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Loïc C.

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Tout ce qui a été posté par Loïc C.

  1. Loïc C.

    Le(s) PA de la Royale

    Ben,voui, mais que fait cette saloperie de larve de moustique, pendant qu'on déblatère à l'envie sur son supposé devenir écologique. On aura beau lui chercher des excuses, le moustique est et reste un vecteur potentiellement mortel, qui ne présente, strictement, aucun avantage. Même passé à la loupe, avec des intentions "écolo +++", le moustique reste un vecteur potentiellement mortel. Le notre, en France, est presque "sympa", car la femelle, qui se "contente" de nous pomper le sang, nous contraints "juste" à nous gratter!
  2. Loïc C.

    Le(s) PA de la Royale

    Je t'apprécie, vu la qualité générale de tes interventions, mais, dans ce domaine très spécifique de l'âge du recrutement -sachant que, à 17 ans révolus- - ce qui était mon cas, avec l'accord écrit parental signifié -, la Marine était la seule Armée française à pouvoir recruter des engagés de moins de 18 balais. Entre nos engagements respectifs, il s'était écoulé près de six ans, or, jusqu'en 1970, la "Royale" était restée figée dans son supposé vieux système. "Cependant, il y avait une différence notable le CS était bien en position d'admissibilité au grade de SM, ce qui n'était pas le cas des Choufs + 10." ... Ben, non, parce que, dans les deux cas, ils avaient aucune chances de pouvoi parvenir à être admis au cours qui leur aurait conféré d'office le droit de porter la casquette, alors qu'ils étaient, très souvent, bardés de médailles pour faits de guerre. A ce sujet, c'était devenu très compliqué pour un officier, de marine ou autre, de devoir saluer, réglementairement, un "clampin" de base de son unité, même pas sous-off, mais décoré, lui, de la Légion d'Honneur. La plupart des QM CS, que j'ai pu côtoyer, arborait, souvent, une panoplie de décorations, qui n'aurait rien eu à envier à un général soviétique, sauf que la France a, toujours, été très "radine", dans le domaine des distinctions militaires. On avait fini, au début des années 2000, à se la jouer à l'américaine, en attribuant, au prorata des temps de "campagne" effectués, des"bédailles en chocolat"!
  3. Loïc C.

    Le(s) PA de la Royale

    Je vous aime bien, tous, avec vos supposées "analyses modernes", mais l'action et intervention de nos armées sont fondées sur notre longue expérience des différentes conditions de combat et que, de nos jours - même, si les média en font fait des caisses avec nos "forces spéciales, c'est notre "pinpin" très bien formé, qui tient et assure le terrain! L'homme de base bien formé est sensé constituer, à terme, sur le terrain, la future autorité subalterne, sauf que, bien souvent, nanti, grâce l'Armée, de ses différentes formations, il a, très souvent, constitué, souvent, un plus dans le Privé, à salaire très supérieur et des conditions de vie"normale", ce qui n'est pas très difficile par rapport à ce qui existe dans "La Royale". C'est assez compliqué à expliquer, mais, dans la Marine, une fois que tu étais breveté dans ta spécialité, tu étais sensé te démerdaver tout seul et en prendre plein la tronche, si tu avais le malheur de te planter. Déjà, ta propre hiérarchie directe, qui était très peu nombreuse, ne connaissait strictement aux subtilités de ta "spécialité"! Je vais prendre un exemple... En sortie de mon cours d'Elaer, je m'étais retrouvé être le seul "Electricien d'équipement", au sein d'une équipe de mécanos expérimentés, chargés de l'ultime stade de la révision des Alouettes II de la Marine, 250, 500, 1000 heures... avant de repartir en usine. Personne ne pouvait m'aider au sein de l'équipe, hiérarchie incluse, pourtant dès plus sympas et prête à me filer un coup de main... sauf que mon domaine d'activité leur était totalement inconnu! J'en avais très sérieusement bavé, étant, certes, compétent en latin et rédaction française... ce qui ne me servait strictement à rien pour dénicher une clé de 12 - c'et quoi, ce truc ??? - ou, pire, dans la caisse à outils américaines, étalonnées en pouces... car, régulièrement, "L'équipe V3" intervenait sur de vieilles "rampouilles" ricaines, comme les Bell 47 G de la "Protection Civile", qui effectuaient, alors, au printemps, de l'épandage intensif anti-moustique sur l'immédiat arrière-pays provençal! Vu nos règles écolos actuelles, je risque fort de me faire tacler avec ces dispersions intensives de "DDT" en poudre, mais si le touriste à Saint-Trop, n'est, de nos jours, pas "bouffé" par les moustiques, ce n'est que le seul résultat de l'éradication intensive systématique, menée dans les années 60-70. Depuis lors, les "Ecolos" se sont emparés des supposées conséquences humaines de cet épandage aérien ; certes, il existait des risques mais ils n'étaient en rien comparables aux dégâts transmis par cette "saloperie" de moustique ; en plus, il y en a qui viennent, de nos jours, du territoire extrême asiatique, par différentes voies, dont celle du trafic commercial maritime, en comparaison desquels, nos aimables "cousins" de zone marécageuse, ne sont que d'aimables "apprentis , dont nous avions consciencieusement, les décennies précédentes, réussi à éradiquer les possibilités de prolifération. Si le touriste à Saint-Trop ne se fait pas ravager, de nos jours par les moustiques, c'est uniquement le résultat de ces campagnes d'éradication "polluantes" intensives au DDT! Amen!
  4. Loïc C.

