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reinel

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  1. reinel

    CEMA interview

    Bonjour J'ajouterais que "le peu de progrès à attendre dans la mobilité tactique ou stratégique" me reste un peu en travers quand on constate le trou capacitaire dans le domaine des hélicoptères lourds et d'un transport aérien type C-141 @+
  2. Re 1ère précision => j'suis vieux (juste pour expliquer ce qui va suivre) J'ai été chef de groupe (pas longtemps) / CDS / CU puis j'ai fini en état major Quand j'étais chef de groupe, l'articulation c'était : 1 éq. "choc" (FAMAS) + 1 éq. "feu" (LRAC -si, si, j'suis vieux- et ANF1). Quand tu étais en progression, ton équipe choc était devant. Si tu montais un bouchon AC ou que tu étais en défense d'un point fixe, tu plaçais d'abord ton équipe "feu" puis l'équipe "choc" en appui ou en couverture. En tant que CDS puis commandant d'unité, le principe est resté le même => tu articules tes éléments de manœuvre et tes éléments d'appui en fonction du terrain et de la mission. Bien sûr, je ne sais quel est le stratège qui a dit "avant d'engager l'action, étudiez les 10 possibilités de manœuvre de l'ENI et soyez sûr qu'il adoptera la 11ème", et c'est très vrai. Tu devras forcément t'adapter dans l'action. Mais ton organisation de départ est quand même orientée par une réflexion risques / efficacité / objectifs. Quant à la formation des CdG, ben on s'est professionnalisés, non ? Je pense qu'un CdG peut à la fois savoir gérer 2 équipes voltige dans une enveloppe d'engagement 0 - 300 m ou 2 équipes appui pour une zone préférentielle 300 - 600 m. D'ailleurs, dans l'organisation actuelle, on leur demande de gérer les 0 - 600 m ; et là, compétents ou pas, c'est pas optimisé. @+
  3. Bonjour Ca fait un bon moment que je n'étais pas venu ici ; c'est toujours un plaisir ! L'articulation de la section d'infanterie m'a toujours intéressé et je crois avoir déjà écrit 2 ou 3 posts dans cette section. Ca fait déjà un bail que Goya propose de "séparer" la voltige (5,56) et l'appui (7,62) dans des groupes différents. Je suis assez sensible à ses arguments. Un autre argument qui va dans son sens et qui n'a pas été mentionné ici : la coordination des feux. Les études et les RETEX concluent à la difficulté et au manque d'efficacité d'avoir à gérer 2 distances d'engagement pour un même chef. C'est pour cette raison, si je me souviens bien, que les 1ères réflexions sur le VBCI prévoyaient un véhicule type VTT uniquement destiné à amener les fantassins au contact et armé juste pour l'autodéfense + un véhicule d'appui à moyenne portée qui ne transportait que l'équipage. D'où la pertinence à mon sens de regrouper les équipes d'appui au sein d'un même groupe. Cette formule me plait bien : - 4 équipes voltige en 5,56 (+ AT4 et LG 40) ; et pourquoi pas remplacer les Minimi 5,56 par un FA à canon lourd de 20" et lunette type IAR => cadence plus soutenue qu'un FA "de base" et possibilité de tirs de précision jusqu'à 500 m - 2 équipes appui basée sur le binôme TP en 7,62 / mitrailleuse 7,62 qui semble être plébiscité pour son efficacité Ensuite, le CDS a à sa disposition 1 SOA et 3 chefs de groupe. A lui d'articuler ses pions en fonction du terrain et de la mission @+
