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Neo

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Messages posté(e)s par Neo

  1. Inutile de vous gargarizer sur les portées en bvr puisque tout est classifié ...Perso, je préfère avoir du mica sous les ailes que de l'amram et je doute fort que l'apg 70 fasse le poids malgré sa grande antenne face au rdy ! Concernant les ecm, idem ! Tout le monde sait que les ecm francaises sont les plus performantes au monde et que grâce à elles, les 2000 sont très dûrs à abattrent quelque soit le type d'engagement de l'adversaire ...

    A ces niveaux de perfos, je pense que seul le facteur humain fait la différence .....ET PRUDENCE SUR LA DESINFORMATION JE NE LE DIRAI JAMAIS ASSEZ

    Comme tout est clasifier comment peut tu dire  que le 2000 est forcement meilleut?!

    Et puis de toute facons les combats en dépendent pas toujours des perf des appareils, si un chassuer moin performant que le tient se retrouve derriere il a deja un net avantage

  2. La foudre?? Nan méme pas la peine, ce mec s'en ai pris plein la geule pendent un bout de temps il est toujours incapable d'avoir la moindre lueur de logique dans ce qu'il dit!

    Parsque des problemes de compatibilitée entre appareil de L'OTAN utilisant des link16 faudra m'expliquer!

    Sinon j'adère à l'idée de C seven! La Belgique nous achete des Rafale contre de la biere!

    Neo toutcourtaussi

    Francophone de France

  3. Oup oui j'avasi même pas vérifier! Bon il leur rest un bon nombre de Shehab 3 qui peuvent faire quelques millier de morts et si la Syrie déside pour l'ocasion d'attaquer Israel et de tenter de reprendre le Golan il y aurait quand même 300/400 scud a se prendre dessu

    Et puis si Israel reussi a envoyer ces appareils en Iran peut faire la même chose dans le sens inverse, mais sans grand espoire de les revoire 

  4. Merci Shuggart

    Les jets israéliens peuvent-ils détruire les installations nucléaires iraniennes ?

    Pour prévenir une « évolution catastrophique », indique Middle East Newsline, George Bush a décidé de ne pas attaquer lIran. Une source de ladministration explique que pour Washington, une coopération avec lIran est « nécessaire au retrait [des forces américaines] en Irak ».

    Si linformation est exacte, elle implique que lÉtat juif est maintenant seul contre un régime qui menace de « rayer Israël de la carte » et qui construit les armes nucléaires pour le faire. Les leaders israéliens signalent que leur patience est à bout ; le vice-Premier ministre Shaul Mofaz avertissait ainsi récemment que « les efforts diplomatiques doivent donner des résultats dici la fin de 2007 ».

    Les Forces de défense israéliennes (FDI) sont-elles capables de stopper le programme nucléaire iranien ?

    La réponse à de telles questions est en principe fournie par les analyses top secrètes des agences de renseignement. Mais des outsiders de talent peuvent aussi sy essayer en recourant à des sources publiques. Whitney Raas et Austin Long ont étudié cette problématique au Massachusetts Institute of Technology (MIT) et ont publié leur impressionnante analyse, « Osirak Redux ? Assessing Israeli Capabilities to Destroy Iranian Nuclear Facilities » (Réédition dOsirak ? Évaluation des capacités dIsraël de détruire les équipements nucléaires iraniens), dans le journal International Security.

    Raas & Long se concentrent exclusivement sur la faisabilité et nabordent pas les questions dopportunité politique ou dincidences stratégiques : si le commandement central israélien décidait dendommager les infrastructures iraniennes, ses forces armées seraient-elles en mesure de remplir cette mission ? Les auteurs examinent les cinq éléments suivants dun raid réussi :

    Lusine denrichissement duranium à Natanz.