    Le(s) PA de la Royale

    Quand je m'étais engagé - puis, ultérieurement, rempilé (beurk, une "rampouille"! ) - nous avions 3 PA ( le Clem, le Foch et L'Arro, mais ce dernier s’apprêtait à finir sa carrière opérationnelle, comme transport d'aéronefs, en allant récupérer les Cruses aux States. A l'époque, "La Royale" comptait encore pas loin de 100 000 matafs, pour l'essentiel, des "professionnels", car les appelés étaient très rares, même au sein de l’Équipage (moins de 35%), et, en parallèle, l'Aéronavale, 10 000 "pinpins" - là, l'appelé était encore plus rare et, bien souvent, n'était qu'un sursitaire, qui avait accompli son cursus universitaire ou décroché son diplôme d'ingénieur, mais ne souhaitait pas se cogner le temps de service prolongé (6 mois supplémentaires) auxquels étaient, alors, assujettis les EOR. J'ai eu connu de vrais gags à ce sujet. Dans la vieille "caserne Martrou", à Rochefort, que certains, ici, ont encore connue, se déroulait le cours des Armuriers Aéro. A l'époque, on découvrait les premiers missiles Matra mer-mer. De temps en temps, chaque année, une poignée d'appelés, souvent moins d'une douzaine, était conviée à y suivre un cours raccourci, qui en faisait des "aides-armuriers". Un Second-maitre de 1ère classe, avec, alors, plus de 10 ans d'expérience, s'échinait (c'est le mot!) à leur inculquer les notions de base des missiles. Au bout d'un moment et de plusieurs heures de cours, il avait repéré sur le banc du fond, un élève, qui, certes, lui foutait une paix royale, mais n'avait strictement rien à secouer de son cours, car il dessinait ou se consacrait à des taches diverses, qui n'avaient rien à voir avec thème traité. Un beau matin, le SM 1 se venge en appelant au tableau "l'insolent", convaincu de lui mettre la honte! Le matelot "sans spé" ne se démonte pas, prend la craie, explique la genèse du concept du missile mer-mer, puis part, avec une grande aisance, dans les explications techniques sur les différents missiles Matra... domaine, où justement l'instructeur ramait "avec élégance" - Nota: il n'était pas le seul, car, au sein de cette même école, le passage des "tubes à gaz" aux premiers semi-conducteurs (le fameux transistor), au tournant des années 1966-1967, mettra, aussi, très sérieusement à mal bon nombre de nos instructeurs Elaer! - ; Au final, il s'était avéré que le "sursitaire", qui avait réussi un cursus "éclair", avait été embauché, dès sa sortie de l'école d'ingénieur par la firme Matra, pour la conception et la mise au point de ses missiles navals! Beau joueur, le "Boeuf" en avait immédiatement référé à sa hiérarchie - l'officier commandant l'école, un 4 galons (le premier bureau à droite, après l'entrée, dans le couloir de "l'administration"!) - et le "cancre", bombardé "Matelot Breveté provisoire", puis "Breveté de 1ère classe", y avait, tranquillement, fini son temps de service comme instructeur Missilier! Cà, c'était le "bon temps" des "Appelés", où l'Armée y découvrait des talents cachés ou non appréhendés. De nos jours, çà a bien changé! Le candidat engagé volontaire, quelque soient ses diplômes ou cursus supérieurs, est "décortiqué" et, en plus, désormais, mais çà date, déjà, de la toute fin des années 1960, postule pour une catégorie bien précise de spécialités et, si jamais, çà ne colle pas, peut, soit accepter d'être versé dans une autre catégorie, soit faire sa valise de "pékin" , soit aller voir dans le "civil", si c'est "plus mieux" ailleurs! De mon "temps" (1964), on s'engageait pour 3 ou 5 ans, puis on était expédié, par lot de 800 "engagés" au CFM Hourtin, où nous nous cognions, entre deux apprentissages "marins", 10 jours de tests psycho-machins et "culturation". En gros, on débutait "à 800" et on finissait à 10, le 10ème ou 11ème jour, pour être intégrés aux cours supposés les plus "pointus"- en ce temps, les "Pingouins" de l'Aéronavale étaient les mieux lotis, avec, dans un ordre croissant -en oubliant les Volants, pour lesquels les parfaites acuités acoustiques & visuelles étaient indispensables -, le Mécano (Mécaé), l'Armurier (Armaé), l'électricien d'Equipement (Elaer) et l'électronicien (Daraé), cette dernière spécialité (alors du type "long") n'ayant que très peu "d'élus"... une douzaine annuelle! Juste pour rappeler un "petit détail", quand on signait un contrat de 5 ans dans la Marine, on touchait, royalement, une prime d'engagement de moins de 2000 francs (équivalent de 300 roros de l'époque, sans tenir compte de l'inflation et du temps qui est passé), payée en plusieurs fois, alors que, en parallèle, dans l'Armée de terre, on touchait, rubis sur ongle, 10 000 francs (1500 roros ou plus), sachant que les cours d'instructions y étaient plus courts et que, si on n'était pas trop benêt et incompétent, on se retrouvait Sergent "PdL" (durant la durée légale), avec, à la fin du temps de service "légal", la solde de sous-off qui allait avec. En comparaison dans "La Royale", quand on se "démerdavait" bien, chez les Pingouins", nous étions généreusement promus quartier-maitre de seconde classe - caporal, selon l'assimilation en vigueur - au bout de 16 à 18 mois de service. On va appeler un chat, un matou, on ne s'engageait pas dans la marine pour y faire fortune! ... car il fallait compter pas loin de 4 ans de service (pour les plus chanceux!), plus un cours de "Chouffe" de 9 mois (dans la spécialité!) pour parvenir à décrocher "la casquette" d'officier-marinier, sans passer par Maistrance, les spécialités de Volants ou de Daraé! Après trois ans et 11 mois de service, promu SM2, je vouvoyais, par respect, au "Bar des Bœufs" et au resto, mes égaux en grade, qui, eux, avaient gravement "cagué", plus de 10 ans pour parvenir à enfin décrocher leurs propres casquettes. De mon temps, selon leurs spécialités et l'antériorité de leur engagement, il y avait un gros paquet de vieux quartiers-maitres, très compétents, incapables pour "raisons scolaires", d'accéder au "Cours de Chouffe". On avait, ainsi, créé, dans les années 50, chez les fusiliers-marins, le grade de Quartier-maitre de 1ère classe CS , CS correspondant à "Cadre Spécial", en leur conférant, us et égards à leur service durant la WW2, nos campagnes indochinoises et algériennes et leurs décorations décernées (Légion d'honneur + Croix de Guerre 1939/45 + TOE et Médaille Militaire), l'autorisation très exceptionnelle de porter la tenue des officiers-mariniers, avec un unique galon doré "zébré" de rouge! Il s'agissait de combattants, qui disposaient d'une compétence exceptionnelle, sauf que ces braves n'avaient pas acquis le bagage scolaire requis pour intégrer le cours qui leur aurait permis de décrocher la casquette. En 1964-1965, ces anciens combattants et leur précieuse expérience du combat constituaient, néanmoins, la structure essentielle du centre de formation des "apprentis-marins" du CFM Hourtin, sur le mode basique, mais, surtout, celle de la spécialité des Fusiliers-marins à Lorient. J'ai beaucoup de respect pour le Corps des Fusiliers- marins, mon propre père ayant été décoré & promu officier, au sein de la Brigade Ronarc'h, durant la Der des Ders - et, voui, çà date! - , mais, bon, à l'origine, le Fusilier-marin était, avant tout, un "Biffin" très pointu, sensé succéder à l'Infanterie de la Marine et ses fonctions à bord. Là, je donne l'impression d'être très sérieusement sorti du cadre des dernières questions, sauf que, depuis, bien avant, même, la fin du XIXème siècle, la Marine était, déjà, devenue un Armée de spécialistes!:
  5. Loïc C.

