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Tomcat

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Tout ce qui a été posté par Tomcat

  1. Pas à ma connaissance mais l'aérport de Qamishli, oui.
  2. D'où la présence annoncée de moyens anti-aériens. Je pense personnellement qu'on restera plus dans un format où les Russes vont s'en tenir à défendre le pays Alaouite, , Hama, Homs et Damas sans pour autant soutenir une offensive sur les positions rebelles. Dans ce cas, la logique voudrait que l'armée Syrienne se retire d'Alep et de Deir e Zor pour se concentrer sur la Syrie utile.
  3. Evidement, cela va de soit. Une stabilisation du front pourra suivre un cessez le feu graduel, par exemple en commençant par un arrêt des bombardements des zones urbaines.
  4. L'intervention Russe n'est finalement pas une mauvaise chose d'un point de vue stratégique. Si on veut forcer les parties impliquées à une solution politique ( pour autant que la Syrie, en tant qu'Etat nation y survive), il faut ôter tout espoir de victoire totale. C'est cette perspective d'une victoire totale qui a aveuglé Assad en 2012-2013 et qui aveugle aujourd'hui les rebelles et leurs soutiens. Il est aujourd'hui difficile de convaincre les rebelles et leurs soutiens qu'il faudrait retourner à la table de négociation, concéder un partage de pouvoir et abandonner une vision salafisto-centrée de la future Syrie puisque l'armée Syrienne / Assad n'ont jamais été dans une position aussi précaire sur le terrain. Ils peuvent très bien se dire qu'en continuant à mettre la pression, le régime finira par tomber et il n'y aura plus rien à négocier. Une intervention Russe qui tracerait une ligne de Damas à Lattakia au delà de laquelle les rebelles et AQ trouveraient une réponse musclée aurait le mérite de ramener les plus téméraires à la raison. De l'autre côté, les Russes doivent à minima préparer un départ d'Assad après une phase transitoire de quelques mois au maximum, le tout sous la supervision internationale. C'est un plan risqué, qui sera opposé par les islamistes les plus radicaux (Ahrar Al Sham, Jabhat Al Nusra, les groupes jihadistes étrangers) et difficile à mettre en place dans un pays complètement divisé avec des acteurs qui rejettent toute supervision internationale. Parallèlement, sur le plan diplomatique l'on remarque aussi une modération du discours des pays occidentaux à l'égard d'Assad. L'Espagne, l'Angleterre, la France, l'Autriche ont tous annoncé changé de position et annoncent maintenant qu'un départ d'Assad n'est plus une précondition de la transition mais peut intervenir lors de la phase transitoire. Ce que ces pays ont également en commun c'est que leur ministre des affaires étrangères ont tous visité Téhéran récemment. L'Iran également envoie des messages à destination des pétro-monarchies du Golfe Persique et souhaite reprendre les discussions sur la Syrie.
