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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. g4lly

    Marine Polonaise

    L'AIP FC2G n'a jamais permis de faire 15 000 mille avec un plein d'O2 liquide?! Il me semble que c'est plutôt de l'ordre de 2500 nautiques, à 4 ou 5kts. Globalement les AIP non-nuke et non-battery ne produisent que 200kW au plus, et comme l'hotel load n'est pas ridicule sur un sous marin de 4000t ...
  2. https://www.lemonde.fr/international/article/2024/04/20/ce-que-contient-le-plan-d-aide-de-95-milliards-de-dollars-a-l-ukraine-israel-et-taiwan-vote-par-la-chambre-des-representants-americaine_6228956_3210.html Ce que contient le plan d’aide de 95 milliards de dollars à l’Ukraine, Israël et Taïwan voté par la Chambre des représentants américaine Tous ces projets doivent revenir dans le courant de la semaine prochaine au Sénat à majorité démocrate, avant d’être potentiellement promulgués par le président Joe Biden. Après de longues et difficiles tractations, la Chambre des représentants américaine a adopté, samedi 20 avril, un énorme plan d’aide à l’Ukraine, Israël et Taïwan, soutenu par des élus des deux bords. Les parlementaires américains ont voté au pas de charge sur cette gigantesque enveloppe de plus de 95 milliards de dollars (89 milliards d’euros), réclamée depuis des mois par le président Joe Biden. 60,8 milliards de dollars d’aide à l’Ukraine Le texte sur l’Ukraine prévoit 60,8 milliards (57 milliards d’euros) pour venir en aide à Kiev face à la Russie. Dans l’hémicycle, des parlementaires ont agité des drapeaux ukrainiens en signe de soutien à Kiev, sous les huées d’élus trumpistes. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, dont le pays est en guerre contre la Russie, a aussitôt salué une assistance qui « sauvera des milliers et des milliers de vies ». Une telle aide permettrait à l’armée ukrainienne de reprendre son souffle, dans ce conflit à haute intensité qui a épuisé nombre de ses combattants et entamé le moral des troupes. Vendredi, le président ukrainien avait tiré la sonnette d’alarme face aux pays membres de l’OTAN lors d’un discours en visioconférence. L’armée ukrainienne « ne peut plus attendre » face à la pression russe, avait-il déclaré, réclamant notamment au moins sept systèmes antiaériens Patriot supplémentaires, ainsi que l’accélération des livraisons d’équipements militaires en tous genres. Les Etats-Unis sont le principal soutien militaire de Kiev, mais le Congrès n’a pas adopté de grande enveloppe pour son allié depuis près d’un an et demi, principalement en raison de querelles partisanes. Cette aide a été distribuée au cours de l’année 2023, mais les robinets sont désormais à sec. Le texte présenté mercredi prévoit près de 14 milliards de dollars pour former, équiper et payer l’armée ukrainienne. Environ 10 milliards de dollars, de l’assistance économique dédiée aux secteurs de l’énergie et des infrastructures, seront envoyés sous la forme d’un prêt. L’idée a été soufflée par Donald Trump, qui estime que les Etats-Unis devaient « arrêter de donner de l’argent sans espérer être remboursés ». Cette dette pourra toutefois être effacée. Une grande partie de l’enveloppe servira aussi à reconstituer les stocks de l’armée américaine et reviendra aux usines d’armement aux Etats-Unis. Ce plan d’aide autorise aussi le président Biden à confisquer et à vendre des actifs russes pour qu’ils servent à financer la reconstruction de l’Ukraine. Le président démocrate Joe Biden, et son parti au Congrès, sont très favorables à de nouvelles aides pour l’Ukraine, en guerre avec la Russie. Mais les républicains, emmenés par Donald Trump, sont eux de plus en plus réticents à financer un conflit qui s’enlise. En pleine année électorale, la question s’est transformée en un duel à distance entre les deux candidats à la présidentielle. Après des mois de tergiversations, le chef républicain de la Chambre, Mike Johnson, a fini par apporter son soutien à l’enveloppe de 61 milliards de dollars pour l’Ukraine. « Pour le dire franchement : je préfère envoyer des munitions à l’Ukraine qu’envoyer nos garçons se battre », a-t-il plaidé, non sans une certaine émotion, lors d’une conférence de presse. 13 milliards de dollars d’assistance militaire à Israël Le plan débattu au Congrès prévoit 13 milliards de dollars d’assistance militaire à Israël, allié historique des Etats-Unis, en guerre avec le Hamas. Ces fonds serviront notamment à renforcer le bouclier antimissile israélien, le « Dôme de fer ». Plus de 9 milliards de dollars sont par ailleurs prévus pour « répondre au besoin urgent d’aide humanitaire à Gaza et à d’autres populations vulnérables dans le monde », selon un résumé du texte. Le projet interdit en revanche tout financement direct des Etats-Unis à l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens, l’Unrwa. Israël accuse certains de ses employés d’implication dans l’attaque du 7 octobre menée par le Hamas. Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a salué une aide qui « défend la civilisation occidentale », alors que la présidence palestinienne a qualifié d’« agression contre le peuple palestinien » l’assistance votée en faveur d’Israël. Cet argent risque de « se traduire par des milliers de victimes palestiniennes dans la bande de Gaza » et en Cisjordanie, a déclaré Nabil Abu Rudeina, porte-parole du président palestinien, Mahmoud Abbas, dénonçant une « escalade dangereuse ». 8 milliards de dollars pour tenir tête à la Chine Comme Joe Biden l’avait réclamé, ce texte consacre plus de 8 milliards de dollars pour tenir tête à la Chine sur le plan militaire en investissant dans les sous-marins, et sur le plan économique en concurrençant les gros projets chinois dans les pays en développement. Plusieurs milliards de dollars sont alloués à Taïwan, île de 23 millions d’habitants que la Chine considère comme une de ses provinces. Menace d’interdiction de TikTok Le projet de loi prévoit par ailleurs l’interdiction de TikTok aux Etats-Unis si le réseau social ne coupe pas les liens avec sa maison-mère ByteDance, et plus largement avec la Chine. TikTok est depuis plusieurs mois dans le collimateur des autorités américaines, de nombreux responsables estimant que la plateforme de vidéos courtes et divertissantes permet à Pékin d’espionner et de manipuler ses 170 millions d’utilisateurs aux Etats-Unis. Tous ces projets doivent revenir dans le courant de la semaine prochaine au Sénat avant d’être potentiellement promulgués par le président Joe Biden. La chambre haute pourrait se pencher sur les textes dès mardi, a fait savoir le chef des démocrates au Sénat, Chuck Schumer. La porte-parole du président, Karine Jean-Pierre, a fait savoir vendredi que le flux d’aide américaine à l’Ukraine reprendrait « immédiatement » après l’adoption de ce texte par les deux chambres du Congrès.
  3. Les obus d'artilleries ne sont équipé de leur fusée qu'au "dernier" moment ... d'ailleurs il y a tout un tas de fusée vissable au choix, en fonction de ce qu'on veut obtenir comme effet - même si la mode c'est d'avoir la même fusée mais multimode, plus simple logistiquement mais plus cher -. ... le reste du temps c'est un récipient basique en acier rempli de composition explosive rien de plus. Les sécurité de la chaine pyrotechniquement c'est au niveau de la fusée qu'elles se trouvent. Ici la révolution c'est souvent les MEMS, un combo d'élement micro électronique et micro mécanique. En gros de la mécanique sur un puce électronique ... la chaine pyro est alors à la fois mécanique et électronique ce qui éloigne les problème d'interférence de surcharge etc. tout en réduisant à presque rien la partie mécanique par rapport à un fusée à l'ancienne qui disposer d'élément d'inertie - mis en mouvement par l'accélération dans le canon - pour basculer après un délai - avec un systeme de retardeur sur la mécanique - entre le mode arrête et le mode prêt.
  4. Ça serait bon signe s'ils taisaient le connerie ... malheureusement extimiser sa bêtise est devenu la norme.
  5. C'est pas nouveau ... et c'est de notre faute collectivement si la France accouche de ce genre de profil. Après on peut décider qu'une élite éveiller puisse prendre le pouvoir et gérer l'empire à la place de trou du cul qui était avant des citoyen ... puis expliquer aux autres que tout le mal qu'on fait c'est pour défendre la démocratie ... mais je ne suis pas sur qu'à terme ... ça ne finisse pas par en mettre en colère quelques uns.
  6. C'est au contraire extrémement compliqué. La bombe atomique n'a rien de magique c'est une une forme de bombardement stratégique. Au début on avait une dualité, des frappes anti-force, et anti-industrie comme avec des bombes normal mais en plus fort. Puis un volé stratégique dissuasif, je détruit ta population. Rapidement on a conclu qu'une guerre nucléaire à base d'arme tactique, n'aurait pas de fin et que des perdant. On a donc convenu qu'on ne voulait pas de guerre nucléaire. Pour ca on a inventé une doctrine du tous perdant de maniere absolu. La doctrine MAD, destruction mutuelle. Toute guerre nucléaire débouchera à tres court terme sur un bombardement stratégique totale de part et d'autre. De sorte que ce soit meme au delà de la défaite. C'était vu comme absolument définitif comme défaite. Plus aucun américains, plus aucune "russe". On contenait donc absolument tous les conflits au stade conventionnel et ca convenait à tout le monde, du moins dans l'opposition USA Russie. Avec la fin du PaVa et plus globale l'accession à l'arme nucléaire de plein de monde ... la doctrine à évolué. Au finale on a un globi boulga de doctrine... à tel point qu'on ne sait meme plus si les détenteur de l'arme nucléaire en ont vraiment une. Les uns expliquant qu'ils n'useront de l'arme nucléaire que contre des nucléaires pour favoriser la non prolifération et changeant d'avis le lendemain. Les autres laissant planer un usage tactique au besoin. etc. etc. Si bien qu'aujourd'hui ca fini par ne plus dissuader grand monde tellement c'est illisible.
  7. Rien que ça c'est un problème insoluble sans chef de l'état Européen élu à un suffrage suffisamment direct pour que sa représentativité soit accepté par tous. Qui décide de la fin du monde - du moins celui qu'on a connu - ?!