    Le(s) PA de la Royale

    Bonjour, Les effectifs de "La Royale", en 2020, étaient de 38 500 matafs. D'après les discussions sénatoriales, qui s'étaient déroulées cette année-là, à propos du ou des futurs PA, de 70 000 tonnes, qui sont envisagés pour succéder au CdG - en tenant compte du problème Covid, ils tablaient sur un équipage "au complet" de 2000 hommes, en ayant diminuer l'effectif total "embarquable" de 10%. Sur la base de 2000 matafs ("Chient-dans-l'Eau" & "Pingouins" cumulés), pour chaque PA de 70 000 tonnes, çà nous fait 4000, pour ces deux seuls bâtiments... 4000/ 38500 = 10,39% de l'effectif actuel... Dur, dur!... Sans parler qu'il est envisagé de "doubler" les équipages! D'autant plus que la Marine rame pour recruter des engagés sous contrat à long terme (5 ans et +) et encourager les "rempilements".
  6. L'article, dans le dernier LdF, évoqué plus haut, précise que l'homme était, certes, d'une compétence rare, en tant que conseiller militaire, au plus haut niveau, mais n'était pas taillé pour le costume de "Généralissime", qu'on lui avait "refilé" en septembre 1939... "Erreur de casting", car ce n'était pas un "décideur"!
  7. Je plussoie avec ton hypothèse de l'existence d'un "solide" vent de mistral, qui aurait tendance à écarter le bâtiment du quai (par le "cul"!), une unité de cette classe offrant une sérieuse prise au vent.
  8. En fait, on y retrouve une partie du boulot qu'effectuaient les anciennes unités de propagande, en diffusant des messages et de la "zicmu" par hauts-parleurs, afin de miner la tronche de l'adversaire. les Ricains, les Japs et les Nords-Vietnamiens - mais ce n'étaient pas les seuls - avaient largement exploité cette technique. Les Japs, par exemple, diffusaient des chansons américaines célèbres, les plus larmoyantes possibles, pour casser le moral des "Gars", qui n'étaient pas rentrés au pays depuis un bail et ne recevaient, bien souvent, des nouvelles de leurs proches qu'au compte-gouttes , alors que l'US Field-Post faisaient des "miracles". On oublie, trop souvent, le nombre incalculable de "cocus" ou largués par leur copines, durant un conflit, aux sein des armées. Ils constituent une cible de choix, pour la "propagande psychologique". Par contre, je crains fort qu'elle ne soit d'aucune efficacité dans le cadre des "excités" de Daesh, Al Qaïda et consorts, souvent "gérés" à la drogue, comme les "lardons", "enrôlés" dans certains conflits africains. Cette "fragilité" psychologique existe, même, en situation de paix! J'ai, ainsi, souvenance, dans les années 60-70, du retour imprévu (dans la journée!) à quai d'un de nos PA ou de la Jeanne, pour causes techniques, alors qu'il venait de prendre la mer pour mission de longue durée. Le "Pacha" avait, alors, accordé aux hommes mariés du bord, la permission de rejoindre leurs foyers pour la nuit. L'intention était sympa, mais le résultat, lui, avait été catastrophique, car les "permissionnaires" avaient découvert des "intrus", qui avaient enfilé leurs charentaises et pris leurs quartiers durant leur absence. Il y avait eu, dans la foulée, un pile de divorces, de sérieux conflits conjugaux et, a minima, des "Gars" rendus méfiants et, par voie de conséquence, du personnel peu motivé, car "obsédé" par le risque potentiel de devoir porter à nouveau des cornes. De mémoire, mais çà reste à vérifier, en cas de retour à quai impromptu, tout l'équipage, marié ou non, est, désormais consigné à bord.
  9. Merci (one more time). J'envisageais, aussi, ce genre d'emplois... après avoir écarté l'hypothèse de la diffusion de musiques militaires martiales afin d'encourager (à l'ancienne) le "pinpin" sur le terrain. [Non, ne me tapez pas sur la tête!]
  10. Merci! Qu'elle est son utilité ou sa fonction ?
  11. Bonjour, Je te réponds avec un peu retard. Il s'agit d'un dossiers de documents d'archive "Plans & Opérations Axe 1939-1942", qu'il convient d'acheter directement au US NARA (Washington - DC), ou auprès de Digital History Archive - WWII Allied Documents (http://www.digitalhistoryarchive.com)
  12. Je vais probablement proférer une niaiserie, mais çà me semble être une pointe arrière qu'ils en sont train de doubler, sauf que n'aperçois aucun bollard pour la garde et le traversier... ??? Je ne comprends rien à leur amarrage.
  13. Loïc C.

