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Vinia

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  1. j'accepte les conditions particulières de participation a ce fil de discussion comme décrites ci dessus; signé Vinia ;) Algérie : du pétrole et du gaz dans les valises de Sarkozy Du pétrole, du gaz et même un accord de coopération nucléaire. Nicolas Sarkozy, qui se rend en Algérie lundi pour une visite d'Etat de trois jours, a annoncé que le groupe pétrolier français Total allait investir 1,5 milliard de dollars en Algérie et Gaz de France 1 milliard de dollars pour le développement d'un gisement de gaz algérien. L'entreprise doit également profiter du voyage pour reconduire ses contrats d'approvisionnement en gaz algérien jusqu'en 2019. "Sans attendre, il nous faut avancer sur du concret, et le concret, c'est l'interdépendance énergétique : il s'agit pour nous de sécuriser l'approvisionnement du marché français et, pour vous, de sécuriser les débouchés et de préparer l'après-pétrole", a dit Nicolas Sarkozy dans un entretien diffusé dimanche par l'agence algérienne APS. Selon l'Elysée, la France espère signer cinq milliards d'euros de contrats et d'accords d'investissement avec l'Algérie. "Des investissements industriels devraient aussi être confirmés à l'occasion de ma visite, comme par exemple une usine de montage de tramways et une autre de montage de véhicules de lutte contre l'incendie", a ajouté le chef de l'Etat. La RATP pourrait également signer un accord sur l'exploitation du métro d'Alger et Thales quelque 300 millions d'euros de contrats pour des équipements de signalisation et de télécommunications. "La France est devenue le premier investisseur hors hydrocarbures en Algérie et elle pourrait même devenir très bientôt le premier investisseur tous secteurs confondus, grâce aux projets de nos grandes compagnies", a souligné Nicolas Sarkozy, ajoutant qu'un accord de coopération nucléaire doit être signé au cours de sa visite, sans donner plus de détails. Autre sujet : le projet d'Union méditerranéenne. Le président français a souligné que l'Algérie y sera "un partenaire essentiel", ce projet devant selon lui donner "un nouveau souffle" au partenariat entre les pays des rives nord et sud de la Méditerranée. "Je pense que nous devons nous tourner d'abord vers l'avenir, car les nouvelles générations, qui forment dans votre pays la grande majorité de la population, ne vont pas attendre que les adultes aient fini de régler les problèmes du passé", a dit Nicolas Sarkozy, faisant référence, sans l'évoquer directement, à la polémique sur les excuses réclamées par Alger à la France pour les "crimes" de la colonisation française en Algérie. Le chef de l'Etat a toutefois affirmé qu'il ne fallait pas "ignorer l'Histoire, mais l'assumer" et "réconcilier les mémoires". http://tf1.lci.fr/infos/monde/afrique/0,,3640267,00-algerie-petrole-gaz-dans-valises-sarkozy-.html
  2. très intéressant merci beaucoup une question aussi, combien d'exocet en stock dans la corvette? mis a part les 8 prêt a l'emploi?
  3. +1 Akhilleus +1 Perry impliquer des opérations en sous mains autres comme celles dont a été soupçonné l'EM algérien même par sa propre population comme des attaques sur des villages (massacres tout ça....) sans intervention de l'armée alors que des casernes etait a proximité totalement d'accord pour les massacres des civiles :( et de plusieurs source crédible l'armée algérienne a elle meme tuer des civiles :( :( :( :( je vous conseil un très bon livre d'un ancien officier des forces spéciales de l'armée algérienne, voici une citation : <edit de la modération : la citation apparait comme provocatrice.........elle est donc retirée du post... je laisse le lien pour que chacun se fasse une opinion si il le souhaite ..... par ailleurs c'est le dernier trollage au sens "post provocant" acceptable pour le pseudo nommé Vinia....faut pas prendre l'équipe de modération pour des branques on arrive encore a distinguer des posts constructifs a des posts qui font uniquement dans la provo....ta chance c'est que ce soit moi qui soit passé, tu n'avais pas eu d'avertissement de ma part....maintenant c'est fait....donc en cas de recidive pas de prochaine mise en alerte tu es deja averti........> http://ww2.editionsladecouverte.fr/webcc/sog_dec/notice_reference.html?F_ean13=9782707133588&F_lang_id=1 qui tue qui ?
