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starpom

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Tout ce qui a été posté par starpom

  1. Quelqu'un saurait dire ce qui a pu produire ce type d'explosion ?
  2. http://www.cdef.terre.defense.gouv.fr/doctrineFT/doc_fond/FT_02/doc/FT-2.pdf Le livre "Tactique générale" est paru le mois d'octobre dernier aux éditions Economica, rédigé par le CDEF de l'Armée de Terre, mais il est aussi disponible gratuitement sur le net au lien indiqué ci-dessus. J'ai copié également une fiche de lecture de ce livre qui provient de l'excellent blog "théâtre des opérations" : http://reflexionstrategique.blogspot.com/search/label/Tactique N'hésitez pas à aller consulter ce blog, l'auteur y aborde des tas de sujets militaires, de la stratégie à la tactique. La récente mise en ligne du document intitulé « Tactique générale » nous permet de revenir utilement sur quelques grands principes immuables (« des principes établis ») de la guerre ainsi que sur des exigences particulières, propres aux conflits actuels (« des corollaires nouveaux »), qui viennent complexifier les opérations terrestres. Car, loin de rendre caduques les règles héritées de Clausewitz ou Foch (et partant, en fait, de l’héritage napoléonien[1] qui fournit originellement la matière première à partir de laquelle les penseurs contemporains ont pu réfléchir et écrire sur la guerre), la « guerre au sein des populations » leur accorde toujours la même importance tout en y ajoutant certaines contraintes qu’il faut prendre en compte si l’on veut tirer le maximum de l’action des forces terrestres. Le nouveau document fondateur de l’Armée de Terre (qui fait suite au FT-01, « Gagner la bataille - conduire à la paix ») revient donc sur ces bases fondamentales en les actualisant à l’aune des récentes modifications de la grammaire de la guerre. Il n’est sans doute pas inutile de s’y attarder ici, de les présenter en détail afin de les avoir en tête, de les commenter, de les expliciter, etc. Précisons néanmoins que les extraits volontairement mis en exergue sur cette page ne prennent toute leur valeur qu’intégrés à l’argumentaire général du FT-02[2], dont la lecture complète s’impose donc évidemment… Mais revenons-en aux grands principes de la guerre tels qu’ils sont définis dans ce document : « L’armée de Terre reconnaît trois principes de la guerre - la liberté d’action, la concentration des efforts et l’économie des moyens – à appliquer par les forces terrestres au niveau tactique ». 1. La liberté d’action : Principe de la liberté d’action : Possibilité pour un chef de mettre en œuvre ses moyens à tout moment et d’agir malgré l’adversaire et les diverses contraintes imposées par le milieu et les circonstances en vue d’atteindre le but assigné. La liberté d’action repose sur : - La sûreté, qui permet de se mettre à l’abri des surprises. - La prévision et l’anticipation des événements et des actions adverses. - La capacité de prendre l’ascendant et d’imposer sa volonté à l’adversaire. Pour reprendre l’expression d’André Beauffre : « la lutte des volontés se ramène donc à une lutte pour la liberté d’action, chacun cherchant à la conserver et à en priver l’adversaire ». Sur le plan tactique, il s’agit de garder l’initiative (« capacité à fixer ou à définir les termes de l’action tout au long de la manœuvre ou de l’opération ») : le chef exploitera les erreurs de l’adversaire, au besoin en les provoquant, et cherchera toujours à prendre l’ascendant sur ce dernier pour lui imposer son propre tempo. Deux facteurs essentiels permettent au chef de conserver sa liberté d’action : une claire compréhension de l’adversaire et du milieu et l’audace. La première permet de créer et/ou de percevoir les opportunités ; la seconde donne l’ascendant moral autorisant une prise de risque raisonnée et la réalisation des effets sur le plan adverse et sa volonté. 