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Kobalt

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Messages posté(e)s par Kobalt

  1. On pourrait le penser mais bon il est le seul à avoir la réponse, cela dit il est certain que ce qu'il a dit n'a aucun sens. il n'y a pas de petit joueur dans une armée, chaque unité et spé a son utilité. Il faut juste penser qu'aussi soient bon les commandos ou autres membres des FS ils ne pourraient pas gagner une guerre à eux tout seul. Des tas d'unités on payé de lourds tribus et servis leur pays avec courage sans être des soldats sur entrainés ou sur équipés.

  2. Kiriyama a écrit:

    De fait, moi je n'aimerais pas posséder une arme juste parce que je ne l'ai payé pas cher. Je préfère faire un plus gros sacrifice et manier un modèle qui me plaît réellement. Concerant les CZ c'est vrai que les plus récents sont assez beaux, mais je préfère nettement une arme plus rare. Je n'ai pas envie d'avoir la marque que tout le monde possède.

    Une arme n'est pas un truc de mode, le choix de ton arme dépendra du genre de tir que tu voudras effectuer.

    Le fait de chercher à tirer avec une arme plus ou moins répendue ou rare serait peut-être plus du fait des collectionneurs.

    Maintenant si c'est le coté précision et groupement avec un tir posé il faudra plus une arme équipée pour la compétition, (compensateur de recule, arme parfaitement équilibrée etc...)

    Si c'est plus pour du contact drill ou de l'opérationnel et du tir combat, glokc, berreta, sig ou autres, tout dépend des caractèristiques et des défauts de celles-ci. La gueule de l'arme même si elle n'est pas à l'image de son éfficacité peut être un facteur de choix mais pas de qualité.

  3. De toute façon, si tu es agressé dans la rue, tu n'a pas de port d'arme existant en france donc le problème est règlé tu sera même en légitime défence dans la merde. Certain services d'états (police, gendarmerie sevices de sécurités et les convoyeurs j'en oubli peut-être) . Même les garde du corps dans le privé non pas de port d'arme. si tu as à user d'une armes ce sera chez toi, si tu as une détention et dans certaines conditions, la législation sur l'autodéfence est claire sur ce sujet en France, même si parfois elle n'est pas vraiment logique vis à vis de certaines menaces ou cas où chacun pourrait être un jour confronté.

  4. De 85 à 92 au 2ème Régiment d'Infanterie de Marine.

    A cette époque, 4 compagnies de combat.

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    (j'étais à la 3 ème chez les scorpions spécialité MILAN et APC. Deux Cie tournantes en RCA, une régimentaire en Calédonie, opération Daguet et Godoria et une opex Minerve en Macédoine comme réserviste à la 4ème Cie )

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    La 1ère Cie: les chameaux

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    La 2ème Cie: Les Boucs

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    La 4ème Cie: Les Cèdres

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    La CEA: Les Dragons, avec la section de mortiers lourds de 120 mm, la section d'éclairage et de reconnaissance, deux sections antichar et la section antiaérienne sur canon de 20 mm.

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    La CCS: Atlas

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    La 11 Cie d'instruction: Le bateau.

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    Et un DAO (détachement d'assistance opérationnel) Le 3ème RIMa en avait un aussi, les deux opéraient au Tchad pour participer à la formation des FANT.

    1622-1822 LES ORIGINES DE L'AVENTURE COLONIALE

    • 1622 : création par le cardinal de Richelieu des compagnies de la mer.

    • 1822 : ordonnance du Roi prescrivant la formation de deux Régiments d’Infanterie de la Marine (1ère filiation au 2ème RIMa).

    1823-1900

    LE 2ème DE MARINE PARTICIPE A L'EXPANSION DE L'EMPIRE COLONIAL

    • 1ère mission du 2 :

    campagne d’Espagne (1823) ; campagne à Madagascar et en Amérique du Sud. (1829)

    • L'ordonnance du Roi Louis Philippe du 14 mai 1831 crée deux régiments d’infanterie affectés au service ordinaire des garnisons des colonies françaises (filiation directe et ininterrompue du 2ème RIMa à partir de cette date et jusqu'à nos jours).

    • conquête des îles Marquises et des îles de la Société (1842-1847). 31.08.1854 Le 2ème RIMa, stationné à Rochefort, s’installe à Brest.

    • Campagne de Crimée.

    « BALTIQUE ET BOMARSUND 1854 » est inscrit sur le drapeau du Régiment.

    • 1855-1870 : occupation de la Grèce – conquête de la Nouvelle Calédonie.

