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Dario

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Tout ce qui a été posté par Dario

  1. Tu sais lire ? La résolution a été abrogée. Ouvre un dico à A-b-r-o-g-e-r pour en avoir le sens. =D
  2. Quelle belle action de communication ! Ils apprennent vite qu'il est plus efficace pour récolter l'argent des Américains et ses Européens de libérer leurs journalistes que de les égorger devant une caméra. A ce rythme, d'ici deux ou trois siècles, on pourra peut-être avoir un dialogue rationnel. =D
  3. Dario

    Israël versus Iran

    Le diplo n'est pas du tout une référence crédible ; néanmoins, il est juste de dire que les USA subventionnent des groupes d'opposants, c'est une stratégie indirecte classique, en vogue chez les néoconservateurs qui ont abandonné l'idée d'une intervention militaire directe. La question étant de savoir si ces groupes d'opposants subventionnés font de l'action culturelle ou de la guérilla, et si les sources du Diplo vont au-delà des informations données par le Ministère de la Joyeuse Propagande Illuminée de Téhéran. =D
  4. Quel copier-coller imbécile et approximatif pour nourrir le bulbe atrophié des esprits faibles ! Tu trouveras le même genre d'argumentaire à charge chez des Israéliens un peu hermétiques au progrès. Un point, parmi d'autres : la résolution qualifiant le sionisme de racisme a été abrogée (46/86). En outre, il s'agisait d'une résolution de l'assemblée générale, donc sans grande valeur pour qui connait le fonctionnement interne du "machin". =D =D =D
  5. Certes, à la différence près que la période séparant la France d'aujourd'hui de la chute de Rome est incomparablement plus longue que celle qui nous sépare de l'anglicisation des élites de Grande Bretagne. L'autre point est que la France n'a jamais connu ce rejet schizophrénique vis à vis de l'empire romain, entre autres pour des raisons techniques liées à la prévalence du droit romain et des publicistes au coeur du pouvoir. C'est le moins que je puisse faire. =D Non, justement, c'est là que le bât blesse. Cela fait à peine quelques siècles que les élites anglaises ne parlent plus français et ne se définissent plus comme une aristocratie étrangère dans une île conquise par la force, la Grande Bretagne. Voilà, c'est l'aspect psychanalytique de la question. =D Et c'est aussi cette position historique face à l'Empire qui fait que, fondamentalement, l'Angleterre reste toujours un pays barbare. On pourrait même dire que les Américains ont hérité cette tare culturelle anglaise qu'est la francophobie, et contribuent à la perpétuer, mais sans toutefois en connaître les raisons profondes.
  6. Juste sur ce détail : le Master (M2) est à bac+5. C'est la maîtrise ou le M1 qui est à bac+4. ;)
  7. Pour être encore plus juste, le budget sous Pompidou est passé de grosso modo 30% à plus ou moins 17%.
  8. Cela reste à prouver. :) C'est avec ce genre de raisonnement qu'on se retrouve avec une dette publique à 63% du pib, à se demander si on a les moyens d'avoir une armée suffisament convenable pour une puissance du conseil de sécurité. La rationnalité budgétaire est la clé de la puissance, car elle conditionne la réalité des programmes d'armement et des opérations qui en découlent.
  9. Tout à fait. Rappelons que la Grande-Bretagne est une construction très progressive, et que le Royaume-Uni est très longtemps resté une puissance de second rang. Le Royaume-Uni, c'est finalement l'histoire de la stratégie du faible au fort qui réussit. Toute sa trajectoire est courbée d'ailleurs à la volonté quasi obsessionnelle de certaines élites de se singulariser par rapport au père, c'est à dire de s'émanciper de la France, à une époque où elles parlaient encore le français. Le point positif est que cet aiguillon permanent a permis par la suite de créer des structures politiques et commerciales novatrices, qui nous ont bénéficié par rétroaction, à plusieurs reprises. Les Anglais cultivés savent que la France existait bien avant la naissance du Royaume-Uni, et qu'elle existera bien après que celui-ci se sera effondré et aura disparu dans les limbes de l'histoire. Comme me le disait un ami Anglais à ce sujet : "c'est vous qui nous avez civilisé". C'est pour cela qu'une partie des élites anglaises éprouve tant de haine contre la France, car elle connaît la réalité de sa filiation culturelle et la fragilité de son identité.