  5. Le JPOA , l'accord sur le nucléaire a survécu au Sénat américains !. Pour passer directement au vote pour désapprouver l'accord ( ce qui aurait empêché Obama de lever les sanctions), les Républicains devaient surmonter le "filibuster" démocrate en obtenant une majorité qualifiée de 60 sénateurs. Ils n'ont eu finalement que 58. Tous les sénateurs démocrates en faveur de l'accord ont soutenu le filibuster . http://www.nytimes.com/2015/09/11/us/politics/iran-nuclear-deal-senate.html?hp&action=click&pgtype=Homepage&module=span-ab-top-region&region=top-news&WT.nav=top-news Les débats sont donc toujours ouverts jusqu'au 17 septembre. Le Congrès a jusqu'au 17 septembre en vertu de la loi Corker-Cardin pour rejeter la deal mais leurs tentatives de passer au vote vont échouer comme aujourd'hui, les démocrates vont utiliser le filibuster jusqu'à cette date. Difficile de ne pas voir une défaite personnelle de Netanyahu. Tout d'abord, il voulait un rejet massif de l'accord par le congrès. C'était l' un des objectifs affichés de son discours polémique devant le Congrès. Une fois le deal obtenu et soumis au Congrès, ses conseillers se sont rendu très vite compte que cela n'arrivera pas, qu'Obama peut au moins s'assurer du soutien de 32 démocrates pour soutenir un veto. La vague démocrate opposée au deal n'est pas arrivée, il a changé de stratégie et voulait forcer Obama à opposer son véto et ainsi affaiblir le deal. Il ne croyait pas qu'Obama pourrait s'assurer du soutien de 42 sénateurs pour empêcher tout passage au vote. Finalement, Obama n'aura rien à faire, pas de véto, pas de signature. L'AIPAC a aussi laissé des plumes dans cette histoire. Des millions dépensés pour des résultats extrêmement maigres. Les sénateurs démocrates qui ont voté contre le deal étaient déjà connu pour leurs positions extrêmement hawkish à l'égard de l'Iran et en faveur de l'Israel. A la chambre, seulement 19 démocrates se sont opposé au deal. Mais c'est surtout l'image du lobby qui fait la pluie et le beau temps à DC qui est écornée. Non seulement, l'AIPAC s'est rangé du côté du PM Israélien contre le Président des Etats-Unis mais en plus ils n'ont pas été capable de convaincre les élus démocrates que leur avenir était menacé si ils n'adhérait pas à la ligne dictée.
  6. Je ne comprends pas trop pourquoi on veut leur appliquer le régime de détention administrative. Ce régime a été mis en place pour l'arrestation de Palestiniens qui n'ont pas nécessairement commis d'actes de violence (parlementaires pro-Hamas, prisonniers d'opinions) ou contre lesquels il n'y a pas de preuve tangibles ou que ces preuves ne peuvent être présentées à un tribunal sans risquer de révéler sa source. Là, il s'agit de colons, connus, qui se sont rendu coupable d'actes de violence dans le but de terroriser les Palestiniens. Je doute que ce gouvernement pro-colonie va un jour emprisonner des colons pour délit d'opinion ou lorsque les preuves manquent. On sait comment la Cour suprême Israélienne risque de réagir ? elle avait valider ce régime pour les Palestiniens
  7. Il y a une dimension symbolique dans cette histoire. La mort de cet enfant n'est pas arrivé par hasard, il suit des années de "harcèlement agressif" des colons envers la population locale, le tout avec la bienveillance du gouvernement Israélien qui au mieux est laxiste dans sa réponse pour ces actes et au pire complice quand il subventionne les colonies illégales au regard du droit international.
  8. Rien ne dit que les colons cherchaient à torcher entièrement cette famille. Les actions des colons visent plutôt à" terroriser" et forcer les Palestinien à partir. Il y a déjà eu des incendies, des dégradations de maisons, voitures, agressions. Cette fois, un enfant y a laissé sa peau, si personne n'était mort il y a peu de chance qu'on en aurait entendu parler et cet incendie aurait rejoint les centaines autres actes de "vengeance" contre les Palestiniens non élucidés. Je pense que c'est une erreur de séparer les actes de vengeance "sans victimes" humaines et un acte qui entraîne une victime (un nourrisson en l’occurrence) . Ils procèdent tous de la même volonté, de la même logique qui vise à déplacer les Palestiniens. Certes, le gouvernement Israélien ne laissera pas passer le meurtre de cet enfant et on peut raisonnablement espérer que les auteurs seront poursuivis mais ce n'est que partie remise tant que la racine du problème n'est pas attaquée. Tant que les colons peuvent aller commettre des actes de "vengeance" contre les Palestiniens sans réelle crainte de poursuite, on aura périodiquement un/e Palestinien(ne) qui y laissera la peau.
  9. La question à 1000 points est : maintenant que cette attaque a été qualifiée de terroriste, est-ce que les respondables vont aussi avoir droit à la destruction de leur maison ou bien c'est un traitement réservé qu'aux terroristes Palestiniens.
