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Non ca a toujours été le taf du DOT&E de réaliser les tests et il avait des machines affectées à çà. Souvent pas assez et souvent en retard par rapport aux services. C'était effectivement son travail de prononcer l'IOT&E. Les services ne réalisent aucun test. Quand les machines arrivent elles sont acceptées en l'état par les services. Cette dernière partie t'explique le fond du problème. Les armées ont pris l'habitude de prendre livraison de leur matériel sans savoir si il fonctionne ou pas.

Oui mais se passer de test c'est refuser de prendre en compte la complexité de cette machine. Ils en sont toujours à dire "je veux çà ! Vous pouvez me le faire pour dans deux ans ? Ils ne se posent jamais la question de la faisabilité et n'ont donc aucune démarche dans ce sens. C'est terrible pour la crédibilité de ce programme.

Le siège est le même en simulateur. Difficile de savoir si c'est que le f-35 le problème.

Moins de tests les fournisseurs vont s'en donner a coeur joie, bien aidé par les têtes etoilés jamais en panne d'idée. Ce sont les jeunes qui vont souffrir.

Le DOT&E se voit couper 50% de ses moyens pourtant pas très importants : https://www.defenseone.com/threats/2025/05/the-d-brief-may-29-2025/405662/ Hegseth coupe le bureau d'essai du Pentagone. Mercredi, le secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, a signé une note rallumant les coupes opérées au bureau du Directeur du test opérationnel et de l'évaluation. La main-d'œuvre du de , qui passera de 94 à 30 civils et à 15 membres du service, le bureau supprimant « les fonctions redondantes, non essentielles et non statutaires au sein d'ODOT-E qui ne soutiennent pas l'agilité opérationnelle ou l'utilisation efficace des ressources », indique la note. Dans une vidéo d'accompagnement, Hegseth a déclaré que les mesures permettraient d'économiser 300 millions de dollars par an, mais n'ont donné aucun détail. Patrick Tucker de Defense One a plus, ici. Une deuxième note ordonne un examen des contrats de conseil du DOD qui « réduit de manière responsable le nombre de consultants et de sous-traitants ». Hegseth a déclaré que DepSecDef Steve Feinberg doit mener cet effort, avec l'aide des services et du bureau DOGE d'Elon Musk. Et un troisième mémo du mercredi oriente « les réformes de l'utilisation des assistants exécutifs du département », les XO à de nombreux dirigeants civils du Pentagone. « Pensez à des ratios appropriés », a déclaré Hegseth dans la vidéo. (Donner ce manuel de l'année 2000 et l'annuaire téléphonique des DOD EA.)

Et çà pourrait planter un nouveau clou dans le cercueil du SCAF : "Si elle a accumulé de l’expérience avec le développement du Tejas, il reste à voir si l’industrie aéronautique indienne maîtrisera tous les savoir-faire nécessaires pour mener à bien un tel programme. Et notamment s’agissant de la motorisation. Il est possible qu’une coopération avec la France soit nouée à cette fin. En tout cas, cette éventualité figure dans la « feuille de route vers le centenaire des relations franco-indiennes », publiée en 2023 par l’Élysée. Selon ce document, il est question d’un « développement conjoint d’un système de combat aérien »."

Au final je ne sais pas quelle tactique les ukrainiens utilisent mais elle est efficace vu le très faible niveau de perte.

Je pense qu'avec les caesar des bâches de camouflages sont livrés. En stationnement ils ne doivent pas être simple à trouver si ils n'ont pas été suivi et si ils emprunte les voies routières qui laissent peu d'empreintes. https://www.defense.gouv.fr/dga/actualites/dga-commande-3-000-filets-camouflage-multispectral-saab

J'ai pas vu çà. Par contre il espère en remettre une couche la semaine prochaine auprès de Modi qui fait un voyage aux US.