  10. Les pays producteurs souffriront infiniment plus que les pays occidentaux, car ils ne sont pas autosuffisants sur le plan alimentaire et n'ont pas de ressources mis à part le pétrole, dont le produit des ventes sert d'ailleurs principalement à acheter de la nourriture et des armes aux occidentaux... Quand on comprend ce circuit, on se rend compte qu'il s'agit de relations d'interdépendances très légèrement "biaisées". =D En outre, il semblerait que l'Arabie Saoudite ne soit pas loin de son pic de Hubert ; certains gisements donneraient ainsi "peut-être", d'après certains, quelques signes d'essouflement... Les années fastes de la région sont derrières, et beaucoup ne l'ont pas compris. Mais je conçois qu'il soit commode et agréable pour l'esprit d'imaginer que le rapport de force soit moins disproportionné qu'il ne l'est en réalité. Je sais bien que ce ne sont pas des dromadaires ! =D Les stations de ski, et les îles pour milliardaires, c'est à Dubaï. Mais ce modèle de développement n'est pas extensible aux autres pays de la région. C'est un marché de niche, en quelque sorte, dans un pays dirigé d'une main de fer pour éviter la réaction islamistes face aux milliardaires russes alcoolisés à la vodka et entourés de prostituées ukrainiennes et marocaines à demi-nues. On a du mal à imaginer ce genre de scènes à Médine, par exemple. :) Il faut bien constater qu'aucun pays de la région mis a part Dubaï n'a envisagé l'après pétrole avec lucidité et intelligence ; la plupart sont plus victimes que bénéficiaires de la rente pétrolière. On trouve bien sûr quelques exceptions notables, comme Dubaï, ou comme la Norvège sous d'autres latitudes. (Ce qui sauve le Maroc, c'est de n'avoir pas de pétrole. Sa stratégie de développement "à l'espagnole" est la plus logique qui soit. ) C'est pourtant le cas depuis quelques siècles, déjà. La modernité affaiblit les religions pour mieux développer les sciences ; c'est la confrontation entre Athènes contre Jérusalem, en gros, qui produit la situation dans laquelle l'occident et l'orient se trouvent respectivement, et le décalage toujours plus profond entre les deux qui en résulte. La seule clé valable de développement de la modernité dans le monde musulman, ce n'est pas le pétrole, mais le sécularisme. Le génie russe et la croissance de la Chine se conjuguent au développement soutenu que l'occident vit depuis cinq siècles, pour rappeler que les sociétés qui réussissent de grands accomplissements sont celles qui ont affaibli et dominé la religion, pas celles qui se font dominer par elle. C'est bien sûr totalement hors sujet, mais il n'était pas absurde de la rappeler vu la teneur de l'échange. :) Pour illustrer : =D
  11. Euh... L'air chaud ? Les vipères du désert ? La rhétorique enflammée ? Les pays producteurs de pétrole sont dépendants de la monnaie de leurs clients, car sans cette monnaie, ils ne peuvent rien acheter : ni nourriture, ni armes. Le jour où il n'y aura plus de pétrole, ces pays retomberont dans un moyen-âge que la plupart n'ont jamais vraiment quitté. Et comme d'habitude, c'est des pays occidentaux que viendra la solution scientifique et technologique pour passer ce cap difficile. Oh, peut être juste un étudiant un peu excessif. :) 1) Un journal libre, d'un pays non moins libre, appliquant la liberté de la presse, publie des caricatures sur une religion, comme cela arrive tous les jours dans la presse d'autres pays occidentaux sur d'autres religions. En réponse, l'Iran : 2) lance un concours de dessins qui nient l'existence de la Shoah 3) convoque une conférence avec tout ce que cette planète compte d'historiens négationnistes => On cherche difficilement toute logique dans ce raisonnement, entre d'une part une caricature sur une religion et d'autre part des caricatures sur des faits historiques ; mais aussi entre la source de la soi-disant offense, un journal danois, et la riposte iranienne sur la Shoah ! A moins que cela cadre, par le plus grand des hasards, avec la règle n°1 de l'antisémitisme : "en cas de difficulté existentielle, toujours taper sur les Juifs".
