Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

Alberas

Members
  • Compteur de contenus

    1 458
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Alberas

  1. Tout dépend des conditions des conditions de l'appel d'offre et des contraintes imposées aux constructeurs.
  2. Que prévoit on de faire du CDG quand le futur PA sera là?
  3. C'est mon interprétation de cette phrase dans l'article: La Marine nationale française a mis en production un nouveau porte-avions en 2021. Il est prévu de remplacer le Charles de Gaulle en 2038. Peut-être qu'ils accéléreront les choses s'il y a un client.
  4. On comprend mieux pourquoi DA et ADS s'étripent depuis 2 ans sur la traduction contractuelle du terme de "leader" dans un accord trinational
  5. Je tombe sur cet article grec, qui semble reprendre des infos de la Tribune. Le CDG et des Barracuda, c'est crédible? https://www.olympia.gr/1511789/diethni/i-aigyptos-prosanatolizetai-stin-agora-aeroplanoforoy-kai-proigmenon-ypovrychion/ L'Égypte vise le marché d'un porte-avions et de sous-marins avancés Le Caire a manifesté son intérêt pour l'acquisition de sous-marins conventionnels Barracuda ainsi que d'un porte-avions capable d'emporter la version navale du jet Rafale, a rapporté le journal français La Tribune. Selon des sources militaires, l'Egypte serait intéressée par les sous-marins conventionnels Barracuda, qui sont fabriqués par la société française Naval Group. Il s'agit de sous-marins vendus à l'Australie (12 sous-marins d'attaque de 4 500 tonnes) avant que Canberra ne bascule brutalement vers des sous-marins nucléaires américains et britanniques dans le cadre de l'Alliance Aukus (Australie, Grande-Bretagne et États-Unis). Les négociations entre l'Egypte et la France pour cet accord massif ont commencé il y a plus de douze mois. En 2011 et à nouveau en 2015, l'Égypte a commandé quatre sous-marins U209 à l'allemand ThyssenKrupp Marine Systems (TKMS), et le quatrième sous-marin, le S44, a été reçu en juillet dernier. La Marine nationale française a mis en production un nouveau porte-avions en 2021. Il est prévu de remplacer le Charles de Gaulle en 2038. Peut-être qu'ils accéléreront les choses s'il y a un client. Pourquoi l'Egypte a-t-elle besoin d'un porte-avions ? La protection des ressources en eau est aussi une question de vie ou de mort. Les programmes d'armement ne sont fonction que d'une intelligence stratégique confirmée et non d'une humeur ou d'une émotion. Par conséquent, si l'Égypte cherche à acquérir des sous-marins plus puissants et plus tolérables avec un porte-avions, alors l'ennemi n'est pas Israël, qui est géographiquement proche, qui n'a besoin que de missiles moyens ou moyens, à court terme pour l'empêcher, mais le but ici est l'Éthiopie ou tout autre pays susceptible de menacer la sécurité des eaux égyptiennes au cours des 30 prochaines années. Tout le monde sait désormais que l'Egypte ne peut compter ni sur la communauté internationale ni sur les Nations unies, et que la force est le meilleur moyen d'imposer son respect et de protéger ses intérêts. Paris, fournisseur d'armes régulier du Caire L'Égypte, suite à la nouvelle politique d'exportation allemande et pour l'embargo international sur les armes russes, se tourne naturellement vers la France qui lui fournit régulièrement des systèmes d'armes de haut niveau (Rafale, porte-hélicoptères, frégate FREMM et corvettes Gowind, satellites, etc.). Au printemps, la France s'est rangée du côté de plusieurs établissements bancaires français - BNP Paribas, Crédit Agricole, Société Générale et CIC - pour financer un accord avec l'Egypte d'une valeur de 5,4 milliards de dollars (comprenant des chasseurs