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kor4116

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  1. https://www.indiatoday.in/india/video/make-rafale-in-india-not-just-for-indian-market-but-also-for-uae-qatar-egypt-markets-ambassador-mohan-kumar-2492720-2024-01-23

    L'ancien ambassadeur indien en France propose que les avions de combat Rafale soient produits localement en Inde, non seulement pour l'usage intérieur indien mais aussi pour les marchés internationaux potentiels (EAU, Qatar, Egypte).
    Il considère le partenariat de défense franco-indien comme « la seule relation dans laquelle il n’y a absolument aucune concurrence ».

     

  2. https://www.shephardmedia.com/news/air-warfare/german-companies-sign-contract-to-develop-key-scaf-technologies-including-remote-carriers/?utm_source=rss-twitter&utm_medium=Sendible&utm_campaign=RSS

    L’Allemagne sélectionne un consortium pour développer des technologies SCAF clés et des « transporteurs distants

    Airbus s'est associé à Future Combat Mission System (FCMS) et à MBDA Allemagne pour développer des technologies clés pour le programme Next-Generation Weapon Systems (NGWS), après que les sociétés ont signé un contrat avec l'agence allemande d'approvisionnement en matière de défense (BAAINBw).

    Élément central du programme franco-allemand-espagnol Future Combat Air System FCAS/SCAF, le NGWS comprend un avion de combat de nouvelle génération (New Generation Fighter ou NGF) et un UAS (Remote Carrier ou RC), qui seront connectés via un cloud de données vers d'autres systèmes et plates-formes.

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  3. il y a 49 minutes, herciv a dit :

    Le ministre a indiqué la ligne rouge que les allemands ne doivent pas franchir. Il suffira de tester cette ligne rouge pour savoir ce que le SCAF deviendra. Article de CABIROL ce matin sur le sujet.

    https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/exportations-du-scaf-et-mgcs-s-il-devait-y-avoir-des-manquements-cela-mettrait-fin-aux-projets-sebastien-lecornu-978246.html

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    Exportations du SCAF et MGCS : « S'il devait y avoir des manquements, cela mettrait fin aux projets » (Sébastien Lecornu)

    Interrogé par les députés sur la menace allemande sur les exportations d'armements françaises, le ministre des Armées a estimé qu'il « n'y avait pas de schémas dans lequel l'Allemagne a un droit de veto » sur les ventes d'armes de la France.

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    Pas question « de penser qu'on va sur le SCAF ou sur le MGCS en trahissant notre souveraineté. Ce n'est pas vrai » (Sébastien Lecornu, ministre des Armées) (Crédits : Reuters)

    « Est-ce que nous dépendrons de l'Allemagne dans notre capacité à l'export ? Jamais », a tonné, en réponse à une question du député RN, Nicolas Meizonnet, le ministre des Armées Sébastien Lecornu, lors d'une audition à l'Assemblée nationale le 26 septembre sur les exportations d'armement et les exportations des biens à double usage de la France. Pourtant, en dépit des accents gaullistes du ministre des Armées, Berlin peut tout à fait s'opposer à l'exportation d'un système d'armes ayant des composants et/ou des équipements fabriqués en Allemagne vers un pays blacklisté.

    C'est notamment le cas actuellement de l'Arabie Saoudite. Ainsi, Berlin fait enrager depuis plus de trois ans Londres, qui ne peut plus exporter le Typhoon - un programme en commun d'avion de combat entre l'Allemagne, la Grande-Bretagne, l'Italie et l'Espagne - vers le royaume wahhabite. C'est pour cela que Ryad demande aujourd'hui le principe de « German free » à tous les industriels de l'armement qui lui fournissent des systèmes d'arme. D'une façon générale, l'interdépendance industrielle mondiale conduit l'industrie de l'armement à dépendre partiellement des ses fournisseurs étrangers.

    Plusieurs refus de Berlin

    En revanche le Bundestag (Parlement allemand), comme le souligne Sébastien Lecornu, ne peut pas empêcher l'octroi de licences d'exportation d'armes. « Laisser à penser que le Bundestag pourrait empêcher des licences d'exportation d'armes françaises, cela n'existe pas. On pourra le répéter à l'envi. (...) Je le redis : « non il n'y a pas de schémas dans lequel l'Allemagne a un droit de veto sur nos exportations d'armes », a expliqué le ministre des Armées.

    Pour autant, Berlin s'est opposé plusieurs fois dans le passé à des exportations de systèmes d'armes français. Cela a été le cas pour les blindés Arquus, dont le VAB et Aravis au début des années 2010, pour la PME Nicolas Industrie, qui a été contrainte de lancer un plan social et de transformer son modèle économique, ou encore avec le missile Meteor de MBDA. « Un simple joint a bloqué » des affaires, avait expliqué en février 2019, le PDG d'Arquus, Emmanuel Levacher. Par ailleurs, la volonté allemande de transférer les dispositifs nationaux des contrôles des exportations d'armement à l'échelon européen trahit la volonté de s'opposer aux exportations de ses principaux concurrents européens et, en premier lieu, de la France.

