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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. Ou ca quatre dans les fantasme de Bourdin ?! 3 ... enfin plutot deux maintenant :lol: va falloir accélérer la mise en service du petit dernier pour sauver les meuble ... La question c'est : - combien va couter le carton ... forcément tres cher. - comment on maintient notre permanence de dissuasion océano avec deux SNLE ...
  2. g4lly

    [Russie] Mil Mi-26

    Le ville de bordeaux fait 160 m ... la porte fait 22m sur 14m ... la soute aussi. Résultat on peut ballader mimile dedans ... Mais pour l'opérer depuis c'est une autre affaire, vu que la porte s'ouvre a moins d'un metre de l'eau en charge. Y coller une plateforme de 60m de long ... meme en grattant un peu a moins de 3m au dessus de l'eau et sur laquelle il faille pouvoir remonter mimile puis le faire décollé est assez cavalier :) La seul solution crédible pour opérer mimile en mer c'est les "Mobile Landing Plateform" avec transit sur le pont d'un PA - puis transfert par ses propre moyen - ... ou dans la soute d'un RoRo - puis transfert porte a porte - ...
  3. Erf vla que libé et l'express publient les meme articles :lol: ca m'apprendra a lire.
  4. Philippe Séguin ... président de la cours des comptes. L'endettement de la France se situe entre 67 et 70% de PIB ... et visiblement a l'image de la période 93/96 l'avenir de la dette francaise court terme l'inquiete vraiment :lol: http://www.easybourse.com/bourse-information/actualite/10152-philippe-seguin-donne-la-gueule-de-bois-a-l-etat Cour des comptes : Séguin donne la gueule de bois à l’Etat C’est un rituel attendu chaque année avec une certaine émotion, que la Cour des comptes n’a pas manqué : la présentation de son rapport annuel devant la presse. Et en cette période marquée par la crise économique et financière, force est de constater que les enquêtes et recommandations de l'institution 'valaient le déplacement' selon les mots de son Premier président, Philippe Séguin. De nombreux sujets furent évoqués, mais il ressort surtout que le coût des mesures d’aide aux banques et du plan de relance risque d’avoir un impact 'massif et durable sur la dette publique'… C’est en termes œnologiques que le Premier président de la Cour des comptes a souhaité entamer la présentation du fameux rapport annuel de la Cour. Et pour 2008, le «millésime» ne manque pas de saveurs ni de corps : de la critique du pilotage des finances publiques dans la crise, à celle du pilotage et du contrôle de la gestion des collectivités territoriales, en passant par la gestion des cessions immobilières de prestige par l’Etat ou la prise en compte des demandes d’asile… de nombreux thèmes sont passés entre les mains des magistrats de la rue Cambon avec, à la clef, un rapport de près de 1000 pages… Les finances publiques dans la crise Comme tout bon vin, le rapport annuel de la Cour a «une très bonne attaque», selon Philippe Séguin, consacrée aux finances publiques dans la crise. Le constat de la Cour est ici sans appel, la France aborderait la récession «dans une situation plus mauvaise qu’au début des récessions précédentes». Force est en effet de constater que la dette publique, qui atteint aujourd’hui 64% du PIB, n’était que de 40% à la fin de 1992, c’est-à-dire au moment du démarrage de la récession de 1993. «En 1993, rappelle en effet la Cour, le déficit a atteint 6,4% du PIB et, malgré une reprise de la croissance dès 1994, il est resté supérieur à 3% jusqu'en 1997. La dette publique est alors passée de 40% du PIB à 59% fin 1997. La crise de 1993 a ainsi marqué un décrochement durable des finances publiques et une même évolution amènerait la dette publique jusqu'à 85% du PIB fin 2012». La situation actuelle, souligne la Cour, est d’autant plus inquiétante que contrairement à nos voisins européens, nos comptes publics n’ont toujours pas été rééquilibrés pendant la précédente période de croissance relativement soutenue, et que nos marges de manœuvres sont faibles en raison d’un taux de prélèvements obligatoires déjà placé parmi les plus élevés des membres de l’OCDE. Au total donc, le déficit public de la France pourrait probablement avoisiner les 3,2% du produit intérieur brut en 2008 et son niveau d'endettement risquerait lui de flirter avec les 85% en 2012. L’institution a ainsi épinglé les mesures de soutien à l'économie annoncées par le gouvernement et censées n’avoir qu'un effet transitoire sur le déficit. En réalité estime la Cour, ces dernières pourraient dégrader massivement et durablement la dette. Quant aux prévisions du gouvernement qui table sur un retour à la croissance en 2010, même dans le cas où cette hypothèse serait vérifiée, la Cour des comptes rappellent que le supplément de dette par rapport à 2007 serait, en 2010, de 250 milliards d’euros (fin 2007, la dette s’élevait à plus de 1 200 milliards d’euros). En conséquence, l’institution de la rue Cambon a émis un certain nombre de recommandations visant à stabiliser et réduire rapidement la dette. A commencer par le fait qu’il faut que les mesures de relance restent «limitées dans le temps»… Besoin de réformes structurelles Conformément aux dires du gouvernement, la Cour a jugé que les mesures de financement des banques, prises en novembre, pourraient avoir peu d’impact sur le déficit, mais «plus sûrement un effet durable, de 1 à 2 point de PIB au minimum, sur la dette des administrations publiques». De même, alors que le gouvernement assure que le plan de relance de 26 milliards d'euros comprend des mesures en principe réversibles et temporaires (représentant un surcroît de 18,5 milliards d'euros pour le déficit public 2009), les sages de la rue Cambon estiment qu’«il n'est cependant pas assuré que ces mesures restent toutes temporaires». Les conditions sont en effet difficiles selon eux : «la dette financière de l'Etat a dépassé pour la première fois les 1 000 milliards d'euros en octobre et la dette des administrations publiques approchait les 1 300 milliards à la fin de 2008, soit 50 000 euros par actif occupé contre 47 000 à la fin de 2007.» Aussi la Cour recommande-t-elle une «gestion soutenable» des finances publiques sur le long terme, avec la poursuite de réformes structurelles pour tenir les dépenses. «La maîtrise des dépenses publiques n’est elle-même pas acquise.» La Cour le soulignait déjà dans son rapport de juin 2008 : «les réformes alors engagées étaient insuffisantes pour limiter la croissance des dépenses à 1% en volume et par an, objectif du gouvernement». Son diagnostic reste, selon son premier président, «d’actualité.» De fait, cet objectif du gouvernement suppose d'économiser 50 milliards d'euros à l'horizon de 2012, or, selon Philippe Séguin, «la Révision générale des politiques publiques a été interrompue alors que les mesures décidées [...] dégageront, selon les estimations du gouvernement, une économie de seulement six milliards à cet horizon».