    • campagne en Chine et en Indochine.

    • Expédition au Mexique : siège de Puebla.

    « PUEBLA 1863 » est inscrit sur le drapeau.

    • Pacification de L’EXTREME ORIENT.

    • Pour la première fois le 2ème de Marine combat sur le sol de la patrie. Les 31 août et le 1er septembre 1870, engagé au sein de la « Division Bleue » le 2ème RIMa se sacrifie à Bazeilles dans un combat héroïque contre les Prussiens, jusqu’à la « dernière cartouche ».

    « BAZEILLES 1870 » est inscrit sur le drapeau.

    • Opération au Sénégal et au Niger (1882)

    • Campagne du Tonkin (1882-1883)

    • Expédition à Formose et occupation des îles Pescadores (1884).

    • A Tuyen-Quan : 600 hommes du régiment résistent pendant 6 mois aux assauts de 15 000 chinois.

    «TUYEN QUAN 1885 » est inscrit sur le drapeau.

    • Pacification de Madagascar (1885).

    • Première campagne du Dahomey (1889).

    • Luttes contre les Boxers en Chine (1900).

    Les Troupes Coloniales par la loi du 5 juillet 1900 deviennent une armée de métier : "L'ARMEE COLONIALE".

    1900-1959

    • Campagne du MAROC (1910).

    • La Grande Guerre : bataille de la Marne (1914), Argone et Champagne (1915), bataille de la Somme (1916), l’Aisne, le chemin des Dames et Verdun (1917), la Meuse et les Eparges (1918) ;

    1914-1918 :

    Reconstitué plus de dix fois, ayant pendant 52 mois de luttes quotidiennes près de 20000 hommes tués, blessés ou disparus, le 2° R.I.C. a participé à toutes les grandes batailles du conflit.

    Le régiment reçoit 4 citations à l’ordre de l’Armée ainsi que la fourragère aux couleurs de la Médaille Militaire.

    Sont inscrits sur le Drapeau :

    CHAMPAGNE 1915

    LA SOMME 1916

    LA MARNE 1914

    L’AISNE VERDUN 1917

    1939-1945 :

    • Engagé à AMIENS, le régiment est dissout en novembre 1940.

    • La 2° Brigade de la France Libre reprend les traditions du 2° RIC, et participe aux campagnes d’ERYTHREE « KUB-KUB 1941 », de LIBYE « EL ALAMEIN 1942 », de TUNISIE « TAKROUNA 1943 », d’ITALIE « PONTE CORVO 1944 » puis de FRANCE « TOULON 1944 et COLMAR 1945 ».

    • Par ordre du général de Gaulle, le 25 mai 1945, la 2° D.F.L. reprend les traditions du 2° Régiment d’Infanterie de Marine.

    • Le général de Gaulle fera le 2° R.I.C. « Compagnon de la Libération » et lui décerne la croix de la Libération, sa fourragère reçoit l’olive aux couleurs de la Croix de Guerre 39-45 (07.08.1945)

    1947-1954 :

    • Campagne d’INDOCHINE où le 1° Bataillon de marche se voit attribuer la Croix de Guerre des TOE avec palme.

    Le drapeau porte l’inscription « INDOCHINE 1947-1954 ».

    1954-1962 :

    • Algérie : le 2° R.I.C. à trois bataillons est envoyé au complet en Algérie, secteurs de Khensela, El Kantara et Batna (1954-1959), secteurs d’Orléan-Ville, Vallée de la Soumman(1959-1962).

    Le 2° R.I.C. devient le 2° RIMa, le 1er décembre 1958.

    Il s’implante dans la Sarthe en 1963 : une partie au Mans, une partie à Auvours.

    EN 1978 LE 2ème RIMA DEVIENT UN REGIMENT COMPOSE ESSENTIELLEMENT DE PROFESSIONNELS

    Le 2ème RIMa participe depuis sa professionnalisation en 1978 à de nombreuses opérations qui se sont déroulées sur tous les continents. Le 2ème de marine s'est illustré notamment au TCHAD, en MAURITANIE, au LIBAN, EX-YOUGOSLAVIE, en ALBANIE, en CENTRAFRIQUE, en COTE D’IVOIRE, en GUYANE, en NOUVELLE CALEDONIE, au SENEGAL, au KOSOVO, en BOSNIE, au CAMEROUN, et en MACEDOINE.

    Au cours de la guerre du Golfe, le régiment a été cité à l'ordre de la brigade le 10 mai 1991, cette citation comporte la croix de guerre des TOE avec étoile de bronze.