Rafale, des satellites, des avions de ravitaillement Airbus A330 MRTT), selon les sources militaires. Le satellite de poursuite sera fourni par Airbus Space, comme La Tribune l'a révélé en décembre 2020, et deux avions Airbus MRTT. Enfin, Le Caire a récemment acheté quatre radars GM400, qui sont des radars de défense aérienne 3D longue portée développés et conçus par Thales, selon le journal français. Caractéristiques du sous-marin Barracuda Le Barracuda a une longueur de 97 mètres et un déplacement de 4 500 tonnes. Le sous-marin peut rester en mer pendant trois mois ou parcourir 18 000 milles nautiques à une vitesse de 10 nœuds, une vitesse de traversée de 14 nœuds et peut également plonger à une profondeur de 300 mètres. Les systèmes de combat sous-marins se composent de 34 armes, dont six missiles de croisière lancés verticalement, ainsi que de drones. Il est également capable d'emporter des missiles anti-navires et anti-aériens Harpoon, ainsi que des mines et des torpilles Mark 48. Caractéristiques du porte-avions Charles de Gaulle Le porte-avions Charles de Gaulle "CDG" a été construit en remplacement du porte-avions de la classe Clemenceau au début des années 1960. La coque mesure 261,5 m (858 pi) de long, 64,36 m (211,2 pi) de large, 66,5 m (218 m) de haut et 9,43 m (30,9 pi) de tirant d'eau, avec un déplacement de 38 000 tonnes. Ces dimensions impressionnantes peuvent accueillir un équipage de 1 150, 550 membres d'équipage et 50 membres du personnel de soutien aérien, ainsi qu'un hébergement à court terme pour 800 Marine Fusiliers. En termes de puissance de feu que le porte-avions français peut utiliser contre des ennemis potentiels, le navire abrite jusqu'à 40 avions, dont 30 chasseurs multi-rôles Dassault Rafale M (avant 2016, ce rôle était joué par le Dassault-Breguet Super- Étendard), deux E-2 Hawkeye, deux hélicoptères NFH Caiman Marine, un Eurocopter AS565 Panther et deux hélicoptères AS365 Dauphin ("Dolphin") Pedro. Il y a quatre lanceurs Sylver à 8 cellules pour transporter les missiles sol-air (SAM) MBDA Aster 15 et deux lanceurs Sacral à 6 cellules qui utilisent le missile Mistral à courte portée. Pour l'autodéfense à courte portée, le navire était équipé de huit canons Giat 20F2 de 20 mm. La possession par l'Égypte de ce sous-marin unique et de ce porte-avions redoutable renforcera la flotte égyptienne avec des capacités sans précédent et raisonnables car c'est un pays avec des frontières maritimes s'étendant entre Bahreïn et d'énormes actifs financiers contestés. En plus de protéger la voie maritime internationale la plus importante au monde et de vouloir protéger sa sécurité nationale et préserver sa richesse face à un monde troublé régi par la loi de la violence plutôt que par la force de la loi. Arabe de défense — L'équipe d'information hellénique © Balkan Periscope - Giorgos Ekhedoros
  6. Et il ajoute aussi: Et d’ajouter : « La réalité est que le contenu de la phase 1B [démonstrateurs, ndlr] est utile, quoi qu’il arrive. Après, il est clair qu’on aura des rendez-vous », a-t-il conclu. Le SOW c'est la liste des taches. C'est plus ou moins détaillé en fonction du niveau des controles d'avancement (les "jalons") et des termes de paiement associés sur lesquels les contractants vont s'entendre. Et comme le diable se cache toujours dans les détails, on va vite se retrouver dans la dispute DA/ADS. Par exemple, si on prend l'exigence de DA d'être le maitre d'oeuvre avec ADS comme ss-traitant, c'est DA qui passera commande à ADS, controlera l'exécution des lots de travaux et validera les paiements. Vous y croyez? DA et ADS, c'est pas des enfants de choeur. Leurs directions juridiques vont s'écharper jusqu'à plus soif. Les contrats synallagmatiques, c'est pas de la philosophie. Exit le SCAF, parce que là, on diverge.