  5. Comment je t'ai grillé sur le coup :lol: http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php?topic=1969.msg362628#msg362628 Ce qui est sûr maintenant c'est que la Royale a la signature du HMS Vanguard :lol: ... c'est son juste avant le crassshhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! sur l'enregistrement :) Ca se trouve on a embarqué un morceau du pump jet aussi :lol: Moi je leur tire mon chapeau c'est quand meme fort ... sur 361 millions de kilometres carré d'océan ... ils ont réussis a se trouver exactement au meme endroit, à la même profondeur et au meme moment ... et avec des vitesse différente.
  6. http://www.lexpress.fr/actualites/2/le-souvenir-amer-des-veterans-sovietiques-d-afghanistan_740978.html MOSCOU - Vingt ans après leur retraite humiliante d'Afghanistan, les anciens combattants soviétiques n'ont qu'un message à adresser aux Etats-Unis: la guerre est ingagnable dans ce pays. Un cimetière de tanks soviétiques, au nord de Kaboul. Vingt ans après leur retraite humiliante d'Afghanistan, les anciens combattants soviétiques n'ont qu'un message à adresser aux Etats-Unis: la guerre est ingagnable dans ce pays. (Reuters/Ahmad Masood) Un "cimetière" de tanks soviétiques, au nord de Kaboul. Vingt ans après leur retraite humiliante d'Afghanistan, les anciens combattants soviétiques n'ont qu'un message à adresser aux Etats-Unis: la guerre est ingagnable dans ce pays. (Reuters/Ahmad Masood) Les derniers soldats soviétiques ont quitté le sol afghan le 15 février 1989, après dix ans de combats, 15.000 morts dans leurs rangs et la conviction, pour toute une génération, d'avoir combattu pour rien. La décision du nouveau gouvernement américain d'envoyer des renforts dans le pays pour lutter contre l'insurrection islamiste les replonge en plein cauchemar. "C'est comme se battre contre du sable. Aucune force au monde ne peut prendre le dessus sur les Afghans", assure l'ancien officier Oleg Koubanov, un homme trapu âgé de 47 ans, la médaille de l'Ordre de l'Etoile rouge fièrement accrochée à la poitrine à l'occasion d'une commémoration vendredi à Moscou. "C'est leur terre sainte. Peu importe que vous soyez russes ou américains. Nous sommes tous des soldats à leurs yeux", explique-t-il encore. Comme plusieurs milliers d'autres anciens combattants, certains en costume de ville, d'autres en tenue de combat, Koubanov est venu assister à un concert somptueux financé par la mairie de la capitale. "LE NOMBRE NE RÉSOUT RIEN" L'heure est aux retrouvailles. On s'embrasse, on se prend en photo, puis on discute de l'intention du président Barack Obama de porter les effectifs américains de 37.000 à 60.000 hommes dans les prochains mois. Au plus fort de la guerre de 1979-89, les Soviétiques étaient 150.000 en Afghanistan. "Le nombre ne résout rien", affirme Chamil Tioukteïev, 59 ans, qui a commandé un régiment entre 1986 et 1988. "Vous pouvez mettre un soldat devant chaque maison ou installer une base sur chaque montagne. Nous l'avons constaté nous-mêmes. Plus vous envoyez des troupes, plus vous rencontrez de résistance." Les chars soviétiques ont envahi l'Afghanistan en 1979, à la demande du gouvernement communiste alors au pouvoir à Kaboul. Après une décennie à envoyer toujours plus de soldats, Mikhaïl Gorbatchev a sonné la retraite en 1989. "Plus ils enverront de soldats, plus ils en perdront", prédit Andreï Bandarenko, un ancien officier des forces spéciales âgé de 42 ans, à propos des plans américains. "Qu'est-ce qu'Obama sait de la situation sur le terrain? Nous avions aussi notre imbécile, Gorbatchev, qui en savait encore moins." Vingt ans après, Bandarenko ressent toujours de l'amertume au souvenir de sa retraite dans les montagnes au milieu de l'hiver, par moins trente degrés. L'état-major soviétique, dit-il, n'avait pas mesuré la difficulté de se battre contre des moudjahidine maîtres du terrain, dans des montagnes arides où les températures peuvent plonger en quelques heures d'une chaleur caniculaire à un froid glacial. A l'image des Américains, les Soviétiques avaient tenté de transformer l'Afghanistan en un pays unifié, au-delà des rivalités ethniques ou tribales, rappelle encore Bandarenko. "Il n'y a pas de langage commun entre les groupes ethniques, entre les clans. Ils sont impossibles à contrôler." DE GRANDS OBJECTIFS Les Etats-Unis rejettent la comparaison avec l'Union soviétique, en soulignant qu'ils veulent apporter la liberté à un pays que Moscou voulait assujettir. L'affirmation fait sourire l'ancien instructeur de pilotes d'hélicoptères Gourgen Karapetian, 73 ans. "Nous avions de grands objectifs nous aussi", dit-il. On nous disait que le communisme apporterait des écoles, des routes, l'électricité, transformerait une société primitive. "J'étais persuadé que nous pourrions aider ce peuple, améliorer sa vie. Les Américains veulent leur donner la démocratie, mais ils n'en veulent pas. Ils vivent selon leurs propres règles." Iouri Chaidourov, un ancien soldat âgé de 47 ans à la poitrine bardée de médailles, estime que la meilleure leçon à tirer, pour les Américains, de l'expérience soviétique serait de simplement accepter la défaite. "Ils ne gagneront jamais. Il faut qu'ils partent avant qu'il ne soit trop tard."