    Renseignements. Entraver la production de matériel fissile implique la mise hors détat de trois installations seulement de linfrastructure nucléaire iranienne. Ce sont, dans lordre dimportance croissant, lusine de production deau lourde et les réacteurs de production de plutonium en construction à Arak, une usine de conversion duranium à Ispahan et une usine denrichissement duranium à Natanz. Les auteurs relèvent que la destruction des installations de Natanz « est cruciale pour empêcher lIran de progresser vers la nucléarisation ».

    Armement. Pour avoir de bonnes chances dendommager suffisamment les trois installations, il faut compte tenu de leur taille, du fait quelles sont enterrées, des armes à disposition des forces israéliennes et de différents autres facteurs 24 bombes de 5000 livres (2,2 t) et 24 bombes de 2000 livres (900 kg).

    Plateforme. Observant l« étrange amalgame de technologies » dont disposent les Iraniens et les limitations de leur aviation de chasse et de leur défense au sol face aux équipements high-tech de larmée de lair israélienne, Raas & Long estiment que les FDI doivent engager une force relativement modeste de 25 F-15I et 25 F-16I.

    Itinéraires. Les jets israéliens peuvent atteindre leurs cibles par trois itinéraires : la Turquie par le nord, la Jordanie et lIrak au centre ou lArabie Saoudite au sud. En termes de carburant et de chargement, les trois options sont envisageables.

    Forces de défense. Plutôt que de prédire lissue dune confrontation entre Israël et lIran, les auteurs calculent le nombre davions, sur les 50 engagés, qui devraient atteindre leurs cibles pour que lopération réussisse. Ils estiment ainsi quau moins 24 avions doivent atteindre Natanz, six Ispahan et cinq Arak ou les 35 ensemble. En dautres termes, la défense iranienne doit stopper au moins 16 des 50 avions, soit un tiers de lescadre aérienne. Les auteurs considèrent quun tel résultat serait « considérable » pour Natanz et « pratiquement inimaginable » pour les deux autres cibles.

    Dans lensemble, Raas & Long estiment que la modernisation constante des forces aériennes israéliennes leur donne « la capacité de détruire des cibles iraniennes même bien protégées avec des chances raisonnables de succès ». Au terme dune comparaison entre une opération en Iran et lattaque par Israël du réacteur irakien dOsirak en 1981, laquelle sest soldée par une réussite complète, ils concluent que le projet iranien « ne semble pas présenter plus de risques » que le raid de 1981.

    Le grand point dinterrogation planant sur lopération et au sujet duquel les auteurs renoncent à émettre des spéculations, est de savoir si les gouvernements turc, jordanien, américain ou saoudien permettraient aux Israéliens de pénétrer leur espace aérien (lespace irakien étant sous contrôle américain). À moins que les Israéliens nobtiennent davance la permission de traverser ces territoires, leurs jets pourraient avoir à mener des combats en cours de route. Ce facteur est le plus périlleux de lensemble du projet (les FDI pourraient atténuer ce problème en volant le long des frontières, par exemple celle séparant la Turquie et la Syrie, permettant ainsi aux deux pays de prétendre que les avions israéliens ont emprunté lespace aérien de leur voisin).

    Raas & Long laissent entendre mais ne mentionnent pas que les FDI pourraient aussi atteindre lîle de Kharg, par laquelle est exporté plus de 90% du pétrole iranien, ce qui porterait un coup sévère à léconomie iranienne.

    Le fait que les forces israéliennes aient « une chance raisonnable de réussir » à détruire unilatéralement les principales installations nucléaires iraniennes pourrait contribuer à décourager Téhéran de poursuivre son programme darmement. Létude de Raas & Long favorise donc une issue diplomatique. Ses résultats méritent une diffusion aussi large que possible.

    http://armees.com/Les-jets-israeliens-peuvent-ils-detruire-les-installations-nucleaires,22726.html

    La conclusion qui s'impose d'elle même est que les mecs qui on pondu ça on passés trop de temps devant leur ordi et devraient sortire un peut prendre l'air! Le MIT c'est plus ce que c'était!