  4. berkut j'aime bien le couillu moi lol Quand la force multinationale arrive sur place?
  5. il faut le tigre je pense moi, comment toucher une toyota avec un mirage ou un jaguars? l'exercie est difficile surtout avec de petit véhicule puissamment armés, en perpétuel mouvement.
  6. Vinia

    Échange franco-marocain

    pardonne moi pascal ta question dépasse mes compétence
  7. merci, pour les client désireux est t'il possible de mettre plusieurs SAMPt en réseau? le radar israéliens Green Pine pourrait être branché avec le tout ?en attendant un radar performent européen?
  8. reBonjour les rebelles ont les moyens de toucher un de nos chasseur? en cas d'attaque de rebelle devrons nous envoyer du matérielle et des hommes sur place?
  9. Les rebelles tchadiens de l'Union des forces pour la démocratie et le développement (UFDD) ont déclaré vendredi être en "état de belligérance" avec l'armée française ou toute autre contingent étranger, alors qu'une force européenne doit se déployer dans l'est du Tchad. Dans un communiqué reçu par l'AFP à Libreville, "l'UFDD condamne fermement l'attitude de l'armée française pendant les rudes combats" de jeudi, entre rebelles et forces gouvernementales tchadiennes dans l'est du pays. "Dorénavant, l'UFDD se considère en état de belligérance contre l'armée française ou toutes autres forces étrangères sur le territoire national", affirme son porte-parole, Mahamat Hassane Boulmaye, accusant les avions français d'avoir "survolé" jeudi les positions rebelles. L'armée française dispose de plus d'un millier d'hommes et de plusieurs avions au Tchad, qui font notamment de la reconnaissance et fournissent des renseignements aux autorités de N'Djamena. L'Union européenne doit déployer prochainement une force d'environ 3.500 hommes dans l'est du Tchad et le nord-est de la Centrafrique, mais son arrivée est retardée notamment par l'insuffisance de moyens aériens. Les rebelles tchadiens ont toujours accusé la France de soutenir le président Idriss Deby Itno, qu'ils veulent renverser. Mais ils n'avaient jamais été aussi loin dans leur dénonciation de la position française. Selon l'UFDD, "apporter un appui diplomatique, stratégique et logistique au tyran Idriss Deby est un acte d'hostilité et sera traité comme tel". La rébellion appelle par ailleurs les Tchadiens à "se mobiliser" contre la France, qualifiée de "puissance néocoloniale" et accusée de maintenir au pouvoir "un dictateur". Depuis lundi, UFDD et armée tchadienne se sont affrontés à trois reprises dans l'extrême-est du Tchad, près de la frontière soudanaise, lors de combats d'une intensité et d'une violence rares dans la région. Les deux camps affirment avoir infligé de lourdes pertes à l'adversaire, mais ces bilans contradictoires ne sont pas vérifiables de source indépendante. Des responsables rebelles et de l'armée reconnaissent toutefois, sous couvert de l'anonymat, avoir subi des pertes importantes. Joint sur téléphone satellitaire, le chef de l'UFDD Mahamat Nouri a confirmé que les combats de jeudi, à environ 150 km au nord-est d'Abéché, principale ville de l'est tchadien, avaient été "très durs". "Vers 12H30 (11H30 GMT), alors que le Bréguet français n'avait cessé de survoler nos positions, les hélicoptères tchadiens nous ont bombardés, et pour la première fois nous avons été obligés de laisser le champ de bataille", a-t-il expliqué à l'AFP, précisant avoir perdu davantage de véhicules que d'hommes. Comme par le passé, les autorités tchadiennes accusent elles le Soudan d'avoir "armé" les rebelles en vue d'une "agression" visant à "déstabiliser" le Tchad. http://www.jeuneafrique.com/jeune_afrique/article_depeche.asp?art_cle=AFP44807lesreesiana0