  12. On dirait un message de propagande, avec cette rhétorique un peu surannée mais très orientale, cette manipulation de concepts lourds pour provoquer l'angoisse, et ces comparaisons ineptes entre un passé difficile et un présent médiocre. Très amusant à lire ; merci pour cette franche rigolade. =D
  13. Espérons que nos soldats quittent ce pays. Ce genre d'opération nous coûte financièrement beaucoup plus qu'elles ne nous rapportent ; il faut rationnaliser à tous les étages.
  14. Oui, surtout si on considère, du point de vue de l'histoire des idées, que le concept de jihad/guerre sainte est très bien développé dans le monde musulman depuis ses origines. Tellement efficace que les chrétiens s'en sont inspirés pour renvoyer le boomerang sous la forme du concept de croisade. Il n'est ainsi pas totalement anodin que l'Inquisition ait surtout fonctionné sur des terres reprises au califat ; il est en effet possible d'imaginer que le terreau fût fertile à ce genre d'idée. Il n'y a rien de plus fonctionnel que le fanatisme religieux pour motiver des troupes au combat ; Constantin l'avait bien compris, avec son "in hoc signo vinces" et la victoire sur Maxence. Mais la grande nouveauté avec l'idée de jihad, c'est que ce devoir religieux n'est plus uniquement reservé aux militaires pour un moment bien précis, la bataille, mais est un devoir religieux, et participe d'une vision du monde plus vaste, plus structurée, de long terme.
  15. Avec cependant une très légère nuance : certains sont juste cent fois plus nombreux. ;)
  16. What ? Are you talkin' to me ? To me ? :mad: =D Certes, je ne dit pas l'inverse de cela, disons qu'il manque juste un mot dans mon post pour qu'on soit d'accord : "il n'y aurait probablement pas eu de villages détruits après 47". Une bonne partie de ces destructions de villages sont des revanches, et pas le résultat d'un calcul froid et rationnel. :)
  17. Le DESO n'est pas forcément hyper neutre, son job est tout de même de promouvoir l'industrie britannique. Le SIPRI suédois est une bonne source, reconnue et neutre, mais par contre pas tout à fait exhaustive : http://armstrade.sipri.org/ http://www.sipri.org/contents/webmaster/databases Pour le SIPRI, les deux premiers en 2006 sont les USA et la Russie. "Almost 50 per cent more conventional weapons, by volume, were transferred internationally in 2006 than in 2002, according to data gathered by SIPRI. China and India were the largest importers of weapons. The USA and Russia were the largest weapon suppliers.(Press release du 11 juin 2007).
  18. 1) En 2005, au global, la France est 3e, derrière les US et le Royaume-Uni pour les ventes d'armes. http://www.lexpress.fr/info/quotidien/actu.asp?id=6715 Les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France, c'est plus des trois quarts des exportations mondiales d'armement. Et avec la Russie, l'Allemagne et Israël, c'est plus de 90% du commerce mondial qui est couvert... Au niveau du chiffre d'affaire, les US restent très loin devant, la France, le Royaume-Uni et la Russie sont dans des niveaux comparables... 2) Selon un rapport du Congrès US, la France est 2e, derrière la Russie en 2005, pour les ventes d'armes aux pays en développement, dans lesquels on compte l'Inde et la Chine. http://www.lexpress.fr/info/quotidien/actu.asp?id=6811 => t'en as pas marre de raconter des conneries ?
