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AIR-DEFENSE.NET

g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. Il suffit pas d'etre chomeurs ... encore faut il quelques compétence et de l'endurance les chantier de batiment c'est pas forcément de tout repos hein.
  2. Ce sont des chasseurs alpins ... tirer avec des gants est normal pour eux ... comme pour les plongeurs etc.
  3. g4lly

    VBCI

    Quand on voit la hauteur du seuil de plancher cabine on comprends mieux l'impératif de la porte rampe pour débarquer rapidement sans avoir l'impression de faire de la chute libre :)
  4. oui oui mais chut ;) Un chantier sans clando ?! impossible ... les boite on pas en interne suffisament d'ouvrier sous contrat pour faire le boulot, la plupart du personnel c'est de la sous traitance qui récupere le personnel quelques peu pour marger tranquille :) Pour le gros oeuvre ca pose pas de gros gros probleme avec en encadrement sérieux un un suivi de chantier strict. Pour le reste ...
  5. Moi je mets 10 sacs sur le masque néoprene - pas de nasal, position sur le haut du nez - . Avec le frais de l'hiver Afghan le tireur doucette doit apprécier la protection thermique du néoprene sur le visage le cou et les oreilles. Les gants en polaire pour les mimine c'est pour le froid aussi.
  6. Bah c'est un plan de relance comme un autre :lol: Apres les 400m€ de STX les 3M€ pour Bouygues :) On a pas le détail de prestation offerte par le bailleur ... "le financement des investissements, l'entretien et la maintenance des bâtiments ainsi que les services fournis aux 10.000 usagers du site" c'est vague ... par contre ca sent la sous traitance massive de service ... coté sécurité ca va etre amusant :)
  7. ... ouaip mais en cas d'attentat ... c'est assez facile de plomber une cible unique dans laquelle il y aurait l'essentiel des pontes de la défonce défense. Pour les réseaux ... on sait faire quand meme :) et puis on peut installer tout un tas de backup en cas de coup de pelle terroriste ... Pas sur que la discrétion du chuchotage a l'oreille ou de la note discrete sur un bout de papier soit l'idéal pour notre défense. Par habitude j'é vite soigneusement les oeuf dans le meme panier toussa. D'ailleurs s'ils voulaient un batiment vraiment safe il le mettrait pas en plein Paris, vu le bordel sans non du sous sol, la proximité des riverains civils, et l'effervécence ambiante ... ca doit pas etre facile de controler grand chose :lol: Ca se trouve le metro faire plus de bruit qu'ne foreuse a beton ...
  8. C'est quand meme bizarre de vouloir centraliser la défense ... a l'air des réseaux, du swarming, du grid computing. C'est peut sympa en temps de paix m'enfin ca fait pas tres safe comme organisation.
  9. Les Tanker resistent assez bien au missile anti navire :) M'enfin le but d'un navire de combat et de poursuivre le combat malgres les dommage de guerre ... pas juste d'empecher qu'il coule ;) Le BPC etant supposer pourvoir supporter un débarquement "aggressif" ... et pas seulement le débarquement de sac de riz sur un quai relativement sur, on peu quand meme se demander ce qu'il resterait de sa capacité opérationnel apres un dommage classique de guerre tel que mine sous marine, bombe, missile, obus d'artillerie.
  10. g4lly

