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Avec 16 ou 32 missiles pour moi le problème est entier. Les navires n'emportent pas de munitions donnant aux marines modernes des capacités de durer longtemps sur des zones éloignées de leur zone d'avitaillement. La taille du magasins de munitions est juste fondamentale et les missiles sont d'autant plus un handicap qu'ils prennent de la place à bord, qu'ils sont long à fabriquer et qu'ils sont chers. Je pense que rapidement la guerre en mer va changer avec surtout les railguns. Et çà va se faire très vite grâce à la construction modulaire.
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Pour les mêmes raisons j'espère que l'ISL testera rapidement en Ukraine son railgun terrestre en solution anti-aérienne. L'interception de missiles fabriqués en grande quantité ne peut pas reposer sur des missiles fabriqués en petite quantité avec des budgets de plusieurs ordre de grandeurs différents des munitions à intercepter. En attendant il faut éviter de rentrer en guerre avec des nations comme les Houthis. https://www.futura-sciences.com/tech/actualites/guerre-futur-arme-futur-ce-canon-electromagnetique-tirera-fleches-14-400-km-h-abattre-missiles-hypersoniques-117280/ Arme du futur : ce canon électromagnétique tirera des « flèches » à 14 400 km/h pour abattre des missiles hypersoniques ! Sur le salon Euronaval à Villepinte, Futura a découvert une version miniaturisée du futur démonstrateur du railgun européen. Développé par l’institut franco-allemand de Saint-Louis, ce canon électromagnétique pourra être embarqué à l’avant d’un navire de la marine nationale pour servir de défense anti-missile. au sommaire Des projectiles hypersoniques Un tir à 4 000 m/s À lire aussi À Euronaval, sur le vaste stand du ministère des Armées et des Anciens combattants, de nombreuses technologies innovantes sont présentées. Parmi elles, Futura a pu voir le projet de railgun européen baptisé Thema, pour TecHnology for Electro-Magnetic Artillery. Sous une épaisse vitre, un modèle miniature de tourelle dotée d'un canon placé sur la proue d'un navire tire des projectiles de 5 x 5 mm à une vitesse de 120 m/s sur une photo de drone suicide. Effet garanti pour ce modèle réduit qui ressemble à un jouet. Ce n'en est cependant pas un puisqu'il fonctionne exactement comme le prototype de railgun à l'échelle réelle en cours de développement. Si ce salon de l'armement n'est pas un endroit où l'on parle facilement aux journalistes, notre interlocuteur a bien voulu donner quelques détails de cette future arme défensive prévue pour équiper un navire ou un véhicule terrestre. Des projectiles hypersoniques Le démonstrateur du canon électromagnétique est actuellement développé par l'Institut franco-allemand de recherches de Saint-Louis (ISL). Il devrait être capable de réaliser ses premiers tirs de projectiles d'ici 2025. Pour le moment, le laboratoire dispose de plusieurs démonstrateurs, notamment le canon NGL-60 (New Generation Launcher), un lanceur de calibre 60 mm permettant de tirer des projectiles de l'ordre du kilogramme, ainsi que le canon Rafira (RApid FIre RAilgun). Celui-ci peut tirer des salves rapides de projectiles de calibre 25 mm. Les deux calibres de projectiles sont capables d'atteindre des vitesses initiales, c'est-à-dire à la sortie de la bouche du canon, allant respectivement entre 2 000 m/s et 3 000 m/s. Le démonstrateur prévu pour 2028 devra les tirer à 2 000 m/s, c'est-à-dire 7 200 km/h. De quoi étendre la portée d'une frappe à plus de 200 km et assurer une défense aérienne rapide grâce à la réduction du temps de vol. Selon l'ISL, la létalité augmente également en raison de la forte vitesse à l'impact. À terme, l'objectif est de parvenir à concevoir des défenses antimissiles, basées sur des tirs en rafales de projectiles avec une vitesse de 4 000 m/s, soit 14 400 km ! De l'hypersonique pour atteindre des missiles, eux aussi, hypersoniques. Vidéo simulant l’utilisation d’un railgun de défense anti-missile à partir d’un navire. Le tir en salve permet d’intercepter plusieurs missiles. © ISL Un tir à 4 000 m/s Dans tous les cas, les munitions ne sont pas explosives. Un atout pour garantir la sécurité d'un navire en pleine mer. Il s'agit de flèches composées de matériaux conducteurs. Pour fonctionner, le canon électromagnétique nécessite d'alimenter avec un courant de forte intensité deux rails conducteurs pour créer le champ magnétique. La force de Laplace fait le reste du travail en appliquant une énorme accélération au projectile. Une puissance qui lui permet de sortir de la bouche du canon à une vitesse hypersonique ! L'ISL a expliqué à Futura que l'un des problèmes principaux à résoudre reste l'usure des matériaux en raison des importantes contraintes mécaniques. Le laboratoire planche sur ce sujet. Des améliorations ont déjà eu lieu, notamment pour ce qui est du projectile qui dispose désormais d'un coffrage qui s'en libère en sortie de canon. L'autre nouveauté est la création par l'ISL d'un générateur portant l'appellation de XRAM. Contrairement aux générateurs habituels qui fonctionnent en série, cette source inductive de puissance pulsée, est alimentée en parallèle. Le générateur est de forme circulaire et ce procédé dispose de deux atouts : une compacité améliorée et surtout la possibilité de disposer immédiatement du reste de l'énergie non consommée par un tir. En conséquence, ce système améliore la rapidité des tirs en salve. La France et ses partenaires européens ne sont pas les seuls à plancher sur les railguns. Les États-Unis étaient très en avance sur ce type d'arme, mais ont finalement mis en pause son développement pour se consacrer aux missiles hypersoniques et aux canons laser ou encore à impulsion électromagnétique. Comme Futura l'avait déjà évoqué, le Japon développe également une arme de ce type et l'a d'ailleurs testé depuis un navire. Enfin, la Chine affirme avoir également mis au point des railguns.
