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dr.watson

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  1. L’Algérie prévoit d’acquérir 24 hélicoptères dont 14 appareils de type EC-725 et 10 de type EC-635 du constructeur européen Eurocopter.

    mardi 29 juillet 2008.

    Le contrat est quasi bouclé, si toutefois l’Algérie et Eurocopter arrivent à se mettre d’accord sur le volet « munitions », mais surtout sur « le projet de coopération industrielle » qu’Eurocopter devait soumettre au ministère algérien de la Défense, le 19 juillet dernier. Alger avait demandé au constructeur aéronautique une batterie de services après vente assortis d’autres exigences industrielles. D’abord, la fourniture des services MRO, relatifs à la maintenance et à la réparation des appareils. Ensuite, l’installation locale d’unités de manufacture et d’assemblage de certains équipements. Enfin, l’accès aux marchés d’exportation et l’application de l’accord de coopération industrielle sur la première livraison d’hélicoptères.

    Il faut savoir que l’Algérie envisage de commander un second lot de 48 hélicoptères, ce qui devrait encourager Eurocopter à faire des concessions afin de ne pas froisser son client et rater, par la même occasion, la bonne affaire. En évoquant les affaires, l’Algérie semble retrouver son mordant des années 70 où la coopération industrielle était un point de passage obligé des partenaires étrangers pour accéder aux gros contrats. Néanmoins, comme soulignée plus haut, cette coopération se limite aujourd’hui aux deux secteurs de l’armement et de l’énergie.

    Synthèse de Rayane, www.algerie-dz.com

    D’après le Financier

  2. Frégates pour l'Algérie : Ce n'est pas encore pour tout de suite

    Vue d'une frégate multi-missions (FREMM)

    crédits : DCNS

    Image IPB

    24/06/2008

    Lors de la visite de François Fillon à Alger, le week-end dernier, il a été fortement question d'éventuels contrats d'armement entre la France et l'Algérie. DCNS espère, notamment, vendre des frégates, un contrat qui serait assorti de la création d'une base navale et de chantiers associés. En effet, une partie du programme pourrait être réalisée localement. Evoqué depuis plus de deux ans, l'intérêt de l'Algérie pour l'acquisition de nouvelles frégates s'est concrétisé avec un appel d'offres. Aux côtés du premier ministre, Jean-Marie Poimboeuf, président de DCNS, était donc à Alger pour promouvoir l'option française dans un programme où le choix sera éminemment politique. Et le groupe tricolore n'est pas le seul en lice. Ses grands concurrents européens essayent se positionnent également, y compris l'Italien Fincantieri. Partenaire de DCNS dans le cadre du programme des Frégates Européennes Multi-Missions, le groupe italien pourrait, comme nous l'évoquions cet hiver, proposer sa propre version de la FREMM, équipée d'un système de combat et de missiles américains. De leur côté, les Français maintiennent volontairement le doute quant au produit proposé : La FREMM ou la FM400, nouvelle frégate de 4000 tonnes destinée à succéder à la famille des La Fayette.

    On ne s'attendrait en tous cas pas à une signature du contrat avant l'année prochaine.

    http://www.meretmarine.com/lienobjet.cfm?mer_objet_lien_id=14208&id=108002

  3. Bilan de la visite de Fillon en Algérie.

    L'accord militaire, également signé samedi, et qualifié d'"historique" par M. Fillon, est le fruit de cinq ans de négociations. Il ouvre la voie à de futures "coopérations industrielles dans le domaine de l'armement", a souligné le Premier ministre français.

    Les autorités algériennes comptent acquérir quatre frégates multimissions Fremm, assemblées par le groupe de défense naval DCNS, dont deux seraient construites en Algérie.

    Des négociations sont également engagées avec le spécialiste de l'électronique de défense Thales

    Eurocopter serait sur les rangs pour la vente d'hélicoptères, mais elle est notamment confrontée à la concurrence des Super-Lynx d'Agusta Westland, société contrôlée par l'italien Finmeccanica.

  4. Eurocopter fera-t-il la différence ?

      Mobilisé sur le contrat de 24 hélicoptères de surveillance proposé par le ministre algérien de la défense depuis presque un an, Eurocopter soumettra sa nouvelle proposition de spécification technique, support produits et programmes d'entraînement pour 14 EC725 et 10 EC635, aux autorités algériennes le 16 juin.Agusta Westland est également engagé sur le marché des 24 appareils, qui pourrait déboucher sur la commande de 48 appareils supplémentaires, un vrai pactole  (...)  [93 mots]  [1,3€]

    Maghreb confidentiel

  5. 17:49    |    30/05/2008 Le Point.fr

    Sept mois après avoir acheté une frégate FREMM, le Maroc n'a toujours rien payé...

    par Jean Guisnel

    Si l'admission au service actif de la première frégate multimissions (FREMM), L'Aquitaine , est toujours prévue pour 2012, celle du deuxième bâtiment de ce type, La Normandie , sera décalée de plusieurs années. Motif : lorsque la France a vendu une FREMM au Maroc en octobre dernier, c'est justement La Normandie qui a été attribuée au royaume, afin de ne pas repousser la livraison à une date trop reculée. Le rythme de production du chantier de DCNS à Lorient a été prévu pour 1,7 frégate FREMM par an, pas une de plus... Le futur navire amiral marocain sera baptisé Mohamed 6 , du nom de l'actuel souverain du royaume chérifien.