    Tout d'abord  car il est completement idiot de penser a la destruction des instalations nucleaires Iraniennes sans détruire une partie de l'armée Iranienne, notament les nombreux missiles balistique (envion 300 scud plus le reste, sans compter les 300 a 400 scud syriens) équiper d'arme chimique, bactériologique et toute autre joyeuserie auquel Israel n'est pas imperméable

    La chasse Iranienne serait aussi en mesure de mener une contre attaque dévastatrisse même si elle serait quasiment sucide

    Ensuite cette étude ne prend en compte aucune perspective politique, mais bon ils avaient prévenu

    On peut aussi constater qu'ils sont nul en math; j'ai pas fait math sup' mais je sait qu'Israel n'a pas les moyens de ravitailler 50 jets qui font le tour du moyen oriens avant d'effectuer des missions de combats; car si les Iraniens n'on pas beaucoup de chance de succés ils vont se défendre c'est sur et y enveron tout ce qu'ils ont car ils s'attendent a ce genre d'attaque (SAM, F-14,...)

    Bon ensuite, comment imaginez que 50 chasseur emportent assez de bombes pour neutraliser toutes ces instalation nucléaire? Je ne parle même pas des instalations militaire!

    Passon aux réactions politiques, qu'est ce qu'une tel action crérait? (A part le tir de centaines de scud sur Israel biensur!) Est ce que sa découragerait vraiment l'Iran de se doter de l'arme ou le ralentirait de quelques années? Car il ne faut pas trop pousser la comparaison avec l'opération de 81, le contexte n'est absolument pas le même

    Bref même en imaginant que l'opération puisse réussir, qui seraient vraiment le gagnant et qui serait le perdant?

    Ps: sinon pour qu'il y ai un équilibre, Israel se dote officielement de l'arme nucléaire, mais non plus seulement tactique mais stratégique (des bon gros missiles bien proteger dans leurs silos)

  5. Tout d'abor désoler Fenir je sait que je fait un doublon, mais je suis incapable de retrouver le sujet  a propos d'un attaque Israelienne sur les instalations Iraniennes apres 20mn de recherches!  =|

    Ensuite voila ce qui nous interesse:

    Les jets israéliens peuvent-ils détruire les installations nucléaires iraniennes ?

    Pour prévenir une « évolution catastrophique », indique Middle East Newsline, George Bush a décidé de ne pas attaquer l’Iran. Une source de l’administration explique que pour Washington, une coopération avec l’Iran est « nécessaire au retrait [des forces américaines] en Irak ».

    Si l’information est exacte, elle implique que l’État juif est maintenant seul contre un régime qui menace de « rayer Israël de la carte » et qui construit les armes nucléaires pour le faire. Les leaders israéliens signalent que leur patience est à bout ; le vice-Premier ministre Shaul Mofaz avertissait ainsi récemment que « les efforts diplomatiques doivent donner des résultats d’ici la fin de 2007 ».

    Les Forces de défense israéliennes (FDI) sont-elles capables de stopper le programme nucléaire iranien ?

    La réponse à de telles questions est en principe fournie par les analyses top secrètes des agences de renseignement. Mais des outsiders de talent peuvent aussi s’y essayer en recourant à des sources publiques. Whitney Raas et Austin Long ont étudié cette problématique au Massachusetts Institute of Technology (MIT) et ont publié leur impressionnante analyse, « Osirak Redux ? Assessing Israeli Capabilities to Destroy Iranian Nuclear Facilities » (Réédition d’Osirak ? Évaluation des capacités d’Israël de détruire les équipements nucléaires iraniens), dans le journal International Security.

    Raas & Long se concentrent exclusivement sur la faisabilité et n’abordent pas les questions d’opportunité politique ou d’incidences stratégiques : si le commandement central israélien décidait d’endommager les infrastructures iraniennes, ses forces armées seraient-elles en mesure de remplir cette mission ? Les auteurs examinent les cinq éléments suivants d’un raid réussi :

    L’usine d’enrichissement d’uranium à Natanz.

