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starpom

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Tout ce qui a été posté par starpom

  1. C'est bien un transport de troupes et non un ravitailleur. L'avantage d'un chassis Centurion est qu'il est disponible en grand nombre (Israël avait acheté des Centurion à la Grande-Bretagne, qui ont servi je pense en 1967 et 1973), et que ça grande charge utile lui permet de supporter une importance masse de blindage. On peut ainsi transporter des fantassins à l'abris des coups de RPG7. Maintenant lorsque les fantassins sont débarqués, ils ne sont pas tous seuls, et sont couvert par de nombreux blindés. Si l'engins sur la photo est hérissés de 3 ou 4 mitrailleuses de 7,62mm, c'est justement pour pouvoir effectuer un tir de saturations pour couvrir les fantassins. On n'est pas obligé en plus de les débarqués à découverts, on a vu lors d'opérations il y a quelques années, que le génie découpait les murs des bâtiments à investirs, puis les Achzarit se collaient au mur, et les fantassins sortaient directement dans la brèche, sans s'exposer au feu d'éventuels snipers. Ces véhicules sont techniquement très simples et incroyablement utiles en combat urbains, et je ne comprends pas qu'aucune armée occidentale ne veuille les copier... :rolleyes:
  2. C'est quoi ce truc encore ? :rolleyes: :lol: Non le merkava n'a jamais été exporté, il y a sûrement plein de raisons, comme la férocité de la concurrence, la largueur de son chassis qui l'empêche d'être transporté par train, ou surtout le fait que l'achat d'un matériel aussi emblématique de l'armée israélienne serait avant tout un geste éminemment politique... :? Nonon le merkava ne transporte pas que son équipage, il pourrait accueilir un sniper d'après GALIL10 (d'ailleurs si qqn a une photo... ;) ) capable d'ouvrir le feu par une trappe de toit, et des fantassins peuvent être transportés dans les compartiments arrières en retirants des munitions de 120mm, et débarqués par sa porte arrière :twisted:
  3. starpom

    Israël : Le Dingo II

    Je ne parlais pas forcément d'un VCI de 30 tonnes, mais ça serait bien de parvenir à mettre au point des engins pour améliorer les performances au combat de l'infanterie en forêt, parce que là, à 2-3 détail près (GPS, JVN, viseur point rouge), on est à peu près au même niveau qu'il y a 30 ans... Or il se pourrait très bien qu'à l'avenir on ait à nouveau à livrer combat en jungle ou en forêt :idea: :idea:
  4. starpom

    Israël : Le Dingo II

    D'ailleurs dès qu'il commence à y avoir de la végétation un peu épaisse, comme de la jungle, de la forêt tropicale, ou de la forêt normale, un peu dense, on n'a aucun véhicule de combat capable de suivre les fantassins, qui sont obligés de faire tout le boulot avec leurs petits bras et leurs petites jambes... :rolleyes: :rolleyes:
  5. starpom

    Transonique

    Pourquoi ??? :shock:
  6. Quelqu'un aurait une idée de ce que c'est que ce monstre ?? Ce qui m'épate, c'est qu'il y a même une crosse pour pouvoir l'épauler, et une alimentation par chargeur, sûrement pour que des fantassins puisse la trimballer :shock: :shock: :shock:
  7. starpom