    Mais à ce jour, un certain nombre de problèmes n'ont pas encore été réglés. Le premier est d'ordre financier. Si le contrat de 470 millions d'euros est bel et bien signé entre la France et le Maroc, les premiers sous ne sont pas encore entrés dans les caisses de DCNS. "Il n'y a rien d'étonnant à cela", dit-on tant chez l'industriel qu'au gouvernement : ces affaires prennent du temps, il n'y a rien d'inquiétant. En fait, les Marocains finaliseraient actuellement un crédit, pour lequel plusieurs banques et établissements financiers seraient encore en phase de négociation. C'est dans le cadre de cet emprunt que la banque retenue fera appel à la France pour qu'elle apporte sa caution financière, la Coface garantissant que les traites seront honorées. Or, pour cela, il faut un accord que Bercy rechigne un peu à donner.

    Un manque de techniciens d'excellence

    Selon une source bien informée, "si Bercy traînait trop les pieds, par exemple si la Coface estimait que le Maroc a dépassé les seuils d'entêtement acceptables vis-à-vis de la France, des instructions politiques seraient données au Trésor pour passer outre ces réticences". Le second problème est plus surprenant. Quand un pays vend un navire de guerre, il vend également la formation de l'équipage qui le fera fonctionner. Depuis des années, la France s'est dotée d'un outil paraétatique chargé de cette fonction quand il s'agit de matériel naval, NAFVCO. Or, la marine marocaine exige que NAFVCO soit mise hors circuit, et que la formation soit assurée par la marine nationale française, gratuitement de surcroît. Sachant que la formation d'un équipage coûte de 30 à 50 millions d'euros, c'est un gros cadeau que le Maroc exige du contribuable français. À la marine nationale, on se veut compréhensif : "Nous sommes prêts à cet effort, si tel est le prix de l'attachement de la marine marocaine à la France !" Là, encore, l'avis de Bercy sera déterminant.

    Enfin, dernière difficulté que les Français n'admettent que du bout des lèvres : il semble que la marine marocaine aura le plus grand mal à trouver des techniciens, officiers comme sous-officiers, pour faire fonctionner ce navire d'une extrême complexité. Les Français, eux-mêmes, ne savent pas comment ils vont pouvoir former des techniciens d'excellence à la conduite d'une machine aussi perfectionnée, et envisagent de faire concevoir des logiciels spécialisés dans l'apprentissage des systèmes de conduite et de combat des FREMM. Or, au Maroc, lancé dans la course au développement, tous les secteurs réclament des techniciens de haut niveau, que les entreprises ont déjà du mal à trouver... Renault-Nissan, qui investit un milliard d'euros dans la région de Tanger, est précisément confrontée à ce problème.

    http://www.lepoint.fr/actualites-monde/sept-mois-apres-avoir-achete-une-fregate-fremm-le-maroc-n-a/1648/0/249379

  6. La crise algérienne : analyse du refus de livraison des chasseurs Mig-29SMT

    Les Faits

    Le contrat pour la livraison de 28 chasseurs Mig-29SMT et 6 avions d’entraînement Mig-29UBT à l’Algérie pour plus de 1,27 Mds US$ avait été signé fin janvier 2006 et était entré en vigueur en mars 2006 lors de la visite du président Poutine. A cette époque, la Russie avait accepté d’annuler une dette algérienne de 4,7 Mds US$ en échange de l’achat d’armements pour une valeur équivalente. Le contrat pour les Mig-29 n’était qu’une partie d’un important package d’armements qui comprenait également 28 chasseurs multiroles Su-30MKI(A) pour 1,5 Mds US$, 16 avions d’entraînement Yak-130 pour 200 M US$ (l’Algérie en devenant le premier client export), environ 8 systèmes sol-air S-300PMU-2, 185 chars T-90S, un système sol-air Pantsyr-S1 ainsi que le maintenance et la modernisation de blindés et navires.

    Pour la première fois, la Russie avait accepté la reprise par la firme MIG de quelques dizaines de Mig-29 algériens, et peut-être de Mig-23, à une valeur dépréciée. C’est peut-être la raison pour laquelle les médias russes avaient initialement estimé la valeur du contrat à 1,8 Mds US$ alors que la valeur totale des contrats signés entre décembre 2005 et janvier 2006 atteignait 7,5 Mds US$.

