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mehari

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Tout ce qui a été posté par mehari

  1. En théorie, la CLU limitait la portée à 2.5km. Le missile lui-même permet plus.
  2. Le diamètre de charge est limitant mais si on fait du top attack, ça pourrait suffire. On a des charges de ce diamètre qui percent 600mm RHA derrière ERA (RGW-90). En pratique, combien de chars peuvent stopper ça sur leur arc supérieur? Par ailleurs, ça permettra très certainement de traiter tout ce qui n'est pas un char. Bref, parfait pour les sections d'appui des pelotons, voire même pour les sections de combat (surtout dans les pays/forces qui ne disposent pas de sections d'appui), même si ce n'est pas une garantie en anti-char. On pourrait redévelopper le Spike-SR et faire un missile AT à courte-portée mais c'est jeter de l'argent par les fenêtres de mon point de vue: l'Enforcer-X existe, il est top attack, il est léger, il dispose d'une version multi-purpose et utilise le FCU du CGM4 qui serait aussi un achat utile. À moins de vouloir absolument tuer un char dans 100% des cas, quelque soit l'angle d'approche, développer quelque chose de zéro ne me semble pas vraiment utile. Mais je crois que tu voulais quelque chose à plus longue portée (2000-3000m) utilisable par le poste de tir MMP (donc quelque chose qu'on trouverait plutôt dans les sections anti-char des pelotons d'appuis). D'un point de vue purement électrique et mécanique, rien n'empêche un tel système. Dans l'idée, c'est un MMP qui se détache immédiatement de sa fibre-optique. Rien de bien compliqué. La question est de savoir si un tel système aurait du sens doctrinalement. Tout l'intérêt du poste de tir MMP est d'offrir une plateforme stable au pilotage pour le man-in-the-loop, qui n'est pas un problème surtout si on fait du tir BLOS. Une fois qu'on a un missile purement LOS LOAL F&F est-ce qu'on a vraiment envie de s'encombrer d'un poste de tir aussi peu mobile alors que le but du F&F est justement de pouvoir dégager le plus vite possible (i.e. sans devoir trimbaler 11kg de poste de tir)? Si on crée ce missile, autant créer une version à l'épaule du poste de tir, après quoi, on a un système séparé construit sur les mêmes briques technologiques mais agencées différemment et on a au passage recréé le Javelin. En a-t'on vraiment besoin si on a des Enforcer-X/Spike-SR/truc-français en dessous? Ça m'étonnerait. On notera cependant que les Brits ont créé un trépied pour le Javelin. Il s'agit juste d'un truc supportant le tube pour faciliter l'observation dans le cas d'un usage statique mais qui n'est autrement pas attaché au reste du système. Images ci-dessous. https://www.paradata.org.uk/media/9384 Tu es sûr de ça? En 2021, le Javelin-G était annoncé à 216k USD. Or, en 2018, le sénat français donnait un coût unitaire de 198k EUR pour le MMP. La méthode de calcul n'est pas parfait mais si on multiplie l'inflation sur la période 2018-2021, on obtient 204k EUR. En USD, au taux d'échange moyen de l'année 2021, ça ferait 242k EUR. Le MMP est plus cher, mais pas de tant que ça...
  3. Les deux ont des chevrons donc NCO. En multicam, ça ressemble à un 1SM. En NFP-Blue, on a bien deux groupes de chevrons mais je ne vois pas de séparation individuelle donc difficile à dire. Le groupe supérieur semble un peu plus gros donc peut-être aussi un 1SM mais ça pourrait aussi être un 1SG.
  4. Les uniformes me perturbent tellement. Note la présence d'une membre (j'arrive pas à dire si c'est une caporale, 1ère sergeante ou 1ère sergente-major j'arrive pas à dire) de la Composante Médicale (en NFP-Blue) et la présence d'une membre de la Composante Médicale (en Multicam). Au passage, je hais le fait qu'il soit impossible de lire beaucoup des insignes belges dès que la résolution n'est pas parfaite.