    Navy quiz

    Certes, Daniel, mais, même, si le bassin de Pearl Harbor était, naturellement, plutôt bien "foutu", ses dimensions étaient assez "rikikies" - rien à voir, par exemple, avec la spacieuse rade britannique de Scapa Flow - et sa profondeur faible (juste ce qu'il fallait pour un cuirassé!). Du coup, après le raid aérien nippon et les dégâts qu'il avait causés, l'US Navy avait été contrainte de devoir mettre "les petits plats dans les grands" et dépenser des wagons de $, pour la rendre, à nouveau, opérationnelle, le plus vite possible, en dégageant les épaves, car elle ne disposait, dans le coin, d'aucune autre structure comparable - la plus proche étant, probablement, celle de San Diego, située sur la côte orientale des States, ce qui n'était pas vraiment la porte d'à côté!-. D'autant plus que les Philippines étaient vite tombées, en 1942, dans l'escarcelle japonaise et que l'Australie n'était pas, elle, non plus, à "portée de fusil". En attaquant Pearl Harbor, les Japs avaient intentionnellement cherché à "immobiliser" et priver l'US Navy de ses plus grandes unités et de son mouillage stratégique sur l'île d'Oahu, sauf que, le 7 décembre (un dimanche!), les PA de la Flotte du Pacifique, qui y stationnaient, régulièrement, étaient de sortie pour un exercice. ... C'est ballot!
  14. Bienvenu de la part d'un autre "bleu bite", très récemment incorporé dans ce forum. Maintenant, après la lecture "en vrac" et en diagonale de son contenu, l'essentiel du propos est du genre "plus moderne, tu meurs". Par connaissance personnelle et relations régulières de longue date, je connais de vraies pointures technico-historiques (anciennes!), qui y campent, mais, globalement, l'axe d'échanges des discussions est moderne "plein pot"... j'aurais, même, tendance à dire, postérieures, à peu de choses près, à 1990! Cà ne minimise pas pour autant la qualité intrinsèque dudit forum, mais bien souvent, si tu n'as, au moins, fait ton service militaire, tu risques de pleurer ta mère, en lisant certaines discussions, où les interlocuteurs se plaisent à se balancer à la tronche des acronymes "imbitables" par le vulgum pecus ... et c'est, aussi, le cas, pour une très vieille "rampouille" dans mon genre - dans sa jeunesse, un engagé et réengagé volontaire de La Royale (la Marine) -, car j'ai, parfois, l'impression d'être resté coincé durant la Guerre de Cent Ans... Allez, soyons fous, la Seconde Guerre Mondiale!
  15. Au sujet du projet de franchissement des Ardennes par le Heeresgruppe A, il existe une synthèse, rédigée en septembre 1950, détenue par l'US NARA, sous la référence, EDS/APPREC/2, et intitulé "The German of Attack in the West - 1939-1940"; elle ne fait que 50 pages (couverture incluse), mais c'est du très lourd, car uniquement fondée sur les documents d'archive récupérés (OKW, Journaux de marche (Kriegstagebuch) des Heeresgruppen A & B 1939-1940, etc.) en fin de conflit et les multiples interrogatoires des principaux intervenants, Keitel, Jodl, Manstein, Guderian, Halder et autres. On y trouve, notamment, la traduction, en anglais, des nouvelles directives pour Unternehmen Fall Gelb, rédigées le 24 février 1940, sachant que depuis le 29 octobre précédent, soit 10 jours après la publication du "plan initial", çà s'était sérieusement pris chou à propos de l'option ardennaise. La première mouture prévoyait au Heeresgruppe B, celui qui était sensé "surgir" par les Pays-Bas et descendre, via la Belgique, vers le Nord-Pas de Calais, 43 divisions, dont 9 Panzer-Divisionen et 4 ID (mot.), soit la quasi-totalité des forces blindées mécanisées allemandes, l'OKH ne gardant en réserve qu'une Pz.Div. et une ID (mot). En parallèle, le Heeresgruppe A, qui, lui, n'alignait que 22 divisions d'infanterie piétonne, était sensé, en gros, après avoir franchi les Ardennes, effectuer une grosse diversion, à l'aile droite alliée et à l'ouest de la Ligne Maginot - le Heeresgruppe C étant missionné pour "figer" ladite Ligne Maginot et ses troupes de couverture massées derrière... en attendant la suite! Fin février 1940, les nouvelles consignes avaient totalement "bouleversifié" la distribution des troupes, car le Heeresgruppe A avait, dès lors, sous son autorité, 44 divisions, dont 32 divisions d'infanterie (ID), 2 Gebirgs-Divisionen, 7 Panzer-Divisionen et 3 ID (mot), tandis que le Heeresgruppe B, lui, ne comptait plus que 22 ID, 3 Pz.Div., 2 ID (mot.), 1 Kavallerie-Division et avait pour rôle d'agiter le chiffon rouge, pour attirer les Alliés aux Pays-Bas, en Belgique et les contraindre à dégarnir leur aile droite; manoeuvre qui avait marché mieux que bien, l'état-major français, le 10 mai, étant convaincu, sur la base du plan Schlieffen de l'été 1914, que la pénétration du Heeresgruppe B constituait l'axe de l'offensive majeure. Sinon, pour essayer de se faire une bonne idée sur la réalité "technique" du Haltbefehl, il existe plusieurs Kriegstagebücher, regroupés en Rolls US NARA numérisés, notamment, celui du Heeresgruppe A (Rundstedt), dans lequel on trouve les copies des notes de service de l'Oberquartiermeister, et - certes rédigée dans un style militaire "lapidaire" - la chronologie complète de la situation existante, le 23 mai 1940, au soir, au sein du Heeresgruppe A et ce qu'il s'en était suivi - prise de bec et échanges (polis) entre Runstedt et l'OKH, arrivée de AH, à Charleville, le 24 au matin, décision rapide d'entériner le Haltbefehl , suggéré par Rundstedt et dont la motivation était des plus sérieuses, etc. On reproche, souvent, de nos jours, à Rundstedt, d'avoir, par le biais cette halte, retarder l'élimination de la "Poche de Dunkerque" et permis, ainsi, à l'armée britannique de transborder le BEF. Néanmoins, il convient de ne pas oublier, que (largement) plus de 400 000 hommes (anglais et français) bien armés et équipés s'y étaient regroupés; en parallèle, côté allemand, les premiers contacts directs, à dater du 23 mai, s'étaient déroulés "en bordel, couvrez", avec quelques unités de pointe, en infériorités numériques patentes et dépourvues de matériels lourds (artillerie, blindés). Il avait fallu une bonne semaine, après la "jonction" des Heeresgruppen A & B - ce dernier, s'étant, lui-même, "dépouillé" de troupes pour "gérer" la poche de l'Armée Belge -, pour parvenir à "traiter", avec des pertes très conséquentes , la "Poche de Dunkerque". Loin de moi, l'idée de vouloir jouer à l'uchronie, mais, si, au lieu de procéder à une évacuation générale, "côté britannique", la Poche de Dunkerque avait été approvisionnée par voie de mer - ce qui était "techniquement" faisable, côté Navy et Marine Nationale -, çà aurait pu, éventuellement, constituer un très sérieux frein et une situation de "pourrissement" à la progression allemande, une sorte de Stalingrad avant la lettre. Bien sûr, ce n'est qu'une réflexion toute personnelle, sans aucune valeur historique, n'étant aucunement "Généralissime", mais la fulgurance de la progression allemande avait eu de très lourdes conséquences sur les capacités de réaction de notre Haut État-major, handicapé par une carence certaine en matériels de communication "sans fil", une partie très importante des échanges Première Ligne/HEM étant sensée, comme en 14-18, passer par les "Demoiselles des PTT", sauf que le front avait été globalement statique, durant la Der des Ders, alors que la progression allemande, au printemps 1940, de l'ordre de 40 bornes/jour (y compris quand çà coinçait!) avait eu pour conséquence logique, l'abandon de leurs postes par les fonctionnaires civils, même si nombre d'entre eux avaient effectué leurs tâches, bien au-delà de ce qu'il leur étaient réclamé. Techniquement, à propos du seul équipement de transmission, aussi bien sur le terrain, que pour les transmissions à longue distance, l'armée française était à la ramasse et, accessoirement, trop dépendante du réseau de communication civile, quelques avaient pu être ses qualités et l'importance de son réseau. A ce sujet, j'aime bien le premier opus de la 7ème Compagnie de Robert Lamoureux, même s'il s'agissait d'une comédie sans autre prétention que de faire rire son public, car Lamoureux passant son temps, dans les auberges et restos, pour tenter de contacter son état-major, par le téléphone PTT, était un vrai must !