    [Femmes soldats] Archive

    Est-ce que t'essayes de dire que le rôle des femmes c'es tavant tout de rester à la maison et de faire des enfants ? :P :lol: :lol: :lol: En angleterre, il y a eu un jeu de télé-réalité, qui est passé sur le câble en france "SAS entraînement de choc", où il s'agissait de faire passer aux candidats des pseudo-épreuves de sélection des SAS (en fait les épreuves étaient allégées), au final il s'agissaient d'un jeu fondé sur des épreuves physique, et bien les femmes se sont extrêment bien comportée, et c'est une femme qui a gagné la saison 2... Notamment il est bien connu que sur les épreuves d'endurance, où c'est davantage la force mentale que la force physique qui compte, les femmes sont au moins égales, sinon supérieures aux hommes... :!:
  8. Qu'est-ce que c'est le système Mars ? Donnez un minimum d'explication sacrebleu :mrgreen:
  9. Pfff ils n'ont rien compris, l'intérêt de l'AC-130 c'est de tirer des projectile non guidés en grande quantité et à une grande cadence de tir, et eux ils veulent lui mettre des Maverick, des Hellfire et des roquettes guidées... Y'a des A-10 et des Apaches pour ça !! :!: :!: Je n'ai pas trop compris l'histoire du truc qui permet au mortier de tirer à 360° quelqu'un pourrait traduire ou expliquer svp ? :oops:
  10. À votre avis ? :mrgreen: http://nicolasbarbaud.chez-alice.fr/pages/crash/videos/missile1.mpg Si le lien ne fonctionne pas, cliquez dessus avec le bouton droit de la souris. Ensuite, sélectionner "Copier le raccourci". Coller l'adresse dans la barre d'adresse de votre navigateur. Cliquez sur Ok et vous pourrez regarder la vidéo sans problèmes^^
  11. On s'aperçoit chaque jour que les engins les plus utiles et les plus efficaces en opex sont les bonnes vieilles ERC90, pourtant les futurs engins blindés qu'on envisage pour l'armée française, type VBCI à canon de 105 par exemple, n'ont rien à voir avec la sagaie, en terme de masse, de taille, de prix et de discrétion ! On a besoin de blindés (vraiment) légers (et peu coûteux) avec une bonne puissance de feu :twisted:
  12. Je ne suis pas sûr que les combats de l'avenir auxquels la France aura à faire face seront des conflits de "haute à moyenne intensité" :) Avant de définir les moyens de la future armée Française, il faut définir ses besoins, et ceux-ci dépendent des menaces auxquelles on sera confronté ! C'est par là qu'il faudrait commencer ;) Qu'est-ce que vous voyez comme menaces vous ??
  13. Et assaut 1 il est dispo ??? Je l'ai cherché dans 5 ou 6 relais H sans le trouver :?
  14. Pourquoi, si personne ne s'en sert au combat ?? :shock: :shock:
  15. starpom

    Ak-47 VS H&K G3

    Le Maroc contre le front Polisario ? Il y aurait 50 millions de Kalashnikov en service dans le monde... Je me demande comment toutes les petites armées et autres milices auraient fait s'il n'avait pas existé... :rolleyes:
  16. starpom

    Ak-47 VS H&K G3

    Je croyais que esthétiquement, si l'AK-47 ressemblait beaucoup au Stg44, leurs mécanismes étaient en réalité très différents... :idea:
  17. Le rotor de queue est un point faible d'un hélico, s'il est endommagé par des tirs ou par des éléments de terrain pendant un vol à basse altitude, l'hélico devient incontrôlable... Des Blackhawk ont été perdus après avoir été touchés au rotor de queue en Somalie en 1993... Et en plus ils sont très bruyant, d'où l'utilité de les supprimer^^ D'ailleurs l'absence de rotor de queue est le point commun des projets américains d'hélicoptères/de drônes hélicoptères du futur... Et si tu regarde les photo d'hélico de olivier_lrd ils sont justement équipés de notar :)
  18. Normalement les systèmes NOTAR sont même censés émettre moins de bruit qu'un hélico traditionnel, puisque le rotor de queue est quelque chose d'extrêmement bruyant... :?
  19. starpom

    Maximum Pain Weapons

    Une arme capable de produire de la douleur sur un individu sans provoquer de lésion physique, ça peut être aussi utilisé pour torturer "facilement" des gens... :rolleyes:
  20. starpom