2. La concentration des efforts : Principe de concentration des efforts : Convergence dans l’espace et le temps des actions et des effets des différentes fonctions opérationnelles. La concentration des efforts n’est pas la concentration des forces : le principe retenu dans le FT-02 insiste sur « la nécessité de combiner les actions et d’optimiser les effets pour multiplier l’efficacité sur l’objectif choisi ». Une manœuvre globale, dépassant les simples aspects militaires, utilisera pour ce faire la coordination entre les différents systèmes d’armes complétée par celle entre les capacités de contrainte, de contrôle et d’influence[3]. La notion « d’effort », ici privilégiée, vise donc à prendre en compte les nouvelles exigences des opérations au sein des populations, qui ne sont pas que militaires. La concentration des efforts vise à « la conquête d’une supériorité relative appliquée au point de rupture de l’équilibre des forces physiques et morales », concentration qui s’exerce quitte à affaiblir volontairement des points secondaires. L’établissement dupoint de rupture nécessite la prise en compte d’un rapport de forces, déterminant les lieux et moments d’infériorité et de supériorité relative amie, d’où l’on déduira les efforts matériels à appliquer. Sur le plan des effets psychologiques, on cherchera à optimiser la surprise, à exercer une volonté prépondérante (force de conception des chefs renforcée par l’esprit d’initiative de tous les échelons) et à choisir les circonstances les plus favorables. « La supériorité relative est davantage la conséquence d’une lutte morale entre deux volontés que le choc physique entre deux masses ». 3. L’économie des moyens : Principe d’économie des moyens : Répartition et application judicieuse des moyens en vue d’obtenir le meilleur rapport capacités/effets pour atteindre le but assigné. C’est le choix du chef, « son expression claire et précise pour atteindre un objectif », qui détermine la mise en œuvre efficace de ce principe : en consentant les risques liés à l’audace qui permet l’acquisition de la supériorité relative, il va décider de l’affectation correcte des moyens à sa disposition. Il utilisera les instruments de l’économie des moyens que sont la [\b]modularité (« constitution d’unités adaptées à la mission à accomplir et par la manœuvre interarmes »), l’articulation des forces (les moyens correctement disposés doivent permettre à la fois d’acquérir la supériorité relative, d’exploiter les opportunités et de parer à la surprise) et le soutien, sachant que ce dernier doit être « bien dimensionné et permettre de disposer du meilleur potentiel pour le moment de la concentration des efforts ». On voit émerger la constitution de deux ensembles tactiques : les forces destinées à l’action principale et celles destinées à la garantie de la liberté d’action, dont l’élément réservé. 4. Des corollaires nouveaux : Les opérations au sein des populations imposent un rapport nouveau à la destruction. Dans ces cas, en effet, l’usage de la force non seulement ne conditionne plus la victoire politique, mais peut même l’entraver : les populations locales tireront rancœur d’un usage massif de la force de même que les citoyens des pays qui déploient leurs armées, dans des contextes qui n’apparaissent pas vitaux pour eux, seront choqués par un usage trop massif de leurs capacités de destruction que la rapidité de l’information et la forte charge émotionnelle des images véhiculées par les médias toucheront inévitablement. Pour conserver sa liberté d’action tout en sachant doser convenablement ses actions cinétiques, la force doit donc s’appuyer sur certains principes : la légitimité de l’action entreprise se construit dans ce sens « aussi bien auprès des instances internationales et des opinions nationales qu’auprès des populations locales ». La légitimité repose aussi sur le principe de nécessité, « c'est-à-dire de juste suffisance de l’application de la force aux objectifs recherchés ». Il en découle un impératif de modération « tenant compte de l’éthique dans la guerre et des dimensions médiatiques et juridiques très présentes lors des opérations ». Les forces sont également organisées en vue de limiter « les pertes humaines et les dégâts matériels et à privilégier la faillite de l’adversaire à son écrasement » : c’est la réversibilité de l’action[4] ainsi que le refus de l’escalade. 