    Renseignements. Entraver la production de matériel fissile implique la mise hors d’état de trois installations seulement de l’infrastructure nucléaire iranienne. Ce sont, dans l’ordre d’importance croissant, l’usine de production d’eau lourde et les réacteurs de production de plutonium en construction à Arak, une usine de conversion d’uranium à Ispahan et une usine d’enrichissement d’uranium à Natanz. Les auteurs relèvent que la destruction des installations de Natanz « est cruciale pour empêcher l’Iran de progresser vers la nucléarisation ».

    Armement. Pour avoir de bonnes chances d’endommager suffisamment les trois installations, il faut – compte tenu de leur taille, du fait qu’elles sont enterrées, des armes à disposition des forces israéliennes et de différents autres facteurs – 24 bombes de 5000 livres (2,2 t) et 24 bombes de 2000 livres (900 kg).

    Plateforme. Observant l’« étrange amalgame de technologies » dont disposent les Iraniens et les limitations de leur aviation de chasse et de leur défense au sol face aux équipements high-tech de l’armée de l’air israélienne, Raas & Long estiment que les FDI doivent engager une force relativement modeste de 25 F-15I et 25 F-16I.

    Itinéraires. Les jets israéliens peuvent atteindre leurs cibles par trois itinéraires : la Turquie par le nord, la Jordanie et l’Irak au centre ou l’Arabie Saoudite au sud. En termes de carburant et de chargement, les trois options sont envisageables.

    Forces de défense. Plutôt que de prédire l’issue d’une confrontation entre Israël et l’Iran, les auteurs calculent le nombre d’avions, sur les 50 engagés, qui devraient atteindre leurs cibles pour que l’opération réussisse. Ils estiment ainsi qu’au moins 24 avions doivent atteindre Natanz, six Ispahan et cinq Arak ou les 35 ensemble. En d’autres termes, la défense iranienne doit stopper au moins 16 des 50 avions, soit un tiers de l’escadre aérienne. Les auteurs considèrent qu’un tel résultat serait « considérable » pour Natanz et « pratiquement inimaginable » pour les deux autres cibles.

    Dans l’ensemble, Raas & Long estiment que la modernisation constante des forces aériennes israéliennes leur donne « la capacité de détruire des cibles iraniennes même bien protégées avec des chances raisonnables de succès ». Au terme d’une comparaison entre une opération en Iran et l’attaque par Israël du réacteur irakien d’Osirak en 1981, laquelle s’est soldée par une réussite complète, ils concluent que le projet iranien « ne semble pas présenter plus de risques » que le raid de 1981.

    Le grand point d’interrogation planant sur l’opération et au sujet duquel les auteurs renoncent à émettre des spéculations, est de savoir si les gouvernements turc, jordanien, américain ou saoudien permettraient aux Israéliens de pénétrer leur espace aérien (l’espace irakien étant sous contrôle américain). À moins que les Israéliens n’obtiennent d’avance la permission de traverser ces territoires, leurs jets pourraient avoir à mener des combats en cours de route. Ce facteur est le plus périlleux de l’ensemble du projet (les FDI pourraient atténuer ce problème en volant le long des frontières, par exemple celle séparant la Turquie et la Syrie, permettant ainsi aux deux pays de prétendre que les avions israéliens ont emprunté l’espace aérien de leur voisin).

    Raas & Long laissent entendre mais ne mentionnent pas que les FDI pourraient aussi atteindre l’île de Kharg, par laquelle est exporté plus de 90% du pétrole iranien, ce qui porterait un coup sévère à l’économie iranienne.