  4. C'est à peu près ça... mais pas complètement. Ce serait plutôt en fonction des compétences de chacun plutôt que de l'action à mener. L'action à mener doit déterminer ce qui est emmené (ou non) dans l'armement collectif (AT4, MAG, LGI, etc...). C'est l'évaluation de la mission qui amène l'emport ou non de ces armements (et équipements) collectifs. Le LG40 fait partie de l'armement individuel. Et pour l'armement individuel je trouve que la procédure pertinente c'est : J'ai 4 pax (y compris moi, le chef) ; j'ai 4 x HK 416 + 1 x LG 40. Je décide qui sera équipé du LG 40 en fonction des compétences et aptitudes des 4 pax. Si je suis le plus efficace avec, je le prends ; mais si c'est un autre gars, c'est lui qui le prend. Cela présente aussi l'avantage de ne pas TOUJOURS donner le LG 40 au chef et donc de ne pas désigner à l'ENI le porteur du LG 40 comme le chef. @+
  5. Bonjour J'ai toujours trouvé incohérent d'attribuer systématiquement 1 armement spécifique à 1 personnel précis ; autant faire porter une pancarte au dessus de la tête de chaque chef d'équipe. La neutralisation des soldats équipés de matériel à fort pouvoir de destruction a toujours été prioritaire, si en plus c'est toujours le chef qui en est équipé, c'est "bingo" à chaque hit. Il ne sert à rien d'avoir des grades basse visibilité si en parallèle la silhouette du chef est spécifique. Les paras US l'avaient parfaitement compris en 44 où un colonel pouvait sauter avec un Garant et un GV avec une USM1 Pour moi, la dotation doit se faire globalement pour 1 équipe. A la charge du chef d'équipe de répartir ensuite armes et équipements selon les compétences de chacun. @+
  6. Bonjour Merci pour ces chiffres Quelqu'un a-t-il une idée du nombre de Leclerc en "stockage longue durée" ? Mes recherches sur le net m'ont permis de connaître en profondeur... les établissements E.Leclerc mais pas ce renseignement Sinon, 18 DCL me paraissent bien insuffisants si on déploie nos chars en quantité (et combien de Leclerc "MARS" ?) ...et 120 tubes de 155 ! Faut espérer qu'on ait pas à assurer un engagement de moyenne / haute intensité @+
  7. @Gibbs C'est une option cohérente, qui se défend. Mais je continue de préférer la doctrine israélienne => amener sous forte protection les fantassins (ou le génie d'assaut) jusque dans le hall de l'immeuble. Note que les 2 doctrine peuvent parfaitement être mixées (et seraient sacrément efficaces) : une progression diffuse de l'INF / GEN non fixée sur les axes et, si un point de résistance sérieuse est rencontré, un assaut via un véhicule blindé. Le véhicule tel que je le décrivais n'était pas pour moi uniquement destiné au combat. Il était aussi pertinent pour du contrôle de zone urbaine, des patrouilles, dans un environnement fortement dégradé (gravas, véhicules détruits) et/ou fortement insécurisé (tireurs embusqués, attaques depuis les étages, etc...) @+