5. Conclusion : Les trois principes fondamentaux décrits ci-dessus sont complémentaires : l’économie des moyens facilite la concentration des efforts, la liberté d’action autorise l’économie des moyens et la convergence des effets. En tout état de cause, c’est la surprise qui doit être favorisée en permanence lors de la mise au point des procédés d’application. Mais les opérations militaires actuelles imposent également des principes nouveaux qui, en établissant la cohérence entre l’efficacité opérationnelle et l’efficacité politique, concourent à la préservation de la liberté d’action. Ce sont la légitimité de l’intervention, la nécessité et la réversibilité de l’action. *************** [1] Du reste, le FT-02 utilise l’exemple d’Austerlitz (voir la carte) pour illustrer ce chapitre. Les conclusions méritent d’être citées : « Napoléon en analysant parfaitement le terrain et les manœuvres adverses a imposé son plan aux coalisés et obtenu un succès incontestable. Il accepte le risque d’un débordement en ne consacrant initialement à la défense de l’aile droite française qu’un détachement réduit mais appuyé sur un terrain favorable, avec un rapport de forces extrêmement désavantageux jusqu’à l’arrivée de Davout. Cette prise de risque fondée sur une juste économie des moyens permet la concentration de l’effort au centre. Il a ainsi pris l’ascendant sur les coalisés, et conservé sa liberté d’action. » [2] Il n’est pas inutile de citer une partie de l’introduction du FT-02 afin de bien rappeler son utilité et ses buts : « À partir des nouvelles conditions opérationnelles, le présent document établit le cadre général de l’emploi des forces terrestres. (…) Il fournit ainsi les références nécessaires aux documents de doctrine applicatifs tels que les manuels d’emploi des unités. Leur adaptation aux circonstances relève alors du jugement du chef en opération ». [3] Selon le FT-02, dans le chapitre intitulé « Des nouvelles conditions des opérations » : « par leur action au sein des populations, les forces terrestres assurent trois finalités tactiques : contraindre l’adversaire, contrôler le milieu physique et humain, influencer les perceptions. » [4] Réversibilité : aptitude à changer rapidement le mode de l’action entreprise en fonction de l’attitude générale de l’adversaire, notamment pour maintenir au plus bas niveau d’intensité possible une opération.
  3. Ce soir, sur W9, les cinq premiers épisodes de la série animée "Clone Wars", dérivée de Star Wars, en VF, de 20h45 à 22h40. Un peu niaise étant donné que c'est destiné en partie aux enfants, mais plutôt réussie tout de même
  4. Les Etats-Unis vont envoyer plus de 20 000 soldats en Afghanistan en 2009 LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 20.12.08 | 09h39 • Mis à jour le 20.12.08 | 18h18 Les Etats-Unis vont envoyer de 20 000 à 30 000 soldats en renfort en Afghanistan d'ici à l'été, a annoncé, samedi 20 décembre, le chef d'état-major interarmées américain, l'amiral Michael Mullen. Le général américain David McKiernan, qui commande les forces internationales en Afghanistan, avait réclamé plus de 20 000 soldats pour lutter contre les talibans. Vendredi, le secrétaire américain à la défense Robert Gates, avait déjà ordonné l'envoi en 2009 d'une brigade aérienne de combat de quelque 2 800 hommes, pour répondre aux demandes du commandement sur place. Ces troupes affectées au soutien - transport, évacuation - devraient partir vers l'Afghanistan après le mois de janvier. Robert Gates avait toutefois mis en garde contre l'envoi d'un trop grand nombre de soldats dans un pays où l'opposition à la présence militaire étrangère est très forte. Les forces de la coalition américaine comptent 70 000 soldats dans le pays, dont 31 000 américains. La violence s'est accrue ces derniers mois, rendant peu probable une victoire rapide des troupes de l'OTAN. Ce renforcement militaire s'inscrit dans la stratégie annoncée par le prochain président américain Barack Obama, qui veut faire de la guerre en Afghanistan un point central de sa politique étrangère. Dans le même temps, les députés tchèques ont refusé à une courte majorité de proroger la mission de leurs soldats en Afghanistan. Prague se voit donc contrainte de retirer les quelque 500 hommes déployés sous la banière de la Force internationale d'assistance à la sécurité (ISAF) dans les 60 jours à compter du 1er janvier 2009, date de fin de la mission. Le gouvernement tchèque souhaitait déployer 200 soldats supplémentaires pour répondre à l'appel de l'Otan, mais il ne bénéficie pas de la majorité absolue à la chambre basse du parlement et n'a pu obtenir l'autorisation des députés - nécessaire - pour proroger la mission. Quelque 31 000 soldats américains sont actuellement déployés en Afghanistan. Une partie d'entre eux opèrent sous commandement américain et l'autre dans le cadre de l'ISAF.
  5. Le lien ne marche pas avec moi Faudra que tu nous dises ce qu'il a trouvé à répondre ton ami
  6. starpom

