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reinel

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  1. Le F1 => franchement fragile, genre treillis monocoup-jetable Le F2 => assez chouette au quartier mais peu fonctionnel au terrain le S300 => une fois les pantalons retaillés et débarrassés de leur doublure coton "je stocke la pluie de la veille pour que tu en profites le lendemain" c'était le top niveau confort / solidité / rangements. J'en ai tjs 2 qui me servent qd je bricole (mais plus en rando, y'a qd mieux maintenant sur le marché civil) Mais bon, suis "un peu" hors sujet là
  2. Merci pour ta réponse. "De mon temps" (c'est l'expression des vieux ) on stockait les chargeurs vides dans les poches cargo des treillis
  3. Salut Merci pour le partage La montée dans l'engin ne parait pas évidente (à 00:50). Il me semble avoir déjà remarqué ça sur d'autres vidéos ; un "défaut" à corriger ? 'tite question : elle sert à quoi la poche (visiblement vide) que les gars portent à la hanche gauche ? @+
  4. Salut, Je suis globalement d'accord avec toi. Mais je pense que dans le MEPAC, avec le système de chargement, les servant restent protégés par la caisse (sauf par la trappe bien sûr) contrairement aux US qui continuent de charger par la gueule @+
  5. Merci @Clairon , on s'est effectivement éloigné du sujet ce de ce fil. Pour recentrer sur les Griffon / Serval et pour faire suite à mes réflexions précédentes, j'ai une question (une vraie, pas pour relancer un débat) : Mes réflexions portaient sur le VBCI dont la capacité d'emport est de 3+ 8 ou 2 + 9 suivant que le CdG débarque ou pas. Mais les Griffon / Serval, c'est du 2 + 8 => quels sont les plans d'embarquement théoriques de l'INF 202 pour ces véhicules avec une section à 39 pax (voire 40 si on passe à 3 TP) ? @+
  6. Ou comme chez les Brit', le CdG est aussi le chef d'une équipe ; pas vraiment top comme organisation @+
  7. Bonjour, Suis d'accord avec tout le monde ... mais pas sur tout Oui, sur le terrain, on trouve toujours un moyen (j'ai le souvenir d'un VAB HS en manoeuvre où le groupe avait été pris sur les genoux (si, si) des occupants de 2 autres VAB sur 20 km) J'ai décroché depuis trop longtemps pour savoir comment ça se passe maintenant. Mais j'ai terminé mon activité d'officier de réserve à l'état major d'une région militaire. A ce titre j'ai participé à plusieurs déploiements (tournantes outre-mer, manoeuvres inter-alliés, OPEX -moins nombreuses que maintenant mais j'ai ai connu 2) => à l'époque, jamais une unité n'est partie au complet, que ce soit en véhicules, matériel ou pax. Sur les plans d'embarquement des véhicules, la théorie actuelle (une place pour chacun et chacun à sa place) c'est : 1 véhicule pour le groupe AC + 3 véhicules pour les groupes voltige. Dans ces derniers on a : 1 conducteur / 1 tireur tourelle / 1 CdG / 2 x trinômes ; soit 2 places de "libres" dans chaque VBCI. Le groupe de commandement se réparti dans ces 3 véhicules => CdS + radio dans 1 (véhicule plein), Adj + 1 TP dans 1 autre (id), 1 TP dans le troisième (reste 1 place de libre). Alors, l'AUXSAN peut prendre la place libre dans ce dernier véhicule. Mais si il y a en plus (ou pas) un officier local de liaison et/ou un interprète, il va où ? La logique serait de dire avec le CdS mais qui débarque-t-on ? Le radio ? On casse un trinôme ? etc... Et comme le dit @Clairon l'évolution tend vers l'ajout d'un 3ème TP pour en mettre 1 par groupe. Et là ça va devenir compliqué d'embarquer CdS + radio dans un véhicule sans toucher à la compo d'un groupe. Mais pour moi la principale question c'est le trinôme. Depuis les années 90 c'est le pion de base de l'infanterie. Le reste-t-il aujourd'hui parce qu'il est jugé performant (les avis semblent converger pour dire l'inverse) ou parce que nos véhicules limitent les options de changement ? @+
  8. Bonjour, Je lis très souvent tes interventions sur ce forum avec beaucoup d'intérêt. Elles sont argumentées et clairement exprimées. Ce que tu développes ici est une entrée logique... mais ce n'est pas la seule je pense. Alors je vais tenter d'approfondir un peu ma réflexion en prenant pour exemple le VBCI mais c'est parfaitement transposable aux Griffon et Serval puisqu'on est sur ce fil. Le VBCI est sorti de la planche à dessin à la fin des années 90 et commandé début 2000. Et son remplaçant ne sera pas envisagé avant 2040. S'il est toujours envisageable de remplacer la motorisation d'un véhicule, la transmission, la suspension... pour répondre aux évolutions des besoins et de l'emploi (et des véhicules