Lagarde sent qu'un moment Euro pourrait arriver suite à la défaillance des US. Mais il manque encore certains ingrédients pour y parvenir. Pour l'instant c'est encore l'or qui en profite. https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Christine-Lagarde-plaide-pour-un-moment-euro-mondial-face-a-un-dollar-en-declin-50065685/ Christine Lagarde plaide pour un "moment euro mondial" face à un dollar en déclin Publié le 26/05/2025 à 16:49, mis à jour le 26/05/2025 à 16:51 Par Antoine Alves d'Oliveira Partager Alors que le dollar montre des signes de recul sur la scène internationale, Christine Lagarde appelle l’Europe à saisir l’opportunité de renforcer le rôle mondial de l’euro. À condition de mener les réformes nécessaires, la monnaie unique pourrait devenir une véritable alternative au billet vert. L'euro pourrait devenir une alternative crédible au dollar, à condition que les pays de la zone euro renforcent ensemble les piliers de leur union économique et sécuritaire. Tel est le message de Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne (BCE), lors d'une conférence prononcée lundi à Berlin. Constatant un recul de l’appétit mondial pour les actifs libellés en dollars — sur fond de politique économique erratique aux États-Unis — Mme Lagarde estime que l’Europe se trouve à un tournant : "Les changements en cours ouvrent la voie à un moment euro mondial". Des réformes à mener Mais à condition que les pays membres de la zone conduisent les réformes nécessaires : "L'euro ne gagnera pas en influence par défaut, il devra la mériter." Christine Lagarde plaide d’abord pour la création d’un marché des capitaux plus profond et plus liquide. La finalisation du marché unique est un sujet de longue date en Europe. C’était notamment l’objet du rapport d’Enrico Letta, ancien président du conseil italien, présenté en avril 2024. En mars, la Commission Européenne a d’ailleurs lancé l’union de l’épargne et de l’investissement. "Les investisseurs, et notamment les investisseurs officiels, recherchent aussi une assurance géopolitique", a-t-elle expliqué depuis la Hertie School. En clair : ils privilégient les régions dotées de solides alliances et d’une puissance militaire à même de les honorer. De ce point de vue, l’Europe qui a pendant des décennies sous-investi dans ses armées a un train de retard. Pour Mme Lagarde, les gouvernements européens doivent aussi encourager l’usage de l’euro dans les échanges commerciaux internationaux. Cela passerait par la signature de nouveaux accords commerciaux, la modernisation des paiements transfrontaliers, ou encore des mécanismes de liquidité étendus via la BCE. L’or avant l’euro Pour l’heure, comme le rappelle Christine Lagarde, le dollar reste dominant avec 58% des réserves internationales — un niveau historiquement bas mais encore largement supérieur aux 20% de l’euro. Et si les investisseurs commencent à se détourner du dollar, c’est davantage l’or qui en profite que l’euro. L’once d’or a progressé de 27% depuis le début de l’année. C’est donc un long chemin qui se dessine pour la monnaie unique, compte tenu de la vitesse des réformes sur le Vieux continent. Mais si l’euro prend une place plus importante dans les échanges mondiaux, la demande d’euro serait structurellement plus forte, et donc la devise aurait tendance à s’apprécier. Un mouvement favorable à la maîtrise de l’inflation, qui allégerait d’autant la tâche de la Banque centrale européenne.

Non effectivement pour autant que j'en sache.

Bon. Fallait bien que çà arrive. A force de prendre 95% de la planète pour des portefeuille sur pattes forcément à un moment les portefeuilles comprennent qu'ils peuvent faire des choses entre eux.

J'en suis bien conscient mais par exemple les jag n'ont pas beaucoup volé ni les mig29, pas vu grand chose sur les Tejas non plus.