  5. Pour une AA pure, c'est un peu léger (les NL tournent à 5 Mk41 avec un spot pour un de plus, les danois tournent à 4 Mk41 et disposent de plusieurs slots où ils peuvent mettre des ESSM ou des Harpoons (4 Stanflex pouvant accueillir 12 ESSM ou 8 Harpoons chacun) et le reste (en Europe) fonctionner avec 48 silos (F100, Horizon, T45). D'un autre côté, ils ont aussi 42 RAM prêts à tirer derrière donc ils n'ont pas les mêmes besoins de défense de point que les autres. Très bientôt, je pense que les mieux placés seront les britanniques qui vont ajouter 24 CAMM à leurs T45 pour se séparer des Aster 15. Ceci dit, 32 VLS pour une frégate multi-rôle devant faire une part d'AA me semble tout à fait respectable, surtout si on considère les capacités ASW qui sont derrières. C'est la configuration des Constellation. Cependant, je suis personnellement satisfait de la configuration proposée (de ce point de vue là du moins). On déclare fournir 2 frégate ASW et le choix du nombre VLS est tout à fait sensé pour cet objectif. Le choix du radar l'est moins (à moins qu'on parte sur un objectif de senseurs déportés).
  6. Note qu'à 4 Mk41, on se retrouve avec la configuration des Sachsen allemande, qui sont des frégates AA (avec 32 ESSM et 24 SM-2).
  7. La question est de savoir si ça inclus le temps en manœuvre ou juste le temps d'entraînement à la conduite?
  8. On notera que ce n'est pas toujours facile. Les bases dotées d'un champ de manœuvre (un minimum) important seront difficiles à placer à côté d'une ville. Le Camp San Gregorio (Espagne) est plus l'exception que la règle (même si il est extrême).
  9. Mais parfois j'ai l'impression que certains veulent nous renvoyer directement aux années 1930...
  10. C'est l'ironie de la Belgique: elle possède de grands ports et en dépend fortement (même si au final, pas plus que le reste de l'Europe) mais elle ne se considère pas comme une nation maritime comme le sont les Pays-Bas, le Royaume-Uni, la France ou l'Espagne, probablement à cause de la taille de ses côtes, de sa ZEE très faible et de son absence de territoires ultramarins. Même quand le pays disposait de colonies, il ne disposait pas de côtes (sérieusement, la RDC dispose d'une côte de 37km (moins que la Belgique)).
  11. mehari

    Marine Grecque

    La Turquie ne reconnaît pas l'existence de la RCh tandis que personne sauf la Turquie ne reconnaît la RTChN. C'est un des rares cas où un membre des Nations Unies n'est pas reconnu par un autre membre des Nations Unies. Les autres sont Arménie (pas reconnu par le Pakistan) Chine (11 états ne reconnaissant pas la RPC) Israël (28 états) Corée du Nord (pas reconnu par la Corée du Sud) Corée du Sud (pas reconnu par la Corée du Nord)
  12. Les RI ne sont pas à 4 CI normalement? Ou est-ce que les BCA sont des exceptions?
  13. À noter que la section "d'attaque électronique" n'est pas un élément de guerre électronique mais (si j'ai bien compris) une section de munitions rôdeuses (ou "télé-opérées"). Maintenant, explique donc ce qu'est une SAED, un GCM, un GCP, un GAEA et la différence entre les 4.