    Hypothèse d'un arrêt des projets SCAF et MGCS

    S'agissant de programmes en coopération entre la France et l'Allemagne, les deux pays ont signé un accord début 2019 sur le contrôle des exportations en matière de défense, dont le point majeur est le principe « de minimis ». Cet accord, qui réactualise les accords Debré-Schmidt signés en décembre 1971 et en février 1972, va essentiellement concerner le système de combat aérien du futur (SCAF), et plus précisément le projet de système d'armes du futur (Next Generation Weapon System - NGWS), ainsi que le char du futur (Main Ground Combat System) et le drone MALE, Eurodrone.

    Ainsi, l'Allemagne ne pourra pas s'opposer à l'exportation de ces systèmes d'arme lorsque la part de produits fabriqués par les industriels allemands n'excèdera pas le seuil de 20% (hors activités de maintenance, pièces détachées, formation, et réparations). Dans ce cas, Berlin devra délivrer les autorisations de transfert ou d'exportation sans délai, sauf de façon exceptionnelle, lorsque ce transfert ou cette exportation porte atteinte à ses intérêts directs ou à sa sécurité nationale. Et vice-versa.

    Sébastien Lecornu a été clair sur la question de l'exportation du SCAF et du MGCS : « s'il devait y avoir des manquements (de l'Allemagne, ndlr) à cela par des contrariétés diverses et variées, cela mettrait fin aux projets ». Pas question « de penser qu'on va sur le SCAF ou sur le MGCS en trahissant notre souveraineté. Ce n'est pas vrai », a-t-il insisté. Pour autant, le programme SCAF ne sera mis en service qu'à l'horizon 2040... Pour la Cour des comptes dans un rapport publié en janvier 2023, « il conviendra de s'assurer dans le temps long du bon fonctionnement » de l'accord franco-allemand.

    Enfin, le ministre des Armées fait valoir que le gouvernement, contrairement aux partis qui critiquent l'axe franco-allemand en matière de coopération, « tente quelque chose » avec le lancement du SCAF et du MGCS pour « reconquérir des parts de marché ». Et de conclure qu'« il n'y a pas plus gaulliste que moi. Je suis sûrement le moins européen des membres du gouvernement. C'est connu, et je l'assume ».

     

    La lettre de novembre dernier et l’article d’aujourd’hui s’inscrivent finalement tous dans le même contexte. Le ministre de la Défense ne peut pas révéler de détails, mais il l'explique pour donner une assurance. Dans ses propos, il y a de la confiance plutôt que de vagues espoirs. Il est de notre responsabilité mutuelle de surveiller et de contrôler si ces accords sont correctement respectés pendant l'avancement du projet. Si l'une des parties viole l'accord, le projet sera naturellement détruit. Cependant, je ne crois pas que les propos du ministre soient un prélude à l'intention de la France de détruire le projet. Si la France, prudente quant à la liberté des exportations vers l’étranger, avait eu le moindre doute, je pense qu’un accord sur la phase 1B n’aurait pas été trouvé.

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  4. Le 26 novembre dernier, à l'issue des négociations de la phase 1B, la question des futures exportations outre-mer du SCAF avait été évoquée dans une lettre adressée par le ministre de la Défense Lecornu à Thomas Gassilloud. Dans le texte principal, il est décrit comme suit.

    Par ailleurs, notre capacité à exporter cet avion vers nos partenaires, notamment dans  l’lndopacifique, est une donnée d'entrée connue de l’Allemagne et de l’Espagne, sur laquelle nous  ne reviendrons pas.

    Cela montre que les droits d'exportation gratuits de SCAF dans la région Indo-Pacifique étaient une question clé que la France exigeait de l'Allemagne au cours des longues négociations de ces dernières années. Et ne serait-il pas raisonnable d’admettre que l’Allemagne et l’Espagne l’aient clairement accepté ? N’est-ce pas de là que vient la confiance de Lecornu ?

  5. https://aviationweek.com/defense-space/aircraft-propulsion/uk-prime-minister-lobbying-germany-over-eurofighter-sale-saudi

    La seule nouvelle claire depuis plusieurs jours est que la Grande-Bretagne lance une offensive tous azimuts pour vendre des Eurofighters aux Saoudiens. À cette fin, la Grande-Bretagne a même envisagé d’exclure temporairement l’Allemagne du programme Eurofighter. Une tentative de faire produire des pièces et composants de chasseurs allemands par d’autres pays membres. Cette option a cependant été abandonnée.