  8. A part de l'inhabité je ne vois pas trop ... ... sinon il faut que les francais se mettent à travailler. https://www.ifrap.org/europe-et-international/pib-par-habitant-la-france-nest-plus-quau-25eme-rang-mondial
  9. D'autant qu'on refuse de débattre de la doctrine ... qui est pourtant le fond de l'histoire. Obtenir une bombe c'est peanuts dans l'équation. Développer une doctrine qui ait un peu de sens et soit suffisamment robuste dans un monde de menace tout azimut c'est infiniment plus compliqué, d'autant plus avec des gens qui n'ont jamais commencé à y songer parce que volontairement soumis aux décisions américaines. Même la doctrine française est devenue branlante comme pas deux, tellement que tout un tas de membre du forum réclamé une large réduction voir un quasi abandon de la dissuasion nucléaire.
  10. Les idées c'est comme la mauvaise herbes ça finit toujours par pousser même quand c'est étranges ou pire néfaste ... c'est pourquoi la saine cogitation est souvent un escroquerie ou une manipulation.
  11. Plus de détail ici https://www.nbcnews.com/news/world/house-vote-billions-dollars-russian-government-money-sitting-us-banks-rcna148671 Congress passes bill that could unlock billions in frozen Russian assets for Ukraine The House passed a foreign aid package on Saturday as well as what's called the REPO Act that will allow the Biden administration to confiscate billions of dollars’ worth of Russian assets sitting in U.S. banks and transfer them to Ukraine for reconstruction. “By delivering urgently needed aid to Ukraine, the United States has reasserted itself as the leader of the free world and as a reliable partner to its allies," said Rep. Ritchie Torres, D-N.Y. "The US has a singular obligation to help freedom fighters fight for their freedom, and nowhere more so than in Ukraine, whose self-defense against Putin’s aggression must prevail." The REPO Act, which would authorize Biden to confiscate the frozen Russian assets in U.S. banks and transfer them to a special fund for Ukraine, is part of the foreign aid package that was stalled for months in the House. More than $6 billion of the $300 billion in frozen Russian assets are sitting in U.S. banks. Most of the $300 billion are in Germany, France and Belgium. On Wednesday, Speaker of the House Mike Johnson released the package which would include tens of billions of dollars in aid for Ukraine, Israel, and Taiwan. “I’m going to a allow an opportunity for every single member of the House to vote their conscience and their will on this,” Johnson told reporters, defending his decision to allow the vote to go forward Saturday. Russian President Vladimir Putin and his government invested heavily in the euro and the dollar over the years to keep the ruble stable, planting some $300 billion worth of foreign currency reserves. But in early 2022, following Putin’s invasion of Ukraine, all of the Group of Seven (G7) countries including the U.S., U.K., Canada, France, Germany, Italy and Japan banded together and froze all of the $300 billion dollars of Russian foreign currency reserves held in banks in those countries, most of the money in Europe. “The Russians were surprised when, right after the war started, the Europeans took the exact same measures as the United States, freezing all of the reserves that were there and the Japanese did the same, which is why most of Russia’s reserves today are frozen in western banks,” said Chris Miller a professor at the Fletcher School at Tufts University. The idea to confiscate the Russian assets emerged last year and has been hotly contested by economists and foreign policy experts. In a recent op-ed in the New York Times, contributing opinion writer Christopher Caldwell argued that it’s a “terrible idea” to confiscate the Russian funds because other countries might stop investing in the U.S. which could negatively affect the economy in the long run. “This could weaken the dollar’s status as the main global reserve currency. The dollar is probably the most valuable strategic asset the United States has,” Caldwell argued. McFaul, whose been lobbying for the REPO Act for months, clapped back at Caldwell’s assertion and said the use of Russian assets for Ukraine would send an important message to autocratic nations around the world. “There are those that say, 'Well, this will hurt the dollar. It’s bad for our reputation.' I have a pushback to that. I don’t want criminals investing in American Treasury bonds,” McFaul said. One of the diplomatic challenges would be to convince the other G7 countries to do the same. While the U.K. is on board with the idea, France and Germany have been reticent. “We’re making good progress in how to access that funds on an agreed basis that I think we can take forward to the G7,” U.K. foreign minister David Cameron told reporters April 9. Amid the diplomatic maneuverings, one group in the background has been persistently applying pressure on members of Congress, the White House and G7 countries to move forward with the idea of confiscating the funds. The Renew Democracy Initiative, a Washington DC-based nonprofit organization promoting democracy and American interest overseas sent a letter Friday urging Majority Leader Johnson and House Minority Leader Hakeem Jeffries to work together to get the REPO Act passed. “Your leadership through legislative action will increase the likelihood that the administration does what is necessary to confiscate Putin’s billions,” wrote RDI Chairman Garry Kasparov and RDI CEO Uriel Epshtein. In an interview Friday, Epshtein said he believes it will take U.S. action to bring about a G7 collaboration to confiscate the funds. “Other G7 countries will only act to confiscate Russian assets if the U.S. leads,” said Epshtein.