  7. Attention ca vient du SUN ... http://www.thesun.co.uk/sol/homepage/news/article2240543.ece BRITISH and French nuclear submarines which collided deep under the Atlantic could have sunk or released deadly radioactivity, it emerged last night. The Royal Navy’s HMS Vanguard and the French Navy’s Le Triomphant are both nuclear powered and were carrying nuke missiles. Between them they had around 250 sailors on board. A senior Navy source said: “The potential consequences are unthinkable. It’s very unlikely there would have been a nuclear explosion. “But a radioactive leak was a possibility. Worse, we could have lost the crew and warheads. That would have been a national disaster.” The collision is believed to have taken place on February 3 or 4, in mid-Atlantic. Both subs were submerged and on separate missions. Row As inquiries began, naval sources said it was a millions-to-one unlucky chance both subs were in the same patch of sea. Warships have sonar gear which locates submarines by sound waves. But modern anti-sonar technology is so good it is possible neither boat “saw” the other. A senior military source said: “The lines between London and Paris have been hot.” The MoD insisted last night there had been no nuclear security breach. But this is the biggest embarrassment to the Navy since Iran captured 15 sailors in 2007. The naval source said: “Crashing a nuclear submarine is as serious as it gets.” Vanguard is one of Britain’s four V-Class subs forming our Trident nuclear deterrent. Each is armed with 16 ballistic missiles. She was last night towed into Faslane in Scotland, with dents and scrapes visible on her hull. Triomphant limped to Brest with extensive damage to her sonar dome. Triomphant has a crew of 101. Vanguard weighs 16,000 tons, is 150 metres long and has a crew of 140. The MoD said it did not comment on submarine operations. Pour ceux qui on du mal avec l'anglais ... Le HMS Vanguard et le Le Triomphant seraient rentré en collision dans la nuit du 3 au 4 ... Le triomphant est depuis retourné a Brest pour réparation suis a une collision avec un objet immergé ... Pendant ce temps le HMS Vanguad a été remorqué a Faslane avec des trace d'impact et d'éraflure sur la coque. http://www.dailymail.co.uk/news/worldnews/article-1146124/British-French-submarines-packed-nuclear-missiles-crash-underwater.html British and French nuclear submarines loaded with missiles collide underwater British and French submarines armed with ballistic missiles threatened a nuclear disaster after colliding in the Atlantic, it emerged last night. The crash is believed to have occurred after state-of-the-art technology fitted in both vessels, which is designed to detect other submarines, apparently failed completely. Each boat is a key part of their respective countries' nuclear deterrent, ready to unleash hugely destructive weapons at a moment’s notice. While both countries claim that security was not comprised during the collision, wide-scale enquiries are currently underway on both sides of the Channel. HMS Vanguard HMS Vanguard, the lead boat of her class in the Royal Navy, had to be towed back to her base in Scotland after the underwater mishap French Navy sources confirm that Le Triomphant, one of four strategic nuclear submarines of the ‘Force de Frappe’ (Strike Force), was returning from a 70-day tour of duty when it collided with HMS Vanguard. During heavy seas in the middle of the night between February 3 and 4, French sailors heard a loud ‘bang’ that all but destroyed the submarine's sonar dome. This part of the boat should have detected the Vanguard in the first place, but Le Triomphant’s crew of 101 neither saw or heard anything before the collision. Between them the submarines had 250 sailors on board. A senior Navy source told The Sun: 'The potential consequences are unthinkable. It's very unlikely there would have been a nuclear explosion. But a radioactive leak was a possibility. Worse, we could have lost the crew and warheads. That would have been a national disaster.' As inquiries began, naval sources said it was a million to one unlucky chance both subs were in the same patch of sea. A Ministry of Defence spokesman said: 'It is our policy not to comment on submarine operational matters, but we can confirm that the UK’s deterrent capability has remained unaffected at all times and there has been no compromise to nuclear safety.' French sources confirmed Le Triomphant, pictured, was involved in a collision with Vanguard The French last night also tried to play down the collision, with a Navy spokesman saying: ‘The collision did not result in injuries among the crew and did not jeopardise nuclear security at any moment.’ Le Triomphant took at least three days to limp back to her home port, although she did not have to be towed. HMS Vanguard, by contrast, apparently had to be towed back to her home base in Faslane, Scotland. With a complement of 135, she is the lead boat of the Vanguard class of submarines which carry Trident ballistic missiles around the world. Le Triomphant is also the lead ship in her own class of French nuclear submarines. Both vessels boast 16 M45 ballistic missiles, weighing 35 tons each, which carry six warheads with a range of around 5000 miles. France’s Atlantic coast is notorious for being a ‘submarine graveyard’ because of the number of underwater craft, mainly German U-Boats, sunk in the area during the Second World War. The story of one was immortalised in the classic 1981 film Das Boot. This 1994 photo taken by a US Navy employee shows HMS Vanguard arriving in port in Florida Two sailors died from a blast on