    Ici on cause fusil

    C'est un peu simple comme explication... Et si le lobby de Colt était si puissant, il aurait fait pression avant d'en arriver si loin, et le projet de fusil d'assaut du Land Warrior aurait été confié à Colt. Y'a sûrement d'autres raisons que ça qui ont motivé l'arrêt du XM-8. Surtout que l'arme en était à un stade assez avancé, c'est pas comme si elle était encore sur la planche à dessin
  7. starpom

    Ici on cause fusil

    Trop bien les télémètres optiques, super utiles et pas cher ! Je croyais que c'était complètement dépassé et que ça ne s'utilisait plus depuis la Seconde Guerre mondiale... Mais rassurez-moi tout de même : la mesure de la distance ne marche pas QUE sur des personnes, si ?? Il faut coupler ça à des lance-grenades à munitions programmables ! Sinon je me posais une question : pourquoi est-ce que le XM-8 a été abandonné ? J'ai lu sur ce forum que c'était parce qu'il était trop léger, mais je trouve ça étonnant comme réponse : cela doit être extrêmement facile d'alourdir une arme, ce qui est compliqué c'est de l'alléger ! Il suffit pour cela de choisir un alliage plus lourd, de monter des accessoires de visée ou un lance-grenade, ou alors si on veut faire gaffe à la modification du centre de gravité, d'intégrer des masses à des endroits bien choisis. Il paraissait pas mal ce fusil sinon, en plus de sa fiabilité il paraît que les tests le révélaient comme plus fiable que tous les autres fusils d'assaut.
  8. Je vais continuer le commentaire de cette vidéo sur le topic dédié aux fusils. Et pour reprendre le fil de la discussion où je l'avais interrompu : Cette arme en 5,7mm FN sur base de M4 illustre un problème bien bête des PM/PDW : le calibre standard de 9x19 mm actuel ne satisfait personne, mais en même temps on n'est pas capable de se mettre d'accord sur un nouveau standard
  9. J'ai toujours trouvé ça dommage (parce que ça fait beaucoup d'efforts pour rien) et hypocrite (parce que c'est surtout là pour faire vendre, plutôt que dans l'intérêt du joueur) que les jeux présentent un très haut niveau de réalisme esthétique, notammant avec des matériels reproduits de façon extrêmement fidèle à la réalité, et qu'en même temps ces jeux soient complètement fantaisistes au niveau tactique. Autrement dit on a tous les vrais véhicules et les vraies armes, mais les combats sont du n'importe quoi, la façon de jouer pour gagner n'a rien à voir avec la réalité Si on veut simuler des tactiques imaginaires, il serait plus original, plus courageux et plus intéressant de faire un vrai travail de création artistique en imaginant d'autres véhicules et armes. Mais évidemment c'est plus facile de prendre une photo et de la recopier dans son jeu
  10. starpom

    Armes qui "dérangent"

    Oui mais le thermobarique c'est parfois présenté comme une forme de lance-flamme... Et ça peut provoquer de vilaines brûlures qui ne passent pas bien à la télé
  11. Est-ce si terrible que ça qu'une arme ait un centre de gravité décalé vers l'avant ? Dans un bouquin un SAS racontait qu'il appréciait le silencieux qu'il avait placé sur son fusil d'assaut ou son PM notamment parce qu'avoir un poids important à l'avant de son arme la rendait plus stable en atténuant le recul au moment du tir J'avais entendu dire aussi sur ce forum que le Tavor était un mauvais fusil d'assaut parce que son centre gravité était mal placé. Oui je sais que c'est un topic sur les PM ici, mais il s'agit d'une question qui concerne les armes d'épaule en général : Où doit se trouver le centre de gravité d'une arme de façon optimale ? Quelle est la conséquence si ce centre de gravité est placé trop en arrière ? Trop en avant ? Qu'est-ce qu'un centre de gravité mal positionné ?
  12. Pourquoi est-ce que les monsieurs ils n'ont pas des casques comme les autres ?
  13. Je ne sais plus dans quel sujet de ce forum j'en ai entendu parler : La guerre de la Vache ! http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_de_la_vache Suite au vol d'une vache, une escalade entre deux seigneurs et leurs vassaux mena à 3 ans de guerre et 15 000 morts. Elle cessa suite à l'intervention du Roi de France, qui rétablit la situation exactement comme elle était avant le conflit... Un bel exemple de guerre inutile
  14. starpom