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As-tu remarqué combien de temps MBDA met pour fabriquer un seul aster ou un seul MDCN ? Ces missiles sont donc à réserver pour des missions de tirs sur des cibles de haut de spectre. Il n'y a pas de stocks et encore moins de capacités suffisantes de fabrication pour que ces munitions soient utiles très longtemps. Ca veut donc dire qu'une guerre de haute intensité en mer ne peut pas reposer sur ces munitions. L'architecture d'une marine de guerre HI doit en tenir compte. Je pense donc qu'on va rapidement voir des railgun, des armes haute intensité et des drones remplacer les missiles pour la défense aérienne voir l'affrontement entre navires. Je pense aussi que les missiles qui prennent trop de place dans un navire vont être remplacé par des munitions plus petites mais plus nombreuses et que l'approche d'une cible se ferra grâce à la discrétion. (petite taille). Bref qui dit petit missiles dit moins de carburant.
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Ce que je veux dire c'est que modifier l'armement des navires de la marines revient à modifier les missions de notre marine. Actuellement elle fait le job, sous tension certe, mais elle fait le job contrairement aux marines avec beaucoup de silos sur les navires. Dit autrement si tu mets ton budget pour avoir beaucoup de silos sur un navire dont tu n'est pas capable d'assurer la MCO, ta marine ne sort jamais et n'effraie personne et ne sert donc à rien (cf la marine allemande ou la danoise). Si tu vois où je veux en venir.
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On parle plus de taupe à ce niveau c'est du sabotage. Je pense en plus que le pentagone est un tel mammouth avec des responsabilités tellement diluées que personne ne prendra de risques pour fragiliser Trump.
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Indépendance industrielle, BITD, souveraîneté, achat domestique
herciv a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Economie et défense
C'est fait. Les Forges de Bretagne sont reprises par EUROPLASMA. La production de munitions de moyen calibre va pouvoir être boostée. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/reprise-de-la-fonderie-de-bretagne-decision-finale-du-tribunal-attendue-aujourd-hui-1022966.html -
EH bien il faudrait savoir à quelle type de guerre la MN va être confrontée dans les 20 ans qui viennent. Je rappel que la principale contrainte de notre marine est d'opérer loin de ses bases principales. QUi dit loin veut dire aussi longtemps et probablement de manière autarcique, c'est-à-dire sans pouvoir compter sur des ravitaillement réguliers en munition et sur une MCO efficiente. Faut-il des navires lourds qui emportent de nombreuses munitions (croiseurs 10000T avec une centaine de missiles) ou de nombreuses unités légère pouvant avitailler facilement avec quelques munitions pour blanchir une zone un temps plus court mais facilement relevable ? Perso je ne sais pas répondre. Et je crois que cette réponse ne peut pas facilement être tranchée tant que ces navires n'auront pas de systèmes de défense low cost comme des armes à énergie dirigées ou des drones anti-drone récupérables et à réaction rapide ou quoi d'autre qui permettrait à notre marine de durer sur un théâtre éloigné. Soit dit en passant nos adversaires ont les mêmes contraintes.