    L’Algérie avait reçu entre 2 et 4 Mig-29UBT en décembre 2006 et un total de 15 Mig-29SMT/UBT au 15 avril 2007. Mais le gouvernement algérien a cessé les paiements relatifs au contrat en avril 2007 invoquant plusieurs problèmes de qualité des appareils livrés. Les certificats d’acceptation ayant déjà été signés, les problèmes évoqués ne pouvaient être amenés devant la justice. De plus, la partie algérienne a très tôt insisté pour la reprise des chasseurs sur la base « d’accords oraux » sans annuler le contrat. MIG a fait des efforts durant l’été pour répondre aux problèmes algériens afin de poursuivre la mise en œuvre du contrat. Cependant, toutes les offres faites par MIG ont été refusées, y compris le remplacement des chasseurs livrés par d’autres Mig-29. Et l’Algérie a continué à demander la reprise des chasseurs. Pendant ce temps, l’Armée de l’air algérienne utilisait intensivement les chasseurs qui étaient déployés sur la base de Laguat à 450 km au sud d’Alger. D’après certains calculs, les chasseurs ont volé entre 80 et 100 heures.

    A la fin de l’année 2007, l’Agence fédérale pour la coopération technico-militaire, Rosoboronexport et MIG en sont arrivés à la conclusion que la meilleure solution à la crise consistait à accepter de reprendre les chasseurs et tenter de remplacer le contrat pour les Mig-29SMT/UBT par d’autres accords (éventuellement pour des matériels autres qu’aéronautiques). Durant la visite du président algérien Abdelaziz Bouteflika en Russie en février 2008, un accord de la sorte a été signé pour le retour des Mig-29 bien que le statut légal d’un tel accord ne soit pas clair. Le 25 février 2008, des techniciens de MIG se sont envolés pour l’Algérie afin de démonter les appareils. Il semblerait qu’ils soient désormais tous arrivés en Russie.

    Analyse

    Ni la Russie ni l’Algérie n’ont commenté cette situation et notre analyse des causes de l’annulation du contrat reste donc spéculative. Selon nous, la crise a plusieurs dimensions et des causes multiples que l’on peut regrouper en trois catégories :

    technique,

    liée à la politique intérieure algérienne,

    liée à une influence externe.

    Premièrement, il semble que l’état opérationnel des chasseurs était en effet loin d’être optimal. Ce n’étaient bien sûr pas des « biens déjà utilisés » comme certains médias l’ont avancé, mais MIG a reconnu que les châssis des appareils avaient été produits en 1996. Ce qui ne sort techniquement pas du cadre du contrat qui stipule la fourniture de chasseurs en « production actuelle au dernier stade du cycle technologique ». Cependant, il semble que les conditions dans lesquelles ces châssis sont restés stockés donnent quelques éléments de contestation à la partie algérienne. Il est également possible que le problème ne se limite pas aux structures mais s’étende aux équipements embarqués.

    Il est important de noter que les militaires algériens ont toujours été dans les années 1990 des clients exigents et fiers. Ils ont par exemple refusé la livraison de patrouilleurs modernisés par le chantier naval Kronstadt pour des raisons identiques. L’Algérie a aussi mis fin à des contrats avec la Chine pour des livraisons d’armes et équipements militaires. Les efforts de MIG pour remédier à la situation sont donc probablement arrivés trop tard étant donné que la décision politique d’arrêter le contrat avait déjà été prise. Il y a cependant des signes indiquant que l’aspect technique n’était pas le seul élément de cette crise. Les militaires algériens avaient sûrement compris en signant le contrat que les équipements qu’ils achetaient n’étaient pas « neufs » mais en production « actuelle ». Vu le très bon prix de vente des chasseurs (un peu plus de 20 M US$ l’unité) combiné à la reprise des chasseurs algériens, les algériens ne devaient pas avoir d’exigences trop élevées. Les vieux Mig-23 rachetés par la Russie se sont eux avérés en moins bonnes conditions que ce qui était spécifié dans le contrat. De plus, la force aérienne algérienne a commencé à chercher à l’été 2006 (avant la livraison des Mig-29UBT) sur le marché 30 nouveaux moteurs RD-33 série III et 15 boitiers KSA-15 ainsi que d’autres équipements aéronautiques pour ses Mig-29 qui devaient être livrés à la Russie quelques mois plus tard dans le cadre du contrat d’achat des Mig-29SMT. MIG n’a pas cru à cette information dans un premier temps avant de la prendre avec de plus en plus d’anxiété quand il y a eu des signes évidents que les algériens n’avaient pas l’intention de mener le contrat à son terme comme prévu.