    Le F-35

    Sur le rafale il y a meme une sorte de diffuseur/dilueur devant qui semble avoir pour mission de refroidir l'apu et de diluer l'echappement. En plus la sortie est bien caché au coin dérive aile gauche donc probablement invisible du dessous et de la droite.
  11. Les normes civiles exclules dommages de combat quand meme ... il est assez rare qu'un navire marchand soit la cible d'un C-802 :) ou meme d'un RPG... Il il me semble qu'il n'y a pas grand chose de blindé meme contre le moyen calibre sur un BPC ... ca se trouve une rafale de doucette traverse le bidule de part en part au niveau du radier :lol: Eb meme temps c'est pas le seul ...
  12. Plus blindé ? c'est pas le sujet ici mais cette solution ne sied ni aux convoyeur ni au aux société de convoyage. Avec des ouvre boite version C4 ou RPG voire chargeur de chantier ... D'ailleurs la doctrine n'est pas la riposte ... juste de gagner un peu de temps pour que les systeme d'alerte fonctionne. Il est assez courant que les braqueurs se fassent reprendre tot ou tard, mieux vaut compter sur le temps que sur une escalade de la violence sur la voie publique. Quoiqu'il en soit avec la dématérialisation grandissante on risque de transporter moins de cash dans les camions dans un avenir proche. D'ailleurs une bonne partie du transport est effectué en voiture "banalisée", c'est pas la panacée contre les taupes m'enfin c'est tout suite moins evident a repérer dans la circulation :)
  13. Je pensais surtout a nous sur le forum ;) La sémantique simplificatrice ayant trop souvent une influence sur une vision simpliste des choses.
  14. Pour le moment il n'y a pas d'alternative opérationnelle pour voler vite et se poser dans un mouchoir ... l'idée n'est pas vraiment mauvaise d'ailleurs juste qu'il y a des forte contrainte a vouloir avec les meme propulseur faire les deux action ... vol vertical lent ... et horizontal rapide. Sauf un CH53K avec une "petite" soufflante en guise de rotor de queue et une petit paires d'aileron :)
  15. Il serait préférable d'utiliser le terme génériques insurgés ... la rebellion afghane etant tres disparate on trouve de tout. Des etudiant religieux de la régions, des milice des trafficant, des paysans locaux employé au coup par coup, des population local nationaliste voulant le départ des étrangers, des chef de guerre locaux voulant garder leur autorités, des étrangers al-quaediste venu pour faire des attentats etc. Chacun lié temporairement par un ennemi commun mais des motivations forcément différente. Une des solution serait déjà d''arrive a séparer dans tout ce bordel, les fréquentable des infréquentable ... et d'essayer des cesser le feu locaux voire des accord politique avec les fréquentables.
  16. Détruite !!! Gneuh ... bas non ... y a pas de moyen tres simple de transformer une particule radioactive en autre chose de moins radioactive sauf la laisser transmuter ... et donc rayonner sont énergie. En gros le plus simple c'est d'attendre que ca se passe. Les matérieux hautement radioactif on les traite par vitrification pour éviter la dispersion ... en gros on les incinére avec de la silice pour en faire des bloc de verre/céramique qu'on place dans des contenauer épais en béton on scelle le tout puis on stocke ca sous terre. L'avantage du bloc de verre c'est qu'il reste entier sans faire de poussiere/particule qui pourraitr disséminé de la radioactivité, tout en évitant les masse critique grace a la dilution homogéné dans de la silice, y a normalement par de risque de migration des matériel radio actif dans le bloc meme a tres tres long terme - plusieurs milliers d'année voir au dela -. J'ai déjà eu affaire a des métaux contaminés - légérement radioactifs - pour un recyclage d'acier standard ... ils sont retournés a l'envoyeur sans etre meme déchargé du bateau ... on rigole pas avec ce genre de truc une fois envoyer dans un cycle industriel le recylcage aidant on peut retrouver de la radioactivité dans n'importe quel truc métallique apres ... et meme si on découvre le probleme il est presque impossible de tracer tout les usage fait avec le matériel de base qui aura contaminé la chaine de production ainsi que les objet fabriqué avec, un casse tete qu'on préfere éviter en mettant tout ca en au rebus des le début. D'autant que des saloperie contaminé y en a tout plein vu l'usage extensif de produit radioactif et les processus pas tres strict d'y y a encore quelques année. On retrouve par exemple en afrique des mine d'uranium abandonné tel quel avec tout le matériel contaminé qui les locaux utilise pour leur construction ... forcément si tu te construit un poele avec du tuyan contaminer et que tu passe tes soirée devant ... ton espérance de vie va pas etre tres longue.
  17. Ce qui m'inquiete plus c'est les déformation des tubes des différents mats qui traversent la coque et le kiosque ... et qui ont dus défformer localement la coque - la ou il traverse -. C'est de la mécanique de précision ces mats Radar/Snchorchel/ESM/VHF/Optique/... visiblement le snchorchel a pris du biais ... j'aimerais bien voir comment ca a bouger tout en dessous :) Il est d'ailleurs fort probable que l'étanchéité complete ne soit plus assuré au niveau du kiosque.
  18. Va falloir prendre le modele drap de bain ... parce que la ta serviette de toilette visiblement elle est trop petite pour empecher le sable de s'envoler :lol: - meme si la proximité immédiate de l'helo reste relativement propre ... - C'est une photo avant apres ? y a pas le tapis sur celle du bas c'est ca?