a British nuclear submarine in March 2007. An oxygen generator blew up as HMS Tireless cruised beneath the Arctic ice. The tiny compartment the men were in quickly filled with smoke, but rescuers could not open doors buckled by the explosion. Operator Mechanic Anthony Huntrod, 20, from Sunderland, and Leading Mechanic Operator Paul McCann, 32, from Halesowen, West Midlands, were dead by the time their shipmates reached them. The deaths led to Armed Forces Minister Bob Ainsworth issuing an 'unreserved' apology in the House of Commons, after it emerged that the oxygen machine which exploded had been contaminated with oil. A Board of Inquiry heavily criticised the Navy and the Ministry of Defence blamed 'systematic failings' for the tragedy. Bon visiblement les sous marins francais son plus sourd que les anglais bruyant :lol: ... par contre pour la solidité la mechnique anglaise a été mise KO dans l'éperonnage :) Bénéfice de l'exploit : - On a la signature du Vanguard :lol: immanquablement le bruit avant le crashhhhhhhhh! sur l'enregistrement :) - On a plus que 2 SNLE en état ... y en a qui vont devoir faire des heures sup :lol: - La réparation risque d'etre longue et couteuse ... taper dans le cul d'un SNLE c'est pas comme taper un conteneur ... Le pump jet anglois a du faire du hachis avec le dome et le sonar :lol: - Finalement c'est pas mal d'avoir une composante nuke aero :)
  8. g4lly

    VBCI

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  9. http://www.nytimes.com/2009/02/15/opinion/15arquilla.html The Coming Swarm WITH three Afghan government ministries in Kabul hit by simultaneous suicide attacks this week, by a total of just eight terrorists, it seems that a new “Mumbai model” of swarming, smaller-scale terrorist violence is emerging. The basic concept is that hitting several targets at once, even with just a few fighters at each site, can cause fits for elite counterterrorist forces that are often manpower-heavy, far away and organized to deal with only one crisis at a time. This approach certainly worked in Mumbai, India, last November, where five two-man teams of Lashkar-e-Taiba operatives held the city hostage for two days, killing 179 people. The Indian security forces, many of which had to be flown in from New Delhi, simply had little ability to strike back at more than one site at a time. While it’s true that the assaults in Kabul seem to be echoes of Mumbai, the fact is that Al Qaeda and its affiliates have been using these sorts of swarm tactics for several years. Jemaah Islamiyah — the group responsible for the Bali nightclub attack that killed 202 people in 2002 — mounted simultaneous attacks on 16 Christian churches in Indonesia on Christmas Eve in 2000, befuddling security forces. Even 9/11 itself had swarm-like characteristics, as four small teams of Qaeda operatives simultaneously seized commercial aircraft and turned them into missiles, flummoxing all our defensive responses. In the years since, Al Qaeda has coordinated swarm attacks in Saudi Arabia, Tunisia, Turkey, Yemen and elsewhere. And at the height of the insurgency in Iraq, terrorists repeatedly used swarms on targets as small as truck convoys and as large as whole cities. This pattern suggests that Americans should brace for a coming swarm. Right now, most of our cities would be as hard-pressed as Mumbai was to deal with several simultaneous attacks. Our elite federal and military counterterrorist units would most likely find their responses slowed, to varying degrees, by distance and the need to clarify jurisdiction. While the specifics of the federal counterterrorism strategy are classified, what is in the public record indicates that the plan contemplates having to deal with as many as three sites being simultaneously hit and using “overwhelming force” against the terrorists, which probably means mustering as many as 3,000 ground troops to the site. If that’s an accurate picture, it doesn’t bode well. We would most likely have far too few such elite units for dealing with a large number of small terrorist teams carrying out simultaneous attacks across a region or even a single city. Nightmare possibilities include synchronized assaults on several shopping malls, high-rise office buildings or other places that have lots of people and relatively few exits. Another option would be to set loose half a dozen two-man sniper teams in some metropolitan area — you only have to recall the havoc caused by the Washington sniper in 2002 to imagine how huge a panic a slightly larger version of that form of terrorism would cause. So how are swarms to be countered? The simplest way is to create many more units able to respond to simultaneous, small-scale attacks and spread them around the country. This means jettisoning the idea of overwhelming force in favor of small units that are not “elite” but rather “good enough” to tangle with terrorist teams. In dealing with swarms, economizing on force is essential. We’ve actually had a good test case in Iraq over the past two years. Instead of responding to insurgent attacks by sending out large numbers of troops from distant operating bases, the military strategy is now based on hundreds of smaller outposts in which 40 or 50 American troops are permanently stationed and prepared to act swiftly against attackers. Indeed, their very presence in Iraqi communities is a big deterrent. It’s small surprise that overall violence