    Deuxièmement, le contrat pour les Mig-29 a pu faire l’objet de rivalités internes parmi l’élite algérienne. Le président Abdelaziz Bouteflika a tenté de réduire l’influence des militaires durant son second mandat alors que ces derniers ont pratiquement dirigé le pays depuis l’annulation des élections gagnées en 1992 par le Front Islamique. Mohammed “Tufik” Medienne, chef des services secrets algériens et leader non officiel de ce groupe, est suspecté d’avoir utilisé les défauts techniques, réels ou perçus, des Mig-29 pour s’attaquer au Chef d’Etat-major de l’Armée algérienne Ahmed Gaid Salah, un allié du président. Medienne a utilisé ses liens avec d’autres kabyles de l’Armée de l’air algérienne, dont son commandant en chef ainsi que le commandant de la chasse et probablement d’autres officiers haut gradés pour précipiter l’annulation du contrat.

    Troisièmement, l’influence d’acteurs externes sur les dirigeants algériens n’est pas à exclure. Les Etats-Unis et la France ont clairement été contrariés par l’accélération soudaine de la coopération russo-algérienne en matière d’armements et d’énergie. Ces deux pays sont les plus gros importateurs de gaz algérien, la principale exportation de l’Algérie. De plus, selon des membres de l’opposition algérienne, la plupart des dirigeants des forces armées et de sécurité algériennes ont des intérêts commerciaux en France, aux Etats-Unis et en Afrique du Sud. Ils sont donc évidemment sensibles à l’influence des pays occidentaux.

    Conséquences

    Il est trop tôt pour conclure sur les conséquences de la crise. Pour l’heure, il semble que le refus d’accepter les Mig-29SMT n’a pas entaché les autres contrats du package d’armements. Selon ARMS-TASS, l’Algérie était le quatrième importateur d’armements russes en 2007 avec 10% des exportations de défense russes. Le contrat pour la livraison des chars T-90S s’est poursuivi et les livraisons de Su-30MKI(A) ont commencé. L’Algérie a également continué à passer d’autres commandes à la Russie ; par exemple pour la livraison de sous-marins. Ceci dit, il faudra attendre la fin des livraisons des Su-30MKI(A) et S-300PMU-2 pour pouvoir dire que la coopération technico-militaire russo-algérienne est de nouveau sur les rails.

    http://www.red-stars.org/spip.php?article254

  7. photo prise hier par Rio35 et T800

    Il s'agit d'un ravitaillement en vol de 02 Su-30MKA avec deux Camo diffèrent ! un Gris et l'autre bleu

    Exercice avec la participation de 03 Midas et plusieurs MKA  8)

    Le Gris est Peut être le MKR ??? Mystère

    Image IPB

    Image IPB

    Voici une vidéo a ma dispo depuis pas mal de temps, mais pas posté sur les forums car je pensais qu'il ne s'agissait pas de MKA, avec les Photos qui confirment l'existence de SU-30MKA Gris, ca prouve que la vidéo est bien en rapport avec les MKA durant la livraison du 28 Mars 2008

    (Info Russe)

    Первые экспортные поставки Су-30 МК. "Сушки" улетают в Алжир   

    The first exports of Su-30 MK. "Drying" fly away to Algeria

    http://rutube.ru/tracks/571822.html?v=27f013eb42f24312e6b7c96dc294109e

  8. La Russie livre à l'Algérie deux chasseurs polyvalents Su-30MKA

    14:37 | 31/ 03/ 2008

     

    IRKOUTSK (Russie), 31 mars - RIA Novosti. Le constructeur aéronautique Irkout dont le siège se trouve à Irkoutsk, en Sibérie orientale, a annoncé lundi avoir livré à l'Algérie deux chasseurs polyvalents Su-30MKA.

    "Il s'agit d'un premier lot d'avions cette année pour l'armée de l'air algérienne", a indiqué Irkout dans un communiqué.

    Les chasseurs seront livrés en kit pour être assemblés et testés sur le terrain avant d'être remis au client.

    Un contrat portant sur la livraison de 28 chasseurs de la famille Sukhoi avait été signé en 2006 lors de la visite à Alger du président russe Vladimir Poutine. En 2007, Irkout a vendu à l'Algérie quatre chasseurs polyvalents Su-30MKA.

    Le Su-30MKA est une adaptation du chasseur polyvalent Su-30 pour l'armée de l'air algérienne. Il sert à détruire des cibles aériennes, terrestres et maritimes. Dotée d'une autonomie de 3.000 km, il développe une vitesse maximale de 2.400 km/h et peut emporter jusqu'à 8.000 tonnes de charge utile, y compris des missiles air-air et air-sol, des bombes guidées et des bombes à fragmentation.

    http://fr.rian.ru/business/20080331/102579525.html

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