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AIR-DEFENSE.NET

Michel47

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  1. Monsieur le Pacha Philippe, Dans la mesure du possible peux-tu indiquer la date et le lieu des bâtiments au moment de la photo. PS : le BaTRaL est le Dumont D'Urville, troisième d'une série de cinq bâtiments. Mis sur cale 15 décembre 1980, lancé le 27 novembre 1981, il est mis en service le 05 février 1983. A la différence des deux premiers bâtiments, il a été construit aux Chantiers de Grand Quevilly, près de Rouen, et non à la DCN Brest.
  2. Michel47

    2eme Tour pour le nom du PA2 !

    ... et pourquoi pas ; Le "SOLEIL ROYAL" OK, Je sors
  3. Voici un lien qui pourra vous interresser ; http://www.ffsmc.com/modules.php?set_albumName=military&op=modload&name=Gallery_Menalto&file=index&include=view_album.php
  4. Michel47

    Le(s) PA de la Royale

    Si toi tu trouve normal de jeter l'argent des contribuables par la fenètre, effectivement ce n'est rien ! Cela représente tout de même 7812 années de SMIG [57] Et pourquoi Thalès n'aurait pas de boulot ? Rien est dit ni figé dans le projet Franco-Français sur les éventuelles entreprises qui auraient des contrats. Une seule annotation pour Thalès 'propulsion) est spécifiée un peu plus bas du message. Les chantiers navals pour la répartition du travail, soit pour le choix d'un, soit dans l'éventualité de faire construire des "blocs" dans les différents chantiers comme cela c'est un peu fait pour les BPC. Je suis pour le PA N°2 franco-français. Pas par chauvinisme, loin de là, mais traiter avec l'anglais ne me plait guère et je ne suis pas le seul à le penser ou le dire. Dans ce cas restons modeste, adoptons Roméo. Ce bâtiment, issu des études développées à partir de février 2004 par DCN (projet Roméo), est de dimensions comparables aux CVF (284 mètres de long pour 60.000 tonnes, contre 283 mètres et 65.000 tonnes). Ses installations répondent, au plus près, aux demandes de la Marine nationale : Déplacement 59.000 tonnes pour 284 mètres de long pour 72 de large, une quarantaine d’aéronefs (32 Rafales, 3 Hawkeye et 5 NH90). Pour sa propulsion (Thales a proposé du tout électrique en partenariat avec Rolls et même des Pods qui lui assurerait une vitesse maximum de 27 nœuds et une autonomie de 10.000 nautiques à 15 nœuds. Armé par 1770 personnes, dont 900 pour le groupe aérien, il pourrait rester en opération pendant 45 jours (vivres), un îlot unique placé sur l’arrière, entre les deux ascenseurs. Encore une fois, les politiques décident au détriment des utilisateurs. Les ingénieurs et architectes français ont aussi planché aussi sur un projet "Charles de Gaulle remis à niveau" : 50.000 tonnes, 4 réacteurs nucléaires, quatre catapultes et 50 aéronefs et dont le cout était inférieur à celui proposé par la coopération Franco-britannique. Pour ce qui est des Barracuda et des frégates AA je suis tout à fait d'accord avec toi. Mais tu sais comme moi que nous ne referons pas le monde, nous sommes trop petit, et qui prendrait en considération nos remarques. C'est le genre de situation que nous pouvons que subir, hélas. Bonne AM à tous et à bientôt [12] .......... sans rancune pour les partisants d'une alliance avec l'anglais, je ne les immolerais pas, soyez sans soucis [28] ... "Y nous ont quand même brulé Jeanne d'Arc, les bougres ...." disait souvent un vieux copain anglophobe décédé (98 ans), marin de surcroit.
  5. Michel47

    Le(s) PA de la Royale

    Comme je le disais dans un autre sujet sur le PA2 il est trop tard pour faire machine arrière car le cout serais exorbitant même pour les "autres" candidats à la présidentielle. Il aurait sur le dos un cadeau colossal à l'angleterre de quelques 100 millions d'euros !!!! Donc quand j'entends les opposants au PA2 annoncer l'abandon du projet, il faudra tout de même qu'ils expliquent le pourquoi La France et ses contribuables on fait un cadeau de 100 millions d'euros aux anglais alors qu"eux ne nous en font pas [20]
  6. Michel47

    Le successeur du CdG

    La seule et unique raison du maintiend du PA2 Franco-britanique c'est ça : "l'entente cordiale". Jacquouille l'a bien dit lors de l'interwiew du 14 Juillet 2004. Je suis comme beaucoup d'entre vous favorable à un deuxième PAN, qui, comme l'a annoncé DCN, couterais moins cher. Il ne faut pas non plus se baser uniquement sur le prix du baril qui augmente, il y a aussi la flotte de ravitailleurs qui se fait vieillissante : Meuse, admission au service actif, 1980 - Var, admission au service actif, 1983 - Marne, admission au service actif, 1987 - Somme, admission au service actif, 1990. Aujourd'hui on peut faire des ravitailleurs pas trop chers par le biais des achats sur étagère a des constructeurs existants. Mais ce sera au détriment de la modernisation du reste de la Flotte. Mais maintenant il est trop tard pour faire machine arrière car le cout serais exorbitant : Pour pouvoir utiliser les études menées par les industriels britanniques, Michèle Alliot-Marie s'était engagée à verser immédiatement 45 millions d’euros, puis 35 M€ en juillet. Enfin, si Jacques Chirac donne son feu vert au programme, la France versera au Royaume-Uni une troisième enveloppe de 65 M€. Dans le cas contraire, le ministère de la Défense aura dépensé, en pure perte, quelques 100 millions d'euros, incluant les contrats d'études passés à DCN et Thalès.
  7. Michel47