  10. reBonjour une batterie SAMP/t en image : http://www.army-technology.com/projects/aster-30/aster-303.html S300pmu en Image : http://img227.imageshack.us/img227/7215/s300pmubatteryllch1.gif meme si comme l'indique fenrir le prix d'une batterie de SAMP/t reste 2x moins chère que pour le système russe, la batterie du PMU me parait extrêmement complète :)
  11. L'Algérie prépare sans enthousiasme la prochaine visite de Nicolas Sarkozy Une simple "visite de courtoisie" qui vise à garder les relations bilatérales actuelles, "en attendant de savoir ce que nous réserve l'avenir". En tenant ces propos, lundi 26 novembre, dans le quotidien El Khabar, le plus gros tirage d'Algérie, Mohammed Abbès, le ministre des moudjahidins (anciens combattants) a créé la stupéfaction. La visite d'Etat de Nicolas Sarkozy en Algérie, les 3, 4 et 5 décembre, ne déclenche pas un enthousiasme excessif au sein de la population algérienne - ici, le nom du nouveau président français est synonyme de restriction des visas, de tests ADN, de soutien à Israël - mais on ne s'attendait pas à une déclaration aussi virulente de la part d'un haut responsable. Selon Mohammed Abbès, "il n'y aura pas de normalisation des relations avec la France sous l'ère Sarkozy", lequel doit son élection "au lobby juif" qui, dit-il, a "le monopole de l'industrie en France." Si ces considérations ne reflètent pas l'état d'esprit de la majorité des responsables algériens, elles illustrent la difficulté persistante des relations entre les deux pays. A moins d'une semaine de la venue de Nicolas Sarkozy à Alger et Constantine, beaucoup de points restent en suspens. Du côté algérien, on précise cependant "vouloir tout faire pour accueillir dignement le président de la République française". Le volet économique est en cours de règlement, même si tout n'est pas encore finalisé. Les deux pays devraient signer des contrats pour quelque 5 milliards d'euros, dont la moitié environ se traduira en investissements français (Total et Gaz de France). Le volet politique, en revanche, reste épineux. La visite, fin octobre, du président français au Maroc, a surpris et déçu à Alger. Qu'il s'agisse du projet d'Union méditerranéenne ou de coopération en matière de nucléaire civil, c'est au royaume chérifien que le président Sarkozy a réservé ses premières déclarations "fondatrices". La France semble toujours considérer le Maroc comme un partenaire privilégié, et l'Algérie n'a pas senti le "rééquilibrage" espéré avec l'arrivée de Nicolas Sarkozy à l'Elysée. Pour preuve : la question du Sahara occidental. Les responsables algériens savaient que les positions de M. Sarkozy ne différeraient pas fondamentalement de celles de Jacques Chirac, mais ils ne s'attendaient pas à ce que le président français déclare aussi vigoureusement, à Rabat, devant les députés, son soutien au plan d'autonomie marocain. Un plan que, pour leur part, ils rejettent, puisqu'il exclut toute possibilité d'indépendance pour le peuple sahraoui. L'autre pierre d'achoppement concerne la circulation entre les deux pays. La politique restrictive de visas menée par Nicolas Sarkozy, en tant que ministre de l'intérieur puis chef de l'Etat, inquiète et indispose. "Pour nous, la dimension humaine est l'élément fondamental des relations franco-algériennes. C'est même le point d'équilibre de nos rapports. Nous n'aboutirons pas, sans cela, à un partenariat d'exception", souligne un haut responsable algérien, avant de déplorer que les dirigeants français "soient prisonniers de leur politique d'immigration". Une politique dont Alger redoute que la communauté algérienne de France fasse les frais. La question de la mémoire, enfin, continue