    F-22

    Si le problème pour concevoir un "semi-drone télécommandé à distance et sans pilote dedans", c'est le fait que la liaison par satellite entraîne un délai de latence d'une demi-seconde, alors il suffit de rapprocher le semi-drone de l'endroit depuis lequel on le "pilote à distance", non ? On peut imaginer au moins trois types de semi-drones dédiés au combat : Un appareil de supériorité aérienne type F-22. On pourrait le contrôler depuis un autre appareil qui resterait un peu en retrait, hors de portée des chasseurs adverses, comme le font les AWACS et J-STAR, et la liaison se ferait directement entre les deux appareils par ondes radio. Ou alors ne pourrait-on pas effectuer une liaison satellite avec des satellites en orbite basse (entre 200 et 2000 km d'altitude) ?Un appareil de CAS type A-10 : il suffit de prévoir une station de contrôle depuis un véhicule blindé par exemple, à quelques km de la zone de combats. Eventuellement une première station de contrôle se charge d'amener l'appareil depuis sa base aérienne à la zone de combat, par liaison satellite, jusqu'à ce que la station de contrôle du véichule blindé prenne le relais sur place pour les manoeuvres de combat.Un appareil de CAS beaucoup plus petit, à autonomie réduite, et lancé depuis un véhicule, qui accompagne une unité de combat ou un convoi : si une attaque survient, le semi-drone est lancé et piloté depuis son véhicule lanceur, pendant le temps de l'attaque.
  15. L'esthétique est plutôt réussie, mais bordel qu'est-ce que c'est lent ! On dirait un film turc, genre Uzak, pour ceux qui connaissent^^ J'ai regardé les 10 premières minutes : pas un seul dialogue O_o :O
  16. Honnêtement ça fait quand même minable un Mirage III retiré du service (voire pire, un fouga) alors qu'on peut se faire un Su-27 en activité O_o
  17. starpom

    F-22

    On est encore très loin de savoir faire des ordi aussi puissants que des cerveaux. Très Très loin. On commence à peine à comprendre comment marche vaguement le cerveau. Et c'est pas parce qu'on est capable de fabriquer ce qui ressemble à un neurone qu'on est capable de fabriquer un cerveau ou qqch qui y ressemble. C'est comme si on disait que comprendre comment fonctionne un atome permet de comprendre comment fonctionne une voiture...
  18. starpom

    VBCI

    CFV = C.... Fighting Vehicule ? En tous cas vu le type de conflits dans lesquelles les armées occidentales s'engagent depuis 1990, ce que t'appelles "CFV" sont des véhicules qui pourraient être bien plus efficaces que n'importe quelle autre : Dans ces conflits, 99% les adversaires que l'on a à affronter son des fantassins ou des a véhicules légers, et les "CFV" sont ceux qui ont la meilleure capacité anti-personnel de tous les véhicules de combat existants :)
  19. starpom

    Dogfight

    J'ai juste regardé le premier, et franchement même si ça se termine par un 1-0 pour les Américains, y'a pas de quoi être fier de leur tactique/formation d'attaque : il s'en est fallu d'un cheveux pour qu'un mirage F-1 irakien tout seul, isolé, abatte un F-111 Raven avec une tactique toute bête : il a décollé, mis cap droit sur le F-111 et fait feu. Le temps que le F-15 d'escorte l'accroche avec son radar de tir, et il a eu le temps de tirer un missile, le F-111 a eu du bol de l'éviter... Par ailleurs, je me posais une question : ce F-111, ouvre la voie à une formation d'attaque de plusieurs dizaines de F-15E et F-15C... Mais est-ce que ce n'est pas dangereux qu'un seul appareil assure cette couverture électromagnétique ? Est-ce que les F-15 ne serait pas sérieusement embêtés si le F-111 venait à avoir des soucis comme des problèmes de moteur, d'électronique, ou même être abattu ?
  20. starpom