  12. DNK est un aéroport civil. Fermé depuis 2022 suite aux bombardements qui ont détruit une bonne partie des infrastructures. Mettre de la DCA radar active dessus attire l'attention des moyens ESM ennemis donc tu ne peux pas trop le faire sans attirer des missiles. Et les Ukrainiens n'ont aucun moyen d'interdiction d'aussi loin. Le drone a mon avis film de vraiment loin pour que les images soient aussi dégueux. Il est même possible que ce drone soir là pour la vidéo et qu'il n'ait même pas fait le targeting. Un opérateur DCA ukrainien expliquait récemment qu'ils avaient vu une journée presque en même temps 200 drones russes dans le secteur Zaporizhzhia...
  13. Ca ne te surprend pas quand c'est au milieu de la Russie pourtant ? Qu'y a t il se si surprenant ici ?
  14. La pétition « The Elephant in the Room » demandait aux Etats-Unis de restreindre l’aide militaire qu’ils accordent à Israël. Après les massacres du 7 octobre 2023, et alors que la Cour internationale de justice évoque « un risque plausible de génocide » à Gaza, croyez-vous qu’il faille continuer d’armer Israël ou bien conditionner la livraison de matériel militaire ? E. I. : Cette question me laisse dans l’ambivalence. Lorsque j’ai signé la pétition « The Elephant in the Room », je ne voyais les Palestiniens qu’à travers le prisme de la dépossession. Je les considérais comme des victimes, des frères et des sœurs, non comme des ennemis. Depuis le 7 octobre, je prends davantage au sérieux l’antisémitisme viscéral et les intentions génocidaires du Hamas. Tout Etat a le droit de se défendre, particulièrement contre une organisation comme le Hamas, qui a le projet de récupérer toute la Palestine. Il est dans l’intérêt du monde d’éliminer cette organisation et d’affaiblir ses soutiens à Téhéran. Nous faisons face à une situation proche de celle qui existe en Ukraine. Le monde dit « libre » ne fournit pas des armes à ce pays par bonté de cœur, mais pour protéger ses intérêts. Mais je pense également que l’Etat hébreu est aujourd’hui dirigé par le pire gouvernement de son histoire. Sans constituer un génocide, cette guerre a entraîné la mort d’un nombre disproportionné de civils, sans parler de la catastrophe humanitaire en cours. N’oublions pas non plus que l’un des principaux objectifs n’a toujours pas été atteint : les otages israéliens restent en captivité. Israël souhaite maintenant riposter à l’attaque aérienne menée par l’Iran dans la nuit du 13 au 14 avril, ce qui est une erreur. Il vaudrait mieux s’employer à préserver le soutien international dont Israël a bénéficié pour faire face à l’attaque iranienne. L’aide apportée par le Royaume-Uni, la France et surtout la Jordanie et l’Arabie saoudite est d’une importance majeure. La seule façon de renforcer cette coalition stratégique est de chercher une solution politique au conflit. Si l’on veut affaiblir l’Iran, il faut construire une alliance avec l’Arabie saoudite, qui ne le fera que si nous aidons les Palestiniens à construire un Etat. D. P. : N’étant pas un expert en droit international, je ne suis pas en mesure de vous dire si un génocide est en cours. Mais des milliers d’innocents ont été tués à Gaza. Certes, le Hamas se cache au sein de la population civile et Israël cherche à atteindre ses tunnels par de lourds bombardements. Mais à quel prix en termes de vies humaines ? Combien d’innocents devront être tués avant que l’on en revienne au seul objectif politique viable, réconcilier Israël et les Palestiniens ? Apporter une aide militaire à Israël, sans y attacher de conditions, ne sert pas les intérêts américains, israéliens, ou de quiconque. Israël poursuit une politique destructrice qui le menace également à plus long terme. Les Etats-Unis doivent soutenir le droit d’Israël à se défendre, sans lui accorder un blanc-seing. Ils doivent également exiger qu’un processus politique soit engagé afin de mettre fin à cette guerre. L’Autorité palestinienne, aujourd’hui affaiblie, doit être renforcée. Le gouvernement israélien se démène depuis des années pour empêcher l’établissement d’un Etat palestinien et affaiblir les forces les plus modérées au sein de l’Autorité palestinienne. C’est une des causes de la tragédie actuelle. Ce n’est pas avec le Hamas que l’on fera la paix, l’idéologie haineuse qu’il professe fièrement l’interdit. Quatre scénarios s’offrent à nous. Un Etat dominé par les juifs, sans Arabes, ou opprimant les Arabes. A l’inverse, certains fantasment un Etat arabe dont les juifs auraient été exclus, en les chassant du territoire ou en les tuant. Ces deux premiers scénarios sont inenvisageables. On peut, sinon, souhaiter l’établissement de deux Etats, l’un juif, l’autre arabe, liés l’un à l’autre de manière plus ou moins formelle. Ou alors un seul Etat dans lequel juifs et Arabes coexisteraient. Près de quatre-vingts ans après les premiers débats à l’ONU sur l’avenir de la Palestine, nous en sommes toujours au même point. La seule différence est qu’Israël ne va pas disparaître, pas plus que les 7 millions de juifs qui y vivent. Prétendre autre chose est risible et insultant.