Le Pakistan compte booster ses dépenses militaires de plus de 40% : https://www.arabnews.com/node/2602141/amp Le Pakistan va augmenter ses dépenses de défense dans le budget de l'exercice 2000 pour contrer les « designs hégémonistes» de l'Inde Ismail Dilawar 25 mai 2025 Ahsan Iqbal dit que l'armée « aurait certainement besoin de plus de ressources financières » pour défendre le pays contre l'Inde Les analystes déclarent une hausse de plus de 40 % du budget actuel de la défense, d'un montant de 7,53 milliards de dollars prévu pour l'exercice budgétaire26. Le ministre de la planification et du développement, Ahsan Iqbal, a déclaré dimanche que les dépenses de défense du Pakistan seraient reportées dans le budget du prochain exercice budgétaire, car l'armée « aurait certainement besoin » de plus de ressources financières pour défendre le pays contre l'Inde. Le Pakistan et l'Inde se sont attaqués avec des missiles, des drones et de l'artillerie au début de ce mois dans la pire confrontation militaire depuis des décennies entre les deux voisins dotés d'armes nucléaires. Le conflit a éclaté après une attaque menée en avril contre des touristes au Cachemire administré par l'Inde que New Delhi a blâmé le Pakistan. Islamabad a nié l'accusation. Les tensions ont éclaté dans un affrontement militaire le 7 mai après que l'Inde a frappé pour la première fois ce qu'elle a dit être « l'infrastructure du terrorisme » au Pakistan et dans l'Azad Cachemire avec des missiles, et le Pakistan a riposté, affirmant qu'il avait abattu six avions de chasse indiens. Les combats entre les deux nations se sont poursuivis pendant quatre jours jusqu'à ce qu'un cessez-le-feu soit conclu le 10 mai. « De toute évidence, le Pakistan fera tout ce qui est en son pouvoir pour rendre sa défense imprenable », a déclaré Ahsan à Arab News lors d’une interview téléphonique lorsqu’on lui a demandé s’il était prévu d’augmenter les dépenses de défense du budget pour l’exercice 2025-26, qui sera dévoilée le 10 juin. « Notre armée aurait certainement besoin de plus de ressources financières pour défendre le pays contre les desseins hégémonistes de Modi. » Ahsan a refusé de révéler les nouveaux chiffres pour l'allocation de la défense. Pékin est le principal fournisseur d’équipements militaires du Pakistan. Cela comprend plus de la moitié de ses 400 combattants, principalement le JF-17 mais aussi le J-10C. Selon l'Institut international de recherches pour la paix de Stockholm (SIPRI), la Chine a vendu au Pakistan des armes de 8,2 milliards de dollars depuis 2015. La Chine était le quatrième exportateur mondial d'armes à partir de 2020-2024, et le Pakistan était le premier client de la Chine. Islamabad a consommé 63% – près des deux tiers – des ventes d’armes chinoises au cours de cette période. En réponse à une question sur les médias, la Chine a accéléré la livraison de ses chasseurs furtifs de cinquième génération J-35A avancés au Pakistan, le premier lot étant attendu d'ici le début de 2026, le ministre de la planification, Ahsan, a déclaré : « Les avions de chasse pakistanais ont déjà bien fonctionné contre l’Inde et le pays fera tout ce qui est en son pouvoir pour renforcer ses défenses. Le ministère des Finances a refusé de commenter une augmentation prévue des dépenses de défense, mais un fonctionnaire au courant des négociations budgétaires au sein du gouvernement et avec le Fonds monétaire international (FMI) a déclaré : « Nous discutons de toutes les questions, y compris les recettes du Pakistan et la défense du FMI, mais rien n’a encore été finalisé. Un responsable du FMI a déclaré que le prêteur ne commentait aucun budget de la défense de ce pays. Une mission du FMI dirigée par Nathan Porter s’est rendue au Pakistan la semaine dernière pour discuter du nouveau plan budgétaire du pays, mais est revenue sans parvenir à un accord. « Nous poursuivrons les discussions en vue de nous mettre d’accord sur le budget de l’exercice 2004 des autorités au cours des prochains jours », a déclaré le prêteur basé à Washington dans un communiqué le 24 mai. L'aile des médias de l'armée pakistanaise a refusé de commenter immédiatement la question. « SITUATION