne trouvent pas, vont-ils faire l'effort de chercher sur Google : "zoomer sur Chrome"? Non plus. Une formule Excel représente un effort herculéen déjà.
  14. Le mail est automatique: les disponibilités des hôtels sont presque entièrement intégrées avec tous les acteurs de l'industrie. La taille de la police ne change rien à l'affaire.
  15. Bof, l'hôtellerie est un métier qui est très concret et à effet immédiat: une consigne, une demande du client sont souvent des choses extrêmement simples tels que "Je ne veux pas être déranger aujourd'hui", "Je dois mettre la facture au nom de ma société avec le numéro de TVA pour mes notes de frais", "le sèche-cheveux ne marche pas". L'élaboration de grandes théories dans le cadre quotidien n'y a pas sa place: ce sont des demandes concrètes dont la réalisation est quasiment immédiate. Le problème vient de l'incapacité à chercher, identifier et traiter les infos contenues dans des textes. S'il y a quelqu'un pour les guider étape par étape à l'oral, alors ce sera fait cahin-cahin mais sinon malheureusement nada. J'ai beau écrire tous les tutoriels possibles, c'est peu efficace. Un exemple: en cette période, beaucoup de nos clients sont amenés par des grossistes (sociétés qui achètent des places en masse à bas prix et les revendent au sein paquets incluant en général transport et activités pré-payées par le client). Ce sont des réservations non-remboursables pour lesquelles les clients finaux ont déjà payé. Le grossiste en tant qu'intermédiaire pour améliorer sa trésorerie paiera l'hôtel à la fin du mois du séjour du client un montant net (déduit de la commission) qui est une portion du prix de "transfert" âprement discuté par l'hôtel et le grossiste. Ce prix est présenté si - le client final pose la question - comme la valeur de la nuit d'hôtel. Le détail des modes de paiement arrive par mail et le prix net à passer est écrit en petit vers la fin du mail récapitulatif. Eh bien, systématiquement mes collègues essayent de débiter le montant brut sur la carte virtuelle et passent le montant brut sur le logiciel hôtelier alors que ça ne fonctionne pas. Je me retrouve à devoir gérer les tickets de plainte émis auprès du grossiste ou bien avec des cartes qui sont désactivés à force de mauvaise manip et donc une dégradation du fond de roulement. Bof, l'hôtellerie est un métier qui est très concret et à effet immédiat: une consigne, une demande du client sont souvent des choses extrêmement simples tels que "Je ne veux pas être déranger aujourd'hui", "Je dois mettre la facture au nom de ma société avec le numéro de TVA pour mes notes de frais", "le sèche-cheveux ne marche pas". L'élaboration de grandes théories dans le cadre quotidien n'y a pas sa place: ce sont des demandes concrètes dont la réalisation est quasiment immédiate. Le problème vient de l'incapacité à chercher, identifier et traiter les infos contenues dans des textes. S'il y a quelqu'un pour les guider étape par étape à l'oral, alors ce sera fait cahin-cahin mais sinon malheureusement nada. J'ai beau écrire tous les tutoriels possibles, c'est peu efficace. Un exemple: en cette période, beaucoup de nos clients sont amenés par des grossistes (sociétés qui achètent des places en masse à bas prix et les revendent au sein paquets incluant en général transport et activités pré-payées par le client). Ce sont des réservations non-remboursables pour lesquelles les clients finaux ont déjà payé. Le grossiste en tant qu'intermédiaire pour améliorer sa trésorerie paiera l'hôtel à la fin du mois du séjour du client un montant net (déduit de la commission) qui est une portion du prix de "transfert" âprement discuté par l'hôtel et le grossiste. Ce prix est présenté si - le client final pose la question - comme la valeur de la nuit d'hôtel. Le détail des modes de paiement arrive par mail et le prix net à passer est écrit en petit vers la fin du mail récapitulatif. Eh bien, systématiquement mes collègues essayent de débiter le montant brut sur la carte virtuelle et passent le montant brut sur le logiciel hôtelier alors que ça ne fonctionne pas. Je me retrouve à devoir gérer les tickets de plainte émis auprès du grossiste ou bien avec des cartes virtuelles qui sont désactivés à force de mauvaise manip et donc une dégradation du fond de roulement.