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Qui pour le remplacer et surtout quelle institution. Vu l'état du secrétariat à la défense et du Pentagone c'est pas là qu'il faut chercher : https://www.politico.com/news/magazine/2025/04/20/pentagon-chaos-ullyot-hegseth-00205594 L’ancien porte-l’ître du Pentagone Détails « Mois de l’Enfer » à l’intérieur de l’Agence
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[OTAN/NATO]
herciv a répondu à un(e) sujet de zx dans Politique etrangère / Relations internationales
Plus de détails ici : https://www.tagesschau.de/investigativ/ndr-wdr/ruestungsgueter-deutschland-bundeswehr-ukraine-100.html État d'avancement : 10.04.2025 17:00 L'expérience de l'Ukraine en matière d'armes allemandes a été mitigée. Selon un document interne de la Bundeswehr, qui est présenté par le NDR, WDR et le S-, posent des problèmes majeurs avec les équipements modernes à grande échelle. Qu'est-ce que cela signifie pour l'achat futur de matériel de défense? Par Florian Flade, WDR, Tamara Anthony et Reiko Pinkert, NDR Les responsables militaires de la Bundeswehr sont formés à l'école du sergent de l'armée en Saxe de Delitzsch. Les sergents et les sergéries apprennent ici les bases de la défense du pays et de l'alliance. Le 30. Un invité inhabituel s'est intensifié autour de 200 soldats: l'attaché militaire adjoint de l'ambassade d'Allemagne à Kiev a donné une conférence sur les expériences de l'Ukraine dans la lutte contre les forces armées russes. Le diplomate de la Bundeswehr a rapporté ce qu'il avait appris en Ukraine sur le style de combat des Russes, a parlé d'un « sacrifice inimaginable » de soldats russes, de la guerre des drones omniprésente, des défis de la logistique et de l'approvisionnement médical sur le front ukrainien. Étonnamment claire et dans des mots plutôt non diplomates, l'attaché militaire a également décrit les expériences que les Ukrainiens avaient eues ces dernières années avec du matériel de guerre allemand. Vulnérabilité technique, trop peu de munitions C'est ce qui ressort clairement d'un protocole classifié de la conférence, qui est à la disposition du Gouvernement de la République fédérale de Corée, de la République démocratique du Congo et de la République démocratique du Congo, d'un document qui n'est pas destiné au public. Le document traite de huit systèmes d'armes que l'Allemagne a mis à la disposition de l'Ukraine. Selon le bureau-citerne de 1988, le Panzerhaubitze avait une « vulnérabilité technique si élevée que le service de la guerre est fortement remis en question ». Le char de bataille Léopard 1A5 a été considéré comme « fiable », mais n'a souvent été utilisé que comme une artillerie temporaire en raison d'un blindage trop faible, l'exigence de réparation est élevée dans le nouveau Leopard 2A6, et souvent aucune réparation sur le terrain, c'est-à-dire une réparation à l'avant, est possible. La BND et la Bundeswehr avertissent clairement que rarement le risque d'une attaque russe sur le territoire de l'OTAN. plus Le système de défense aérienne IRIS-T est très efficace, cependant, le prix des munitions était trop élevé et il n'était « pas disponible dans le nombre nécessaire ». Le système de défense aérienne PATRIOT est aussi essentiellement un « système d'arme à équivalent », mais « impropre à un usage militaire, parce que le véhicule porteur est trop vieux et plus aucun approvisionnement en pièces de rechange par les fabricants ». Selon le protocole, la conclusion de l'attaché militaire donne un peu plus de mal à la guerre : « Illimité de la guerre n'est guère un important engin allemand ». La conclusion est également la suivante: "Le dispositif compliqué reste inutilisé (...) L'utilisation d'équipements ultramodernes et complexes à grande échelle est faible si les troupes ne peuvent pas effectuer de réparation sur place." Conséquences pour les marchés publics? Qu'est-ce qu'un jugement aussi clair signifie sur l'utilisation de ces systèmes d'armes pour l'Allemagne? Quelles sont les conséquences pour les plans de la Bundeswehr? Et les connaissances acquises pendant la guerre en Ukraine sur les différents systèmes se répercutent-elles sur les futurs projets d'achat et les nouveaux projets d'armement suffisamment et suffisamment rapidement? Un porte-parole du Ministère de la défense ne voulait pas s'exprimer sur le document interne et sur l'expérience de l'Ukraine qui y a été décrite. Il n'a expliqué que les autorités ukrainiennes à tous les systèmes d'armes livrés, à la réparation et à la fourniture de pièces détachées et à la fourniture de munitions en échange constant. Au plus tard depuis l'attaque de la Russie contre l'Ukraine, le réarmement a été un terme socialement viable. plus "Vous devez entrer dans un dialogue étroit avec l'Ukraine dans le cadre d'un partenariat étroit et examiner ces lacunes et également tenir compte de ce synonyme de marchés publics futurs", déclare la porte-parole du groupe des Verts, Sara Nanni. Il demande que les enseignements tirés de la guerre en Ukraine soient rapidement intégrés dans la formation, la planification et les achats. Manque d'expérience des systèmes occidentaux? De la Bundeswehr, on dit que l'Ukraine se trouve dans une situation particulière: par le fait que de nombreux États occidentaux ont fourni différents engins ces