d'empoisonner les relations entre les deux pays, même si Alger semble, à présent, adopter un certain détachement sur ce sujet. "Nous ne sommes pas demandeurs. C'est au président Sarkozy d'assumer son passé et de nous donner l'occasion de tourner la page. Nous en tirerons ensuite les conclusions", indique encore ce haut responsable. L'Algérie, dit-il, ne demande pas de "repentance" mais une "reconnaissance des faits" commis par la France pendant la guerre d'Algérie, à défaut d'"excuses". En réalité, les autorités algériennes ne misent plus sur un geste spectaculaire de la France dans le contexte actuel. Elles n'excluent pas que le président Sarkozy évoque "les crimes de la colonisation", dans son discours de Constantine, le 5 décembre, de la même façon qu'il avait dénoncé, le 23 octobre à Tanger, "les crimes du protectorat". Le chef de l'Etat français ira-t-il au-delà ? A Alger, on ne se fait pas trop d'illusions, et surtout, on veut s'épargner l'humiliation d'une déception. D'où, sans doute, les propos d'Ahmed Ouyahia, le secrétaire général du Rassemblement national démocratique, membre de la majorité présidentielle, samedi, à la télévision nationale, estimant qu'il fallait cesser de demander à la France des excuses et que l'heure était aux relations "d'Etat à Etat". Alger fait mine d'adopter le même langage pragmatique que l'Elysée, mais, de toute évidence, les blessures et les non-dits sont loin d'avoir disparu. Florence Beaugé (avec Amir Akef) Article paru dans l'édition du 28.11.07. Le MONDE.FR http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3212,36-982916@51-981390,0.html
  12. Dassault rend la DGA responsable de l'échec du Rafale au Maroc Serge Dassault et Charles Edelstenne, le président de Dassault Aviation sont littéralement fous de rage contre la Délégation générale pour l'armement (DGA). Les deux dirigeants rendent en effet cette administration, théoriquement chargée de coordonner les activités de notre industrie de défense,responsable de l'échec de la non-vente de Rafale au Maroc, fin octobre. Personnellement impliqué dans le dossier, le roi Mohammed VI avait pourtant tranché en faveur de l'avion de combat de Dassault, opposé au F 16 américain, et avait fait part de son choix, dès le début de 2007, à Jacques Chirac. Persuadés que le contrat ne pouvait plus échapper aux Français, la DGA aurait alors chargé la barque. Selon les dirigeants de Dassault, les hauts-fonctionnaires auraient ainsi tenté de forcer la main des Marocains pour leur faire accepter, dans un package de 2,6 milliards d¹euros, tout unbric à brac militaire comprenant un bateau de guerre et des blindés, en sus des 18 Rafale. Et selon eux, c'est cette malheureuse initiative de la DGA dans les négociations qui aurait, du coup, fait capoter le premier contrat à l¹export de l¹appareil tricolore au bénéfice du groupe américain Lockheed Martin. Interrogé, l'entourage de François Lureau, le délégué général à l'armement,qui a été renouvelé en février dernier pour deux ans, se refuse à tout commentaire sur le sujet. © Capital.fr http://www.capital.fr/actualite/Default.asp?source=FI&numero=66268&Cat=IND&numpage=1