  14. Je suppose que ça dépend de ce qu'on appelle une "FOB" mais n'oublie pas que l'opération de quelque chose comme le SIRTAP implique le maintien d'une piste d'aviation (même si rustique), d'un peloton et de l'infrastructure pour un "système" de plusieurs appareils. Ce n'est pas forcément le genre de truc que tu déploies sur la base d'un SGTIA ou même d'un GTIA. Je pense que pour le support d'un GTIA, on est probablement plus dans la catégorie des TUAS, de préférence VTOL, comme ce que j'ai mentionné plutôt de manière détachée en provenance de la brigade (vu qu'il est improbable de pouvoir caser un unique appareil et le personnel requis sur chaque FOB). Pour le reste, les SpyRanger semblent indiqué pour le support organique des GTIA avec quelque chose de plus petit pour les SGTIA. En Belgique, on a pour l'instant une combinaison de Raven, Puma et Integrator/Blackjack au sein du bataillon ISTAR (JtP/ChÀCh) et des équipes UAV sont systématiquement attachées au éléments déployés (équivalent à un SGTIA en général). Une commande en cours de Puma signifie que les Raven actuellement en service vont être reversés dans l'infanterie et à l'avenir, il est prévu d'avoir 1 élément 4copter/µdrones par peloton, 1 élément Raven par compagnie et 1 élément Puma par bataillon (les commandes de µdrones sont en cours).
  15. Moins l'appui direct et plus la possibilité de tirer à l'horizontale voire un peu en dessous. L'élévation est dans l'intervalle[-5,+85], ce qui peut être utile contre un appareil approchant à basse altitude, surtout si le système est sur un promontoire pour augmenter son champ de tir. C'est certainement que la proposition de 40CT sur camion, même si ça induit son lot de complexité.
  16. J'ai un peu du mal avec cette partie là. Un MALE de 1t me semble assez contraignant pour un élément bataillon (sans parler de la compagnie). Pareil pour un élément de 3-5t à la brigade. Attacher un élément MALE à une brigade en opération "fixe" comme au Mali ou en Afghanistan est une chose. L'attacher à une brigade en mouvement en HI en est une autre. Les US considèrent le drone de brigade comme étant le RQ-7 Shadow (200kg), bientôt remplacé par un appareil plus léger (vraisemblablement ~100kg) et surtout VTOL. Les divisions de leur côté disposent d'une compagnie de MQ-1C de 1600kg et de capacités aéro assez larges en général (Combat Aviation Brigades).
  17. "Jusqu'à 40h" pour l'Eurodrone contre ">30h" pour le MQ-9B Sea Guardian et "30h" pour le MQ-4C Triton mais il faut voir ce que ça inclut en tant que payload dans chacun des cas pour faire une comparaison propre. Note que l'autonomie allongée peut être utile si le territoire est vaste et peu peuplé comme la Polynésie française.
  18. Si tu augmentes le nombre de brigades mais diminue la taille de celles-ci, le problème peut s'annuler. Ça suppose qu'il faille effectivement une batterie par bataillon de mêlée, ce qui n'est pas forcément le cas. La "norme" OTAN est de 3 à 4 bataillons de mêlée par brigade, avec un bataillon d'artillerie à 3 batteries, généralement avec 6 obusiers/batterie (US, Italie, Espagne, Pologne (dans une certaine mesure), Pays-Bas, Norvège (plus ou moins), Suède, etc.). Souvent, le 4e bataillon est un élément de cavalerie parfois remplacé par un élément de reconnaissance de la taille d'une compagnie ou par bataillon/régiment de cavalerie divisionnaire. Les larges brigades pouvant aligner 4 à 6+ bataillons (en ajoutant les éléments de réserves) sont un truc qu'on retrouve plus en Allemagne, au Royaume-Uni et en France (même si d'autres pays disposent de ce type d'arrangement). Dans le cas de la "brigade OTAN" (définie comme 3 bataillons de combat à 