    Rasemottes

    De nombreuses séquences de rase-motte dans cette vidéo, mais surtout un Super Etendard qui va au tapis après un catapultage, à 2'40'' et 3'15'' environ. Je crois que c'est le même appareil sur les deux séquences, heureusement on voit le pilote s'éjecter et être récupéré par un hélico^^ Quelqu'un serait capable de dire ce qui est arrivé à l'appareil ??
  21. starpom

    Micro management des unités

    Alors là, je décerne le Prix Kamoulox du message le plus incompréhensible pour cause d'abus de sigles, raccourcis et abréviations obscurs à tout va :O Il avait fait un pari ou quoi le type ? :lol:
  22. Bon ça fait une demi-heure que je cherche un sujet sur la Guerre Froide pour pouvoir poster mon message, et je ne trouve rien ! Et comme c'est un message qui ne mérite pas qu'on crée un nouveau sujet rien que pour lui, alors je le mets ici ! Et si vous trouvez un meilleur emplacement amis modos ne vous gênez pas^^ Une bombe nucléaire américaine a été "perdue" au Groenland LEMONDE.FR avec AFP | 11.11.08 | 11h02 • Mis à jour le 11.11.08 | 11h22 Les Etats-Unis ont perdu une bombe nucléaire sous la glace dans le nord du Groenland à la suite du crash d'un de leurs bombardiers il y quarante ans, rapporte la BBC, mardi 11 novembre. Selon des documents déclassifiés, obtenus grâce au Freedom of Information Act (loi américaine permettant aux agences fédérales de transmettre leurs documents), un bombardier stratégique B-52 s'est écrasé en 1968 près de la base de Thulé avec quatre bombes nucléaires à bord. Les Américains n'ont pu localiser que trois des quatre bombes, la dernière restant à jamais perdue dans l'océan. La base de Thulé est la plus septentrionale des bases de l'US Air Force. D'une grande importance stratégique, elle avait été construite en pleine guerre froide, au début des années 50. Elle était un maillon important de la chaîne de radars du Norad (système de surveillance de l'espace aérien nord-américain), prévue pour détecter tout lancement de missile soviétique. Le 21 janvier 1968, un des B-52 s'écrasait dans la glace à quelques kilomètres de Thulé. Après plusieurs mois de recherches sous-marines infructueuses, les enquêteurs abandonnèrent les recherches en avril. Selon la BBC, des responsable américains estiment que la radioactivité a dû se diluer dans une telle masse d'eau et que tout danger est écarté. La présence d'armes nucléaires au-dessus du Groenland, territoire autonome rattaché au Danemark, a été gardée secrète ainsi que la nature des recherches pour localiser la bombe. Le département d'Etat américain s'est abstenu de commenter l'information de la BBC. Il avait indiqué auparavant que les quatre bombes nucléaires avaient été "détruites".
  23. Dire qu'Obama est aussi beau, jeune et bronzé que Medvedev et donc qu'ils devraient bien s'entendre, ça va, il y a pire comme déclaration....
  24. starpom

    [Femmes soldats] Archive

    Quel intérêt de monter un fusil Barrett sur le support circulaire d'une tourelle de véhicule ? Non seulement c'est pas forcément l'idéal pour employer un fusil de précision (impossible de tirer en mouvement par exemple), mais si jamais le véhicul est pris dans une embuscade ou un engagement au contact et a besoin de fournir un gros volume de feu il n'en sera pas capable O_o
  25. J'ai retrouvé le titre de cette autre BD qui se déroule pendant la Seconde Guerre mondiale : "Ciel en Ruine", surtout le tom 2, "Alarmstart". Le Tome 1 est assez lent, mais le 2 est vraiment réussi. La qualité des dessins est moins bonne que dans "Le grand Duc", mais les scènes de combat sont bien rendues, et surtout de nombreuses informations techniques et tactiques sur le combat aérien de cette période sont d'une grande qualité, j'ai appris plein de choses ! Le fil conducteur de l'histoire est autour d'une escadrille de Messerschmitt Me-262 sur le front de l'ouest.
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