  13. Alger attend Sarkozy de pied ferme Le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy et le président algérien Abdelaziz Bouteflika, le 27 juillet2004 à Alger. Reuters. Diplomatie. Avant la visite d’Etat, un ministre l’accuse d’être soumis au «lobby juif». Les dirigeants passent, la querelle reste. La sortie antisémite du ministre algérien des Moudjahidine (Anciens Combattants), Mohamed Chérif Abbas, visant Nicolas Sarkozy, Bernard Kouchner, et le «lobby juif» en France, intervient à moins d’une semaine de la première visite d’Etat du président français à Alger. Le ton est donné : ce n’est pas parce que Nicolas Sarkozy est un homme «neuf», désireux de «regarder vers l’avenir» plutôt que le passé, que les malentendus et reproches accumulés ces dernières années vont s’évanouir. Ces déclarations viennent s’ajouter à une campagne contre le retour en Algérie d’Enrico Macias, qui devait faire partie de la délégation française accompagnant Nicolas Sarkozy, dont il a été un soutien pendant la campagne présidentielle. Comme en 2000, le chanteur, né à Constantine, a fini par renoncer à ce voyage, qualifié de «provocation» par le même ministre algérien, qui l’a traité de «sioniste». Revirement. Même si ces propos trouvent un certain écho dans les opinions arabes – où le net réchauffement avec l’administration Bush, les déclarations agressives de Kouchner envers l’Iran et la sympathie affichée du président français envers Israël sont interprétés comme un revirement majeur –, il faut inscrire les provocations de Mohamed Chérif Abbas avant tout dans l’épineux contexte franco-algérien. Dans l’entretien au quotidien arabophone Al-Khabar, le ministre ne manque pas de préciser sa pensée : «Il n’y aura pas de normalisation des relations avec la France sous Sarkozy.» Malgré une popularité personnelle qu’il a pu vérifier à Alger, début 2003, Jacques Chirac a été en butte, lors des deux dernières années de présidence, aux sautes d’humeur de son homologue Abdelaziz Bouteflika. Qui n’a cessé de faire miroiter la possibilité d’un traité d’amitié pour régulièrement doucher les espoirs de Chirac. Il n’est pas innocent que les propos antisémites et anti-Sarkozy aient été tenus par Mohamed Chérif Abbas. C’est ce dernier qui avait lu, le 6 mai 2005 à Sétif, au nom du président Bouteflika, un discours au lance-flammes sur les massacres commis en mai 1945, comparant notamment la France coloniale au nazisme et réclamant «un geste probant» qui «effacerait cette tache noire». La loi du 23 février 2005, dont un article, proposé en catimini par des députés UMP, faisait l’éloge du «rôle positif de la colonisation», venait d’être adoptée par le Parlement français. Il a fallu un an pour l’annuler. Mais Chirac n’a jamais obtenu son traité d’amitié. Pendant sa campagne, Nicolas Sarkozy a répété qu’il ne serait pas le président de la «repentance». Alger n’a donc rien à attendre de ce côté-là. Mais le président français, qui tient à de bonnes relations avec l’Algérie pour des raisons énergétiques et commerciales, a fait un geste apprécié, dès juillet, en entamant sa mini-tournée au Maghreb par Alger. Le geste avait tant agacé le Maroc, habituellement choyé par Chirac, que le roi Mohammed VI avait annulé son entrevue avec Sarkozy. Rivalité. Depuis, Paris a rattrapé sa bourde avec Rabat, lui réservant la première visite d’Etat de Sarkozy à l’étranger, le mois dernier. Le président français en a profité pour annoncer son projet d’Union méditerranéenne et, surtout, lancer un partenariat dans le nucléaire civil. Un contrat d’armement de surveillance des frontières a été signé, en même temps que Paris réaffirmait son soutien au Maroc sur le dossier du Sahara occidental. Autant de gestes qui ont agacé à leur tour Alger, où la rivalité avec Rabat est une constante de la politique extérieure. Les provocations de Mohamed Chérif Abbas, si elles ne reflètent pas l’opinion algérienne, montrent la volonté d’une partie de ses dirigeants d’établir un rapport de force. En France, le Quai d’Orsay s’est sobrement dit «étonné». «Tant que la France ne reconnaîtra pas les crimes commis en Algérie, nous ne pouvons envisager ni réconciliation ni normalisation totale avec elle. Nos rapports avec la France se limiteraient au niveau commercial et il serait impossible de parler d’un traité d’amitié et de paix», prévient Mohamed Chérif Abbas. «Tant mieux, on n’en demande pas plus», répondait hier un diplomate français avec humeur Libération.FR http://www.liberation.fr/actualite/monde/294599.FR.php