dernières années, les forces armées ukrainiennes sont considérablement forcées. Il n'y a pas d'expérience dans le traitement des systèmes occidentaux, les soldats sont souvent entraînés en très peu de temps. En outre, les armes seraient parfois utilisées différemment de ce qui serait prévu pour la Bundeswehr en cas de guerre. D'autre part, il n'est pas signalé: le champ de bataille en Ukraine se déroule maintenant avec un test pratique pour les systèmes d'armes, qui étaient auparavant utilisés par la Bundeswehr principalement dans des conditions d'entraînement - et qui ont souvent été développés il y a longtemps pour des scénarios de guerre dans lesquels des développements récents tels que l'utilisation massive de drones, par exemple, n'ont pas été pris en compte. Toutefois, le chef adjoint du bureau présidentiel ukrainien, Pawlo Palissa, a également souligné les possibilités de la situation actuelle dans un entretien avec le studio de l'ARD à Kiev. «Je vois l'avantage que les pays partenaires, dont l'Allemagne, ont la possibilité de tester les capacités de combat réelles de leurs armes, de leurs équipements, de les adapter au domaine de combat moderne et d'être préparés aux défis de sécurité de l'avenir», déclare M. Palissa. "Cela signifie la production de systèmes d'armes et d'équipements qui seront pertinents à la fois sur le champ de bataille actuel et dans un avenir proche." Conditions strictes En Ukraine, les conditions sont plus strictes, car la livraison d'armes, l'entretien et la réparation sont organisés par les États d'appui de différentes manières. Par exemple, la réparation de grands dispositifs endommagés ou défectueux continue de poser un défi immense. Par exemple, les réservoirs ne peuvent pas être réparés près du front, principalement en raison de la menace de drones. Les installations de réparation, appelées "Repair Hub", qui exploitent désormais des sociétés de défense occidentales telles que Rheinmetall en Ukraine, sont situées à l'ouest du pays, loin du front, ou dans les États voisins comme la Pologne. Dans les cercles de la Bundeswehr, on suppose que l'Allemagne pourrait probablement aussi être confrontée à des problèmes similaires en cas de guerre à l'Ukraine: bien que les conditions préalables fondamentales dans le domaine de la réparation soient bien meilleures et au moins la planification théorique entraîne des temps de réparation plus courts, des pièces de rechange suffisantes et une logistique sans heurt. Cependant, la réalité pourrait rapidement sembler différente, avertissant les initiés de la Bundeswehr, par exemple si une attaque contre les États baltes a déclenché l'affaire de l'alliance et les forces de la Bundeswehr devaient y aller à la guerre. À la demande du R défense, de la République démocratique du Congo et de la République populaire démocratique de Corée, tant Rheinmetall que d'autres sociétés de défense ne voulaient pas exprimer leurs difficultés dans l'utilisation des systèmes d'armes. Problèmes de bureaucratie Bien que le personnel ukrainien soit également formé à la réparation, il faut souvent des mois pour que des systèmes d'armes tels que des obus obus puissent être réparés. Les représentants de la Bundeswehr ne sont pas en retard, les représentants de la Bundeswehr font en outre qu'il serait plus difficile de rendre la bureaucratie allemande avec des licences d'exportation compliquées et parfois longues pour les armes. À Panzerhaubitze, 2000 est connue depuis un certain temps que le système est considéré comme vulnérable: les problèmes logiciels ou le canon du canon viennent rapidement surchauffer et doivent être remplacés, selon l'Ukraine. Le obusier est généralement considéré comme un système d'armes puissant et précis. Du protocole interne à la présentation de l'attaché militaire allemand adjoint de Kiev, on peut voir qu'en Ukraine, les anciens systèmes d'armes allemands sont probablement valorisés - l'une de toutes les choses que la Bundeswehr a retirée. Le char anti-flash "Papared", qui est utilisé devant tout le monde contre les drones et les missiles de croisière russes, est considéré comme "le système d'arme le plus populaire, le plus efficace et le plus fiable", dit le journal. L'attaché a fait rapport sur le véhicule blindé de transport de troupes "Marder": "Très populaire véhicule de combat sans restriction". "Mass et haute technologie" nécessaire Cependant, on ne peut pas fondamentalement tirer la conséquence de renoncer à des systèmes d'armes modernes, même de haute technologie à l'avenir, dit l'ancien général Hans-Lothar Domrose : Bien que les systèmes d'armes plus anciens soient souvent plus fiables en termes réels d'utilisation, il faut néanmoins aligner les scénarios de guerre futurs plus modernes, explique Domre. "Nous avons besoin à la fois de masse et de haute technologie." Selon l'ancien général, la guerre en Ukraine montre à quel point l'utilisation et la défense des drones et la rectification des drones et la reconnaissance dans le champ électromagnétique, c'est-à-dire la radio et les signaux, sont importantes à l'avenir. Une conclusion importante de l'Ukraine, le responsable de la politique de défense verte, Nanni, met en garde contre le taux élevé de défaillance des matériaux, plus de systèmes d'armes devraient simplement être disponibles: "Mais il est également clair que nous ne pouvons plus penser avec des quantités aussi faibles, mais plutôt supposer que les véhicules ont une longue période de temps, même après un dommage, où ils doivent être maintenus." Ce vendredi, le groupe de contact pour la défense de l'Ukraine (UDCG) se réunira à nouveau à Bruxelles, le groupe de contact des pays qui soutiennent les pays qui fournissent à l'Ukraine des armes, des équipements et une aide à la formation. On discutera à nouveau des systèmes d'armes qui peuvent être fournis. Jusqu'à présent, le groupe de contact ukrainien s'était réuni à la base militaire américaine de Ramstein en Rhénanie-Palatinat, en particulier à l'invitation des États-Unis. Plus récemment, le Royaume-Uni a dirigé la réunion de février. -