  19. - La différence principale est que le tiers de personnes vivant en France ne sont pas tziganes, au contraire de la Palestine version 1947 avec 1/3 de juifs et 2/3 de musulmans, sachant qu'une bonne partie des juifs habitaient dans le coin depuis quelques temps déjà et ne sont pas apparus comme par magie. ;) - L'autre différence est que la France est un Etat-nation, à l'inverse de la Palestine, qui ne l'a jamais été. Elle le sera peut-être dans le futur, le jour où un véritable Etat palestinien sera monté, ce qui est encore du domaine du possible. - La première question que tu devrais plutôt te poser, c'est pourquoi l'ONU a statué sur la question et a tranché dans le sens de deux Etats, dont l'un juif. La seconde question, c'est pourquoi ceux qui portent les résolutions de l'ONU en bandoulières oublient cette décision de 1947. :) - La résolution de ce qu'on nomme la "question des nationalités" implique souvent des partages de terres qui ne sont nulle part satisfaisants à 100% ; c'est ainsi qu'il n'y a plus d'Allemands à Koenigsberg, devenue Kaliningrad, ou à Danzig, devenue Gdansk ; c'est ainsi que les Serbes ne veulent pas perdre le Kosovo, que les Macédoniens réclament les trois-quarts de la Grèce, que les Irlandais catholiques aimeraient bien récupérer l'Ulster etc... Ces questions sont à la fois les plus complexes à poser et le moins satisfaisantes dans leurs solutions. L'histoire des liens entre les populations polonaises et allemandes en Europe peut ici donner des élements de comparaison plus rationnels qu'une invasion tzigane en France. :) La pensée par association bute toujours sur les nuances du réel. ;) PS : j'ai lu ta réponse sur le statut de dhimmi, mais je m'abstiens d'y répondre car ce genre de sujet sur les religions a malheureusement souvent tendance à dégénérer... :( Je ne te surprendrais cependant pas en t'écrivant que je ne suis pas d'accord avec ton post et que ta vision des choses me semble relever d'un irénisme sympathique, mais un peu en décalage avec le réel. :)
  20. Je n'ai pas dit que les Etats-Unis seront les maîtres indéfiniment ; mais leur déclin est relatif. Je pense qu'ils ont encore quelques temps avant de s'effondrer et de disparaître dans les limbes de l'Histoire. ;)
  21. Non, c'est une parfaite illusion de croire à cette théorie décliniste. :) La version du sécularisme que les US ont adopté n'a rien à voir avec la laïcité à la française. Leur président actuel est en outre un texan un peu "stéréotypé", mais rien ne dit que le futur président soit dans le même style. ;) - Le format de l'armée US, comme le format des armées françaises et anglaises, à énormément varié, ce qui rend la comparaison délicate. En outre, les US ne consacrent que 4% de leur pib à la défense, ce qui est ridiculement faible par rapport à ce qu'ils peuvent rationnellement se permettre. L'histoire des US est ainsi jalonnée de moments où ils avaient une armée déficiente, voire merdique (nord 1862 ou 1940), mais il leur suffit de quelques années pour redresser ce genre de situation, car ce qui compte, quand on réfléchit sur le sujet, c'est que leur potentiel militaire est toujours au-delà de ce que beaucoup imaginent. - Il est par ailleurs difficile de dire qu'un pays dont les dépenses militaires représentent la moitié de celles de tous les autres pays du monde réunis est en déclin militaire. - le dollar faible n'a rien à voir avec un signe de déclin, ils le laissent couler volontairement face à l'euro pour réduire d'autant leur dette et plomber les exportations d'une partie de la zone euro ; le Japon et le Chine ont par exmple une monnaie faible, car c'est très bon pour l'export. Le dollar reste toujours la monnaie de référence mondiale, et il le restera tant que les transactions pétrolières seront libellées en pétrodollars. - la proportion de l'euro correspond à la réunion de la plupart des puissances moyennes de la planète; la zone euro étant la première économie du monde, il est donc logique que l'euro ne soit pas une monnaie de singe. - leur part du pib dans l'économie mondiale se réduit tout simplement à cause de l'émergence des puissances asiatiques. A ce niveau, le raisonnement en proportion n'a pas d'intérêt. Ce n'est pas en soi un signe de déclin, surtout quand on voit qu'une