  14. Vinia

    Échange franco-marocain

    Dans le cadre de l’entente franco-marocaine, l’ensemble du personnel du groupe de chasse 1/30 «Alsace» de Colmar s’est rendu, le lundi 19 novembre en fin de soirée, sur la base aérienne de Sidi Slimane, au Maroc. Des stagiaires et deux contrôleurs avancés sont également présents. Le séjour durera jusqu’au 29 novembre. Seize pilotes et 70 mécaniciens ont rencontré leurs homologues marocains, dont l’escadron est également équipé de Mirage F1 CH. La première semaine sera dédiée aux missions d’entraînement air-air et air-sol. Les pilotes français partageront leur savoir-faire sur les phases de ravitaillement en vol et de vol de nuit sous JVN (jumelle de vision nocturne). De plus, ils contribueront à parfaire la formation des pilotes nord-africains aux missions de combat et de vol sans visibilité. Les équipages franco-marocain enchaîneront des exercices aéroterrestres dans la semaine du 26 au 29 novembre. Les neuf Mirage F1 français (dont cinq biplaces) vont assurer des missions d’appui-feu et de reconnaissance à vue d’objectifs mobiles ainsi que des missions combinées avec les avions de chasse marocains. Cette coopération concerne notamment l’entraînement, la formation du personnel et les échanges de connaissances. Celle-ci permet de réaffirmer les liens forts qui existent entre ces deux escadrons de chasse volant sur Mirage F1. http://www.defense.gouv.fr/air/base/breves/2007/novembre/22_11_07_echange_franco_marocain Hop encore un belle échange ! L’aviation légère de l’armée de Terre s’entraîne au Maroc Un PUMA dans le desert (crédit photo : SIRPA Terre) Du 19 au 30 novembre, la 4e Brigade aéromobile de Nancy (4e BAM) et le 3e Régiment d’hélicoptères de combat (3eRHC) arment l'exercice terrestre et aéromobile maroco-français, Tafilalet 07, au Maroc, dans la région de Guercif et de Missour. Outre les moyens de l’armée de Terre, d’importants moyens de l’armée de l’air, avions de chasse et avions de transport tactique, et un détachement de la base pétrolière interarmées complèteront le dispositif d’un exercice réellement interarmées. 20 machines et 130 personnels, articulés autour d’un bataillon formé par le 3e RHC, sont déployés à cette occasion afin de tester les capacités de projection de la brigade aéromobile (BAM) sur une longue distance. Cette délocalisation permet aussi de s'entraîner dans des conditions d'emploi défavorables sur un terrain inconnu à la géographie complexe et de façon autonome, ce qui est une des caractéristiques de la 4e BAM. Après une phase de projection de forces du 19 au 22 novembre, l’exercice sera marqué du 22 au 25 novembre par un entraînement conjoint avec le détachement d’intervention hélicoptères des forces royales air marocaines (DIH) puis par un exercice aéroterrestre sous commandement tactique de la 6e Brigade de reconnaissance blindée marocaine (6eBRB) les 26 et 27 novembre. Le transit opérationnel retour sera conduit du 27 au 30 novembre. Exercice de coopération militaire, maroco-français, Tafilalet 07 permet un échange de savoir faire et le maintien ou la création de lien d’amitiés entre les armées des deux nations. http://www.defense.gouv.fr/terre/actualite_et_dossiers/l_aviation_legere_de_l_armee_de_terre_s_entraine_au_maroc
  15. reBonsoir le SAMP/T coûte combien ? Nous avons le pris approximative du PMU2 et du PAC3, mais l'aster ...