3 ou 4 compagnies et 1 bataillon de cavalerie), on peut considérer que les bataillons de cavalerie et artillerie sont là pour supporter la brigade (les escadrons de cavalerie servent à former l'écran de la brigade et fournissent le renseignement, l'artillerie fournit l'appui feu lorsque requis mais aussi les feux offensifs) et chacun des bataillon de combat dispose de ses éléments de reconnaissance et artillerie pour agir de son côté (sous la forme d'un peloton de reconnaissance et d'un peloton/batterie de mortiers). Lorsque la brigade se divise en GTIA (ou équivalent), elle en forme 3 et chacun reçoit une compagnie de cavalerie et d'artillerie pour son augmentation. Du coup, il n'est pas forcément nécessaire d'avoir 5 batteries pour 5 Rgt, si on considère que la brigade ne doit pas fournir d'appui à 5 GTIAs (je crois que ce n'est pas le cas pour l'instant). Par contre, il faut pouvoir fournir des mortiers de 120 en suffisance (soit organiquement, soit par délégation). Un problème qui semble en passe d'être réglé même si tous ne seront pas mécanisés. Si on reprends l'exemple du projet 7e DMR, la brigade disposait de 3 régiments interarmes (AMX-13+AMX-VTT), 1 régiment de cavalerie (Panhard EBR), 1 groupe d'artillerie (batteries attachées à chacun des RIA). Normalement, le RC disposait de 3 escadrons, tout comme la brigade disposait de 3 RIA. Lorsque l'Armée décida d'augmenter la taille de la 7e DMR à 4 RIA, un escadron de cavalerie additionnel fut ajouté au RC (note que le 4e RIA ne fut jamais ajouté et la 7e DMR n'a jamais été déployée comme telle). Enfin, si on considère que la brigade ne déploie que 4 GTIA, on notera que si on a pas 4 batteries à attacher, on a bien 4 pelotons. Si la batterie peut pleinement se diviser en deux (i.e. deux élément de ravitaillement et deux postes de commandement), le contrat est plus ou moins remplis. Sinon, on peut aussi augmenter le nombre de batteries mais diminuer leur taille. Pour autant que je puisse dire, la batterie de 8 est assez récente vu qu'en 1989 et dans les années 50-60, les RA opérait avec des batteries de 6. Donc, on pourrait avoir 4 batteries de 6 obusiers par brigade (4×6×6=144 obusiers, plus la réserve et la formation). Côté allemand, il faut considérer qu'ils prévoient de créer 5 bataillons d'artillerie de 0 pour supporter leurs brigades et leur division légère et qu'ils prévoient de maintenir une artillerie divisionnaire (sans compter l'artillerie fournie la Brigade Franco-Allemande). Ça leur fait un total de 9 bataillons à fournir, même si il y a des MLRS qui traînent là dedans.
  19. Il faut voir ce qui est inclus dans le prix proposé. Si il faut ajouter à ça le coût des senseurs, des systèmes de communication, des pods, etc. pour rendre le système utilisable, ça pourrait être différent. On verra bien. Cependant, le Patroller va continuer à avoir un sens vu son empreinte plus faible (en théorie). Un engin de 5t impose des contraintes différentes de celles d'un d'une tonne.
  20. Ça ressemble à ça mais si il le tire dans cette configuration, il va y avoir des morts. "Clear backblast", tout ça...
  21. L'Aarok est dans une catégorie assez différente, non? Plus proche du MQ-9 que du Patroller. C'est quoi les alternatives dans cette catégorie? Leonardo Falco?
  22. Il est difficile de manœuvrer des missiles à ces vitesses sur des intervalles de distance aussi courts. Ça te limite à du LOS ou du quasi LOS. Sauf si quelque chose comme le MRM-KE permet d'atteindre les vitesses escomptées mais je n'ai pas d'informations à ce sujet. Sur ce point là, je suis d'accord, raison pour laquelle j'en mets quelques-uns par compagnie mais pas vraiment dans les pelotons.