    Le fait que les forces israéliennes aient « une chance raisonnable de réussir » à détruire unilatéralement les principales installations nucléaires iraniennes pourrait contribuer à décourager Téhéran de poursuivre son programme d’armement. L’étude de Raas & Long favorise donc une issue diplomatique. Ses résultats méritent une diffusion aussi large que possible.

    http://armees.com/Les-jets-israeliens-peuvent-ils-detruire-les-installations-nucleaires,22726.html

    La conclusion qui s'impose d'elle même est que les mecs qui on pondu ça on passés trop de temps devant leur ordi et devraient sortire un peut prendre l'air! Le MIT c'est plus ce que c'était!

    Tout d'abord  car il est completement idiot de penser a la destruction des instalations nucleaires Iraniennes sans détruire une partie de l'armée Iranienne, notament les nombreux missiles balistique (envion 300 scud plus le reste, sans compter les 300 a 400 scud syriens) équiper d'arme chimique, bactériologique et toute autre joyeuserie auquel Israel n'est pas imperméable

    La chasse Iranienne serait aussi en mesure de mener une contre attaque dévastatrisse même si elle serait quasiment sucide

    Ensuite cette étude ne prend en compte aucune perspective politique, mais bon ils avaient prévenu

    On peut aussi constater qu'ils sont nul en math; j'ai pas fait math sup' mais je sait qu'Israel n'a pas les moyens de ravitailler 50 jets qui font le tour du moyen oriens avant d'effectuer des missions de combats; car si les Iraniens n'on pas beaucoup de chance de succés ils vont se défendre c'est sur et y enveron tout ce qu'ils ont car ils s'attendent a ce genre d'attaque (SAM, F-14,...)

    Bon ensuite, comment imaginez que 50 chasseur emportent assez de bombes pour neutraliser toutes ces instalation nucléaire? Je ne parle même pas des instalations militaire!

    Passon aux réactions politiques, qu'est ce qu'une tel action crérait? (A part le tir de centaines de scud sur Israel biensur!) Est ce que sa découragerait vraiment l'Iran de se doter de l'arme ou le ralentirait de quelques années? Car il ne faut pas trop pousser la comparaison avec l'opération de 81, le contexte n'est absolument pas le même

    Bref même en imaginant que l'opération puisse réussir, qui seraient vraiment le gagnant et qui serait le perdant?

    Ps: sinon pour qu'il y ai un équilibre, Israel se dote officielement de l'arme nucléaire, mais non plus seulement tactique mais stratégique (des bon gros missiles bien proteger dans leurs silos)

  6. en effet, avec une telle distance de détection, ce serait plus compréhenseible mais la détection est elle vraiment de cet ordre de grandeur là?

    Ben non justement! L'OSF peut détecter et tracker jusqu'a environ 130km! Bien de trop pour un mica, mais pas pour le meteor
  7. C'est vrai qu'on se demande comment un machin comme ca peut voler!  =D

    Quoi que, vieux dicton de pilotes: "Le Phantom est la preuve vivante qu'avec suffisamment de puissance, même une brique peut voler !"

  8. en matiére de drone les européens sont a la ramasse contre israel.

    Il faut avouer qu'il y a encore quelques années l'europe s'était laisser distanser par les US et Israel, car ni croyaient pas, aujourd'hui le seul retard est vis a vis des X-45/X-47 américains qui on quelques années d'avances sur les nEUROn, Baracuda et Taranis

    israel a tous simplement fais le choix de ne pas dévloppé ces propres avions et hélicoptéres car le cout de recherches  et de fabrications ne seront pas remboursé par les seules commandes israéliennes

    Vous avez autant, voire plus de commande que nous pour ce qui est des chasseurs et helico et nous nous amortisons sufisament le prix! Même les Suedois y arrivent!

    De plus qu'il y a un marcher export assez important et que l'electronique israelienne est renomer, tout ca c'est pour rester dans les jupon de l'oncle Sam

    Pour le reste Neuron est passer pa la!