sont parfois "surdimensionnés" dès leur conception pour les anticiper), le volume est définitivement fixé au départ. Dans le cas du VBCI, il répond à une doctrine du milieu des années 90 et à l'organisation qui en découle ; et nous devrons "faire avec" jusqu'en 2040 au mieux. J'ai lu plusieurs RETEX où des cadres regrettaient le nombre insuffisant de pax débarqués et, même si cela reste du théorique, quand on lit le fil sur "L'organisation de la section d'infanterie", on voit bien que des réflexions confinent parfois au Tetris pour respecter les contraintes d'embarquement. Donc ajuster au plus prêt le volume interne d'un véhicule qui va être utilisé près de 50 ans en se basant sur la doctrine et l'emploi à un instant T me parait risqué. Et si demain la réflexion évolue et qu'on souhaite équiper chaque section d'un MMP (ou d'un matériel à volume équivalent), où met-on le poste de tir et les missiles ? Ou plutôt, à la place de qui ? Et je ne parle pas (ben si, en fait ) de la modularité "terrain" de la composition des groupes qui oblige à échanger des pax en interdisant le "en plus". Alors, prévoir dès la conception du véhicule une marge de 1 ou 2 places (je sais bien que c'est "sans fin", il faut bien se fixer une limite) ne me parait pas idiot ; surtout dans un objectif de près d'un 1/2 siècle de durée d'emploi. En marge de cette réflexion, et même si elles ont aussi leurs désavantages, je trouve que le montage de tourelles non pénétrantes plus pertinent. Elles permettent une optimisation du volume interne en s'affranchissant de la contrainte du puit de tourelle et de la centrer au plus juste pour respecter l'équilibre des masses. En plus, en cas de revalorisation du véhicule, l'intervention du changement de tourelle est moins lourde. @+
  9. @BPCs Ce qui m'aurait bien plus sur la base du VBCI c'est une version avec tourelleau téléopéré non pénétrant => ça aurait permis de gonfler l'effectif des groupes de combat tout en laissant de la souplesse dans les plans d'embarquement pour moduler l'articulation de la section, embarquer des auxiliaires, etc... Et les tourelleaux existent (même chez Nexter pour s'équiper français) en 25 ou en 40 mm Une section à 3 VBCI 25 mm + 1 VBCI 40 CTA pour l'appui feu et la destruction des VCI ENI, et qui peut débarquer près de 40 pax, ça aurait eu une certaine efficacité et une vraie polyvalence @+
  10. Bonjour Pour la propulsion, il y avait une technique à l'étude il y a quelques années (lu dans un RAID, mais lequel...) Un moteur thermique "alimentait" en direct un convertisseur électrique et ce dernier faisait tourner 2 moteurs électriques qui propulsaient le char via les barbotins. Bon, je suis pas mécano et je schématise. Les avantages présentés de ce système : - le moteur thermique tournait toujours à son régime optimal => consommation en baisse / bruit diminué - entretien (a priori) plus facile de la partie élec. que celle de la boite de vitesse et de l'embrayage qui, pour le coup disparaissaient. Il était dit que la place gagnée par l'absence de boite et d'embrayage était largement suffisante pour loger tout l'électrique. - si ajout de quelques batteries "tampon" => possibilité d'avoir un char opérationnel moteur éteint en position statique (bruit, consommation) / boost de puissance en cas d'urgence. Je ne sais pas si ce système est toujours à l'étude ou si elle a aboutit à une impasse. Dans le 100 % thermique, il y a aussi les moteurs à pistons opposés qui semble proposer le meilleur rapport encombrement / puissance / consommation. @+
  11. Bonjour, En marge de la question... j'en ai une autre. J'étais persuadé que les performances d'une munition flèche étaient proportionnelles principalement à la longueur du barreau. Je suis étonné que, sur la munition en coupe, le barreau s'arrête à mi douille. Je sais qu'il y a d'autres facteurs à prendre en compte dans la balistique mais je croyais que l'objectif principal des fabricants était d'allonger la flèche au maximum, quelque soit le calibre. J'ai tort ? @+
  12. Bonjour Un des problèmes que je vois pour les mules robot ce sont les "traces" informatiques qu'elles conservent. Je ne suis pas un spécialiste (loin de là) mais je pense qu'une mule capturée peut facilement "parler" et fournir une trace GPS, un point de ralliement "retour maison" en cas de perte de signal, etc... Le principe de la mule autonome tractée peut pallier en partie à ce problème => tant qu'elle est tractée, aucune activation de son système autonome. Même en cas de capture, les renseignements récupérés sont parcellaires. @+
  13. reinel