  10. Colonisation pour motif économique facilitée par les subventions de l'Etat à ces colonies. Il s'agit d'une politique délibérée. Ca représente quoi en proportion les colons économiques et les colons idéologiques ?
  11. C'est une politique délibérée. Lorsque le gouvernement Israélien annonce le lancement de nouvelles constructions, il sait pertinemment que les colons n'ont pas l'intention de vivre en paix et en harmonie avec la population locale.
  12. Les Palestiniens affirment qu'il vont saisir la CPI sur cet incident. http://www.timesofisrael.com/pa-israel-responsible-for-babys-death-will-take-to-icc/ C'est la question globale de la poursuite des colonisations qui doit être tranchée, pas un incident malheureux.
  13. L'ONU n'avait pas de mandat pour désigner les responsables des attaques chimiques de Ghouta.
  14. A l'origine on parlait de moyens de dissuader l'Iran de fournir des armes à ses alliés, pas d'une attaque CW. Mais Si le Hezbollah utilise des armes chimiques contre l'Israël ( je doute FORTEMENT) je ne pense pas que la réponse sur un Jericho vide. Je doute fortement que ca se réalise car lr Hezbollah est un acteur rationnel. En 2006, en plein guerre, le Hezbollah n'a pas pris pour cible Tel Aviv craignant la réponse d'Israël.
  15. Pas sûr pour les Sunnites. L'engagement du Hezbollah en Syrie est un non-starter pour le soutien des sunnites. Il suffit de voir les réseaux sociaux à chaque frappe israélienne contre le Hezbollah. L'argument de guerre préventive contre AQ et EI présenté par le Hezbollah ne prend pas dans la communauté sunnite. Et comme pour la dernière guerre de Gaza, les pays arabes du Golfe Persique vont regarder avec joie l'IDF frapper un allié de l'Iran, indépendamment de toute motivation sectaire. Bon après le Moyen Orient est déjà un bordel à ciel ouvert. J'espère qu'on ne verra pas un nouveau front au Liban. Mon forfais Data n'arrive déjà pas à suivre la Syrie et l'Irak :)
  16. Le problème avec les missiles balistiques, c'est qu'on ne sait pas ce qu'il y a dedans avant qu'il ne soit trop tard. Je ne suis pas sûr que la Russie ou la Chine apprécieraient de voir un missile balistique partir d'Israel (pays ayant un programme nucléaire militaire) travers le Moyen-Orient destination (probablement) de l'Iran. Et honnêtement, je ne pense pas que l'option du missile balistique soit sérieusement envisagée, en tout cas en réponse au soutien apporté par l'Iran au Hezbollah ou au Hamas et co. Avant d'arriver à ces extrémités, l'Israel pourrait par exemple frapper les convois d'armes ( ça se fait déjà en Syrie, au Liban, au Soudan) ou même frapper les intérêts iraniens en Syrie. Une politique moins casse gueule serait de travailler avec les pétro-monarchies du Golfe pour contrer l'influence iranienne. Depuis la guerre civile en Syrie, le Hamas n'a jamais été aussi loin de l'Iran. Tous les groupes Palestiniens pourraient être sortis de l'alliance iranienne s'ils reçoivent un soutien des pays du Golfe Persique et que leurs sources d'approvisionnement sont asséchées par des opérations ponctuelles. Mais la posture Saoudienne à l'égard des FM était un frein à cette politique, en tout cas jusqu'à la récente visite de Méchal en Arabie. Du côté Israélien, cela exige plus de flexibilité à l'égard du Hamas et des concessions sur le dossier de la "paix". Pour autant que les dirigeants Israéliens puisse obtenir ces concessions (pas sûr avec Bibi), c'est une carte que l'Israel pourrait jouer et elle serait beaucoup plus efficace qu'un Jericho tiré sur une zone non peuplée.