  8. Bonjour Globalement, je suis d'accord avec ton analyse, à une exception (paradoxale) près : le combat urbain Tous les spécialistes s'accordent à dire que la place d'un véhicule blindé n'est pas en zone urbaine... sauf qu'il est parfois nécessaire de les y amener, y compris pour transporter l'infanterie. Et là, un véhicule chenillé fortement blindé aura des avantages : - possibilité de pivot qui évite les manœuvres pour les chgts de direction à 90 ° - franchissement des gravas et barricades - protection cohérente sur 360 ° y compris pour le toit pour encaisser les tirs venants des étages Je pense qu'il manque un tel véhicule dans notre arsenal. Un pool pourrait être constitué, déployable sur besoins, par des unités qui les échangeraient contre leurs véhicules à roues pour l'occasion. J'ai bien conscience cependant que la multiplication des types de véhicules, surtout en petit nombre, complexifie et augmente le coût de la MCO. Et si je ne me trompe pas, les Merkava ont aussi un mortier de 60 intégré à la tourelle (suis sûr pour les I et II, moins pour les versions suivantes) @+
  9. Bonsoir Oui... mais pas sur le même véhicule. A mon sens il est illusoire de vouloir mettre une tourelle "bonne à tout" sur un véhicule de la classe 8 / 10 t. On pourrait imaginer une même véhicule porteur et 2 tourelles téléopérées : - une du type ARX25 (boostée avec un MMP monté en extérieur, ce serait bien) pour l'appui - une dotée uniquement d'une 12,7 mais avec de "gros" moyens d'acquisition de rens / désignation de cible montés sur bras télescopique pour pouvoir être utilisés à l'abri de masques. On pourrait les mixer au sein d'un même peloton en variant la proportion de chaque en fonction de la mission. @+
  10. Oui... et non Comme l'a dit Clairon, si un fantassin utilise son PA, dans 95 % des cas, c'est que qcq chose a merdé et que l'on est sur un engagement à très très courte portée. Et là, il vaut mieux de la puissance que de la perforation. Un ENI "troué", déjà mort (même s'il ne le sait pas), pourra dans certains cas utiliser encore son arme pendant 1 ou 2 secondes (ne serait-ce que par la crispation réflexe des doigts sur la détente). Le tir n'aura aucune précision mais, à moins de 5 mètres, si le fusil est dirigé dans la mauvaise direction... Au contraire, une munition qui ne pénétrera pas transfère alors toute son énergie à la cible et l'incapacitera dans l'instant (même camé jusqu'au bout des cheveux, quand tu te prends un bus dans le buffet, tu te retrouves sur le cul à 10 mètres ) Alors, à très courte distance, je pense qu'il est préférable d'incapaciter dans l'instant un ENI plutôt que de le "percer". @+
  11. Salut Le 357 mag est très bien... dans les mains de l'inspecteur Harry ou de Lara Croft. Parce qu'il faut un sacré entrainement pour tirer avec. J'ai eu l'occasion de tirer un chargeur d'Eagle version 44 mag (7 cartouches). Après le tir, quand je regardais ma main droite, j'avais l'impression d'être parkinsonien de naissance ! Et à l'époque, je pouvais enquiller 3 ou 4 chargeurs de 9 mm en tir rapide avant de perdre en précision (qui n'était pas géniale dès la 1ère cartouche, je précise ) Le PA dans l'AdT, c'est l'arme secondaire. La puissance d'arrêt c'est le FA qui doit la fournir. Reste effectivement le cas où le PA est en dotation comme PDW... qui est pour moi un faux débat car un PA n'est pas une PDW. Le retex de l’assaut du Cne Lecointre à Sarajevo à la tête d'une section le mettait d'ailleurs en avant... il y a 30 ans (il disait qu'il était urgent que les commandants d'unité d'infanterie soient dotés d'une arme automatique -FA court ou PDW) Et, pour finir, multiplier les calibres alourdi et complexifie la chaîne logistique ; ils sont déjà bien assez nombreux comme ça. @+
  12. reinel