  7. Et bien moi, ce que je comprends explicitement, c'est qu'on en est toujours au "SEI". Autrement dit, on est encore très loin du contrat "synallagmatique" dont parle l'article de Laurent Lagneau. Parce que d'ici qu'on ait ce type de contrat entre la DGA et Dassault, puis entre Dassault et Airbus, beaucoup d'eau passera sous les ponts du Rhin.
  8. Une compétition, en espérant qu'elle ne soit pas trop biaisée, ne fera pas de mal. Et elle permettra de constater si une solution nationale peut se faire mieux, plus vite et moins cher qu'une coopération conflictuelle. Question subsidiaire: et par rapport au P8?
  9. Ce que je trouve curieux dans cette dispute sur le MIDCAT, c'est qu'il ne résout rien à court terme alors que tout le monde augmente sa ressource en GNL. Les interconnexions énergétiques sont plus que cruciales en ces temps de « solidarité européenne » forcée par la crise énergétique. Un projet illustre les difficultés : le gazoduc MidCat entre l’Espagne et la France, qui met dos à dos les plus grandes puissances économiques du continent. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, l’a pourtant martelé 11 fois lors de son discours attendu sur l’état de l’Union prononcé devant les parlementaires européens mercredi (14 septembre) : la « solidarité » entre les pays de l’UE est primordiale, tant pour les peuples de l’Union, que le salut des Ukrainiens. Et face à l’insécurité que traverse le continent, la première des solidarités est énergétique. Tout un symbole quand il s’agit de surmonter la difficulté de passer de la parole aux actes, comme l’illustre les tensions sur la reprise du projet MidCat d’interconnexion gazière entre l’Espagne et la France, au point mort depuis 2019. Le 5 septembre, le président de la République française a confié à la presse qu’ « il n’y a pas d’évidence de besoin » de relancer ce projet. Selon lui, la situation actuelle ne demandait pas un appel d’air dans les échanges gaziers entre la France et l’Espagne, dans la mesure où les deux gazoducs existants n’étaient utilisés qu’à 53 % de leurs capacités. Dès lors, et selon Emmanuel Macron, quel intérêt pour la solidarité européenne d’entraîner la région pyrénéenne dans de lourds travaux pour sa santé environnementale si les effets ne répondent pas à l’urgence de la crise énergétique actuelle ? Selon certains experts, la réalité donne raison à Emmanuel Macron, ne serait-ce que parce que depuis l’esquisse du projet il y a 22 ans, son ampleur a bien rapetissé, avant de ne constituer qu’une interconnexion mineure entre deux villes proches de terminaux de regazéification. Qu’en outre, l’Europe importe de plus en plus de gaz naturel liquéfié pour contrer la baisse des importations par gazoducs russes et développe à cet effet 10 projets de terminaux méthaniers supplémentaires, dont cinq en Allemagne. Conclusion: Où est l'objectivité?
  10. celle de la puissance économique, de l'influence sur la commission européenne. C'est pas moi qui parle de LPM. Je mentionnais juste un budget annuel
  11. Ce qui se fracture, c'est l'illusion d'une Europe unie, cette "belle histoire" qu'on a raconté aux populations . Elle avait un sens évident et une crédibilité aux débuts de l'Europe des 6, dans le proche après-guerre et les 30 glorieuses. Et puis, ... De nos jours, il est évident que l'UE est désiquilibrée, à la fois par la disparité des pays (en taille, en histoire, en aspiration) et par la suprématie que l'Allemagne a développée par rapport aux autres pays fondateurs et surtout la France, qui n'y est plus qu'un pays "moyen".
  12. Alberas