across Iraq has dropped by about 80 percent in that period. For the defense of American cities against terrorist swarms, the key would be to use local police officers as the first line of defense instead of relying on the military. The first step would be to create lots of small counterterrorism posts throughout urban areas instead of keeping police officers in large, centralized precinct houses. This is consistent with existing notions of community-based policing, and could even include an element of outreach to residents similar to that undertaken in the Sunni areas of Iraq — even if it were to mean taking the paradoxical turn of negotiating with gangs about security. At the federal level, we should stop thinking in terms of moving thousands of troops across the country and instead distribute small response units far more widely. Cities, states and Washington should work out clear rules in advance for using military forces in a counterterrorist role, to avoid any bickering or delay during a crisis. Reserve and National Guard units should train and field many more units able to take on small teams of terrorist gunmen and bombers. Think of them as latter-day Minutemen. Saudi Arabia, Tunisia, Turkey and Yemen all responded to Qaeda attacks with similar “packetizing” initiatives involving the police and armed forces; and while that hasn’t eliminated swarm attacks, the terrorists have been far less effective and many lives have been saved. As for Afghanistan, where the swarm has just arrived, there is still time to realize the merits of forming lots of small units and sprinkling them about in a countrywide network of outposts. As President Obama looks to send more troops to that war, let’s make sure the Pentagon does it the right way. Yes, the swarm will be heading our way, too. We need to get smaller, closer and quicker. The sooner the better. John Arquilla teaches in the special operations program at the Naval Postgraduate School and is the author of “Worst Enemy: The Reluctant Transformation of the American Military.” http://globalguerrillas.typepad.com/globalguerrillas/2009/02/journal-swarming-attacks.html JOURNAL: Swarming Attacks My friend, the great military theoretician John Arquilla (he's not only one of the most gracious people I've ever met, he's also the author of many seminal works that have greatly influence my thinking) has an excellent new article in the New York Times called "The Coming Swarm." It's essentially a warning that swarming attacks of what he terms "the Mumbai model," will become more frequent and most will be successful. John is definitely correct. It's my belief, and I suspect that John would concur, that the reason we will see more swarming is due to the pervasive influence of decentralized organizational forms, like open source insurgency, on warfare's evolution. Swarming is a characteristic of these loosely connected organizations. Potential development paths for which we have ample evidence (seen in early proving grounds for modern warfare like Iraq) include: * More ambitious attacks that eventually attempt complete and sustained urban takedowns. See "The Coming Urban Terror" for more on how physical attacks and systems disruption can combine to fully disrupt cities. * Rapid innovation for DIY weapons development. See "Tinkering Networks" for more. * The development of strategy without generals or think tanks. See "Emergent Intelligence" for more. NOTE: Since systemic shocks, like the current debt-deflation depression, catalyze the growth of open source insurgency, we can expect to see an accelerating wave of swarming attacks in the future. When things eventually erupt, we will see fewer placards (protest doesn't work anymore) and more bombs. NOTE2: I suspect that one reason for the atrocious behavior of our current crop of elites is that they (being historically naive) don't fear the mob anymore. They should.
  10. g4lly

    [Russie] Mil Mi-26

    Euh c'est pas le tout de mettre mimile dans le hangar au forceps ... faut aussi lui prévoir une aire de décollage nan ? tu comptes le débarqué et l'embarquer comment ? Parce que les 30t a vide dépasse un peu les spec des élévateurs et grue ... Alors on peut bien allonger un BPC de quelques dizaine de metre histoire de pouvoir aménager une plateforme au niveau du hangar aero ... et de faire sortir mimile juste en roulant ... m'enfin ca devient compliqué cette obsession pour mimile sur les BPC apres :lol: les machin vont etre plus gros que le CdG :) 36m de hangar aero en plus pour mimile ... plus une bonne grosse cinquantaine de metre pour la plateforme arriere ca fait pas loin de 100m de plus sur les BPC :lol: Bon en meme temps c'est sympa ca fera un plus grand radier un plus grand hangar vehicule toussa ... on pourra meme peut etre y mettre un dock flottant latéral en plus du radier :)
  11. Les bouboule c'est le propulseur ... visiblement il y a une charge heat a l'avant et une autre charge a l'arriere ... peut etre un missile anti structure avec une charge perforante puis une charge explosant a l'intérieur. A priori c'est un saeghe 2 Range: 1000m TOF: 11.5s Guidance: CLOS Penetration: 750mm Velocity: 85m/s Missile Weight: 7.4kg Launcher weight: 5.3kg Tracker weight: 3.1kg Total weight: 15.8kg Visiblement il y a plusieurs modele ... donc un avec un airspike qui sert de détonateur a la précharge heat, et un autre sans spike qui semble plus orienté antistructure.