  17. Je fais fi des attaques personnelle ( bien que j'apprécie moyennement les insultes) Ma réserve se situe au niveau de la méthodologie. Pour un débat sain il vaut mieux citer ses sources ce qui permet aux autres de se faire une idée propre. Comme lorsqu'il citait Razoux qui le contredisait sur les bonnes relations de Saddam avec les Kurdes. Par ailleurs je ne comprends pas qu'on puisse parler de (mal)honnêteté tout en faisant un simple copier-coller du blog de Goya sans le citer et sans utiliser de guillemets. Ca porte un nom précis dans le "monde universitaire". Fin du HS pour moi.
  18. Je t'en prie, montres moi où est-ce que je fais un "copier-coller" d'un texte sans fournir le lien ou citer l'auteur comme tu le fais avec le blog de Goya !! <_<
  19. L'approche de l'Israel à l'égard de l'Iran est résumé par Dagan dans un document diplomatique américain du 31 août 2007 révélé par Wikileaks. Il s'agit de la stratégie des 5 pilliers : 1) Poursuivre les sanctions politiques devant l'ONU pour en faire un Etat paria ; 2) Poursuivre les sanction économiques ; 3) Opérations clandestines et sabotages ( ne visant pas que le programme nucléaire) ; 4) Mener une politique de contre-proliéfaration 5) Fomenter un changement de régime à travers les différentes minorités plus ou moins hostiles à Téhéran. (Le document en question : https://search.wikileaks.org/plusd/cables/07TELAVIV2652_a.html ) Remarque qu'avec l'accord sur le nucléaire, le 1er, 2ème, 3ème, (potentiellement 5ème) piliers s'effondrent. Le conseil de sécurité, en adoptant une nouvelle résolution approuvant l'accord sur le nucléaire, sort l'Iran du "Chapitre 7" et les sanctions seront progressivement levées (1 & 2ème piliers). Par ailleurs, le texte de l'accord sur le nucléaire dit que les 5+1 sont prêts à coopérer avec l'Iran (en formant les Iraniens) afin d'assurer la sécurité du programme nucléaire et prévenir les sabotages éventuelles de ses installations ( 3ème pilier). Quant au changement de régime (5ème pilier), l'option semble belle est bien abandonnée. L'accord sur le nucléaire et le sceau Onusien donne une plus grande légitimité au pouvoir Iranien. In fine, la décision d'un changement de régime viendra des iraniens à l'intérieur de l'Iran via un long processus de maturation de la société civile, pas de Tel-Aviv ou Washington.
  20. Mais tu parlais de Jérusalem, il n'y a pas d'obligation de pèlerinage à Jérusalem, uniquement le pèlerinage à la Mecque est obligatoire pour les musulmans. Des présidents iraniens (Khatami, Ahmadinejad) ont déjà fait le Hajj suivant l'inviation de Riyad. Deux obstacles majeurs à ce que tu proposes : - Indépendamment du contexte sectaire, la Jordanie, bien que gardien de l'esplanade des Mosquées, n'a aucun droit sur les frontières israéliennes. Elle ne peut donner accès à une délégation Iranienne pour visiter les lieux sous sa garde. Seul les Israéliens autoriser une visite et ça ne risque pas d'arriver. - La nature même de la République Islamique n'autoriserait pas une visite de Jérusalem alors que le reste de la Palestine reste "occupée par les sionistes". A mon avis, il faut attendre la période post-révolutionnaire.
  21. Soit les propos sont de toi, soit ils viennent de quelqu'un d'autre. Dans ce cas l'honnêteté intellectuelle voudrait que tu cites la source. Ce n'est pas "un exercice compliqué" (tu n'es pas le seul à poster depuis un "putain de téléphone portable), il suffit de faire CTRL + C > CTRL + V sur pc ou copier/coller sur portable. Et honnêtement, si tu peux recopier textuellement Goya, je ne doute pas que tu puisse fournir un lien à son article....