  16. 1) En fait, la pénétration du Heeresgruppe B, par la Hollande, puis la Belgique, avait été la réplique du plan Schlieffen de l'été 1914 (sauf en ce qui concerne l'invasion des Pays-Bas, dont la neutralité avait, alors, été respectée, mais en 1940, à l'expérience de ce qui s'était passé en 14-18, les Allemands ne pouvaient pas se permettre de laisser, à nouveau, les Brits "magouiller" le long du rivage batave, en plus, il leur fallait "neutraliser au plus près" les probables raids aériens brits). Ce n'est fin février 1940, que l'option "ardennaise" du Heeresgruppe A avait été retenue, sachant que depuis octobre 1939, çà avait bataillé ferme pour arriver à la faire accepter puis entériner, au final, par AH, car beaucoup à l'OKH la trouvaient trop hasardeuse et considéraient que le terrain via le Luxembourg risquait fort de devenir un piège pour des troupes blindées et motorisées. Côté Armée Française, à propos de l'hypothèse ardennaise, il y avait bien eu, des 1936, un ou deux gégènes, qui avaient affirmé que c'était "faisable", mais c'était purement théorique et, comme chez les Allemands (d'où le freinage des quatre fers de certaines grosses légumes de l'OKH), il n'y avait aucune expérience réelle permettant d'affirmer que çà passerait crème. Du coup, le risque ardennais avait été écarté. Il ne faut pas rêver, ce n'était devenu "faisable", côté allemand, qu'à partir du moment où leurs premières troupes avaient franchi "l'obstacle", à partir du 13 mai - le mauvais temps qui avait précédé le déclenchement de l'offensive avait sérieusement inquiété et généré des sueurs froide quant à la réussite de la manoeuvre -. Par contre, le déshabillage de la ligne de front française, sur la Meuse, entre Givet et Douzy, pour faire monter les troupes en Belgique, en n'y laissant que des troupes "B" ou presque, n'avait pas été une décision heureuse, mais il ne faut jamais perdre de vue que le franchissement des Ardennes, par un corps de bataille aussi important, était considéré comme infaisable. 2) L'éternelle discussion sur la raison d'être du "Haltbefehl" du 24/26 mai 1940 et de son décideur - au passage, c'est le cheval de bataille de l'historien François Delpla -. C'est Rundstedt, lui-même, qui avait demandé d'effectuer cette halte pour raisons techniques, un, les hommes étaient rincés, deux, les blindés également, trois, ses lignes étaient dangereusement étirées et exposées à une éventuelle contre-attaque française sur son flanc sud, quatre, depuis le 10 mai précédent, les services de l'Oberquartiermeister, le Patron de l'Intendance, ne cessait de tirer des sonnettes d'alarme à propos de la maigreur des stocks de pièces de rechanges pour les blindés et véhicules (pneumatiques, etc.) et, au fil de l'avancée rapide des unités mécanisées, sur la difficulté de liaison des colonnes de ravito! Pour des raisons que j'ignore, la plupart des historiens ont "oublié" de s'intéresser à cet aspect "vulgairement militaire". Bref, après que Rundstedt, campant sur sa décision, se soit sérieusement pris le chou avec l'OKH, c'était remonté direct aux oreilles d'Hitler, qui avait sauté dans une Tante Ju et s'était fait transporter au QG de Runstedt, à Charleville, où il avait débarqué à 11H00 du mat. Bretzel & café d’accueil, puis point de la situation, en direct avec Runstedt, et à 11H37 (de mémoire), la demande de Rundstedt, pour une "halte" de 24 heures, était entérinée par le Führer, en personne. Après, ça avait été une succession de coups de téléphone et de crépitement de télex, pour mettre au courant l'OKH et Adler - qui, lui, passait son temps à râler chaque fois que les beaux plans qu'il avait concoctés étaient contredits (comme par hasard, il avait été opposé à la "solution" ardennaise!)-. Que Hitler ait voulu profiter du Haltbefehl pour "offrir" aux Brits, une porte de sortie honorable, telle qu'un éventuel armistice séparé, c'est possible, mais, si je me réfère aux documents existants, la raison première de la suspension passagère (entre 24 & 36 heures) de l'offensive du Heeresgruppe A, était avant tout "technique". D'ailleurs, durant ce délai, çà s'était sérieusement "manié le fion", dans l'infanterie et l'artillerie piétonne & hippomobile - qui s'étirait, le 24 mai, au soir, en gros, de Hirson, à l'est, à Boulogne-sur-Mer, à l'ouest! - pour recoller au peloton, tandis que les routes, entre Charleville et Boulogne, elles, avaient été réservées à la circulation des seules colonnes de ravitaillement "montantes".
  17. Loïc C.