  15. Justement, la perspective coloniale vous semble-t-elle utile pour analyser l’histoire du sionisme et d’Israël ? D. P. : Apartheid, colonialisme, colonisation de peuplement sont des termes qui se prêtent à différents usages. Les employer à des fins militantes pour s’en prendre à la légitimité d’Israël me semble puéril et vain. On ne trouve pas en Israël un régime d’apartheid identique à celui de l’Afrique du Sud d’avant 1991. Les citoyens arabes d’Israël sont certes victimes de discriminations, mais ils ne vivent pas sous le coup d’une politique de ségrégation raciale. Cependant, à différents points de vue, l’occupation de la Cisjordanie est similaire à l’apartheid. La convention de l’ONU sur l’apartheid, adoptée en 1973, le décrit comme un régime organisé de manière à « empêcher un ou des groupes raciaux de prendre part à la vie politique, sociale, économique et culturelle du pays et (…) à priver ces groupes de leurs droits humains les plus élémentaires ». Si l’on remplace l’expression « groupe racial » par le terme de peuple, on décrit une situation qui ressemble étroitement à l’occupation de la Cisjordanie. Quant à la colonisation de peuplement, cette notion peut nous aider à comprendre l’histoire d’Israël parce que le sionisme, lorsqu’il prend forme au début du XXe siècle, s’appuie sur le colonialisme des grandes puissances de l’époque. Les fondateurs du mouvement sioniste reconnaissaient pleinement que leur projet dépendait de Londres et de Paris. Autre élément qui rapproche le sionisme de la culture coloniale, plusieurs de ses chefs de file considéraient la population arabe avec paternalisme. Enfin, depuis 1967, la construction d’enclaves juives en Cisjordanie n’est rien d’autre que du colonialisme, puisque des citoyens israéliens vivent sur un territoire occupé. A ce constat, j’ajoute que le sionisme ne se laisse pas pour autant réduire au colonialisme de peuplement. L’attachement des juifs à la terre d’Israël remonte à l’Antiquité et ne date pas simplement de l’époque coloniale. Il faut également ajouter que le projet sioniste est pluriel, puisque les juifs européens ne sont pas les seuls à y adhérer : des juifs d’Afrique et d’Asie aussi. Israël ne dépend pas d’une métropole lointaine. Toutes ces raisons font que le colonialisme n’est que l’un des horizons conceptuels qui peuvent être employés pour aborder l’histoire d’Israël. E. I. : La naissance du sionisme doit en effet beaucoup au colonialisme européen, que l’on pense aux accords Sykes-Picot [plan de partage du Proche-Orient entre la France et le Royaume-Uni adopté en 1916] ou à la déclaration Balfour [par laquelle Londres affirme, en 1917, son soutien au sionisme]. Le colonialisme juif se concevait cependant comme un retour à la terre ancestrale, et non comme la conquête de territoires nouveaux. Appliqué à Israël, le colonialisme est trop souvent abordé en faisant abstraction de la spécificité de la condition des juifs. Ils ont été opprimés, massacrés ou expulsés presque partout en Europe comme dans le monde musulman. On oublie que près d’un million d’entre eux s’enfuient ou sont renvoyés des pays à majorité musulmane au XXe siècle et deviennent des réfugiés. Aujourd’hui, la condition des 16 millions de juifs dans le monde n’a pas changé, en ce sens que leur sécurité n’est toujours pas assurée. Le 7 octobre 2023 vient nous rappeler la persistance du problème juif : comment faire pour permettre à ce peuple de vivre sans craindre le prochain massacre, le prochain génocide ? Comme le disait Sartre, le problème ne concerne pas que les juifs : le monde entier doit s’en préoccuper. Israël a été fondé pour y apporter une réponse, le seul sens du sionisme est là. Parce qu’il a toujours été entouré de pays ennemis, Israël est devenu une forteresse militaire. Sécurité et démocratie n’ont jamais fait bon ménage, même si le pays a essayé de préserver l’équilibre entre les deux. L’occupation de la Cisjordanie et le projet d’annexion des territoires palestiniens poursuivis par les colons risquent maintenant de faire basculer Israël. Le 7 octobre démontre que, si l’on veut préserver la sécurité de l’Etat hébreu, mettre fin à l’occupation et trouver une issue politique au conflit avec les Palestiniens sont une nécessité absolue. La critique d’Israël peut tourner à la diabolisation et son existence est régulièrement remise en question au nom de positions qui se disent antisionistes. Selon vous, qu’est-ce que l’antisionisme ? Relève-t-il de la judéophobie ? E. I. : Cette question demande que l’on revienne d’abord sur ce qu’est l’antisémitisme. Il repose sur une obsession pour les juifs, auxquels sont attribués un pouvoir et une malveillance qu’ils n’ont pas. La vulnérabilité de ce peuple minuscule est niée ou occultée. A partir de cette base, l’antisémitisme sait s’adapter aux circonstances historiques propres à chaque époque. Par le passé, l’antisémitisme a eu des sources religieuses, puis il s’est sécularisé et s’est appuyé sur un discours raciste prétendument scientifique ou marxiste. L’antisémitisme prétend toujours défendre une cause morale. Aujourd’hui, la haine des juifs apparaît sous la forme d’un engagement passionné contre Israël, un « Etat colonial ». La défense de la cause palestinienne prend une dimension morale : une injustice fondamentale est commise, et la ferveur antisioniste atteint un tel niveau que l’on en vient à nier aux juifs le droit de disposer d’une patrie et d’en assurer la sécurité, ce qui n’est pas loin de l’antisémitisme. Israël est le seul pays dont la légitimité est ainsi remise en cause. C’est