[OTAN/NATO]
herciv a répondu à un(e) sujet de zx dans Politique etrangère / Relations internationales
On parle souvent de la qualité du matériel militaire allemand. Voici un rapport allemand qui tourne actuellement sur certains de ces matériel "combat tested mais non "combat proven". Je tiens à mettre le focus sur le problème de la MCO qui en font des matériels inutilisables et .. toute l'OTAN qui achète à tour de bras ces matériels .... ou le matos US qui a des tares équivalentes (cf le F-35). L'expérience de l'utilisation de l'équipement militaire allemand en Ukraine s'est avérée décevante et « dégrisante », selon un rapport de l'attaché militaire adjoint de l'Allemagne. Ce rapport, qui n'est pas destiné au public mais qui a été présenté à l'école de la Bundeswehr à Delitzsch, a été obtenu par les médias allemands NDR, WDR et Süddeutsche Zeitung. Il examine en détail l'utilisation des équipements militaires fournis à l'Ukraine par l'Allemagne. Voici les caractéristiques de certaines des armes que Berlin a fournies à Kiev : - Obusier automoteur PzH 2000 - « très grande vulnérabilité technique », ce qui « remet en question sa pertinence ». - Char Leopard 2A6 - très coûteux à réparer, et impossible à réparer sur le front, en grande partie à cause des drones d'attaque. - Le char Leopard 1A5 s'est avéré « fiable », mais en raison de la faiblesse de son blindage, il n'est souvent utilisé que comme support d'artillerie. - Le système de défense aérienne IRIS-T est efficace, mais ses munitions sont très chères. - Le système de défense antimissile américain Patriot, que la Bundeswehr utilise elle-même et qu'elle a fourni à l'Ukraine, est « excellent » mais « inutilisable » parce que son véhicule porteur est trop vieux et que le fabricant ne fournit plus de pièces de rechange. Le rapport indique que des modèles plus anciens, qui ne sont plus utilisés par la Bundeswehr ou qui sont considérés comme obsolètes, se sont révélés bien meilleurs. Il s'agit notamment de l'affût antiaérien Gepard et du véhicule de combat d'infanterie Marder. Autre conclusion du rapport de l'attaché militaire allemand en Ukraine : les conditions d'utilisation du matériel allemand en Ukraine sont plus difficiles que les conditions d'une éventuelle guerre sur le territoire allemand. Tout d'abord, les Ukrainiens ont moins d'expérience dans l'utilisation des armes occidentales. Deuxièmement, la logistique des équipements endommagés en Ukraine est compliquée, car les centres de réparation (y compris ceux de l'entreprise allemande Rheinmetall) sont situés à une grande distance du front - Deutche Welle Traduit avec DeepL.com (version gratuite) Traduit avec DeepL.com (version gratuite) -
Ouiap. C'était prévisible vu le début de mandat. Il n'arrive pas à mettre en place son planning à l'international alors il va tenter de le mettre en place chez lui. C'est les atlantistes qui vont se faire du mouron, eux qui espère attendre 4 ans que le pouvoir change de main.
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Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante
herciv a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
C'est intéressant de vois la marine néerlandaise s'intéresser à des systèmes autonome de positionnement. -
Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante
herciv a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Oh merde. Paix à son âme et soutien à sa famille. -
Guerres commerciales 2025 (version Trump)
herciv a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
Le problème c'est d'avoir mis le doigt dans cet engrenage. Je ne suis pas sûr que les chinois prévoient de revenir en arrière maintenant. Cette perturbation va avoir des effets le temps que les US et l'Europe réagissent en créant une filière adéquat. Le temps que ces filières soient capable de produire des quantités intéressante il y en a sûrement pour 4 à 5 ans à vue de nez. Ca a déjà commencé en France j'ai posté un article hier là-dessus mais la prise de conscience a été faite en 2023. On a un peu d'avance. Il faudrait voir dans le détail pour en juger correctement. https://www.connaissancedesenergies.org/afp/terres-rares-face-au-monopole-chinois-une-usine-de-recyclage-franco-japonaise-en-construction-en-france-250317 N'empèche que c'est sur nos savoir et nos brevets faire que la Chine a construit toute sa filière quant ils ont racheté. J'ai posé la question à Mistral AI : Par exemple, la société Rhône-Poulenc, qui a fusionné pour devenir Rhodia et fait maintenant partie du groupe Solvay, a développé des procédés innovants pour le traitement des terres rares. Ces technologies ont été parfois transférées ou adaptées par des entreprises chinoises, contribuant ainsi au développement de la filière industrielle chinoise dans ce domaine. https://www.connaissancedesenergies.org/afp/terres-rares-face-au-monopole-chinois-une-usine-de-recyclage-franco-japonaise-en-construction-en-france-250317 -