    Présentation Loïc C.

    Excellent travail, au demeurant! Dans un esprit assez similaire, il y également la thèse de Didier Robineau, "L’introduction de l’électricité dans la marine militaire, 1880 – 1935", soutenue en mai 2019, qu'on peut dénicher sur le Oueb. De mémoire, c'est le camarade Armen 56, qui me l'avait dénichée. De temps en temps, l'auteur achoppe sur le "détail technique" - il y a de vieux grimoires, qui roupillent sur les rayons la BNF/Gallica et aident bien pour compléter - mais, globalement, c'est du lourd.
  18. Loïc C.

    Conflits méconnus

    Tu tapes "Invasion turque de Chypre", le résumé Wiki étant des plus corrects, d'après ce que j'ai connu de ce conflit, et tu peux, également, taper "Opération Attila".
  19. Loïc C.

    Navy quiz

    Il n'a pas existé dans l'arsenal des munitions modernes, à dater, à la louche, dès années 1870, d'obus explosifs "contre le bois"! Il existait juste des munitions explosives à fusée à impact, dont, éventuellement, suivant la qualité supposée de la surface d'impact, on réglait, manuellement, la molette de la fusée d'ogive sur "Zéro", entrainant la déflagration instantanée de la charge explosive.
  20. Loïc C.

    Navy quiz

    Qu'appelles-tu des bombes ""en bois" ??? Avec ces"Raiders", construits, essentiellement, en bois, il ne servait à rien d'essayer de les "traiter" aux perforants, utilisées dans les marines, conçues pour transpercer les cuirasses blindées, leur fusée d’amorçage de la charge explosif additionnelle étant inefficace sans impact direct sur une "surface" blindé. Un "Raider" allemand, dépourvu ou presque de blindage, une fois repéré et coincé, se "traitait" avec des munitions explosives, dotées d'une fusée à impact, en oubliant tout emploi d'une munition perforante avec fusée à retard!
  21. Loïc C.