en outre le seul dont l’existence repose sur le soutien et l’accord de la communauté internationale : il voit le jour en 1948 grâce au vote à l’ONU, l’année précédente, du plan de partage de la Palestine. Cet accord n’a jamais été aussi fragile. J’admets toutes les critiques d’Israël, mais à la condition que l’on ne remette pas en cause son existence. De même, je refuse de céder face aux Israéliens et aux juifs de droite qui cherchent à empêcher le débat en lançant des accusations d’antisémitisme dès que la moindre critique de l’Etat hébreu est émise. Cette instrumentalisation de l’antisémitisme porte préjudice aux juifs eux-mêmes. D. P. : L’antisémitisme et l’antisionisme sont des phénomènes apparentés, mais ils restent distincts sur le plan conceptuel. Il faut en effet rappeler l’existence d’un antisionisme juif qui apparaît dès l’essor du sionisme à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. Différentes raisons étaient évoquées. Certains opposants étaient bundistes : ils appartenaient à un mouvement ouvrier [Bund], né en Pologne, considérant que le sionisme était un courant de pensée bourgeois, contraire aux intérêts des prolétaires. D’autres juifs s’opposent à Israël par universalisme et rejet du nationalisme en général. Des motifs religieux ou culturels sont encore aujourd’hui cités par des juifs hostiles à l’existence d’Israël. Une autre forme d’antisionisme émerge dans les années 1970, alors que la cause palestinienne commence à trouver des relais à travers le monde. Ce n’est qu’à partir de ce moment que l’antisionisme et l’antisémitisme deviennent, à proprement parler, liés. L’opposition à l’existence d’Israël emprunte le vocabulaire et des notions propres à l’antisémitisme : Israël dicterait au monde sa conduite, ou encore Israël, sans être la seule puissance malveillante du globe, exercerait une influence particulièrement néfaste. Ce type de discours reprend les préjugés les plus répandus à l’encontre des juifs, exagérant le pouvoir qu’ils détiennent, la portée de leur influence tout en les désignant comme des êtres fondamentalement mal intentionnés. Les différentes définitions de l’antisémitisme ont toutes en commun de considérer que nier le droit des juifs à disposer d’une patrie, à vivre en paix et en sécurité, tout particulièrement après la Shoah, relève de la judéophobie. E. I. : Nous devons prendre garde à la confusion des termes, car certains en profitent pour faire avancer leurs idées antisémites. Un professeur d’histoire intellectuelle arabe à l’université Columbia (New York) prétend que l’on peut tout à fait être antisioniste, puisque des juifs le sont. C’est une stratégie efficace et redoutable, car elle passe sous silence la différence fondamentale qui existe entre l’antisionisme d’un juif bundiste et celui d’un partisan d’une Palestine sans plus aucun juif.
  16. https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/04/19/eva-illouz-et-derek-penslar-la-gauche-ne-sait-plus-parler-de-ce-qui-se-passe-au-proche-orient_6228778_3232.html Eva Illouz et Derek Penslar : « La gauche ne sait plus parler de ce qui se passe au Proche-Orient » Les massacres du 7 octobre 2023 commis par le Hamas en Israël et la riposte dans la bande de Gaza provoquent au sein de la gauche de vives divisions, particulièrement aux Etats-Unis, mais aussi en France et ailleurs. Une partie du camp progressiste est tentée par une défense radicale de la cause palestinienne. L’emblématique philosophe américaine Judith Butler a ainsi créé la polémique en déclarant, en mars, que les attaques de l’organisation islamiste constituaient « un acte de résistance ». Aux Etats-Unis, une forte hausse des actes antisémites a été recensée sur les campus. Un antisionisme s’appuyant sur le vocabulaire venu des études postcoloniales, qui rencontrent un large écho au sein de la gauche, alimente en certains endroits la judéophobie. Comment distinguer l’apport scientifique de ces nouvelles approches de leur usage militant ? Peuvent-elles nous aider à comprendre la situation d’Israël ? Et que nous disent ces évolutions de la gauche ? Pour tenter de répondre à ces questions, nous avons invité à débattre Eva Illouz, sociologue franco-israélienne et directrice d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales, et Derek Penslar, professeur d’histoire juive à Harvard et codirecteur du groupe de travail sur l’antisémitisme au sein de cette université. En août 2023, ils ont signé avec plusieurs centaines d’autres intellectuels juifs et israéliens la tribune « The Elephant in the Room ». Le texte dénonçait l’oubli de la question palestinienne dans le débat israélien et comparait l’occupation de la Cisjordanie à l’apartheid. Depuis le 7 octobre 2023, la gauche apparaît divisée par la difficulté de certains à condamner pleinement l’attaque du Hamas et par l’intervention militaire israélienne à Gaza. Que vous inspirent les débats actuels ? Comment expliquez-vous cette fracture ? Eva Illouz : Je reste profondément choquée par l’indifférence ou la joie avec laquelle une partie de la gauche a accueilli les crimes contre l’humanité que constituent les attaques du Hamas. Cette réaction est d’autant plus choquante qu’elle provient de milieux intellectuels et universitaires. Les victimes israéliennes ont été littéralement déshumanisées. Un tel manque de compassion s’explique par une profonde transformation de la gauche, qui s’est détournée de ses combats traditionnels pour le prolétariat et contre le racisme. Elle se mobilise désormais davantage en faveur du Sud global et contre le colonialisme. Surtout, son