  12. g4lly

    Composition de la flotte

    Tu payes avec quoi qu'on rigole ?
  13. La liste des soucis est longue ... Airbus's A400M May Face Design Overhaul To Meet Performance Targets Airbus is facing much more than just contractual and schedule challenges in its A400M military airlifter program - the company may need to do a great deal of re-engineering work to achieve the aircraft's performance targets. Numerous issues threaten to make the A400M a less attractive and capable aircraft, industry officials say, on top of the well-publicized delays in the flight-test program linked to the lagging engine Fadec development. One key area of concern is that the A400M is overweight, which would negatively affect its payload and range capabilities. According to Airbus Military data, maximum payload is 37 tons and range is 1,780 naut. mi. with a full payload. But people close to the program say the aircraft is considerably heavier in its current development status. The first six units to be used in the flight-test program are 12 tons heavier than planned, according to those executives. A weight-saving campaign has identified a reduction potential of 7 tons. Early production aircraft will only incorporate reductions of 5 tons at most, leaving payload below the 30-ton mark. Airbus Military appears to have informed procurement agency Occar about the likely weight penalty. Some Occar members, including France, have accepted the changes, but Germany, whose air force needs the aircraft for so-called out-of-area deployments that are both payload- and range-critical, has not. If the A400M falls far short of the previous design targets, missions to places such as Afghanistan would become much more complex and costly. Germany plans to use the A400M to transport the Puma armored fighting vehicle that weighs 31.5 tons in its basic version. If Airbus Military cannot recoup more of the payload capabilities, the aircraft would only be able to carry the Puma with a sizable range restriction. Government officials indicate it is unlikely that Germany would reduce its A400M order in favor of other models, such as the C-130J or the C-17 that are being evaluated by the U.K., but mainly for political reasons. A proposal by EADS CEO Louis Gallois to use Airbus A330-200Fs as an interim solution is receiving a lukewarm response at best. "If we wanted to have a commercial freighter, we could simply charter one from Cargolux or somebody else," one German military official says angrily. But Germany's current C-160 Transall transport fleet flies a lot of short-haul domestic legs in Afghanistan to places that cannot accommodate an A330F. One air force official hints that the Transalls could continue operating for several more years instead, as they are well maintained. But Germany leases some Antonov An-124s for missions beyond the C-160 capabilities. If the A400M's biggest customer (60 of 192 units on order) insists on the previous performance guarantees, it could force a major redesign of the aircraft, such as a larger wing to allow for more fuel. But that seems highly unlikely, given the already huge financial and schedule challenges that made Airbus CEO Thomas Enders describe the terms of the current program as being a "mission impossible." On Jan. 9, EADS and Airbus announced a delay of up to four years in the A400M project and proposed renegotiating the contract with the Occar nations. According to the original terms committed to in 2003, EADS is carrying most of the financial risk of the program and may face big penalty payments if no solution is found. In their statement early in the month, Airbus Military and EADS said they "want to discuss the program schedule along with changes to other areas of the contract, including certain technical characteristics of this first-class military aircraft." No additional details were mentioned and Airbus/EADS officials have declined to comment further. Responsibility for the A400M was recently shifted under the Airbus umbrella to reduce management complexity and improve program oversight. Airbus officials suggest the main performance criteria aren't at any particular risk. The executive vice president of programs, Tom Williams, says the more he has been reviewing the program, the more certain he has become that "this is still going to be a bloody good airplane." The aircraft is beating its short-field performance and load targets, he says. However, the fact that Airbus has halted A400M prototype production until "adequate maturity is reached" is interpreted by industry insiders as an indirect admission that there are probably massive changes to the aircraft in the works, making continued production obsolete at this point. Industry officials say the weight problem could well turn out to be the primary issue with the aircraft, and no longer engine software. One observer believes the A400M payload will end up 3-4 tons below the original target, even after the design changes, which could include the introduction of carbon fiber composites in non-critical areas. The three-year timeframe proposed by EADS between the first flight and first delivery at the end of 2012, at the earliest, suggests that modifications to some parts of the aircraft structure are also possible. Some weight-saving initiatives are affecting aircraft operations, though. A hydraulic system to lower the main landing gear on the ground in order to ensure an even loading ramp has been scrapped. That decision means floor beams may have to be reinforced, since heavy tanks are planned to virtually drop down when their center of gravity has passed the loading edge. Executives close to the Europrop International (EPI) engine consortium say Fadec issues with the TP400 are expected to be resolved by June. Gallois said early this month that once an acceptable standard Fadec was provided, the A400M could fly about a month later. But, in addition to software, there are also hardware problems involving the engines. Because of unexpectedly high loads, cracks were found in some of the original design engine gearbox casings. Those needed to be partially strengthened. The executives say upgraded casings have been delivered to the Seville, Spain, final assembly line and will be installed to replace the original parts. Some special operational performance goals are also in doubt, according to people familiar with the details. For example, the A400M may not be able to fly "Sarajevo profile" steep approaches because of possible flutter issues with the propellers. Moreover, officials familiar with the program say some systems may be rejected by the European Aviation Safety Agency (EASA). The agency appears not to agree with how oxygen bottles and fire protection systems are installed in the fuselage and main gear bay. If no agreement is reached, the A400M will not be given the EASA approval needed for planned civil certification. An EASA official says the agency does not comment on ongoing certification processes. EADS is talking with customers about some requirements relief, but company officials claim these have to do with special needs and are not related to fundamental aircraft performance aspects. Enders says both customers and the company's own engineers contributed to some requirements being added that are "technologically hardly feasible or only feasible at a disproportionate amount of cost." Williams says one example is an extreme tactical navigation requirement. It calls for the aircraft to fly low and remain entirely passive - not even using a terrain-following, terrain-avoidance system - to support special operations. Visiblement il y a des soucis structurel sur la cellule ... soucis qui ne se régleront pas forcément avec un soft FADEC mature ...