part non négligeable du boom asiatique ne correspond in fine qu'à une extension artificielle de l'économie US via des investissements plus ou moins aiséments récupérables. Enfin, il faut très fortement relativiser les comparaisons en terme de pib, qui est très loin d'être l'agrégat ultime permettant de tirer des conclusions à cause de son mode de calcul contesté, et des intérêts politiques pesant parfois lourdement sur les statistiques, comme au Royaume-Uni ou en France par exemple. - Tout ceci est conjoncturel, lié à la diplomatie d'une administration particulière qui n'a pas vocation a persister dans le temps. L'Egypte survit toujours grâce à l'aide américaine, comme d'ailleurs une bonne partie des Palestiniens. Inonder certaines zones de dollars donne des résultats, mais ce ne sont pas forcément des résultats visibles en terme d'opinion publique, qui reste dans larégion hautement volatile, et qui au final ne compte pas vraiment. - Ce qui est structurel, par contre, c'est que les US et la France sont en opposition feutrée, mais cela ne date pas d'hier. L'Euro sur ce point à sauvé la France d'un anéantissement monétaire programmé, résultant d'une hallucinante spéculation contre le franc français. Pas sur le fond, car cela n'empêche pas du tout les firmes américains de conquérir de nouveaux marchés dans le tiers-monde en taillant des croupières aux Européns. Les paysans kényans continueront ainsi d'idôlatrer Ben Laden, tout en buvant du coca-cola et en fumant de clopes américaines, avant d'aller allumer leur PC pour aller sur le web. Les US sont une nation commercante, toutes leurs politiques en découlent depuis deux siècles. C'est ici que doit résider le centre de gravité de toute tentative d'analyse des Etats-Unis, pays qui concentre toujours l'immense majorité des plus grandes entreprises à vocation globale. Il me semble que non, pour les raisons évoquées précédemment. :) Et surtout, tu oublies un élement d'une importance extrême : la recherche scientifique, le nombre de brevets, la r&d militaire et industrielle, donnent des avantages stratégiques certains aux US pour le futur. Un pays qui attire toujours les plus grands scientifiques de la planète dans à peu près tous les domaines n'est pas un pays en déclin, surtout quand ce pays se sert de cet avantage dans l'établissement des rapports de forces avec le reste du monde. Je crois en fait que beaucoup d'Européens ne mesurent pas l'intensité du découplage qui est à l'oeuvre en terme de recherche, surtout depuis 2001 qui a servi de prétexte pour pousser l'investissement en r&d. PS: je ne suis pas du tout un américanolâtre, mais pour avoir un peu étudié certaines questions liées aux USA, je me suis rendu compte que toute cette littérature sur le déclin américain est en général plus fondée sur des opinions que sur des faits.
  22. La nation est un concept récent qui a mis du temps à se préciser, et les dixies ne se considéraient pas du tout comme appartenant à la même nation que les yankees du nord. D'ailleurs c'est toujours le cas dans certains comtés, chez les "southern hillbillies". =D
  23. Les barbares ont tout de même bien aidé à la chute de Rome, comme la chute catastrophique de la natalité. Sur ce dernier point, les USA ont pris la voie contraire, avec une population en forte augmentation ; il n'y a de richesses que d'hommes. ;)
  24. Non, certaines personnes qui n'ont pas digéré la chute de l'URSS et qui raisonnent toujours avec les outils marxistes (baisse tendancielle du taux de profit, effondrement du capitalisme etc.), prédisent la fin des USA de façon récurrente dans l'espoir de faire coller la réalité à leurs idéal d'un monde sans Américains. Certains de ces prophètes n'ont d'ailleurs rien d'analystes, puisqu'ils ont tendance à la ramener dans des domaines qui ne sont pas les leurs. La réalité c'est que les USA sont plus puissants que jamais, et qu'ils sont même en train de larguer l'Europe dans la plupart des domaines qui conditionnent la puissance de demain: r&d industrielle, recherche militaire, développements spatiaux... Pour schématiser, nous sommes un peu comme des vaches en train de regarder un TGV passer : ça va vite, ça fait du bruit, et on ne comprend pas tout. =D
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