WAR-LIKE » Deux jours après le cessez-le-feu, le Premier ministre indien Narendra Modi a averti que le Pakistan New Delhi ciblerait à nouveau les « cachettes terroristes » à travers la frontière s’il y avait de nouvelles attaques contre l’Inde et ne serait pas dissuadé par ce qu’il a appelé le « chantage nucléaire » d’Islamabad. « Dans les jours à venir, nous mesurerons chaque étape du Pakistan... quelle sorte d’attitude du Pakistan adoptera », a déclaré Modi, ajoutant que l’Inde n’avait que des grèves « nourries ». Ashfaq Tola, le président du cabinet de conseil en fiscalité et d'entreprise Tola Associates, basé à Karachi et conseiller des gouvernements pakistanais passés dans le processus de création de budget, a déclaré qu'une hausse de plus de 40% du budget actuel de la défense de 2,12 billions de rands (7,53 milliards de dollars) pourrait être attendue dans le nouveau plan financier. « Compte tenu de la situation actuelle, le budget de la défense du pays devrait s’élever à 3 milliards 3 milliards de reais (10,6 milliards de dollars) », a déclaré M. Tola. « Dans un conflit aussi grave, vous avez besoin de beaucoup de munitions, de surveillance, de mouvements frontaliers, de gestion des contingents frontaliers. Pour financer toutes ces exigences, ils devront consacrer plus d'argent cette fois-ci.» Dans un rapport publié samedi, Tola Associates a proposé de porter le budget de la défense à 2,8 billions de rand, soit une augmentation de 32 % par rapport au dernier exercice budgétaire, en raison d'une « situation de guerre » avec l'Inde. « Les dépenses de défense budgétisées s’élevaient à 2 122 milliards de roupies pour l’exercice budgétaire25, tandis que les dépenses effectives jusqu’en mars 2025 s’élevaient à 1 milliard 424 milliards de roupies. Cependant, en raison de la situation de guerre en cours avec le pays voisin, les dépenses de défense pourraient augmenter de jusqu'à 50 % au quatrième trimestre de 25 ans », indique le rapport. « Compte tenu des tensions régionales actuelles et de la nécessité d’assurer la préparation de la défense du Pakistan, nous estimons que les dépenses totales de défense atteindront 2 400 milliards de reconventionn d’ici juin 2025. » Après le service de la dette, la défense est la deuxième plus grande fuite des recettes du Pakistan, que le FMI, depuis qu'il a approuvé un programme de sauvetage de 7 milliards de dollars pour Islamabad en septembre dernier, veut que le gouvernement augmente en taxant les revenus de l'agriculture, de l'immobilier et du commerce de détail dans le nouveau budget. Le budget de la défense historiquement important du Pakistan est attribué à une interaction complexe de facteurs, principalement motivés par les préoccupations de sécurité régionale et les défis internes. Il s'agit notamment de la menace perçue de la part de l'Inde ainsi que de l'instabilité intérieure et des menaces à la sécurité telles que le terrorisme. En outre, le service de la dette et l'allocation de ressources aux intérêts militaires ont également joué un rôle dans l'élaboration du budget. Au cours des cinq dernières années, le Pakistan a augmenté ses dépenses de défense de plus de 60 % pour atteindre 2 200 milliards de roupies (7,53 milliards de dollars), soit 2 % du PIB, selon les données compilées par la société de recherche Arif Habib Ltd. « Une augmentation [dans les dépenses de défense) est certainement une possibilité. Le récent conflit avec l’Inde a encouragé l’armée pakistanaise, car elle a retrouvé la bonne volonté et la popularité de l’opinion publique qui lui donneront la confiance de prendre des mesures potentiellement politiquement risquées », a déclaré Michael Kugelman, un spécialiste de l’Asie du Sud basé à Washington, à Arab News. « Cela inclut l’augmentation d’un budget de défense déjà dissigable à un moment où l’économie, malgré une stabilisation récente au niveau macroéconomique, reste fragile. »

"450 million Europeans should not be begging 340 million Americans to protect Europe from 140 million Russians who cannot take on 38 million Ukrainians," Kubilius said. https://kyivindependent.com/russia-is-not-winning-this-war-eus-kubilius-says/