  23. Il reste à voir ce que cet effecteur sera mais à ma connaissance, on est plus sur du LOS. Si on parle bien d'un missile hypersonique, la manœuvrabilité sera probablement trop faible pour permettre un bon usage NLOS. Ceci dit, l'artillerie ne rend pas le missile NLOS inutile. Le MMP par exemple garde son utilité et on peut se demander si on ne verra pas un lance-missile de ce type sur la tourelle du char comme ce qu'on peut voir sur le projet K3 ou sur KF-51 (ainsi que quelques projets de chars légers). Des éléments NLOS de compagnie ne sont pas à exclure vu que ça réduit la boucle de décision et communication (pour sortir une frappe LRM, il faut contacter l'artillerie divisionnaire qui doit autoriser le tir, frapper sur coordonnée GPS à une distance de 70km (voire plus)). C'est pas le genre de truc que tu sors de ton chapeau pour une frappe légère. Mon plus gros problème est l'organisation du peloton et la facilité de dispersion de celui-ci. Dans un peloton "uniforme", il est assez aisé de disperser les éléments pour les attacher à des pelotons d'infanterie ou pour former un écran, vu que tout a des capacités identiques. Si on commence à avoir des mix canons-missiles, ça complique la donne. Une solution serait d'avoir des éléments de compagnie qui soient déplacés en fonction de la situation. Par exemple, Coy Blindée QG de Coy Char de CO Char de XO Véhicule de commandement/transmissions (Coy NCO) Véhicule porte-drone/C-UAS/porteur NLOS (en fonction de ce qui est choisi sur ce véhicule in fine) Section de maintenance/recovery Ambulance 3 Pelotons blindés 4 véhicules canons Section missile 2 véhicules missiliers C'est juste une idée bien sûr mais il y a plus dans un char que la simple capacité à détruire d'autres chars et ça doit être pris en compte.
  24. Si tu veux retourner à la situation pre-1945, tu peux. On a vu que ça marchait super bien. Dans ce cas, autant supprimer la marine. La fonction de garde-côte peut être remplie par quelques patrouilleurs et la défense côtière par quelques batteries de Marte-ER à terre, des hélicoptères et les chasseurs. Et si tu veux couvrir les sous-marins passivement, on peut ajouter des senseurs au fond de la Mer du Nord. Notre zone n'est pas super large donc ce serait assez simple à couvrir.
  25. Pour faire quoi? La Belgique a une ZEE ridicule à défendre, la plus petite de toutes les ZEE de l'Union Européenne à l'exception de la Slovénie et la 144e au monde (sur 152). Nous sommes par ailleurs entourés d'alliés qui ont un intérêt à garder nos ports ouverts (parce que si Anvers ou Zeebruges sont fermés par blocus, Rotterdam, Londres, Southampton ou le Havre le sont aussi) ce qui fait qu'on pourrait en fait ne même pas s'encombrer d'une marine. Du coup, les seules missions qui restent le sont sur des théâtres plus lointains, comme le maintien du traffic maritime vers l'Amérique du Nord (en temps de guerre) ou vers le reste du monde (en temps de paix). Ce qui veut dire contre-piraterie dans des endroits très éloignés (Golfe d'Aden, Golfe de Guinée) par exemple. Dans les deux cas, ce ne sont pas des missions que nous entreprenons seuls et donc la Marine est condamnée à agir en coalition au profit d'autres pays. Je ne sais pas si ça fait partie d'un engagement auprès de l'OTAN mais du coup, fournir des combattants de surface à des flottes néerlandaises, françaises, US ou autres est un objectif raisonnable. C'est certainement avantageux en termes de politique étrangère et ces deux frégates remplissent le contrat. Est-ce que c'est le meilleur choix? Peut-être pas mais c'est un choix qui remplis nos engagements et c'est ce qu'il faut. S’équiper à l'Israélienne en revanche ne rempli pas ce contrat vu que la portée ne nous permettrait tout simplement pas d'arriver sur le théâtre d'opération, encore moins d'y patrouiller (sans compter les capacités bien plus faibles de détection ASW). C'est très bien si tu veux patrouiller la Méditerranée Orientale ou la Baltique mais ce n'est pas du tout ce que nous cherchons à faire.
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