    Sukhoi Su-37 Terminator

    C'est officiel le nom "terminator" ?? :shock: :shock: :shock:
  21. C'est curieux de voir comment les 2 articles évoquent chacun de la présence des civiles au moment des combats :
  22. C'est un article très anti-américain, pour les chiffres je ne sais pasexactement ce que ça vaut, mais pour les raccourcis historiques ("Jallianwallah Bagh, Guernica, My Lai, Halabja" and Grozny, des exécutions délibérées de civils par des militaires), on est à la limite de la propagandeet de la désinformation... C'est intéressant de comparer avec un article également sur la prise de Fallujah, mais largement pro-américain lui (checkpoint online) : "un piège mortel pour l’insurrection 28 novembre 2004 Frappe aérienne à Falloujah En s’emparant de Falloujah, les troupes de la coalition et du Gouvernement irakien ont infligé des pertes considérables à l’insurrection sunnite et brisé le symbole tiré de son unique et éphémère succès. Alors que sa phase de nettoyage se poursuit, la deuxième bataille de Falloujah est déjà devenue un modèle d’offensive en milieu urbain, une référence dans les opérations militaires modernes. Le fait même qu’elle ait eu lieu représente son principal succès : pour une armée engagée dans une mission de contre-insurrection, contraindre un adversaire à combattre pied à pied dans un environnement favorable à l’emploi des armes lourdes constitue en effet une situation idéale. Le corps expéditionnaire français en Indochine est allé jusqu’à s’enterrer à Dien Bien Phu pour mener un combat symétrique, alors que les Etats-Unis ont perdu la guerre du Vietnam sans avoir jamais réussi à y parvenir. «... Cette bataille revêt surtout une valeur symbolique, un règlement de comptes longtemps différé, et rappelle que les ennemis de la coalition restent incapables d'obtenir le moindre succès durable. » La ville de Falloujah devait être le tombeau des Américains, mais elle s’est avérée celui de leurs ennemis. Les chiffres annoncés par la coalition ne laissent aucun doute sur l’issue de la bataille : avec au moins 1200 insurgents tués et plus de 1000 capturés, contre 54 soldats US et 8 soldats Irakiens tués, c’est bien un combat à sens unique qui a été mené. En soi, il démontre une nouvelle fois la stupéfiante efficacité des unités américaines en milieu urbain, capables de prendre des villes entières avec 10 fois moins de pertes que l’histoire récente nous l’enseigne. Ce sont toutefois les quantités énormes d’armes, de munitions et de renseignements saisis qui montrent la vraie dimension de la bataille : un piège mortel qui balaie tout espoir de victoire pour la guérilla. Une erreur d'appréciation mortelle Les insurgents considéraient Falloujah comme un sanctuaire inviolable. En avril dernier, 2000 Marines avaient conquis les deux tiers de la ville et tué 600 combattants adverses pour 15 morts dans leur camp, mais 3 semaines de combats surmédiatisés menaçaient alors de dresser le pays contre les troupes américaines ; pour ne pas perdre l’Irak, la coalition avait pris la décision de perdre Falloujah. Les membres de la guérilla – et certains commentateurs européens – ont cru voir dans le retrait des Marines la preuve d’une victoire éclatante, alors même que le bilan des combats indiquait une défaite militaire. Mais ce sont surtout les médias arabes, en faisant de Falloujah un symbole de résistance populaire, qui ont amené les insurgents à provoquer leur propre perte. Sûrs de leur fait, ils ont effet transformé la ville en un bastion capital, une base d’opérations pour la plupart de leurs activités dans le triangle sunnite. Le nombre de combattants présents, étrangers et irakiens, a rapidement augmenté. De nombreux dépôts d’armes et d’explosifs ont été constitués et dissimulés. Des usines fabriquant des explosifs improvisés ont été ouvertes. Des studios vidéos rudimentaires ont été installés pour filmer et exécuter les otages. Parallèlement, le joug des islamistes s’est étendu à toute la population et lui a imposé une existence aussi carcérale que feu le régime des Taliban. En d’autres termes, les insurgents ont concentré leurs forces, leurs ressources et leurs éléments de commandement à Falloujah, tout en ruinant leur image au fil de leurs atrocités. Pendant ce temps, les Américains ont identifié les causes de leur échec : la lenteur relative de l’offensive, en raison d’effectifs insuffisants pour maintenir un rythme constant ; l’inefficacité des armes d’appui, due aux précautions nécessaires pour épargner au maximum la population civile ; la propagande des insurgents, qui a réussi à propager l’image fallacieuse de frappes indiscriminées jusque dans les médias occidentaux ; et la légitimité incertaine de l’attaque, puisque la décision relevait d’une puissance occupante. Ils ont donc conclu qu’une offensive destinée à prendre Falloujah pouvait aboutir, à condition d’obtenir une supériorité numérique confortable, d’écarter la majorité des non combattants, de neutraliser la propagande adverse et d’associer étroitement les Irakiens à l’attaque. La préparation de celle-ci a commencé au mois d’août, lorsque la ville a été prise dans un véritable étau psychologique : bouclage des principaux axes, survol permanent par des drones, frappes aériennes quasi quotidiennes et distribution de tracts. Confrontés à l’inéluctabilité de l’offensive coalisée et à la tyrannie des groupes islamistes, les résidants de Falloujah sont progressivement partis ; d’après le Croissant Rouge irakien, entre 150 et 175 familles sont restées, soit environ 1% du total. Une guérilla incapable de se fondre au sein de la population perd sa principale protection, mais seule une partie des insurgents a pris la fuite. La seconde bataille de Falloujah s’est déroulée sans boucliers humains, sans victimes civiles à même de dominer les reflets des combats. Pour conquérir rapidement la ville, qui s’étend sur une surface de 20 km2 et compte quelque 50'000 bâtiments, la coalition a réuni l’équivalent d’une division – soit 10'000 Marines et soldats avec 2000 militaires irakiens – contre environ 3000 insurgents. Le 8 novembre, 6 bataillons en ligne se sont lancés dans une offensive du nord au sud, qui aboutira après une semaine de combats acharnés au contrôle de tout l’objectif d’attaque. Mais cette opération a été largement appuyée, la veille de son déclenchement, par une action destinée à neutraliser la propagande des insurgents : la capture de l’hôpital principal de Falloujah par des forces spéciales, afin d’éviter que les bilans incroyablement rapides et lourds en pertes civiles de son corps médical ne placent les autorités irakiennes dans une situation intenable. La prise de Falloujah a ainsi comporté une dimension sémantique essentielle : la ville érigée en symbole de résistance populaire a été désertée par sa population et conquise de manière irrésistible par des soldats américains et irakiens. Cette importance des perceptions a été confirmée par les offensives précipitées lancées par les insurgés dans le reste du triangle sunnite et par l’exploitation faite d’un incident au cours duquel un Marine a apparemment abattu dans une mosquée un insurgent censé être mort. Mais l’incapacité du commandement militaire américain à contrôler en permanence son message n’a pas pour autant déclenché des réactions violentes ou solidaires dans le reste de l’Irak. Les chiites et les kurdes ont au contraire assisté sans déplaisir à une défaite majeure de l’insurrection sunnite, qui a perdu sa principale base d’opérations. En l’espace de 6 mois, Falloujah était en effet devenue un gigantesque arsenal regorgeant d’armes et de munitions, systématiquement stockées dans des bâtiments civils – 60% des mosquées dans toute la ville, et jusqu’à 80% des habitations dans certains quartiers – pour éviter les frappes aériennes ou les exploiter à des fins de propagande ; au total, les unités américaines en ont capturé plus de 1000 tonnes, réparties dans 203 caches majeures, tout en démantelant 11 fabriques d’explosifs improvisés. Mais Falloujah était également le centre nerveux de l’insurrection sunnite, et l’élimination brutale ou la fuite précipitée de ses dirigeants ont permis la saisie d’une véritable mine de renseignements : les Américains en ont plus appris sur leurs ennemis en une semaine à Falloujah que pendant toute une année. Il serait naturellement erroné de penser que le conflit de basse intensité que connaît l’Irak depuis la chute de Saddam Hussein va cesser avec la chute du principal bastion insurgé. Toutefois, la bataille de Falloujah fait partie d’une campagne lancée en octobre dernier dans tout le triangle sunnite afin d’empêcher la guérilla de s’opposer à la tenue d’élections démocratiques, et ses effets se feront sentir des mois durant. Elle montre également que l’administration américaine et le gouvernement irakien continuent de faire cause commune, malgré les divergences inévitables qui découlent des différences d’intérêts. Mais cette bataille revêt surtout une valeur symbolique, un règlement de comptes longtemps différé, et rappelle que les ennemis de la coalition restent incapables d’obtenir le moindre succès durable."
  23. starpom