    Frégates AAW Horizon

    Le mat est creux et en matériaux composites donc léger ... 8)
  8. Rien est moins sûr sur le quantitatif !!! La guerre d'Irak fait très mal au budget militaire américain. Pour exemple, et c'est une première au US, ils vont découper l'avant d'un SM déclasser pour le "greffer" sur un opérationnel. Tout ça faute d'argent :!: A 2,3 milliards de dollars pièce, le programme DDX prend l’eau http://www.meretmarine.com Le budget alloué au remplacement des destroyers de la classe Spruance gravi des sommets. Le coût unitaire du DDX atteindrait le chiffre astronomique de 2,3 milliards de dollars. L’US Navy prévoit donc de réduire le nombre de bâtiment à une dizaine d'exemplaires, peut être moins, contre 30 initialement souhaités. Le programme ne devrait toutefois pas être arrêté, en raison des investissements colossaux engagés par l’industrie américaine. Northrop-Grumman, Raytheon, Lockheed Martin et les chantiers Ingalls et Bath Iron Works sont notamment associés. L’une des grandes nouveautés du futur destroyer sera l’Advanced Gun System (AGS), une pièce de 155 mm capable de tirer à plus de 180 Kms sur des objectifs terrestres. Extrêmement furtif et consacrant le retour d’une étrave en perce vague pour les grandes unités de combat, le DDX déplacera 14.500 tonnes en charge, pour une longueur de 185 mètres. Outre ses deux canons de 155 mm, le destroyer sera équipé de 80 cellules pour missiles antiaériens, antinavires et anti-missiles balistiques. La mise sur cale du premier, le Zumwalt, doit intervenir en 2009 aux chantiers Northrop-Grumman de Pescagoula. Son admission au service actif est prévue en 2013. Si le programme DDX, hérité de l'Arsenal Ship et du DD 21, aujourd'hui abandonnés, s'annonce mal, l'US Navy devrait mettre l'accent sur le Littoral Combat Ship. Cette frégate polyvalente de 2800 tonnes permettra aux Etats-Unis de mener des actions dans des zones côtières, par fonds très faibles et surtout à très grande vitesse. Dotée de 4 hydrojets, le LCS est en effet conçu pour atteindre 50 noeuds, avec une autonomie de 1150 à 2000 nautiques à 45 noeuds. Menés par Lockheed Martin et General Dynamics, deux projets sont en compétition. Chaque équipe va réaliser deux prototypes et la marine américaine fera son choix l'année prochaine. Le marché pourrait concerner jusqu'à 80 unités.
  9. Michel47

    Frégates AAW Horizon

    Voici les dimensions de la bête : - Déplacement : 5600 tonnes (7050t en charge) – Longueur : 152,87m (141,70m entre perpendiculaires) – Largeur : 20,3m – Tirant d’eau : 5,4m – Tirant d’air : 42,3m
  10. Michel47

    Frégates AAW Horizon

    La position des deux canons de 76 est assée "rigolote". Mais je trouve que ces bâtiments ont tout de même une "Belle gueule". Il y en a qui reproche "l'effet sous-marin" (ne pas voir le jour), mouais, je suis à demi d'accord avec eux car j'ai souvenir de ne pas avoir vu le jour pendant trois jours lors d'un mauvais temps en méditérrannée sur un MSO !!!
  11. Michel47

    YAK 141: des nouvelles?

    http://www.air-defense.net/index.php?cat=21&num_art=542 La réponse est sur ce site. Je n'ai rien trouvé d'autre sur le 141M.
  12. Hip3rion : C'est pas idiot ta question. Du temps de la guerre froide il y avait la MarNat sur le Rhin. Elle était composée essentiellement de chalands automoteurs et de vedettes. J'ai un copain qui y a fait son SN dans les années 75/80. Mais apparemment elle n'existe plus depuis 1990 il me semble. ;)
  13. Michel47

    Le(s) PA de la Royale

    Je ne m'avancerais pas à votre place ... de grosses mesures de restructurations des deux armes (Aéro et AdA) sont en discussion dans les hautes sphères (optimisation des deux armes). Donc je ne serais pas surpris un jour de voir l'Aéro faire de la police de l'air en complément de l'AdA. De plus qu'ils ont un avion commun :!:
  14. Michel47