  22. Si tu fais référence à une source, la moindre des choses serait de la citer. Ca me semble élémentaire pourtant d'autant plus venant de quelqu'un qui aurait fait des études universitaires. Ca permet une discussion saine et donne la possibilité des présenter des contre-arguments et pas brasser de l'air. Le fait que tu ne poste plus rien en ton nom ne te dispense pourtant pas de citer tes sources, de donner les références. Par exemple tu te réfère à la théorie d'Imbert évoquée par Goya mais sans fournir l'article. Si tu ne donnes pas la référence, on pourrait croire qu'Imbert fait une règle générale de sa théorie ( ce qui n'est pas du tout le cas) et Goya dit que la loi d'Imbert n'est pas une règle générale, invariable. Sur le cas spécifique de l'Iran, le pays ne s'est pas initié un conflit armé depuis 200 ans alors qu'il a traversé des périodes de prospérité et de crise et vu la balance du pouvoir dans le Golfe Persique (où les pays arabes dépensent 9 fois plus que l'Iran), cela ne risque pas de changer. En effet, les Etats-Unis sont en plein "campagne hostile" ( le mot est faible selon les périodes) contre l'Iran....depuis 1979. Si la période Clinton marque un point, difficile de faire plus hostile que la période Reagan où l'hostilité à l'Iran a permis à Saddam d'utiliser des armes chimiques contre les militaires et civils iraniens avec la complaisance des grandes puissances. Retour au sujet pour moi.
  23. En effet, la vacuité du propos doit être soulignée. T' aurais pu mettre la citation complète de Goya où tu as été péché la référence à Imbert. (5ème paragraphe : http://lavoiedelepee.blogspot.be/2013/06/la-guerre-mondiale-en-miettes.html). La loi d'Imbert établit une corrélation entre prospérité économique et conflits armés en Europe, ce n'est pas une loi générale qui s'applique de manière intemporelle à toutes les régions du monde. Goya lui même le dit. Bin oui voyons,... tellement vrai que la proposition de 2003 reprend les mêmes points qu'une autre proposition de 1997 présentée par le même Président Iranien, à une époque où les "ricains (ne) venaient (pas) coup sur coup de dézinguer du barbu et du moustachu".
  24. Basée sur cette théorie, malin est celui peut nous expliquer pourquoi durant les 200 dernières années, l'Iran, qui a pourtant traversé des périodes de récessions et de prospérité, ne s'est pas engagé dans un "conflit entre nations"? Ce genre d'analyse anachronique qui ne prend pas en compte la tradition des pays, la réalité du terrain, la culture locale n'a de valeur que chez ceux qui voient un monde simple régit par des règles générales qui s'imposent invariablement à tous. Si l'analyse est pertinente dans l'Europe durant la révolution industrielle, je ne vois pas comment on peut en faire une règle générale perso. Des Ayatollah visitant l'esplanade des Mosquées ? Tu veux donner une crise cardiaque à nos alliés du Golfe Persique ? lol Le roi Jordanien était le premier dirigeant Arabe à mettre en garde contre le Croissant chiite et l'expansion de l'Iran. Indépendamment de la Jordanie, je ne vois pas un seul dirigeant de la République Islamique pouvant dépasser le tabou Israélien et surtout pas d'ici 5 ans. Attendons de voir si le concept du Velayat Faqih peut survire à Khamenei.
  25. Idéologiquement, il n'est pas possible de concilier la République Islamique avec une normalisation des relations entre l'Iran et Israël. Cela étant dit, je n'exclue pas qu' à moyen terme, si l'Iran a les assurances sécuritaires qu'il exige depuis les années 80', les différents groups soutenus par Teheran soient mis en veille. C'est ce qu'avait proposé en partie Khatami en 2003 mais rejeté par l'administration Bush. Le jour où un président iranien fera le voyage en Israel, on sera dans un Iran post-révolutionnaire.
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