    Couteaux militaires

    @Kiriyama Bonjour L'indice HRC donne la dureté de l'acier. Plus il est élevé, plus l'acier est dur. Acier "moins" dur => plus facile à affuter, résilient à la torsion mais fil moins précis et besoin d'être affuté plus souvent Acier plus dur => tout l'inverse Pour un couteau "terrain", un HRC < 55 aura un fil trop moyen et devra être affuté trop souvent pour couper convenablement. Un HRC > 60 donnera un couteau difficile à entretenir sur le terrain et plus (trop ?) cassant. Enfin c'est la théorie du HRC. Parce que d'autres éléments rentrent en ligne de compte : qualité de l'acier, qualité du trempage, émouture, épaisseur de la lame, angle du fil, etc... @+ EDIT : pour la rouille, tous les couteaux rouillent même les inox. Maintenant suivant leur teneur en carbone, en chrome (ce qui les rend "inox") ils rouilleront plus ou moins rapidement. Pour caricaturer => moins l'acier est inox, plus il est facile à affuter (et le fil est généralement plus précis) et moins plus il rouille (merci @13ème RDP pour la rectification ). Perso, le seul couteau inox que j'ai (un Mora) me sert pour la cuisine
  14. reinel

    Ici on cause fusil

    Bonjour Je "m'auto-cite" en reprenant une de mes questions dans un autre fil où elle était hors sujet. je ne suis pas sûr que ce soit non plus le bon fil ici, mais je ne vois où la poster sinon Je me suis souvent demandé quel serait l'effet d'un projectile petit calibre type 7,62 ou 12,7 des TP/TE qui arriverait dans le canon d'un char avec un obus engagé dans la chambre ? Pourquoi cette question ? Parce que je me dis que pour 1 TE, mettre "au but" un tir de 400 - 500 m dans une cible de 12cm, c'est largement faisable. Que même si le tube n'est pas aligné avec la trajectoire de la balle, les ricochets l'amène au fond du tube. Et là, il se passe quoi ? @+
  15. Bonjour, Je me suis souvent demandé quel serait l'effet d'un projectile petit calibre type 7,62 ou 12,7 des TP/TE qui arriverait dans le canon d'un char avec un obus engagé dans la chambre ? @+
  16. Non, c'est pour les avoir à hauteur d'homme quand le Griffon est ensablé
  17. reinel

    Ici on cause fusil

    Ben si, quand même un peu. Puisque des chargeurs droits de 30 cps ont été testés mais abandonnés à cause de leur taille. Ce que tu dis sur la volonté "compatible OTAN" pour les chargeurs m'étonne. Si je ne me trompe pas, les puits de chargeur ont été redessinés sur le FAMAS G2 pour qu'il puisse accueillir les chargeurs 30 cps M16. S'il était compatible dès la version F1, pourquoi l'avoir redessiné ?
  18. reinel

    Ici on cause fusil

    Re, Alors ça, j'ai l'info. j'avais rencontré un sous-off qui avait été détaché à la STAT pour effectuer les essais FAMAS avant sa diffusion en unité. Pour rappel, à l'époque, les standards étaient plutôt chargeur droit de 20 cps pour le 7.62 (type FAL) et chargeur courbe de 30 cps pour le 5.56 (type M16). Ils avaient testé des chargeurs courbes de 30 cps mais faits avec la même "philosophie" du jetable que les chargeurs de 25 => la courbure du chargeur, avec les matériaux "jetables" utilisés, provoquait des incidents à répétition. Ils s'étaient orientés vers des chargeurs droits de 30 cps mais ils avaient été jugés trop long pour permettre une position couchée suffisamment protégée et confortable. D'où les chargeurs de 25 cps.
  19. reinel

    Ici on cause fusil

    Salut, Alors j'ai jamais vu (contrairement aux munitions bloquées ds le chargeur) mais c'était "ce qui se disait"... et ce qui se faisait là où j'étais puisque les chargeurs étaient systématiquement pourvus avec 2 barrettes de 10 max. Maintenant je te parle d'un temps où 1 mur séparait encore Berlin en 2 L'arrivée du FAMAS en unité était encore récente. Alors, pb avec les 1ers chargeurs ? Habitudes conservées de la MAT 49 où jamais les chargeurs n'étaient complétés à 30 ? Ou légende urbaine ? @+
  20. reinel