    Le(s) PA de la Royale

    Le Groupe Aérien du PAN°2 se composerait de 32 Rafale, 3 E-2 C Hawkeye et 5 hélicoptères NH 90. Le Groupe Aérien du CdG se compose de 8 Rafale, 14 SEM, 2 SEM version Reco, 2 E-2C Hawkeye, 2 hélicoptères SA-365F Dauphin, 1 ou 2 hélicoptères Super Puma ou Cougar. Démonstrateur de drone de combat Neuron La Suède, l’Italie, l’Espagne, la Grèce, la Suisse et la France ont décidé d’unir leurs efforts pour la réalisation d’un démonstrateur de drone de combat appelé NEURON. Ces pays ont choisi de mettre en commun leurs compétences industrielles et technologiques dans le but de garantir l’autonomie européenne dans le domaine de l’aéronautique militaire, en renforçant les synergies entre les entreprises du secteur. Ce projet a été lancé en 2003 lors du salon international de l’aéronautique et de l’espace du Bourget par Michèle Alliot-Marie, ministre de la défense. Le projet NEURON est désormais engagé. La Délégation générale pour l’armement, agence exécutive pour l’ensemble des partenaires, vient de notifier à Dassault Aviation la maîtrise d'œuvre - en coopération avec Thales et les industries des différents pays partenaires : Saab, Alenia, EADS Casa, HAI, et RUAG Aerospace - pour le développement et la réalisation de NEURON. Le montant total du contrat est de 405 millions d’euros. Ce marché permet de lancer la phase de conception et de définition du système pendant trois ans, notamment sur les technologies de furtivité. Cette phase sera suivie du développement et de l’assemblage de NEURON pour un premier vol en 2011. Les essais en vol auront lieu en France, en Suède et en Italie. La gestion du programme nEUROn Pour être efficace, la gestion d'un programme de coopération doit obéir à un point unique de décision et un point unique d'exécution. C'est le seul moyen d'éviter les redondances et la dispersion des responsabilités. C'est pourquoi le projet de démonstrateur technologique nEUROn est organisé de la manière suivante : - Une agence d'exécution unique, la Délégation générale pour l'armement (DGA), attribue un contrat principal au maître d'œuvre. - Un maître d'œuvre unique, Dassault Aviation, exécute le contrat principal. Les autorités françaises ont clairement signifié leur volonté d'inscrire ce projet de démonstrateur dans la dynamique de l'Europe de la défense, en l'ouvrant complètement à la coopération. C'est pourquoi la moitié de la charge de travail sera confiée à des partenaires industriels autres que français. En terme de gestion, cette organisation est la garantie d'une efficacité optimale dans le cadre d'un partenariat et d'une coopération pragmatiques entre les différents acteurs. Pour atteindre cet objectif, Dassault Aviation, en sa qualité de maître d'œuvre unique, a mis sur pied une équipe de coopérants européens. De son côté, la DGA, en tant qu'agence d'exécution unique, est en contact permanent avec les représentants des gouvernements européens, afin de mettre en œuvre leur participation au projet. Les échéances du programme : 2004 : signature des accords entre les gouvernements concernant les modalités de participation au projet. 2005 : discussions et signature de protocoles d'accord entre les entreprises européennes relatifs à la répartition industrielle. Entre la notification du contrat principal et 2011, les partenaires concevront, construiront et testeront le démonstrateur technologique. A l'issue des phases d'essais en vol, le démonstrateur sera livré à l'agence d'exécution pour expérimentation. Le défi technologique : Le drone nEUROn doit démontrer sa capacité à accomplir les missions les plus complexes dans les conditions les plus rudes, au sein d'un environnement infocentré (C4I) totalement intégré. Le démonstrateur nEUROn devra pouvoir décoller et atterrir de manière entièrement automatique, accomplir une mission air-sol au sein d'un réseau tactique, atteindre sa cible dans des conditions de furtivité maximales et avec une signature radar et infrarouge minimale. Il devra s'approcher d'une cible désignée par une source d'information extérieure à vitesse subsonique, puis délivrer une ou plusieurs charges offensives depuis une soute interne dans des délais très courts. D'autres charges utiles, telles que des systèmes de reconnaissance, seront validées à un stade ultérieur. En tant que démonstrateur technologique, nEUROn devra permettre l'application, l'intégration et la validation des technologies les plus avancées actuellement disponibles au sein de l'industrie aérospatiale européenne. Ce drone sera le premier aéronef militaire au monde à être entièrement conçu et développé sur un plateau virtuel dont l'environnement PLM (Product Lifecycle Management) permettra à Dassault Aviation et à ses cinq partenaires de cinq pays différents de travailler simultanément en temps réel sur le même projet conceptuel. Les principaux défis technologiques à relever durant la conception porteront sur les formes du véhicule (aérodynamique, structure innovante en composites, soute interne), l'importance accrue des systèmes électriques, et le système de conditionnement. Bien entendu, ce démonstrateur technologique mettra en application toutes les techniques de commandement, contrôle, communication et information (C4I) permettant à un drone de s'insérer dans la bulle aéroterrestre de demain. De même, il devra valider certaines technologies en faisant appel à un système d'avionique modulaire fiable, basé sur des calculateurs modulaires embarqués constitués eux-mêmes de composants sur étagère (COTS), ainsi que sur des logiciels de très haut niveau de productivité, de qualité et de vitesse.
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