  19. Les dirigeable comme les ballon captif on plus une vocation de veille permanente sur une zone de menace typique sans grosse défense aérienne... Selon les modele les ballon dont on parle dans le topic "veille persitante" peuvent monter pour les plus gros autour de 10 000m de quoi se mettre a l'abri de pas mal de menace sol air. Pour le reste les pays équipé de défense sol air tirant a plus de 10 000m dispose aussi d'une chasse... donc contre ceux la on oubli le ballon aussi bien pour la surveillance que pour autre chose tant il sont facile a chasser. Meme comme relai telecomme les ballons serait assez fragile ... il n'aime pas le mauvais temps et vont doucement ce qui ne leur laisse aucune chance en cas d'attaque. Les jet subsonique peuvent encore fuir s'il repére l'attaque tot... pas les ballon ou dirigeable. Pour du transport non critique et automatisé par contre ce pourrait etre tres pratique. Une sorte de mule aérienne capable de transporter des tonnes de matériel lentement mais surement et des les déposer a peut pret n'importe ou l'aérologie est pas trop capricieuse. Reste l'entretien ... les gaz leger ont un vilaine tendance a traverser les membrane "étanche" tellement ils sont fin ... et il faut les réalimenté tres régulierement. Y a pas mal de souci du coté du leste et ou de variation de volume de l'enveloppe, c'est assez technique et pas forcément bon marché et/ou fiable dans le temps. Par contre pour un pont aérien fret en afrique ou dans une zone relativement en paix ca pourrait etr e un bon substitut a l'helico.
  20. http://www.economist.com/science/tq/displaystory.cfm?story_id=11999355 How to disappear AS A special-forces agent in the French Navy, Michel Malalo has clandestinely entered several African countries by sea to extract endangered French nationals. Almost all the enemy fighters he encountered carried the AK-47, a widely used assault rifle renowned for its rugged reliability. But the AK-47 has a serious drawback: glint, which gave Mr Malalo an advantage in firefights. Made with steel, the AK-47 reflects light. “It’s flashy—and from afar,” says Mr Malalo, who took advantage of glint giveaways when shooting at the enemy. Mr Malalo, who left the special forces uninjured six years ago, says the French assault rifle, the Famas, is superbly non-reflective even in bright light. Developing new metal alloys to reduce rifle glint is just one facet of the effort to develop better camouflage, concealment and deception technologies that is under way at defence contractors, military research bodies and university laboratories. Most of this research is being conducted in America and Europe. Much is classified. The results are often remarkable. Even the most common form of camouflage—the coloured patterns printed onto combat fatigues—is being given a high-tech twist, as designers work with new software that incorporates neuroscientists’ understanding of human vision. Pattern-generation software analyses a large number of photographs of a given theatre of operations. By crunching meteorological data on typical lighting and visibility conditions, combined with information about the colours and predominance of shapes visible in cities, fields and wilderness areas, the software proposes new, improved patterns. “It really does get technical,” says Réjean Duchesneau, a lieutenant-colonel with NATO in Casteau, Belgium, who helped design a Canadian camouflage pattern called CADPAT. Some camouflage designers, including those at America’s Army Research Laboratory, also study the reflective and light-absorbing properties of materials common to an area, such as sand, cement and foliage. As well as being used by the camouflage-generation software, this information is used to manufacture fabric inks with the desired optical properties. Similar software optimises colours and patterns for vehicles and aircraft. The ability to customise camouflage for particular theatres has increased the use of temporary camouflage, which is painted on hardware before missions and washed off afterwards. For decades most fatigues, now referred to as battledress uniforms, incorporated wiggly patterns of solid colours known as tiger stripes. But research in the field of “clutter metrics”—the study of how well observers locate and identify objects—has recently discredited tiger stripes. With the help of eye-tracking devices that follow iris movements to determine where subjects are looking, researchers have determined that fabrics with small squares of colour, known as pixels, are harder to see. These new pixel patterns are now worn by many Western armies, including those of the United States, Britain, Canada, France and Germany. Canada has improved its camouflage so much in recent years that to spot soldiers in some conditions, observers must be 40% closer than they would have to have been in 2000. “Adaptive” camouflage that changes rapidly in response to the environment is also in the works. TNO, a Dutch defence contractor based in Soesterberg, is using thin, textile-like plastic sheets embedded with light-emitting diodes (LEDs). A small camera scans the environment, and the colours and patterns displayed on the sheet are changed accordingly. The material is not yet flexible enough to be worn comfortably by soldiers, but it is being tested in Afghanistan with Saab Barracuda, a Swedish maker of camouflage equipment. Pieter Jacobs, TNO’s chief technologist, says the defence ministries of Canada, Germany and the Netherlands, which have funded the development of the technology, consider such “chameleon” sheeting to be an urgent requirement. Maarten Hogervorst, a vision neuroscientist at TNO, says its performance is formidable. A tank draped with the sheeting and parked in front of a grassy slope displays an image of grass on its exposed side, for example. Another kind of adaptive camouflage is based on flexible plastic decals. A small camera, powered by a solar cell, senses the colours and patterns of the surroundings. The surface of the decal is a crude computer display which then replicates these colours and patterns. The US Army wants to use this approach to wrap artillery and munitions containers. Daniel Watts, who leads the project at the New Jersey Institute of Technology (NJIT), says it works well but is still too expensive for battlefield use. Some like it hot Concealing things on the battlefield does not just mean hiding them visually. A lot of research is also being done to reduce thermal signatures, too. Infra-red and thermal-vision equipment can reveal a soldier’s heat signature at a large distance. Such equipment is becoming less expensive and is now so readily available that the Taliban in Afghanistan are well equipped with it—unlike a few years ago, says Hans Kariis, a senior