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  6. Il serait très surprenant que cet équipement soit un module de guerre électronique furtif capable d'effacer le Rafale du radar ennemi. En particulier, l’intégration de nacelles de brouillage dans le pylône d’armement est une idée très astucieuse. Cela ne compromet pas la charge utile en armes du Rafale.

  7. Il y a 4 heures, herciv a dit :

    Difficile à dire. 

    Si on regarde le seul angle budgétaire oui çà pourrait changer la donne pour le MMRCA2.

    Mais sur le plan opérationnelle le LCAMK1 ne rempli absolument pas le besoin du MMRCA2.

    Je pense donc que l'angle qu'il faut regarder est essentiellement politique. J'ai tendance à penser que lâcher du lest sur le LCA MK1A permet à l'IAF de faire taire les critiques sur le "Make in India" concernant le Rafale. Le message étant "dès qu'on peut on achète Indien mais sur le segment du Rafale il n'y a rien de possible d'autre que le MMRCA2".

    En termes de budget, je pense que la production supplémentaire de 100 chasseurs LCA MK1A a le potentiel de réduire le mmrca 2.0 d'environ la moitié. Dans ce cas, il y aura 57 avions de combat. N'est-ce pas un principe de base du MMRCA 2.0 de construire une chaîne de production en Inde ? Une commande d'au moins 100 Rafale sera nécessaire pour mettre en place une ligne de production en Inde. Pensez-vous qu’ils vont briser le principe du made in India ?

  8. https://economictimes.indiatimes.com/news/defence/indian-air-force-chief-announces-plans-to-buy-around-100-more-indigenous-lca-mark-1a-fighter-jets/articleshow/103711549.cms?from=mdr

    L'Inde prévoit d'ajouter plus de 100 LCA MK1A à son plan d'introduction de LCA existant. Pensez-vous que cette décision apportera des changements au MMRCA 2.0 ?

    Le colis lui-même sera-t-il annulé ou la quantité changera-t-elle également ? La quantité d'introduction prévue a continué de changer pour passer à 126, 114, 90 et 57. Lequel est réaliste ?

     

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  9. https://www.intelligenceonline.com/international-dealmaking/2023/08/22/london-speeds-up-negotiations-with-riyadh-on-typhoon-order-and-sixth-generation-fighter-programme-membership,110034552-eve

    Malgré les objections du Japon, la Grande-Bretagne semble désormais avoir du mal à impliquer l'Arabie saoudite dans le projet GCAP. Ce qui m'intéresse, c'est la corrélation entre le Rafale et le projet GCAP en Arabie Saoudite. A terme, si l’Arabie Saoudite participe au projet GCAP, retirera-t-elle l’achat du Rafale ? Est-il possible que les deux combattants soient ensemble en Arabie Saoudite ?

     

  10. https://www.defense-arabic.com/2023/08/08/صحيفة-إسبانية-المغرب-يسعى-لشراء-مقاتل/

     

    Le Maroc a demandé à plusieurs reprises le F-35 aux États-Unis au fil des ans, mais il semble qu'il ait finalement été rejeté par les États-Unis. Le Maroc regarde maintenant le F-15 comme son prochain candidat. Dans le même temps, l'article mentionne que la France a proposé des avions de combat Rafale au Maroc à des conditions attractives. L'article garde toujours un ton pessimiste pour Rafale, mais est-ce encore une possibilité pour Rafale au Maroc ?

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  11. il y a 42 minutes, PolluxDeltaSeven a dit :

    Les choses se sont passées différemment.

    En 1999, au Kargil, les Indiens ont été impressionnés par le Mirage 2000. Ils ont fait une demande pour 126 appareils, avec entre 12 et 18 appareils à produire en France, et le reste à produire en Inde (ça vous rappelle quelque chose ?).

    Dassault leur a proposé leur propre chaîne puis, vu qu'ils tardaient à se décider, on a même évoquer le transfert de la chaîne en Inde. Certes, l'avion était en fin de vie (même s'il avait encore quelques sérieux prospects à l'époque), mais ce n'était pas spécialement un problème pour les Indiens. Comme pour le Jaguar, l'idée était de s'approprier la machine et sa chaîne logistique et de produire leurs propres pièces et surtout leurs propres variantes optimisées. On était pas dans le cas de figure d'un petit pays achetant quelques dizaines d'appareils en dépendant à 100% du fournisseur étranger. Pas sur ce contrat là en tous cas.