    Armée de l'Air hellénique

    Je crois que l'explication est à la fois stratégique et économique. Stratégiquement, c'est évident: face à la Turquie, la Grèce a besoin des USA. "Tu veux ma protection? ... OK? ... donc tu payes." Economiquement, la Grèce reste un pays fragile. Elle diversifie aussi ses créanciers. Avec les Rafale et les FDI, la Grèce a déjà une belle ardoise chez nous. Et en plus, on espère les Gowind ... Bercy est obligé de crier Stop!
  13. Je doute qu'une LPM puisse se préparer en quelques semaines. Les allemands ont d'abord besoin de voter le budget 2023. Ils le feront sans se préoccuper de la position française et pour leur seul intérêt. Et ils auront bien raison. Et ça doit être idem pour nous. Introduire des coopérations branlantes dans notre LPM, c'est se mettre des boulets aux pieds, alors que nous sommes en avance.
  14. Peu importe avec qui on coopèrera plus tard. Ce qui importe est d'arréter le massacre et les déclarations énamourées de nos représentants envers l'Allemagne. On ne respecte pas les faibles.
  15. Mais non! C'est le marchandage habituel. Un jour ou l'autre, il faudra bien sortir du quoi qu'il en coute.
  16. Honnêtement, Mme Truss m'indiffère. Mais l'accabler de tous les maux, en oubliant que notre PR a commencé son 1er mandat en diminuant les APL et en augmentant le prix du gazole, le tout agrémenté des 80km/h ... Bof Bof En plus notre classe politique est entièrement responsable de la situation catastrophique de EDF, elle s'est fait entuber en acceptant ce système absurde de valorisation des kw/h produits, ... Et pour cloturer le tout, elle nous abreuve de conseils =de grand mères pour se dédouaner de son incompétence et invente des usines à gaz ( ) pour distribuer des chèques . Moi j'appelle ça du mouvement brownien
  17. Alberas

    Eurofighter

    C'est beaucoup pratique ... le fric reste à Londres Mais que fait Edwy?
  18. https://www.naftemporiki.gr/story/1912479/ee-teleionei-i-agapi-metaksu-gallias-kai-germanias https://hirado.hu/kulfold/cikk/2022/10/06/toredezik-nemetorszag-es-franciaorszag-szovetsege Pour aller de Hostalrich (Barcelonne) à Barbaira (Aude) Il leur suffit de passer par le golfe du lion et ils emmerderont pas les Catalans.
  19. La presse internationale reprend en boucle les désaccords FR/ALL à la suite du repas insipide Scholtz/Macron de lundi et note que les déclarations d'intention bien molles des mindef sur le SCAF ne cachent plus l'échec sur le NGF. Il en aura fallu du temps Pour ma part, j'avais été très surpris de la virulence des attaques de Trappier (lors de sa presconf de juillet) sur le caractère trop politique et pas assez industriel du montage SCAF au point de me demander s'il attaquait ouvertement le PR ou si, au contraire, il était backé par lui pour couper les ponts avec AIRBUS DS. Maintenant on sait. Je suis heureux de constater que nos dirigeants ont enfin compris que le NGF Dassault/Airbus ne se ferait pas.
  20. Précisément. On peut supposer que les concepteurs connaissent ces prévisions. J'espère qu'un max d'entreprises françaises participera à trouver des solutions.
  21. Les absents s'en mordront les doigts. Ce sera la Babylone de 2050+. Abu Dhabi, Doha, Bahrein, ... sont devenues des must. Les Saouds feront +++
  22. Maintenant, on n'est plus "leader"? On est "chef de file"! Il va falloir de mander à Trappier comment ça se traduit. Tant qu'on est chef, tout va bien. Un homme politique n'admet jamais un échec personnel. Mais à la vitesse où avance ce projet, on peut avoir des doutes sur sa suite.
  23. Alberas

    L'Inde

    C'est surement parce que j'ai l'esprit un peu tordu
×
×
  • Créer...