    Ici on cause fusil

    Autant que je me souvienne, les chargeurs remplis à 25 avaient plus tendance à créer des "incidents de tir" surtout en début de tir en rafale (le ressort devait "pousser" trop fort et provoquer des blocages au niveau éjection / introduction) => en les remplissant un peu moins, les pbs étaient moins fréquents. En revanche le concept du "chargeur unique avec toutes mes munitions dedans" m'interroge. J'ai vu parfois des munitions bloquées dans des chargeurs sur des pas de tir (et ce n'est pas là qu'ils subissent le plus de chocs). Si tu n'as plus qu'un chargeur, même rempli avec 500 cps, et s'il se bloque dans le feu de l'action, tu n'as aucun possibilité de l'éjecter pour en remettre un plein à la place.
  21. reinel

    Couteaux militaires

    Bonjour Perso, je n'ai pas de couteaux "mili". En revanche j'en prends régulièrement lors de mes sorties. Suivant mes besoins c'est généralement (je prends parfois mon Mora pour les sorties courtes et poids réduit) : esee 4 Indestructible, s'affute facilement sur le terrain, léger et pas encombrant. Cependant il peu facilement rouiller (j'ai tjs un petit flacon de WD40 ac moi) et la prise en main est limite pour mes grandes mains ; en particulier l'absence de "talon" en bout de manche oblige à crisper la main sur le manche quand on tire ou quand on l'emploie "à la volée". Je suis en train de me fabriquer des plaquettes micarta modifiées qui ajoutent un talon. ou Schrade 51 Celui-là, la lame est plus longue de 1cm mais surtout la forme du manche permet un maniement plus aisé. En revanche, il est plus lourd et encombrant. Vous pouvez porter discrètement le esee 4 sur vous, le Schrade reste dans mon sac à dos. Maintenant, si j'avais à me battre avec une arme blanche, j'éviterais le couteau. Je suis ni commando, ni Rambo ; avec un couteau je trouve que je me rapproche un peu trop de la menace Comme arme blanche, je prendrais ça : Pelle Cold Steel Ca fait moins guerrier mais ça me rassure plus. Et puis, "moins guerrier", regardez cette vidéo (c'est parfois violent) : https://www.youtube.com/watch?v=eOaEjJz-6jg Bon, la vidéo est orientée combat. Mais la pelle creuse très bien, coupe le bois aussi bien qu'une hachette, peut aussi débroussailler et faire des travaux relativement précis. Attention : tous les bords sont affutés, cela demande un minimum de précaution dans son utilisation. Au passage, il y a aussi des vidéos où on voit 1 type creuser une brèche en 10 coups dans un mur de parpaings. J'ai testé sur 1 parpaing => 1 coup = 2 x 1/2 parpaing @+ EDIT : j'suis pas doué, je n'arrive pas à insérer directement la vidéo Youtube dans mon post
  22. @Gibbs le Cajun Bonjour et merci pour la vidéo C'est normal qu'elle ne commence qu'à 16'50" ? Avant chez moi c'est image fixe sans son @+
  23. Bonjour Ben oui, pour alléger les bateaux, ils leur fournissent des dictionnaires réduits ; alors ils ont retiré des mots au hasard : droite, gauche, corde, rouge, lapin, ... Dites rien, suis déjà parti =>
  24. reinel

    Couteaux militaires

    @Kiriyama Bonjour Une tentative de réponse bien tardive mais je passe rarement sur ce fil. Je pense que c'est la peinture ou le coating "poudre" (j'arrive pas à distinguer sur la photo) qui n'est pas de très bonne qualité et qui se barre. Je ne connais pas ces couteaux mais leur acier peut être de très bonne qualité et le coating appliqué un truc de m***. La conception du Medved me surprend : la pointe de la lame type tanto laisse à penser qu'il est performant pour la perforation mais l'absence de garde ou de demi-garde le rend dangereux pour l'utilisateur dans cette utilisation. Il me fait plutôt penser aux couteaux scandinaves sans garde faits pour couper en tirant et non en poussant. Chez le Kizlyar Supreme, c'est le manche qui ne me semble pas top (il ne glisse pas de trop ?). Le trou dans la lame et le dos de la pointe taillé en biseau me font dire qu'il peut se coupler à l'étui pour servir de coupe-fil ; j'ai bon ? @+
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