positionnement n’est plus le même : elle a délaissé l’utopie au profit de la déconstruction, elle ne cherche plus à élaborer un projet politique. La gauche se contente désormais de condamner différentes incarnations du mal : l’Occident, le patriarcat, la blanchité, la colonisation, etc. Cette démonologie rend difficile, voire impossible, d’éprouver de la compassion pour un peuple qui est devenu une incarnation du mal : les Israéliens, coupables aux yeux de cette gauche d’avoir établi un Etat occidental, colonial et blanc. Les juifs ont de plus le défaut d’avoir subi le mauvais crime, l’extermination, et non la colonisation. La Shoah fait désormais l’objet d’une forme de relativisme qui vient contester la place qu’elle occupe depuis les années 1960, où elle représentait dans les mémoires le mal absolu. Il est vrai que, de ce fait, elle avait éclipsé d’autres grands crimes contre l’humanité comme l’esclavage et le colonialisme. Mais, aujourd’hui, la Shoah est soumise à des inversions morales proches du négationnisme. Un exemple : en février, le président brésilien Lula a comparé les Israéliens aux nazis. La gauche, empêtrée dans ce genre de discours, ne sait plus parler de ce qui se passe au Proche-Orient. Derek Penslar : Le problème ne vient pas de la critique des bombardements sur Gaza par Israël, raids qui ont entraîné la perte de milliers de vies humaines. C’est en effet plutôt la joie avec laquelle certains ont accueilli les massacres du 7 octobre qui est profondément troublante. Au lendemain de ces événements, une professeure de l’université Yale [Connecticut] a ainsi ouvertement soutenu ces attaques, en affirmant notamment que les victimes n’étaient pas des civils. Une association étudiante à l’université Tufts [Massachusetts] s’est, elle, félicitée de la « créativité » des assaillants. L’occupation de la Cisjordanie doit cesser. Cependant, cela ne justifie pas les événements du 7 octobre. L’incapacité d’une partie de la gauche à condamner l’occupation sans glorifier cette boucherie est pitoyable. L’hostilité d’une partie de la gauche à l’égard d’Israël ne date pas d’hier. Dès les années 1960, l’URSS en fait un agent de l’impérialisme occidental. Un discours similaire commence à s’installer en Europe et aux Etats-Unis après la guerre des Six-Jours en 1967 et la guerre de Kippour en 1973. Deux ans plus tard, l’ONU assimile le sionisme au colonialisme et au racisme. A l’époque, un rapprochement entre certains milieux militants de la cause palestinienne et des mouvements de libération noire aux Etats-Unis s’observe également. Cette effervescence fait qu’à l’extrême gauche l’antisémitisme se banalise : les juifs sont accusés de contrôler les médias, la politique et l’économie. La concurrence entre la Shoah et l’esclavage s’installe. Si ce discours n’est pas nouveau, qu’est-ce qui a changé aujourd’hui ? D. P. : C’est en partie une question d’échelle : ces phénomènes sont bien plus répandus à notre époque. En outre, la communauté juive n’en est plus au même point aux Etats-Unis. La seconde moitié du XXe siècle y représente pour elle un âge d’or. Les dernières barrières s’opposant à son intégration tombent, et les juifs rejoignent en masse les universités d’élite, au point qu’ils ont pu former un quart, voire un tiers de la population étudiante de certaines d’entre elles. Les juifs ont ainsi accès à un meilleur statut social, à une plus grande prospérité. Cet âge d’or est aujourd’hui révolu. Les universités les plus prestigieuses ont changé leurs critères d’admission, notamment sous l’impulsion de la discrimination positive et de politiques qui partagent les mêmes objectifs. Un nombre croissant d’étudiants de très haut niveau et de différentes origines candidatent aujourd’hui, alors que le nombre de places disponibles reste limité. Il devient dès lors plus difficile d’accéder à ces institutions, y compris pour la communauté juive, et, par conséquent, d’obtenir les postes les plus convoités sur le marché du travail. Ce n’est donc pas simplement que l’hostilité envers les juifs se répand, c’est aussi que ces derniers se trouvent en proie au malaise, à des angoisses socio-économiques. Ce qui explique, en partie, la panique qui s’est emparée de certains juifs sur les campus américains. E. I. : Le mouvement des droits civiques a vu l’essor d’une alliance entre les communautés noire et juive aux Etats-Unis. Son point culminant est peut-être la marche de Selma à Montgomery [Alabama] en 1965 où le rabbin Abraham Joshua Heschel défile alors main dans la main avec le révérend Martin Luther King. Mais, si cette alliance est aujourd’hui révolue, ce n’est pas à cause de l’anxiété sociale désormais ressentie par les juifs. Dès les années 1970, les liens commencent à se défaire. Les juifs profitent d’une ascension sociale très rapide, provoquant l’essor d’un antagonisme de classe. Ces tensions augmentent encore du fait de la concurrence victimaire qui se développe également entre ces deux communautés. Il y a enfin une rupture idéologique. Les juifs ont embrassé l’universalisme et le libéralisme politique, et se sont opposés pour certains à la discrimination positive, alors que les Afro-Américains la jugeaient essentielle. L’identité en est venue à occuper une place croissante dans l’engagement politique de ces derniers, tout comme la volonté de transformer la société américaine de façon radicale. C’est ce qui explique que ces deux communautés se divisent, et le discours décolonial qui se diffuse dans les universités américaines à partir des années 1990 accentue leur différend idéologique.