  16. Le deuxième quartile en partant du bas (25-50%)
  17. C'est bien vrai et je suis un exemple vivant ! Plaisanterie mis en part, dans mon boulot qui est très opérationnel (les opérations d'un hôtel), où le niveau de formation des individus est représentatif de la moyenne voir du quartile intermédiaire, le principal problème réside dans l'analphabétisme fonctionnel: les consignes sont lues, les mails et les demandes sont techniquement déchiffrées mais rien n'est compris. De même l'utilisation des outils informatiques, pour beaucoup, les process ne consistent qu'à appuyer sur des boutons sur certaines portions de l'écran, appuyer sur des touches et parfois mettre un chiffre dans une case. Mais ils font ça purement par imitation et seraient bien incapables au débotté d'expliquer pourquoi ils font ça. Inutile de dire que quand on change de PMS, c'est retour à la case départ, comme si c'étaient des débutants absolus dans le métier ! C'est le cas d'énormément d'Occidentaux en Asie également, en partie justifié par le hiatus linguistique et des principes bien différents. Par exemple, l'importance des tons passent radicalement au-dessus de la tête des français (déjà que l'accent tonique en Anglais est presque insurmontable pour nous). Vu de ma réception où j'accueille énormément d'Allemand à la fois touriste et entreprises, les générations intermédiaires (plus de 40 ans) ont un français scolaire très correct, et tous parlent évidemment globish. Les plus jeunes sont moins bons en français effectivement. Pour les Sud-Coréens, la plupart ont un anglais "à l'Asiatique" efficient qui est bien meilleur que celui des Japonais. Chez les Chinois, seules les jeunes générations (- de 25 ans) se débrouillent en anglais. Globalement, en tant que langue étrangère, je suis agréablement surpris par le Français Langue étrangère de la plupart des Européens d'Europe Centrale et Orientale et des Américains. Les clients corpos qui travaillent dans les grandes entreprises internationales dont les résas tombent via GDS ont tous un globish très satisfaisant quelque soit leurs horizons. Parmi les touristes, je dirais que les meilleurs plurilingues "dans la masse" sont les Suisses alémaniques dont le français est excellent en compréhension et très bon en expression, suivi des Allemands. De façade, les Scandinaves sont les plus à l'aise en langues étrangères puisque leurs trois langues sont mutuellement compréhensibles et ils ajoutent une base en allemand ou en français. En revanche, les Espagnols et Italiens non "grandes entreprises" ont de grandes difficulté en anglais et autres langues étrangères. A mon époque aussi l'allemand demeurait la première pierre de la stratégie scolaire au sein des familles. Mon collège était un privé d'élite du coin et il n'y avait pas de si gros écarts entre les élèves, ni dans les ressources consacrées aux différents cours. Par rapport au lycée d'un tier inférieur où j'ai eu mon bac, l'homogénéité meilleure ne justifiait pas cet a-priori. En revanche, dans un public lambda, clairement l'allemand permet de trier du mauvais grains de la pourriture. J'ai pris allemand parce que je suis né là-bas et que la famille avait été expat. De plus je suis basque et j'ai une gueule de Scandinave.
  18. Détrompe-toi, les seins sont bien plus couverts à la plage que les fesses. Pire, le monokini est considéré comme grossier au Brésil. En revanche, les fesses sont comme les joues et la région publienne, mis à part la fente, pas de problème non plus (d'où le maillot brésilien, particulièrement échancré).