    Presentation

    Je m'insurge en totalité contre ce genre d'affirmation "catégorique", son auteur ne me connaissant ni des lèvres, ni des dents et, de toutes manières, même en ayant parcouru, par malheur, certains de mes "petits Mickeys" - çà fait quinze ans que j'améliore ma retraite grâce à cet expédient! -, il risque de lui être très compliqué de vouloir me catégoriser chez de "supposés Érudits". Cà serait même, strictement le contraire, car, quand il m'arrive de devoir, à l'occasion, évoquer le quotidien du combattant, en dépit de mon passé militaire très spécifique, je me garde bien de la jouer "compétent"! Il y a, sur ce forum, de ce que j'ai pu constater, quelques uns des membres qui ont été au "casse-pipe", sauf que, globalement, ils l'évoquent sans chercher à s'atteler ou en faire des "caisses". C'est, d'ailleurs, tout le problème que ma génération de 1946 et au-delà avait alors rencontré, d'autant que, en ayant atteint un âge plus ou moins intelligent, en Alsace, particulièrement, pour des raisons complexes territoriales, le "Silence" était la règle! Il fallait "espérer" une fin de convivialité "arrosée", en campagne, pour obtenir la moindre confidence, y compris des détenus militaires français alsaciens-mosellans et autres du camp soviétique de Tampov, dont la plupart des survivants finiront par nous être restitués en 1946-1947. Quand on a eu connaissance de ces vraies douleurs familiales locales, consécutives à deux conflits mondiaux, on baisse sérieusement son "caquet" et on la joue modeste, quelque soit la durée personnelle de son propre engagement ... en temps de paix ou presque... vu que, de mon temps, au tournant des années 60-70, les appareils de reconnaissance de l'Aéronavale effectuaient, déjà, des missions régulières de reconnaissance à basse altitude de positions libyenne, armées de nombreux canons de DCA, redoutablement efficaces. Certes, Khadafi évitait, autant que possible, une extension "internationale" (surtout française!) du conflit existant, mais çà pétait localement beaucoup plus gravement que ce nous raconte de nos jours! En conclusion, même étant des plus "éclectique", par simple passion historique, je me suis essentiellement consacré à l'étude très compliquée de la seule armée allemande terrestre 1933-1945, sans devoir me référer, étant mataf , totalement, ignorant de ses règles, du carcan imposé par l'Armée Française, après 1918, vis-à-vis du Vaincu! Il y aurait très long à dire sur certaines analyses ou assertions françaises, traitant du haut niveau militaire, à propos de la constitution, plis ou moins spontannée de ses Kampfgruppe, et d'ailleurs, à narrer.. ils avaient infligé un tôle sévère, aux français, en mai-juin 1940! Notre "méthode opérationnelle militaire" avait ou était sensée être le fruit de nos succès de 14-18, sauf que, dans l'emballement "légitime" on s'était très sérieusement planté sur le "traitement général" de l'Allemagne, une situation totalement inédite, pour un supposé vaincu... surtout quand il nous propose une armistice!
  22. Loïc C.

    Navy quiz

    Certains "Raiders" de la Kaiserliche Marine, durant la Der des Ders, dans l'Océan Indien et le Pacifique, avaient, même, été "d'innocents" voiliers afin d'inspirer confiance à leur proies. Tu prends, par exemple, le Bélem, célèbre "vieux charbonnier" à voiles, juste pour te donner une idée; tu l'armes de canons dissimulés, tu y embarques un équipage militaire, dont une solide compagnie d'abordage et de prise. Tu le fais naviguer, en plein conflit, sous pavillon neutre, vu que le subterfuge est parfaitement admis par les Conventions de Genève, à condition d'afficher ses couleurs nationales, avant d'effectuer les sommations de règle pour l'arraisonnement du malchanceux marchand et, si nécessaire, ouvrir le feu... et, dès lors, tu installes une jolie pagaille, dans le coin, dans le commerce de l'adversaire. D'autant qu'un voilier, hormis se ravitailler, de temps en temps, dans des baies et abris paumés, en "frais" (viandes, légumes, fruits, eau douce), n'était pas sérieusement coincé par un problème d'autonomie en combustibles. Il avait, éventuellement, besoin de regarnir ses soutes à munitions, mais, face à ses "proies", il en consommait très peu, la plupart des arraisonnés préférant sagement obéir aux ordres. En général, la prise, avec sa cargaison, était "rapatriée" sur un mouillage ou un port neutre "bienveillant" - les Allemands avaient, aussi, à l'époque, des possessions coloniales maritimes -, sinon, elle était coulée, après ouverture des vannes de cale et/ou pose d'une charge explosive, après évacuation de son équipage, lui-aussi, suivant la distance des côtes les plus proches, généralement, emprisonné, puis débarqué dans un port local neutre ou transférer à bord d'un cargo ou un caboteur réellement de nationalité neutre; çà, aussi, c'est prévu dans les Conventions de Genève, issues de la vieille version navale des "droits de la mer", en temps de guerre et le pacha du Neutre ne peut pas s'y opposer, même si çà le contraint à effectuer un détour pour débarquer ses "passagers"
  23. Loïc C.

    Presentation

    Daniel, on ne dit plus code-barre, mais QR-Code! Sinon, pour être mataf, il faut naturellement être beau, classieux, élégant, supporter les tournées de muscadet, apprécier la promiscuité de longue durée avec ses congénères, savoir manier le pinceau et la serpillère... En Bretagne, de surcroit, être "amphibie" & "étanche", à cause des infiltrations d'eau de pluie (à terre!)... Dans le Sud, être capable de remonter au vent, en cas de mistral!
  24. Loïc C.

    Béret personnel Marine

    Voui, mais le pantalon à pont de la Choupinette n'est pas réglementaire, car le pont de celui de "La Royale" se boutonne "au-dessus " des passants de la ceinture et non "en-dessous" et le passage pour les poches est, à la fois, plus large et "mieux" dissimulé.
  25. Loïc C.

    Navy quiz

    L' USS Intrepid avec un "Big E" ? Sur son ilôt, il a un "I" majuscule... cf. photo-ci-dessous et ledit ilôt n'a pas, non plus, la même configuration que sur le cliché d'Ascromis
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