  17. C'est le mode de pilotage qui veut ca "Line of sight beam riding guidance (LOSBR)" ... le missile est télépiloté RF depuis un flux radar, ou une imagerie optronique, quand le missile s'éloigne de la LOS on corrige, et comme on déplace la LOS à mesure des évolutions de la cible aussi, le missile oscille sur cette LOS dynamique.
  18. Officiellement l'armée russe recrute 30 000 soldats par mois ... c'est pas 2 000 une fois qui changera quoique ce soit.
  19. Pourtant ils en parlent ici parfois.
  20. En même temps le séparatisme alsacien est très acceptable lui ... avec les "interreg" ils sont déjà presque allemands.
  21. C'est parce que t'es hypothèses sont probablement non pertinentes. Ce n'est pas de l'information, ni du journalisme. Ça doit bien faire 30 ans que ce n'est plus que du spectacle pour les prolos ... vu qu'ils n'y a plus qu'eux qui regardent la télé de toute façon, les autres n'ont pas que ça à foutre.
  22. Situation à Keramik. La carte est un peu conservatrice, d'autres mappeurs sérieux - Rybar ne fait que recopier le boulot de mappeurs - voient les russes bien plus avancés à l'est de Keramik. https://rybar.ru/piwigo/upload/2024/04/18/20240418155423-0f1196ae.jpg Meme chose devant Chasiv Yar, et meme retenue. D'autre mappeur voient les russes au contact du canal dans la foret, entre le point 2 et Orlova tract. https://rybar.ru/piwigo/upload/2024/04/18/20240418210432-bccac123.jpg
  23. Pour l'ONU c'est simple ... elle compense d'avoir déporté les palestiniens au profit des juifs, en lui jetant quelques piécette au visage qu'il ferme sa gueule. C'est juste un stigmate de culpabilité des pays qui organisent cette stratification des peuples.
  24. Ce n'est pas un problème religieux ici ... c'est un problème identitaire. Il y a bien un peu de "religion" dedans mais c'est plus de l'ordre de la coutume qu'autre chose. Ce auquel on a affaire c'est à une forme de concurrence identitaire et communautaire. Avec des communauté acceptables, il les "juifs", et des peu/pas acceptable les "arabo-musulman". En pratique c'est un forme de normalisation du racisme qui ne dit pas son nom. Après je comprends que ça plaise il suffit de voir le discours du gouvernement ... qui donnerait le rouge au front de Sarkhozy lui même ... ou les sondages des européennes. Ce qui m’inquiète c'est le projet derrière, je ne vois pas vraiment vers quel avenir radieux ça nous mène.
  25. STRALES c'est un solution de projectile guidé tiré depuis le canon de 76mm. Ca permet d'engagé tout et n'importe quoi en mode CIWS ou C-RAM ... jusqu'à presque 7km pour les menace surface ou rasante ... il faut compter 3 obus par cible idéalement. Les cible typique sont des missile de croisière, des RHIB ou équivalent, voire des cible littorale proche en tir directe, comme un poste ATGM. Evidement ca peut engager des avions, et des drones, aussi bien surface qu'air. La limitation c'est que la visée beam riding oblige la tourelle canon - sur laquelle est le radar fournissant le "rail" de visée radar au projectile - doit garder la visée sur la cible jusqu'à l'impact. Ça occupe la tourelle quelques secondes à chaque fois après le tir. Même chose pour l'optronique ou le radar d'engagement il doit garder la poursuite sur la cible pour pilote le "rail radar". L'avantage de la solution c'est qu'à priori ca marche bien ... Pour les autres effecteurs il y a le choix. laser. C'est intéressant, et l'empreinte sur le navire est faible, peu de consommable. Pas nécessairement tout temps ... et vérifier le temps d'engagement nécessaire. moyen calibre plus léger que le 76mm. On connait déjà. L'efficacité dépend essentiellement de la détection et de la conduite de tir, ce qui rend la solution pas si bon marché que ca. autre tourelle 76. Meme chose que pour le premiere. C'est cher mais ca marche. missile léger, genre Mistral. On connait. On n'est pas sur d'accrocher toutes les cibles envisagées. --- A mon sens dans tous les cas à terme on ne fera pas l'économie d'une tourelle laser, donc autant la prévoir d'office. A mon sens on ne fera pas l'économie d'une artillerie moyen calibre polyvalente pour couvrir l’arrière. A mon sens on peut se passer de Mistral, tout le monde le fait. A mon sens ce qu'il manque c'est une munition guidé dans le canon de 40mm national ...
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