  14. g4lly

    [Russie] Mil Mi-26

    On pourrait acheter un An-225 avec et on baladerait mimile sur la galerie comme Bourane :lol:
  15. Je reproche pas qu'on s'échine a éviter que les gens se tue au volant ... ce qui m'étonne c'est qu'on est pas mis les constructeur au parfum avant pour faire le changement avec eux. C'est pas tres compliquer de comprendre qu'un pays ou on peut plus trop s'arsouiller tranquille, et ou l'essence est cher ... va changer de comportement d'achat automobile. Donc la logique aurait été de donner un préavis au constructeur pour qu'il dispose de modèle fini et viable et d'offre différente de celle qui prévalait avant. Pourquoi les allemand continu a se battre pour la liberté des conducteur de polluer et de se tuer ... juste pour vendre encore des bagnole allemande le temps que leur constructeur adapte leurs offres, et change leur clientèle. En france on a un passif merdique en ce qui concerne la fiscalité des carburant et le role statutaire de la bagnole ... pourtant on a déjà eu la claque de 74 mais rien n'y a fait. En plus de cela on innove peu ... et on vend essentiellement sur le segment ultra concurrenciel des voiture moyenne que les autres savent produire aussi bien que nous. Par exemple ... toyota citroen et pijo sorte une C1 107 aygo, censé concurrencer les smart ... mais raté, pas super sexy, désagréable a rouler et a l'habitabilité mal travaillé... Echec ... mais toy qui s'en sort moins mal avec l'aygo - elle est moins moche que les deux autres - lache pas le morceau ... et quelques année plus tard sort l'IQ sur le meme principe ... mais réussi cette fois ... sexy, utra pratique, ultra maniable, et d'un confort tres acceptable pour un petit voiture - en tout cas bien supérieur a la concurrence - ... pendant ce temps peugeot continu a faire végéter les echec 107 et 1007 ... sort un 4x4 dont tout le monde se fout, laisse trainer dans sa gamme une 607 qui a 10 ans et une 407 a l'architecture dépassé, des 208 et 308 qui ressemble a n'importe quelle prod asiatique ... Chez Renault c'est pire ... Vel Satis invendable - pourtant le concept de monospace luxueux était intelligent ... mais la voiture n'est pas assez satutaire. - des laguna architecture a l'ancienne ... et trop cher pour la clientele Renault ... des mégane moyenne mais qui ne sorte pas du lot ... et la voiture qui sauve renault la Clito3. Modus et meme Twingo 2 sont des échec, les nissan note sont bien plus pratique et moins cher. Citroen s'en sort mieux les C4 et les picasso sont des bonne bagnole un peu originale, mais cher, la C5 revu est pas trop mal, les C1 et C2 et C3 doivent etre quasi invendable, comme le 4x4 mitsu rebadgé. Le plus amusant c'est qu'il y a 10 ans tous trois vendait des vehicules electriques ... qu'ils n'ont plus au catalogue, et que maintenant qu'ils ont peut de vehicuel a faible émission ... on leur colle un malus carbone !!! Pareil on aurait pas pu attendre qu'ils se contruisent une gammes de moteur faible émission - bon ok les constructeurs sont des anes qui pensait que le temps de mazout roi durerait encore mille ans ... m'enfin - ... ou faire rentrer la mesure en jeu progressivement. Enfin apres le passage du petrole cher - qui a changé durablement les habitude ce coup ci :) - celui de la recession ... celui des radar auto et des malus carbone... difficile de se relever surtout pour des constructeur coincé dans leur modele automobile des année 80. Le probleme est le meme pour la production/équipement de vehicule militaire ... visiblement les chose évoluer tres doucement. Le modele le plus innovant n'a meme pas été retenu pour le JLTV.
  16. L'état a qu'a mettre la limitation de vitesse a 160kmh ... ca va accelerer l'achat des bagnole :lol: Faut qu'en meme etre con pour empecher les gens de casser leur bagnole puis apres s'étonner qu'ils n'en achetent pas plus autant qu'avant :) surtout vu les especes de fossile roulant au mazout qu'on essaye de nous vendre ... Je suis pas sur qu'il y ait un seul modele attrayant dans la gamme des trois grand fabriquant francais ... je suis mechant y a bien la C3 Picasso.
  17. Tu veux employer des coolie pour déplacer les charge en vol ?! C'est pas le tout de vouloir un gros porteur ... faut il encore pouvoir le charger et décharger proprement et rapidement.