technologist at the Swedish Defence Research Agency, a government body in Stockholm. Fabrics designed to block human heat-signatures are improving rapidly. John Roos, a retired US Army colonel in Newport News, Virginia, recently observed a night-time test of an infra-red “stealth” poncho developed by AAE, a small defence contractor based in Fullerton, California. It was the most impressive infra-red protection he had seen. The man disappeared like “a black void”, Mr Roos says. (The head of AAE, Rashid Zeineh, declined to discuss the fabric’s composition.) America’s existing heat-blocking garments already provide a remarkable combat advantage, says Mr Roos. They are similar, but inferior, to the AAE stealth poncho, he says. During some night operations, American soldiers may be heard approaching while remaining concealed in the dark. “You can imagine what that would do to enemy morale,” Mr Roos says. One way to block body-heat signatures is to use particles called cenospheres—tiny hollow spheres of aluminium and silica that can be woven into fabrics. A leader in the field, Ceno Technologies, in Buffalo, New York, is developing a cenosphere body-paint for the face and hands which does not block necessary perspiration. Britain’s Ministry of Defence is testing it. Researchers at the NJIT, meanwhile, have developed insulating decals that can be applied to hot objects—even firing artillery cannons—to mask their heat signatures. Even if the heat signature cannot be concealed entirely, decals can be placed so that they alter the signature’s shape. Mr Watts says his team has been successful in partially insulating tanks so that observers with night vision see the shape of a car. Illustration by Derek Bacon This is a useful trick, because entirely eliminating a vehicle’s heat-signature can be extremely difficult. Intermat, a Greek supplier of concealment materials to defence contractors including British Aerospace, Lockheed Martin and Thales, produces a foam coating that also smothers heat signatures. Bill Filis of Intermat says that selectively applying a one-centimetre layer of heat-insulating foam can make an armoured personnel-carrier resemble a motorcycle when viewed through thermal-vision goggles. “Make him wonder, and this buys you time,” Mr Filis says. Some thermal coatings are as thin as a coat of paint, so they can be applied to aircraft. But warplanes present an additional problem. When flying high to avoid anti-aircraft fire, white condensation trails, or “contrails”, can form “a giant arrow in the sky pointing to where the plane is,” says Charles Kolb, chief executive of Aerodyne Research in Billerica, Massachusetts. Researchers at the firm, which is a contractor to America’s air force, are examining the thermodynamic processes that lead to the formation of contrails, in the hope of reducing them using chemical additives. Even as people, weapons and vehicles become harder to spot, however, new detection technologies are also being developed. In the spring of 1999 NATO warplanes flew more than 38,000 sorties over Serbia, in a bombing campaign that succeeded in pushing Serbian forces out of Kosovo. But surprisingly little damage was done to Serbian materiel. Duped NATO pilots had destroyed dummy tanks, artillery and other items of military hardware made out of wood and tarpaulins. Much of Serbia’s real military kit was hidden safely under foliage, which interferes with standard radar. Engineers at Lockheed Martin, a large American defence contractor, have designed a radar system called FOPEN, short for foliage penetration. It became operational in 2005, but still requires further development and is deployed on just one active American warplane so far. But Lockheed Martin’s FOPEN programme manager, Robert Robertson, says the radar “will see whatever man made” under a leafy triple canopy, or under netting designed to foil conventional radar systems. “Stealth” aircraft, designed to avoid detection by radar, have been around since the 1970s. Radar systems illuminate the target with radio waves and then look for reflections, so absorbing incoming radiation, or deflecting it in a totally different direction, can shrink an aircraft’s radar signature dramatically. Half a dozen countries now build stealth aircraft, at great expense. A new type of radar system, however, is capable of spotting such aircraft. It relies on the proliferation of mobile-phone signals. When a plane flies through an environment filled with such signals, the “aircraft shadow in this chatter” becomes visible, says John Pendry, a radar expert at Imperial College in London. Mike Burns, the president of MSE, a small defence contractor in Billerica, Massachusetts, says stealth bombers have indeed been detected against backgrounds of mobile-phone radiation because “a hole” appears in the constant chatter of signals. This technique can be used only in populated areas, with lots of mobile phones. But it has an edge over standard radar, in addition to being able to spot previously invisible aircraft. It is “passive”, because it uses ambient radiation to illuminate the target. This means the target aircraft cannot tell that it is being watched (whereas it can with traditional radar). In short, it is the radar-detection system, rather than the aircraft, that has become invisible. It is just the latest example of the arms race between concealment and detection.
  21. Normalement les verrieres encaisses le petit calibre a distance d'engagement, la cabine aussi, les sige des pilote sont blindé... Apres si c'est de la 12.7 AP la ca fait des trou trou m'enfin ca court pas les rue les mecs capables de coller un balle de 12.7 dans la tete du pilote d'un helico a plusieurs centaine de metre ... d'autant que l'helico ne se pose pas n'importe ou ... la DZ est reconnu par des personnels au sol, et si on peu pas protéger la DZ depuis le sol ... il y a une reco aérienne rapide et une couverture mutuelle de l'helico qui se pose par celui qui patrouille. Ajoute a ca les caméra thermique et les commando de l'air au portiere ... si y a un zouave qui bouge une oreille il va voir voler de la ferraille...
  22. g4lly