  16. reBonsoir akhilleus moi je transmet simplement les informations de la presse. Une polémique avant le voyage de Sarkozy en Algérie Nicolas Sarkozy le 28 novembre 2007 Les propos d'un ministre algérien, évoquant le soutien du "lobby juif" au chef de l'Etat, ne passent pas inaperçus cinq jours avant sa visite. Sans démentir formellement ses propos, Mohamed-Cherif Abbas se dit étonné de l'interprétation qui en est faite. F.A. - le 28/11/2007 - 19h34 Lundi, Nicolas Sarkozy entamera une visite d'Etat de trois jours en Algérie, sa première depuis son arrivée de l'Elysée -mais sa deuxième visite au total, puisque celle du mois de juillet n'était pas estampillée du plus haut degré du protocole diplomatique. Ce voyage a déjà fait parler de lui avec l'éventuelle participation d'Enrico Macias, qui a finalement renoncé à accompagner le chef de l'Etat puisqu'il n'y était "pas le bienvenu". Mercredi, cette visite, déjà sensible en raison des relations et de l'Histoire entre les deux pays, a encore été mise sur le devant de la scène diplomatique en raison des déclarations ambiguës de Mohamed-Cherif Abbas. Ministre des Anciens combattants, il expliquait lundi au quotidien Al Khabar ne pas croire "que les relations entre l'Algérie et la France soient fondées sur le principe d'égalité". "Vous connaissez les origines du président de la France et vous savez quelles sont les parties qui l'ont amené au pouvoir", soulignait-il également, en évoquant "les convictions des véritables architectes de l'ascension de Sarkozy au pouvoir, le lobby juif qui domine les décideurs en France". Le Quai d'Orsay "s'étonne" Cette déclaration a pris de l'ampleur après avoir été reprise mercredi matin par Le Figaro, qui qualifiait les propos "d'anti-sémites". A la mi-journée, le Quai d'Orsay, dans son langage diplomatique, "s'étonnait de ces propos, parus dans la presse, qui ne correspondent pas au climat de confiance et de coopération dans lequel nous préparons la visite d'Etat du président de la République" à Alger. Dans la foulée, la Ligue des droits de l'Hommes, le Mrap, la Licra et le Crif condamnaient tous les propos de Mohamed-Cherif Abbas. Dans un communiqué à l'agence de presse algérienne APS, ce dernier s'est quant à lui dit surpris "d'avoir appris avec beaucoup d'étonnement et de mécontentement certains propos" qui lui ont été attribués. Sans démentir formellement ses propos, il souligne ne pouvoir "assumer les spéculations irresponsables d'un quelconque journal sur un chef d'Etat ami, plus spécialement à la veille de sa visite en Algérie". "Il n'a jamais été dans mon intention d'enfreindre le principe que respectent tous les responsables algériens et que m'impose mon obligation de réserve, celui de ne jamais porter atteinte à l'image d'un chef d'Etat étranger", note ce vétéran de la guerre d'Algérie. Dans le reste de l'entretien publié lundi dans Al Khabar, Mohamed-Cherif Abbas estimait que la visite de Nicolas Sarkozy s'inscrivait dans "le cadre de la courtoisie existant entre Etats, comme une tentative de perpétuer l'image actuelle des relations entre la France en attendant des circonstances à venir". Il revenait également sur la période de la colonisation. "Tant que la France ne reconnaîtra pas les crimes commis en Algérie, nous ne pouvons envisager ni réconciliation ni normalisation totale avec elle. Nos rapports avec la France se limiteraient dans ce cas au niveau commercial et il serait impossible de parler d'un traité d'amitié et de paix", concluait-il. LCI.fr http://tf1.lci.fr/infos/monde/afrique/0,,3636514,00-polemique-avant-voyage-sarkozy-algerie-.html
  17. général quoi? les accusations algirienne sont très très grave :( de quelle droit insulter les Juifs publiquement en plus :( :( :( :(?