    Pour ce qui est du drone chinois, effectivement actuelement c'est trop ambitieux pour étre crédible, mais si les ricains nous resortent ca dans 10 ans je serait capable  de le croire, car a la vitesse ou s'améliorent nos technologies il ni aura plus de raison a ce que dans 20/25 ans nos pilotes ne décolent plus du plancher des vaches et commanderons leurs appareils a distance

  9. Par ailleurs, sous-entends-tu que les post-F3 avec DDM-NG et AESA coûteront plus cher que les autres ? A mon avis, non.

    Que nenni que nenni! C'est pas parsque c'est nouveau que sa coute forcément plus cher, bien que se soit généralement le cas
  10. Pour les 2000 c'est le cout d'adaptation du matériel et l'achat de ce matériel pour environ 110 appareil, alors que pour le rafale c'est uniquement le développement de matos en reprenant des bases qui existe deja, mais ca ne compte pas les achats

    Bon apres c'est sur 700 million pour le raf en plus sa serait pas couillon, mais les 2000D doivent encore nous servire 20 ans donc...

  11. Oups je me suis gourer!

    300 dollars pour le Super Tucano, environ 5 000 dollars pour un hélicoptère d’attaque, et 1 000 dollars pour un UAV Predator A

    Pas 100, mais 5000$/H!!!

    C'est sur que pour l'escorte sa serait moyen, mais quand on vois les diférence de couts je pense que sans empiéter beaucoup sur le budget helico il serait possible de se crée une petite flotte de "hyper tucano", biplace pilote a l'avant et désignateur et tireur a l'arriere, l'appareil équiper de détecteur IR, optique (qui pouraient en partis palier le probleme de ne pas profiter d'un vol en stationaire pour observer) et laser pour guider les missile et roquettes guider (j'ai lu que ce genre de chose était en projet dans l'article de Philippe)

    Bon apres reste a voire les couts d'aquisitions et de mise en service

  12. Tres interessant!

    Pour le CAS en ville je me demande si il ne serait pas interessant d'utiliser des tuboprop comme le super tucano qui coutent bien moin cher a l'achat et surtout a l'utilisation que des helico et les chasseur étant peut adapté (certain disent qu'un GBU-12 est de trop pour abatre un seul homme!)

    Ps: environ 300$ de l'heure pour un turboprop contre 1000 pour un helico d'attaque

    Bon ok les chiffre dépendent de pas mal de chose, mais sa donne une idée, sa permetrait d'avoir  beaucoup plus d'appareils en disponibilités!   

  13. Le rafale est un appareil omnirole qui fait donc de l'air/sol et de l'air/air, il est aussi embarquer sur PA, alor que le typhoon fait seulement de l'air/air (a haute altitude on grille moin de petrole, et on tire plus souvent des gbu-12 que des amraam), et le gripen pèse 4 tonne de moin que le rafale

    Pas vraiment équitable comme comparaison, idem entre un F-15C et un strike eagle

  14. J'avais lu dans un article que pour avoir une défense anti-missile avec une composante spatiale complète, il fallait y consacrer quelque 20 à 30 milliards d'euros sur 20 ans. Ce qui donnerait une certaine crédibilité au système et surtout assoierait celle de la dissuasion. Financièrement cela doit équivaloir grosso modo à ce qui est consacré au nucléaire et "ne revient à ne s'engager qu'à hauteur de 1 à 1,5 millards d'€ par an". Enfin tout dépend de comment on prend les choses...

    Remplacer notre investisement du necleaire dans un bouclier?!

    Pourquoi pas mais il faut savoir que les interceptions ont un fort taux d'échec et que des missiles comme le Topol M est in-interceptable

    Et cela n'empechera pas un pays de nous attaquer par des forces conventionel car en cas de désaventage il nous serai impossible d'inverser la balance

    Paris d'entamer une aimable négociation stratégique avec Washington, en s'engageant à rester discret sur ces détections si les Américains cessaient de mettre leurs données sur les satellites sensibles français sur la base de données ouverte du Space Command.

    =D
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