    Nouveau Air Defense

    Moi je propose toujours mon assistance technique ... et autres, par exemple relecture d'article, ou news...
  23. g4lly

    Eurofighter

    C'est lantenne electronique qui s'occupe du balayage ... la tete rotative permt juste d'orienter la tete electronique comme ca t'arrange selon que tu est en haute altitude ... en basse altitude ... ou si tu veux scanner sur les coté de temps en temps. On peut supposer que 30° par seconde serait largement suffisant, lantenne restant fixe la plupart du temps.
  24. g4lly

    Ici on cause fusil

    Il n'y a pas grand intéret a avoir une cadence de tir plus élevé ... au contraire on a tendance a réduire celle ci pour économiser des munition et garder une arme controlable en auto. Effectivement la distance plus courte entre la chambre et l'évent d'emprunt de gaz pourrait accélérer le processus ... mais il suffit a ce moment la de jouer sur la force dur le piston et l'inertie pour compenser. En gros si le bout du pistion est plus petit la meme pression délivrera moins de force ... donc un mouvement moins rapide. On peut aussi jouer sur le taille de l'évent pour limité l'empunt et donc la "force" des gaz et retarder un chouilla le mouvement. C'est d'(ailleurs a ca que sert le selecteur d'évent avec ou sans suppresseur je pense, il doit s'agir d'un limiteur de pression.
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