Guerres commerciales 2025 (version Trump)
herciv a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
Les chinois annoncent qu'il n'y a pas de négo avec les US : https://www.zonebourse.com/cours/devise/EURO-US-DOLLAR-EUR-USD-4591/actualite/Le-dollar-reflue-avec-les-derniers-developpements-de-la-guerre-commerciale-49710485/ Washington (awp/afp) - Le dollar perdait du terrain jeudi, miné par les messages contradictoires en provenance de Washington et de Pékin, douchant les espoirs sur de possibles négociations commerciales entre les deux pays. Vers 17H15 GMT, le billet vert perdait 0,50% face à la monnaie unique, à 1.1373 pour un euro, et 0,51% face à la monnaie britannique, à 1,3322 dollar pour une livre. Le Dollar index, qui compare la devise américaine à un panier d'autres grandes monnaies, reculait quant à lui de 0,47%, à 99,38 points. "En ce moment, le dollar change de cap comme s'il était attaché à une roulette de casino, chaque mouvement dépendant de la prochaine annonce sur la guerre commerciale", avance Stephen Innes, de SPI AM. Le billet vert avait initialement profité de la perspective d'un apaisement entre Washington et Pékin, après des propos du président américain mercredi ayant suggéré l'éventualité d'un accord "équitable" entre les deux puissances engagées dans un bras de fer commercial. Mais "les remarques faites par (Washington) (...) ont été confrontées à une réalité brutale cette nuit lorsque plusieurs porte-parole chinois ont déclaré qu'il s'agissait de +fake news+", détaille auprès de l'AFP Christopher Vecchio, de Tastylive. La Chine a en effet fermement réfuté jeudi l'existence de négociations avec l'administration américaine. Interrogé sur l'existence de ces négociations, le ministère chinois du Commerce a rétorqué jeudi que "toute affirmation concernant une avancée dans les discussions sino-américaines relève de la pure spéculation et ne repose sur aucun fait concret". "Cela montre que le problème sous-jacent du dollar est que, tant que les dirigeants américains fonctionnent de manière imprévisible, le billet vert sera sous pression car les gens remettront en question son rôle dans le système commercial mondial", avance M. Vecchio. "Dans le même temps, le Fonds monétaire international (FMI) a fortement abaissé ses prévisions de croissance mondiale, pointant du doigt une politique commerciale américaine frénétique et néfaste", ce qui pèse en toile de fond sur le dollar, souligne Ipek Ozkardeskaya, analyste chez Swissquote Bank. Le FMI, qui a publié ses projections mardi, prévoit que l'économie des Etats-Unis progresse de 1,8% cette année, ce qui représente une baisse de 0,9 point par rapport à sa précédente estimation de janvier. "Le gouvernement est le facteur déclencheur de ces problèmes, c'est un pompier pyromane", estime M. Vecchio. -
Guerres commerciales 2025 (version Trump)
herciv a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
La guerre de la frite à débuté entre le Canada et les US : https://www.slate.fr/monde/donald-trump-declencher-guerre-frites-taxes-douanieres-menace-filiere-fast-food-huile-colza-canada-importations?utm_source=firefox-newtab-fr-fr Donald Trump a-t-il déclenché une guerre de la frite? Ses taxes douanières menacent toute la filière Alice Belkacem – 22 avril 2025 à 14h00 Aux États-Unis, les frites ne sont pas qu'un accompagnement, elles sont un pilier de la restauration rapide, avec des marges record. Mais une taxe annoncée sur l'huile de colza importée du Canada pourrait mettre à mal tout un secteur, du fast-food aux producteurs. Les frites seront accompagnées d'une addition salée. | ABHISHEK HAJARE via Unsplash Temps de lecture: 2 minutes - Repéré sur Business Insider L'histoire des États-Unis est intimement liée à celle des frites. Accompagnement indispensable du cheeseburger, celles que les Américains appellent «french fries» avaient d'ailleurs un temps été rebaptisées ironiquement «freedom fries», en réaction à l'opposition de la France à la guerre en Irak en 2003. Aujourd'hui encore ces allumettes de pommes de terre frites pourraient se retrouver au cœur du débat, cette fois en raison des taxes douanières souhaitées par Donald Trump. Alors que les États-Unis produisent chaque année environ 19 milliards de kilos de pommes de terre, une hausse des taxes sur les importations d'huile de colza pourrait venir mettre en péril la rentabilité de ce plat emblématique, rapporte le média en ligne Business Insider. Au point que certaines enseignes envisagent de changer de type de graisse, en revenant à des méthodes anciennes et plus coûteuses comme la cuisson au suif de bœuf ou à la graisse de canard. D'autres investissent dans des systèmes de filtration pour prolonger la durée de vie de l'huile, mais cela ne suffira pas à compenser l'augmentation des prix. Allons-nous assister à une crise de la frite aux États-Unis? Abonnez-vous gratuitement à la newsletter de Slate !Les articles sont sélectionnés pour vous, en fonction de vos