    [EBRC/Jaguar]

    Bonjour J'en suis bien conscient. Ce que je voulais dire c'est que, pour ce qui concerne le G11, à calibre à peu près équivalent, la culasse pivotante offrait la même cadence de tir (600 cps / min) que les FA à fonctionnement longitudinal classique (les 2000 cps / min en rafale de 3 étaient rendus possible par l'absence d'étui à éjecter sur la munition) => il n'est pas sûr, toujours à calibre équivalent, que ce soit la culasse pivotante du CTA qui diminue la cadence de tir par rapport à un autre 40 mm. Je pense que le fait que l'étui ne soit pas éjecté de la culasse mais juste poussé par la munition suivante a aussi son incidence ; on perd en dynamisme dans le mouvement. @+
  13. reinel

    [EBRC/Jaguar]

    Effectivement, me suis emmêlé les pinceaux. J'ai tout faux En fait j'ai confondu avec le prototype G11 de chez HK qui a bien lui une culasse pivotante (et qui était prévu pour fonctionner avec des munitions sans étui) et qui avait une cadence de tir de 600 à... 2000 cps / min @+
  14. reinel

    [VBMR light] 4x4

    Du moment que le projet ne finit pas...enterré @+
  15. reinel

    [EBRC/Jaguar]

    Bonjour C'est logique (au passage, merci pour ces infos sur le 40 CTA) Mais est-cela qui explique la "faible" cadence de ce canon ? Dans un autre calibre, le P90 a aussi une culasse rotative. Cela ne l'empêche pas d'avoir la même cadence de tir que les autres armes de même catégorie. @+ Peut-être que les 20 % de finitions manquantes vont venir remplir et lisser tout ça dans la version définitive... @+
  16. Bonjour Heu... ben non, je ne crois pas. La charge militaire est disposée autour du tube qui, dans le corps de la grenade, prolonge le tube de la queue (et non, ce n'est pas une redondance qd on parle d'une grenade ) Je rappelle que la balle tirée traverse intégralement la grenade (on distingue bien sur la photo le bouchon de mousse auto-obturante sur la tête) => la charge militaire ne peut pas être dans le tube. Ils avaient débuté le projet par la munition d'exercice (37 mm de diamètre de mémoire) ; le corps de la grenade aurait pris du volume dans la version explo pour y placer la charge militaire. C'est pour ça que le corps était en plastique alors que les tubes sont en métal. La pression de l'explosion s'échappant vers l'extérieur, là où la résistance du plastique + fil préfagmenté est plus faible que celle du tube plein. Un détail dont je ne me souvenais plus : comme vous pouvez le voir tous les éléments de visée sont sur la grenade => cela dispense d'équiper les FA d'un système de visée dédié. Pour tirer cette grenade, il suffit que le FA soit équipé d'un manchon de 22 mm standard. @+
  17. Merci Clairon EDIT : en fait non, je ne te remercie pas ! Tu viens juste de me rappeler que mon "plus de 20 ans" c'est plutôt un plus de 30 ans !!! (quoique ça me rassure aussi de me souvenir des détails d'un article lu... il y a plus de 30 ans)
  18. Re A propos de la version courte. Tant qu'à faire j'aurais plutôt opté pour la crosse la moins encombrante possible, comme celle-là : Evidemment on doit perdre un peu en confort de tir et en précision mais puisque la version courte est destinée aux personnels qui, a priori, n'ont pas vocation à utiliser l'arme en 1ère ligne, autant la faire la plus... courte possible. On gagne en confort au quotidien dans le port de l'arme. @+
  19. Je suis étonné par la position de la pré charge : elle n'est pas dans l'axe du missile. Ca ne le "déséquilibre pas" pas quand elle explose ? Je sais que ça se joue sur des ms avant la détonation de la charge principale mais je suis étonné que le "jet" de cette dernière ne soit pas dévié par le positionnement de la 1ère charge @+
  20. Bonjour Y'a un truc que j'ai toujours trouvé dommage ac les grenages à fusil, c'est leur encombrement. Je me souviens avoir vu (peut-être dans la revue Défense & Armement disparue depuis bien longtemps), il y a plus de 20 ans, un projet belge qui me paraissait séduisant. La grenade était en plastique, les éclats étaient assurés par un fil d'acier prédécoupé qui s'enroulait à l'intérieur de la parois plastique. Il y avait un puit qui laissait passer la balle et, plutôt qu'un piège à balle, il se terminait par quelques cm de mousse auto-obturante. Ce système, qui laissait passer le projectile tout en utilisant les gaz de combustion avait un double avantage : recul moins violent pour le tireur et plus de précision car le choc balle / piège à balle était éliminé. Mais surtout elle était télescopique => encombrement réduit de 40 % de mémoire. Le tube qui se place autour du canon était rentré dans le corps de la grenade en position transport. Son déploiement servait également d'armement de la grenade. J'ai retenu tout ça parce que le projet me paraissait fichtrement bien ficelé... mais il n'a visiblement pas abouti. @+
  21. reinel