  18. +100 totalement d'accord avec vous. l'algirie déteste tellement son voisin, quelle achète des pommes de terre destiné au cochon a plusieurs millier de kilomètre de là ( Canada ). L’exportation vers l’Algérie de plusieurs tonnes de pomme de terre canadienne contaminée fait débat au parlement du Québec. http://www.algerie-dz.com/article11372.html Urgent:: Regardez moi les accusations horrible de l'algirie :( Un ministre algérien affirme que le «lobby juif» a porté Sarkozy au pouvoir Dans une interview lundi au quotidien «El Khabar», Mohamed Cherif Abbés a déclaré que le chef de l'Etat doit son élection au «lobby juif» en France. Et s'étonne des réactions suscitées A cinq jours de l’arrivée de Nicolas Sarkozy en Algérie, c’est le genre de déclaration impardonnable. Dans une interview au quotidien algérien El Khabar, le ministre des Moudjahiddines, Mohamed Cherif Abbés estime que le chef de l’Etat français doit son élection au «lobby juif» et insiste sur «les origines du président français et les parties qui l’ont amené au pouvoir». Mercredi, Mohamed-Cherif Abbas s’est déclaré «étonné et mécontent» des réactions suscitées par ses propos, sans les démentir formellement. Il ajoute qu’il «ne peut assumer les spéculations irresponsables d’un quelconque journal sur un chef d’Etat ami, plus spécialement à la veille de sa visite en Algérie». Dans l’interview publiée lundi et disponible en ligne, le dirigeant algérien indique également que la composition du gouvernement d’ouverture est le «résultat d’un mouvement qui reflète l’avis des véritables architectes de l’arrivée de Sarkozy au pouvoir, le lobby juif qui a le monopole de l’industrie en France». Mohamed Cherif Abbés estime qu’une relation de parité entre Paris et Alger «n’est pas envisageable, les Français ne sont pas prêts, et en particulier durant le mandat de M. Sarkozy». Un peu plus loin, il précise: «Si la France ne reconnaît pas les crimes qu’elle a commis en Algérie, une normalisation ou une réconciliation n’est pas envisageable. Les relations ne dépasseront pas le cadre des échanges commerciaux. Parler d’un traité d’amitié ou de réconciliation sans excuses ?….impossible.» La venue du président français est, selon, une «visite de courtoisie, sans plus, qui vise à garder les relations bilatérales actuelles en attendant de voir ce que nous réserve l’avenir». Le ministre exprime ensuite des réserves sur le projet d’Union méditerranéenne que Nicolas Sarkozy entend lancer entre le Maghreb et l’Europe. «Il cherche une politique qu’il peut “sarkoziser” et je crois qu’il s’est un peu précipité. […] La position de l’Etat n’a pas changé, il ne reconnaît pas ces projets car il ne connaît pas leur contenus.» Enfin, il déclare que la «venue d’Enrico Macias est une provocation», comme l’a été celle, à ses yeux, de Hamlaoui Mekachera, l’ex-ministre délégué aux Anciens combattants de Jacques Chirac. Lundi, le chanteur français a précisé qu’il ne se rendrait finalement pas en Algérie, son pays natal. Libération.FR http://www.liberation.fr/actualite/monde/294419.FR.php
  19. +10000 Jojo totalement d'accord avec vous. Pour le Super-Puma vue qu'il possède certains équipement israéliens, il ne sert plus au président boutifliki .
  20. reBonsoir : lol TooNs a bien compris, le seul! Général ? :O Plus sérieusement les aujourd'hui les FC1 construit localement, et pourquoi pas dans 10/15ans un avions de chasse Algériens ?! Et oui les amis..
  21. Bonjour a tous : D'après une source Chinoise, les FC1 seront construit en algiirie dans une usine a 45km d'Alger.
  22. Et juste après les résistants algériens recevrons quelque centaine de joyeuserie ( avec encore des écritures hébreu dessus ) =)
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