centres d’intérêt, tous les jours dans votre boîte mail. Les frites ne sont pas seulement populaires, elles sont aussi parmi les produits les plus rentables de la restauration rapide. Avec des marges bénéficiaires supérieures à celles de nombreux autres plats, l'augmentation des coûts de production pourrait entraîner une réduction des bénéfices. De là à les supprimer purement et simplement des menus? Peut-être pas, même si elles risquent d'être boudées par les consommateurs, surtout aux États-Unis où l'inflation et le pouvoir d'achat sont un enjeu majeur aujourd'hui. Le secteur de la restauration américain ne sera pas la seule victime de ces tarifs imposés par la Maison-Blanche. Le Canada, principal fournisseur d'huile de colza des États-Unis, représente 96% des importations. Les nouvelles taxes douanières affectent donc directement les producteurs canadiens, menaçant une industrie qui génère des milliards de dollars. Quand la frite devient politique En mars 2025, Donald Trump a mis en place des droits de douane de 25% sur tous les produits venus du Canada, faisant fi du précédent accord commercial États-Unis-Mexique-Canada (USMCA), avant de suspendre momentanément sa mesure, face à la panique des marchés. Si elle était effectivement appliquée à la fin des 90 jours de pause, cette mesure aurait des retombées immédiates sur le commerce transfrontalier. En plus de leur huile, les États-Unis importent chaque année 1,7 milliard de dollars de frites surgelées du Canada. Depuis 2020, le pays achète plus de frites surgelées qu'il n'en produit, un déséquilibre qui coïncide avec une flambée des prix. Chez McDonald's, le prix moyen des frites a bondi de 134%, passant de 1,79 dollars en 2019 à 4,19 dollars en 2024. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
herciv a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Petit rappel sur la réunion de la semaine dernière : Voilà ce que je disais est clair : les US se retire et passe la main à l'Europe : https://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/leurope-et-les-etats-unis-de-nouveau-reunis-a-la-meme-table-pour-des-discussions-sur-lukraine-2160720 Publié le 17 avr. 2025 à 20:46Mis à jour le 19 avr. 2025 à 09:01 La Maison Blanche a exprimé son impatience, vendredi après qu'Européens et Américains se sont retrouvés à la même table sur l'Ukraine, jeudi à Paris. La première réunion de haut niveau depuis le retour au pouvoir de Donald Trump, entre dirigeants américains, français, britanniques, allemands et ukrainiens, avait pourtant donné lieu à la diffusion habituelle d'éléments de langage positifs sur une large « convergence de vues » et un processus de rapprochement des positions. Mais le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a jugé vendredi matin qu'il était temps de « déterminer dans les prochains jours » si la paix est « faisable » en Ukraine. Et « si ce n'est pas possible, nous devons passer à autre chose » car « les Etats-Unis ont d'autres priorités ». Il a souligné que Donald Trump, dont les analystes savent qu'il se lasse vite d'un dossier, renoncera à tenter de négocier un accord de paix entre la Russie et l'Ukraine à moins qu'il n'y ait de signes évidents qu'un accord puisse être conclu. « Marco a raison de le dire, nous voulons que ça s'arrête », a confirmé Donald Trump un peu plus tard dans la journée. Il n'y a « pas un nombre précis de jours, mais nous voulons régler ça rapidement », a déclaré le président américain depuis la Maison Blanche. Pour le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio « beaucoup d'autres dossiers importants méritent tout autant, voire plus, d'attention ». Une allusion probable à l'Iran et aux droits de douane. Il a affirmé avoir présenté un accord-cadre de paix qui aurait reçu un « accueil encourageant » jeudi à Paris, mais dont rien n'a fuité. Le secrétaire d'Etat a ajouté s'être entretenu dans la foulée avec le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, et l'avoir informé de « certains éléments » de cet accord-cadre. La question des garanties de sécurité américaines dans le cadre d'un accord de paix a été abordée, a fait savoir Marco Rubio, sans donner plus de détails. Des idées « très utiles et constructives » « Je pense que le Royaume-Uni, la France et l'Allemagne peuvent nous aider, faire avancer les choses et nous rapprocher d'une résolution. J'ai trouvé leurs idées très utiles et constructives », a souligné le chef de la diplomatie américaine. Peu après, le président américain, qui avait accueilli chaleureusement, jeudi, la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, a annoncé qu'il effectuera une visite officielle en Italie dans un très proche avenir à l'invitation de la chef du gouvernement italien. Ce retour de l'Europe dans les négociations n'était pas gagné, tant Washington a pris l'habitude de faire cavalier seul sur la guerre en Ukraine, malmenant ses alliés européens sur ce dossier, et fustigeant sans relâche le régime ukrainien. Au point que le président américain semble prêt à toutes les concessions au profit du Kremlin, tandis que les Européens, représentés par le format dit E3 Paris-Berlin-Londres, estiment crucial de continuer à soutenir l'Ukraine. L'Elysée a salué jeudi soir un « excellent échange » qui a « permis de converger » en faveur d'une « paix solide » et jugé