    VBCI

    Faire des flap - flap - flap ... quand il roule (comme avec les morceaux de carton coincés dans les rayons de roues de vélo) ? OK, je sors...
  22. reinel

    [EBRC/Jaguar]

    Bonjour Allez... je mets mon grain de sel dans le débat "mon calibre est-il assez gros ?" Quelques constats en vrac : - l'obus flèche du 40 mm peut traiter tous les objectifs sauf les MBT modernes (et encore, en frontal car je ne suis pas sûr qu'une slave de 3 flèches dans le cul d'un MBT ne lui fasse pas "tout drôle" -j'avais plein d'autres expressions en tête mais je vous les épargnerai ) - pour envisager encaisser du 25 mm perfo (voire du 30 mm) il faut être gros comme un Puma ou un Namer. Donc atteindre une masse rédhibitoire pour le Jaguar et son cadre d'emploi. - un 105 / 120 mm sur un châssis léger sera, au mieux, un canon moyenne pression. Sa flèche ne sera pas capable de percer un MBT moderne en frontal - le 10RC embarquait 38 obus de 105 mm, le jaguar 180 de 40 mm. Même si on considère qu'il faut 3 munitions de 40 mm pour obtenir le même effet destruction qu'une de 105 (équivalence absurde dans bien des cas, je vous l'accorde), on arrive à un avantage de + 70 % pour le Jaguar dans l'emport de munitions. Le Jaguar est là pour éclairer, flanc garder, jalonner, etc... S'il se retrouve seul face à du gros, il n'a qu'1 seule solution : l'esquive... mais comme tous les véhicules blindés < 40 t. Maintenant s'il se retrouve tout seul face à du gros sans possibilité de soutient inter armes (MBT, Alat, artillerie, ...) c'est que l'évaluation de la menace et la conception de la manœuvre ont merdé. Donc, pour moi, je trouve que le 40 mm est parfaitement dimensionné pour les missions envisagées pour l'engin ; ce n'est pas un canon automoteur de soutien d'infanterie comme le Stryker 105, par ex. Dans la doctrine française, ce rôle est plutôt dévolu au futur mortier sur VBMR (j'espère vraiment que ce ne sera pas bientôt "l'ex-futur mortier...") Il y a un point sur lequel je suis d'accord avec @g4lly. On nous a vendu le Jaguar comme remplaçant le 10 RC, la Sagaie ET le VAB Hot. Et je vois mal la bête faire du bouchon anti-char s'il le faut. En effet, depuis la conception du Hot, la portée des canons des MBT a presque doublé et il serait suicidaire de vouloir faire de l'antichar sur un véhicule de 25 t à la même portée max que les canons des MBT qui se pointent en face. Maintenant que le MMP est au point, il ne serait peut-être pas trop compliqué d'en faire une version "allongée", juste avec plus de poudre propulsive et une fibre plus longue. Histoire que la portée passe à 6000 + Enfin, je trouve qu'il manque quand même un truc sur le Jaguar : une 12,7 en coax. A l'heure où beaucoup d'engagements se font contre des forces imbriquées avec la population civile, avoir un moyen de taper au-delà des 600 m de la 7,62 sans risquer trop de dommages collatéraux pourrait manquer. Voilà, voilà... @+
  23. reinel

    [EBRC/Jaguar]

    Bonjour VBCI => moteur avant ; Jaguar => moteur arrière. Donc caisse plus basse Bon, on aurait pu aussi "retourner" la caisse du VBCI... mais je pense que le boulot à faire dessus aurait été plus important que de partir d'une feuille vierge @+
  24. reinel

    [EBRC/Jaguar]

    Salut Je pensais exactement comme toi (je crois d’ailleurs l'avoir écrit dans un post précédent). Maintenant je me dis que dans les critères incontournables du cahier des charges figure peut-être la possibilité de conduire "tête dehors". Et un glacis tel que celui des 1ère illustrations ne le permet pas. @+
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