    Bref, c'est compliqué de refaire l'histoire. On peut aussi imaginer qu'une vente de 126 Mirage 2000-5 Mk2 en 1999-2000 aurait pu permettre de redonner un dernier souffle à l'avion, et de renforcer sa position sur certains prospects (Brésil, Chili, Indonésie, Egypte, etc.). Ou pas. Franchement on en sait rien. Ce qu'on sait c'est que les Indiens ont tellement tardé que le 2000 n'était plus en production, que l'ennemi à leurs portes avait gonflé ses muscles, et que du coup il leur fallait plus lourd, et ils ont fini par prendre du Rafale.
    Mais le but de mon poste n'était pas de parler de Mirage 2000 ou de Rafale spécifiquement. Juste de dire que New Delhi manque chroniquement de vision à long terme sur sa stratégie des moyens, contrairement (typiquement) à la Corée du Sud par exemple. Et c'est vraiment dommage pour eux, parce qu'ils ont systématiquement un train de retard, et jamais les meilleurs tarifs ni les meilleurs transferts techno.

     

     

    La Corée préfère le travail rapide. A l'inverse, en Inde tout se fait lentement. Comme l'a dit le président de Dassault, il faudra être patient avec l'Inde. Actuellement, l'Inde manque de plus de 10 escadrons de combat, et comme il s'agit d'une pénurie chronique de chasseurs, le Saint Graal est en possession de Rafale dans la situation actuelle. Si une grosse affaire est conclue, l'Inde sera le plus gros acheteur de Rafale et le point final.

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  12. il y a une heure, PolluxDeltaSeven a dit :

    Ça me rend quand même presque triste pour eux. Rien que sur les avions de combat, s'ils avaient eu une vision stratégique claire, ils auraient signé pour les 126 Mirage 2000-5 à assembler sur place en 2005, et auraient pu se faire la mains sur des versions spécifiques. Aujourd'hui, même avec une cadence de production digne de HAL dans ses mauvais jours, ils en auraient terminé la production ou seraient en passe de le faire (et auraient peut-être même pu espérer en produire pour le compte de partenaires régionaux). Leurs MiG-21 / MiG-27 auraient tous été remplacés, et ils seraient probablement en train de convertir leur chaîne Mirage en chaîne Rafale pour remplacer leurs Jaguar et MiG-29, sans parler des besoins Marine. Rafale qui auraient pu être propulsé par une variante plus puissante du M88 conçue en partenariat Inde/France pour équiper également leurs LCA.

    Bref, ils auraient déjà assemblés entre 150 et 200 avions occidentaux, avec probablement plus de 65% de pièces produites sur place, et de sérieuses compétences en matière de propulsion et de système d'arme.

    Malheureusement, ce n'est pas la voie qu'ils ont choisi, et ce n'est pas comme ça qu'ils fonctionnent. Il suffit de voir la différence entre leur programme d'acquisition de "compétences" sur les sous-marins et celui des Sud-Coréens !

    Le Mirage 2000 est entré en production en 1978 et a été abandonné en 2007 après le MK2 acheté par la Grèce. Dans la position de l'Inde en 2005, être le dernier client à acheter le produit aurait été assez lourd. La marine indienne a peut-être ressenti la même chose lors de l'examen du Super Hornet. Cependant, la situation actuelle du Rafale est différente. L'économie indienne s'est renforcée et le Rafale continuera d'être produit pour des clients nationaux et étrangers pendant encore au moins 15 ans. Il a également des plans et des visions spécifiques pour les mises à niveau pour les décennies à venir. Du point de vue de l'Inde, cela vaut la peine de parier.

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  13.  

    https://www.shephardmedia.com/news/air-warfare/enhanced-india-france-defence-cooperation-is-to-include-rafale-m-fighters/

    Un commentaire intéressant d'un officier de la marine indienne.. la vente de Rafales fabriqués en Inde à des pays tiers

     

    Un officier de l'IN a déclaré: "Il serait préférable de combiner l'armée de l'air indienne avec les exigences de l'IN, de construire ici une installation pour les moteurs et d'accepter la vente de Rafales fabriqués en Inde à des pays tiers". «Cela apportera des économies sur les coûts d'interopérabilité, de maintenance et de formation pour rendre les retours commerciaux positifs

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  14. il y a 29 minutes, mgtstrategy a dit :

    2025... C'est pas loin. En tt cas, la France a parlé à l'Arabie Saoudite mais en tt cas je note qu'elle est restée fidèle au typhoon....

    Pas de nouvelles de la colombienne? Elle avait l'air sympa mais un peu une tease

    https://www.infodefensa.com/texto-diario/mostrar/4346527/dassault-expone-petro-ventajas-caza-combate-rafale

    https://www.infodefensa.com/texto-diario/mostrar/4345992/colombia-no-comprara-dinamarca-aviones-f16

    Lors de la visite du président colombien en France, il a expliqué les coûts, les compensations et les financements proposés pour l'achat du Rafale. Le président colombien a déclaré qu'une décision de principe serait prise en 2025-2026. Cependant, étant donné la courte durée de vie restante du kfir, la décision devrait être beaucoup plus tôt que cela. De plus, la possibilité d'acheter un F-16 d'occasion au Danemark est désormais exclue. Cet avion ira probablement en Ukraine.

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