important qu'un « processus positif auquel les Européens sont associés ait été enclenché », à l'issue d'une série d'entretiens conclus par une réunion entre Emmanuel Macron, son ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, Marco Rubio, l'émissaire spécial du président américain, Steve Witkoff, l'émissaire sur l'Ukraine, Keith Kellogg, le chef de l'administration présidentielle ukrainienne, Andriy Iermak, les conseillers à la sécurité britannique et allemand, ainsi que le ministre Le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait accusé peu auparavant Steve Witkoff, interlocuteur de Moscou dans les négociations en vue d'un cessez-le-feu, d'avoir « adopté la stratégie russe » et de « diffuser des récits russes ». Steve Witkoff n'a toutefois pas défendu de position choquante, jeudi, a fait valoir l'Elysée, selon qui cette réunion a permis aux émissaires ukrainiens de mieux comprendre les points de vue de l'administration Trump, et réciproquement de faire valoir leurs lignes rouges. Des discussions « très ouvertes, très franches » Les entretiens n'ont pas abordé le sujet d'un allègement éventuel des sanctions occidentales contre la Russie. Pour ce qui est d'une reprise des livraisons d'armes américaines à Kiev, dont aucun nouveau paquet n'a été annoncé depuis le retour à la Maison-Blanche de Donald Trump, ce dernier semble avoir effectué un nouveau revirement. Ce jeudi, il a déclaré qu'il « travaillait » sur la possibilité de vendre des batteries antimissiles Patriot à Kiev, après avoir opposé une fin de non-recevoir, mardi. L'Europe premier soutien militaire de l'Ukraine Jean-Noël Barrot a souligné : « La nouveauté, c'est que les Etats-Unis, l'Ukraine et les Européens se sont retrouvés ensemble autour d'une même table ». Ces discussions « très ouvertes, très franches, auront permis de faire avancer la réflexion » des Européens, des Ukrainiens et des Américains, a-t-il ajouté. Une nouvelle réunion des émissaires de ces cinq pays est prévue la semaine prochaine à Londres, alors que les Européens craignent depuis des semaines d'être mis à l'écart des négociations entre les Etats-Unis et la Russie. -
oui je confirme qu'il y a des efforts entrepris actuellement pour remettre en place une fillière compétente comme celle qui a été vendu au chinois. https://www.dividendes.media/articles/terres-rares-la-france-prepare-sa-revanche-industrielle-avec-sa-premiere-usine-de-raffinage
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La guerre commerciale impacte de façon stratégique le F-35 et pourrait affecter sa fabrication notamment les éléments à base de gallium. Soit tout ce qui ressemble à un radar, à de la guerre élec et possiblement à des composants optiques. La situation pourrait forcer le Pentagone à se concentrer plus sur la maintenance des F-35 existant que sur la fabrication de nouveau F-35. C'est du bulgarian mais très largement documenté. "In December 2024, China expanded its export controls on gallium, germanium, and antimony, citing national security concerns, a move widely seen as retaliation for U.S. restrictions on Chinese semiconductor firms. These curbs, which continued into 2025, have halted shipments to the U.S., causing prices to spike. A report by the Center for Strategic and International Studies noted that gallium prices rose by over 50 percent in 2024, with further increases expected as supplies dwindle. For the U.S. defense industry, this is more than an economic issue—it’s a strategic chokehold." https://bulgarianmilitary.com/2025/04/24/chinas-gallium-ban-threatens-f-35s-radar-and-us-air-power/ Je ne sais pas à quel moint cette situation impacte également la France et la production des radars.
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Blocage des flux commerciaux Maritimes mondiaux
herciv a répondu à un(e) sujet de herciv dans Politique etrangère / Relations internationales
Vraiment fouillé l'article, bravo.- 1 919 réponses
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Guerres commerciales 2025 (version Trump)
herciv a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
Trump navigue à vue. Quelque soit le sujet qu'on regarde, il n'y a pas de stratégie. https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Donald-Trump-ne-retient-pas-ses-coups-contre-Jerome-Powell-49700642/ -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
herciv a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Je ne comprend pas comment les US qui se ridiculise en permanence avec Trump pourraient être un interlocuteur pour Poutine. A aujourd'hui VZ ne va plus chercher ses soutiens aux US mais en Europe. -
Relations et Rivalité Chine / Etats-Unis
herciv a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Trump baisse son froc face à la Chine. Il s'est rendu compte que les USA ne sont pas en mesure de soutenir l'affrontement longtemps. https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Guerre-commerciale-les-Etats-Unis-capitulent-les-premiers-49702547/ -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
herciv a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Pendant ce temps là l'Ukraine construit son autonomie satellitaire : https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/japon-suede-france-l-ukraine-construit-son-autonomie-spatiale-loin-de-l-orbite-americaine-1023471.html