    Fusils d´assaut américain

    Oui mais le problème d'une telle arme en combat urbain c'est que, en cas de rencontre soudaine avec l'ennemi, à courte portée le servant d'une telle arme ne peut pas se défendre, soit parce que l'ennemi est trop prêt et que ça pourrait être dangereux pour l'utilisateur, soit que des amis pourraient être touchés également par l'explosion, etc. Et on n'a pas le temps de mettre le lance-grenade de côté pour utiliser un fusil d'assaut ou uen autre arme pour se défendre, on est déjà mort... Comment on est censé faire ??
  24. Moi je l'ai dit que c'était pour le blackhawk :lol:, sans le son je ne savais que les éléments ouvraient aussi le feu ! Et les minigun latérales des blackhawk sont en 7,62, en plus la cadence de tir monstrueuse de ces engins a un bruit assez caractéristique... :twisted: Ça me fait penser qu'une fois j'avais vu des dessins de AC-47 Gunship, sur une base de Chinook, quelqu'un sait si ces engins ont été en service, ou même au combat ? :idea:
  25. starpom

    Fusils d´assaut américain

    Oui je connais le XM-25, mais il est cher, compliqué, et pas encore au point :!: Alors que poser un télémètre laser et un indicateur d'angle de tir sur une arme existante et éprouvée, c'est quand même largement faisable... :D En plus c'est une arme extrêmement efficace en combat urbain (je ne sais pas pourquoi, mais c'est ce que j'ai lu, quelqu'un sait pourquoi ?), et dieu sait si le combat urbain est au coeur des préoccupations en ce moment :rolleyes:
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