    Le 2ème Rima a 16 noms de bataille sur son drapeau dont Bazeille.

    Basé à la caserne Martin des Pallières à 12 kilomètres du Mans au camps d'Auvours.

    2 année au 132ème GCAT ( groupe cynophile de l'armée de terre )

    Une année à l'instruction et une année en PCI ( le 17)

    Six mois d'entrainement et six mois en Centre Afrique.

  5. Ce type d'arme peut servir contre des objectifs terrestres mais aussi en lutte antiaérienne toutes armes. Le principe est de tirer a l'avant pour faire un barage de projectiles sur le passage d'un avion lorsqu'il effectu une passe. Fusil d'assaut, mitrailleuses légères et lourdes et canons en tir auto.

  6. J'en ai utilisé dans le golf avec du gazol répendu au sol, il n'a jamais pris feu et pourtant la température était bien au-dessus de 30°. Il est vrai que déclarer un incendie avec est très difficile, ce n'est pas une combustion avec une flamme vive comme le napalm ou un coktail molotof, c'est une combustion chimique (ne pas confondre les deux) Le phosphore colle à la chair ou au matériaux ( nous avions une grenade par groupe à balancer dans le VAB en cas ou nous étions pris pour détruire armes, radio et véhicule.

    Un article dans Wiki.

    Grenades spéciales [modifier]

    Des grenades fumigènes ont également été employées. Leur utilisation n'est pas directement destructrice, elles servent à signaler une zone particulière à d'autres unités (notamment aériennes) ou à donner un signal visuel à d'autres unités pour coordonner des manœuvres. En dernier lieu, les grenades fumigènes permettent d'obstruer la ligne de visée adverse pour couvrir ses propres manœuvres, la retraite le plus souvent. Des agents chimiques comme le phosphore blanc ont été également utilisés pour produire des grenades fumigènes. Bien que la fumée générée soit moins efficace que celles des fumigènes « classiques » en tant que couvert (le phosphore subit une montée et laisse des ouvertures dans le couvert fumigène), les grenades au phosphore blanc peuvent également être utilisées de manière incendiaire ou lacrymogène. Elles présentent l'inconvénient d'être relativement fragiles, ce qui provoque des accidents (par exemple en cas de choc, dans certains cas une chute suffit) car elle se consume en projetant jusqu'à environ 3 mètres des éclats de phosphore brûlants.

    Les grenades se sont spécialisées : les grenades incendiaires sont destinées à mettre le feu à des locaux ou des équipements ennemis non blindés, ces dernières peuvent être équipées d'une charge contenant de la thermite et sont généralement utilisées pour détruire rapidement du matériel ou des équipements sur le point d'être capturés par des forces ennemies. En raison de la difficulté d'engager la réactions standard fer-thermite mais aussi à cause du fait que celle ci ne produit quasiment aucune flamme et ne possède qu'un faible rayon d'action, la thermite est généralement couplée à d'autres ingrédients permettant d'accroître son potentiel incendiaire. Le Thermate-TH3 est un mélange de thermite et d'additifs pyrotechniques qui se révèle supérieur à la thermite seule dans le cadre d'une utilisation incendiaire. Sa composition est généralement de 68,7% de thermite, 29,0% de nitrate de baryum, 2,0% de soufre et 0,3% de liant. L'addition de nitrate de baryum augmente la capacité de dégagement de chaleur, crée une flamme en brûlant et réduit significative la température d'ignition du mélange. Bien que l'intérêt premier du Thermate-TH3 soit son effet incendiaire il permet aussi de faire fondre le métal, à ce titre il peut être utilisé notamment pour détruire des pièces d'artillerie sans utilisation d'explosifs, ce qui permet une destruction relativement discrète de celles ci. Le second bataillon de Rangers utilisa des grenades a thermite contre l'artillerie Allemande à la Pointe du Hoc durant l'invasion alliée de la Normandie.

  7. C'est bizarre, tu ne confonds pas les fumigènes qui peuvent occasionner des brulures si le gars est proche de la zone de combustion. Dans le cas de munition, grenade, bombe ou obus, c'est directement le phosphore dispersé par l'explosion qui se colle sur tout ce qui se trouve aux alentoures. Sur la peau, la brulure chimique est intance et lente. Même en versant de l'eau l'effet n'est pas amoindri, pire l'oxygène de l'eau active la combustion. Durant la 2ème GM des bombardements ont été effectués sur des villes Allemandes et Japonaises. Les Allemands les ont utilisé à Oradoure sur Glane pour mettre le feu à l'église je crois.

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