  19. Mes passages en Suède, que ce soit hiver ou été confirment bien que l'absence de Vitamine D est dangereuse pour la santé mentale. Même au mois d'août (fin), le soleil joue au radada et ne parvient à vous réchauffer d'une petite brise marine. En revanche, on mets souvent les Suédois et les Canadiens sur le même plan en terme d'universalisme du politiquement correct et de vague wokiste, ce que je ne souscris pas: les Canadiens ont un premier degré et une authenticité dans la conviction d'être le représentant du Bien que les Scandinaves n'ont pas. Il y a encore une cohésion et une pression sociale très forte dans la société suédoise qui résonnent bien avec les atours de l'Empire du Bien (ne choquer personne, tout le monde y est bon, y est gentil etc...) En terme de diversité, la Suède a énormément accueilli et cela apparaît parmi les Suédois que j'accueille à l'hôtel, une partie non négligeable est d'origine du Levant et Iran.
  20. La deuxième partie du scénario et le 4ème CD est un peu frustrant. Le thème du jeu est une histoire d'amour qui convient moins bien qu'un ensemble cast tel que apparemment le VII et le IX ont été (je n'accrochais pas du tout au design en SD, et j'avais énormément aimé le Junction System de VIII ayant été le seul de ma potes à comprendre le système). J'aime passer du temps dans les menus de RPG de toute façon.
  21. Je suis de la génération du VIII dont le scénario est également développé et ample. Linoa est un personnage fort également.
  22. SinopeMT

    Hyperloop

    Il suffit de lire l'article et la maitrise relative des durées pour savoir que le pigiste n'a strictement rien compris. Ex: 30 min à 1000 km/h pour rallier Marseille alors qu'il y a 700 km.
  23. @poti C'était une petite provoc . Pour le churrasco fait entre potes, c'est souvent beaucoup plus cuit qu'au Rodizio d'expérience, de même hors Sud et Sudoeste. Les goûts culinaires sont aux antipodes de l'Europe et certaines tendances sont particulières: cette habitude de sucrer les jus de fruits, mettre du leite condensado partout pour les dessert, les pudims etc... C'est lourd et déséquilibré. C'est une opinion que j'assume, en particulier sur les goûts culinaires de Bolsonaro. Désolé pour le "goût de chiotte" qui est tout à fait subjectif et trop abrupte mais représentatif d'une partie importante de la population brésilienne peu éduquée, orgueilleuse, nationaliste et brutale qui vote pour Bolsonaro. Et emporter son Bolino quand on est reçu par le Palais Impérial japonais, c'est vraiment de la fermeture d'esprit poussée et irrespectueux. D'autant plus qu'en temps que Carioca/Paulista, ce n'est pas si exotique. C'est une réalité de l'Amérique du Sud: le Brésil est de loin le roi de la basse-cour mais ne partage pas grand chose avec ses voisins hispanophones. Versant amazonien, ce n'est pas étonnant vu la faible densité de population et le peu d'échange. A contrario, en zone gaucha, c'est nettement plus vivant avec le portugnol. Mais que ce soit en superficie, population ou économie, le Brésil a lui tout seul représente 50% et plus de l'Amérique du Sud, l'essentiel de la production est sur la côte atlantique et ils ont un fond pionnier à défricher. De facto, les Brésiliens peuvent demeurer un peu autarciques dans leur mentalité vis-à-vis de la région.
  24. Décidément le type est vraiment impayable. Le pire demeure le pain au leite condensado qui demeure une attaque ignoble contre la raison. Le comble par rapport à un Chirac qui faisait croire qu'il pouvait refléter certains aspects populaires, c'est que Bolsonaro est certainement totalement authentique quant à ses goûts culinaires. Même le churrasco est consommé de façon absurbe par le popu: cuit façon semelle, ce qui est criminel avec une picanha. Seuls les gauchos consomme les churrascos saignants. Car la réalité d'une partie importante de la population brésilienne est bien d'avoir des goûts de chiottes simples et de ne manifester aucune curiosité, pas la moindre ouverture.
  25. J'ai bien aimé pour le coup, les retournements de situations donnent un rythme haletant et Buck fait des bêtises. Ca me fait penser à MI6 Fallout comme scénario. Natalya est toujours sexy.
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