  18. Démantèlement de l’ex-Clemenceau : ce que la presse ne veut pas vous dire Comme c’était prévisible, lorsque la semaine dernière la coque de l’ex-porte-avions Clémenceau a été remorquée dans le chantier Able-UK pour y être démantelée, la presse a rapporté que son arrivée avait provoqué des manifestations de colère des écologistes. Un journaliste de la BBC a interviewé un de ses écologistes, qui se plaignait qu’Able UK, l’entreprise anglais qui a obtenu le plus important contrat de démantèlement en Europe, n’avait aucune expérience, n’avait pas de cale sèche et qu’elle se préparait à démanteler cet énorme bâtiment, transportant des centaines de tonnes d’amiante mortelle, au milieu d’une réserve naturelle de renommée internationale. Si le journaliste de la BBC avait mieux fait son travail, il aurait pu hésiter avant de faire son reportage d’une manière qui déforme autant les faits. Loin de n’avoir aucune expérience, Able a construit sa réputation depuis 1986 comme le spécialiste du démantèlement de navires, plateformes pétrolières et centrales électriques dans le monde. Loin de ne pas disposer de cale sèche, c’est là que se trouve la plus grande. Et des études exhaustives ont montré que, comme la centrale nucléaire d’Hartlepool située juste à côté, il cohabite parfaitement avec les échassiers dans la réserve de Ramsar. La BBC a au moins permis au PDG d’Able, Peter Stephenson, d’expliquer d’une manière mesurée que l’ex-Clemenceau sera démantelé de la façon la plus sûre et responsable pour l’environnement. Mais il était suivi par un responsable de l’Agence pour l’environnement, ce qui sous-entendait qu’Able Uk travaillait ainsi uniquement en raison des exigences draconiennes imposées par l’agence à la compagnie. A la vérité, la BBC aurait pu orienter son reportage d’une complètement différente. Au lieu de lui donner un aspect aussi négatif, elle aurait pu expliquer que l’objectif d’Able est de se construire une réputation de chantier le plus efficace au monde pour le démantèlement et le recyclage des navires potentiellement dangereux, qui auraient sinon été démantelés sur une plage indienne par une nuée de paysans mal payés, sans tenir compte des règles de sécurité. Loin d’avoir soulevé la colère des écologistes, à l’exception de la militante locale dont les déclarations sauvages lui ont valu le reportage de la BBC, Able a gagné le respect de Greenpeace et des Amis de la Terre, qui ont tous les 2 salués l’expertise avec laquelle il prévoit de démanteler le Clemenceau. Loin d’agir de façon responsable à cause de la surveillance de l’Agence de l’Environnement, le succès d’Able repose sur le fait de protéger tout autant ses salariés que l’environnement, sachant ce qu’ils font bien mieux que n’importe quel bureaucrate officiel. En d’autres termes, nous pourrions tout à fait acclamer une société britannique qui peut battre ses concurrents en faisant quelque chose d’utile aussi bien que cela peut être fait (et en créant dans la région 200 emplois). C’est la raison pour laquelle Able est la seule compagnie en Europe capable de démanteler en sécurité l’ancien navire amiral de la marine nationale, de même que 5 anciens bâtiments de l’US Navy, remplis d’un type d’amiante véritablement dangereux, la brune (au contraire du ciment d’amiante blanche avec laquelle elle est si honteusement confondue par les militants écologistes). Au lieu de chercher des raisons de se battre pour des vétilles, nous devrions saluer le faire que, en cette sombre époque, ce pays peut toujours être le siège d’une compagnie leader mondiale dans son domaine, qui accomplit sa tâche d’une manière que même les écologistes les plus responsables reconnaissent comme étant tout à fait nécessaire. L'analyse de la rédaction : Cet article remet en cause la plupart des arguments soulevés par les écologistes français dans leurs procédures judiciaires destinées à empêcher le départ de l’ex-Clémenceau. Référence : The Telegraph (Grande-Bretagne)
  19. Pour 200€ pas besoin de pub !!! on se cotise et c'est plié.
  20. Celle là ;) http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php?topic=11055.msg361900#msg361900
  21. La solution porte a porte est prévue par conception ... la porte arriere - la porte ro ro - est pliante et tres longue, de plus la propulsion via water jet est ultra maniable et permet virtuellement n'importe quelle évolution meme en crabe. De tout facon les transfert roro en mer via la porte du radier ou la porte latéral se pratique essentiellement par mer calme, avec le transbordeur sous le vent ... Pour les hydrojet je ne suis pas sur qu'ils dépassent du tableau arriere ... Sinon pour ce genre de transfert le concept US c'est les MLP Mobile Landing Plateform. Un dock flottant semi imergeable qui sert d'interface entre les navire de transport classique, et les différent transbordeur intertheatre ou débarquement. D'ou la logique de navire maphibie sans radier tel le San Antonio.
  22. Y a pas moyen de gratter un an d'hébergement chez le service communication de panhard ... en change on leur mettra des VBR partout en photo ;) et une grosse banniere Panhard avec toute la gamme en photo. Eau tarie va nous arranger ca pour l'année d'apres aveC CNIM :) C7 l'année suivante préélectorale avec l'UMP :) etc. C'est pas cher un an d'hebergement dédié ... 600€ par an ... tout ca pour avoir une putain, de grosse banniere exclusive sur l'ultime forum de défense francophone ! Allez hop au enchere :lol:
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